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In the city of Cochin we went to the Sarnath Budda. This is an image of a golden statue we saw there.

The Islamic hexagonal tower, built on the old Buddhist Stupa where Gautama Buddha preached, commemorates the visit of the Mughal Emperor Humayun to Sanath.

en.wikipedia.org/wiki/Qutb_Minar

wikimapia.org/1566033/Chaukhandi-Stupa

Prayers in the Sarnath Temple

Trip to Varanasi and Sarnath in India.

Le site, composé de ruines de bâtiments construits entre les règnes d'Ashoka et d'Akbar, comporte aussi un intéressant musée qui expose des sculptures, tant hindoues que bouddhistes, prélevées sur le site lors des fouilles. Aux alentours, les nations à forte population bouddhiste ont construit des temples dans leur style national (temples de Birmanie, de Chine, de Corée, du Japon et de Thaïlande, ainsi que trois temples tibétains).

 

Tous les bâtiments anciens de Sārnāth ont été saccagés par les musulmans. Parmi les ruines notables, on compte :

 

le Dhāmek Stūpa, dont la structure originelle date du IIe siècle et IIIe siècle. Le bâtiment cylindrique a été remanié et agrandi au VIIe siècle. Fait de briques, il mesure encore aujourd'hui quelque 35 mètres de hauteur pour une trentaine de mètres de diamètre. Il est décoré de frises et creusé de niches. Sa base est toutefois construite en pierres et sa cohésion est assurée par des crampons de fer.

 

le Dharmarājika Stūpa est l'un des rares stūpas datant de l'époque d'Ashoka, seules restent ses fondations après son pillage par Jagat Singh.

 

les ruines du Mulagandhakuti Vihāra indiquent la place où le Bouddha passa sa première mousson tandis qu'à l'est on trouve le bâtiment moderne du même nom, décoré de fresques du peintre japonais Kosetsu Nosu.

 

le Chaukhandī Stūpa, érigé d'après la tradition à l'endroit de la rencontre du Bouddha et des Bhadravargīya, et sur lequel Akbar fit élever une tour octogonale en mémoire de son père Humâyûn.

 

le pilier d'Ashoka brisé depuis longtemps reste cependant dressé. Le chapiteau aux lions, aujourd'hui emblème du pays, n'a pas souffert de sa chute d'une quinzaine de mètres. Il est exposé dans le musée archéologique.

 

De plus, on trouve sur le site :

 

un arbre pipal planté par Anagarika Dharmapala à partir d'un rejet de l'arbre de Bodhgayâ,

 

un musée, le plus ancien géré par l'Archaeological Survey of India. Construit à l'initiative de Sir John Marshall, alors directeur général de l'Archéologie aux Indes, les plans sont dessinés pas James Ramson et le musée ouvre ses portes au public en 1910. Il expose des pièces datant du IIIe siècle av. J.-C. au XIIe siècle de l'ère chrétienne.

  

Sarnath in the state of Uttar Pradesh in India. The Buddha (Siddhartha Gautama) gave his first sermon here. Today, Sarnath is located within the city limits of the city of Varanasi.

  

Deer Park Sarnath

Motorcyclist in Sarnath.

Sarnath has been developed as a place of pilgrimage, both for Buddhists from India and abroad. A number of countries in which Buddhism is a major (or the dominant) religion, among them Thailand, Japan, Tibet, Sri Lanka and Myanmar, have established temples and monasteries in Sarnath in the style that is typical for the respective country. Thus, pilgrims and visitors have the opportunity to experience an overview of Buddhist architecture from various cultures.

Painel com a história de Buddha: A rainha Maya, grávida de Sidarta sonhou estar grávida de um elefante branco,

 

Sarnath is a city located 13 kilometres north-east of Varanasi near the confluence of the Ganges and the Gomati rivers in Uttar Pradesh, India. The deer park in Sarnath is where Gautama Buddha first taught the Dharma, and where the Buddhist Sangha came into existence through the enlightenment of Kondanna.

en.wikipedia.org/wiki/Sarnath

Buddha Stupa in the Background.

Sarnath, 13.11.2008

Tibetan

Veg. Thankthunk Rs.30 (60円)

Non-Veg. Chowmein Rs.35 (70円)

Buddist and prayer beads in Sarnath - the site of the Buddha's first teachings

Dhamek Stupa, Sarnath, India, Oct 2008

Ces photos ont été prises soit par Nicolas Alzani, Marcel Poulin, Jean-Pierre Piché ou Guy Desautels.

 

Nous étions en Inde pour le tournage d'un documentaire sur la spiritualité indienne en avril et mai 1986. Le film s'intitule SADAHNA. Il a été réalisé par Jean-Pierre Piché. J'en assurais la prise de son.

Le site, composé de ruines de bâtiments construits entre les règnes d'Ashoka et d'Akbar, comporte aussi un intéressant musée qui expose des sculptures, tant hindoues que bouddhistes, prélevées sur le site lors des fouilles. Aux alentours, les nations à forte population bouddhiste ont construit des temples dans leur style national (temples de Birmanie, de Chine, de Corée, du Japon et de Thaïlande, ainsi que trois temples tibétains).

 

Tous les bâtiments anciens de Sārnāth ont été saccagés par les musulmans. Parmi les ruines notables, on compte :

 

le Dhāmek Stūpa, dont la structure originelle date du IIe siècle et IIIe siècle. Le bâtiment cylindrique a été remanié et agrandi au VIIe siècle. Fait de briques, il mesure encore aujourd'hui quelque 35 mètres de hauteur pour une trentaine de mètres de diamètre. Il est décoré de frises et creusé de niches. Sa base est toutefois construite en pierres et sa cohésion est assurée par des crampons de fer.

 

le Dharmarājika Stūpa est l'un des rares stūpas datant de l'époque d'Ashoka, seules restent ses fondations après son pillage par Jagat Singh.

 

les ruines du Mulagandhakuti Vihāra indiquent la place où le Bouddha passa sa première mousson tandis qu'à l'est on trouve le bâtiment moderne du même nom, décoré de fresques du peintre japonais Kosetsu Nosu.

 

le Chaukhandī Stūpa, érigé d'après la tradition à l'endroit de la rencontre du Bouddha et des Bhadravargīya, et sur lequel Akbar fit élever une tour octogonale en mémoire de son père Humâyûn.

 

le pilier d'Ashoka brisé depuis longtemps reste cependant dressé. Le chapiteau aux lions, aujourd'hui emblème du pays, n'a pas souffert de sa chute d'une quinzaine de mètres. Il est exposé dans le musée archéologique.

 

De plus, on trouve sur le site :

 

un arbre pipal planté par Anagarika Dharmapala à partir d'un rejet de l'arbre de Bodhgayâ,

 

un musée, le plus ancien géré par l'Archaeological Survey of India. Construit à l'initiative de Sir John Marshall, alors directeur général de l'Archéologie aux Indes, les plans sont dessinés pas James Ramson et le musée ouvre ses portes au public en 1910. Il expose des pièces datant du IIIe siècle av. J.-C. au XIIe siècle de l'ère chrétienne.

  

Le site, composé de ruines de bâtiments construits entre les règnes d'Ashoka et d'Akbar, comporte aussi un intéressant musée qui expose des sculptures, tant hindoues que bouddhistes, prélevées sur le site lors des fouilles. Aux alentours, les nations à forte population bouddhiste ont construit des temples dans leur style national (temples de Birmanie, de Chine, de Corée, du Japon et de Thaïlande, ainsi que trois temples tibétains).

 

Tous les bâtiments anciens de Sārnāth ont été saccagés par les musulmans. Parmi les ruines notables, on compte :

 

le Dhāmek Stūpa, dont la structure originelle date du IIe siècle et IIIe siècle. Le bâtiment cylindrique a été remanié et agrandi au VIIe siècle. Fait de briques, il mesure encore aujourd'hui quelque 35 mètres de hauteur pour une trentaine de mètres de diamètre. Il est décoré de frises et creusé de niches. Sa base est toutefois construite en pierres et sa cohésion est assurée par des crampons de fer.

 

le Dharmarājika Stūpa est l'un des rares stūpas datant de l'époque d'Ashoka, seules restent ses fondations après son pillage par Jagat Singh.

 

les ruines du Mulagandhakuti Vihāra indiquent la place où le Bouddha passa sa première mousson tandis qu'à l'est on trouve le bâtiment moderne du même nom, décoré de fresques du peintre japonais Kosetsu Nosu.

 

le Chaukhandī Stūpa, érigé d'après la tradition à l'endroit de la rencontre du Bouddha et des Bhadravargīya, et sur lequel Akbar fit élever une tour octogonale en mémoire de son père Humâyûn.

 

le pilier d'Ashoka brisé depuis longtemps reste cependant dressé. Le chapiteau aux lions, aujourd'hui emblème du pays, n'a pas souffert de sa chute d'une quinzaine de mètres. Il est exposé dans le musée archéologique.

 

De plus, on trouve sur le site :

 

un arbre pipal planté par Anagarika Dharmapala à partir d'un rejet de l'arbre de Bodhgayâ,

 

un musée, le plus ancien géré par l'Archaeological Survey of India. Construit à l'initiative de Sir John Marshall, alors directeur général de l'Archéologie aux Indes, les plans sont dessinés pas James Ramson et le musée ouvre ses portes au public en 1910. Il expose des pièces datant du IIIe siècle av. J.-C. au XIIe siècle de l'ère chrétienne.

  

there were few carvings remaining at the actual sarnath site (most had been moved to the museum). this was the most stunning.

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Los niños, no tienen ni pasado ni futuro, y, lo que casi nunca hacemos, disfrutan del presente. Jd LB

Le site, composé de ruines de bâtiments construits entre les règnes d'Ashoka et d'Akbar, comporte aussi un intéressant musée qui expose des sculptures, tant hindoues que bouddhistes, prélevées sur le site lors des fouilles. Aux alentours, les nations à forte population bouddhiste ont construit des temples dans leur style national (temples de Birmanie, de Chine, de Corée, du Japon et de Thaïlande, ainsi que trois temples tibétains).

 

Tous les bâtiments anciens de Sārnāth ont été saccagés par les musulmans. Parmi les ruines notables, on compte :

 

le Dhāmek Stūpa, dont la structure originelle date du IIe siècle et IIIe siècle. Le bâtiment cylindrique a été remanié et agrandi au VIIe siècle. Fait de briques, il mesure encore aujourd'hui quelque 35 mètres de hauteur pour une trentaine de mètres de diamètre. Il est décoré de frises et creusé de niches. Sa base est toutefois construite en pierres et sa cohésion est assurée par des crampons de fer.

 

le Dharmarājika Stūpa est l'un des rares stūpas datant de l'époque d'Ashoka, seules restent ses fondations après son pillage par Jagat Singh.

 

les ruines du Mulagandhakuti Vihāra indiquent la place où le Bouddha passa sa première mousson tandis qu'à l'est on trouve le bâtiment moderne du même nom, décoré de fresques du peintre japonais Kosetsu Nosu.

 

le Chaukhandī Stūpa, érigé d'après la tradition à l'endroit de la rencontre du Bouddha et des Bhadravargīya, et sur lequel Akbar fit élever une tour octogonale en mémoire de son père Humâyûn.

 

le pilier d'Ashoka brisé depuis longtemps reste cependant dressé. Le chapiteau aux lions, aujourd'hui emblème du pays, n'a pas souffert de sa chute d'une quinzaine de mètres. Il est exposé dans le musée archéologique.

 

De plus, on trouve sur le site :

 

un arbre pipal planté par Anagarika Dharmapala à partir d'un rejet de l'arbre de Bodhgayâ,

 

un musée, le plus ancien géré par l'Archaeological Survey of India. Construit à l'initiative de Sir John Marshall, alors directeur général de l'Archéologie aux Indes, les plans sont dessinés pas James Ramson et le musée ouvre ses portes au public en 1910. Il expose des pièces datant du IIIe siècle av. J.-C. au XIIe siècle de l'ère chrétienne.

  

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