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Du col de Roccapina, sur la route nationale 196 qui longe le littoral entre Bonifacio et Sartène (Corse du Sud), se détache la saisissante silhouette d’un lion couché et couronné, qui semble surveiller la Méditerranée. La légende raconte qu’il s’agissait d’un puissant seigneur si craint de ses ennemis sarrasins qu’ils le surnommèrent le "lion", et qui, repoussé par une bergère dont il était épris, invoqua la Mort, qui le pétrifia… sous l'apparence d'un lion. D'où la citation : "Ton coeur est de pierre, lion de pierre tu seras !"

Roccapina est également un lieu chargé d’histoire. La côte majestueuse symbolisant l’extrême sud de la Corse est également le lieu de fréquentes tempêtes où les bateaux se retrouvent souvent en difficulté. Dans la nuit du 16 au 17 avril 1887, sous l'œil du lion, le Tasmania (paquebot à vapeur anglais) ayant quitté Bombay deux semaines plus tôt pour se rendre à Londres, alla s’éventrer sur le Rocher des Moines. Le navire avait en sa possession de nombreux présents d'une valeur inestimable dont de l'or, de l'ivoire, et de la joaillerie, trésors du maharajah de Jodhpur, cadeaux destinés à la reine britannique Victoria, devant célébrer son jubilé. Une tout autre légende raconterait qu'une partie de ce trésor aurait ensuite été retrouvée par un bandit, puis caché dans une grotte, dans le vaste maquis de Roccapina. Mais la plus grande partie du butin serait encore dispersée dans l'immensité de la mer Méditerranée…

 

The lion of Roccapina: halfway between Sartène and Bonifacio, between Legend and History

From the Col de Roccapina, on the national road 196 that runs along the coast between Bonifacio and Sartène (South Corsica), stands out the striking silhouette of a reclining and crowned lion, which seems to be watching the Mediterranean. Legend has it that he was a powerful lord so afraid of his Saracen enemies that they nicknamed him the "lion," and who, repulsed by a shepherdess he was in love with, invoked Death, which petrified him. in the guise of a lion. Hence the quote: "Your heart is of stone, you will be a stone lion!"

Roccapina is also a place steeped in history. The majestic coastline symbolizing the extreme south of Corsica is also the site of frequent storms where boats often find themselves in trouble. On the night of April 16-17, 1887, under the lion’s eye, the Tasmania (English steamer) having left Bombay two weeks earlier to go to London, went to tear itself apart on the Rock of the Monks. The ship had in its possession many gifts of inestimable value, including gold, ivory, and jewelry, treasures of the Maharajah of Jodhpur, gifts to the British Queen Victoria, to celebrate her jubilee. A very different legend would say that part of this treasure was later found by a bandit and then hidden in a cave in the vast maquis of Roccapina. But most of the loot would still be scattered in the vastness of the Mediterranean Sea…

   

Vercingétorix est une statue du sculpteur Aimé Millet en cuivre martelé et riveté, qui domine le village d'Alise-Sainte-Reine en Côte-d'Or en Bourgogne depuis 1865, du haut du mont Auxois, site pratiquement certain de l'oppidum gaulois d'Alésia, célèbre par son siège (siège d'Alésia) et la défaite de Vercingétorix qui marque profondément l'histoire de France.

Elle comporte une inscription sur un bandeau de bronze à sa base : La Gaule unie, formant une seule nation, animée d'un même esprit, peut défier l'univers.

La statue elle-même est haute de 6,60 m et pèse environ cinq tonnes. Elle est creuse et formée de tôles de cuivre battues et repoussées fixées sur un bâti de poutrelles comme la statue de la Liberté de New York. Elle a été construite à Paris et exposée au palais de l'Industrie lors du Salon de 1865 puis transportée et installée le 27 août 1865 .

La statue est signée Aimé Millet, sa réalisation est de Mesureur et Monduit. Elle a été dessinée par Eugène Viollet-le-Duc.

#cotedorpix #cotedor #vercingetorix #canonphoto #canonphotography #sigmaart

 

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The Portland Building (1982)

 

National Register of Historic Places reference No.: 11000770

 

SANTONG DE BASTIDOR of the INMACULADA CONCEPCION

Very fine white ivory head and hands mounted on original wooden bastidor.

Repousse and ysot silver crown and silver aureola

wooden base

Height from tip of halo to base :37 inches

Height of Ivory head ; 11 CM

MID TO LATE 19TH CENTURY

  

Le Fort-Bloqué est le nom d’un village emblématique de la côte. Son nom provient du fort construit sur un îlot. Accessible à pied à marée basse, il redevient une île à marée haute.

 

Un peu d’histoire : le 1er octobre 1746, quarante navires anglais débarquent 4500 hommes sur la plage du Loc’h. Ils prennent les bourgs de Guidel et Ploemeur avant d’attaquer Lorient.

Ils seront repoussés quelques jours plus tard. Pour parer à un nouveau débarquement, une batterie est construite en 1748 sur l’îlot de Keragan.

Un siècle plus tard, un fortin est bâti avec des remparts, c’est le Fort Bloqué que l’on connaît maintenant

 

Fort-Bloqué is the name of an emblematic village on the coast. Its name comes from the fort built on an islet. Accessible on foot at low tide, it becomes an island again at high tide.

 

A bit of history: on October 1, 1746, forty English ships landed 4,500 men on the beach at Loc’h. They take the towns of Guidel and Ploemeur before attacking Lorient.

They will be pushed back a few days later. To prepare for a new landing, a battery was built in 1748 on the islet of Keragan.

A century later, a small fort was built with ramparts, it is Fort Bloqué that we know now

Whenever I can't decide what to photograph I often turn to my button collection. This one, from the late 1800s, is a new addition.

La batterie faisait partie de la deuxième ceinture de défense de Lyon et a été construite entre 1875 et 1887 sur le mont Goitron, un éperon qui domine le canal de Miribel et qui offre une vue imprenable sur Lyon et le Rhône en amont.

 

Ce fort, où 75 artilleurs vivaient au début du XXe siècle, est complètement entouré de fossés et les bâtiments sont situés derrière des remparts. Il comprenait 8 canons, 26 tonnes de poudre noire, une infirmerie, un magasin, une citerne d’une contenance de 200 m3. De nos jours, l’ensemble des bâtiments est plutôt bien conservé.

 

Un petit rappel historique s’impose. Lyon, au début du XIXe siècle était sans défense organisée.

 

En janvier 1814, l’armée autrichienne venant de Genève avait été repoussée par le maréchal Augereau jusqu’à Lons le Saunier mais une nouvelle offensive de 4 000 hommes permit aux Autrichiens, après les combats de Villefranche et de Limonest, d’entrer sur Lyon par Vaise et Saint-Clair le 4 juin 1813.

 

L’occupation dura de mars à juin 1814. Après les 100 jours et Waterloo, Lyon subit une nouvelle occupation autrichienne en juillet 1815. Le traité de Vienne, attribuant la Savoie au royaume de Piémont, rapprocha la frontière de la France à 70 km de Lyon. Il devenait urgent pour la ville de se protéger. Dès 1818, un projet de fortifications de 18 forts, qu’on appela par la suite la petite ceinture, vit le jour mais, les constructions ne commencent qu’en 1831 et durent jusqu’en 1850.

 

À partir de 1860, l’emploi des canons rayés augmente la portée des tirs d’artillerie et rend caduque la défense par les forts de petite ceinture. Lyon serait à portée des tirs de l’artillerie prussienne.

 

Bien que pendant la guerre de 1870 Lyon n’ait pas subit d’attaque, le ministère de la guerre décide de doter la ville d’une défense éloignée et en confie la réalisation au colonel Séré de Rivière puis à ses successeurs. C’est alors ce que l’on appelle la grande ceinture.

 

Il s’agit de 14 forts et 10 batteries armés d’une puissante artillerie totalisant 550 canons de gros calibre.

 

www.neyron.fr/la-batterie-de-sermenaz/

In the land of verdant dreams, where rivers weave and play,

Portlandia stands proud and bright, a beacon in the fray.

But midst the wooden giants tall, a hero felt the strain,

For Pete Hegseth, valiant knight, succumbed to heat's cruel rein.

 

Beneath the sun's relentless gaze, his armor felt the weight,

The fires of a thousand suns conspired to create,

A thirst that gnawed within his core, a call of nature's need,

To quench his lips, restore his strength, a desperate, noble deed.

 

From hills where mighty trees do rise, the whispers softly came,

"Seek ye the finest nectar sweet, and stave off weakness' claim."

In bustling lanes of hipster cheer, where artisans reside,

The city's heart, with vibrant pulse, would not let hope subside.

 

A barista of copper, wise and sprightly fair, with kindness in her eyes,

Brewed forth the nectar of the gods, a golden, sweet surprise.

With hints of berry, floral notes, it shimmered in the light,

"Drink deep, brave warrior,” she smiled, "revive your fading might."

 

With trembling hands, he raised the cup, the chalice of his fate,

He sipped the brew, a symphony; his spirit it did sate.

And as the elixir flowed within, life surged through every vein,

Pete, emboldened, stood once more; no longer naught but pain.

 

He rallied forth, with vigor new, his mission now restored,

The noble cause of truth and light, embraced him as his sword.

Portlandia, land of shade and sun, your nectar, pure and true,

Had steered him back from parched despair, to skies of brighter blue.

 

Thus sing we now of this great quest, where unity did thrive,

For even heroes need a pause, to feel the pulse alive.

So let us toast to friendships forged, in the cool city air,

For Portlandia saved Pete Hegseth, with love and sweetest care.

 

— Poem courtesy of Editpad Poem Generator.

 

Tualatin Fred Meyer, 11:25 PM.

 

Media:

* C-SPAN: President Kennedy's Final Address to the United Nations General Assembly (00:17:52) — September 20, 1963

* C-SPAN: President Trump addresses U.N. General Assembly - FULL SPEECH (00:56:43) — September 23, 2025

 

See also: IMG_2423 Only I Will Remain

This is one part of a clip-on Art Nouveau belt buckle from the late 19th century. It would be lovely to have the whole thing, of course, but I'm very happy with this piece just as it is. I think it must have looked pretty spectacular when worn.

C'est un lézard de forme élancée, espèce extrêmement polymorphe, avec une variabilité extraordinaire de l'écaillure, une coloration très variable, brun, gris ou même verdâtre.

La queue de ce lézard casse facilement (autotomie), lui permettant ainsi d'échapper à des prédateurs. En effet, l'extrémité « perdue » continue à s'agiter ce qui constitue un leurre vis-à-vis de l'attaquant. Une queue de remplacement repousse progressivement mais elle est dépourvue d'écailles, et elle est uniformément gris sombre. Parfois elle peut repousser double (Wikipedia).

 

It is a lizard of slender form, an extremely polymorphous species, with an extraordinary variability of scaling, a very variable coloring, brown, gray or even greenish.

The tail of this lizard breaks easily (autotomy), thus enabling it to escape predators. Indeed, the "lost" end continues to agitate which constitutes a lure with respect to the attacker. A replacement tail grows gradually but is not scaly, and is uniformly dark gray. Sometimes it can grow double (Wikipedia).

"She reached down to me. Portlandia. She reached down to me.

Her embrace was rather overwhelming.

Her scent was that of fresh rain and roses.

There was a distinct kindness to her, an uncommon acceptance of everyone around her.

And her face was unforgettable. An abundance of beauty. A cool, green, misty kind of beauty.

Those around me, who had also been touched by her, are all the same.

Because we know her. Portlandia.

And to know her is to love her."

  

Portlandia is a sculpture by Raymond Kaskey located above the entrance of the Portland Building, in downtown Portland, Oregon, at 1120 SW 5th Avenue. It is the second-largest copper repoussé statue in the United States, after the Statue of Liberty.

 

The statue is based on the design of the city seal. It depicts a woman dressed in classical clothes, holding a trident in the left hand and reaching down with the right hand. The statue is above street level, and faces a relatively narrow, tree-lined street. An accompanying plaque contains a poem by Portland resident Ronald Talney.

Moment de tendresse, cette Foulque macroule nourri son petit avec attention. Mais ne vous y tromper pas, elle donne la becquée à plusieurs reprise puis repousse l’oisillon afin de lui montrer qu’il doit commencer à chercher par lui-même sa nourriture.

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Moment of tenderness, this Coot macroule fed his little one with attention. But do not be deceived, she gives the beaked several times and then pushes the chick to show him that he must start looking for his own food.

Depuis bientôt un an et demi, un Rouge-gorge que j’ai prénommé Robinet (ou Robin’) passe du temps dans mon jardin. Il n’a pas peur de moi et je l’observe avec tendresse évoluer au fil des saisons. Il est reconnaissable grâce à une petite plume blanche sur l’épaule droite. D’ailleurs, elle a repoussé après sa mue ! C’est sa particularité, en plus d’être adorable. Cette année, il a eu deux nichées : je l’ai vu venir boire et prendre son bain en compagnie de sa femelle et de ses petits, tous les jours à la même heure. (Je l'ai vu nourrir ses petits aussi). Il a ses habitudes, car je laisse toujours de l’eau propre à disposition pour les oiseaux. J’ai même installé un tarp pour garder les gamelles à l’ombre. Pendant la canicule, je lui ai aussi laissé quelques aliments pour oiseaux, car il y avait peu d’insectes. Ses petits ont fini par quitter la zone, car le Rouge-gorge est un oiseau solitaire et territorial. L’automne arrive, bientôt, il retrouvera le chant mélodieux automnal des Rouges-gorges, plus mélancolique que celui du printemps. Maintenant que ses petits sont émancipés et partis, il passe plus de temps près de moi, et il est à nouveau beaucoup plus calme. Je pourrais parler des heures de notre lien, qui s’est développé au fil des mois. Parfois, il agit comme un petit chien joyeux quand je le félicite d’avoir attrapé une proie : je l’ai vu voler sur place comme un colibri face à moi, à deux reprises ! C’était incroyable. Quand le chat du quartier arrive, je préviens Robin’. Il me regarde, puis s’envole aussitôt. Il sait que je l’avertis d’un danger. Et dès que je l’entends donner l’alerte, je sors vérifier et je le protège autant que possible, même s’il sait se débrouiller seul. Je suis très attachée à lui.

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For almost a year and a half now, a robin I named Robinet (or Robin) has been spending time in my garden. He isn't afraid of me, and I watch him fondly as he changes with the seasons. He is recognizable by a small white feather on his right shoulder. In fact, it grew back after he molted! That's what makes him special, besides being adorable. This year, he had two broods: I saw him come to drink and bathe with his mate and their young every day at the same time. (I saw him feed his young too). He has his habits, because I always leave clean water available for the birds. I even put up a tarp to keep the bowls in the shade. During the heatwave, I also left him some bird food, as there were few insects around. His young eventually left the area, as robins are solitary and territorial birds. Autumn is coming, and soon he will hear the melodious autumn song of the robins again, more melancholic than that of spring. Now that his young are grown and gone, he spends more time near me, and he is much calmer again. I could talk for hours about our bond, which has developed over the months. Sometimes he acts like a happy little dog when I praise him for catching prey: I've seen him hover in front of me like a hummingbird twice! It was incredible.

 

When the neighborhood cat arrives, I warn Robin. He looks at me, then immediately flies away. He knows that I am warning him of danger. And as soon as I hear him sound the alarm, I go outside to check and protect him as much as possible, even though he knows how to fend for himself. I am very attached to him.

"I must not fear. Fear is the mind-killer. Fear is the little-death that brings total obliteration. I will face my fear. I will permit it to pass over me and through me. And when it has gone past I will turn the inner eye to see its path. Where the fear has gone there will be nothing. Only I will remain." – Dune (1965)

 

Portlandia is a 1985 copper repoussé statue by sculptor Raymond Kaskey.

 

National Register of Historic Places reference No.: 11000770

 

See also: IMG_1779 Portlandia

Petite oie à petit bec et tête ronde. La race pure a la base du bec bleu et le bec n'a pas le rictus ( sourire ) de l' oie blanche.

Petit bouchon flottant parmi ces grandes cousines, les Grandes oies blanches. Elle se confond dans le groupe, c'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle est difficile à trouver, bien qu' elle n'est pas vraiment acceptée, on la repousse souvent.

 

Little goose with little beak and round head. The purebred has the base of the blue beak and the beak does not have the smirk (smile) of the white goose.

Small floating plug among these big cousins, the Great white geese. It is confused in the group, it is also for this reason that it is difficult to find, although it is not really accepted, it is often rejected

 

Cliquez pour agrandir \ Click for a closer view

Ebonized ochovado base will be covered in Silver Repousse.

The Portland Building (1982)

 

National Register of Historic Places reference No.: 11000770

 

See also: IMG_4570 A Portlandia Autumn II

Dans l’abside du chœur, autel majeur Louis XIV en bois peint, dessiné par C. Van Nerven au XVIIIe siècle; de part et d’autre du retable, peint par S.J. Van Helmont au début du XVIIIe siècle et figurant la Cananéenne, portique à colonnes corinthiennes et entablement surmonté de deux vases ornés de guirlandes ; au-dessus, baldaquin lambrequiné et manteau royal immense. Précédant l’autel, stalles en chêne du premier quart du XVIIIe siècle, dont les sculptures, dues à J.-B. van der Haeghen et J. Bergé, racontent la légende de saint Nicolas. Fermant le chœur, grille Louis XV en fer forgé et repoussé, avec dorures, provenant de l’abbaye norbertine de Ninove et acquise en 1806.

 

In the choir apse, Louis XIV major altar in painted wood, designed by C. Van Nerven in the 18th century; on either side of the altarpiece, painted by S.J. Van Helmont at the beginning of the 18th century and depicting the Canaanite woman, portico with Corinthian columns and entablature surmounted by two vases decorated with garlands; above, lambrequined canopy and immense royal mantle. Preceding the altar, oak stalls from the first quarter of the 18th century, whose sculptures, due to J.-B. van der Haeghen and J. Bergé, tell the legend of Saint Nicholas. Closing the choir, Louis XV gate in wrought and embossed iron, with gilding, coming from the Norbertine abbey of Ninove and acquired in 1806.

Du col de Roccapina, sur la route nationale 196 qui longe le littoral entre Bonifacio et Sartène (Corse du Sud), se détache la saisissante silhouette d’un lion couché et couronné, qui semble surveiller la Méditerranée. La légende raconte qu’il s’agissait d’un puissant seigneur si craint de ses ennemis sarrasins qu’ils le surnommèrent le "lion", et qui, repoussé par une bergère dont il était épris, invoqua la Mort, qui le pétrifia… sous l'apparence d'un lion. D'où la citation : "Ton coeur est de pierre, lion de pierre tu seras !"

Roccapina est également un lieu chargé d’histoire. La côte majestueuse symbolisant l’extrême sud de la Corse est également le lieu de fréquentes tempêtes où les bateaux se retrouvent souvent en difficulté. Dans la nuit du 16 au 17 avril 1887, sous l'œil du lion, le Tasmania (paquebot à vapeur anglais) ayant quitté Bombay deux semaines plus tôt pour se rendre à Londres, alla s’éventrer sur le Rocher des Moines. Le navire avait en sa possession de nombreux présents d'une valeur inestimable dont de l'or, de l'ivoire, et de la joaillerie, trésors du maharajah de Jodhpur, cadeaux destinés à la reine britannique Victoria, devant célébrer son jubilé. Une tout autre légende raconterait qu'une partie de ce trésor aurait ensuite été retrouvée par un bandit, puis caché dans une grotte, dans le vaste maquis de Roccapina. Mais la plus grande partie du butin serait encore dispersée dans l'immensité de la mer Méditerranée…

 

The lion of Roccapina: halfway between Sartène and Bonifacio, between Legend and History

From the Col de Roccapina, on the national road 196 that runs along the coast between Bonifacio and Sartène (South Corsica), stands out the striking silhouette of a reclining and crowned lion, which seems to be watching the Mediterranean. Legend has it that he was a powerful lord so afraid of his Saracen enemies that they nicknamed him the "lion," and who, repulsed by a shepherdess he was in love with, invoked Death, which petrified him. in the guise of a lion. Hence the quote: "Your heart is of stone, you will be a stone lion!"

Roccapina is also a place steeped in history. The majestic coastline symbolizing the extreme south of Corsica is also the site of frequent storms where boats often find themselves in trouble. On the night of April 16-17, 1887, under the lion’s eye, the Tasmania (English steamer) having left Bombay two weeks earlier to go to London, went to tear itself apart on the Rock of the Monks. The ship had in its possession many gifts of inestimable value, including gold, ivory, and jewelry, treasures of the Maharajah of Jodhpur, gifts to the British Queen Victoria, to celebrate her jubilee. A very different legend would say that part of this treasure was later found by a bandit and then hidden in a cave in the vast maquis of Roccapina. But most of the loot would still be scattered in the vastness of the Mediterranean Sea…

   

Découverte à Rome près des thermes de Dioclétien en 1608, cette statue compte parmi les chefs-d'œuvre les plus admirés de la collection Borghèse aux XVIIe et XVIIIe siècles.

Cette œuvre est une copie romaine qui s'inspire probablement d'un original grec du IIe siècle av. J.-C.

En 1619, le cardinal Scipion Borghèse confie au sculpteur baroque italien Le Bernin l'exécution du matelas sur lequel repose désormais le marbre antique.

Le sujet n'a rien de scabreux mais intrigue toujours autant le spectateur. Hermaphrodite, le fils d'Hermès et d'Aphrodite, avait repoussé les avances de la nymphe Salmacis. Ne pouvant se résoudre à ce rejet, celle-ci obtient de Zeus que leurs deux corps soient unis pour toujours, d'où leur étrange mariage en un être bisexué, doté d'un sexe d'homme et des formes voluptueuses d'une femme.

 

Discovered in Rome near the Baths of Diocletian in 1608, this statue was one of the most admired masterpieces in the Borghese collection in the 17th and 18th centuries.

The work is a Roman copy, probably based on a Greek original from the 2nd century BC.

In 1619, Cardinal Scipio Borghese commissioned the Italian Baroque sculptor Bernini to create the mattress on which the ancient marble now rests.

The subject is not at all scabrous, but still intrigues the viewer. Hermaphrodite, the son of Hermes and Aphrodite, had rejected the advances of the nymph Salmacis. Unable to accept this rejection, she obtained from Zeus that their two bodies be united forever, hence their strange marriage into a bisexual being with the sex of a man and the voluptuous forms of a woman.

 

Sweden

(Tetrao urogallus)

 

The Western Capercaillie lives in coniferous or mixed forests with deciduous trees, in the mountains of southern and eastern Europe (Alps, Pyrenees), and in the plains of northern Europe and the Urals. The male performs his courtship rituals in a clearing where he is widely visible ("singing place"). This Capercaillie makes noises with its beak and raises it vertically, while it spreads its tail as wide as possible. It sometimes pushes away an invisible opponent by a sudden flight up to 1 m high and then lands. He did not attract any female during my observation, contrary to the male located at about 15 meters which seduced 3 females that he defended against a third male.

 

Le grand tétras vit dans des forêts de conifères ou mixtes avec feuillus, en montagne dans l'Europe du sud et de l'est (Alpes, Pyrénées), et en plaine dans l'Europe du nord et l'Oural. Le mâle effectue ses parades nuptiales dans une clairière où il est largement visible ("place de chant"). Ce tétras émet des bruits avec son bec tout en le relevant à la verticale, pendant qu'il déploie le plus largement possible sa queue. Il repousse parfois un adversaire invisible par un envol soudain jusqu'à 1 m de haut puis il se pose. Il n'a pas attiré de femelle pendant mon observation, contrairement au mâle situé à une quinzaine de mètres qui lui a séduit 3 femelles qu'il a défendues contre un troisième mâle.

Just repousse table-napkin :)

Captured by Canon A630, Apr 2015

🇫🇷 Le cœur des calanques est le symbole de toute la région de Piana. Les anciennes roches volcaniques des calanques de Piana, érodées par le vent prennent des formes incroyables. La pluie ,le vent ont parfaitement taillé un cœur dans les roches rouges des calanques de Piana. On le voyait bien sur le cliché mis en ligne flic.kr/p/2ohqJDr.

On retrouve ces mêmes roches…mais la vue de la forme du cœur est modifiée depuis notre bateau.

Selon une légende Corse c’est Satan qui est responsable de la formation des calanques de Piana.

Un jour qu’il se promenait sur les rives du golfe de Porto, il tomba follement amoureux d’une jeune bergère. Il voulut alors s’approcher pour lui déclarer ses sentiments mais à son approche la bergère fuit pour se réfugier dans les bras de son mari, protégé par leur chien.

Fou de rage de se voir ainsi repoussé, Satan décide de figer le couple de berger à jamais dans la roche des calanques de Piana. Les deux statues de pierre du berger et de la bergère forment aujourd’hui le “cœur des amants pétrifiés”

 

🇬🇧 The of the creeks is the symbol of the entire Piana region. The ancient volcanic rocks of the Calanques de Piana, eroded by the wind, take on incredible shapes. The rain and the wind have perfectly carved a heart in the red rocks of the creeks of Piana. We could see it clearly on the snapshot posted

flic.kr/p/2ohqJDr .

We find these same rocks…but the shape of the is modified from our boat.

According to a Corsican legend it is Satan who is responsible for the formation of the of the creeks of Piana.

One day while walking along the shores of the Gulf of Porto, he fell madly in love with a young shepherdess. He then wanted to approach her to declare his feelings to her, but as he approached the shepherdess fled to take refuge in the arms of her husband, protected by their dog.

Mad with rage to see himself pushed back in this way, Satan decides to freeze the shepherd couple forever in the rock of the creeks of Piana. The two stone statues of the shepherd and the shepherdess today form the “heart of the petrified lovers”

 

🇩🇪 Das der Buchten ist das Symbol der gesamten Region Piana. Die vom Wind erodierten alten Vulkanfelsen der Calanques de Piana nehmen unglaubliche Formen an. Der Regen und der Wind haben perfekt ein Herz in die roten Felsen der Buchten von Piana gemeißelt. Wir konnten es deutlich auf dem Schnappschuss sehen, der

flic.kr/p/2ohqJDr.

Wir finden dieselben Felsen … aber die Form des ist von unserem Boot modifiziert.

Einer korsischen Legende nach ist Satan für die Bildung des der Bäche von Piana verantwortlich.

Eines Tages, als er am Ufer des Golfs von Porto spazieren ging, verliebte er sich unsterblich in eine junge Hirtin. Dann wollte er sich ihr nähern, um ihr seine Gefühle zu erklären, aber als er sich näherte, floh die Schäferin, um sich in die Arme ihres Mannes zu flüchten, beschützt von ihrem Hund.

Wütend vor Wut, sich auf diese Weise zurückgedrängt zu sehen, beschließt Satan, das Hirtenpaar für immer in den Felsen der Bäche von Piana einzufrieren. Die beiden Steinstatuen des Hirten und der Hirtin bilden heute das „Herz der versteinerten Liebenden“

 

🇮🇹 La dei torrenti è il simbolo di tutta la Piana. Le antiche rocce vulcaniche dei Calanchi di Piana, erose dal vento, assumono forme incredibili. La pioggia e il vento hanno scolpito alla perfezione un cuore nelle rocce rosse delle insenature di Piana. Lo abbiamo visto chiaramente nell'istantanea postata flic.kr/p/2ohqJDr.

Troviamo queste stesse rocce... ma la forma della è modificata dalla nostra barca.

Secondo una leggenda corsa è Satana il responsabile della formazione della delle insenature di Piana.

Un giorno, mentre passeggiava lungo le rive del Golfo di Porto, si innamorò perdutamente di una giovane pastorella. Egli allora volle avvicinarsi a lei per dichiararle i suoi sentimenti, ma mentre si avvicinava la pastorella fuggì per rifugiarsi tra le braccia del marito, protetta dal loro cane.

Folle di rabbia nel vedersi così respinto, Satana decide di congelare per sempre la coppia di pastori nella roccia dei torrenti di Piana. Le due statue in pietra del pastore e della pastorella costituiscono oggi il “cuore degli amanti pietrificati”

 

🇪🇸 La de los arroyos es el símbolo de toda la región de Piana. Las antiguas rocas volcánicas de las Calanques de Piana, erosionadas por el viento, adquieren formas increíbles. La lluvia y el viento han tallado perfectamente un corazón en las rocas rojas de los arroyos de Piana. Pudimos verlo claramente en la instantánea publicada flic.kr/p/2ohqJDr.

Encontramos estas mismas rocas… pero la forma de la está modificada desde nuestro bote.

Según una leyenda corsa, es Satanás el responsable de la formación de la de los arroyos de Piana.

Un día, mientras paseaba por las orillas del golfo de Oporto, se enamoró perdidamente de una joven pastora. Entonces quiso acercarse a ella para declararle sus sentimientos, pero al acercarse la pastora huyó para refugiarse en los brazos de su marido, protegida por su perro.

Loco de rabia al verse empujado hacia atrás de esta manera, Satanás decide congelar para siempre a la pareja de pastores en la roca de los arroyos de Piana. Las dos estatuas de piedra del pastor y la pastora forman hoy el “corazón de los amantes petrificados”

Nuestra Señora de la Paloma / Our Lady of the Dove

Mexican

19th Century

H: 45.65 cm

 

The Virgin,dressed in a metallic thread robes, stands on a gold gilded orb supported by a silvered metalwork cloud base with silver horned of crescent moon intact. The whole ensemble stands on a rectangular wooden plinth base with a silver repousse facing.

 

MOST INTERESTING FEATURE: May have been an image of the Virgin and Child but the image of the child Jesus may have been lost over time. The silver nimbus with the image of the Holy Spirit is probably a replacement.

 

Provenance: Ex-collection John Noble.

Après une mise en service prévue pour le changement d'horaire 2013 - 2014, puis repoussée pour le changement de 2017 -2018, c'est une nouvelle année d'attente pour les nouvelles rames Bombardier, devant remplacer les IC sur l'axe Genève-aéroport - St-Gall. En effet suite a divers problèmes de conception au niveau de l’accès des personnes à mobilité réduite, ces dernières "devraient" remplacer les IC2000 à partir de fin 2018. Affaire à suivre. Ici la rame 207 sur une marche d'essai Lausanne - Romont.

Sweden

(Tetrao urogallus)

 

The Western Capercaillie lives in coniferous or mixed forests with deciduous trees, in the mountains of southern and eastern Europe (Alps, Pyrenees), and in the plains of northern Europe and the Urals. The male performs his courtship rituals in a clearing where he is widely visible ("singing place"). This Capercaillie makes noises with its beak and raises it vertically, while it spreads its tail as wide as possible. It sometimes pushes away an invisible opponent by a sudden flight up to 1 m high and then lands. He did not attract any female during my observation, contrary to the male located at about 15 meters which seduced 3 females that he defended against a third male.

 

Le grand tétras vit dans des forêts de conifères ou mixtes avec feuillus, en montagne dans l'Europe du sud et de l'est (Alpes, Pyrénées), et en plaine dans l'Europe du nord et l'Oural. Le mâle effectue ses parades nuptiales dans une clairière où il est largement visible ("place de chant"). Ce tétras émet des bruits avec son bec tout en le relevant à la verticale, pendant qu'il déploie le plus largement possible sa queue. Il repousse parfois un adversaire invisible par un envol soudain jusqu'à 1 m de haut puis il se pose. Il n'a pas attiré de femelle pendant mon observation, contrairement au mâle situé à une quinzaine de mètres qui lui a séduit 3 femelles qu'il a défendues contre un troisième mâle.

Sweden

(Tetrao urogallus)

 

The Western Capercaillie male performs his courtship rituals in a clearing where it is widely visible ("singing place" or lek). This Capercaillie makes noises with its beak and raises it vertically, while it spreads its tail as wide as possible. It sometimes pushes away an invisible opponent by a sudden flight up to 1 m high and then lands (photo).

 

Le grand tétras mâle effectue ses parades nuptiales dans une clairière où il est largement visible ("place de chant" ou lek). Ce tétras émet des bruits avec son bec tout en le relevant à la verticale, pendant qu'il déploie le plus largement possible sa queue. Il repousse parfois un adversaire invisible par un envol soudain jusqu'à 1 m de haut puis il se pose (photo).

... Bien coincée dans la glace de la rivière, cette souche qui semble morte est en train de donner naissance à une repousse ... qui reprendra le flambeau de la vie... Ainsi se perpétue la nature ...

*Photo prise sur la Rivière Gatineau à Farm Point ...

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" Good Stump " ... Strongly stuck in the ice of the river, this root which seems dead is giving life to a new tree… which will take again the relay of life… Thats the way nature keeps on going ...

*Photo taken on Gatineau River at Farm Point...

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Vientiane (Laos) - En 1991, j’avais apprécié photographier les pêcheurs sur les rives du Mékong à Vientiane. En 2015, le plaisir était intact.

L’urbanisation galopante de Vientiane avait cependant repoussé la plupart des pêcheurs à pied, plus à l’ouest. Au bout de 5 ou 6 kilomètres, j'ai retrouvé mes pêcheurs. Essentiellement des femmes, malgré la force physique nécessaire pour remonter les filets.

Si les tenues vestimentaires sont désormais occidentalisées, la technique de pêche reste la même.

J'ai passé une bonne heure avec ces femmes en fin de journée et pendant ce laps de temps, elles n'ont capturé que de microscopiques poissons.

  

Fishing nets on the banks of the Mekong

 

Vientiane (Laos) - In 1991, I enjoyed photographing fishermen on the banks of the Mekong in Vientiane. In 2015, the fun was intact.

The galloping urbanization of Vientiane had, however, pushed back most of the fishermen on foot further west. After 5 or 6 kilometers, I found my fishermen. Mostly women, despite the physical strength required to haul the nets.

If the clothing is now westernized, the fishing technique remains the same.

I spent a good hour with these women at the end of the day and during that time, they only caught microscopic fish.

   

Ces barques peintes de rouge, de jaune et de bleu ont un élément en commun : l'œil d'Osiris. Les pêcheurs locaux croient que cet élément égyptien, aussi appelé Horus, les protège des intempestifs de la mer et repousse également la malchance. L'œil d'Osiris est devenu un symbole de Malte et, surtout, de Marsaxlokk

 

These boats painted red, yellow, and blue have one thing in common: the Eye of Osiris. Local fishermen believe that this Egyptian symbol, also known as Horus, protects them from the elements at sea and wards off bad luck. The Eye of Osiris has become a symbol of Malta and, above all, of Marsaxlokk.

La basilique Notre-Dame de Fourvière, un trésor d’humanité et le symbole fort de l’attachement de toute une ville à la Vierge Marie.

 

Une basilique emblématique.

La basilique Notre-Dame de Fourvière, de style Néo-Byzantin, est l’œuvre des architectes Pierre Bossan et Louis Sainte-Marie Perrin. Elle est édifiée à partir d’une souscription publique en 1870 et consacrée en 1896.

Du haut de “la colline qui prie”, la basilique dédiée à la Vierge Marie est classée monument historique. Elle fait partie du site lyonnais inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO. Aujourd’hui, emblème de la ville de Lyon, la basilique accueille chaque année plus de 2,5 millions de pèlerins et visiteurs.

Avant la basilique : La Chapelle Saint-Thomas, un édifice médiéval.

En 1168, sur les ruines du forum romain, une chapelle est construite à Fourvière par Olivier de Chavannes, un chanoine de Saint-Jean. La petite chapelle, édifiée « apud forum Venerisnote.", est dédiée tout d'abord à saint Thomas puis à la Vierge. Elle est richement dotée, et confiée au chapitre de Saint-Jean qui la dessert. L'archevêque Jean Belles-mains la dote en 1192 d'un chapitre propre, comptant quatre chanoines. Cette générosité lui permet également d'avoir les mains libres pour le chantier de la primatiale.

Au xviie siècle, Lyon est frappée plusieurs fois par des épidémies de peste, notamment en 1628 (la plus dévastatrice), 1631, 1637, 1639 et 1642. Face à ce fléau, les échevins du consulat font appel à la Vierge, probablement à l'inspiration du prévôt des marchands Alexandre de Mascrany. Le 5 avril 1642, un vœu est décidé : une procession à Notre-Dame aura lieu deux jours plus tard vers Fourvière, afin d'implorer la délivrance de la peste. Ce pèlerinage ayant eu lieu, il est choisi de le perpétuer annuellement. Le 12 mars 1643, un vote de la même assemblée voue la ville entière à Marie, et entérine un pèlerinage annuel, placé le 8 septembre, jour de la Nativité de Marie.

La statue de Marie :

Au milieu du xixe siècle, l'église de Fourvière menace de tomber en ruine. Des constatations faites par André Flachéron révèlent en particulier l'état de vétusté du vieux clocher. Le remplacement de cet édifice est confié à l'architecte diocésain Alphonse-Constance Duboys, et commence au mois d'août 1849. Ce clocher à base carrée conserve un premier étage médiéval, surmonté de deux étages datant de 1849 ; le troisième étage est de plan octogonal, et se termine par une coupole.

 

Sur cette dernière est placée en 1852 une statue de la Vierge réalisée par Joseph-Hugues Fabisch, dont la construction a été autorisée en 1851 par le cardinal de Bonald. C’est une statue de 5,60 mètres et de plus de 3 tonnes, située à plus de 300 mètres de hauteur au-dessus de la ville de Lyon. Ses mensurations sont volontairement disproportionnées (mains et visage trop grands par rapport à son corps), afin d'apparaître idéalement lorsqu’on la regarde d’en bas.

 

L'inauguration, en souvenir du vœu des échevins, est prévue pour le 8 septembre 1852, mais les intempéries frappant le nord-est de la France provoquent une inondation de la Saône et un retard de la livraison de la statue. La fête est repoussée au 8 décembre, date (alors non officiellement approuvée) de la fête de l'Immaculée Conception, dogme qui sera proclamé deux ans plus tard par Pie IX. À cause du mauvais temps de début décembre, un report au 12 du mois est envisagé ; mais le ciel se dégage au cours de l'après-midi du 8. En signe de piété, les Lyonnais allument des lumignons et les posent sur les appuis de fenêtre : c'est la naissance de la Fête des Lumières.

La place Royale est un ensemble fabuleux qui nous transporte en Nouvelle-France. Ce site avait été choisi par Samuel de Champlain pour fonder, en 1608, un établissement français permanent qui de poste de traite deviendra la ville que l’on connaît. Les maisons de pierres calcaires provenant des environs de Québec sont une des caractéristiques les plus typiques de la place.

 

La place est dominée par l’église de pierre Notre-Dame-des-Victoires datant de 1688, dédiée à Sainte Geneviève et reconstruite en 1763 après le siège de Québec. Pour un peu, on croirait voir, dans l’église, des dames de la colonie agenouillées devant la statue de la Vierge. Elles avaient promis d’y venir en pèlerinage si le gouverneur Frontenac libérait Québec des Anglais. Le 16 octobre 1690, leur vœu se réalisa. Après trois jours de siège, la flotte anglaise était repoussée. Fallait-il remercier la Vierge? Ou plutôt Frontenac, qui avait menacé l’amiral Phipps de lui répondre par la bouche de ses canons?

 

Fondée au 17e siècle, Québec demeure la seule ville d'Amérique du Nord à avoir conservé ses remparts qui regroupent de nombreux bastions, portes et ouvrages défensifs ceinturant toujours le Vieux-Québec. Celui-ci a été classé au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1985 (WHL-300).

Hungary

(Upupa epops)

 

In Europe, the hoopoe migrates to Africa in winter and is only visible in summer. In the photo, the hoopoe has its erectile crest fully extended. The parent is feeding young birds that are not yet flying. The nest is just to the right of the parent's head. Sometimes the beaks of the young appear in the middle of the red vegetation around the nest, but the parent systematically pushes the young back inside (too early to fly).

 

En Europe, la huppe fasciée migre en Afrique pendant l'hiver et elle n'est visible qu'en été. Elle possède une huppe érectile complètement déployée sur la photo. Le parent est en train de nourrir des jeunes qui ne volent pas encore. Le nid est situé juste à droite à hauteur de la tête du parent. Parfois le bec des jeunes apparaît au milieu de la végétation rouge autour du nid, mais le parent repousse systématiquement les jeunes à l'intérieur (trop tôt pour voler).

« Aller au chalet » signifie travailler à l’alpage de fin mai à début octobre. La montée se fait par étapes en fonction de l’avancement de la végétation, et la descente aussi, pour brouter l’herbe qui a repoussé. Groupées en villages ou dispersées dans les prés, les belles maisons impressionnées les premiers touristes dès la fin du XVIIIe siècle. Comme habitat pavillonnaire ou comme lieux de loisirs, les constructions en bois prolifèrent dès lors autour des villes et au bord des lacs.

"Going to the cottage" means working on the pasture from the end of May to the beginning of October. The climb is done in stages according to the progress of the vegetation, and the descent too, to graze the grass that has grown back. Grouped into villages or scattered in the meadows, the beautiful houses impressed the first tourists from the late eighteenth century. As a suburban habitat or as places of leisure, wooden constructions proliferate around cities and lakes.

"Ir a la cabaña" significa trabajar en el pasto desde finales de mayo hasta principios de octubre. El ascenso se realiza en etapas según el progreso de la vegetación, y el descenso también, para pastar la hierba que ha vuelto a crecer. Agrupados en pueblos o dispersos en los prados, las hermosas casas impresionaron a los primeros turistas de finales del siglo XVIII. Como hábitat suburbano o como lugares de ocio, las construcciones de madera proliferan alrededor de ciudades y lagos.

 

La queue du lézard repousse mais ce n'est pas la même queue . La reconstruction partie de l'endroit où s'est produit la section mais pas à l'identique.

Un regard jeté par la fenêtre du monde, lorsque s'entrouve le voile ajusté entre soi et le dehors, un voile si léger mais tissé d'illusions, parsemés de paillettes.

Juste l'écarter, pour un moment bref ou pour toujours ?

Le lac apparait en contre-jour, tel un gouffre d'espérances, sans fond, là où gisent les amours interdites, les amours innachevées et les promesses chuchotées un soir d'ivresse, et dont on oublie la substance tellement tout s'est noyé au fond du lac.

Que faire ? remettre le voile en place, vite afin de cacher le lac, ou bien ouvrir tout en grand et regarder jusqu'au vertige.

Les vestiges ne font pas de bulles à la surface, il faut aller les chercher, plonger, se mouiller, le temps est-il frais ou pas ?

Se déshabiller et avoir froid ?.

J'ai repoussé le rideau, étrangement encore une fois, attendrais-je la belle saison pour aller me baigner ?

 

©Elsa Aumiroir 28 avril 2024

 

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A glance thrown through the window of the world, when the veil drawn between oneself and the outside world is slightly parted, a veil so light yet woven with illusions, sprinkled with glitters.

Just push it aside, for a brief moment or forever?

The lake appears in backlight, like an abyss of hopes, bottomless, where forbidden loves lie, unfinished loves and promises whispered on a drunken night, and whose substance we forget as everything has drowned deep in the lake.

What to do? Put the veil back in place quickly to hide the lake, or open it wide and look until dizzy.

The remnants don't make bubbles on the surface, you have to go fetch them, dive in, get wet, is the weather cool or not?

Undress and feel cold?

I pushed the curtain aside, strangely once again, will I wait for the fair season to go for a swim?

©Elsa au miroir 28 april 2024

 

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Evgeny Grinko - Once Upon aTime

La basilique Notre-Dame de Fourvière, un trésor d’humanité et le symbole fort de l’attachement de toute une ville à la Vierge Marie.

 

Une basilique emblématique.

La basilique Notre-Dame de Fourvière, de style Néo-Byzantin, est l’œuvre des architectes Pierre Bossan et Louis Sainte-Marie Perrin. Elle est édifiée à partir d’une souscription publique en 1870 et consacrée en 1896.

Du haut de “la colline qui prie”, la basilique dédiée à la Vierge Marie est classée monument historique. Elle fait partie du site lyonnais inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO. Aujourd’hui, emblème de la ville de Lyon, la basilique accueille chaque année plus de 2,5 millions de pèlerins et visiteurs.

Avant la basilique : La Chapelle Saint-Thomas, un édifice médiéval.

En 1168, sur les ruines du forum romain, une chapelle est construite à Fourvière par Olivier de Chavannes, un chanoine de Saint-Jean. La petite chapelle, édifiée « apud forum Venerisnote.", est dédiée tout d'abord à saint Thomas puis à la Vierge. Elle est richement dotée, et confiée au chapitre de Saint-Jean qui la dessert. L'archevêque Jean Belles-mains la dote en 1192 d'un chapitre propre, comptant quatre chanoines. Cette générosité lui permet également d'avoir les mains libres pour le chantier de la primatiale.

Au xviie siècle, Lyon est frappée plusieurs fois par des épidémies de peste, notamment en 1628 (la plus dévastatrice), 1631, 1637, 1639 et 1642. Face à ce fléau, les échevins du consulat font appel à la Vierge, probablement à l'inspiration du prévôt des marchands Alexandre de Mascrany. Le 5 avril 1642, un vœu est décidé : une procession à Notre-Dame aura lieu deux jours plus tard vers Fourvière, afin d'implorer la délivrance de la peste. Ce pèlerinage ayant eu lieu, il est choisi de le perpétuer annuellement. Le 12 mars 1643, un vote de la même assemblée voue la ville entière à Marie, et entérine un pèlerinage annuel, placé le 8 septembre, jour de la Nativité de Marie.

La statue de Marie :

Au milieu du xixe siècle, l'église de Fourvière menace de tomber en ruine. Des constatations faites par André Flachéron révèlent en particulier l'état de vétusté du vieux clocher. Le remplacement de cet édifice est confié à l'architecte diocésain Alphonse-Constance Duboys, et commence au mois d'août 1849. Ce clocher à base carrée conserve un premier étage médiéval, surmonté de deux étages datant de 1849 ; le troisième étage est de plan octogonal, et se termine par une coupole.

 

Sur cette dernière est placée en 1852 une statue de la Vierge réalisée par Joseph-Hugues Fabisch, dont la construction a été autorisée en 1851 par le cardinal de Bonald. C’est une statue de 5,60 mètres et de plus de 3 tonnes, située à plus de 300 mètres de hauteur au-dessus de la ville de Lyon. Ses mensurations sont volontairement disproportionnées (mains et visage trop grands par rapport à son corps), afin d'apparaître idéalement lorsqu’on la regarde d’en bas.

 

L'inauguration, en souvenir du vœu des échevins, est prévue pour le 8 septembre 1852, mais les intempéries frappant le nord-est de la France provoquent une inondation de la Saône et un retard de la livraison de la statue. La fête est repoussée au 8 décembre, date (alors non officiellement approuvée) de la fête de l'Immaculée Conception, dogme qui sera proclamé deux ans plus tard par Pie IX. À cause du mauvais temps de début décembre, un report au 12 du mois est envisagé ; mais le ciel se dégage au cours de l'après-midi du 8. En signe de piété, les Lyonnais allument des lumignons et les posent sur les appuis de fenêtre : c'est la naissance de la Fête des Lumières.

 Genève, on fête la débâcle des attaquants savoyards (français), repoussés rudement lors de leur tentative d'invasion en 1602. La marmite en chocolat, remplie de petits légumes en massepain aujourd'hui, est le symbole de cette défense.

En effet, les savoyards sont entrés de nuit dans la ville, mais une brave femme, la Mère Royaume de son vrai nom, les a entendus et elle a donné l'alerte en criant au secours et jetant le contenu de sa marmite pleine de soupe bouillante aux légumes (des vrais bien certainement) sur les envahisseurs. S'est ensuivi une courte bataille et la fuite définitive des assaillants. Ils ne sont plus jamais revenus...

 

In Geneva, we celebrate the debacle of the Savoyard (French) attackers, brutally repulsed during their attempted invasion in 1602. The chocolate pot, filled with small marzipan vegetables today, is the symbol of this defense.

Indeed, the Savoyards entered the city at night, but a brave woman, the Mère Royaume (Mother Kingdom) of her real name, heard them and she sounded the alarm by crying for help and throwing the contents of her pot full of boiling vegetables soup on the invaders.

A short battle ensued and the attackers flee definitively. They never came back.

 

La basilique Notre-Dame de Fourvière, un trésor d’humanité et le symbole fort de l’attachement de toute une ville à la Vierge Marie.

 

Une basilique emblématique.

La basilique Notre-Dame de Fourvière, de style Néo-Byzantin, est l’œuvre des architectes Pierre Bossan et Louis Sainte-Marie Perrin. Elle est édifiée à partir d’une souscription publique en 1870 et consacrée en 1896.

Du haut de “la colline qui prie”, la basilique dédiée à la Vierge Marie est classée monument historique. Elle fait partie du site lyonnais inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO. Aujourd’hui, emblème de la ville de Lyon, la basilique accueille chaque année plus de 2,5 millions de pèlerins et visiteurs.

Avant la basilique : La Chapelle Saint-Thomas, un édifice médiéval.

En 1168, sur les ruines du forum romain, une chapelle est construite à Fourvière par Olivier de Chavannes, un chanoine de Saint-Jean. La petite chapelle, édifiée « apud forum Venerisnote.", est dédiée tout d'abord à saint Thomas puis à la Vierge. Elle est richement dotée, et confiée au chapitre de Saint-Jean qui la dessert. L'archevêque Jean Belles-mains la dote en 1192 d'un chapitre propre, comptant quatre chanoines. Cette générosité lui permet également d'avoir les mains libres pour le chantier de la primatiale.

Au xviie siècle, Lyon est frappée plusieurs fois par des épidémies de peste, notamment en 1628 (la plus dévastatrice), 1631, 1637, 1639 et 1642. Face à ce fléau, les échevins du consulat font appel à la Vierge, probablement à l'inspiration du prévôt des marchands Alexandre de Mascrany. Le 5 avril 1642, un vœu est décidé : une procession à Notre-Dame aura lieu deux jours plus tard vers Fourvière, afin d'implorer la délivrance de la peste. Ce pèlerinage ayant eu lieu, il est choisi de le perpétuer annuellement. Le 12 mars 1643, un vote de la même assemblée voue la ville entière à Marie, et entérine un pèlerinage annuel, placé le 8 septembre, jour de la Nativité de Marie.

La statue de Marie :

Au milieu du xixe siècle, l'église de Fourvière menace de tomber en ruine. Des constatations faites par André Flachéron révèlent en particulier l'état de vétusté du vieux clocher. Le remplacement de cet édifice est confié à l'architecte diocésain Alphonse-Constance Duboys, et commence au mois d'août 1849. Ce clocher à base carrée conserve un premier étage médiéval, surmonté de deux étages datant de 1849 ; le troisième étage est de plan octogonal, et se termine par une coupole.

 

Sur cette dernière est placée en 1852 une statue de la Vierge réalisée par Joseph-Hugues Fabisch, dont la construction a été autorisée en 1851 par le cardinal de Bonald. C’est une statue de 5,60 mètres et de plus de 3 tonnes, située à plus de 300 mètres de hauteur au-dessus de la ville de Lyon. Ses mensurations sont volontairement disproportionnées (mains et visage trop grands par rapport à son corps), afin d'apparaître idéalement lorsqu’on la regarde d’en bas.

 

L'inauguration, en souvenir du vœu des échevins, est prévue pour le 8 septembre 1852, mais les intempéries frappant le nord-est de la France provoquent une inondation de la Saône et un retard de la livraison de la statue. La fête est repoussée au 8 décembre, date (alors non officiellement approuvée) de la fête de l'Immaculée Conception, dogme qui sera proclamé deux ans plus tard par Pie IX. À cause du mauvais temps de début décembre, un report au 12 du mois est envisagé ; mais le ciel se dégage au cours de l'après-midi du 8. En signe de piété, les Lyonnais allument des lumignons et les posent sur les appuis de fenêtre : c'est la naissance de la Fête des Lumières.

"La tactique de la terre brûlée..."

 

Gilbert ZOONEKYND déborde, et rien ne repousse... (DUNKERQUE - GUINGAMP, 18 novembre 1978)

 

"I like how you split the image --adds tension !" // "J'aime la façon dont tu as divisé l'image. Cela ajoute de la tension !" (1WITHONE / www.flickr.com/photos/38256859@N00/)

 

"Epic !" // "Epique !" (VINCENT / www.flickr.com/photos/58769600@N07/)

Je vous demande de pardonner mon grand retard dans les commentaires !

Mais Isa devait hier être opérée ...

Seulement tout n'étant pas au top pour cette intervention , celle-ci a été repoussée au mercredi de la semaine prochaine !!!

"...la main qui surgit de la feuille dessine la main en train de la dessiner. Cette lithographie représente un paradoxe avec une double autoréférence. En fait, les mains qui se dessinent sont le dessin d'un dessin, ce que les quatre épingles placées dans les coins indiquent clairement."

 

La lithographie est une technique d'impression d'images à la fois physique et chimique.

Le procédé repose sur l'emploi d'une matrice, d'un certain type de pierre, convenablement polie, sur laquelle le dessin est effectué avec une encre ou un crayon gras. La pierre a la particularité de retenir une fine pellicule d'eau sur les parties non dessinées, que le tracé gras, en revanche, repousse.

L'encre passée sur la pierre ainsi traitée est repoussée par les parties humidifiées et retenue par les parties grasses. La feuille de papier, passée sous presse, reçoit l'encre qui se dépose sur les parties dessinées, mais pas sur les autres.

La lithographie se prête à la réalisation de tons intermédiaires, selon l'apport plus ou moins important d'encre sur la partie graissée de la matrice.

 

Expo M.C. ESCHER à la Monnaie de Paris

🌌 Le massif de la Meije sous la Voie Lactée 🌌

 

Le Grand pic de la Meije est l'un des sommets des Alpes les plus difficiles à grimper.

D'ailleurs, c'est le dernier sommet majeur des Alpes à avoir été gravi; après 17 essais entre 1870 et 1877. ‍♂

 

Au pied du Grand pic de la Meije, un magnifique glacier facilement visible depuis le col du Lautaret.

 

Dans ce massif, vous pouvez trouver l'une des fleurs les plus surprenantes des Alpes : l'Androsace. 🌸

Cette fleur, venant de l'Himalaya, a été repoussée peu à peu vers le sud de l'Europe avec les périodes de glaciation.

 

Lors de ces dernières, seuls les plus hauts sommets émergeaient et on pense qu'ils ont servi de refuge pour ces fleurs permettant ainsi leur reproduction au cours du temps.

  

La photographie été prise fin septembre. C'est la période idéale pour obtenir la Voie Lactée verticale mais je vous en parle plus lors des stages photo 🌌.

 

Et toi ? As-tu déjà pu admirer ce massif incontournable des Alpes ? 😍

Hammered Copper art panel (repousse) of Doberman dog Ch. Rancho Dobe's Storm. Artwork by Frank J. Kernick of Danbury, CT / Connecticut. Dogstuff

Labouheyre, Landes, France

 

мой дуб

meine Eiche

mon chêne

ჩემი მუხა

my oak

She kneels down,

and from the quietness

of copper

reaches out.

We take that stillness

into ourselves,

and somewhere

deep in the earth

our breath

becomes her city.

If she could speak

this is what

she would say:

Follow that breath.

Home is the journey we make.

This is how the world

knows where we are.

— Ronald Talney, 1985

 

Portlandia is a 1985 copper repoussé statue by sculptor Raymond Kaskey.

 

6th Avenue Garage, Portland, Oregon.

 

National Register of Historic Places reference No.: 11000770

 

See also: Portlandia (early 1990s)

View Large On Black - Click Here

 

The Magnificent and beautiful lady, the Statue of Liberty, Liberty Island, New York City. I was so moved by her stunning beauty and impressed by the absolute perfection of this marvelous representation of liberty. I took this photo of the magnificent Statue of Liberty on my first trip to Liberty Island and New York City in October 2004. She is of utmost beauty and I was totally blown away by her magnifigance.

 

THE STATUE OF LIBERTY

 

Liberty Enlightening the World (French: La liberté éclairant le monde), known more commonly as the Statue of Liberty (Statue de la Liberté), is a large statue that was presented to the United States by France in 1886. It stands at Liberty Island, New York in New York Harbor as a welcome to all visitors, immigrants, and returning Americans. The copper-clad statue, dedicated on October 28, 1886, commemorates the centennial of the United States and is a gesture of friendship from France to America. Frédéric Auguste Bartholdi sculpted the statue, and Alexandre Gustave Eiffel (designer of the Eiffel Tower) engineered the internal structure. Eugène Viollet-le-Duc was responsible for the choice of copper in the statue's construction and adoption of the repoussé technique.

 

The statue is of a female figure standing upright, dressed in a robe and a seven point spiked rays representing a nimbus (halo), holding a stone tablet close to her body in her left hand and a flaming torch high in her right hand. The tablet bears the words "JULY IV MDCCLXXVI" (July 4, 1776), commemorating the date of the United States Declaration of Independence.

 

The statue is made of a sheeting of pure copper, hung on a framework of steel (originally puddled iron) with the exception of the flame of the torch, which is coated in gold leaf. It stands atop a rectangular stonework pedestal with a foundation in the shape of an irregular eleven-pointed star. The statue is 151' 1" (46.5 m) tall, with the pedestal and foundation adding another 154 feet (46.9 m).

 

Worldwide, the Statue of Liberty is one of the most recognizable icons of the United States, and, more generally, represents liberty and escape from oppression. The Statue of Liberty was, from 1886 until the jet age, often one of the first glimpses of the United States for millions of immigrants after ocean voyages from Europe. The Statue of Liberty's obviously classical appearance (Roman stola, sandals, facial expression) derives from Libertas, ancient Rome's goddess of freedom from slavery, oppression, and tyranny. Broken shackles lie at her feet. The seven spikes in the crown represent the Seven Seas and seven continents. Her torch signifies enlightenment. The tablet in her hand shows the date of the nation's birth, July 4, 1776.

 

Since 1903, the statue, also known as "Lady Liberty," has been associated with Emma Lazarus's poem “The New Colossus” and has been a symbol of welcome to arriving immigrants. The interior of the pedestal contains a bronze plaque inscribed with the poem, which reads:

 

“Not like the brazen giant of Greek fame,

With conquering limbs astride from land to land;

Here at our sea-washed, sunset gates shall stand

A mighty woman with a torch, whose flame

Is the imprisoned lightning, and her name

Mother of Exiles. From her beacon-hand

Glows world-wide welcome; her mild eyes command

The air-bridged harbor that twin cities frame.

"Keep ancient lands, your storied pomp!" cries she

With silent lips. "Give me your tired, your poor,

Your huddled masses yearning to breathe free,

The wretched refuse of your teeming shore.

Send these, the homeless, tempest-tost to me,

I lift my lamp beside the golden door!"

  

There are 354 steps inside the statue and its pedestal. There are 25 windows in the crown which comprise the jewels beneath the seven rays of the diadem. The tablet which the Statue holds in her left hand reads, in Roman numerals, "July 4, 1776" the day of America's independence from Britain. The Statue of Liberty was engineered to withstand heavy winds. Winds of 50 miles per hour cause the Statue to sway 3 inches (7.62 cm) and the torch to sway 5 inches (12.7 cm). This allows the Statue to move rather than break in high [wind load] conditions.

 

Source: Wikipedia

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