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My favorite of the ones they have at the MoMA.

Rothko Chapel, Houston

Photographed from home in the Waitakere Ranges, West Auckland, New Zealand, with no retouching or colour manipulation.

A sorry attempt at mimicking one of Rothko's Seagram murals with Kelbv's (Flikr on Flickr) VEXER. The Seagram murals room is definitely one of my favourite things in the Tate Modern. It's much harder than it looks to copy this in VEXER and I could never get the colour right. I will try again later!

 

Original: One, Two.

-- www.tate.org.uk/servlet/CollectionDisplays?roomid=2653

Simmered Beef on Pumpkin and Cabernet Sauvignon.

Remindes me of Mark Rothko

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Rinderfilet in Rotwein 40 Minuten bei 80°C gesotten, auf Kürbispüree mit der stark reduzierten Rotweinsauce (waren mal 0,5l Cabernet Sauvignon)

In The Hague, Gemeente Museum Den Haag

Westward onto Cardigan Bay

We got there early to view the black room without crowds.

There are a lot of rusty objects in the Blists Hill Victorian Village, part of the Ironbridge Gorge museums. This leapt out at me as a couple of rusty panels resting against a wall which could almost just be seen as a Rothko.

Photographed from home in the Waitakere Ranges, West Auckland, New Zealand, with no retouching or colour manipulation.

Huile sur toile, 300 x 442 cm, 1952-1953, Guggenheim museum, Bilbao (Espagne).

 

Mark Rothko, une des figures centrales de l'École de New York, est surtout connu pour la maturité de son langage, qu'on put voir exprimé pour la première fois dans ses peintures de 1949, de grandes compositions formées de zones rectangulaires et vacillantes aux couleurs lumineuses. Rothko refusait catégoriquement que ses œuvres soient interprétées en des termes esthétiques, purement formels, en insistant qu'il n'était pas intéressé par le rapport avec la couleur, la forme ou quoi que ce soit. Il utilisait plutôt des supports abstraits pour exprimer "des émotions humaines élémentaires comme la tragédie, l'extase, le destin funeste, etc." en essayant à tout prix de créer un art d'une intensité écrasante pour un monde séculier. Les spectateurs qui s'effondraient et pleuraient devant ses œuvres expérimentaient, comme le disait l'artiste, "la même expérience religieuse que je ressentais moi-même lorsque je les peignais".

 

Cette œuvre Sans titre du Musée Guggenheim de Bilbao fut placée dans un endroit bien en vue lors d'une exposition célébrée en 1954 à l'Art Institute de Chicago, la première exposition individuelle de l'œuvre mûre de Rothko dans un musée américain de prestige. L'exposition consistait en huit peintures soigneusement réparties dans une galerie relativement compacte et basse de plafond. Sans titre, qui pendait librement du plafond près de l'entrée, dominait l'espace et accueillait les visiteurs de front, sans possibilité de se réfugier dans la distance. Le format était un aspect primordial pour Rothko. Comme il l'expliqua lors d'un symposium en 1951, il ne peignait pas à grande échelle pour créer quelque chose de "grandiose ni de pompeux", mais "précisément parce que je veux être intime et humain. Peindre un petit tableau revient à me situer hors de la propre expérience, comme si j'observais une expérience depuis un projecteur de diapos ou à travers une lentille réductrice. Quelle que soit la manière dont il peint, l'artiste se trouve à l'intérieur du grand tableau. C'est quelque chose que l'artiste ne peut pas maîtriser" (cf. Guggenheim museum de Bilbao).

[Arles - Giugno 09]

A picture of me attending the Rothko exhibition at Tate Modern

Photographed from home in the Waitakere Ranges, West Auckland, New Zealand, with no retouching or colour manipulation.

Muebles pintados a mano inspirados en los grandes artistas de la historia del arte.

Marina Maric, staring at Mark Rothko's "No. 3 / No. 13" at MoMA

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