View allAll Photos Tagged Intouch

This is from InTouch Weekly. I'm so happy that Jessica Alba likes the book but kids do not try the cupcake weight loss diet at home!

Hi sweeties! Until September 7th , soooo run and enjoy <3

 

{Imeka}

Village de Hodka, état du Gujarat, Inde

Les femmes de l’ethnie Meghwal sont généralement assez rétives à la photographie et on essuie couramment des refus à nos demandes. Mais ces deux jeunes-femmes n'avaient manifestement pas la même réserve et j'ai vite compris qu'elles y prenaient même un certain plaisir, adoptant complaisamment des poses dignes de véritables professionnelles

Je vous invite à utiliser les possibilités de grossissement de l'image pour apprécier le travail de broderie des vêtements de ces femmes.

 

Les Meghwal vivent principalement dans le nord de l'Inde, avec une petite population au Pakistan. Ils ont été considérés comme des Intouchables dans le système de castes indiennes mais aujourd'hui un nombre croissant d'entre eux sont éduqués et obtiennent des emplois du gouvernement

Les villages meghwal comptent quelques dizaines de maisonnettes généralement (mais pas sur cette photo) en terre et décorées à l'extérieur et à l'intérieur de dessins géométriques ou figuratifs colorés parfois agrémentés de petits miroirs

Les femmes Meghwal sont réputées pour leurs costumes chatoyants et leurs bijoux qui constituent leur dot. Bagues et boucles d' oreilles de nez sont souvent décorés de pierres précieuses . Les magnifiques broderies traditionnelles des femmes Meghwal sont particulièrement colorées

  

"Les morts sont notre seul moyen de subsistance": depuis des siècles, la basse caste des Doms entretient les célèbres bûchers funéraires de Varanasi, ville sacrée de l'hindouisme dans le nord de l'Inde.

Scène d'une Inde hors du temps, les bûchers de Varanasi représentent cependant un travail éreintant pour la communauté dalit (autrefois appelée "intouchable") des Doms, pauvres et analphabètes, qui en a la responsabilité.

Les Doms ont la charge de tout le processus de crémation, de l'entretien des feux à l'approvisionnement en bois en passant par les ventes de fleurs ou autres décorations pour le dernier voyage des défunts. Une tâche considérée comme impure.

 

"The dead are our only means of subsistence": for centuries, the low caste of the Doms has maintained the famous funerary burns of Varanasi, a sacred city of Hinduism in northern India.

The Varanasi burner scene of an untimed India, however, is an exhausting work for the Dalit community (formerly known as the "untouchable") of the poor and illiterate Doms, who are responsible for it.

The Doms are responsible for the entire cremation process, from the maintenance of the fires to the supply of wood through the sale of flowers or other decorations for the last voyage of the deceased. A task considered impure.

  

Trixie was thrilled and delighted to be in Explore, and sends thanks to everyone for the favorites and lovely comments! She was a little concerned about "only" being in second place, and then dropping back to third, but we managed to convince her that second and third are really better than first, and reminded her that the highest Dixie had ever been in Explore was #23. That and a bowl of cream mollified her slightly hurt feelings:-)) Many thanks to all for giving Trixie her fifteen minutes of fame!!

 

Yesterday, I tried to buy a copy of InTouch magazine, because a photo taken by Fran (Cats88) of her beautiful and sweet Alice was published in the February 11th issue. I do not understand the dates on magazines, because even though yesterday was the 12th, I missed my opportunity and the current issue on the news stands is dated the 16th.

 

So, for any of my Flickr contacts who are not contacts with Fran and who are interested in seeing a truly wonderful photo, go here:

www.flickr.com/photos/franwylie/8459161301/in/photostream

 

And if you like photos of wildlife, check out Fran's photos. She has the most amazing photos of moose and owls and other animals!

Varanasi (Inde) - Fin septembre 2023, deux membres de la Fondation suisse Lord Michelham of Hellingly, étaient à Varanasi pour rencontrer sur le terrain, l’équipe médicale d’Action Bénarès. Cette petite ONG apporte une aide sanitaire gratuite depuis bientôt 50 ans dans les bidonvilles et léproseries de la cité indienne. Elle est également présente quotidiennement dans le service des grands brûlés dans l’un des hôpitaux gouvernementaux où elle soulage les souffrances de celles et ceux qui n’ont pas les moyens de payer leur hospitalisation.

Cette photo a été prise le 27 septembre dernier dans le bidonville de La Kharbuza. Sylvie Decobert, la présidente de la fondation qui aide financièrement chaque année de nombreuses ONG internationales à travers le monde, assiste aux soins apportés aux habitants du bidonville.

En 2019, la Fondation avait déjà apporté une importante aide financière à Action Bénarès qui lui avait permis de poursuivre son travail pendant toute la durée de la pandémie. Après avoir constaté l’importance de l’aide sanitaire la Fondation s’est dite favorable pour renouveler son soutien financier pour une durée de 3 ans.

  

A Swiss Foundation supports Action Bénarès’ commitment to the untouchables

 

Varanasi (India) - At the end of September 2023, two members of the Swiss Lord Michelham of Hellingly Foundation were in Varanasi to meet the Action Bénarès medical team on the ground. This small NGO has been providing free health aid for almost 50 years in the slums and leprosariums of the Indian city. She is also present daily in the burn unit in one of the government hospitals where she relieves the suffering of those who cannot afford to pay for their hospitalization.

This photo was taken on September 27 in the La Kharbuza slum. Sylvie Decobert, the president of the foundation which financially helps numerous international NGOs around the world each year, witnesses the care provided to the inhabitants of the slum.

In 2019, the Foundation had already provided significant financial assistance to Action Bénarès which enabled it to continue its work throughout the duration of the pandemic. After observing the importance of health assistance, the Foundation said it was in favor of renewing its financial support for a period of 3 years.

 

Destin's East Jetty, Destin, FL (Flowers are Oleanders...bloom spring thru fall!)

www.InTouch.org (Audio Archives)

Recently I got a request from an editor of "In Touch" magazine. She asked permission to use a picture of Alice and Cash in the magazine. I said yes. I have never really been interested in tabloid magazines, but I am thrilled to share a picture of my beautiful rescue cat if they wanted to publish it. So, Alice is enjoying her 15 minutes of fame. It doesn't seem to have gone to her head, either.

Village de Hodka, état du Gujarat, Inde

 

Les Meghwal vivent principalement dans le nord de l'Inde, avec une petite population au Pakistan. Ils ont été considérés comme des Intouchables dans le système de castes indiennes mais aujourd'hui un nombre croissant d'entre eux sont éduqués et obtiennent des emplois du gouvernement

Les villages meghwal comptent quelques dizaines de maisonnettes rondes de terre décorées à l'extérieur et à l'intérieur de dessins géométriques ou figuratifs colorés parfois agrémentés de petits miroirs

Les femmes Meghwal sont réputées pour leurs costumes chatoyants et leurs bijoux qui constituent leur dot. Bagues et boucles d' oreilles de nez sont souvent décorés de pierres précieuses . Les magnifiques broderies traditionnelles des femmes Meghwal sont particulièrement colorées

 

An early evening launch at the Plano Balloon Festival 2014 #planoballoon

The balloon bearing the logo of the event sponsor was the first to take of. Unfortunately, the wind condition wasn't to favorable, and only 4-5 balloons managed to take off.

Si vous en avez le temps et aimeriez en savoir plus sur les religions à Varanasi:

* L'hindouisme

Varanasi) est l' une des villes les plus saintes et centre de pèlerinage pour les hindous de toutes les confessions. Il est l' une des sept villes les plus saintes ( Sapta Puri ) dans l' hindouisme, et est considéré par la foi en tant que donateur du salut ( moksha ). Les hindous croient que se baigner dans le Gange remet les péchés et que mourir à Kashi assure la libération de l'âme d'une personne du cycle de son transmigration . Ainsi, de nombreux hindous viennent ici pour mourir. En 2001, les hindous représentaient environ 84% de la population de district Varanasi .

 

* L'Islam

Les musulmans ont toujours été une minorité dans la ville, mais très important et significatif. Ils ont contribué à la formation de l'essence matérielle et culturelle de la ville ». Environ 250 000 musulmans vivent à Varanasi. En 2001, ils représentaient environ 18% de la population du district Varanasi, et 29.7% de la population de la ville(.415 mosquées)

 

*Le christianisme

Au 18ème siècle , sous Warren Hastings de l' administration britannique , la ville était sous la Compagnie des Indes . Pendant ce temps, la société a promu l' apprentissage du dessein sanscrit et la théologie hindoue en instituant l'école sanscrit en 1791 pour créer un climat propice pour établir le christianisme dans la ville, la propagation des dogmes chrétiens. En 1830, le premier séminaire anglais, nommé Séminaire anglo-indienne, a été mis en place et les missionnaires chrétiens sont venus prêcher , mais il n'a eu aucun impact sur les hindous de caste supérieure. Ce n'est que la classe inférieure de la société, et aussi les intouchables , qui ont embrassé le christianisme. Cependant, avec la fin de la domination britannique, le christianisme n'a pas augmenté à Varanasi. La ville dispose de 22 églises.

 

*Jaïnisme

Varanasi est un lieu de pèlerinage ou Tirtha (lieu saint) pour

jaïns il proposèrent la triade principe de l' Mahavratas (grands vœux) - ahimsa ( "non-violence"), asteya ( "non-vol") et aparigraha ( "non-accumulation")

 

*Bouddhisme

Sarnath , une banlieue de Varanasi, est un lieu de pèlerinage bouddhiste photos prévues dans l'album

. Il est le site du parc de cerfs où Gautama Bouddha est dit avoir donné son premier sermon sur les principes fondamentaux du bouddhisme

*Sikhisme

Guru Nanak est venu à Varanasi à deux reprises,en 1502 et 1506 La majorité des sikhs sont ici les migrants de Punjab Ouest au Pakistan qui se sont installés ici après la partition de l' Inde en 1947. La population de sikhs a été signalée à environ 5 000.

 

À partir de l’adresse

fr.qwe.wiki/wiki/Religion_in_Varanasi>

  

#2 explore!!! (uhh!)

 

i think it portrays exactly how I feel today I had a tough day that’s for sure. I found an add for a photographer assistant so I decided to be mature and email them only they replied back after 10 minutes saying I need to call so I thought ok ill be mature again and just call cause I would usually wait with it till the next day or next week or what ever . so I did ! I overcame all my anxiety and called he was abit of a jerk the photog they always are (here in Israel anyway) he wouldn’t tell me how much money but he did say I need to commit for a year and that it’s a full time everyday job with lots of photoshop which is not that great!

Because my photoshop skills are amateur! And I can not work a full time job right now after 4 years of not working because of my anxiety I can jump in the pool on the deep end! I just cant!

 

He asked me to come tomorrow morning and I don’t know if ill go the fact he didn’t even want to tell me how much money it is doesn’t sound good and I know I don’t want a full time thing so why waist our time?! I cried my eyes out as I put down the phone all the anxiety of calling was overwhelming. Completely overwhelming and I feel so lonely today for the first time in a long time I feel lonely and I think its because i let my anxiety take over that’s the only time I feel lonely. My mature woman is gone! I don’t know where she is right now but I can't seem to get intouch with her at the moment.

  

Last one of this set for now.

 

I am in the process of getting ready for a walk and still haven't decided what to wear hence why I am posting this while waiting for some inspiration.

 

Have you ever thought what you would do without your mobile phone?

Have to say I don't use mine as phone much its more my handy little note book thingy. it keeps me InTouch with my cyber friends and social media it also takes and stores almost all my out and about photos making it far easier to take photos when out as its so much less obvious than the box brownie I have.

 

Right better go and fight my through my wardrobe for something to wear.

 

Have nice evening xxxxx

www.andrewyu.co.uk

 

Predawn Misty Moods...

  

After a lovely homemade Christmas turkey dinner, I was itching to get out and do a dawn sunrise, and decided to get intouch with my good friend Steve Elliott, for whom I am still very grateful for, for coming out and helping me out with my car, and we opted to do a somewhat cliched view but for a good reason, from Mam Tor towards Hollins Cross, with Back Tor, Lose Hill and Win Hill in the distance.

  

As usual, I checked the morning forecast, and it predicted misty conditions, however on arrival from Sheffield Road, my heart sank slightly, as I didn't see too much mist at all on the valley floor at all.

 

Nevertheless, you have to be in it to win it, and checking towards the east, there was a thick blanket of cloud on the horizon, so already that looked like game over from a sunrise point of view.

 

So to kick off proceedings with expectations set, I decided to reach for my 70-200 F2.8 lens and concentrate on compressing the views to be seen, thinking moody shots was the name of the game this morning, how wrong I was!

The photo shows the entrance of the museum, which inside shows a small part of a big tunnel complex that became strategically important in world war-1. It is quite striking how important photography actually was in those WW-1 days. It provided, together with hand-written letters, the only link between the soldiers at the front and the citizens that stayed behind in the farms and villages to keep civil life going under often difficult conditions. The BFPO, in the anti-war song of Kate Bush see link below, is the British Forces Post Office, still exists today (e-Bluey, now INtouch) to support this ‘in-touch’ function for those serving abroad and basically assists their coming back home if they would survive (with/without PTSS). In case of casualty, the BFPO was also responsible for sending home the coffin (see Kate Bush song).

 

This underground mining area in Arras (north of France) has been important in the resistance against German occupation forces in 1917. From the original construction stone mining tunnels at this location, a 20 km long underground complex of connecting military tunnels was made in secrecy (in 1916) to organize an allied support base for the battle of Arras that started on 9 April 1917 and ended on 16 May 1917. Initially the battle was a spectacular success with large advances for the British troops, but as often in WO-1, a breakthrough was not made, while losses became very high at both sides. Later that spring, a new stalemate situation had developed and the Arras sector became another part of the ‘quiet western front’ in this strange war, which is completely senseless for today’s generations. These tunnels were again used during the 2nd world war, mainly as air raid shelters. After 1945 they were again sealed off and largely forgotten until 1990, after which a small part of this very dangerous underground area was stabilized and transformed into a museum that opened in 2008. This museum in Arras has the same ambition as the song of Kate Bush (for lyrics, see link below), to resist war through knowledge.

 

youtu.be/31jo5PybC4Y

   

"J’écris. J’écris comme au milieu du feu, parce que ce que j’ose aborder, c’est l’intouchable. Je vais écrire jusqu’au bout. Je n’entrevois qu’à travers la brume- à travers un nuage de nuit, en vérité- ce vers quoi je vais, et dont j’espère apercevoir quelque clarté."

L’amour déchiré - Maurice Bellet

:.:.:.♛Adris King®♛.:.:.:

➤ Clothes for bodies Maitreya, Belleza, Slink e TMP

➤ Top, pants, shorts, accessories, hair and high heels.

➤ Gift for Group

➤ Now has a store franchise

maps.secondlife.com/secondlife/InTouch/165/205/22

marketplace.secondlife.com/pt-BR/stores/87761

Village de Hodka, état du Gujarat, Inde

 

Les Meghwal vivent principalement dans le nord de l'Inde, avec une petite population au Pakistan. Ils ont été considérés comme des Intouchables dans le système de castes indiennes mais aujourd'hui un nombre croissant d'entre eux sont éduqués et obtiennent des emplois du gouvernement

Les villages meghwal comptent quelques dizaines de maisonnettes rondes de terre décorées à l'extérieur et à l'intérieur de dessins géométriques ou figuratifs colorés parfois agrémentés de petits miroirs

Les femmes Meghwal sont réputées pour leurs costumes chatoyants et leurs bijoux qui constituent leur dot. Bagues et boucles d' oreilles de nez sont souvent décorés de pierres précieuses . Les magnifiques broderies traditionnelles des femmes Meghwal sont particulièrement colorées

 

Il y a des amours qui naissent dans le silence et meurent dans l’ombre. Des amours qui n’ont pas de place dans le réel, qui vivent enfermés dans les replis d’une âme tourmentée.

Je le ressens jusque dans mes os, dans chaque battement de mon cœur. Il est là, omniprésent, et pourtant intouchable. Comme une étoile qu’on admire sans jamais pouvoir l’effleurer. Comme un souffle d’air tiède sur une peau glacée.

Il y a eu des instants, des mots suspendus entre nous, des frissons qui auraient pu tout dire si le monde n’avait pas été si cruel. Mais nous savons tous les deux. Nous savons que certaines routes ne se croisent que pour se frôler, jamais pour s’unir.

J’ai tenté d’oublier, de raisonner, de m’éloigner. Mais l’amour a ce pouvoir cruel : il s’accroche aux moindres souvenirs, il se nourrit de l’absence.

Beach at Destin's East Pass Jetty! www.InTouch.org (Audio Archives)

Village Meghwal de Nirona, état du Gujarat, Inde

Une impression d'ennui et de tristesse se dégage de ce groupe de femmes rassemblées dans le village de Nirona

 

Les Meghwal vivent principalement dans le nord de l'Inde, avec une petite population au Pakistan. Ils ont été considérés comme des Intouchables dans le système de castes indiennes mais aujourd'hui un nombre croissant d'entre eux sont éduqués et obtiennent des emplois du gouvernement

Les villages meghwal comptent quelques dizaines de maisonnettes rondes de terre décorées à l'extérieur et à l'intérieur de dessins géométriques ou figuratifs colorés parfois agrémentés de petits miroirs

Même si ces femmes sont ici vêtues de robes en tissus modernes imprimés, les femmes Meghwal sont réputées pour leurs costumes brodés chatoyants et leurs bijoux qui constituent leur dot. Bagues et boucles d' oreilles de nez sont souvent décorés de pierres précieuses . Les magnifiques broderies traditionnelles des femmes Meghwal sont particulièrement colorées

 

She wears leather dress and a necklace of beads cut from the stem of an asparagus tree.

The Pokot (or Pokhot) live in the Baringo district and in the Western Pokot district in Kenya. They are also inhabitants of Uganda.There are two main sub-groups depending of their location and way of life. The first group consist of the Hill Pokot who live in the rainy highlands in the west and in the central south, and are mainly farmers and pastoralists. The second group is made up of the Plains Pokot who live in dry and infertile plains, with their cattle. A homestead is composed of one or more buildings for a man, his wife and children; the prospective co-wives live in separate houses. Teaching children ethical rules is extremely important. Most of the Pokot are nomadic and thus have interacted with different peoples, incorporating their social customs.The Pokot are very proud of their culture. The songs, storytelling, and decorative arts, in particular body decoration, are very appreciated among the Pokot. They adorn the body with beads and hairstyling, and proceed to scarifications and the removal of the lower central incisors. Pokot girls wear a beaded necklace made of the stems of an asparagus tree. Most Pokot have some knowledge of herbal medicine, so they often use these treatments along with those of the hospitals. They belong to the Kenya's Nilotic-speaking peoples.For the Pokot, the universe has two realms: the above is the realm of the most powerful deities—Tororot, Asis (sun), and llat (rain); and the below is the one where live humans, animals, and plants. Humans are responsible for the realm that they inhabit, but they rely upon divinities to achieve and maintain peace and prosperity. They worship many deities like the sun, moon and believe in the spirit of death.The Pokot communicate with their deities through prayer and sacrifice. They perform it during ethnic festivals and dances. Oracles are responsible for maintaining the spiritual balance within the community. They are superstitious and believe in sorcery, so sometimes they call on shielding lucky sorcery. They have prophets, either male or female, who foresee and advise, usually by the means of animal sacrifices. Their abilities are considered as a divine gift. Clan histories recount the changes of location, through poetry and song, emphasizing the vulnerability of human beings and the importance of supernatural powers that help them overcome hunger, thirst, and even death. Ceremonies mark the transitions in the people's social lives. Among these are: the cleansing of a couple expecting their first child; the cleansing of newborn infants and their mothers; the cleansing of twins and other children who are born under unusual circumstances; male and female initiation; marriage; sapana, a coming-of-age ceremony for men; and summer-solstice, harvest, and healing ceremonies. The most important rite of passage for most Pokot is circumcision for boys and clitoridectomy for girls. These rites consist of a series of neighborhood-based ceremonies, emphasizing the importance of having a good behavior. When boys are circumcised, they acquire membership in one of eight age sets. Women do not belong to any age-set. After excision, for several months, girls have a white painting on their face and wear a hood made of blackened leather with charcoal and oil. This means they are untouchable until the lepan ceremony, that marks the passage to womanhood. Unlike other tribes, the Pokot keep the affiliation to their clan throughout their lives, there is no disruption with marriage. Surprisingly, the agreement before marriage is made by gift giving, from the groom and his family to the bride and her family (and not the contrary), often over a period of years. It often implies the gift of a combination of livestock, goods, and cash to the bride's family, and the allotment of milk cows and rights to land to the bride. The bond between a husband and wife lasts for 3 generations, after what marriages can take place again between the two groups. Polygamy exists but is not prevalent among men before 40. The spirits of the elder anticipate reincarnation in their living descendants: when a child is said to resemble the elder, the same name is given. Disputes are resolved in neighborhood councils and in government courts. Some of the sanctions include shaming, cursing, and bewitching.

   

Les Pokot vivent dans le district de Baringo et à l’ouest du district de Pokot au Kenya. Ce sont aussi des habitants de l’Ouganda.Il existe deux principaux sous-groupes selon leur localisation et mode de vie. Le premier groupe est constitué des Pokot des collines qui vivent dans les hautes terres humides dans l’ouest et dans le centre sud, et sont surtout des agriculteurs et pasteurs. Le second groupe est composé des Pokot des plaines qui vivent dans les plaines sèches et infertiles, avec leur bétail. Chaque propriété familiale est composée d’une ou plusieurs bâtiments pour un homme, sa femme et ses femmes, les éventuelles autres épouses vivent dans des maisons séparées. Enseigner aux enfants les règles éthiques est extrêmement important. La plupart des Pokot sont nomades et ont donc interagi avec différents peuples, incorporant leurs coutumes sociales. Les Pokot sont très fiers de leur culture. Les chants, contines, et arts décoratifs, en particulier la décoration du corps, sont particulièrement appréciés chez les Pokot. Ils parent leur corps de perles et coiffures originales, et procèdent à des scarifications et au retrait des incisives centrales inférieures. Les filles Pokot portent un collier de perles fait de tiges d’asparagus. La plupart des Pokot a des connaissances des médicaments à base de plantes, et ils utilisent donc souvent ces traitements avec ceux des hôpitaux. Ils appartiennent aux peuples parlant les langues nilotiques du Kenya.Pour les Pokot, l’univers a deux royaumes : celui d’en haut est le royaume des déités les plus puissantes –Torotot, Asis (soleil), et Ilat (pluie) ; celui d’en bas est celui où vivent les humains, animaux, et plantes. Les humains sont responsables du royaume qu’ils habitent, mais ils reposent sur les divinités pour atteindre et maintenir la paix et la prospérité. Ils vouent un culte à de nombreuses déités tels que le soleil et la lune et croient dans l’esprit de la mort. Les Pokot communiquent avec leurs déités par la prière et le sacrifice. Ils les accomplissent lors de festivals ethniques et de danses. Les oracles sont responsables du maintien de l’équilibre spirituel à l’intérieur de la communauté. Ils sont superstitieux et croient aux sortilèges, c’est pourquoi parfois ils invoquent des sortilèges de chance protecteurs. Ils ont des prophètes, hommes ou femmes, qui voient dans le futur et conseillent, habituellement au moyen de sacrifices d’animaux. Leurs capacités sont considérées comme un don divin. Les histoires claniques racontent les changements de leurs lieux de vie, à travers des poèmes et chansons, mettant en avant la vulnérabilité des êtres humains et l’importance de pouvoirs supernaturels qui les aident à surpasser la faim, la soif, et même la mort. Les cérémonies marquent les transitions dans la vie sociale des individus. Parmi celles-ci on compte : la purification d’un couple attendant leur premier enfant ; celle d’enfants nouveaux-nés et de leurs mères ; la purification de jumeaux et d’autres enfantgs qui sont nés dans des circonstances inhabituelles ; l’initiation pour hommes et femmes ; le mariage ; le sapana, une cérémonie pour la majorité chez les hommes ; le solstice d’été ; la moisson ; et les cérémonies de soins. Le rite de passage le plus important pour la plupart des Pokot est la circoncision pour les garçons et la clitorectomie pour les filles. Ces rites consistent en une série de cérémonies basées sur le voisinage, soulignant l’importance d’avoir une bonne conduite. Lorsque les garçons sont circoncis, ils deviennent membres de l’une des huit classes d’âge. Les femmes n’appartiennent à aucune classe d’âge. Après l’excision, pour plusieurs mois, les filles portent une painture blanche sur le visage et une capuche fait de cuir noirci au charbon de bois et à l’huile. Cela signifie qu’elle sont intouchables jusqu’à la cérémonie lepan, qui marque le passage à l’état de femme. Contrairement à d’autres tribus, les Pokot gardent l’affiliation à leur clan toute leur vie, il n’y a aucune rupture lors du mariage. De façon surprenante, l’accord avant le mariage est réalisé grâce à des cadeaux de la part du futur époux et de sa famille, à la fiancée et sa famille (et non le contraire), souvent pour une période donnée d’année. Cela implique souvent le don d’une association de bétail, biens, et argent à la famille de la mariée, et l’attribution de vaches à lait et des droits fonciers à la mariée. Le lien entre le mari et la femme dure pendant 3 générations, après quoi les mariages peuvent de nouveau avoir lieu entre les deux groupes. La polygamie existes mais ne prévaut pas chez les hommes de moins de 40 ans. Les esprits des plus vieux anticipent la réincarnation chez leurs descendants vivants : quand on dit d’un enfant qu’il ressemble à son aîné, le même nom lui est donné. Les disputes sont résolues dans des conseils de voisinage et dans les tribunaux du gouvernement. Certaines des sanctions incluent le déshonneur, la malédiction et l’ensorcellement.

  

© Eric Lafforgue

www.ericlafforgue.com

   

Taken with a ringflash (30 seconds before the storm) on july 17, the day of my birthday!

 

She wears leather dress and a necklace of beads cut from the stem of an asparagus tree.

The Pokot (or Pokhot) live in the Baringo district and in the Western Pokot district in Kenya. They are also inhabitants of Uganda.There are two main sub-groups depending of their location and way of life. The first group consist of the Hill Pokot who live in the rainy highlands in the west and in the central south, and are mainly farmers and pastoralists. The second group is made up of the Plains Pokot who live in dry and infertile plains, with their cattle. A homestead is composed of one or more buildings for a man, his wife and children; the prospective co-wives live in separate houses. Teaching children ethical rules is extremely important. Most of the Pokot are nomadic and thus have interacted with different peoples, incorporating their social customs.The Pokot are very proud of their culture. The songs, storytelling, and decorative arts, in particular body decoration, are very appreciated among the Pokot. They adorn the body with beads and hairstyling, and proceed to scarifications and the removal of the lower central incisors. Pokot girls wear a beaded necklace made of the stems of an asparagus tree. Most Pokot have some knowledge of herbal medicine, so they often use these treatments along with those of the hospitals. They belong to the Kenya's Nilotic-speaking peoples.For the Pokot, the universe has two realms: the above is the realm of the most powerful deities—Tororot, Asis (sun), and llat (rain); and the below is the one where live humans, animals, and plants. Humans are responsible for the realm that they inhabit, but they rely upon divinities to achieve and maintain peace and prosperity. They worship many deities like the sun, moon and believe in the spirit of death.The Pokot communicate with their deities through prayer and sacrifice. They perform it during ethnic festivals and dances. Oracles are responsible for maintaining the spiritual balance within the community. They are superstitious and believe in sorcery, so sometimes they call on shielding lucky sorcery. They have prophets, either male or female, who foresee and advise, usually by the means of animal sacrifices. Their abilities are considered as a divine gift. Clan histories recount the changes of location, through poetry and song, emphasizing the vulnerability of human beings and the importance of supernatural powers that help them overcome hunger, thirst, and even death. Ceremonies mark the transitions in the people's social lives. Among these are: the cleansing of a couple expecting their first child; the cleansing of newborn infants and their mothers; the cleansing of twins and other children who are born under unusual circumstances; male and female initiation; marriage; sapana, a coming-of-age ceremony for men; and summer-solstice, harvest, and healing ceremonies. The most important rite of passage for most Pokot is circumcision for boys and clitoridectomy for girls. These rites consist of a series of neighborhood-based ceremonies, emphasizing the importance of having a good behavior. When boys are circumcised, they acquire membership in one of eight age sets. Women do not belong to any age-set. After excision, for several months, girls have a white painting on their face and wear a hood made of blackened leather with charcoal and oil. This means they are untouchable until the lepan ceremony, that marks the passage to womanhood. Unlike other tribes, the Pokot keep the affiliation to their clan throughout their lives, there is no disruption with marriage. Surprisingly, the agreement before marriage is made by gift giving, from the groom and his family to the bride and her family (and not the contrary), often over a period of years. It often implies the gift of a combination of livestock, goods, and cash to the bride's family, and the allotment of milk cows and rights to land to the bride. The bond between a husband and wife lasts for 3 generations, after what marriages can take place again between the two groups. Polygamy exists but is not prevalent among men before 40. The spirits of the elder anticipate reincarnation in their living descendants: when a child is said to resemble the elder, the same name is given. Disputes are resolved in neighborhood councils and in government courts. Some of the sanctions include shaming, cursing, and bewitching.

   

Les Pokot vivent dans le district de Baringo et à l’ouest du district de Pokot au Kenya. Ce sont aussi des habitants de l’Ouganda.Il existe deux principaux sous-groupes selon leur localisation et mode de vie. Le premier groupe est constitué des Pokot des collines qui vivent dans les hautes terres humides dans l’ouest et dans le centre sud, et sont surtout des agriculteurs et pasteurs. Le second groupe est composé des Pokot des plaines qui vivent dans les plaines sèches et infertiles, avec leur bétail. Chaque propriété familiale est composée d’une ou plusieurs bâtiments pour un homme, sa femme et ses femmes, les éventuelles autres épouses vivent dans des maisons séparées. Enseigner aux enfants les règles éthiques est extrêmement important. La plupart des Pokot sont nomades et ont donc interagi avec différents peuples, incorporant leurs coutumes sociales. Les Pokot sont très fiers de leur culture. Les chants, contines, et arts décoratifs, en particulier la décoration du corps, sont particulièrement appréciés chez les Pokot. Ils parent leur corps de perles et coiffures originales, et procèdent à des scarifications et au retrait des incisives centrales inférieures. Les filles Pokot portent un collier de perles fait de tiges d’asparagus. La plupart des Pokot a des connaissances des médicaments à base de plantes, et ils utilisent donc souvent ces traitements avec ceux des hôpitaux. Ils appartiennent aux peuples parlant les langues nilotiques du Kenya.Pour les Pokot, l’univers a deux royaumes : celui d’en haut est le royaume des déités les plus puissantes –Torotot, Asis (soleil), et Ilat (pluie) ; celui d’en bas est celui où vivent les humains, animaux, et plantes. Les humains sont responsables du royaume qu’ils habitent, mais ils reposent sur les divinités pour atteindre et maintenir la paix et la prospérité. Ils vouent un culte à de nombreuses déités tels que le soleil et la lune et croient dans l’esprit de la mort. Les Pokot communiquent avec leurs déités par la prière et le sacrifice. Ils les accomplissent lors de festivals ethniques et de danses. Les oracles sont responsables du maintien de l’équilibre spirituel à l’intérieur de la communauté. Ils sont superstitieux et croient aux sortilèges, c’est pourquoi parfois ils invoquent des sortilèges de chance protecteurs. Ils ont des prophètes, hommes ou femmes, qui voient dans le futur et conseillent, habituellement au moyen de sacrifices d’animaux. Leurs capacités sont considérées comme un don divin. Les histoires claniques racontent les changements de leurs lieux de vie, à travers des poèmes et chansons, mettant en avant la vulnérabilité des êtres humains et l’importance de pouvoirs supernaturels qui les aident à surpasser la faim, la soif, et même la mort. Les cérémonies marquent les transitions dans la vie sociale des individus. Parmi celles-ci on compte : la purification d’un couple attendant leur premier enfant ; celle d’enfants nouveaux-nés et de leurs mères ; la purification de jumeaux et d’autres enfantgs qui sont nés dans des circonstances inhabituelles ; l’initiation pour hommes et femmes ; le mariage ; le sapana, une cérémonie pour la majorité chez les hommes ; le solstice d’été ; la moisson ; et les cérémonies de soins. Le rite de passage le plus important pour la plupart des Pokot est la circoncision pour les garçons et la clitorectomie pour les filles. Ces rites consistent en une série de cérémonies basées sur le voisinage, soulignant l’importance d’avoir une bonne conduite. Lorsque les garçons sont circoncis, ils deviennent membres de l’une des huit classes d’âge. Les femmes n’appartiennent à aucune classe d’âge. Après l’excision, pour plusieurs mois, les filles portent une painture blanche sur le visage et une capuche fait de cuir noirci au charbon de bois et à l’huile. Cela signifie qu’elle sont intouchables jusqu’à la cérémonie lepan, qui marque le passage à l’état de femme. Contrairement à d’autres tribus, les Pokot gardent l’affiliation à leur clan toute leur vie, il n’y a aucune rupture lors du mariage. De façon surprenante, l’accord avant le mariage est réalisé grâce à des cadeaux de la part du futur époux et de sa famille, à la fiancée et sa famille (et non le contraire), souvent pour une période donnée d’année. Cela implique souvent le don d’une association de bétail, biens, et argent à la famille de la mariée, et l’attribution de vaches à lait et des droits fonciers à la mariée. Le lien entre le mari et la femme dure pendant 3 générations, après quoi les mariages peuvent de nouveau avoir lieu entre les deux groupes. La polygamie existes mais ne prévaut pas chez les hommes de moins de 40 ans. Les esprits des plus vieux anticipent la réincarnation chez leurs descendants vivants : quand on dit d’un enfant qu’il ressemble à son aîné, le même nom lui est donné. Les disputes sont résolues dans des conseils de voisinage et dans les tribunaux du gouvernement. Certaines des sanctions incluent le déshonneur, la malédiction et l’ensorcellement.

 

© Eric Lafforgue

www.ericlafforgue.com

 

Village de Hodka, état du Gujarat, Inde

 

Les Meghwal vivent principalement dans le nord de l'Inde, avec une petite population au Pakistan. Ils ont été considérés comme des Intouchables dans le système de castes indiennes mais aujourd'hui un nombre croissant d'entre eux sont éduqués et obtiennent des emplois du gouvernement

Les villages meghwal comptent quelques dizaines de maisonnettes rondes de terre décorées à l'extérieur et à l'intérieur de dessins géométriques ou figuratifs colorés parfois agrémentés de petits miroirs

Les femmes Meghwal sont réputées pour leurs costumes chatoyants et leurs bijoux qui constituent leur dot. Bagues et boucles d' oreilles de nez sont souvent décorés de pierres précieuses . Les magnifiques broderies traditionnelles des femmes Meghwal sont particulièrement colorées

 

Thank you all my flickr friends for all these wonderful comments , faves and 68 555 views on my stream! :-)

Btw: The Black letters are original on the smarties! :-)...yes...after this shot i ate them all!

 

Please add your flickr name into the tags!!!

 

You want bigger sweeties?

Merry Christmas to all my Friends and followers may you all have a merry Christmas.

 

For those who are alone or feel alone at this time of year remember we are all here for you, some of us will still post over the holiday period to keep InTouch with you.

If anyone knows of any person who struggles at this time of year drop them a line and say high or better still if you can get to see them pop around for a cuppa.

 

This looks an office release from the palace doesn't it :-)

 

You might get a few from this set

 

Porc-épic et soleil dans un décor d'ellipses, figures allégoriques ornant le flanc d'un sarcophage, cortile du palais du Commandeur de Santo Spirito in Sassia, borgo Santo Spirito, Rome

A year or so ago I decided that I wanted to try and get us women a bit of positive exposure you know something where we would be seen as just one of the girls. Well that opportunity came from a surprise angle back in late 2017 when I put my name forward to be included in a project by a wonderful fine art photographer. Now I didn't expect anything to come of it but to my surprise Bella got intouch and said she would love to have me be part of the project.

the below link is a little video she did. I do show up for a few moments honest just keep with it.

www.youtube.com/watch?v=tiE6aeaPt5Q

This has given me such a boost to be accepted in such a way and that my story could be told to a new audience not looking for a trans angle. Its little action like this that normalise us, even a trip to the shops in a presentable way gets people used to seeing us and normalising our presence in society.

I think we are doing a good job, attitudes are changing at least here in the UK they are. I am still looking for new ways to make us visible in positive ways, Last year I did the photoshoot for a local hairdresser/wig supplier who might use me again and a possibility of a catwalk show in the summer but I doubt that one will come off but who knows.

 

601 now joins 605 at the SYTT

 

This is an amazing find as Iain was intouch with first for over 10 years & the vehicle was assumed scrap. Once 605 came, it was seen online and Iain was approached by the previous owner to say 601 indeed survived in Southampton in a private collection

 

The bus has been part restored and we have been helping the owner with info, we were then approached and offered 601 as they agreed the bus needed to come home.

 

601 is a extremely important bus not just to SYT, but to other enthusiasts as it’s Volvos first UK B10M with a PS body

 

With help from the SYTT 601 has been saved and returned home & now joins Lindsey Iain & Chris with 605.

 

601 will be going as new, the floor has been replaced and all the chassis work has been done, but still loads to do. This also means that 605 can now be restored into Mainline refurb route 52 livery with minimal work.

foto by Darja Fedorovna

Toutes les crémations ( aucune photo permise à Varanasi ) n'ont pas lieu sur le Manikarnika Ghât, lieu principal et sacré à ciel ouvert....., car les crémations coutent cher..... il faut entre 250 et 300 kg de bois, le plus cher étant le bois de santal , le moins celui du manguier .... aussi ....

Les pauvres choisissent l'incinération dans le crématorium électrique de Varanasi (ou s'endettent à vie pour la crémation traditionnelle de leurs défunts)

Ce crématorium est situé près d'un ghât , je suppose qu'il est ici.......!?!?

 

en Inde ,seuls les hommes assistent à la cérémonie, les femmes y sont interdites, la mort ne doit pas être un moment triste puisqu'elle est délivrance, les pleurs pourraient retarder voire modifier le cycle de réincarnation ou empêcher l'atteinte du Nirvana

Ce sont les intouchables qui ont la tâche de s'occuper des morts .

géolocalisation non précise

Village de Hodka, état du Gujarat, Inde

 

Au festival de cinéma d'Asie de Vesoul qui se tient actuellement est repassé le beau film indien "La saison des femmes" qui se déroule dans un village tribal du Gujarat, dans la région où j'ai moi-même pris ces images. Le filme traite des rapports homme-femmes dans ces tribus et dénonce en particulier la violence qui régit souvent ces rapports. J'ai appris à cette occasion que les hommes de ces villages avaient interdit que le film soit tourné dans les lieux mêmes où se déroule l'action de crainte que les velléités d'émancipation des héroïnes du film ne donnent des idées aux femmes des villages et remettent en cause la domination masculine.

Bien sûr nous n'avons rien perçu de cette violence lors de notre visite. Envers du décor....

Mais quand-même, elles sont belles ces femmes...

  

Les Meghwal vivent principalement dans le nord de l'Inde, avec une petite population au Pakistan. Ils ont été considérés comme des Intouchables dans le système de castes indiennes mais aujourd'hui un nombre croissant d'entre eux sont éduqués et obtiennent des emplois du gouvernement

Les villages meghwal comptent quelques dizaines de maisonnettes rondes de terre décorées à l'extérieur et à l'intérieur de dessins géométriques ou figuratifs colorés parfois agrémentés de petits miroirs

Les femmes Meghwal sont réputées pour leurs costumes chatoyants et leurs bijoux qui constituent leur dot. Bagues et boucles d' oreilles de nez sont souvent décorés de pierres précieuses . Les magnifiques broderies traditionnelles des femmes Meghwal sont particulièrement colorées

 

Taken near Destin Jetties. Destin, Florida www.InTouch.org (audio archives)

 

Tamron 28mm-300mm zoom

2 4 5 6 7 ••• 79 80