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Kunstmuseum in The Hague.

 

Work of Fernand Léger.

 

See also:

 

en.wikipedia.org/wiki/Kunstmuseum_Den_Haag

 

Royal Museum of Fine Arts (Antwerp) - KMSKA.

 

Work of Frans Hals I - Fisher Boy (detail).

A stage presentation at vrindavan depicting lord krishna's arrival in the world.Child actors are cast in the role of krishna-Radha & they enjoy the devotion showered on them.

 

Looks terrific on black....

View On Black

 

Just a quick photoshoot I did inspired by Indian culture

Sketch for an oil painting.

the day of the smiling pumpkin is near... and we took our little rug rat for a pre-halloween trick or treat. he was peter pan with a samurai sword for the day... now thats what a call a fusion of cultures =) ...next year, he can be freddy krueger complete with glove.

Place I Kutub Minar, New Delhi

 

The imagination is the secret and marrow of civilization ~ Henry Ward Beecher

Sit-in bon enfant devant le théatre Graslin , pour réclamer la réouverture des lieux de culture .

"Where art is ageless, culture is borderless, values are timeless..."

  

Jours tranquilles Ă  Safdarjung

Penser n'empĂªche pas de danser

Juin 2012

 

Non, très chers futurs fillots et fillottes, n'allez pas croire que votre grand-père menait ici, loin de Clichy, une vie à la Henry Miller. De folies, de débauches, point. Ici, l'alcool est un poison et l'herbe tout aussi rase que rare. Pour le reste, peu réceptif aux charmes des sirènes qu'appréciait Allen Ginsberg, un peu forcé et non sans garder, je peux vous l'avouer, une vague nostalgie de la chose, je penche plutôt du côté de Gelek Rinpoche et de Tenzin Gyatso, du côté des précieux abstinents.....

 

Et ma prĂ©sente nuditĂ© n'a rien Ă  voir non plus avec un quelconque dĂ©tachement sadhu; mais seulement avec les quarante trois degrĂ©s (sous abri s'entend, la tempĂ©rature ressentie avoisinant les cinquante) qu'il fait dehors et la colossale quantitĂ© d'Ă©nergie qu'il faut Ă  Mr Daikin, mon climatiseur prĂ©fĂ©rĂ©, pour faire tomber de quelques degrĂ©s la tempĂ©rature de la pièce d'oĂ¹ j'Ă©cris. Et pendant qu'Ă  Rio s'Ă©chauffent les esprits, me voilĂ  rĂ©fugiĂ© climatique dans ma chambre, victime d'un rĂ©chauffement qui, pour n'en Ăªtre pas moins global, reste plus perceptible ici qu'Ă  Bruxelles (oĂ¹ la chaudière me dit-on fait des siennes, fatiguĂ©e d'avoir Ă  travailler, aussi, en plein Ă©tĂ©). Alors sans autre recours, comme disait Bobby, j'Ă´te ma toque et troque mon tricot tout crottĂ©, contre attaque au cĂ´tĂ© et, nu comme un vert soucieux de ne pas en rajouter Ă  une facture pĂ©trolière dĂ©jĂ  salĂ©e, je me laisse aller, passant dans cette nuditĂ©, seul, des jours tranquilles dans mon appartement, Ă  Safdarjung ....

 

En semaine la question ne se pose pas. Il faut sortir. A huit heures dix, le chauffeur est lĂ , impatient, dĂ©jĂ . Le temps de donner Ă  chacune des plantes du balcon ses deux litres d'eau quotidiens et c'est parti pour un tour d'une demi-heure dans le four. Tu ouvres la fenĂªtre et en plus, gratis, t'as l'air pulsĂ©, la chaleur tournante...et les particules fines....Le soir, un autre tour, l'air pulsĂ© en sens inverse mais toujours le mĂªme four. Tu arrives chez toi affaissĂ©, crevĂ©, capable de rien, pas mĂªme d'un pas de danse, pas mĂªme d'une pensĂ©e.

 

Mais mettre le nez dehors le week-end, ça se discute ...il faut d'abord y rĂ©flĂ©chir longuement... peser le pour, le contre...et par le temps qu'il fait, croyez moi, mĂªme sans vouloir faire le zen, on apprend vite le dĂ©tachement bouddhiste et la philosophie corse. Non, pour mettre son nez dehors en fin de semaine, il faut perdre l'espoir, Ăªtre vraiment au fond du trou, ne plus avoir de choix, d'Ă©chappatoire, manquer de tout, par exemple manquer de mangues et de coca light....

 

Ou, comme ce matin, avoir oublié de mettre ses lunettes avant de se tailler la barbe et se retrouver, pestant contre Mr Braun et Mr Phillips, face au miroir, avec comme un air, un poil, d'asymétrie, patibulaire mais presque..... Alors là, oui que oui, on s'oblige à un pantalon, on s'inflige une chemise, on coupe les ventilos et on tourne la clé dans la porte...en prenant soin toutefois de ne pas trop laisser trainer sa main sur la poignée métallique chauffée à blanc...

 

Et on fait le grand saut, jusqu'Ă  la rue. D'une voix encore ferme, on hèle vite un "auto" (un auto-rickshaw) vert et jaune (Bonjour, Mr Bajaj!) et, pour trente roupies (quarante pour le conducteur qui chante soufi, Ă©levant une main au ciel, dans un geste de pure emphase poĂ©tique certes, mais en lĂ¢chant tout de mĂªme le guidon... aimer la poĂ©sie, cela se paie et c'est vivre dangereusement ...), on se fait conduire Ă  Green Park Market....au salon de coiffure. Parce qu'on sait que deux heures plus tard, on en ressortira coiffĂ©, calmĂ©, rĂ©tabli, symĂ©trique et heureux avec, en prime....des pieds de princesse!

 

Ah, le salon de coiffure! Non, je ne vous pas parle pas des salons de coiffure de rue, de ces sièges posĂ©s au hasard d'un trottoir, face Ă  un mur oĂ¹ trĂ´ne un misĂ©rable miroir, qu'il faudra bien un jour, mais que je n'ai pas encore osĂ© prendre en photo. Ni non plus de ces luxueux salons de beautĂ© qui jalonnent l'autre avenue, cĂ´tĂ© B2, et qui vantent des produits cosmĂ©tiques Ă©trangers aux prix exorbitants. Ni d'un de ces salons branchĂ©s de Khan Market. Non, il en faut pour tous les poils. Je vous parle d'un salon simplement "high middle class", seulement bourgeois, un salon pour moi quoi.

 

L'enseigne est discrète comme il se doit; le nom, Affinity, presque trompeur. Montés les deux étages, c'est le salon pour homme, dans un pur style des années septante, lustres de plastique orange et papier peint gris-maronnasse à gros motifs géométriques. On sent que le gars qui a monté ce réseau a dû passer plusieurs années aux States avant de revenir en Inde lancer sa marque franchisée ....mais que ce n'était pas hier matin non plus.

 

Pour le reste, pas d'attente. Comme ces dames des maisons de jadis, les garçons coiffeurs attendent le client lascivement abandonnĂ©s dans des fauteuils de SkaĂ¯ noir, tout en pianotant sur leurs blackberries. On vous prend immĂ©diatement en main et on vous mène au fauteuil, comme on devait vous mener en chambre Ă  l'Ă©poque, avec un mĂ©lange d'obsĂ©quieux intĂ©ressĂ© et de sourire narquois. Avec ma barbe de traviole, pas vraiment besoin d'interprète pour dire ce qui m'amène. Mais je lutte encore un peu question cheveux, essayant de sauver ce qu'il est encore possible face Ă  des ciseaux indiens qui ont une forte tendance naturelle au très court, aux escaliers, que dis-je? aux gradins, et Ă  la nuque rase. Le rĂ©sultat? Mention assez bien plutĂ´t pas mal, ce qui me prĂ©destine Ă  un pourboire consĂ©quent et me vaut un Ă©change de numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone avec Rajhindra (qui par chance ne fait relĂ¢che que le Jeudi).

 

Dès que la barbe est faite, arrive le masseur. De cuir chevelu d'abord. Après une minute, deux tout au plus, de ce traitement agitĂ©, tu as les yeux qui pleurent et une vague envie que cela s'arrĂªte. Mais comme c'est dĂ©jĂ  l'heure du cafĂ©, au lait et très sucrĂ©, tu peux sĂ©cher tes larmes et reprendre tes esprits, juste avant que commence le lavage ou plutĂ´t l'astiquage du visage et, pardon d'entrer dans ces dĂ©tails, la chasse aux comĂ©dons. Après le trempage, le savonnage, le rinçage, l'essorage Ă  1600 tours, une bonne serviette chaude sur la figure et c'est le massage du cou, des Ă©paules et du dos, et des bras et des mains. PlutĂ´t physique comme sensation. Un zeste, un reste d'ayurvĂ©dique, peut Ăªtre, mais qui aurait oubliĂ© d'Ăªtre tendre...

 

Arrive ensuite sans que tu t'y attendes vraiment, un jacuzzi électrique, un vrai jacuzzi en plastique pour pieds...qui a du en voir d'autres. C'est chaud, moche, pas très romantique comme engin, mais ça fait des bulles et des chatouilles, alors mieux vaut en rire. Je passe sur une toute une série d'opérations très techniques qui viennent ensuite, pratiquées à l'aide de ciseaux et de limes qui ont du faire la guerre (mais laquelle?). Et après un dernier lavage/massage des pieds et deux ou trois conseils d'hygiène plantaire, c'est la touche finale, le polissage des ongles. J'ai les pieds qui brillent, des pieds de princesse mais, Dieu merci, pas de vernis.

 

Voilà, le temps de héler un autre auto, de faire une course sans s'éterniser et de faire trois kilomètres et ma chemise est à nouveau trempée. Et en plus, c'est l'heure de la sieste. Plus question de sortir, ce serait trop risquer..

 

Non, je raconte des histoires. Je suis ressorti sur le tard pour aller faire la causette avec Mr Kapur, qui me verrait bien louer l'appartement avec terrasse qu'il a au B2/27 et qui tout en me parlant se demande combien je pourrais bien y mettre et le prix des meubles qu'il faudrait acheter. Au demeurant, un homme charmant, qui voudrait bien me voir me joindre Ă  son groupe de retraitĂ©s et insiste pour que je le rejoigne au parc, le matin Ă  la fraiche, pour une marche de santĂ©. DĂ©part Ă  cinq heures trente? Think of it! C'est çà...no problem, koĂ¯ batnei... comptez sur moi... je vais y penser.

 

Mais maintenant que j'ai des pieds de princesse, qui sait? Je vais y penser. Et pour qui a des pieds, comme dit Dominique Gabriel Noury, le poète de Clichy, penser n'empĂªche pas de danser.....Tout cela pour vous dire, mes futurs fillots et fillottes que j'aime tant dĂ©jĂ , que malgrĂ© les quarante et le reste, loin de la place Clichy, sans Miller ni dĂ©bauches, en attendant l'Ă©tĂ© CĂ©venol, pour moi ce mois de Juin 2012, c'est nuditĂ©, pieds de princesse et jours tranquilles Ă  Safdarjung.

   

Jo Delahaut - Conveyor of Abstraction.

 

Exposition at Marthe Donas Museum (Ittre, Belgium).

Culture shock. Surrealism.

Nellie Vin ©Photography

Prints 16x12 in (40x30 cm) on the

Hahnemuhle Photo Rag 308gsm

 

the feeling of disorientation experienced by someone when they are suddenly subjected to an unfamiliar culture, way of life, or set of attitudes.

St Peter's Abbey, Ghent (Belgium).

 

Exposition: Judith, a Carolingian princess in Ghent.

 

Work of Albrecht De Vriendt.

 

Judith, countess of Flanders and wife of count Baudouin the First.

 

en.wikipedia.org/wiki/Judith_of_Flanders

 

historischehuizen.stad.gent/en/sint-pietersabdij/tentoons...

Toronto, Canada

 

The title can be translated into English as either "Patience Child" or "Apologies Child".

ASAHI PENTAX KX

(XR RIKENON 50mm F2)

FUJIFILM SUPERIA X-TRA 400

Fianarantsoa is the departure place of the only railway in Madagascar, reaching Manakara 163km farther on the east coast. An approximately 12h ride in beautiful landscapes connecting 17 villages.The constuction of the line finished in 1936. Rails taken from Germany after WW1 have been used to buid it.The railway helps protecting some of the most threatened habitat in the world and allows villagers to transport their products to the markets.

Museum of Fine Arts (MSK, Ghent, Belgium).

 

Work of Karl Schmidt-Rottluff.

 

en.wikipedia.org/wiki/Karl_Schmidt-Rottluff

In Japan. In Tokyo - a famous building by a famous architect - rather fine I thought! ASAKUSA CULTURE AND TOURIST INFORMATION CENTER

 

Tokyo is a wonderful, vibrant city, but by the time we had been there for a few days, we were exhausted! Nothing is the way we know it! You look around you and cannot read or understand a single sign, the buildings are often a little strange and the food is certainly alien!! What a fascinating place!!

For the story behind a selection of these images, check: www.facebook.com/nicolasmphotos

photo by Nigel Elliott ( www.NIGELELLIOT.com)

 

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Antwerp - The Museum of Photography.

 

Exposition: Dirk Braeckman - Echtzeit.

High heel shoes is art

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