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This early Persian astrolabe with a geared calendar movement is the oldest geared machine in existence in a complete state. It illustrates an important stage in the development of the various complex astronomical machines from which the mechanical clock derives.
Islamic scholars learned of this design from a text by one of the greatest Islamic scientists, al-Bîrûnî (973-1048), who explained how gearing might be used to show the revolutions of the sun and moon at their relative rates, and to demonstrate the changing phase of the moon. These phenomena were of fundamental importance in the lunar calendar used in Islam.
Inventory no. 48213
Astrolabe with Geared Calendar, by Muhammad b. Abi Bakr, Isfahan, 1221/2
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L'Astrolabe ou horloge astronomique.
Orly Ouest[modifier | modifier le code]
Premier étage d'Orly Ouest. Au centre, on peut voir le fameux globe d'Orly Ouest, nommé « l'Astrolabe »
La construction d'Orly Ouest est lancée en 1967, et est inaugurée le 24 février 1971. Les halls 2 (rénové en 2006 pour accueillir les vols « La Navette » d'Air France) et 3 sont inaugurés ce jour-là. Elle a été conçue par les architectes Vicariot, Coutant, Vigouroux et Laroche. En 1986, le hall 4 est mis en service. Le hall 1 est inauguré en 1993, conçu par Paul Andreu.
Son architecture est elle aussi métallique. Mais surtout, la conception est novatrice. L'aérogare est conçue pour faciliter l'embarquement rapide et efficace des passagers.
Tout d'abord, les niveaux sont séparés, le premier étage servant à l'embarquement, et le rez-de-chaussée aux arrivées. Ensuite, la répartition dans le hall permet au passager de trouver rapidement son comptoir d'embarquement. Le 16 novembre 2011, le premier système en France de dépose bagage automatique, permettant aux passagers d’enregistrer eux-mêmes leurs bagages en trente secondes, y a été testé29,30. Enfin, le déploiement des passerelles, les premières en France, permet un embarquement rapide des voyageurs, directement de l'aérogare dans l'avion.
Au premier étage, il y a un globe nommé « l'Astrolabe »31, devenu un emblème d'Orly Ouest, censé représenter le système solaire.
Geleira de L´Astrolabe. (Na Antártida) Todo mês de março, centenas de pinguins fazem uma jornada de milhares de milhas de distância pelo continente a pé, enfrentando animais ferozes, temperaturas frias, ventos congelantes, através das águas profundas e traiçoeiras.
" Para encontrar o Amor ".
O filme documentário a Marcha dos Pinguins (French La Marche de l'empereur) youtu.be/0Sv_XfMVQ2g (Trailer oficial) é a mais bela história que a natureza criou... Uma jornada pela preservação da espécie num filme emocionante e de imagens arrebatadoras.
March of the Penguins en.wikipedia.org/wiki/March_of_the_Penguins
Thomas Reiter (DE) performed the first spacewalk by an ESA astronaut during the ESA/Russian Euromir 95 mission to the Mir space station.
Reiter was flight engineer for this record-breaking 179-day mission (3 September 1995 to 29 February 1996). He performed some 40 European scientific experiments and participated in the maintenance of the station, performing two spacewalks. The Euromir missions were an important step for international cooperation in preparation of ESA's participation in the ISS programme.
In 2006, Reiter took part in Astrolab, ESA's first long-duration mission to the International Space Station. He spent 166 days on the ISS as part of ISS Expeditions 13 and 14. During this stay, he also made a 5-hour, 54-minute spacewalk. After 171 days in space, Reiter returned to Earth with on the Space Shuttle STS-116.
For more information:
www.esa.int/esaHS/ESAYBVZUMOC_astronauts_0.html
Credit: ESA
ESPÉRANCE: 1930-1956
4ème de la série.
Sources:
Historique de la flotte des Messageries Maritimes du commandant Lanfant
Le grand Siècle des Messageries Maritimes du Dr Paul Bois Tome V
Encyclopédie des Messageries Maritimes de Philippe Ramona (site sur le web)
Le forum des anciens des Messageries. De nombreuses photographies, anecdotes et précisons sont régulièrement mises en ligne.
Monsieur Xavier Escallier qui a très amicalement mis à ma disposition sa collection de cartes postales des Messageries.
Les différents sites internet sur la marine marchande, qu'ils soient Britanniques, Espagnols, Français ou autres.
Différents ouvrages personnel sur l'histoire de la marine marchande française.
Indexe (1) : Données du commandant Lanfant dans ouvrage.
Indexe (2) : Données du Docteur Paul Bois dans son ouvrage.
Indexe (3) : Données de Mr Philippe Ramona sur son site web
--------------------------------------------
1923 - Construit à West-Hartlepool par Marine Engines Works pour la SNO sous le nom de SAINT-TIMOTHÉE, revendu sur cale à la Strick Line et renommé KOHISTAN.
Acquis en 1928 par la Société Navale de l'Océanie pour sa ligne Dunkerque - Colombo - Batavia - Nouvelles Hébrides - Nouméa. et rebaptisé SAINT-LUC.
1930: L'État demande à la Cie de les entrer dans la flotte. 1930 en mai Prise en charge de l'ESPÉRANCE par les Services Contractuels des Messageries en même temps que BOUSSOLE - ASTROLABE - RECHERCHE et. ESPÉRANCE rebaptisé du nom d'une frégate de l'expédition de d'Entrecasteaux.
Cargos lents et moyens porteurs ils ne pouvaient convenir pour des lignes commerciales.
Ils seront convertis en cargos mixtes pour la ligne Dunkerque - Nouvelle Calédonie par Panama.
CARACTÉRISTIQUES :
Longueur : 106.98 m PP 111 m Ht
Largeur : 15.93 m
Jauge brute : 5072 tjb
Port en lourd : 6920 tonnes
Déplacement : 10377 tonnes
5 cales desservies par :
8 mâts de charge de 5 tonnes.
2 mâts de charge de 3 tonnes
1 bigue de 25 tonnes.
MODIFICATIONS : du 1930.08.11 au 1931.05.11
On crée un château continu entre les deux mâts, en modifiant les roofs, pour les salons, les officiers, le Commandant et la passerelle sur l'avant de la cheminée. L'infirmerie et le poste radio sera installé à l'arrière de la cheminée. On installe2 machines frigorifiques, une Hall fonctionnant au CO² et une Audiffret Sigrun.
Transformations effectuées aux Chantiers de la Gironde à Bordeaux.
A noter que les tôles nécessaires avaient été commandées en Angleterre et livrées 11 jours plus tard.
(Renseignements donnés par Monsieur Vial Chef Mécanicien
PROPULSION :
Une machine alternative à triple expansion
Puissance : 2500 cv
Vitesse : 10 nœuds
3 chaudières cylindriques timbrées à 14 kg/cm²
Chauffe au charbon.
LIGNE :
1931 le 17 juin - 1er départ : Dunkerque – Nouvelle Calédonie via Panama.
1933 - Désarmement du navire
1934 – Réarmement pour effectuer un voyage de tour du monde.
1934 le 9 septembre : Désarmé une deuxième fois.
1935 en décembre: Départ pour Madagascar. Pour remplacer sur les lignes annexes, le BAGDAD perdu le 20 novembre 1935.
1940 en septembre : le navire est toujours à Madagascar sous les ordres du commandant Coffin. On envisage alors de s'en servir pour rapatrier des ressortissants français.
1945 le 11 mars : l'ESPÉRANCE reçoit un rôle de navigation Français, mais l'équipage continua d'être composé de malabars et de goaneses Il ramène en France, le premier chargement de coton pour les filatures du Nord.
1945 VOYAGES SUR Madagascar, Saïgon et Haiphong.
1946 – Stationnaires sur Madagascar.
1949 – Renvoyé à Marseille pour transformation en transport de troupes sur les côtes d'Indochine
1950 à 1956: Transport de troupe sur les côtes Indochinoises.
ÉVÉNEMENTS :
1924 le 14 mars En escale à Triste au retour d'un voyage autour du monde, le chef pointeur est tué par le chef de bordée.
1940 : Sous les ordres du Commandant Coffin, il est chargé en septembre de rapatrier sur Djibouti, les femmes et les enfants évacués sur Tananarive à l'entrée en guerre de l'Italie. On songe à le peindre en blanc avec des bandes rouges et une croix verte, mais cela ne sera pas fait.
1940 le 10 octobre : Quitte Diégo Suarez avec une soixantaine de femmes et enfants, ainsi que des médicaments et des vivres pour ravitailler Djibouti bloqué par les Anglais.
1940 le 25 octobre (ou 27 septembre Dr Bois) : En allant ravitailler Djibouti soumis au blocus, il est saisi au large d'Aden à 100 milles de Djibouti. Arraisonné par le croiseur LEANDER et le croiseur auxiliaire DURBAN CASTLE.
Le commandant obtient qu'une passagère sur le point d'accoucher soit transportée sur une vedette venue de Djibouti à la limite des eaux territoriales.
L'ESPÉRANCE fut envoyée à Aden où il fut réquisitionné. Les passagères et les enfants furent embarqués sur un caboteur arabe et rejoignirent rapidement Djibouti. Un officier et 32 hommes acceptèrent de rester à bord pour armer le navire. Dix officiers et 30 marins malgaches, réunionnais ou arabes refusèrent de rester à bord. Après beaucoup de péripéties ils rejoignirent, Mombassa, Singapour et Saïgon. Le 6 septembre 1941, ils embarquaient sur le COMPIÈGNE qui fut arrêté à Cape-Town, d'où ils furent embarqués sur un paquebot Portugais pour Lisbonne, puis rejoignirent Casablanca et enfin Marseille.
Pendant ce temps l'ESPÉRANCE continuait à naviguer notamment sous les ordres du Cdt Rousval
1945 le 6 mars: Le Cdt Juteau à Port-Saïd, remplace le commandant Rousval
1945 le 13 avril : en convoi en Manche, est abordé par le paquebot SOBIESKI
1945 le 25 avril : Parmi les passagers débarquant à Boulogne se trouvent Dolorès Iberruri la Passionaria de la République Espagnole et sa fille ainsi que son secrétaire, Bezalez
1945 le 20 novembre : à Tamatave un complot Viet Minh est découvert. Tous les indochinois sont débarqués et remplacé par des malgaches.
1945 le 10 décembre arrive à Saïgon avec le détachement et le matériel de la 1ère brigade d'Extrême-Orient
1946 du 28 janvier au 28 mai : Conduite de chinois et de français destinés à remplacer les troupes chinoises et rapatriement de 672 passagers à Marseille
1949: Renvoyé à Dunkerque pour être transformé en vue de son utilisation comme transport de troupes sur les côtes Indochinoises, avec le commandant Raymond
1951 le 8 mars: Le commandant Aymé prend la suite en Indochine, suivi des commandants Véran et Rolland.
1952 le 28 février le Maitre d'Équipage Spagnoli, plonge du gaillard pour porter secours à un soldat. Il le ramène à un sampan et le ranime
RETRAIT et FIN:
1956 le 21 avril ; Vendu à Hong-Kong. Prend le nom de BELLA 1960 prend le nom de BANDUNG tous les deux sous pavillon Panaméen.
Arsenal de Brest
ici repose l'inconnu
membre de l'expédition
du capitaine de vaisseau
De Galaup De La Perouse
découvert a Vanikoro le 22 novembre 2003
en hommage à tous les marins et savants
des expéditions scientifiques Françaises
péris en mer
inhumé solennellement le 29 juin 2011
requiescat in pace
Voyage au pole sud et dans l'Océanie sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée :
Paris :Gide et J. Baudry ...,1842-1853.
ESPÉRANCE: 1930-1956
4ème de la série.
Sources:
Historique de la flotte des Messageries Maritimes du commandant Lanfant
Le grand Siècle des Messageries Maritimes du Dr Paul Bois Tome V
Encyclopédie des Messageries Maritimes de Philippe Ramona (site sur le web)
Le forum des anciens des Messageries. De nombreuses photographies, anecdotes et précisons sont régulièrement mises en ligne.
Monsieur Xavier Escallier qui a très amicalement mis à ma disposition sa collection de cartes postales des Messageries.
Les différents sites internet sur la marine marchande, qu'ils soient Britanniques, Espagnols, Français ou autres.
Différents ouvrages personnel sur l'histoire de la marine marchande française.
Indexe (1) : Données du commandant Lanfant dans ouvrage.
Indexe (2) : Données du Docteur Paul Bois dans son ouvrage.
Indexe (3) : Données de Mr Philippe Ramona sur son site web
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1923 - Construit à West-Hartlepool par Marine Engines Works pour la SNO sous le nom de SAINT-TIMOTHÉE, revendu sur cale à la Strick Line et renommé KOHISTAN.
Acquis en 1928 par la Société Navale de l'Océanie pour sa ligne Dunkerque - Colombo - Batavia - Nouvelles Hébrides - Nouméa. et rebaptisé SAINT-LUC.
1930: L'État demande à la Cie de les entrer dans la flotte. 1930 en mai Prise en charge de l'ESPÉRANCE par les Services Contractuels des Messageries en même temps que BOUSSOLE - ASTROLABE - RECHERCHE et. ESPÉRANCE rebaptisé du nom d'une frégate de l'expédition de d'Entrecasteaux.
Cargos lents et moyens porteurs ils ne pouvaient convenir pour des lignes commerciales.
Ils seront convertis en cargos mixtes pour la ligne Dunkerque - Nouvelle Calédonie par Panama.
CARACTÉRISTIQUES :
Longueur : 106.98 m PP 111 m Ht
Largeur : 15.93 m
Jauge brute : 5072 tjb
Port en lourd : 6920 tonnes
Déplacement : 10377 tonnes
5 cales desservies par :
8 mâts de charge de 5 tonnes.
2 mâts de charge de 3 tonnes
1 bigue de 25 tonnes.
MODIFICATIONS : du 1930.08.11 au 1931.05.11
On crée un château continu entre les deux mâts, en modifiant les roofs, pour les salons, les officiers, le Commandant et la passerelle sur l'avant de la cheminée. L'infirmerie et le poste radio sera installé à l'arrière de la cheminée. On installe2 machines frigorifiques, une Hall fonctionnant au CO² et une Audiffret Sigrun.
Transformations effectuées aux Chantiers de la Gironde à Bordeaux.
A noter que les tôles nécessaires avaient été commandées en Angleterre et livrées 11 jours plus tard.
(Renseignements donnés par Monsieur Vial Chef Mécanicien
PROPULSION :
Une machine alternative à triple expansion
Puissance : 2500 cv
Vitesse : 10 nœuds
3 chaudières cylindriques timbrées à 14 kg/cm²
Chauffe au charbon.
LIGNE :
1931 le 17 juin - 1er départ : Dunkerque – Nouvelle Calédonie via Panama.
1933 - Désarmement du navire
1934 – Réarmement pour effectuer un voyage de tour du monde.
1934 le 9 septembre : Désarmé une deuxième fois.
1935 en décembre: Départ pour Madagascar. Pour remplacer sur les lignes annexes, le BAGDAD perdu le 20 novembre 1935.
1940 en septembre : le navire est toujours à Madagascar sous les ordres du commandant Coffin. On envisage alors de s'en servir pour rapatrier des ressortissants français.
1945 le 11 mars : l'ESPÉRANCE reçoit un rôle de navigation Français, mais l'équipage continua d'être composé de malabars et de goaneses Il ramène en France, le premier chargement de coton pour les filatures du Nord.
1945 VOYAGES SUR Madagascar, Saïgon et Haiphong.
1946 – Stationnaires sur Madagascar.
1949 – Renvoyé à Marseille pour transformation en transport de troupes sur les côtes d'Indochine
1950 à 1956: Transport de troupe sur les côtes Indochinoises.
ÉVÉNEMENTS :
1924 le 14 mars En escale à Triste au retour d'un voyage autour du monde, le chef pointeur est tué par le chef de bordée.
1940 : Sous les ordres du Commandant Coffin, il est chargé en septembre de rapatrier sur Djibouti, les femmes et les enfants évacués sur Tananarive à l'entrée en guerre de l'Italie. On songe à le peindre en blanc avec des bandes rouges et une croix verte, mais cela ne sera pas fait.
1940 le 10 octobre : Quitte Diégo Suarez avec une soixantaine de femmes et enfants, ainsi que des médicaments et des vivres pour ravitailler Djibouti bloqué par les Anglais.
1940 le 25 octobre (ou 27 septembre Dr Bois) : En allant ravitailler Djibouti soumis au blocus, il est saisi au large d'Aden à 100 milles de Djibouti. Arraisonné par le croiseur LEANDER et le croiseur auxiliaire DURBAN CASTLE.
Le commandant obtient qu'une passagère sur le point d'accoucher soit transportée sur une vedette venue de Djibouti à la limite des eaux territoriales.
L'ESPÉRANCE fut envoyée à Aden où il fut réquisitionné. Les passagères et les enfants furent embarqués sur un caboteur arabe et rejoignirent rapidement Djibouti. Un officier et 32 hommes acceptèrent de rester à bord pour armer le navire. Dix officiers et 30 marins malgaches, réunionnais ou arabes refusèrent de rester à bord. Après beaucoup de péripéties ils rejoignirent, Mombassa, Singapour et Saïgon. Le 6 septembre 1941, ils embarquaient sur le COMPIÈGNE qui fut arrêté à Cape-Town, d'où ils furent embarqués sur un paquebot Portugais pour Lisbonne, puis rejoignirent Casablanca et enfin Marseille.
Pendant ce temps l'ESPÉRANCE continuait à naviguer notamment sous les ordres du Cdt Rousval
1945 le 6 mars: Le Cdt Juteau à Port-Saïd, remplace le commandant Rousval
1945 le 13 avril : en convoi en Manche, est abordé par le paquebot SOBIESKI
1945 le 25 avril : Parmi les passagers débarquant à Boulogne se trouvent Dolorès Iberruri la Passionaria de la République Espagnole et sa fille ainsi que son secrétaire, Bezalez
1945 le 20 novembre : à Tamatave un complot Viet Minh est découvert. Tous les indochinois sont débarqués et remplacé par des malgaches.
1945 le 10 décembre arrive à Saïgon avec le détachement et le matériel de la 1ère brigade d'Extrême-Orient
1946 du 28 janvier au 28 mai : Conduite de chinois et de français destinés à remplacer les troupes chinoises et rapatriement de 672 passagers à Marseille
1949: Renvoyé à Dunkerque pour être transformé en vue de son utilisation comme transport de troupes sur les côtes Indochinoises, avec le commandant Raymond
1951 le 8 mars: Le commandant Aymé prend la suite en Indochine, suivi des commandants Véran et Rolland.
1952 le 28 février le Maitre d'Équipage Spagnoli, plonge du gaillard pour porter secours à un soldat. Il le ramène à un sampan et le ranime
RETRAIT et FIN:
1956 le 21 avril ; Vendu à Hong-Kong. Prend le nom de BELLA 1960 prend le nom de BANDUNG tous les deux sous pavillon Panaméen.
Voyage au pole sud et dans l'Océanie sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée :
Paris :Gide et J. Baudry ...,1842-1853.
fr.wikipedia.org/wiki/Horloge_astronomique_de_Strasbourg
L'Horloge astronomique de la Cathédrale Notre-Dame de Strasbourg, dont le buffet richement décoré date du xvie siècle, est classée monument historique depuis le 15 avril 1987
Une première horloge avait été construite entre 1352 et 1354 dite des Trois Rois, mais elle a dû cesser de fonctionner au début du xvie siècle.
En deux phases, entre 1547 et 1574, une seconde horloge a été construite par les mathématiciens Christian Herlin et Conrad Dasypodius, les frères horlogers Habrecht et le peintre Tobias Stimmer. Cette horloge était une horloge astronomique planétaire et indiquait donc le déplacement des planètes sur un astrolabe. Un calendrier perpétuel indiquait les fêtes mobiles sur une durée de 100 ans. Enfin, les éclipses à venir étaient peintes sur des panneaux.
L’horloge de Dasypodius cessa de fonctionner peu avant la Révolution française et resta dans cet état jusqu’en 1838.
Transformation de l'Horloge par Schwilgué
De 1838 à 1843 2, l’horloge fut transformée par Jean-Baptiste Schwilgué (1776-1856), un Alsacien autodidacte qui après avoir été apprenti horloger, devint professeur de mathématiques, vérificateur des poids et mesures, et enfin entrepreneur. Schwilgué avait souhaité réparer l’horloge dès son plus jeune âge et cela resta une force directrice toute sa vie.
Les fonctions de l'horloge
La nouvelle horloge consiste en gros en de nouveaux mécanismes placés dans le buffet de la seconde horloge, datant du 16e siècle. Tous les cadrans sont aussi nouveaux, mais l’horloge est dans son ensemble conservatrice, dans le sens où les fonctions de l’horloge de Schwilgué diffèrent peu de celles de l’ancienne horloge, sauf pour ce qui est du défilé des Apôtres qui n’existait pas auparavant. Pour le reste, il y a toujours un équivalent.
Le comput ecclésiastique
Un détail du comput ecclésiastique
L’horloge de Schwilgué fait la même chose que l’horloge de Dasypodius, mais différemment, voire mieux : alors que l’ancienne horloge indiquait les fêtes mobiles par avance sur une période de 100 ans, la nouvelle horloge détermine les fêtes mobiles de l’année à venir à la fin de chaque année. Moyennant un remontage et un entretien régulier, on peut considérer ce mécanisme — le comput ecclésiastique — comme un calendrier perpétuel. La règle pascale est assez simple à énoncer et la définition de la date de Pâques a été adoptée au concile de Nicée, en 325. Selon ce concile, Pâques tombe « le dimanche qui suit le quatorzième jour de la Lune qui tombe le 21 mars ou immédiatement après ».
Toutefois, les choses sont devenues plus compliquées lors de l’introduction du calendrier grégorien en 1582, lequel calendrier a modifié les dates des pleines lunes pascales et leurs règles de calcul. Dans l’état actuel de nos connaissances, Schwilgué a été le premier à avoir traduit mécaniquement le calcul de Pâques grégorien sous forme mécanique, et ce dès 1821 avec un prototype conçu en 1816. C’est ce même mécanisme qui figure, en plus grand, en bas à gauche de l’horloge actuelle.
Contrairement à ce qui est souvent dit, ce mécanisme n’est pas un ordinateur, bien que « comput » soit la racine de computer (ordinateur). Le « comput ecclésiastique » est en fait le « calcul de l’Église ».
Il existe un modèle réduit du comput de Schwilgué, construit dans les années 1970 par Frédéric Klinghammer.
Les automates
L’horloge comporte bien d’autres renseignements intéressants, mais ce qui attire le plus les touristes, ce sont les automates. Ceux-ci se mettent en mouvement aux quarts d'heures, aux heures et à midi (par rapport à l'heure de l'horloge qui est quasiment le temps moyen de Strasbourg).
Un ange sonne sur une cloche tandis que le second retourne un sablier et que quatre personnages, représentant les âges de la vie (de l’enfant au vieillard) défilent devant la Mort.
Au dernier étage, ce sont les douze Apôtres qui passent devant le Christ. L’horloge indique bien plus que l’heure officielle puisqu’elle permet aussi de connaître le temps moyen 3, le jour 4, le mois, l’année, le signe du zodiaque, la phase lunaire et la position de plusieurs planètes. L’ensemble des automates se met en fonction à 12 heures 30, quand pour l'horloge il est midi.
Voyage au pole sud et dans l'Océanie sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée :
Paris :Gide et J. Baudry ...,1842-1853.
Voyage au pole sud et dans l'Océanie sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée :
Paris :Gide et J. Baudry ...,1842-1853.
Voyage au pole sud et dans l'Océanie sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée :
Paris :Gide et J. Baudry ...,1842-1853.
Pierre Abélard est né en 1079 en Bretagne, au Pallet, près de Nantes, dans une famille noble. Sa mère se prénommait Lucie, son père, Béranger, lequel se chargea de l'éducation de ses enfants. Pierre eut trois frères et une sœur : Raoul, Porcaire et Dagobert et Denyse. Il mourut à 63 ans.
Il ne souhaitait pas faire le métier des armes. Après l'éducation que lui apporta son père, il suivit l'enseignement de Roscelin de Compiègne à Loches, et sans doute celui d'autres maîtres dans la vallée de la Loire (notamment à Angers et Tours[1]), puis vint à Paris vers 1100. Il y suivi l'enseignement de Guillaume de Champeaux, archidiacre de Notre-Dame, mais il s'oppose vite à celui-ci dans la Querelle des Universaux en prenant parti contre le réalisme, ce qui fera des deux hommes des rivaux jusqu'à leur mort.
À Paris, comme à Laon où il étudie ensuite auprès d'Anselme, alors que Guillaume de Champeaux a réussi à l'écarter de son enseignement parisien, Abélard se fait remarquer par l'originalité de sa pensée et son caractère incommode (qui sera souvent source de ses ennuis).
Revenu vers 1102 à Paris et devenu maître (nom donné à un enseignant dans le monde médiéval) où il rompt avec l'école capitulaire de Notre-Dame, il s'installe dans les environs de Paris sur la montagne Sainte-Geneviève où il fonde une école de rhétorique et de théologie ouverte par lui-même où il s'établit en 1108. Dans cette école, il enseigne la rhétorique et la philosophie scolastique, et propage ses idées dans les écoles de Melun, de Corbeil et de Paris. Il jouit très rapidement d'une grande renommée dans le monde des intellectuels et passe vite pour l'un des philosophes les plus importants de sa génération.
C'est un maître brillant qui a un grand succès. Cette école fut fréquentée par plus de 3000 auditeurs de toutes les nations, et d'où sortirent plusieurs hommes célèbres.
Il débute tardivement ses études de théologie, mais son succès est aussi important dans l'enseignement de cette matière que la philosophie. Il se trouve opposé à des personnalités éminemment importantes comme saint Bernard et Guillaume de Saint-Thierry, qui le considèrent comme un hérétique au vu de ses positions théologiques et doctrinaires sur la question de la trinité et sur la foi. « La foi, disait Abélard est l'opinion qu'on se fait des réalités cachées, non évidentes »[2]. Or la foi n'habite pas dans le cœur de l'homme à la manière d'une opinion[3], elle est un don (une grâce) de Dieu que nous ne pouvons acquérir par nous-mêmes, mais que nous pouvons soit accepter soit refuser[4]. Dans une longue Disputatio[5], Guillaume de Saint-Thierry réfute treize propositions d'Abélard, puis il alerte saint Bernard par lettre. Finalement, le concile de Sens condamne Abélard en juin-juillet 1140, qui se soumet.
Saint Bernard, abbé de Clairvaux, qui juge dangereuse l'influence de la pensée d'Abélard, demande au concile de Sens et au pape Innocent II de le condamner pour le scepticisme et le rationalisme de ses écrits et de son enseignement (1140). En se rendant à Rome pour faire appel de sa condamnation, Abélard accepte l'hospitalité de Pierre le Vénérable, abbé de Cluny, et y demeure plusieurs mois. Il meurt dans le prieuré clunisien de Saint-Marcel, près de Chalon-sur-Saône le 21 avril 1142. Son corps est transporté au Paraclet et Héloïse, morte en 1164, sera enterrée à ses côtés. En 1817, la ville de Paris, soucieuse de réaliser un geste fort à destination des Parisiens de l'est de la capitale, organise le transfert de la dépouille d'Héloïse et Abélard au cimetière du Père-Lachaise.
On peut voir aujourd'hui les restes du monastère (le Paraclet) fondé par Abélard près de Troyes, non loin de Provins.
Pierre Abélard et Héloïse selon Edmund Blair Leighton.
La vie et le caractère de Pierre Abélard nous sont connus en détail grâce à sa correspondance. Une lettre adressée à un ami inconnu présente son autobiographie, sur le modèle des Confessions de saint Augustin : Historia Calamitatum - L'Histoire des mes Malheurs. La correspondance comprend également les célèbres lettres échangées avec Héloïse.
Cette correspondance n'est connue qu'au travers de copies plus tardives. Il est donc impossible d'en assurer l'authenticité. Même si d'autres attributions ont été proposées (le nom de Jean de Meung fut par exemple avancé[6]) l'authenticité des lettres semble aujourd'hui la thèse la plus probable.
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Abélard est connu auprès du grand public, non pour ses écrits de logique et de théologie, mais pour sa liaison tragique avec Héloïse, qui fut une de ses élèves. À cette époque la jeune Héloïse[7] se faisait remarquer par son esprit, ses connaissances et sa beauté. Dans la perspective de diriger les études d'Héloïse, Abélard fut en pension chez le chanoine Fulbert, oncle d'Héloïse, et bientôt leur relation ne fut plus un mystère.[8]
Abélard expédie Héloïse dans sa famille en Bretagne. Elle y met au monde un fils qu'elle nomme Astrolabe.
Ils se marieront en secret par la suite, sur l'insistance de Fulbert. Héloïse y était opposée. Abélard lui, craignait que la divulgation de son mariage ne nuise à sa carrière universitaire. Ils veulent donc garder le mariage secret. Mais le chanoine Fulbert révèle le mariage au grand jour. Abélard ayant placé Héloïse au couvent d'Argenteuil, le chanoine crie à la répudiation. Hors de lui, il ordonne à des hommes de main d'aller mutiler Abélard. Celui-ci est émasculé : le scandale est énorme car c'est une punition réservée aux adultères. S'agissant d'une vengeance privée, commise au sein même du chapitre de Notre-Dame et sur le plus illustre clerc de son temps, elle consterne tout le royaume.
Les deux malfrats sont punis de la loi du talion - on leur creva les yeux, en prime -, et Fulbert est suspendu. Héloïse reste au couvent où elle prend le voile, non sans continuer d'entretenir une correspondance avec son mari, correspondance publiée sous le titre de Lettres d'Abélard et d'Héloïse vers 1130.
Par la suite, elle sut maintenir son indépendance d'une façon rare[réf. nécessaire] mais soutint toujours, malgré les soucis, Abélard.
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Le Paraclet
Située pour moitié sur le territoire de Ferreux-Quincey et celui de Saint-Aubin, l'abbaye du Paraclet incarne dans l'Aube la plus grande histoire d'amour du Moyen Âge. Elle est, en effet, intimement liée aux amants tragique Héloïse et Abélard. En effet, après avoir été expulsée du couvent d'Argenteuil, c'est Héloïse qui prend la direction de l'abbaye du Paraclet fondé par Abélard en 1122. Mais avant de pouvoir finir sa vie au calme tout relatif de la vie religieuse, le couple maudit affronte de nombreuses épreuves. Leur histoire remonte à l'hiver 1117 durant lequel Fulbert, chanoine de Paris, propose à Abélard de se charger de l'éducation de sa nièce Héloïse contre le couvert et le logis. Le théoricien est alors à l'apogée de sa carrière de théologien. Une carrière mise à mal par l'irrésistible amour qui naît entre le maître et l'élève. En effet, depuis la réforme grégorienne, les clercs doivent être célibataires. De cet amour interdit, naît un petit garçon prénommé « Astrolab ». L'oncle Fulbert découvre le pot aux roses. Il dénonce le mariage secret des deux amants. Comme la punition ne devait pas être assez sévère au goût de Fulbert, il envoie des hommes de main pour punir Abélard. Celui-ci est alors émasculé. Le scandale met en émoi tout le royaume. Fulbert est suspendu de ses fonctions pendant deux ans. Héloïse prend le voile à Argenteuil, et Abélard se retire comme moine à l'abbaye de Saint-Denis.
Unis dans l'éternité
Abélard meurt le 21 avril 1142 au prieuré clunisien de Saint-Marcel près de Chalon-sur-Saône. À la demande d'Héloïse, le corps d'Abélard est transféré à l'abbaye du Paraclet. En 1164, lorsqu'elle décède à son tour, elle est enterrée à ses côtés. Le couple demeure au Paraclet jusqu'en 1792 au moment de l'expulsion des dernières religieuses. L'abbaye connaît alors le même sort que de nombreux autres bien dits « nationaux » : elle est démontée pierre par pierre pour être vendue comme matériaux de construction. Déjà, au cours des siècles, elle avait connu des destructions puis des reconstructions, notamment durant la guerre de Cent Ans. Ces multiples transformations font que les bâtiments restants n'ont plus beaucoup de rapport avec l'abbaye du XIe siècle. Depuis 1925, la chapelle et l'obélisque sont inscrits aux Monuments historiques. Quant aux façades et aux toitures de l'ancien bâtiment conventuel, ils sont inscrits depuis 1995.
Realtà virtuale e robotica nel primo laboratorio italiano di riabilitazione hi-tech per bambini e ragazzi. L’inaugurazione all’IRCCS Medea di Bosisio Parini il 30 settembre 2019
In Italia i giovani con difficoltà motorie e cognitive sono centinaia di migliaia, per conseguenze di traumi invalidanti, come ad esempio un incidente stradale, per malattie gravi, come ad esempio i tumori cerebrali, per patologie che vanno diffondendosi, come l'autismo, o anche per disabilità presenti fin dalla nascita.
Per la loro riabilitazione e per la ricerca di nuovi trattamenti, il Polo di Bosisio Parini dell’IRCCS Medea il 30 settembre 2019 inaugura AstroLab, il primo laboratorio italiano hi-tech per bambini e ragazzi.
AstroLab è un laboratorio di ricerca e di cura che mette a disposizione dei piccoli pazienti spazi terapeutici dove le attività riabilitative assumono la forma di un gioco, grazie a tecnologie all'avanguardia e ad ambienti dall'aspetto futuristico.
AstroLab è stato realizzato con il contributo del Ministero della Salute e grazie all’importante sostegno di EMPATI@Lecco, progetto emblematico di Fondazione Cariplo e Regione Lombardia sul tema della riabilitazione coordinato da Univerlecco.
fr.wikipedia.org/wiki/Horloge_astronomique_de_Strasbourg
L'Horloge astronomique de la Cathédrale Notre-Dame de Strasbourg, dont le buffet richement décoré date du xvie siècle, est classée monument historique depuis le 15 avril 1987
Une première horloge avait été construite entre 1352 et 1354 dite des Trois Rois, mais elle a dû cesser de fonctionner au début du xvie siècle.
En deux phases, entre 1547 et 1574, une seconde horloge a été construite par les mathématiciens Christian Herlin et Conrad Dasypodius, les frères horlogers Habrecht et le peintre Tobias Stimmer. Cette horloge était une horloge astronomique planétaire et indiquait donc le déplacement des planètes sur un astrolabe. Un calendrier perpétuel indiquait les fêtes mobiles sur une durée de 100 ans. Enfin, les éclipses à venir étaient peintes sur des panneaux.
L’horloge de Dasypodius cessa de fonctionner peu avant la Révolution française et resta dans cet état jusqu’en 1838.
Transformation de l'Horloge par Schwilgué
De 1838 à 1843 2, l’horloge fut transformée par Jean-Baptiste Schwilgué (1776-1856), un Alsacien autodidacte qui après avoir été apprenti horloger, devint professeur de mathématiques, vérificateur des poids et mesures, et enfin entrepreneur. Schwilgué avait souhaité réparer l’horloge dès son plus jeune âge et cela resta une force directrice toute sa vie.
Les fonctions de l'horloge
La nouvelle horloge consiste en gros en de nouveaux mécanismes placés dans le buffet de la seconde horloge, datant du 16e siècle. Tous les cadrans sont aussi nouveaux, mais l’horloge est dans son ensemble conservatrice, dans le sens où les fonctions de l’horloge de Schwilgué diffèrent peu de celles de l’ancienne horloge, sauf pour ce qui est du défilé des Apôtres qui n’existait pas auparavant. Pour le reste, il y a toujours un équivalent.
Le comput ecclésiastique
Un détail du comput ecclésiastique
L’horloge de Schwilgué fait la même chose que l’horloge de Dasypodius, mais différemment, voire mieux : alors que l’ancienne horloge indiquait les fêtes mobiles par avance sur une période de 100 ans, la nouvelle horloge détermine les fêtes mobiles de l’année à venir à la fin de chaque année. Moyennant un remontage et un entretien régulier, on peut considérer ce mécanisme — le comput ecclésiastique — comme un calendrier perpétuel. La règle pascale est assez simple à énoncer et la définition de la date de Pâques a été adoptée au concile de Nicée, en 325. Selon ce concile, Pâques tombe « le dimanche qui suit le quatorzième jour de la Lune qui tombe le 21 mars ou immédiatement après ».
Toutefois, les choses sont devenues plus compliquées lors de l’introduction du calendrier grégorien en 1582, lequel calendrier a modifié les dates des pleines lunes pascales et leurs règles de calcul. Dans l’état actuel de nos connaissances, Schwilgué a été le premier à avoir traduit mécaniquement le calcul de Pâques grégorien sous forme mécanique, et ce dès 1821 avec un prototype conçu en 1816. C’est ce même mécanisme qui figure, en plus grand, en bas à gauche de l’horloge actuelle.
Contrairement à ce qui est souvent dit, ce mécanisme n’est pas un ordinateur, bien que « comput » soit la racine de computer (ordinateur). Le « comput ecclésiastique » est en fait le « calcul de l’Église ».
Il existe un modèle réduit du comput de Schwilgué, construit dans les années 1970 par Frédéric Klinghammer.
Les automates
L’horloge comporte bien d’autres renseignements intéressants, mais ce qui attire le plus les touristes, ce sont les automates. Ceux-ci se mettent en mouvement aux quarts d'heures, aux heures et à midi (par rapport à l'heure de l'horloge qui est quasiment le temps moyen de Strasbourg).
Un ange sonne sur une cloche tandis que le second retourne un sablier et que quatre personnages, représentant les âges de la vie (de l’enfant au vieillard) défilent devant la Mort.
Au dernier étage, ce sont les douze Apôtres qui passent devant le Christ. L’horloge indique bien plus que l’heure officielle puisqu’elle permet aussi de connaître le temps moyen 3, le jour 4, le mois, l’année, le signe du zodiaque, la phase lunaire et la position de plusieurs planètes. L’ensemble des automates se met en fonction à 12 heures 30, quand pour l'horloge il est midi.
fr.wikipedia.org/wiki/Horloge_astronomique_de_Strasbourg
L'Horloge astronomique de la Cathédrale Notre-Dame de Strasbourg, dont le buffet richement décoré date du xvie siècle, est classée monument historique depuis le 15 avril 1987
Une première horloge avait été construite entre 1352 et 1354 dite des Trois Rois, mais elle a dû cesser de fonctionner au début du xvie siècle.
En deux phases, entre 1547 et 1574, une seconde horloge a été construite par les mathématiciens Christian Herlin et Conrad Dasypodius, les frères horlogers Habrecht et le peintre Tobias Stimmer. Cette horloge était une horloge astronomique planétaire et indiquait donc le déplacement des planètes sur un astrolabe. Un calendrier perpétuel indiquait les fêtes mobiles sur une durée de 100 ans. Enfin, les éclipses à venir étaient peintes sur des panneaux.
L’horloge de Dasypodius cessa de fonctionner peu avant la Révolution française et resta dans cet état jusqu’en 1838.
Transformation de l'Horloge par Schwilgué
De 1838 à 1843 2, l’horloge fut transformée par Jean-Baptiste Schwilgué (1776-1856), un Alsacien autodidacte qui après avoir été apprenti horloger, devint professeur de mathématiques, vérificateur des poids et mesures, et enfin entrepreneur. Schwilgué avait souhaité réparer l’horloge dès son plus jeune âge et cela resta une force directrice toute sa vie.
Les fonctions de l'horloge
La nouvelle horloge consiste en gros en de nouveaux mécanismes placés dans le buffet de la seconde horloge, datant du 16e siècle. Tous les cadrans sont aussi nouveaux, mais l’horloge est dans son ensemble conservatrice, dans le sens où les fonctions de l’horloge de Schwilgué diffèrent peu de celles de l’ancienne horloge, sauf pour ce qui est du défilé des Apôtres qui n’existait pas auparavant. Pour le reste, il y a toujours un équivalent.
Le comput ecclésiastique
Un détail du comput ecclésiastique
L’horloge de Schwilgué fait la même chose que l’horloge de Dasypodius, mais différemment, voire mieux : alors que l’ancienne horloge indiquait les fêtes mobiles par avance sur une période de 100 ans, la nouvelle horloge détermine les fêtes mobiles de l’année à venir à la fin de chaque année. Moyennant un remontage et un entretien régulier, on peut considérer ce mécanisme — le comput ecclésiastique — comme un calendrier perpétuel. La règle pascale est assez simple à énoncer et la définition de la date de Pâques a été adoptée au concile de Nicée, en 325. Selon ce concile, Pâques tombe « le dimanche qui suit le quatorzième jour de la Lune qui tombe le 21 mars ou immédiatement après ».
Toutefois, les choses sont devenues plus compliquées lors de l’introduction du calendrier grégorien en 1582, lequel calendrier a modifié les dates des pleines lunes pascales et leurs règles de calcul. Dans l’état actuel de nos connaissances, Schwilgué a été le premier à avoir traduit mécaniquement le calcul de Pâques grégorien sous forme mécanique, et ce dès 1821 avec un prototype conçu en 1816. C’est ce même mécanisme qui figure, en plus grand, en bas à gauche de l’horloge actuelle.
Contrairement à ce qui est souvent dit, ce mécanisme n’est pas un ordinateur, bien que « comput » soit la racine de computer (ordinateur). Le « comput ecclésiastique » est en fait le « calcul de l’Église ».
Il existe un modèle réduit du comput de Schwilgué, construit dans les années 1970 par Frédéric Klinghammer.
Les automates
L’horloge comporte bien d’autres renseignements intéressants, mais ce qui attire le plus les touristes, ce sont les automates. Ceux-ci se mettent en mouvement aux quarts d'heures, aux heures et à midi (par rapport à l'heure de l'horloge qui est quasiment le temps moyen de Strasbourg).
Un ange sonne sur une cloche tandis que le second retourne un sablier et que quatre personnages, représentant les âges de la vie (de l’enfant au vieillard) défilent devant la Mort.
Au dernier étage, ce sont les douze Apôtres qui passent devant le Christ. L’horloge indique bien plus que l’heure officielle puisqu’elle permet aussi de connaître le temps moyen 3, le jour 4, le mois, l’année, le signe du zodiaque, la phase lunaire et la position de plusieurs planètes. L’ensemble des automates se met en fonction à 12 heures 30, quand pour l'horloge il est midi.
Du grec astron, astre et lambanein, l'astrolabe planisphérique fut inventé à Alexandrie au VIe siècle et sert a observer la position astres et à en déterminer la hauteur de l'horizon.
Constitué d'une plaque évidée (la mère), recouverte d'une partie ajourée (l'araignée). Cet astrolabe est gravé pour les latitudes de La Mecque, Medine et Fez.
assprouen.free.fr/dossiers/astrolabe_planispherique1.php#...
Figures féminine et masculine
Fin XIXè ou début du XXè siècle
île Kranket, Port de Madang, baie de l'Astrolabe
Papouasie-Nouvelle-Guinée
Bois, pigments (dont "bleu lessive")
Collecte 1910
Linden-Museum Stuttgart, Allemagne
Objets présentés dans l'exposition Océanie, Musée du quai Branly - Jacques Chirac, Paris
Voyage à travers le Pacifique, à la rencontre des cultures et peuples insulaires d’Océanie. De la Nouvelle-Guinée à l’Île de Pâques, d’Hawaii à la Nouvelle-Zélande, près de 200 oeuvres dressent le panorama de l’art d’un continent, passeur de traditions et des défis du présent. Extrait du site officiel de l'exposition Océanie
sur le site du musée du quai Branly - Jacques Chirac (Paris)
www.quaibranly.fr/fr/expositions-evenements/au-musee/expo...