View allAll Photos Tagged writing
This fragmentary Book of Hours was created in Ghent for the use of a woman with Dominican ties ca. 1300. Although quite a bit of text and imagery is missing, including the calendar and Office of the Dead, this tiny manuscript is lavishly decorated on nearly every page with marginal drolleries and grotesques, making it a rich and charming book even in its fragmentary state.
To explore fully digitized manuscripts with a virtual page-turning application, please visit Walters Ex Libris.
Oscar-nominated Writing for Film & Television alum Terri Tatchell spoke to VFS students from Writing, Acting, and Film Production about her career and success after co-writing the hit sci-fi feature, District 9.
Find out more about VFS's one-year Writing for Film & Television program at vfs.com/writing.
Pfingsten 52 – Fahrt Felkendorf
Pentecost 52 – trip to Felkendorf
Printed on Agfa-Lupex photographic paper.
Mongolia Exhibit, Chinese Writing Museum, Anyang. Complete indexed photo collection at WorldHistoryPics.com.
fancy sky writing over the bay yesterday at the 75th anniversary celebration.
There was also an ad for car insurance, but i didn't care to photograph it.
La feuille indiquée ci-dessus ne présente pas un "vrai tirage": il y a une ligne de petits traits verticaux - la ligne 6- en trop. L' "enfant de la feuille de papier" a eu là un petit doigt en trop. Un second AURICULAIRE. J'ai rencontré à Ségou un devin comme cela, qui avait un petit doigt en trop. C'était un très grand géomancien. Les djinns - JINEW - l'avaient emporté en brousse dès son enfance. Il s'agit ici évidemment d'une erreur - ou, mieux d'un lapsus- qui interdit - nous sommes sur INTERNET- à un de mes collègues de Ségou de décoder ce thème. [...]. Amitiés.
Donnons quelques indications pour réaliser l'espace énonciatif "silencieux" dans lequel vont s'inscrire - se jeter- se flécher- de haut en bas- les seize suites rectilinéaires de QUATRE fois QUATRE lignes de petits traits verticaux ( IIIIIIIII ) tracés de haut en bas et de la gauche vers droite. La longueur relative de chaque paquet de quatre lignes suit la longueur relative des quatre doigts de la main gauche vue du côté paume [ index, médium, annulaire, auriculaire]. Les petits traits verticaux du tirage latin de la géomancie sont offerts à tous les "paumés" du monde. Ils sortent de la PAUME du grand Autre - de ce lieu Yj que prudemment le géomancien a su quitter.
But à obtenir : Pour comprendre le lieu où le géomancien latin ou malien doit se trouver, il faut passer d'un point de vue ALPHA où le sujet supposé sans corps [ S] vise de j vers i - du Ciel vers la Terre- avec ses flèches des cibles grosses comme des POINTS à un point de vue BETA ∏ (dire "Béta pi") où le sujet supposé ayant corps [S barré = $ ] va faire parler S en n'étant plus en Sj, mais en passant en $i∏. Le TIRAGE européen n'est pas un JET DE POINTS, mais un JET DE TRAITS. Comment passe-t-on d'un JET DE POINTS [terminologie qui vient des géomanciens de langue arabe] à un JET DE TRAITS [l'acte des géomanciens latins] ? En quittant le site HAUT du politique (qui lance des POINTS au bout de ses flèches) pour conquérir le site BAS du religieux (qui va vider le site j HAUT du politique pour le remplacer par un super-pouvoir religieux j2∏ HAUT capable de lancer sur lui ses flèches). Ce sont les flèches du "Grand Autre" qui sont les TRAITS du "jet de traits" - du TIRAGE- des Latins. Le lieu sur TERRE -en bas- où se trouve le corps du géomancien est dangereux. Il risque de recevoir sur lui les flèches qu'il fait venir du CIEL. Ce lieu n'est humainement tenable que parce que le géomancien latin n'est pas assis sur sa feuille de papier "au pieds des LETTRES" . Il y a une coupure entre le corps du géomancien latin et la feuille de papier. Ce n'est pas le cas chez les géomanciens qui travaillent sur du sable à même le sol. Ces devins -comme dans la Tauromachie- doivent se loger à 90 degrés du flux des flèches qui tombent du Ciel sur la Terre. C'est en pensant à eux que j'ai écrit un texte à gauche de la feuille - se lisant en suivant les lettres du texte en montant de bas [X] en haut [Y] . On ne peut lire ce texte qu'en se plaçant à DROITE grâce à une rotation de + ∏/2 Radians [ + 90 degrés] en suivant la "rotation polaire" [de l'étoile polaire et de la trigonométrie]. Tout cela est très simple à comprendre. Il faut simplement un peu de temps.
Reprenons la procédure qu'il faut suivre pour passer d'un lieu non divinatoire [ALPHA] à un lieu divinatoire [ BETA ∏ ] :
Pierre CLASTRES dirait, il faut passer du point de vue d'une société à Etat (point de vue ALPHA dans S1) à un société sans ETAT (point de vue BETA ∏ dans S2) . Essayons de trouver cela dans la feuille de papier :
1. Il y a un HAUT [Y] et un BAS [X] dans la feuille de papier . Le géomancien n'est pas SUR la feuille. Ce n'est pas un sujet "sans corps" [S] placé en HAUT [Y] sur un objet "feuille" [ un corps supposé "sans sujet" ] placé en BAS [X]. Le géomancien latin est aux pieds des lettres [ aux pieds des traits] en BAS [X] . Sa main va chercher le lieu Yj d'où s'énoncent les petits traits verticaux de Haut en Bas - de Yj vers Xi- pour un géomancien qui n'est plus en Haut en Yj, mais en Bas en Xi∏. Les petits traits verticaux ne sortent pas d'un stylo bic orienté de haut en bas avec le haut Y du stylo placé vers l'épaule de celui qui écrit. Les petits traits verticaux sortent d'un stylo bic orienté vers l'épaule d'un Autre placée en miroir Y2∏ en face du devin. On produit ce placer de stylo dans un acte de calligraphie dès qu'on tient compte de l'écoulement de l'encre et de la gravitation nécessaire à cet écoulement. Le stylo du géomancien latin est tenu -comme le font certains gauchers- ou lorsqu'on écrit sur un mur et qu'il fasse tenir compte de l'écoulement de l'encre du stylo. Les traits viennent de Haut Y j vers le bas X i d'un point HAUT en miroir Yj tenu à distance du point HAUT où se trouve l'épaule du devin.
2. Il faut conquérir le point de vue que j'appelle BETA ∏. C'est facile de savoir ce qu'il faut faire pour ne pas être en BETA ∏. Il suffit que vous montriez du doigt n'importe quel point de cette feuille. Par exemple, montrez du doigt j------>i le premier trait de la ligne 6 en trop. Ce trait visé - du lieu où vous êtes- est en [Xi] et vous en tant que sujet supposé sans corps [S] vous êtes placé derrière la main qui montre du doigt . Vous êtes en [Yj]. Vous envoyez en quelque sorte une petite flèche j-->i sur la feuille. Vous êtes du côté de la source j de la flèche et la feuille réceptionne la pointe [i] de la flèche. Pour passer en BETA ∏, il faut que vous alliez fictivement - tel un shaman- sur le point i que vous montrez du doigt. Lorsque vous arriverez sur ce point Xi, vous allez vous retournez de 180 degrés - c'est le sens de l'indication ∏ dans BETA ∏. En BETA ∏, vous ne regardez plus le point i de votre flèche sur sa fin, mais le point j à sa source qui devient pour vous un point j∏. Les petits traits de la géomancie latine, ce sont des flèches j--->i qui tombent non pas de vous - puisque vous êtes passé en Xi∏, mais d'un AUTRE [ que vous bloquiez en ayant pris sa place]. C'est en vidant les lieux du politique -celui qui écrase le monde en se donnant à voir- que vous pouvez reconquérir ce qui vient du CIEL. Pour que l'acte divinatoire puisse se produire, il faut VIDER LES LIEUX [Y] d'où partent comme des flèches les petits traits du tirage. Une transformation simple est à faire par rapport à nos habitudes scolaires . Nous sommes habitués - grâce à la scolarisation - à être SUR la feuille de papier. Nous privilégions le point de vue que j'appelle ALPHA. En ALPHA, nous visons du doigt le monde. En ALPHA, nous sommes des sujets supposés sans corps placés en HAUT [Y] en j visant du doigt j------>i des objets locaux placés en BAS [X]. En ALPHA, nous voyons de haut en bas - du Ciel vers la Terre- les choses au bout de notre doigt. Nous sommes du côté du Ciel [ que nous ne voyons pas] . Nous voyons la Terre. Il faut passer en BETA ∏ . Pour cela, le plus simple, est d'aller en imagination sur la Terre -sur l'objet Xi- que nous visions du doigt- en quittant le site Ciel, HAUT, Yj. Nous produisons un voyage . Nous passons de Yj (où nous sommes) qui vise Xi (où nous ne sommes pas) à Xi noté Xi' [où nous nous plaçons ] ce qui nous conduit à quitter Yj [où nous ne sommes plus]. En Xi', nous nous retournons Xi'∏-----j'Y pour regarder d'où nous sommes partis. Nous sommes passé en BETA ∏ : Nous regardons de BAS en HAUT d'un point BAS Xi'∏ où nous nous sommes mis vers un point HAUT j'∏ proche de j ( que nous avons quitté et où nous ne sommes plus) . C'est cette transformation fondamentale qu'il faut savoir faire pour commencer à passer d'un point de vue NON DIVINATOIRE à un point de vue DIVINATOIRE. Une géomancie latine ou africaie questionne un lieu où se trouve quelqu'un ou quelque chose placé dans en un endroit vers lequel on peut s'adresser - quelque chose ou quelqu'un qui entend et qui va répondre [ Dieu, les Cieux, la Terre, etc] que si le devin ne s'y trouve pas. Il faut vider les lieux du politique - de ceux qui sont du côté de la source des flèches - pour faire parler le VIDE qui se trouve dans ces lieux vidés pour transformer une demande en réponse à l'intérieur d'un acte de langage proche d'une relation religieuse entre un BAS X ∏ où nous sommes et un HAUT Y∏= Y où la source de générativité - la matrice de toute chose- se trouve.
3. Le géomancien prête son stylo et son bras et sa main à un autre que lui pour lancer ses petits traits de Y VIRTUEL [ à la source des flèches où il n'est pas ] vers X [ où il se trouve] . Grâce à la coupure de la feuille [ le fait que la feuille est un rectangle de longueur finie ] - le géomancien latin n'est pas assis sur sa surface d'inscription à la différence d'un géomancien africain qui est assis sur le sol très près de sa surface d'inscription- . Les petits flèches des traits vont se piquer sur la feuille sans se piquer sur son corps au risque de la blesser. C'est pour éviter ce danger que les géomanciens bambara et gourmantché se placent à 90 degrés du flux Y -> X. Il est dangereux de se loger derrière une cible, mieux vaut la mettre à sa droite ou à sa gauche.
4. C'est de là - du point de vue BETA ∏ qu'il faut développer l'espace de demander de X où se trouve le géomancien à Y où se trouve celui qui peut l'entendre et lui répondre . POSER une question c'est l'écrire au pieds des Dieux : en HAUT [Y] de la feuille de papier. Le pluriel mit ici au mot Dieu, est un pluriel de majesté. Il a une propriété de topologie linguistique importante : grâce au pluriel , les Dieux ne peuvent pas tomber dangereusement pour ceux qui sont en BAS, de Y VERS X en suivant le jet des FLECHES comme si c'était UN DIEU qui les lançait et qui se lançait avec elles.
5. Il y a plusieurs façons de poser une question en français . Une personne A peut demander à une personne B par exemple: E1 = Tu viens ? [ avec un effet de ton comme en italien] ou E2 = Viens-tu ? [ avec un renversement pronom -verbe] ou E3 = Est-ce que tu viens ? [ avec l'opérateur fort barbare "est-ce que ?" ] ou E4 = Tu viens, n'est-ce pas ? [avec l'opérateur fort barbare "est-ce que ?" mis à la forme interro-négative ] ? E5= Tu viens ou tu ne viens pas ? E6= Viens-tu ou ne viens-tu pas ? E7 = Est-ce que tu viens ou est-ce que tu ne viens pas ? E8 = Est-ce que tu ne viendrais pas , hein ? Chacune de ces phrases à des sens différents qu'un étranger a du mal à appréhender. S'il fallait choisir une forme d'énonciation capable de désigner l'espace dans lequel se fait la demande géomantique d'un géomancien latin pour que s'énonce sous la forme d'un JET DE TRAITS une réponse divinatoire, je dirais qu'il faut utiliser la formule E3 au bout duquel on pourrait loger un HEIN !? LONG . E9 = Est ce que tu viens ? Heinnnn !? . Le géomancien latin va chercher de la Terre X vers le Ciel Y , le lieu Y d'où un Grand Autre [ réel ou fictif - captif d'un HEIN long de dimension langagière ] peut énoncer affirmativement - du CIEL vers la TERRE- la phrase Z qui a été inscrite en HAUT [Y] de la feuille au PIED du signifiant des Lettres.
EST-CE QUE Z [ = question énoncée sous la forme affirmative ] , HEIN !? [ = L'énonciateur d'un HEIN long va chercher à atteindre le réceptionnaire de sa question Z ( i'∏---->j'∏ ) pour l'amener avec lui ( j''2∏---->i''2∏) dans l'allonge de sa demande HEIN !? à réaliser affirmativement la réponse qu'il lui tend et qui se trouve dans sa question ] ?
Big part of my life shut down today. The Lincoln closed. First stepped into this place in 1977. 20 years ago I lived in two apartments off Lincoln Avenue. It was my second home. Hot days for the AC, cold days for the heat. Many hungover mornings. Shitload of writing. Best known for skillet breakfasts named after Civil War Generals and battles. Man this place is going to be missed.
Find out more about this story at www.vfs.com/blog/2009/05/11/william-davis-stars-in-writin...
Find out more about VFS's one-year Writing for Film & Television program at vfs.com/writing
Doorways to adventure, to home, to comfort...
Windows to souls, to self, to sustenance...
Writing and writing
to link yesterday to today to tomorrow
to hopes to dreams to my yesterdays, your tomorrows.
Write, right, write.
Created with fd's Flickr Toys.
I did this writing exercise that is available for free on Meredith Sue Willis web site. I did not time this one, because it was not part of the exercise.
232 words.
I. I actually enjoyed
the sound of my name
when it was rolling
off of your tongue.
II. Whenever you would
make your way
to go back home,
I missed you
from the moment
that you said
you had to leave.
III. I’ve never looked
so forward to starting
tomorrow, before I
met you.
IV. When you
made love to me
in the pale afternoon
light, I knew
that when you
touched me,
you really did
mean it
when you said
that I was only thing
that you have never
been able
to stop craving.
self initiated custom type sketch on A2. Was supposed to be 'Black eyed dog', like the Nick Drake song. But that didn't happen ;)
Title page of Colloquies of Erasmus Roterodamus by Sir Roger L’Estrange 1711.
On the facing page, an engraving of Erasmus Roterodamus.
Erasmus Roterodamus, a Catholic, challenged many of the practices of the Roman Catholic Church, a challenge readily picked up by the Protestant Church and Sir Roger L'estrange in this concerted tome.
Protestant – Catholic sectarianism.
Colloquies printed for Daniel Brown &c. London 1711.
Day 8
I write. A LOT.
These pages are photo notes, a list of potential instructors for next quarter, random observations, and bizarre quotes from Angela Kelly.
(HINT: For a glimpse into my mind and my life, view the fullsized version.)
Microscopic forms of fats etc from A Practical Manual on Blood and Urine and Microscopic Descriptions, Diseases Treatment etc.by John William Griffith.1848.
Published by Lea and Blanchard, Philadelphia. Green cloth boards c400 pages 20cm x 13cm.