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Donc voici un Tie moc Predator. Je suis assez content du résultat final. Par contre celui n’est pas fait pour jouer. Les ailes à l’arrière sont trop lourdes. C’est pour ça que je ne me suis pas fatigué à faire un support, à la longue la barre qui les tient se démonterait sous le poids. C’est pas si fragile que ça, mais faut penser à resserrer certaines liaisons des ailes quand on le remue (pour prendre des photos par exemple). Je suis assez content de mon mécanisme des ailes, il est assez ressemblant à l’originale, et sert vraiment à maintenir les ailes en position, enfin un certain temps, le poids et la gravité faisant le reste. A 4-5 futurs modifs de couleurs près, c’est fini. C’est-à-dire qu’il me maque 4 ou 5 pièces en gris claires que j’ai remplacé par du gris foncé et du noir.
Concernant le Tie predator lui-même :
starwars.fandom.com/wiki/Predator-class_fighter
Quand on touche à un Tie Legend, il y a quelques soucis à prendre en compte. Et encore ici j’ai des illustrations des comics. Mon souci c’est qu’elles diffèrent parfois, surtout concernant les images de l’arrière…
J’aime bien les Tie « pas pratique ». Et celui-là il mérite une médaille dans le genre, et même dans sa définition « officielle ».
Un point que je ne remets pas en cause, au moins sur ce Tie là, les ailes ne gênent pas la vue du pilote. Non, il y a la verrière d’origine pour ça !
Il y en a officiellement deux types. Le 1er type, c’est la verrière avec les fines ouvertures horizontales. Comme n’importe qui, qui ne soit pas aveugle, les pilotes se sont plains que ça gênait la visibilité… SANS BLAGUES ! Et y’avait pas un ingénieur pour s’en rendre compte ?!
Du coup les chefs d’escadrilles ont droit à une verrière plus classique pour y voir quelque chose. Mais pas leur escadron. Sans doute pour souligner la loyauté aveugle en l’Empire ? LOL !
Bon alors à part ça, il vole bien, hyper manœuvrable grâce à la géométrie variable de ses ailes. Il reste le chasseur spatial le plus manœuvrable de son temps, et l’un des plus rapide.
Heureusement qu’il peut les replier pour les vols atmosphériques. Parce que deux panneaux en prises directe au vent…
Dans le vide spatial OK, mais ce qui est très bête c’est que la première fois qu’on les voit en comics, c’est avec panneaux écartés dans l’atmosphère de Coruscant… De plus ça ne doit pas tellement être un Tie, plus un Fie (Four Ion Engine ou simplement un TIE pour Tetra Ion Engine ?). Tout le monde s’en foue ? Je me prends trop la tête ?
Ensuite ils sont stockés façon chauve-souris dans les Destroyer Stellaire. D’où ma question : ils les garent comment ? Marche arrière verticale ?
A l’avant il y a aussi des variantes. Concernant les 4 blasters, soit ils sont représentés en « X », soit en « + ». Le plus souvent en « + » quand même. C’est donc ce que j’ai choisi de représenter. Et puis j’avais beau avoir 2 ou 3 idées de construction en « X », c’est plus simple et plus solide en « + » comme ça.
Sinon il dispose d’un bouclier (léger) et d’un hyperdrive. Ha et le mécanisme de géométrie variable des ailes est un cauchemar à entretenir.
Donc voici un Tie moc Predator. Je suis assez content du résultat final. Par contre celui n’est pas fait pour jouer. Les ailes à l’arrière sont trop lourdes. C’est pour ça que je ne me suis pas fatigué à faire un support, à la longue la barre qui les tient se démonterait sous le poids. C’est pas si fragile que ça, mais faut penser à resserrer certaines liaisons des ailes quand on le remue (pour prendre des photos par exemple). Je suis assez content de mon mécanisme des ailes, il est assez ressemblant à l’originale, et sert vraiment à maintenir les ailes en position, enfin un certain temps, le poids et la gravité faisant le reste. A 4-5 futurs modifs de couleurs près, c’est fini. C’est-à-dire qu’il me maque 4 ou 5 pièces en gris claires que j’ai remplacé par du gris foncé et du noir.
On t’a dit que tu dois te taire.
Et aujourd’hui tes lèvres, après tant de silence
sont sèches.
Souviens-toi que « Si tu fermes la bouche,
n’y entrent pas les mouches ».
Et on t’a dit d’apprendre
ta leçon de repliement et de servitude.
Rouge de cauchemar
cette couleur.
Elvio Romero
Ce château, construit de 1317 à 1333 à l'initiative de Jean XXII, fut une résidence secondaire des papes d'Avignon.
Incendié en 1563 par le baron des Adrets, il ne restera plus que le donjon et un grand pan de mur.
Lors de la seconde guerre mondiale, le donjon servit de dépôt d'explosifs et de munitions aux Allemands. Ceux-ci les firent sauter avant de se replier en aoüt 1944. Ce qui entraina la destruction d'une partie du donjon.
La Mante religieuse (Mantis religiosa) est une espèce d'insectes de l'ordre des mantoptères (Mantodea) et de la famille des Mantidae.
La faune Française comporte une petite dizaine d'espèces, en l'occurrence méditerranéennes, et il n'est guère que notre "Mantis religiosa" pour s'accommoder de régions nettement plus nordiques, puisqu'elle "remonte" au niveau du Havre, et est connue d'Alsace.
La mante religieuse est un insecte diurne de 6 à 8 centimètres de long.
Les deux sexes sont aptes au vol, néanmoins, la femelle alourdie à l'approche de la ponte ne peut se déplacer que grâce à ses pattes postérieures qualifiées de déambulatoires.
Le mâle est plus petit que la femelle de 2 ou 3 centimètres mais son caractère très fluet donne souvent l'impression d'une disparité allant du simple au double.
Ses antennes sont plus longues et son abdomen est plus fin.
Ses pattes avant, appelées "ravisseuses", portent des piques et sont capables de se replier et se détendre vivement.
Elles servent à attraper les proies.
Elles servent aussi à accrocher la végétation afin de se hisser.
Les pattes ravisseuses sont un modèle du genre car en se "projetant" elles permettent de littéralement harponner la proie, grâce à un éperon courbe très puissant et acéré.
Sitôt l'attaque portée, les pattes se replient et le futur déjeuner se retrouve "coincé" au sein d'une double rangée d'épines là aussi très développées.
Le tout permet la capture de proies volumineuses, aptes à résister et se défendre, jusqu'à de petits oiseaux et des chauve-souris, et peuvent parfois faire des blessures plus ou moins importantes à la peau humaine.
La Mante religieuse n'est pas venimeuse, elle est inoffensive pour les humains, elle peut cependant mordre si on la manipule sans précaution.
Ses yeux écartés très développés et proéminents lui donnent une excellente vision en relief.
Contrairement aux autres insectes, la Mante peut faire pivoter sa tête à 180°, ce qui lui permet de suivre les déplacements de ses proies sans bouger le corps.
Elle possède deux yeux composés (ou à facettes) et trois ocelles (yeux simples) entre les antennes.
Le champ de vision de la Mante religieuse est quasi périscopique, et il n'est guère d' insectes pour soutenir la comparaison.
Cette particularité fait que la bestiole peut rester parfaitement immobile, et donc ne pas trahir sa présence, tout en ayant loisir de guetter l'arrivée d'une proie, d'où qu'elle vienne.
Sur les antennes siège le sens auditif , des sensilles spécialisées, en l'occurrence mécano-réceptrices qui captent les vibrations de l'air produites par le vol d'un insecte.
Ces sensilles, dites filiformes, sont d'ailleurs connues chez d'autres orthoptères.
On trouve des individus bruns ou verts dans les mêmes lieux. Par leur homochromie, elles peuvent aisément passer inaperçues dans leur milieu.
Ces caractéristiques font de cet insecte un spécialiste de la chasse à l'affût.
La mante religieuse ne vole pas très vite, ni très loin.
Elle ne manque pas de puissance dans les ailes.
Son thorax est frêle mais ses pattes antérieures et ses mandibules puissantes.
Elle n'acquiert ses ailes définitives que lors de la dernière mue, mais ne se lance jamais dans de longues migrations, elle chasse parfois les papillons de nuit jusque dans les maisons.
Parfois appelée "le tigre de l'herbe" en raison de ses mœurs voraces, la mante religieuse se nourrit d'insectes vivants qu'elle attrape avec ses pattes avant et immobilise en dévorant parfois d'abord ses ganglions cervicaux puis le reste du corps jusqu'à l'extrémité de l'abdomen.
Elle laisse les parties trop dures comme certaines ailes ou pattes.
Ses pièces buccales sont de type broyeur, ce qui lui permet de manger très facilement des proies parfois aussi grosses qu’elle.
Ses proies sont généralement d'autres insectes comme des criquets, sauterelles, papillons, abeilles, mouches…
En Europe, la mante religieuse devenue adulte s'accouple d'août à octobre.
Le mâle, comme tout animal s'approchant d'une mante, se fait parfois dévorer pendant ou après la copulation.
Plusieurs accouplements peuvent avoir lieu, mais un seul est nécessaire pour la fécondation.
Même après avoir eu la tête coupée, le mâle continue à copuler et transmettre ses spermatozoïdes.
En septembre, octobre ou novembre, la femelle pond 200 à 300 œufs.
Elle dépose une soie blanche, proche de la mousse de polyuréthane, sur un support comme une tige forte, une pierre ou un mur, et lui fait prendre la forme d'une structure en lamelles qui protège les œufs jusqu'au printemps
Cette structure s'appelle l'oothèque.
Au printemps (mai, juin) une centaine de larves émergent de l'oothèque.
Chacune d'entre elles est confinée dans une très fine membrane, et après s'en être libérée, elle ressemblera en tous points à l'adulte.
Celles-ci sont par ailleurs des proies faciles.
Une araignée, des fourmis, des lézards ou même des oiseaux peuvent ainsi attaquer les nouveau-nés dès l'éclosion.
Après six métamorphoses successives, l'insecte adulte porte des ailes, absentes jusque-là et la femelle est fécondable.
Convolvulacée à très longues tiges rampantes angulaires ayant de 5 à 30 m de long. Feuille simple et épaisse, obovale-elliptique, émarginée, se repliant légèrement le long de la nervure centrale afin de réduire l'évaporation lors d'un fort ensoleillement. Corolle rose tachée de pourpre, de 5 à 6 cm, épanouie qu'une seule journée. Capsules globulaires de 10-15 mm, à 4 valves brunes renfermant chacune une graine.
Autres noms français : Lalanda (Maldives), Liane batatran, Patate adiran ou du bord de mer ou à Durand (Réunion), Patatran rouge (Seychelles), Poumpou (Comores). Espèce du haut des plages des zones tropicales des océans Atlantique, Indien et Pacifique (bon exemple de dispersion océanique), colonisant notamment les zones dégradées.
Dans de nombreux pays, l'espèce est un remède (décoction des racines ou des feuilles) contre les inflammations, les coliques, la gonorrhée et les douleurs. A La Réunion, les jeunes feuilles écrasées facilitent aussi l'extraction des épines d'oursins (cf. A Gurib-Fakim Guide de la Flore de Maurice et des Iles de l'Océan Indien, Wikipédia).
Convolvulacée à très longues tiges rampantes angulaires ayant de 5 à 30 m de long. Feuille simple et épaisse, obovale-elliptique, émarginée, se repliant légèrement le long de la nervure centrale afin de réduire l'évaporation lors d'un fort ensoleillement. Corolle rose tachée de pourpre, de 5 à 6 cm, épanouie qu'une seule journée. Capsules globulaires de 10-15 mm, à 4 valves brunes renfermant chacune une graine.
Autres noms français : Lalanda (Maldives), Liane batatran, Patate adiran ou bord de mer ou à Durand (Réunion), Patatran rouge (Seychelles), Poumpou (Comores). Espèce du haut des plages des zones tropicales des océans Atlantique, Indien et Pacifique (bon exemple de dispersion océanique), colonisant notamment les zones dégradées.
Dans de nombreux pays, l'espèce est un remède (décoction des racines ou des feuilles) contre les inflammations, les coliques, la gonorrhée et les douleurs. A La Réunion, les jeunes feuilles écrasées facilitent aussi l'extraction des épines d'oursins (cf. A Gurib-Fakim Guide de la Flore de Maurice et des Iles de l'Océan Indien, Wikipédia).
Donc voici un Tie moc Predator. Je suis assez content du résultat final. Par contre celui n’est pas fait pour jouer. Les ailes à l’arrière sont trop lourdes. C’est pour ça que je ne me suis pas fatigué à faire un support, à la longue la barre qui les tient se démonterait sous le poids. C’est pas si fragile que ça, mais faut penser à resserrer certaines liaisons des ailes quand on le remue (pour prendre des photos par exemple). Je suis assez content de mon mécanisme des ailes, il est assez ressemblant à l’originale, et sert vraiment à maintenir les ailes en position, enfin un certain temps, le poids et la gravité faisant le reste. A 4-5 futurs modifs de couleurs près, c’est fini. C’est-à-dire qu’il me maque 4 ou 5 pièces en gris claires que j’ai remplacé par du gris foncé et du noir.
Concernant le Tie predator lui-même :
starwars.fandom.com/wiki/Predator-class_fighter
Quand on touche à un Tie Legend, il y a quelques soucis à prendre en compte. Et encore ici j’ai des illustrations des comics. Mon souci c’est qu’elles diffèrent parfois, surtout concernant les images de l’arrière…
J’aime bien les Tie « pas pratique ». Et celui-là il mérite une médaille dans le genre, et même dans sa définition « officielle ».
Un point que je ne remets pas en cause, au moins sur ce Tie là, les ailes ne gênent pas la vue du pilote. Non, il y a la verrière d’origine pour ça !
Il y en a officiellement deux types. Le 1er type, c’est la verrière avec les fines ouvertures horizontales. Comme n’importe qui, qui ne soit pas aveugle, les pilotes se sont plains que ça gênait la visibilité… SANS BLAGUES ! Et y’avait pas un ingénieur pour s’en rendre compte ?!
Du coup les chefs d’escadrilles ont droit à une verrière plus classique pour y voir quelque chose. Mais pas leur escadron. Sans doute pour souligner la loyauté aveugle en l’Empire ? LOL !
Bon alors à part ça, il vole bien, hyper manœuvrable grâce à la géométrie variable de ses ailes. Il reste le chasseur spatial le plus manœuvrable de son temps, et l’un des plus rapide.
Heureusement qu’il peut les replier pour les vols atmosphériques. Parce que deux panneaux en prises directe au vent…
Dans le vide spatial OK, mais ce qui est très bête c’est que la première fois qu’on les voit en comics, c’est avec panneaux écartés dans l’atmosphère de Coruscant… De plus ça ne doit pas tellement être un Tie, plus un Fie (Four Ion Engine ou simplement un TIE pour Tetra Ion Engine ?). Tout le monde s’en foue ? Je me prends trop la tête ?
Ensuite ils sont stockés façon chauve-souris dans les Destroyer Stellaire. D’où ma question : ils les garent comment ? Marche arrière verticale ?
A l’avant il y a aussi des variantes. Concernant les 4 blasters, soit ils sont représentés en « X », soit en « + ». Le plus souvent en « + » quand même. C’est donc ce que j’ai choisi de représenter. Et puis j’avais beau avoir 2 ou 3 idées de construction en « X », c’est plus simple et plus solide en « + » comme ça.
Sinon il dispose d’un bouclier (léger) et d’un hyperdrive. Ha et le mécanisme de géométrie variable des ailes est un cauchemar à entretenir.
Donc voici un Tie moc Predator. Je suis assez content du résultat final. Par contre celui n’est pas fait pour jouer. Les ailes à l’arrière sont trop lourdes. C’est pour ça que je ne me suis pas fatigué à faire un support, à la longue la barre qui les tient se démonterait sous le poids. C’est pas si fragile que ça, mais faut penser à resserrer certaines liaisons des ailes quand on le remue (pour prendre des photos par exemple). Je suis assez content de mon mécanisme des ailes, il est assez ressemblant à l’originale, et sert vraiment à maintenir les ailes en position, enfin un certain temps, le poids et la gravité faisant le reste. A 4-5 futurs modifs de couleurs près, c’est fini. C’est-à-dire qu’il me maque 4 ou 5 pièces en gris claires que j’ai remplacé par du gris foncé et du noir.
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Papier kraft
Repli de mon masque de Hannya pour une exposition. J'ai encore utilisé du papier kraft pour sa couleur et pour que le modèle ne soit pas trop fragile. Le modèle est suffisamment grand cette fois pour que je puisse le porter.
Refold of my Hannya mask for an exhibit. I used kraft paper again for its color and such that the model wasn't too fragile. The model is big enough that I can wear it.
Série " Signification des prénoms..."
NADIA :
Nadia est la version courte du slave Nadejda (Надежда) qui se traduit par espérance (une des trois vertus théologales). La version française est Nadine.
À noter que la signification arabe de Nadia ou Nâdiya est différente : « celle qui appelle » ou « généreuse »1.
Selon des croyances néerlandaises, Nadia peut aussi faire référence à "na de dag" qui veut dire après le jour.
Personnalité de Nadia
Nadia est de nature extravertie et généreuse, et tient à émettre ses avis personnels en toutes circonstances, quitte à se faire qualifier de fille exubérante. Cependant, dans certaines situations plus simples, Nadia ne se prive pas de ses besoins d’imagination, de rêveries qui mêlent parfois hypersensibilité, fragilité émotionnelle, voire dépendance.
Ce prénom Nadia s’associe également à une personne qui exhibe occasionnellement son esprit de sacrifice face à des situations qui le nécessitent. Idéaliste de nature, Nadia présente un phénomène d’équilibre nerveux, souvent fragilisé lorsque ses rêveries n’arrivent pas à s’adapter au quotidien.
Dès son enfance, Nadia montre ses qualités démonstratives, adorables et attachantes qui se manifestent parfois par un désir de faire plaisir à sa famille et à ses proches. Cependant, un petit désagrément ou une mésentente peut à tout moment la déséquilibrer, ce qui la pousse généralement à se replier sur elle-même ou dans ses rêveries. Ainsi, Nadia ambitionne d’établir son autonomie bien avant sa période de maturité.
Nadia désire mettre à l’épreuve ses valeurs humanitaires et altruistes. D’un naturel curieux, elle s’efforce de s’intéresser aux particularités des structures sociales, associatives, humaines, spirituelles et occultes.
Dans le domaine professionnel, Nadia se veut intolérante, presque fanatique. Toutefois, elle témoigne d’une grande ouverture d’esprit : il n’est pas rare qu’elle s’engage en toute bonne foi dans des projets associatifs qui nécessitent une collaboration étroite avec ses collègues. En général, Nadia se sent attirée par les métiers de coopération tels que la finance, les prestations de services et diverses occupations qu’elle juge propices pour promouvoir son sens des responsabilités envers sa famille, ses proches et son partenaire.
Par ailleurs, Nadia aime éduquer, diriger et souhaite préserver la première place dans ses domaines de prédilection. Douée d’une énergie et d’une volonté nettement supérieures à la moyenne, cette personne montre un fort intérêt dans toutes ses tâches, professionnelles comme personnelles. Cependant, pour réaliser celles-ci, Nadia a constamment besoin de liberté, d’indépendance et d’autonomie durant ses phases de maturité.
En amour, Nadia peut se considérer sentimentale et romantique. Pour elle, l’amour consiste à idéaliser l’être aimé, à le chérir pour le placer ensuite sur un piédestal. Toutefois, consciente du risque de déception et de désillusion que ce comportement engendre, Nadia espère pouvoir prendre en main ses affaires sentimentales, c’est-à-dire récupérer sa dignité aux yeux de son amant.
Féminine, Nadia assumera pleinement la maternité, sans pour autant négliger ses autres valeurs fondamentales : elle aura sans doute besoin d’entreprendre autre chose que le simple rôle d’une mère de famille. Sensible aux valeurs affectives qui restent primordiales à ses yeux, Nadia se montre assez peu matérialiste.
Disposant des atouts conférés par son prénom d’origine arabe et russe, Nadia peut espérer une réussite incontestable, particulièrement dans les voies sociales ou artistiques. Aux métiers collaboratifs (bénévolat entre autres) s’ajoutent l’enseignement, la psychologie, la sociologie, l’assistance sociale, la puériculture, les paramédicaux, le secrétariat, les professions de l’art et de la musique, l’astrologie, la religion, etc. Il est également possible que Nadia opte pour une voie professionnelle plus particulière, ou simplement pour le rôle d’une mère de famille attentionnée. Pour information, parmi les Nadia célèbres, on compte Nadia Boulanger (pianiste, organiste, chef d’orchestre et pédagogue française) et Nadia Anjuman (journaliste afghane).
Couleur de Nadia
Le bleu est la couleur généralement associée à Nadia. En principe, il évoque une pensée ou un état, et peut exprimer un comportement, une émotion, une sensation ou une vibration.
Pierre précieuse :
La pierre précieuse associée au prénom Nadia est le saphir. Il symbolise l’amour couvert d’attachement envers la nature et la société. Ainsi, Nadia démontre un esprit d’inclination à l’égard de ses proches et surtout de son amant.
Huile et bois de chêne (polyptique) 3,4 x 5, 2 m (ouvert), 1432, baptistère de la cathédrale saint Bavon, Gand (Belgique).
Le retable est composé d'un total de vingt-quatre panneaux encadrés, avec deux scènes différentes, selon sa position ouverte ou fermée, obtenue en repliant vers l'intérieur les panneaux situés à ses extrémités.
Le registre supérieur de l'intérieur représente, en rouge, le Christ-Roi, en pontife suprême, réconciliateur de l'humanité avec le Créateur, siègeant entre la Vierge Marie et saint Jean-Baptiste. À droite et à gauche, se trouvent deux panneaux représentant des anges musiciens, chantant et jouant d'instruments de musique.
Sur les panneaux extérieurs, Adam et Ève, le registre inférieur du panneau central représentant l'Adoration de l'Agneau de Dieu, par plusieurs groupes de personnes profondément absorbés dans le culte et la prière, tous éclairés par une colombe représentant l'Esprit saint.
Les trois panneaux supérieurs, au centre du retable, représentent un personnage trônant de face entre la Vierge Marie à sa droite et saint Jean-Baptiste à sa gauche. L'identité de ce personnage vêtu de rouge n'est pas clairement établie et a donné lieu à de nombreux débats. Selon plusieurs historiens de l'art, il s'agit du Christ en majesté, représenté sous les habits d'un grand prêtre, de Dieu le père, ou la sainte trinité représentée par une seule et même personne (le fait que le personnage porte une triple tiare pourrait, selon certains, conférer une certaine crédibilité à cette théorie).
Entourant les trois figures centrales, des anges sont donc représentés, les uns jouant de la musique et les autres chantant. Les vêtements, les instruments et le sol sont peints avec un souci du détail remarquable. Les hymnaires de l'époque fournissent des instructions sur la façon de représenter graphiquement chaque note, ce qui a permis au historiens de l'art — après une étude minutieuse du tableau — d'identifier les notes chantées par chaque ange d'après leurs expressions faciales. De même, l'orgue, devant lequel est assise sainte Cécile, a été peint avec un tel degré de détails que des musicologues ont été capables de recréer une copie conforme de l'instrument, il en est de même pour la harpe représentée derrière l'orgue.
Les panneaux supérieurs latéraux représentent Adam et Ève (à gauche et à droite respectivement), chacun d'eux tournés en direction des trois personnages centraux. Ils se couvrent de feuilles de vigne, et Ève tient dans sa main un fruit qui n'est pas la pomme traditionnelle, mais bien un etrog (en hébreu : אתרוג), un petit agrume également connu sous le nom de pomme d'Adam. Adam semble vouloir sortir du cadre, donnant au tableau un aspect tridimensionnel.
Au-dessus d'eux, on peut observer deux scènes en grisaille, la première représente Abel sacrifiant à Dieu le premier agneau de son troupeau et Caïn en agriculteur présentant au Seigneur, une partie de ses récoltes (au-dessus d'Adam) ; la seconde représente l'assassinat d'Abel par son frère Caïn avec une mâchoire d'âne parce que, selon la Bible, Caïn était jaloux que le Seigneur ait regardé l'offrande d'Abel avec faveur et qu'il ait rejeté la sienne. Van Eyck peint ces personnages tels des statues, donnant ainsi de la profondeur à l'image (cf. wikipédia).
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Un modèle que j'avais envie de refaire depuis longtemps. Presque tout a été changé: flamme en changement de couleur, pointes plus longues sur la couronne, plus de détails sur les cheveux et la toge... Justement: la toge représente un changement majeur dans cette version. Dans la version précédente, la toge était réalisée par des replis dans le modèle. Dans la version présente, la toge est modelée puis enrobée autour du personnage. Ce modèle n'a malheureusement pas été très plaisant à plier puisque plusieurs détails ne me satisfont toujours pas et par la quantité de modelage requis. En effet, faire en sorte que tout tienne dans la bonne position, malgré le papier d'aluminium était tout un défi. Si le modèle était à refaire, la toge serait pliée dans un papier séparé. L'attache à l'épaule ne se fait pas bien en raison de la quantité d'épaisseurs utilisées. Dernière chose: les statues existantes ne sont pas intéressantes à faire car il n'y a aucune place pour des poses différentes. Elle doit toujours être exactement la même. Cette statue dans une pose assise? Ça ne fonctionnerait pas.
A model I wanted to remake for a long time. Almost everything was changed: color changed flame, longer spikes on crown, more details on hair and toga... The toga got a major change in this version. In the previous version, it was made using pleats in the model. In the current version, the toga is first shaped, then wrapped around the character. This model was unfortunately not very fun to fold because I'm still not satisfied by many details and because of the shaping involved. Indeed, having every part hold in the right position was a real challenge, even with the aluminum paper. If the model was to be remade, the toga would be in a separate paper. It doesn't hold well at the shoulder because of the many thicknesses. Last thing: existing statues are not interesting to make as there is no room for different poses. It must always be the same. This statue in a sitting pose? Wouldn't work.
As I post this, the OUSA2016 convention should be starting in a few hours. To my friends attending the convention: won't be there, have fun in my stead!
un moment fort la libération de l'alsace tout à la fin de la guerre de 39-45 lorsque les troupes allemandes se repliaient
FR :
J'ai revu en profondeur, la soute de fret/de débarquement. J'ai maximisé les détails. J'ai également revu les véhicules de la soute, pour les diversifier.
Les murs droit et gauche de la soute :
- Ventilateurs / aération
- Divers extincteurs
- Talkie walkie
- Outils de réparation
- Poste de communication
- Diverses jauges de pression
- Aspirateurs d'air ou autres gazs
- Voyant d’électricité et panneaux de pression/contrôle
- Bandes jaunes signalétique de danger/risque
- Valve
- Quelques Tuyauteries
- Bras articulé avec panneau de contrôle
- Calculateur de charge
- Siège bleu amovible (il se repli dans le mur. cela ne se voit pas comme cela)
- 3 bonbonnes d'air (airtank) de secours.
- Manettes de sécurité (blocage ou ouverte manuelle de la soute en cas de pépin électrique)
- 2 robots de maintenance
C'est bon, je crois que je suis paré pour l'exploration Lunaire ! :)
===============================
EN :
I thoroughly reviewed the cargo / disembarkation hold. I maximized the details. I also reviewed the vehicles in the hold, to diversify them.
The right and left walls of the cargo hold:
- Fans / ventilation
- 4 Various fire extinguishers
- Talkie Walkie
- Repair tools
- Communication station
- Various pressure gauges
- Aspirators for air or other gases
- Electricity light and pressure / control panels
- Yellow bands indicating danger / risk
- Valve
- Some piping
- Articulated arm with control panel
- Load calculator
- Removable blue seat (it folds into the wall. It doesn't show like that)
- 3 emergency airtanks.
- Safety levers (blocking or manual opening of the hold in the event of an electrical problem)
- 2 maintenance robots
It's okay, I think I'm ready for Lunar exploration ! :)
En équilibre
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La Mante religieuse (Mantis religiosa) est une espèce d'insectes de l'ordre des mantoptères (Mantodea) et de la famille des Mantidae.
La faune Française comporte une petite dizaine d'espèces, en l'occurrence méditerranéennes, et il n'est guère que notre "Mantis religiosa" pour s'accommoder de régions nettement plus nordiques, puisqu'elle "remonte" au niveau du Havre, et est connue d'Alsace.
La mante religieuse est un insecte diurne de 6 à 8 centimètres de long.
Les deux sexes sont aptes au vol, néanmoins, la femelle alourdie à l'approche de la ponte ne peut se déplacer que grâce à ses pattes postérieures qualifiées de déambulatoires.
Le mâle est plus petit que la femelle de 2 ou 3 centimètres mais son caractère très fluet donne souvent l'impression d'une disparité allant du simple au double.
Ses antennes sont plus longues et son abdomen est plus fin.
Ses pattes avant, appelées "ravisseuses", portent des piques et sont capables de se replier et se détendre vivement.
Elles servent à attraper les proies.
Elles servent aussi à accrocher la végétation afin de se hisser.
Les pattes ravisseuses sont un modèle du genre car en se "projetant" elles permettent de littéralement harponner la proie, grâce à un éperon courbe très puissant et acéré.
Sitôt l'attaque portée, les pattes se replient et le futur déjeuner se retrouve "coincé" au sein d'une double rangée d'épines là aussi très développées.
Le tout permet la capture de proies volumineuses, aptes à résister et se défendre, jusqu'à de petits oiseaux et des chauve-souris, et peuvent parfois faire des blessures plus ou moins importantes à la peau humaine.
La Mante religieuse n'est pas venimeuse, elle est inoffensive pour les humains, elle peut cependant mordre si on la manipule sans précaution.
Ses yeux écartés très développés et proéminents lui donnent une excellente vision en relief.
Contrairement aux autres insectes, la Mante peut faire pivoter sa tête à 180°, ce qui lui permet de suivre les déplacements de ses proies sans bouger le corps.
Elle possède deux yeux composés (ou à facettes) et trois ocelles (yeux simples) entre les antennes.
Le champ de vision de la Mante religieuse est quasi périscopique, et il n'est guère d' insectes pour soutenir la comparaison.
Cette particularité fait que la bestiole peut rester parfaitement immobile, et donc ne pas trahir sa présence, tout en ayant loisir de guetter l'arrivée d'une proie, d'où qu'elle vienne.
Sur les antennes siège le sens auditif , des sensilles spécialisées, en l'occurrence mécano-réceptrices qui captent les vibrations de l'air produites par le vol d'un insecte.
Ces sensilles, dites filiformes, sont d'ailleurs connues chez d'autres orthoptères.
On trouve des individus bruns ou verts dans les mêmes lieux. Par leur homochromie, elles peuvent aisément passer inaperçues dans leur milieu.
Ces caractéristiques font de cet insecte un spécialiste de la chasse à l'affût.
La mante religieuse ne vole pas très vite, ni très loin.
Elle ne manque pas de puissance dans les ailes.
Son thorax est frêle mais ses pattes antérieures et ses mandibules puissantes.
Elle n'acquiert ses ailes définitives que lors de la dernière mue, mais ne se lance jamais dans de longues migrations, elle chasse parfois les papillons de nuit jusque dans les maisons.
Parfois appelée "le tigre de l'herbe" en raison de ses mœurs voraces, la mante religieuse se nourrit d'insectes vivants qu'elle attrape avec ses pattes avant et immobilise en dévorant parfois d'abord ses ganglions cervicaux puis le reste du corps jusqu'à l'extrémité de l'abdomen.
Elle laisse les parties trop dures comme certaines ailes ou pattes.
Ses pièces buccales sont de type broyeur, ce qui lui permet de manger très facilement des proies parfois aussi grosses qu’elle.
Ses proies sont généralement d'autres insectes comme des criquets, sauterelles, papillons, abeilles, mouches…
En Europe, la mante religieuse devenue adulte s'accouple d'août à octobre.
Le mâle, comme tout animal s'approchant d'une mante, se fait parfois dévorer pendant ou après la copulation.
Plusieurs accouplements peuvent avoir lieu, mais un seul est nécessaire pour la fécondation.
Même après avoir eu la tête coupée, le mâle continue à copuler et transmettre ses spermatozoïdes.
En septembre, octobre ou novembre, la femelle pond 200 à 300 œufs.
Elle dépose une soie blanche, proche de la mousse de polyuréthane, sur un support comme une tige forte, une pierre ou un mur, et lui fait prendre la forme d'une structure en lamelles qui protège les œufs jusqu'au printemps
Cette structure s'appelle l'oothèque.
Au printemps (mai, juin) une centaine de larves émergent de l'oothèque.
Chacune d'entre elles est confinée dans une très fine membrane, et après s'en être libérée, elle ressemblera en tous points à l'adulte.
Celles-ci sont par ailleurs des proies faciles.
Une araignée, des fourmis, des lézards ou même des oiseaux peuvent ainsi attaquer les nouveau-nés dès l'éclosion.
Après six métamorphoses successives, l'insecte adulte porte des ailes, absentes jusque-là et la femelle est fécondable.
The existence of a castle built by Hohenstaufen is attested since 1147. Then named Staufenberg, it dominates the plain of Alsace to more than 700 meters of altitude. This situation on a rock headland in fact an ideal observatory of the principal roads of the area, and a strategic point of fold. This strong castle takes its name of Koenigsbourg (royal castle) about 1192.
L'existence d'un château construit par les Hohenstaufen est attestée dès 1147. Alors nommé Staufenberg, il domine la plaine d'Alsace à plus de 700 mètres d'altitude. Cette situation sur un promontoire rocheux en fait un observatoire idéal des principales routes de la région, et un point de repli stratégique. Ce château fort prend son nom de Koenigsbourg (château royal) vers 1192.
FR :
J'ai revu en profondeur, la soute de fret/de débarquement. J'ai maximisé les détails. J'ai également revu les véhicules de la soute, pour les diversifier.
Les murs droit et gauche de la soute :
- Ventilateurs / aération
- Divers extincteurs
- Talkie walkie
- Outils de réparation
- Poste de communication
- Diverses jauges de pression
- Aspirateurs d'air ou autres gazs
- Voyant d’électricité et panneaux de pression/contrôle
- Bandes jaunes signalétique de danger/risque
- Valve
- Quelques Tuyauteries
- Bras articulé avec panneau de contrôle
- Calculateur de charge
- Siège bleu amovible (il se repli dans le mur. cela ne se voit pas comme cela)
- 3 bonbonnes d'air (airtank) de secours.
- Manettes de sécurité (blocage ou ouverte manuelle de la soute en cas de pépin électrique)
- 2 robots de maintenance
C'est bon, je crois que je suis paré pour l'exploration Lunaire ! :)
===============================
EN :
I thoroughly reviewed the cargo / disembarkation hold. I maximized the details. I also reviewed the vehicles in the hold, to diversify them.
The right and left walls of the cargo hold:
- Fans / ventilation
- 4 Various fire extinguishers
- Talkie Walkie
- Repair tools
- Communication station
- Various pressure gauges
- Aspirators for air or other gases
- Electricity light and pressure / control panels
- Yellow bands indicating danger / risk
- Valve
- Some piping
- Articulated arm with control panel
- Load calculator
- Removable blue seat (it folds into the wall. It doesn't show like that)
- 3 emergency airtanks.
- Safety levers (blocking or manual opening of the hold in the event of an electrical problem)
- 2 maintenance robots
It's okay, I think I'm ready for Lunar exploration ! :)
Fabacée de 10-40 cm à tiges herbacées grêles, rampantes ou ascendantes, épineuses, parfois grimpantes. Feuilles alternes, composées et bipennées, normalement persistantes. Long pétiole de 2-6 cm portant à l'extrémité 2 paires de pennes (parfois une seule) très rapprochées, chacune comportant 15-25 folioles de 6-10 mm. Très irritables, celles-ci ont la particularité de se replier au moindre choc (thigmonastie).
Il s'agit d'un mouvement spectaculaire du règne végétal, dû à de petits renflements à la base des feuilles et des folioles, appelés pulvinus, composés de cellules "motrices" spécialisées et gonflés d'eau. Au moindre attouchement, cette eau est évacuée dans les tissus avoisinants. La rétraction des feuilles touchées commence dans le dixième de seconde après le contact et se déroule en deux temps selon l'importance du contact. Tout d'abord, les folioles touchés se replient et disparaissent à la vue en environ 3-4 secondes. Un choc plus fort induit le repli des feuilles voisines et s'il est plus fort encore le mouvement de repli atteint toutes les feuilles d'un même côté, puis est suivi du repli des feuilles du côté opposé de la plante. Il y a donc deux transmissions distinctes : la première rétractation des folioles qui se propage à environ 2 m/minute, et dans un deuxième temps la rétractation des feuilles, quatre fois plus lente, atteignant toute la plante. Le tout est en trois mouvements : les folioles, les feuilles, puis toute la plante, puis le calme revenu, les feuilles reprennent leur port.
Inflorescence axillaire ou terminale, formée de 1-4 glomérules de couleur rose à pourpre, de 1 à 1,5 cm, portés par un pédoncule de 12-25 mm de long, chaque glomérule étant composé de nombreuses fleurs. Calice minuscule, corolle de 4 pétales soudés et campanulée, de 2 à 3 mm, avec 4 étamines roses à anthères blanches de 7-8 mm formant l'androcée et au milieu le style blanc filiforme. Gousse frangée, plate et composée de 3-4 articles, 1-1,5 cm, à marge armée de longs poils raides, chaque article contenant 1 graine lisse de forme ovale à orbiculaire, de couleur brune.
Autres noms français : Herbe mamzelle, Honteuse femelle, Manzelle Marie, Marie-honte, Mimosa pudique, Trompe la mort. Espèce originaire du Brésil, maintenant distribuée de façon pantropicale, largement naturalisée à travers le monde (cf. A Bärtels, mi-aime-a-ou.com).
Convolvulacée à très longues tiges rampantes angulaires ayant de 5 à 30 m de long. Feuille simple et épaisse, obovale-elliptique, émarginée, se repliant légèrement le long de la nervure centrale afin de réduire l'évaporation lors d'un fort ensoleillement. Corolle rose tachée de pourpre, de 5 à 6 cm, épanouie qu'une seule journée. Capsules globulaires de 10-15 mm, à 4 valves brunes renfermant chacune une graine.
Autres noms français : Lalanda (Maldives), Liane batatran, Patate adiran ou bord de mer ou à Durand (Réunion), Patatran rouge (Seychelles), Poumpou (Comores). Espèce du haut des plages des zones tropicales des océans Atlantique, Indien et Pacifique (bon exemple de dispersion océanique), colonisant notamment les zones dégradées.
Dans de nombreux pays, l'espèce est un remède (décoction des racines ou des feuilles) contre les inflammations, les coliques, la gonorrhée et les douleurs. A La Réunion, les jeunes feuilles écrasées facilitent aussi l'extraction des épines d'oursins (cf. A Gurib-Fakim Guide de la Flore de Maurice et des Iles de l'Océan Indien, Wikipédia).
un moment fort la libération de l'alsace tout à la fin de la guerre de 39-45 lorsque les troupes allemandes se repliaient
Chasse du 22 juin 2021
Alors qu'une supercellule remonte l'Isère de l'autre côté des Alpes, je préfère resté éloigné de la grêle et attendre qu'un orage remontant du sud touche la vallée du Grésivaudan et Grenoble. L'attente fût longue et c'est plutôt une bonne zone pluvieuse qui se sera formée dans la vallée. Quelques impacts finirent tout de même par tombés de mon côté. C'est par un gros flash sur le Massif du Vercors que ces 6 ascendants (l'un d'eux est perceptible légèrement à gauche de celui plein centre) remontèrent vers la cellule. Les points de départ dont je suis à peu près certain sont : le radar de précipitation du Moucherotte ; l'émetteur de St Nizier ; l'émetteur situé à côté de la Tour sans Venin.
Après cette photo, il était déjà l'heure de se replier, la pluie commençant à envahir Belledonne.
Ce château, construit de 1317 à 1333 à l'initiative de Jean XXII, fut une résidence secondaire des papes d'Avignon.
Incendié en 1563 par le baron des Adrets, il ne restera plus que le donjon et un grand pan de mur.
Lors de la seconde guerre mondiale, le donjon servit de dépôt d'explosifs et de munitions aux Allemands. Ceux-ci les firent sauter avant de se replier en aoüt 1944. Ce qui entraina la destruction d'une partie du donjon.
un moment fort la libération de l'alsace tout à la fin de la guerre de 39-45 lorsque les troupes allemandes se repliaient
Huile et bois de chêne (polyptique) 3,4 x 5, 2 m (ouvert), 1432, baptistère de la cathédrale saint Bavon, Gand (Belgique).
Le retable est composé d'un total de vingt-quatre panneaux encadrés, avec deux scènes différentes, selon sa position ouverte ou fermée, obtenue en repliant vers l'intérieur les panneaux situés à ses extrémités.
Le registre supérieur du retable en position fermée représente l'Annonciation à Marie sur quatre panneaux. À gauche, une représentation du message de l'archange Gabriel et à droite, la réponse apportée par la vierge Marie, qui, comme dans une autre version de l’Annonciation de Van Eyck, est écrite à l'envers, afin de permettre à Dieu de la lire. Il y a eu des spéculations quant à savoir si la vue, depuis la fenêtre, était le point de vue qu'avait Van Eyck depuis son lieu de travail, à Gand, ce qui pourrait nous donner une idée de l'endroit où Van Eyck aurait vécu ou travaillé (cf. wikipédia).
Après avoir percé à travers les Ardennes, les blindés allemands pénètrent dans l'Aisne le 15 mai, prenant de vitesse les troupes de la 9e armée française qui s'étaient déployées sur la Meuse et qui tentent de se replier.
Déterminés à tenir sans esprit de recul, quelques centaines de fantassins et artilleurs, en grande partie de la 22e division d'infanterie, épaulés par quelques tankistes, vont résister jusqu'au 18 mai aux assauts des troupes allemandes en s'appuyant sur les casemates de la forêt de Saint-Michel.
sites.google.com/associationst-michelloisedusouvenirdemai...
{ Ce hangar de 1917 a aujourd'hui 100 ans, c'est le plus gros en Europe et le plus gros en béton du monde, occupé par les français, allemand et américain, il laisse encore des traces d'un combat sanglant à l’intérieur où les allemands retranchés se protéger derrières de vulgaire poutre }
[FR]
Immense comme une cathédrale de fer et de béton, avec 150 m de long, 40 m de large, 30 m de haut, le Hangar à dirigeables d’Ecausseville se dresse à la porte du Cotentin. Il est l’unique survivant des douze centres aéronautiques construits pendant la Première Guerre Mondiale par la Marine Nationale pour abriter des dirigeables chargés de combattre les sous-marins ennemis.
En 1917, l'Allemagne se lance dans une guerre sous-marine à outrance. Le Hangar abrite alors les dirigeables chasseurs de sous-marins.
En 1967, d'autres ballons expérimentaux y seront étudiés.
Il a servit comme entrepôt par les allemands en 40 qui faisaient souvent le voyage jusqu'à cherbourg leur base de replis
Utilisés comme base arrière pour les avions reliant Paris à Cherbourg, les hangars sont désaffectés en 1927, celui en bois est démonté en 1932. La Marine décide de supprimer les dirigeables en 1936, moins efficaces et plus onéreux que l'aviation. L'autre est transféré en 1939, au début de la Seconde Guerre mondiale, à la Direction d'artillerie navale de Cherbourg.
Pendant l’Occupation, les Allemands s’installent en juin 1940 sur la commune d’Ecausseville, Ils y stockent les canons de 155 mm appartenant à deux batteries et placent des positions pour mitrailleuse ainsi qu’une batterie de canons de 88 mm pour la défense du site.
A compter du 8 juin 1944, les Américains appartenant au 8th Infantry Regiment (4th Infantry Division) appuyés par les chars de l’escadron C du 70th Tank Battalion débutent le siège du site et du village d’Ecausseville. Ils sont opposés aux soldats allemands du Grenadier-Regiment 922, 243. Infanterie-Division et du Sturm-Bataillon AOK 7, 709. Infanterie-Division
Utilisant un feu roulant (Le feu roulant de l'artillerie est une technique de combat inventée en juillet 1918, qui applique la tactique du feu roulant sur l'armée allemande partout où elle recule, la désorganisant dans sa retraite.)
Les americains progresse à travers les haies et terrain vague jusqu'au hangar ou s'étaient planqué les allemands, s'en suis une bataille sanglante à l'interieur du hangar.
Ensuite les prisonniers capturés seront stocké ici.
Après la bataille, le hangar servira de centre d’entretien
des véhicules de l’US Army ainsi que de dépôt de matériel.
Les hommes du 105th bataillon de la 860th Ordonance Compagny
aidés par les prisonniers de guerre allemands occuperont
les lieux jusqu’à la fin de la guerre.
Entre 1967 et 1969, une partie du Hangar est réservée à la Direction des Applications Militaires du Commissariat à l’Energie Atomique, pour la mise au point des ballons destinés aux essais des premières bombes H françaises à Mururoa.
Il s’agit de régler un système d’accrochage complexe des trois câbles devant assurer le maintien du ballon dans une position fixe ainsi que des câbles électriques assurant l’alimentation de l’amorce et de ceux assurant le transfert des signaux des nombreux appareils de mesure disposés sur le ballon et sur la bombe.
On peut remarquer des casemates de nid de mitrailleuse à l'entrée qui n'ont rien à voir avec celles des boches de 44.
[EN]
-The hangar at Ecausseville is one of the original two, who once stood here. The base was constructed in 1916 by the French navy during the First World war, so airships could from here patrol the waters against German U-Boats.The first hangar is long ago demolished, but the second, which was completed in 1919, still stands
-During the Second World War, the hangar was used by the Germans, to store material for building the Atlantic Wall in this region. After the landing by the Allies on June 6th, this became a goal for the 4th Division as a starting point towards Montebourg. When the 8th Regiment took hold of the hangar, this became the jump of point for Montebourg.
-The 3rd Battalion, 505th PIR, 82nd Airborne Div. moved right of the Carentan-Valognes railway track, heading forMagneville.
1st and 2nd Battalion, 4th Infantry Division had as jump of point right and left from around Fresville.
-German troops overhere consistedin this area, were elements of the 709- en de 243 infantery divisions, and units of the Sturm Bataljon AOK 7. After three attacks, the Germans finally retreated from Neuville-au-Plain.
To accomplish this the para’s of the 82nd were reinforced by GI’s from the 8th Regiment, 4th Infantry Division.
-At 06.30 hours, on June 9, the attack was continued after a 45 minute shelling by artillery. The 3rd and 2nd Battalion, 8th Regiment, 4th ID. moved between Fresville and Grainville towards Magneville.
The 1st Battalion, 8th Reg were pinned down and were stalled for a long time. The other two battalions crossed a meadow, but run into a creek, and could not move further.
The 456th Field Artillery Battalion was in position on June 11, and on 10.15 hours, a barrage of 15 minutes was shot into the German positions.
-On June 13, 359th Regiment, 90th Division took over the positions from the 82nd Airborne Division.
The 3rd Battalion 505th PIR near Granville was pinned down on June 9, and had to call in artillery.
-On June 9, L and I Company, 3rd Battalion, 8th Reg. reached the creek, but it was too wide to cross.
I Company take refuge in a appel orchard, but are isolated from other units. But help was on it’s way, and with help from L Comp, the hangar is taken, but both companies were now pinned down. K Company of the 3rd Battalion took defensive positions on the right flank.
-June 10, when E Company moved out to reinforce the other companies, they are greeted with German shells. The losses were high, 50 to 60 men were lost, plus all the mortars and machineguns. At the end of the day, around 19.00 hours, Sherman tanks from Company A
-70 Tank Battalion surrounded the Germans in Magneville. The Germans have 8,8cm guns, but have to surrender to A Comp, 8th Reg. Some 100 Germans are made prisoner, and at 21.00 hours, the men from A Comp dig themselves in. Meanwhile, 8th Reg. reinforce the rightside of Ecausseville to protect the 2nd and 3rd Battalion.
www.strijdbewijs.nl/cherbourg/out4.htm
fr.wikipedia.org/wiki/Hangar_%C3%A0_dirigeables_d%27%C3%8...
www.aerobase.fr/historique/dirigeables/Sea-Scout.html
www.dday-overlord.com/bataille-normandie/communes/manche/...
Café racer
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Triton: Triumph engine and Norton Featherbed frame
A café racer (/ˈkæf reɪsər/ KAF-ray-sər or less commonly /ˈkæfi ˌreɪsər/ KA-fi-RAY-sər) is a light-weight, lightly-powered motorcycle optimized for speed and handling rather than comfort — and optimized for quick rides over short distances.[1][2] With bodywork and control layout recalling early 1960's Grand Prix road racing motorcycles, café racers are noted for their low slung racing handlebars, prominent seat cowling and elongated fuel tanks, often with indentations to allow the rider's knees to grip the tank.[3]
The term itself developed among British motorcycle enthusiasts of the early 1960s, specifically the Rocker or "Ton-Up Boys" subculture where the bikes were used for short, quick rides between cafés — in other words, drinking establishments.[4][3][5][6]
In 1973, US freelance writer Wallace Wyss, contributing to Popular Mechanics magazine, wrote that the term café racer was originally used derogatorily in Europe to describe a "motorcyclist who played at being an Isle of Man road racer" and was in fact "someone who owned a racy machine but merely parked it near his table at the local outdoor cafe."[7]
In 2014, journalist Ben Stewart described the café racer as a "look made popular when European kids stripped down their small-displacement bikes to zip from one café hangout to another."[8]
Contents [hide]
1 Typical configuration
2 Evolution
3 Subculture
4 See also
5 References
6 Further reading
7 External links
Typical configuration[edit]
1962 racing motorcycle AJS 7R 350cc, on display at Gruber Museum in Weiler im Allgäu, Bavaria, Germany
BSA Goldstar 500 café racer
In addition to its characteristic light-weight and lightly-powered engine and distinctive bodywork, the café racer typically featured distinctive ergonomics.
Low, narrow handlebars — known as clip-ons (two separate bars that bolt directly to each fork tube), clubman or ace bars (one piece bars that attach to the standard mounting location but drop down and forward)[4] — enabled the rider to "tuck in", reducing wind resistance and improving control. Along with rearward located seat, the posture often required rearsets, or rear-set footrests and foot controls, again typical of racing motorcycles of the era.[9] Distinctive half or full race-style fairings were sometimes mounted to the forks or frame.[7]
The bikes featured minimalist styling, engines tuned for maximum speed and light road handling. A well-known example was "The Triton", a homemade combination of Norton Featherbed frame and Triumph Bonneville engine. It used a common and fast racing engine combined with a well-handling frame, the Featherbed frame by Norton Motorcycles.[9] Those with less money could opt for a "Tribsa"—the Triumph engine in a BSA frame. Other combinations such as the "Norvin" (a Vincent V-Twin engine in a Featherbed frame) and racing frames by Rickman or Seeley were also adopted for road use.[10]
Evolution[edit]
1977 Harley-Davidson XLCR
Café racer styling evolved throughout the time of their popularity. By the mid-1970s, Japanese bikes had overtaken British bikes in the marketplace, and the look of real Grand Prix racing bikes had changed. The hand-made, frequently unpainted aluminium racing fuel tanks of the 1960s had evolved into square, narrow, fibreglass tanks. Increasingly, three-cylinder Kawasaki two-strokes, four-cylinder four-stroke Kawasaki Z1, and four-cylinder Hondas were the basis for café racer conversions. By 1977, a number of manufacturers had taken notice of the café racer boom and were producing factory café racers, such as the well-received Moto Guzzi Le Mans[11] and the unpopular but unforgettable Harley-Davidson XLCR.[12][13][14] A Japanese thumper introduced in the late 1980s (to disappointing sales) the Honda GB500 'Tourist Trophy' emulated British café racers of the 1960s.[15]
In the mid-1970s, riders continued to modify standard production motorcycles into so-called "café racers" by simply equipping them with clubman bars and a small fairing around the headlight. A number of European manufacturers, including Benelli, BMW, Bultaco and Derbi produced factory "café" variants of their standard motorcycles in this manner,[16] without any modifications made to make them faster or more powerful,[17] a trend that continues today.[18][19]
Subculture[edit]
1960s Rockers under canopy outside Busy Bee Café, Watford, England, UK.
Suzuki S40 customised in a café racer style[20][21]
Honda CB 400 Four café racer
Rockers were a young and rebellious rock and roll counterculture[22] who wanted a fast, personalised and distinctive bike to travel between transport cafés along the newly built arterial motorways in and around British towns and cities.[23][24][25] Biker lore has it that the goal of many was to be able to reach 100 miles per hour (160 km/h)—called simply "the ton"—along such a route where the rider would leave from a café, race to a predetermined point and back to the café before a single song could play on the jukebox, called record-racing. But author Mike Seate contends that record-racing is a myth, the story having originated in an episode of the BBC Dixon of Dock Green television show.[26] Café racers are remembered as being especially fond of rockabilly music and their image is now embedded in today's rockabilly culture.[27][28]
The sub-culture continues to evolve with modern café racers taking style elements of the American Greaser, the British Rocker and modern motorcycle rider to create an global style all their own.[8][29] Google Trends shows that, since 2010, the number of searches for the term 'cafe racer' has increased by approximately a factor of three relative to the total number of Google searches.[30]
See also[edit]
59 Club
Ace Cafe London
Outline of motorcycles and motorcycling
References[edit]
1.Jump up ^ The Listener (British Broadcasting Corporation) 85: p.373. 1971.
2.Jump up ^ James Adam Bolton (November–December 2010). "Moto Guzzi T3 Special". Motorcycle Classics. Retrieved October 11, 2009.
3.^ Jump up to: a b Pratt, Paul Richard (April 1963). "A Trip Through North America". American Motorcycling (American Motorcycle Association) XVII (No.4): p.20. Retrieved 26 December 2014. "The American 'Cafe Racer' rides with 'ape' type handlebars as high as possible in order to attract attention whereas, in direct contrast his British brother rides with the handlebars as low as possible in a feeble attempt to emulate racer John Surtees. One thing they do have in common is the making of excessive noise."
4.^ Jump up to: a b Travis R. Wright (29 July 2009). "Highway stars". Detroit Metro Times. Retrieved 26 December 2014. "What about the so-called café racer — that low-profile vintage motorcycle rider who looks as if he just rode away from the Marquee Club circa '62? His motorcycle is minimal and slim-lined, unlike the mainstream Harleys and those angular sport bikes you're used to seeing on the road."
5.Jump up ^ Cafe Society (DVD). Sewickley, PA: Beaverbrook. 2009. ASIN B002L3OVJ0. "From their origins on the streets of 1950s England, the cafe racer has become one of the world's most desirable and distinctive motorcycles."
6.Jump up ^ "The History of Café Racers". Cafe Racer TV. Discovery Communications. 12 October 2010. Retrieved 26 December 2014. "The café racer movement may have been born in London in the 1950s, but it has developed into a subculture encompassing a desire for speed, a love of rock and roll, and ultimately an enduring love for a motorcycle that’s being revived worldwide."
7.^ Jump up to: a b Wyss, Wally (September 1973). "How to fit a fairing and ride a racer!". Popular Mechanics (The Hearst Corporation) 140 (No.3): p.166. Retrieved 26 December 2014. "The American trend toward cafe racers caught most of the world's bikemakers by surprise and, at this writing, only Triumph has anything that approaches a cafe racer—a new model called the Hurricane that has a seat-molded-into-the-gas-tank one-piece unit designed by American fairing designer Craig Vetter."
8.^ Jump up to: a b Stewart, Ben (20 June 2014). "You Should Build Your Own Retro Café Racer". Popular Mechanics. Hearst Communication. Retrieved 25 December 2014. "Take a look around the hippest neighborhoods across the country and you'll see motorcycles that look like something out of an old Steve McQueen movie—retro, minimalist, and tough."
9.^ Jump up to: a b Melling, Frank (26 September 2004). "Classic bikes: DIY Tritons". Telegraph (Telegraph Media Group). Retrieved 26 December 2014. "Originally, cost was a major influence. In 1965, a good engine from the ill-handling Triumph Tiger 110 cost £30. Another £30 bought a rough Norton Model 50 or ES2, which provided not only the frame but the gearbox, clutch, suspension and brakes."
10.Jump up ^ Egan, Peter (2009). Leanings 2: Great Stories by America's Favorite Motorcycle Writer. Minneapolis: Motorbooks. ISBN 9780760337165.
11.Jump up ^ "The 50 Greatest Motorcycles of All Time". Complex Magazine. New York: Complex Media. 28 March 2011. Retrieved 29 December 2014. "The sinister Le Mans was an immediate hit when launched in 1976."
12.Jump up ^ Brown, Roland. "Harley-Davidson XLCR". Motorcycle Classics (Premier issue). Retrieved August 24, 2009. "The Harley-Davidson XLCR was Willie G. Davidson's one and only brush with the cafe racer set, and it created a classic for all time"
13.Jump up ^ Lindsay, Brooke (5 November 2006). "Harley’s Sportster: From a Wild Child to a Grown-Up in 50 Years". New York Times. Retrieved 29 December 2014. "As grim as those days were in terms of performance, it was an era that produced two of the Sportsters considered most unusual and sought-after by collectors, the 1977-78 XLCR Cafe Racer and the 1983-85 XR1000. Both of these racebike-inspired models were risky departures for Harley, and both originally languished unsold in showrooms long after production concluded."
14.Jump up ^ Welsh, Jonathan (16 March 2012). "New Era for 'Hogs?' Harley-Davidson Styling Chief To Retire". Wall Street Journal (Dow Jones & Company). Driver’s Seat blog. Retrieved 29 December 2014. "His road-race-styled Café Racer built from 1977 to 1979 was a departure and a famous flop. However, the sleek bikes are now coveted by collectors."
15.Jump up ^ Backus, Richard (2011). "Honda GB500 Under the Radar". Motorcycle Classics (Ogden Publications) (January/February). Retrieved 29 December 2014. "Ducati, Triumph, Guzzi and others have enjoyed considerable success with repli-bikes in recent years, so maybe the Honda was just 10 years ahead of its time. 'Simplicity and grace are never out of style,' wrote Peter Egan in Cycle World’s 1989 review of the GB500, 'and the GB is a simple, handsome bike.'"
16.Jump up ^ Welsh, Jonathan (29 March 2010). "Moto Guzzi Cafe Classic: Retro, But Not Painfully So". Wall Street Journal (Dow Jones & Company). Driver’s Seat blog. Retrieved 29 December 2014. "The Cafe is based on the V7 Classic that came out about a year ago. The differences are cosmetic, but significant. The Cafe’s exhaust pipes are swept upwards and its it handlebars are low, “clip-on” style that give it the look of a vintage racer."
17.Jump up ^ Welsh, Jonathan (3 August 2011). "Moto Guzzi V7 Racer: A Test Ride". Wall Street Journal (Dow Jones & Company). Driver’s Seat blog. Retrieved 29 December 2014. "Its low, compact shape, racy down-turned handlebars and spoke wheels give it the look of a vintage grand prix bike while jewel-like details from the engine to the foot pegs suggest a hand-built custom machine. But it is really a dressed up version of the Italian company’s earlier mass-market V7 Classic."
18.Jump up ^ "Top 10 production café racers". Visordown. Immediate Media Company Ltd. 18 December 2013. Retrieved 27 December 2014. "Café racers are an odd phenomenon. They’re popular enough to inspire endless shed-built specials and even dedicated websites, magazines and TV shows, but when it comes to strolling into a showroom and buying one, the options are surprisingly thin on the ground."
19.Jump up ^ Plowright, Adam (23 December 2013). "Retro revival: Café racers are back!". Independent Online (Cape Town: Independent Newspapers (Pty) Limited). Retrieved 27 December 2014.
20.Jump up ^ "Ryca CS-1 cafe racer", BikeEXIF, Mar 13, 2012
21.Jump up ^ "Ryca CS-1 – Suzuki S40 Cafe Conversion by Paul Crowe", The Kneeslider, 2014
22.Jump up ^ Clinton, Jane (30 January 2011). "Old Rockers in tune with Mods". Daily Express (London: Northern and Shell Media Publications). Retrieved 27 December 2014. "Lenny Paterson, 61, who was a Rocker back in the Sixties and remains one at heart recalls the sense of being outcasts and rebels. 'Often you wouldn’t be allowed into cafes or bars with a leather jacket,' says the father of three who lives in Wallington, near Croydon, where he runs his own spare parts business."
23.Jump up ^ "Ray Pickrell". The Telegraph (Telegraph Media Group Limited). Obituaries. 1 May 2006. Retrieved 27 December 2014. "Those were the days of the 'rockers', and Ray learned to ride fast on the north London roads around the Ace Cafe and the Busy Bee where fellow bikers used to hold impromptu races."
24.Jump up ^ "Leader of the pack". Western Daily Press (Bristol: Local World). This is Somerset. 30 January 2009. Retrieved 27 December 2014. "Now aged 89, Father Bill, as he was known in east London, was one of the founders of the world famous 59 Club – the home of hordes of tearaway rockers, the hoodies of the day, who used to scream around London's North Circular on their Triumphs, Nortons and BSAs, terrifying the populace and causing retired majors to splutter into their sherry."
25.Jump up ^ McEwen, Charles; Brooke, Lindsay et al. (3 June 2011). "The Books of Summer, Awaiting Your Armchair". New York Times (The New York Times Company). Retrieved 27 December 2014. "Built in the 1930s on the busy North Circular Road, the open-all-night Ace [Cafe] was a haven for truckers and other nighthawks, serving up tea, coffee and thFe usual 30-weight diner fare. By the 1950s Ace regulars began to include a new breed of motorcyclist, mostly young, looking for a place to gather with their mates. They would listen to the jukebox rock 'n' roll and explore their machines' speed potential on the surrounding roads."
26.Jump up ^ McDermott, Jim (3 February 2009). "Cafe Racer Rave Up". Superbikeplanet.com. Hardscrabble Media LLC. Retrieved 27 December 2014.
27.Jump up ^ Jensen, Eric (5 November 2011). "Rose-coloured goggles: throb of the wild lures cafe racers back in time". Sydney Morning Herald (Fairfax Media). Retrieved 29 December 2014. "Mr Travis has noticed a rise in cafe-racer culture in the past few years - the motorcycle scene that grew out of rockabilly."
28.Jump up ^ Fullerton, Georgia (8 May 2014). "Throttle Roll motors into The Vic". City Hub (Sydney: Alternative Media Group of Australia). Retrieved 27 December 2014. "Throttle Roll promotor, Mark Hawwa, says the partnership between rock ‘n’ roll and motorbikes is an important one: 'The reason I brought in rock ‘n’ roll to the actual event is that back in the ’60s that was the music that these guys were listening to. The roots of the Cafe Racer comes back to rock ‘n’ roll music. Young guys on motorbikes, the pin-up girls and the guys with their slicked back hair-dos. It’s all just a whole lot of fun.'"
29.Jump up ^ Koutsoukis, Jason (9 December 2014). "Keep the motor running". Sydney Morning Herald (Fairfax Media). Retrieved 27 December 2014. "'The cafe racer culture is a phenomenon, not just in Australia, but around the world,' says motorcycle adventurer Rennie Scaysbrook, editor of Australia's Free Wheeling magazine, who spent 10 days last year riding an Enfield across the mountains of Nepal."
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Further reading[edit]
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Beale, Paul; Partridge, Eric (28 December 1993). Fergusson, Rosalind, ed. Shorter Slang Dictionary (Paperback). London: Routledge. ISBN 978-0415088664. Retrieved 26 December 2014.
Clay, Mike. (1988) Café Racers: Rockers, Rock 'n' Roll and the Coffee-bar Cult. London: Osprey Publishing. ISBN 0-85045-677-0
Cloesen, Uli (15 October 2014). Italian Cafe Racers. Dorchester: Veloce Publishing. ISBN 9781845847494.
D'Orléans, Paul and Lichter, Michael. Café Racers: Speed, Style, and Ton-Up Culture. Motorbooks, 2014 ISBN 978-0760345825
Duckworth, Mick (2011). Ace Times Speed Thrills and Tea Spills, a Cafe and Culture. UK: Redline Books. ISBN 9780955527869.
King, Anthony D. (26 April 1984). Buildings and Society: Essays on the Social Development of the Built Environment (Paperback) (Reprint ed.). London: Routledge. ISBN 978-0710202345. Retrieved 26 December 2014.
Puxley, Ray (2004). Britslang: An Uncensored A-Z of the People's Language, Including Rhyming Slang. London: Robson. ISBN 9781861057280.
Seate, Mike (2008). Café Racer: The Motorcycle: Featherbeds, clip-ons, rear-sets and the making of a ton-up boy. Stillwater , MN: Parker House. ISBN 0979689198.
Walker, Alastair. The Café Racer Phenomenon. 2009 Veloce Publishing ISBN 978-1-84584-264-2
Walker, Mick (1994). Cafe Racers of the 1960s. Wiltshire: Crowood Press. ISBN 1872004199.
Walker, Mick (2001). Cafe Racers of the 1970s (Reprint ed.). Wiltshire: Crowood Press. ISBN 1847972837.
External links[edit]
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Café racer at the Open Directory Project
Classic Motorcycles at DMOZ
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un moment fort la libération de l'alsace tout à la fin de la guerre de 39-45 lorsque les troupes allemandes se repliaient
Mimosa pudica ou sensitive est une plante rampante
de 10 à 40 cm de haut (jusqu'à un mètre)
originaire d’Amérique tropicale Ses feuilles alternes ont la particularité de se replier au moindre choc (le vent, la pluie, le toucher…
La légende raconte que le berger Iphis poursuivait de ses
ardeurs une belle nymphe. Près de succomber, la jeune fille appela à son secours le dieu Hymen qui la changea en sensitive
pour échapper au berger trop entreprenant.
Elle est connue aux Antilles françaises sous les noms de Marie-honte ou herbe mamzelle
Camara Kodak DX6490 con Raynox DCR250
Campo de Tarragona - La Mussara (Bosque)
Spanish:
Esta mariposa no se puede confundir con ninguna otra especie gracias a las grandes manchas azules, rodeadas de amarillo y negro, en forma de ojo, que luce en cada una de sus alas. El resto de la cara superior es de color rojo intenso, con manchas negras en el borde anterior de las alas delanteras y una orla grisácea en las cuatro alas. La cara inferior de las alas es casi negra, atravesada por líneas tenues más claras.
Alcanza los seis centímetros de envergadura.
Es común en toda Europa hasta el paralelo 60, en todo tipo de hábitats: praderas, claros de bosques, incluso en los parques y jardines de las ciudades. Vuela entre junio y septiembre, en general por debajo de los 2000 metros de altitud.
Las orugas son negras, punteadas finamente de blanco y con pinchos negros. Son grandes devoradoras de ortigas (Urtica dioica), de manera que incorporan el ácido fórmico de éstas a su sistema circulatorio, lo que les proporciona un magnífico método de defensa, pues les confiera mal sabor.
French:
Chenille épineuse du dernier stade du "Paon du jour" Inachis io: longueur maxi 42 mm, noire avec nombreux points blancs, fausses-pattes brun-jaunâtre, tête noire.
Les pattes antérieures sont plus ou moins atrophiées et impropres à la locomotion et elles sont repliées dans les poils du thorax de telle sorte qu'ils ne semblent n'avoir que 4 pattes
Picture Nimou #366
Parc du château de Rambouillet (78).
Effet collatéral de déprime automnale : Le photographe est à court d'imagination, et est contraint de se replier sur le minimalisme vintage, de surcroît animalier et sénile, ce qui n’arrange rien…
Mais c’est juste pour le fun, et pas davantage, et le photographe fera mieux la prochaine fois…
En tous cas, il va essayer d’être un peu plus imaginatif et créatif, mais les temps photographiques sont durs, et il ne peut rien promettre !
P.S. : Et, en plus, je commence à parler de moi à la troisième personne… Si ça continue ainsi, je vais devoir me trouver rapidement un bon psychanalyste !
32x32 boxpleat
Peau d'éléphant
Un autre essai de motif plus complexe qui part du centre. La conception de ce modèle n'était pas facile. J'ai l'habitude que les coupes soient perpendiculaires aux replis principaux ou tous parallèles (ce qui est bien le cas pour le treillis d'octogones.) Ici, pour optimiser l'utilisation du papier, j'ai dû utiliser des coupes parallèles aux replis pour obtenir les formes des coins. Le principal problème avec cette méthode est que les coupes sont très propices au déchirement et les murs sont moins rigides. En effet, j'ai dû ficeler le modèle pour le wetfolding puisqu'il ne tenait pas du tout en place. Une première: le centre est bien un carré découpé (réutilisé ailleurs). C'était la seule possibilité pour obtenir la symétrie de rotation du motif. Le treillis que j'aime le moins.
Another attempt of more complex pattern that starts from the center. Designing this model was not easy. I have the habit where the cuts are all perpendicular to the main pleats (which is indeed the case for the octogon lattice.) Here, to optimize paper usage, I had to use cuts parallel to the pleats to get the corner shapes. The main problem with this method is that the cuts can rip more easily and the walls are less rigid. Indeed, I had to wrap the model with strings for wetfolding as it did not hold it's shape at all. A first: the center is a square that's cut off (and reused elsewhere). This was the only possibility to get the rotational symmetry of the pattern. This lattice I like the least.
un moment fort la libération de l'alsace tout à la fin de la guerre de 39-45 lorsque les troupes allemandes se repliaient
A travers le brouillard hivernal j' ai aperçu cette Grande Aigrette sur le point de s' envoler. Elle finira toutefois par se replier ses ailes et rester sur sa branche.
13x44 boxpleat
Double soie + MC
Ceci est le logo de «Reboot», l'une de mes séries préférées quand j'étais jeune. Ce modèle à l'apparence simple m'a forcé à trouver une structure innovante pour obtenir les changements de couleur sans replis/bords dans les zones de couleur. Je ne doute pas réutiliser ce concept pour d'autres modèles.
This is the logo for «Reboot», one of my favorite series when I was a kid. This simple looking model forced me to find an innovative structure to obtain the color changes without pleats/borders on the color areas. I don't doubt I'll reuse this concept for other models.
Gauche: Maximal, 64x46 boxpleat
Droite: Predacon, 64x42 boxpleat
double soie + MC
L'une de mes séries préférées de ma jeunesse était Transformers: Beast Wars. Je me devais donc de faire les symboles des factions de cette série (essentiellement, maximals = gentils; predacons = méchants) en origami. Je crois que ces symboles sont un peu moins bien réussis que mes précédents, mais cela est dû à la plus grande complexité des formes (et davantage de replis). Malgré cela, je suis satisfait de la créativité dont j'ai fait preuve pour obtenir ces résultats.
One of my favorite series as a kid was Transformers: Beast Wars. I then had to make the faction symbols (essentially, maximals = good guys; predacons = bad guys) in origami. I think these two are a bit less successful than my previous ones, but that is mainly due to the larger complexity of their shapes (and much more pleats). Despite this, I am satisfied of the creativity I demonstrated in order to get those results.
Fabacée de 10-40 cm à tiges herbacées grêles, rampantes ou ascendantes, épineuses, parfois grimpantes. Feuilles alternes, composées et bipennées, normalement persistantes. Long pétiole de 2-6 cm portant à l'extrémité 2 paires de pennes (parfois une seule) très rapprochées, chacune comportant 15-25 folioles de 6-10 mm. Très irritables, celles-ci ont la particularité de se replier au moindre choc (thigmonastie).
Il s'agit d'un mouvement spectaculaire du règne végétal, dû à de petits renflements à la base des feuilles et des folioles, appelés pulvinus, composés de cellules "motrices" spécialisées et gonflés d'eau. Au moindre attouchement, cette eau est évacuée dans les tissus avoisinants. La rétraction des feuilles touchées commence dans le dixième de seconde après le contact et se déroule en deux temps selon l'importance du contact. Tout d'abord, les folioles touchés se replient et disparaissent à la vue en environ 3-4 secondes. Un choc plus fort induit le repli des feuilles voisines et s'il est plus fort encore le mouvement de repli atteint toutes les feuilles d'un même côté, puis est suivi du repli des feuilles du côté opposé de la plante. Il y a donc deux transmissions distinctes : la première rétractation des folioles qui se propage à environ 2 m/minute, et dans un deuxième temps la rétractation des feuilles, quatre fois plus lente, atteignant toute la plante. Le tout est en trois mouvements : les folioles, les feuilles, puis toute la plante, puis le calme revenu, les feuilles reprennent leur port.
Inflorescence axillaire ou terminale, formée de 1-4 glomérules de couleur rose à pourpre, de 1 à 1,5 cm, portés par un pédoncule de 12-25 mm de long, chaque glomérule étant composé de nombreuses fleurs. Calice minuscule, corolle de 4 pétales soudés et campanulée, de 2 à 3 mm, avec 4 étamines roses à anthères blanches de 7-8 mm formant l'androcée et au milieu le style blanc filiforme. Gousse frangée, plate et composée de 3-4 articles, 1-1,5 cm, à marge armée de longs poils raides, chaque article contenant 1 graine lisse de forme ovale à orbiculaire, de couleur brune.
Autres noms français : Herbe mamzelle, Honteuse femelle, Manzelle Marie, Marie-honte, Mimosa pudique, Trompe la mort. Espèce originaire du Brésil, maintenant distribuée de façon pantropicale, largement naturalisée à travers le monde (cf. A Bärtels, mi-aime-a-ou.com).