View allAll Photos Tagged polymorph

The butterflies of North America

Philadelphia :American Entomological Society,1868-1872.

biodiversitylibrary.org/page/56524334

The eyes for my polymorph cathy arrived! Mako Moon-15. This poor girl needs a real face up though.

Réalisation à partir de fractales ...

 

Copyright © 2013. Pascal DUVET. All rights reserved

Implacable approche Deleuzienne appliquée par les Guerriers du Chaos.

 

Durant les longs combats contre le système en place, les “Guerriers du Chaos” se déplacent dans la Demeure du Chaos devenue la “Cité Interdite” à travers des centaines de mètres de tunnels en surface et en sous-sol, par les salles machines, le Temple Protestant, les containers enterrés ou aériens, les toits, les passerelles tentaculaires d’Overground, le Bunker, les sculptures monumentales, les sources romaines et les éléments de végétations avec des élingues dans les arbres. ils jonglent en permanence entre les IPN et les treillis d’acier.

 

Les tunnels sont creusés dans une structure globale dense et contiguë empruntant les sources romaines du Domaine et les passages secrets du Temple Protestant. Bien qu’un grand nombre de Guerriers du Chaos évoluent simultanément dans les 9 000 m2 de la Demeure du Chaos, ils sont tellement “fondus” dans l’architecture glocale que très peu sont visibles de l’extérieur.

 

Cette forme de mouvement, décrite par les Guerriers du Chaos comme une “infestation“, cherche à redéfinir l’intérieur comme l’extérieur, et les intérieurs domestiques comme voies de communication. Nous jonglons à travers nos labyrinthes analogiques et tunnels numériques en laissant les cicatrices de lambeaux de peaux accrochés sur tous les murs de la Demeure. La stratégie des Guerriers du Chaos de “marcher à travers les murs” implique une conception de la “Cité interdite” comme non seulement le site, mais également comme le cœur même de la guerre, un milieu flexible, presque liquide et organique qui est toujours aléatoire et en prise à des changements permanents. Un véritable monde d’ombre face à l’ordre établi.

 

La Demeure du Chaos n’est jamais morte. C’est un bloc de matière primordiale et brute ; le culte d’un monstre unique, inerte et spontané, plus ultraviolet que toutes les autres mythologies telles les ombres devant Babylone entre le Tigre et l’Euphrate. Il ne faut jamais oublier que le Chaos précède tous les principes d’ordre et d’entropie, il n’est ni le bien ni le mal, car le monde n’est pas binaire, mec, c’ est l’incertitude du pouvoir. Il n’est ni un début, ni même une fin. C’est un trou noir, ce qui, par essence, fait des Guerriers du Chaos, des terroristes de la pensée… Le Chaos est un vide quantique dont les pirates que nous sommes sont les particules virtuelles, c’est la Materia Prima, le champ de tous les possibles.

 

Le Chaos naît dans les interstices d’un monde sous contrôle… C’est l’ordre que nous combattons qui crée le Chaos. Les théoriciens militaires contemporains sont occupés maintenant à re-conceptualiser les maps mouvants des mégapoles. En jeu, ce sont les concepts, les suppositions et les principes fondamentaux qui déterminent les stratégies et les tactiques militaires. Il y a des points communs considérables entre les textes théoriques considérés comme essentiels par les académies militaires et les écoles architecturales, l’Infra-mince de Duchamp est aussi cette interface entre ces deux mondes antagonistes.

 

En effet, les listes de lectures des institutions militaires contemporaines incluent des travaux depuis à peu près les années 1968, notamment sur les écrits de Gilles Deleuze, de Félix Guattari et de Guy Debord, ainsi que des écrits plus contemporains sur la théorie post-coloniale et post-structuraliste de l’urbanisme, de la psychologie, de la cybernétique. Les Guerriers du Chaos ont intégré ces données comme essentielles pour la résistance et la mise en place de TAZ comme la Borderline Biennial.

 

Les Guerriers du Chaos disent “l’espace que vous regardez, l’œuvre que vous regardez, ce n’est rien d’autre que votre interprétation”. La question est, comment interprétez-vous la Demeure du Chaos ? Un No man’s land, un espace ouvert selon la notation de Thiel ? L’ennemi interprète la Demeure du Chaos comme la “Cité Interdite” pour s’y déplacer et les portes centrales comme quelque chose dont le franchissement est un interdit sacré ou profane, et les murs d’enceinte comme quelque chose par lequel il est interdit de regarder, parce que des armes ou bien pire l’attendent derrière les murs, et des pièges de toutes natures sont derrière les portes centrales et périphériques de la “Cité Interdite”.

 

La Demeure est une bombe, lenteur de son explosion qui se propage dans tous les interstices de nos ennemis. La Demeure est l’estomac du rêve, la forme et les ombres des ennemis disparaissent, elles se mettent à hurler, à être digérées par le Chaos. Profaner le sanctuaire de la Demeure du Chaos, c’est violer l’ensemble de mesures assurant sa garantie, sa protection, avec une dimension de sauvegarde, de mise à part, d’intangibilité.

 

C’est parce que nos ennemis interprètent l’espace d’une façon traditionnelle et classique que nous ne voulons pas obéir à cette interprétation et tomber dans ses pièges. Les Guerriers du Chaos veulent les surprendre ! C’est l’essence même de la guerre. Nous devons vaincre l’ordre en place. Nous voici, nous autres Guerriers du Chaos nous glissant entre les fissures des murs du Temple, de l’état, du palais de justice, de l’université, de la bourse, de tous ces monolithes paranoïdes. Coupés de la tribu par la nostalgie brute, nous creusons un tunnel vers les mots perdus, les bombes imaginaires de la “Cité Interdite”.

 

C’est pourquoi nous avons opté pour la méthodologie de nous déplacer à travers les murs et les sous-sols de la Demeure… Comme un ver qui mange son chemin vers l’avant, émergeant à certains points et puis disparaissant. A mesure que le pouvoir disparaît, notre volonté de pouvoir doit être la disparition…

 

Les Guerriers du Chaos savent que la Demeure retient la réalité de nos ennemis et leurs formes entre les mâchoires de sa folie pour les consumer dans le soufre incombustible, le mercure philosophal. Sur leurs corps les Guerriers du Chaos portent la devise “Nutrisco ET Extinguo” qu’incarne la Salamandre alchimique symbole de la Demeure du Chaos.

 

Nous nous sommes délibérément interdit de définir la TAZ qui est explicite. Nous ne voulons pas créer de dogme politique. Nous nous contentons de tourner autour du sujet en lançant des sondes exploratoires s’articulant autour du principe des utopies pirates. La TAZ y est très liée, ne serait-ce que par une filiation d’idées : les concepteurs des TAZ se réclamant de l’esprit de révolte des flibustiers. On trouve d’ailleurs une longue partie sur la TAZ dans le livre sur les pirates de Mikhaïl W. Ramseier, “La Voile noire”, qui s’interroge entre autres sur l’éventuelle filiation que certains libertaires affirment reconnaître entre anarchie et piraterie.

 

Je vous en avais déjà parlé dans les précédentes lettres de la DDC, il faut impérativement lire l’histoire de la piraterie à travers entre autres, le livre de Marcus Rediker : « Villains of all nations ». Les coutumes pirates voulaient qu’à chaque création d’un nouvel équipage le navire nouvellement lancé sous l’étendard noir et blanc le personnalise en lui ajoutant un signe ou une particularité. Le « Jolly Rogers » s’imposait donc à la Demeure du Chaos comme étendard de valeurs communes au clan. Ainsi, 3 autres signes se sont imposés :- Le bandeau sur les yeux : signifiant du terrorisme dont la DDC à été accusée au procès de Grenoble mais aussi de l’état d’esprit du graffiti.- Le « cap » de l’aérosol associé à la goupille : tous 2 symboles d’une « bombe », d’un art controversé et d’une arme.

 

Nos ennemis nous affublent de noms tels que “Différence et Répétition”, “Entités rivales sans forme”, “Manœuvre fractale”, “Rapidité contre Rythmes”, “Machine de guerre”, “Anarchistes post-modernes”, “Terroristes intellectuels” et “Orgues de Staline”, “Cinquième colonne”, ils se réfèrent souvent au travail de Deleuze et de Guattari. Les machines de guerre, selon les philosophes, sont polymorphes ; des organismes diffus caractérisés par leur capacité à se métamorphoser, composés de petits groupes qui se fractionnent ou fusionnent entre eux, selon l’éventualité et les circonstances.

 

Deleuze et Guattari savaient bien que l’Etat pouvait aussi volontairement se transformer en machine de guerre. Plongée dans les eaux profondes, la Borderline Biennial va au-delà des contre-cultures, elle possède cet aspect festif de l’instant non contrôlé qui adhère en auto-organisation spontanée. C’est une épiphanie, une expérience démesurée aussi bien au niveau social qu’individuel. Notre TAZ de 40 jours et 40 nuits implique une certaine sauvagerie, une évolution du domestique au sauvage, un retour qui est un grand pas en avant. Elle implique également une danse du Chaos face à l’appareil de contrôle : l’Etat qui continue à se déliter et se pétrifier devant l’insurrection qui vient.

 

Nous déplaçons en cas d’attaque majeure notre conflit avec l’ordre établi dans l’Internet profond. On peut considérer que l’Internet profond est un outil important pour nos TAZ : “Si la TAZ est un campement nomade, alors l’Internet profond est le pourvoyeur des chants épiques, des généalogies et des légendes du clan ; il a en mémoire les routes secrètes des caravanes et les chemins d’embuscade qui assurent la fluidité de l’économie clanique ; il contient même certaines des routes à suivre et certains rêves qui seront vécus comme autant de signes et d’augures qui détruiront mentalement l’ennemi”.

 

Il est nécessaire de comprendre comment nos ennemis interprètent le principe désormais familier “d’essaimage”. La manœuvre de l’essaim en fait a été adaptée par les Guerriers du Chaos du principe d’intelligence artificielle, de l’intelligence de l’essaim, qui suppose que des capacités de résolution des problèmes soient trouvées dans l’interaction et la communication d’agents relativement peu sophistiqués (fourmis, oiseaux, abeilles, soldats) avec peu ou pas de commandement centralisé. L’essaim illustre le principe de non-linéarité apparente en termes spatiaux, organisationnels et temporels. Il est directement issu de la théorie du Chaos décrite par Lorenz et remasterisée par Gleick.

 

Le paradigme de manœuvre traditionnelle, caractérisé par la géométrie euclidienne, est transformé, selon les militaires par un nouveau paradigme en une géométrie complexe de type fractal. Selon nous, l’ensemble de Mandelbrot est localement connexe. En topologie militaire, la notion de connexité formalise le concept d’être d’un seul tenant, d’où notre avantage stratégique sur l’ennemi.

 

Cela peut expliquer la fascination de l’armée pour les modèles spatiaux et organisationnels et les modes opératifs avancés par des théoriciens tels que Deleuze et Guattari. Pour les militaires, la guerre urbaine est l’ultime forme post-moderne de conflit. La Foi en un plan de bataille structuré logiquement et à sens unique disparaît devant la complexité et l’ambiguïté de la réalité urbaine. Des artistes deviennent des combattants, et les combattants deviennent des artistes. Pour un ennemi de la Demeure du Chaos, les Guerriers du Chaos semblent “être partout : devant, derrière, sur les côtés, à droite et à gauche, en haut et en bas. Comment peut-on se battre dans cette façon ?”.

 

Pour aller plus loin nos ennemi nous demandent : pourquoi pas Derrida et la Déconstruction ? Nous répondons : Derrida est peut-être un peu trop conceptuel pour nous autres Guerriers du Chaos. Nous avons plus de choses en commun avec les architectes du désir ; nous combinons théorie et pratique. Nous pouvons lire, mais nous savons aussi comment construire et détruire et parfois, annihiler toute forme d’ennemis… Ces idées avaient été, bien sûr, conçues par Guy Debord et d’autres membres de l’Internationale Situationniste pour défier la hiérarchie construite de la cité capitaliste et pour casser les distinctions entre le public et le privé, entre l’intérieur et l’extérieur, l’usage et la fonction, en remplaçant l’espace privé par une surface publique “sans frontières ni limes”.

 

La violence mentale peut ainsi être projetée comme tolérable et le public encouragé à la soutenir. Ainsi, le développement et la diffusion de nouvelles technologies militaires encouragent la fiction qui est projetée dans le domaine public qu’une solution militaire est possible dans des situations où, au mieux, c’est très douteux. Le véritable danger est là. La fonction pratique ou tactique, la façon dont la théorie Deleuzienne influence les tactiques et les manœuvres militaires, soulève des questions sur la relation entre la théorie et la pratique. En termes discursifs, la guerre, s’il ne s’agit pas d’une guerre d’annihilation totale, constitue une forme de discours entre des ennemis.

 

Chaque action militaire est censée communiquer quelque chose à l’ennemi. Parler “d’essaimage” et de “destruction intelligente”, par la voix des Guerriers du Chaos, permet de communiquer à ses ennemis qu’ils ont la capacité d’effectuer des destructions bien plus importantes. Des raids ou attentats artistiques peuvent dont être projetés comme des alternatives plus modérées aux capacités dévastatrices possédées actuellement par les Guerriers du Chaos qu’ils déclencheront si l’ennemi dépasse le niveau “acceptable” de violence ou enfreint un accord tacite.

 

En termes de théorie militaire opérationnelle, il n’est jamais essentiel d’utiliser sa pleine capacité destructive, mais plutôt de maintenir le potentiel d’accroître le niveau d’atrocité mentale. Sinon, les menaces n’ont plus aucun sens.

 

Pour les Guerriers du Chaos, il n’y a pas de devenir, pas de révolution, pas de lutte, pas de voie ; chacun est déjà le monarque de sa propre peau, sa liberté inviolable n’attend que d’être complétée par l’amour des autres monarques, une politique de rêve, urgente comme le bleu du ciel et la folie de notre siècle.

 

Quand les Guerriers du Chaos parlent de théorie, cela semble être la question du changement de sa structure organisationnelle et hiérarchique. Et quand les Guerriers du Chaos parlent à l’ennemi, la théorie peut être comprise comme une arme particulièrement intimidante du type “shock and awe” (choc et épouvante), le message étant : “Tu ne comprendras même jamais ce qui annihile pour l’éternité ton ordre établi…

 

L’interview sulfureuse de la Spirale sur ma bio version trash

www.ehrmann.org/propaganda.html

English version now available (adult only) :

www.ehrmann.org/en/propaganda.html

  

courtesy of Organ Museum

©2011 www.AbodeofChaos.org

Blijdorp, Rotterdam, Zoo

  

Butterflies are part of the class of Insects in the order Lepidoptera. Moths are also included in this order. Adults butterflies have large, often brightly coloured wings, and conspicuous, fluttering flight. The group comprise the true butterflies (superfamily Papilionoidea), the skippers (superfamily Hesperioidea) and the moth-butterflies (superfamily Hedyloidea). Other families within Lepidoptera are referred to as moths. Butterfly fossils date to the mid Eocene epoch, 40–50 million years ago.[1]

 

Butterflies exhibit polymorphism, mimicry and aposematism. Some, like the Monarch, will migrate over long distances. Some butterflies have and parasitic relationships with organisms including protozoans, flies, ants, other invertebrates, and vertebrates. [2] [3] Some species are pests because in their larval stages they can damage domestic crops or trees; however, some species are agents of pollination of some plants, and caterpillars of a few butterflies (e.g., Harvesters) eat harmful insects. Culturally, butterflies are a popular motif in the visual and literary arts.

  

en.wikipedia.org/wiki/Butterfly

Problem: Your hackerspace is regularly flooded with TP-LINK 100-240v mains electricity to 5v USB chargers, but the AC power plug is of the North American NEMA type instead of the European Schuko/CEE-7 type. What to do?

 

Answer: Why not combine some into a huge array of chargers?

MacSimski's idea was to use a couple of filler metal welding rods and to solder the adapters onto that base. The rods can be used as a mains plug.

The result is the "Hack42 FestivalCharger": a 5v 10A powerbar which can simultaneously supply up to 33 devices with power (unless it trips the 16A breaker).

The welding rods are shielded with a PVC tube, which is capped with polymorph (protoplast).

The tube is further secured to the rods with a few sticks of hot glue, liberally applied in a few strategic locations.

Diamond in kimberlite from the Precambrian of South Africa. (public display, Montana Bureau of Mines and Geology Mineral Museum, Butte, Montana, USA)

 

A mineral is a naturally-occurring, solid, inorganic, crystalline substance having a fairly definite chemical composition and having fairly definite physical properties. At its simplest, a mineral is a naturally-occurring solid chemical. Currently, there are over 5200 named and described minerals - about 200 of them are common and about 20 of them are very common. Mineral classification is based on anion chemistry. Major categories of minerals are: elements, sulfides, oxides, halides, carbonates, sulfates, phosphates, and silicates.

 

Elements are fundamental substances of matter - matter that is composed of the same types of atoms. At present, 118 elements are known (four of them are still unnamed). Of these, 98 occur naturally on Earth (hydrogen to californium). Most of these occur in rocks & minerals, although some occur in very small, trace amounts. Only some elements occur in their native elemental state as minerals.

 

To find a native element in nature, it must be relatively non-reactive and there must be some concentration process. Metallic, semimetallic (metalloid), and nonmetallic elements are known in their native state.

 

The element carbon occurs principally in its native state as graphite (C) and diamond (C). Graphite is the common & far less valuable polymorph of carbon. A scarce polymorph of carbon is diamond. The physical properties of diamond and graphite couldn’t be more different, considering they have the same chemistry. Diamond has a nonmetallic, adamantine luster, typically occurs in cubic or octahedral (double-pyramid) crystals, or subspherical to irregularly-shaped masses, and is extremely hard (H≡10). Diamonds can be almost any color, but are typically clearish, grayish, or yellowish. Many diamonds are noticeably fluorescent under black light (ultraviolet light), but the color and intensity of fluorescence varies. Some diamonds are phosphorescent - under certain conditions, they glow for a short interval on their own.

 

Very rarely, diamond is a rock-forming mineral (see diamondite - www.flickr.com/photos/jsjgeology/14618393527).

 

The above specimen is a very rare, ultramafic igneous rock called kimberlite, which is the ultimate host rock for most diamonds. Kimberlites are unusual igneous bodies having overall pipe-shaped geometries. Their mode of formation is only moderately understood because they have not been observed forming. Kimberlites are known from scattered localities throughout the world - only some are significantly diamondiferous. Classic localities for diamonds are India and Brazil. Africa was also discovered to have many kimberlites and is world-famous for producing large numbers of diamonds. Other notable diamondiferous kimberlite occurrences include Russia, China, and northwestern Canada.

 

Kimberlites are named for the town of Kimberley, South Africa. Several kimberlite pipes occur in the Kimberley area. Kimberlites have a gently tapering-downward, pipe-shaped cross-section, somewhat like a carrot.

 

First Appearance - Batman Beyond (Animated TV Series) S1 Ep3 "Black Out" (January 31, 1999)

 

Inque looked like a regular human, except for her tones of blue. Whenever she went undercover, she assumed a featureless form, with a white oval on her face, making her unrecognizable.

 

Inque was a polymorph, able to change her size and shape at will. Her body was a thick dark fluid that she could shape into a wide variety of forms, and harden herself to create weapons. She could form tentacles, flatten herself into a puddle, and regenerate herself, even from some residue. She had super strength and the ability to climb up walls and ceilings. Inque also possessed telescopic vision.

 

Inque's origins and background remain undisclosed, but it is known that she was born into extreme poverty. Her precarious lifestyle eventually instilled in her an obsession with money, and that quickly became her raison d'être. She decided to take the easy way out and turned to the life of crime.

 

At some point afterwards, she allowed herself to become a biogenic mutant, allegedly for a substantial amount of money. From that point on, Inque put her talents for hire and became a corporate saboteur. Her deeds before clashing with Batman are unknown, but she had become one of Interpol's most wanted.

Photos of the Aileendoll Booth at the Pink Dolly Day! Thank you to everyone who dropped by to say hello :D!

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Stratford Butterfly Farm is a visitor attraction in Stratford-upon-Avon, Warwickshire, England.

A leafy tropical environment is simulated inside large greenhouses. There are numerous free flying butterflies, a few free flying birds, a pool containing fish, and running water. There are also insects and spiders living in glass displays.

 

A butterfly is a mainly day-flying insect of the order Lepidoptera, which includes the butterflies and moths. Like other holometabolous insects, the butterfly's life cycle consists of four parts: egg, larva, pupa and adult. Most species are diurnal. Butterflies have large, often brightly coloured wings, and conspicuous, fluttering flight. Butterflies comprise the true butterflies (superfamily Papilionoidea), the skippers (superfamily Hesperioidea) and the moth-butterflies (superfamily Hedyloidea). All the many other families within the Lepidoptera are referred to as moths. The earliest known butterfly fossils date to the mid Eocene epoch, between 40–50 million years ago.[1]

Butterflies exhibit polymorphism, mimicry and aposematism. Some, like the Monarch, will migrate over long distances. Some butterflies have evolved symbiotic and parasitic relationships with social insects such as ants. Some species are pests because in their larval stages they can damage domestic crops or trees; however, some species are agents of pollination of some plants, and caterpillars of a few butterflies (e.g., Harvesters) eat harmful insects. Culturally, butterflies are a popular motif in the visual and literary arts.

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Diamond crystal in kimberlite matrix. (public display, Field Museum of Natural History, Chicago, Illinois, USA)

 

A mineral is a naturally-occurring, solid, inorganic, crystalline substance having a fairly definite chemical composition and having fairly definite physical properties. At its simplest, a mineral is a naturally-occurring solid chemical. Currently, there are over 5200 named and described minerals - about 200 of them are common and about 20 of them are very common. Mineral classification is based on anion chemistry. Major categories of minerals are: elements, sulfides, oxides, halides, carbonates, sulfates, phosphates, and silicates.

 

Elements are fundamental substances of matter - matter that is composed of the same types of atoms. At present, 118 elements are known (four of them are still unnamed). Of these, 98 occur naturally on Earth (hydrogen to californium). Most of these occur in rocks & minerals, although some occur in very small, trace amounts. Only some elements occur in their native elemental state as minerals.

 

To find a native element in nature, it must be relatively non-reactive and there must be some concentration process. Metallic, semimetallic (metalloid), and nonmetallic elements are known in their native state.

 

The element carbon occurs principally in its native state as graphite (C) and diamond (C). Graphite is the common & far less valuable polymorph of carbon. A scarce polymorph of carbon is diamond. The physical properties of diamond and graphite couldn’t be more different, considering they have the same chemistry. Diamond has a nonmetallic, adamantine luster, typically occurs in cubic or octahedral (double-pyramid) crystals, or subspherical to irregularly-shaped masses, and is extremely hard (H≡10). Diamonds can be almost any color, but are typically clearish, grayish, or yellowish. Many diamonds are noticeably fluorescent under black light (ultraviolet light), but the color and intensity of fluorescence varies. Some diamonds are phosphorescent - under certain conditions, they glow for a short interval on their own.

 

Very rarely, diamond is a rock-forming mineral (see diamondite - www.flickr.com/photos/jsjgeology/14618393527).

 

The above specimen is a very rare, ultramafic igneous rock called kimberlite, which is the ultimate host rock for most diamonds. Kimberlites are unusual igneous bodies having overall pipe-shaped geometries. Their mode of formation is only moderately understood because they have not been observed forming. Kimberlites are known from scattered localities throughout the world - only some are significantly diamondiferous. Classic localities for diamonds are India and Brazil. Africa was also discovered to have many kimberlites and is world-famous for producing large numbers of diamonds. Other notable diamondiferous kimberlite occurrences include Russia, China, and northwestern Canada.

 

Kimberlites are named for the town of Kimberley, South Africa. Several kimberlite pipes occur in the Kimberley area. Kimberlites have a gently tapering-downward, pipe-shaped cross-section, somewhat like a carrot.

 

A text In English:

The Swallow-tailed Hummingbird, so called from its forked tail, is one of the largest hummingbirds in cities and gardens, but it also occurs in gallery forests, bushy pastures and edges of woods or coppices. It is green, except for the blue head and upper breast, turning to iridescent purple according to the direction of light; it has dark wings and a heavy black bill. The tail is dark blue with the external feathers longer than central ones. It is very aggressive and attacks other hummingbirds that dare to visit flowers in certain trees. Where the flowers are available for many months, the individual is fiercely territorial, but generally needs to search soon for other flowering plants. It flies to catch small insets on or under leaves in the gallery forests or woodlands. The female builds a small cup-shaped nest saddled on a branch, not far from the main trunk in the shade of leaves. Perched on favorite branches, the male can utter long but low chirps. Once in a while, it interrupts these singing sessions to feed, and flies back for more song or to clean the plumage. They occur from the Guianas and Amazon River to Paraguay and southeastern Peru. They can get along with partially deforested zones, but may disappear with intensive agriculture and with the development of treeless cities.

 

Um texto em Português:

Beija-flor Tesoura (Eupetomena macroura), fotografado em Brasília-DF, Brasil.

Eupetomena macroura (Gmelin, 1788): tesoura; swallow-tailed hummingbird c.

Destaca-se das espécies estudadas pelo maior porte e pela cauda comprida e bifurcada, o que lhe valeu o nome popular. Como é comum entre os beija-flores, é uma espécie agressiva que disputa com outras o seu território e fontes de alimento.

Nidificação: o ninho, em forma de tigela, é assentado numa forquilha de arbusto ou árvores, a cerca de 2 a 3 m do solo. O material utilizado na construção é composto por fibras vegetais incluindo painas, musgos e liquens, aderidos externamente com teias de aranhas.

Hábitat: capoeiras, cerrados, borda de matas e jardins.

Tamanho: 17,0 cm

A SEGUIR UM TEXTO ENCONTRADO E REPRODUZIDO DO ENDEREÇO nationalgeographic.abril.uol.com.br/ng/edicoes/83/reporta... DA NATIONAL GEOGRAFIC:

 

Prodígios da micro-engenharia, os beija-flores são os campeões dos pesos-leves entre as aves

Uma faísca safira, um frêmito de asas, e o minúsculo pássaro - ou seria um inseto? - some como miragem fugaz. Reaparece instantes depois, agora num ângulo melhor. É pássaro mesmo, um dervixe do tamanho do meu polegar com asas que batem 80 vertiginosas vezes por segundo, produzindo um zumbido quase inaudível. As penas da cauda, à guisa de leme, delicadamente direcionam o vôo em três direções. Ele fita a trombeta de uma vistosa flor alaranjada e do bico fino como agulha projeta uma língua delgada feito linha. Um raio de Sol ricocheteia de suas penas iridescentes. A cor refletida deslumbra como uma pedra preciosa contra uma janela ensolarada. Não admira que os beija-flores sejam tão queridos e que tanta gente já tenha tropeçado ao tentar descrevê-los. Nem mesmo circunspectos cientistas resistem a termos como "belo", "magnífico", "exótico".

Surpresa maior é o fato de o aparentemente frágil beija-flor ser uma das mais resistentes criaturas do reino animal. Cerca de 330 espécies prosperam em ambientes diversos, muitos deles brutais: do Alasca à Argentina, do deserto do Arizona à costa de Nova Scotia, da Amazônia à linha nevada acima dos 4,5 mil metros nos Andes (misteriosamente, essas aves só são encontradas no Novo Mundo).

"Eles vivem no limite do que é possível aos vertebrados, e com maestria", diz Karl Schuchmann, ornitólogo do Instituto Zoológico Alexander Koenig e do Fundo Brehm, na Alemanha. Schuchmann ouviu falar de um beija-flor que viveu 17 anos em cativeiro. "Imagine a resistência de um organismo de 5 ou 6 gramas para viver tanto tempo!", diz ele espantado. Em média, o minúsculo coração de um beija-flor bate cerca de 500 vezes por minuto (em repouso!). Assim, o desse pequeno cativo teria batido meio bilhão de vezes, quase o dobro do total de uma pessoa de 70 anos.

Mas esses passarinhos são duráveis apenas em vida. Quando morrem, seus ossos delicados e ocos quase nunca se fossilizam. Daí o assombro causado pela recente descoberta de um amontoado de fósseis de aves que talvez inclua um beija-flor ancestral de 30 milhões de anos. Como os beija-flores modernos, os espécimes fósseis tinham o bico longo e fino e os ossos superiores das asas mais curtos, terminando em uma saliência arredondada que talvez lhes permitisse fazer a rotação na articulação do ombro e parar no ar.

A outra surpresa foi o local do achado: no sul da Alemanha, longe do território dos beija-flores atuais. Para alguns cientistas, essa descoberta mostra que já existiram beija-flores fora das Américas, mas se extinguiram. Ou quem sabe os fósseis não fossem de beija-flor. Os céticos, entre eles Schuchmann, afirmam que muitas vezes, ao longo da evolução, outros grupos de aves adquiriram características semelhantes às do beija-flor. Os verdadeiros beija-flores, diz Schuchmann, evoluíram nas florestas do leste do Brasil, onde competiam com insetos pelo néctar das flores.

"O Brasil foi o laboratório do protótipo", diz o ornitólogo. "E o modelo funcionou." O beija-flor tornou-se a obra-prima da microengenharia da natureza. Aperfeiçoou sua habilidade de parar no ar há dezenas de milhões de anos para competir por parte das flores do Novo Mundo.

"Eles são uma ponte entre o mundo das aves e o dos insetos", diz Doug Altshuler, da Universidade da Califórnia em Riverside. Altshuler, que estuda o vôo dos beija-flores, examinou os movimentos das asas do pássaro. Observou que, nele, os impulsos elétricos propulsores dos músculos das asas lembram mais os dos insetos que os das aves. Talvez por isso o beija-flor produza tanta energia por batida de asas: mais, por unidade de massa, que qualquer outro vertebrado. Altshuler também analisou os trajetos neurais do beija-flor, que funcionam com a mesma vertiginosa velocidade encontrada nas aves mais ágeis, como seu primo mais próximo, o andorinhão. "São incríveis; uns pequenos Frankesteins", compara.

Certamente eles sabem intimidar: grama por grama, talvez sejam os maiores confrontadores da natureza. "O vocabulário do beija-flor deve ser 100% composto de palavrões", graceja Sheri Williamson, naturalista do Southeastern Arizona Bird Observatory. A agressão do beija-flor nasce de ferozes instintos territoriais moldados à necessidade de sugar néctar a cada poucos minutos. Os beija-flores competem desafiando e ameaçando uns aos outros. Postam-se face a face no ar, rodopiam, mergulham na direção da grama e voam de ré, em danças de dominância que terminam tão subitamente quanto começam.

O melhor lugar para vermos tais batalhas é nas montanhas, especialmente no Equador, em que ricos ecossistemas se apresentam em suas várias altitudes. Sheri supõe que o sentido norte-sul das cordilheiras americanas também crie rotas favoráveis à migração para onde haja constante suprimento de flores. O que contrasta, diz ela, com as barreiras naturais que se estendem de leste a oeste na África, como o Saara e o Mediterrâneo.

Algumas espécies de beija-flor, porém, adaptaram-se a atravessar vastidões planas, onde o alimento é escasso. Antes de sua intrépida migração da primavera para os Estados Unidos e o Canadá, os beija-flores-de-garganta-vermelha reúnem-se no México e empanturram-se de insetos e néctar. Armazenam gordura e duplicam de peso em uma semana. Em seguida, atravessam o golfo do México, voando 800 quilômetros sem escalas por 20 horas, até a costa distante.

A região próxima à linha do equador é um reino de beija-flores. Quem sai do aeroporto de Quito, no Equador, pode ser logo saudado por um cintilante beija-flor-violeta, com pintura de guerra de manchas púrpura iridescentes nos lados da face. A leste da cidade, nas cabeceiras da bacia Amazônica, o beija-flor-bico-de-espada esvoaça na mata portando o bico mais longo de todas as aves em proporção a seu tamanho: mais de metade do comprimento total do animal. Nas encostas do Cotopaxi, um vulcão ao sul de Quito, o beija-flor-do-chimborazo foi avistado acima dos 4,5 mil metros. Ali ele passa a noite entorpecido em cavernas, pois desacelera seu ritmo metabólico o suficiente para não morrer de fome antes de amanhecer. Mais tarde, aquecido pelo Sol, ele recomeça a se alimentar.

"Quem estuda beija-flores fica irremediavelmente enfeitiçado", diz Sheri Williamson. "São criaturinhas sedutoras. Tentei resistir, mas agora tenho sangue de beija-flor correndo nas veias."

Canon EOS 50D

www.flickr.com/map/?&fLat=-15.827534&fLon=-47.928...

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

The shell of the polymorphic snail Cepaea nemoralis, an example of logarithmic spiral. Edition (applied on the former snail image): shadows -> reduced; highlights -> enhanced; contrast -> slightly increased.

 

Focal length: 100 mm

Aperture: f/9.0

Exposure: 1/250 sec

ISO Speed: 100

A butterfly is a mainly day-flying insect of the order Lepidoptera, the butterflies and moths. Like other holometabolous insects, the butterfly's life cycle consists of four parts, egg, larva, pupa and adult. Most species are diurnal. Butterflies have large, often brightly coloured wings, and conspicuous, fluttering flight. Butterflies comprise the true butterflies (superfamily Papilionoidea), the skippers (superfamily Hesperioidea) and the moth-butterflies (superfamily Hedyloidea). All the many other families within the Lepidoptera are referred to as moths.

Butterflies exhibit polymorphism, mimicry and aposematism. Some, like the Monarch, will migrate over long distances. Some butterflies have evolved symbiotic and parasitic relationships with social insects such as ants. Some species are pests because in their larval stages they can damage domestic crops or trees; however, some species are agents of pollination of some plants, and caterpillars of a few butterflies (e.g., Harvesters) eat harmful insects. Culturally, butterflies are a popular motif in the visual and literary arts.

[source :wiki]

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Diamonds from Zaire ("D.R. Congo"). (each crystal is about 3 millimeters in size)

 

A mineral is a naturally-occurring, solid, inorganic, crystalline substance having a fairly definite chemical composition and having fairly definite physical properties. At its simplest, a mineral is a naturally-occurring solid chemical. Currently, there are over 5700 named and described minerals - about 200 of them are common and about 20 of them are very common. Mineral classification is based on anion chemistry. Major categories of minerals are: elements, sulfides, oxides, halides, carbonates, sulfates, phosphates, and silicates.

 

Elements are fundamental substances of matter - matter that is composed of the same types of atoms. At present, 118 elements are known (four of them are still unnamed). Of these, 98 occur naturally on Earth (hydrogen to californium). Most of these occur in rocks & minerals, although some occur in very small, trace amounts. Only some elements occur in their native elemental state as minerals.

 

To find a native element in nature, it must be relatively non-reactive and there must be some concentration process. Metallic, semimetallic (metalloid), and nonmetallic elements are known in their native state.

 

The element carbon occurs principally in its native state as graphite (C) and diamond (C). Graphite is the common & far less valuable polymorph of carbon. A scarce polymorph of carbon is diamond. The physical properties of diamond and graphite couldn’t be more different, considering they have the same chemistry. Diamond has a nonmetallic, adamantine luster, typically occurs in cubic or octahedral (double-pyramid) crystals, or subspherical to irregularly-shaped masses, and is extremely hard (H≡10). Diamonds can be almost any color, but are typically clearish, grayish, or yellowish. Many diamonds are noticeably fluorescent under black light (ultraviolet light), but the color and intensity of fluorescence varies. Some diamonds are phosphorescent - under certain conditions, they glow for a short interval on their own.

 

Very rarely, diamond is a rock-forming mineral (see diamondite - www.flickr.com/photos/jsjgeology/14618393527).

 

The rough African diamonds seen here have varying colors and display the common cubic crystal form. These specimens don't significantly fluoresce under ultraviolet light.

 

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Cannabis (/ˈkænəbɪs/) is a genus of flowering plant that includes three species (and seven taxa) or subspecies, sativa, indica, and ruderalis. The plant is indigenous to central Asia and the Indian subcontinent.

 

Cannabis has long been used for hemp fibre, for hemp oils, for medicinal purposes, and as a recreational drug. Industrial hemp products are made from cannabis plants selected to produce an abundance of fiber. To satisfy the UN Narcotics Convention, some cannabis strains have been bred to produce minimal levels of tetrahydrocannabinol (THC), the principal psychoactive constituent. Many plants have been selectively bred to produce a maximum of THC (cannabinoids), which is obtained by curing the flowers. Various compounds, including hashish and hash oil, are extracted from the plant.

 

Globally, in 2013, 60,400 kilograms of cannabis were produced legally. In 2013 between 128 and 232 million people are thought to have used cannabis as a recreational drug (2.7% to 4.9% of the global population between the ages of 15 and 65).

 

DESCIPTION

Cannabis is an annual, dioecious, flowering herb. The leaves are palmately compound or digitate, with serrate leaflets. The first pair of leaves usually have a single leaflet, the number gradually increasing up to a maximum of about thirteen leaflets per leaf (usually seven or nine), depending on variety and growing conditions. At the top of a flowering plant, this number again diminishes to a single leaflet per leaf. The lower leaf pairs usually occur in an opposite leaf arrangement and the upper leaf pairs in an alternate arrangement on the main stem of a mature plant.

 

The leaves have a peculiar and diagnostic venation pattern that enables persons poorly familiar with the plant to distinguish a cannabis leaf from unrelated species that have confusingly similar leaves (see illustration). As is common in serrated leaves, each serration has a central vein extending to its tip. However, the serration vein originates from lower down the central vein of the leaflet, typically opposite to the position of, not the first notch down, but the next notch. This means that on its way from the midrib of the leaflet to the point of the serration, the vein serving the tip of the serration passes close by the intervening notch. Sometimes the vein will actually pass tangent to the notch, but often it will pass by at a small distance, and when that happens a spur vein (occasionally a pair of such spur veins) branches off and joins the leaf margin at the deepest point of the notch. This venation pattern varies slightly among varieties, but in general it enables one to tell Cannabis leaves from superficially similar leaves without difficulty and without special equipment. Tiny samples of Cannabis plants also can be identified with precision by microscopic examination of leaf cells and similar features, but that requires special expertise and equipment.

 

The plant is believed to have originated in the mountainous regions northwest of the Himalayas.[citation needed] It is also known as hemp, although this term is often used to refer only to varieties of Cannabis cultivated for non-drug use.

 

REPRODUCTION

Cannabis normally has imperfect flowers, with staminate "male" and pistillate "female" flowers occurring on separate plants. It is not unusual, however, for individual plants to bear both male and female flowers. Although monoecious plants are often referred to as "hermaphrodites", true hermaphrodites (which are less common) bear staminate and pistillate structures on individual flowers, whereas monoecious plants bear male and female flowers at different locations on the same plant. Male flowers are normally borne on loose panicles, and female flowers are borne on racemes. "At a very early period the Chinese recognized the Cannabis plant as dioecious", and the (c. 3rd century BCE) Erya dictionary defined xi 枲 "male Cannabis" and fu 莩 (or ju 苴) "female Cannabis".

 

All known strains of Cannabis are wind-pollinated and the fruit is an achene. Most strains of Cannabis are short day plants, with the possible exception of C. sativa subsp. sativa var. spontanea (= C. ruderalis), which is commonly described as "auto-flowering" and may be day-neutral.

 

BIOCHEMISTRY AND DRUGS

Cannabis plants produce a group of chemicals called cannabinoids, which produce mental and physical effects when consumed.

 

Cannabinoids, terpenoids, and other compounds are secreted by glandular trichomes that occur most abundantly on the floral calyxes and bracts of female plants. As a drug it usually comes in the form of dried flower buds (marijuana), resin (hashish), or various extracts collectively known as hashish oil. In the early 20th century, it became illegal in most of the world to cultivate or possess Cannabis for sale or personal use.

 

CHROMOSOMES AND GENOME

Cannabis, like many organisms, is diploid, having a chromosome complement of 2n=20, although polyploid individuals have been artificially produced. The first genome sequence of Cannabis, which is estimated to be 820 Mb in size, was published in 2011 by a team of Canadian scientists.

 

TAXONOMY

The genus Cannabis was formerly placed in the Nettle (Urticaceae) or Mulberry (Moraceae) family, and later, along with the Humulus genus (hops), in a separate family, the Hemp family (Cannabaceae sensu stricto). Recent phylogenetic studies based on cpDNA restriction site analysis and gene sequencing strongly suggest that the Cannabaceae sensu stricto arose from within the former Celtidaceae family, and that the two families should be merged to form a single monophyletic family, the Cannabaceae sensu lato.

 

Various types of Cannabis have been described, and variously classified as species, subspecies, or varieties:

 

- plants cultivated for fiber and seed production, described as low-intoxicant, non-drug, or fiber types.

- plants cultivated for drug production, described as high-intoxicant or drug types.

- escaped, hybridised, or wild forms of either of the above types.

 

Cannabis plants produce a unique family of terpeno-phenolic compounds called cannabinoids, which produce the "high" one experiences from consuming marijuana. There are 483 identifiable chemical constituents known to exist in the cannabis plant, and at least 85 different cannabinoids have been isolated from the plant. The two cannabinoids usually produced in greatest abundance are cannabidiol (CBD) and/or Δ9-tetrahydrocannabinol (THC), but only THC is psychoactive. Since the early 1970s, Cannabis plants have been categorized by their chemical phenotype or "chemotype", based on the overall amount of THC produced, and on the ratio of THC to CBD. Although overall cannabinoid production is influenced by environmental factors, the THC/CBD ratio is genetically determined and remains fixed throughout the life of a plant. Non-drug plants produce relatively low levels of THC and high levels of CBD, while drug plants produce high levels of THC and low levels of CBD. When plants of these two chemotypes cross-pollinate, the plants in the first filial (F1) generation have an intermediate chemotype and produce similar amounts of CBD and THC. Female plants of this chemotype may produce enough THC to be utilized for drug production.

 

Whether the drug and non-drug, cultivated and wild types of Cannabis constitute a single, highly variable species, or the genus is polytypic with more than one species, has been a subject of debate for well over two centuries. This is a contentious issue because there is no universally accepted definition of a species. One widely applied criterion for species recognition is that species are "groups of actually or potentially interbreeding natural populations which are reproductively isolated from other such groups." Populations that are physiologically capable of interbreeding, but morphologically or genetically divergent and isolated by geography or ecology, are sometimes considered to be separate species. Physiological barriers to reproduction are not known to occur within Cannabis, and plants from widely divergent sources are interfertile. However, physical barriers to gene exchange (such as the Himalayan mountain range) might have enabled Cannabis gene pools to diverge before the onset of human intervention, resulting in speciation. It remains controversial whether sufficient morphological and genetic divergence occurs within the genus as a result of geographical or ecological isolation to justify recognition of more than one species.

 

HISTORY OF CANNABIS

Cannabis sativa appears naturally in many tropical and humid parts of the world. Its use as a mind-altering drug has been documented by archaeological finds in prehistoric societies in Euro-Asia and Africa.

 

The oldest written record of cannabis usage is the Greek historian Herodotus's reference to the central Eurasian Scythians taking cannabis steam baths. His (c. 440 BCE) Histories records, "The Scythians, as I said, take some of this hemp-seed [presumably, flowers], and, creeping under the felt coverings, throw it upon the red-hot stones; immediately it smokes, and gives out such a vapour as no Grecian vapour-bath can exceed; the Scyths, delighted, shout for joy." Classical Greeks and Romans were using cannabis, while in the Middle East, use spread throughout the Islamic empire to North Africa. In 1545 cannabis spread to the western hemisphere where Spaniards imported it to Chile for its use as fiber. In North America cannabis, in the form of hemp, was grown for use in rope, clothing and paper.

 

EARLY CLASSIFICATIONS

The Cannabis genus was first classified using the "modern" system of taxonomic nomenclature by Carl Linnaeus in 1753, who devised the system still in use for the naming of species. He considered the genus to be monotypic, having just a single species that he named Cannabis sativa L. (L. stands for Linnaeus, and indicates the authority who first named the species). Linnaeus was familiar with European hemp, which was widely cultivated at the time. In 1785, noted evolutionary biologist Jean-Baptiste de Lamarck published a description of a second species of Cannabis, which he named Cannabis indica Lam. Lamarck based his description of the newly named species on plant specimens collected in India. He described C. indica as having poorer fiber quality than C. sativa, but greater utility as an inebriant. Additional Cannabis species were proposed in the 19th century, including strains from China and Vietnam (Indo-China) assigned the names Cannabis chinensis Delile, and Cannabis gigantea Delile ex Vilmorin. However, many taxonomists found these putative species difficult to distinguish. In the early 20th century, the single-species concept was still widely accepted, except in the Soviet Union where Cannabis continued to be the subject of active taxonomic study. The name Cannabis indica was listed in various Pharmacopoeias, and was widely used to designate Cannabis suitable for the manufacture of medicinal preparations.

 

20TH CENTURY

In 1924, Russian botanist D.E. Janichevsky concluded that ruderal Cannabis in central Russia is either a variety of C. sativa or a separate species, and proposed C. sativa L. var. ruderalis Janisch. and Cannabis ruderalis Janisch. as alternative names. In 1929, renowned plant explorer Nikolai Vavilov assigned wild or feral populations of Cannabis in Afghanistan to C. indica Lam. var. kafiristanica Vav., and ruderal populations in Europe to C. sativa L. var. spontanea Vav. In 1940, Russian botanists Serebriakova and Sizov proposed a complex classification in which they also recognized C. sativa and C. indica as separate species. Within C. sativa they recognized two subspecies: C. sativa L. subsp. culta Serebr. (consisting of cultivated plants), and C. sativa L. subsp. spontanea (Vav.) Serebr. (consisting of wild or feral plants). Serebriakova and Sizov split the two C. sativa subspecies into 13 varieties, including four distinct groups within subspecies culta. However, they did not divide C. indica into subspecies or varieties. This excessive splitting of C. sativa proved too unwieldy, and never gained many adherents.

 

In the 1970s, the taxonomic classification of Cannabis took on added significance in North America. Laws prohibiting Cannabis in the United States and Canada specifically named products of C. sativa as prohibited materials. Enterprising attorneys for the defense in a few drug busts argued that the seized Cannabis material may not have been C. sativa, and was therefore not prohibited by law. Attorneys on both sides recruited botanists to provide expert testimony. Among those testifying for the prosecution was Dr. Ernest Small, while Dr. Richard E. Schultes and others testified for the defense. The botanists engaged in heated debate (outside of court), and both camps impugned the other's integrity. The defense attorneys were not often successful in winning their case, because the intent of the law was clear.

 

In 1976, Canadian botanist Ernest Small and American taxonomist Arthur Cronquist published a taxonomic revision that recognizes a single species of Cannabis with two subspecies: C. sativa L. subsp. sativa, and C. sativa L. subsp. indica (Lam.) Small & Cronq. The authors hypothesized that the two subspecies diverged primarily as a result of human selection; C. sativa subsp. sativa was presumably selected for traits that enhance fiber or seed production, whereas C. sativa subsp. indica was primarily selected for drug production. Within these two subspecies, Small and Cronquist described C. sativa L. subsp. sativa var. spontanea Vav. as a wild or escaped variety of low-intoxicant Cannabis, and C. sativa subsp. indica var. kafiristanica (Vav.) Small & Cronq. as a wild or escaped variety of the high-intoxicant type. This classification was based on several factors including interfertility, chromosome uniformity, chemotype, and numerical analysis of phenotypic characters.

 

Professors William Emboden, Loran Anderson, and Harvard botanist Richard E. Schultes and coworkers also conducted taxonomic studies of Cannabis in the 1970s, and concluded that stable morphological differences exist that support recognition of at least three species, C. sativa, C. indica, and C. ruderalis. For Schultes, this was a reversal of his previous interpretation that Cannabis is monotypic, with only a single species. According to Schultes' and Anderson's descriptions, C. sativa is tall and laxly branched with relatively narrow leaflets, C. indica is shorter, conical in shape, and has relatively wide leaflets, and C. ruderalis is short, branchless, and grows wild in central Asia. This taxonomic interpretation was embraced by Cannabis aficionados who commonly distinguish narrow-leafed "sativa" drug strains from wide-leafed "indica" drug strains.

 

CONTINUING RESEARCH

Molecular analytical techniques developed in the late 20th century are being applied to questions of taxonomic classification. This has resulted in many reclassifications based on evolutionary systematics. Several studies of Random Amplified Polymorphic DNA (RAPD) and other types of genetic markers have been conducted on drug and fiber strains of Cannabis, primarily for plant breeding and forensic purposes. Dutch Cannabis researcher E.P.M. de Meijer and coworkers described some of their RAPD studies as showing an "extremely high" degree of genetic polymorphism between and within populations, suggesting a high degree of potential variation for selection, even in heavily selected hemp cultivars. They also commented that these analyses confirm the continuity of the Cannabis gene pool throughout the studied accessions, and provide further confirmation that the genus comprises a single species, although theirs was not a systematic study per se.

 

Karl W. Hillig, a graduate student in the laboratory of long-time Cannabis researcher Paul G. Mahlberg at Indiana University, conducted a systematic investigation of genetic, morphological, and chemotaxonomic variation among 157 Cannabis accessions of known geographic origin, including fiber, drug, and feral populations. In 2004, Hillig and Mahlberg published a chemotaxomic analysis of cannabinoid variation in their Cannabis germplasm collection. They used gas chromatography to determine cannabinoid content and to infer allele frequencies of the gene that controls CBD and THC production within the studied populations, and concluded that the patterns of cannabinoid variation support recognition of C. sativa and C. indica as separate species, but not C. ruderalis. The authors assigned fiber/seed landraces and feral populations from Europe, central Asia, and Asia Minor to C. sativa. Narrow-leaflet and wide-leaflet drug accessions, southern and eastern Asian hemp accessions, and feral Himalayan populations were assigned to C. indica. In 2005, Hillig published a genetic analysis of the same set of accessions (this paper was the first in the series, but was delayed in publication), and proposed a three-species classification, recognizing C. sativa, C. indica, and (tentatively) C. ruderalis. In his doctoral dissertation published the same year, Hillig stated that principal components analysis of phenotypic (morphological) traits failed to differentiate the putative species, but that canonical variates analysis resulted in a high degree of discrimination of the putative species and infraspecific taxa. Another paper in the series on chemotaxonomic variation in the terpenoid content of the essential oil of Cannabis revealed that several wide-leaflet drug strains in the collection had relatively high levels of certain sesquiterpene alcohols, including guaiol and isomers of eudesmol, that set them apart from the other putative taxa. Hillig concluded that the patterns of genetic, morphological, and chemotaxonomic variation support recognition of C. sativa and C. indica as separate species. He also concluded there is little support to treat C. ruderalis as a separate species from C. sativa at this time, but more research on wild and weedy populations is needed because they were underrepresented in their collection.

 

In September 2005, New Scientist reported that researchers at the Canberra Institute of Technology had identified a new type of Cannabis based on analysis of mitochondrial and chloroplast DNA. The New Scientist story, which was picked up by many news agencies and web sites, indicated that the research was to be published in the journal Forensic Science International.

 

POPULAR USAGE

The scientific debate regarding taxonomy has had little effect on the terminology in widespread use among cultivators and users of drug-type Cannabis. Cannabis aficionados recognize three distinct types based on such factors as morphology, native range, aroma, and subjective psychoactive characteristics. Sativa is the most widespread variety, which is usually tall, laxly branched, and found in warm lowland regions. Indica designates shorter, bushier plants adapted to cooler climates and highland environments. Ruderalis is the informal name for the short plants that grow wild in Europe and central Asia.

 

Breeders, seed companies, and cultivators of drug type Cannabis often describe the ancestry or gross phenotypic characteristics of cultivars by categorizing them as "pure indica", "mostly indica", "indica/sativa", "mostly sativa", or "pure sativa".

 

USES

Cannabis is used for a wide variety of purposes.

 

RECREATIONAL USE

Cannabis is a popular recreational drug around the world, only behind alcohol, caffeine and tobacco. In the United States alone, it is believed that over 100 million Americans have tried cannabis, with 25 million Americans having used it within the past year.

 

The psychoactive effects of cannabis are known to have a biphasic nature. Primary psychoactive effects include a state of relaxation, and to a lesser degree, euphoria from its main psychoactive compound, tetrahydrocannabinol. Secondary psychoactive effects, such as a facility for philosophical thinking, introspection and metacognition have been reported amongst cases of anxiety and paranoia. Finally, the tertiary psychoactive effects of the drug cannabis, can include an increase in heart rate and hunger, believed to be caused by 11-OH-THC, a psychoactive metabolite of THC produced in the liver.

 

Normal cognition is restored after approximately three hours for larger doses via a smoking pipe, bong or vaporizer. However, if a large amount is taken orally the effects may last much longer. After 24 hours to a few days, minuscule psychoactive effects may be felt, depending on dosage, frequency and tolerance to the drug.

 

Various forms of the drug cannabis exist, including extracts such as hashish and hash oil which, because of appearance, are more susceptible to adulterants when left unregulated.

 

Cannabidiol (CBD), which has no psychotropic effects by itself (although sometimes showing a small stimulant effect, similar to caffeine), attenuates, or reduces the higher anxiety levels caused by THC alone.

 

According to Delphic analysis by British researchers in 2007, cannabis has a lower risk factor for dependence compared to both nicotine and alcohol. However, everyday use of Cannabis can in some cases be correlated with psychological withdrawal symptoms such as irritability and insomnia, and evidence could suggest that if a user experiences stress, the likeliness of getting a panic attack increases because of an increase of THC metabolites. However, cannabis withdrawal symptoms are typically mild and are never life-threatening.

 

MEDICAL USE

Medical cannabis (or medical marijuana) refers to the use of cannabis and its constituent cannabinoids, to treat disease or improve symptoms. Cannabis is used to reduce nausea and vomiting during chemotherapy, to improve appetite in people with HIV/AIDS, and to treat chronic pain and muscle spasms.

 

Short-term use increases both minor and major adverse effects. Common side effects include dizziness, feeling tired, vomiting, and hallucinations. Long-term effects of cannabis are not clear. Concerns including memory and cognition problems, risk of addiction, schizophrenia in young people, and the risk of children taking it by accident.

 

Cannabinoids are under preliminary research for their potential to affect stroke or children's epilepsy.

Industrial use (Hemp)

 

The term hemp is used to name the durable soft fiber from the Cannabis plant stem (stalk). Cannabis sativa cultivars are used for fibers due to their long stems; Sativa varieties may grow more than six metres tall. However, hemp can refer to any industrial or foodstuff product that is not intended for use as a drug. Many countries regulate limits for psychoactive compound (THC) concentrations in products labeled as hemp.

 

Cannabis for industrial uses is valuable in tens of thousands of commercial products, especially as fibre ranging from paper, cordage, construction material and textiles in general, to clothing. Hemp is stronger and longer-lasting than cotton. It also is a useful source of foodstuffs (hemp milk, hemp seed, hemp oil) and biofuels. Hemp has been used by many civilizations, from China to Europe (and later North America) during the last 12,000 years. In modern times novel applications and improvements have been explored with modest commercial success.

 

ANCIENT AND RELIGIOUS USE

The Cannabis plant has a history of medicinal use dating back thousands of years across many cultures. The Yanghai Tombs, a vast ancient cemetery (54 000 m2) situated in the Turfan district of the Xinjiang Uyghur Autonomous Region of the People's Republic of China, have revealed the 2700-year-old grave of a shaman. He is thought to have belonged to the Jushi culture recorded in the area centuries later in the Hanshu, Chap 96B. Near the head and foot of the shaman was a large leather basket and wooden bowl filled with 789g of cannabis, superbly preserved by climatic and burial conditions. An international team demonstrated that this material contained tetrahydrocannabinol, the psychoactive component of cannabis. The cannabis was presumably employed by this culture as a medicinal or psychoactive agent, or an aid to divination. This is the oldest documentation of cannabis as a pharmacologically active agent.

 

Settlements which date from c. 2200–1700 BCE in the Bactria and Margiana contained elaborate ritual structures with rooms containing everything needed for making drinks containing extracts from poppy (opium), hemp (cannabis), and ephedra (which contains ephedrine).

 

"While we have no evidence of the use of ephedra among the steppe tribes, we have already seen that they did share in the cultic use of hemp, a practice that ranged from Romania east to the Yenisei River from at least the 3rd millennium BC onwards where its use was later encountered in the apparatus for smoking hemp found at Pazyryk."

 

Cannabis is first referred to in Hindu Vedas between 2000 and 1400 BCE, in the Atharvaveda. By the 10th century CE, it has been suggested that it was referred to by some in India as "food of the gods". Cannabis use eventually became a ritual part of the Hindu festival of Holi.

 

In Buddhism, cannabis is generally regarded as an intoxicant and may be a hindrance to development of meditation and clear awareness. In ancient Germanic culture, Cannabis was associated with the Norse love goddess, Freya. An anointing oil mentioned in Exodus is, by some translators, said to contain Cannabis. Sufis have used Cannabis in a spiritual context since the 13th century CE.

 

In modern times the Rastafari movement has embraced Cannabis as a sacrament. Elders of the Ethiopian Zion Coptic Church, a religious movement founded in the United States in 1975 with no ties to either Ethiopia or the Coptic Church, consider Cannabis to be the Eucharist, claiming it as an oral tradition from Ethiopia dating back to the time of Christ. Like the Rastafari, some modern Gnostic Christian sects have asserted that Cannabis is the Tree of Life. Other organized religions founded in the 20th century that treat Cannabis as a sacrament are the THC Ministry, Cantheism,[101] the Cannabis Assembly and the Church of Cognizance. Rastafarians tend to be among the biggest consumers of modern Cannabis use.

 

Clay pipes at William Shakespeare's Stratford-upon-Avon garden may contain cannabis, indicating that Shakespeare may have been a cannabis smoker.

 

REPRODUCTION

BREEDING SYSTEMS

Cannabis is predominantly dioecious, although many monoecious varieties have been described. Subdioecy (the occurrence of monoecious individuals and dioecious individuals within the same population) is widespread. Many populations have been described as sexually labile. As a result of intensive selection in cultivation, Cannabis exhibits many sexual phenotypes that can be described in terms of the ratio of female to male flowers occurring in the individual, or typical in the cultivar. Dioecious varieties are preferred for drug production, where the female flowers are used. Dioecious varieties are also preferred for textile fiber production, whereas monoecious varieties are preferred for pulp and paper production. It has been suggested that the presence of monoecy can be used to differentiate licit crops of monoecious hemp from illicit drug crops. However, sativa strains often produce monoecious individuals, probably as a result of inbreeding.

 

SEX DETERMINATION

Cannabis has been described as having one of the most complicated mechanisms of sex determination among the dioecious plants. Many models have been proposed to explain sex determination in Cannabis.

 

Based on studies of sex reversal in hemp, it was first reported by K. Hirata in 1924 that an XY sex-determination system is present. At the time, the XY system was the only known system of sex determination. The X:A system was first described in Drosophila spp in 1925. Soon thereafter, Schaffner disputed Hirata's interpretation, and published results from his own studies of sex reversal in hemp, concluding that an X:A system was in use and that furthermore sex was strongly influenced by environmental conditions.

 

Since then, many different types of sex determination systems have been discovered, particularly in plants. Dioecy is relatively uncommon in the plant kingdom, and a very low percentage of dioecious plant species have been determined to use the XY system. In most cases where the XY system is found it is believed to have evolved recently and independently.

 

Since the 1920s, a number of sex determination models have been proposed for Cannabis. Ainsworth describes sex determination in the genus as using "an X/autosome dosage type".

 

The question of whether heteromorphic sex chromosomes are indeed present is most conveniently answered if such chromosomes were clearly visible in a karyotype. Cannabis was one of the first plant species to be karyotyped; however, this was in a period when karyotype preparation was primitive by modern standards (see History of Cytogenetics). Heteromorphic sex chromosomes were reported to occur in staminate individuals of dioecious "Kentucky" hemp, but were not found in pistillate individuals of the same variety. Dioecious "Kentucky" hemp was assumed to use an XY mechanism. Heterosomes were not observed in analyzed individuals of monoecious "Kentucky" hemp, nor in an unidentified German cultivar. These varieties were assumed to have sex chromosome composition XX. According to other researchers, no modern karyotype of Cannabis had been published as of 1996. Proponents of the XY system state that Y chromosome is slightly larger than the X, but difficult to differentiate cytologically.

 

More recently, Sakamoto and various co-authors have used RAPD to isolate several genetic marker sequences that they name Male-Associated DNA in Cannabis (MADC), and which they interpret as indirect evidence of a male chromosome. Several other research groups have reported identification of male-associated markers using RAPD and AFLP. Ainsworth commented on these findings, stating,

 

"It is not surprising that male-associated markers are relatively abundant. In dioecious plants where sex chromosomes have not been identified, markers for maleness indicate either the presence of sex chromosomes which have not been distinguished by cytological methods or that the marker is tightly linked to a gene involved in sex determination."

 

Environmental sex determination is known to occur in a variety of species. Many researchers have suggested that sex in Cannabis is determined or strongly influenced by environmental factors. Ainsworth reviews that treatment with auxin and ethylene have feminizing effects, and that treatment with cytokinins and gibberellins have masculinizing effects. It has been reported that sex can be reversed in Cannabis using chemical treatment. A PCR-based method for the detection of female-associated DNA polymorphisms by genotyping has been developed.

 

ETYMOLOGY

The word cannabis is from Greek κάνναβις (kánnabis) (see Latin cannabis), which was originally Scythian or Thracian. It is related to the Persian kanab, the English canvas and possibly even to the English hemp (Old English hænep). In modern Hebrew, קַנַּבּוֹס qannabōs (modern pronunciation: [kanaˈbos]) is used but there are those who have theorized that it was referred to in antiquity as קני בושם q'nei bosem, a component of the biblical anointing oil. Old Akkadian qunnabtu, Neo-Assyrian and Neo-Babylonian qunnabu were used to refer to the plant meaning "a way to produce smoke."

 

WIKIPEDIA

Amanita muscaria, commonly known as the fly agaric or fly amanita, is a basidiomycete of the genus Amanita. It is a large white-gilled, white-spotted, and usually red mushroom.

 

Despite its easily distinguishable features, A. muscaria is a fungus with several known variations, or subspecies. These subspecies are slightly different, some having yellow or white caps, but are all usually called fly agarics, most often recognizable by their notable white spots. Recent DNA fungi research, however, has shown that some mushrooms called 'fly agaric' are in fact unique species, such as A. persicina (the peach-colored fly agaric).

 

Native throughout the temperate and boreal regions of the Northern Hemisphere, A. muscaria has been unintentionally introduced to many countries in the Southern Hemisphere, generally as a symbiont with pine and birch plantations, and is now a true cosmopolitan species. It associates with various deciduous and coniferous trees.

 

Although poisonous, death due to poisoning from A. muscaria ingestion is quite rare. Parboiling twice with water draining weakens its toxicity and breaks down the mushroom's psychoactive substances; it is eaten in parts of Europe, Asia, and North America. All A. muscaria varieties, but in particular A. muscaria var. muscaria, are noted for their hallucinogenic properties, with the main psychoactive constituents being muscimol and its neurotoxic precursor ibotenic acid. A local variety of the mushroom was used as an intoxicant and entheogen by the indigenous peoples of Siberia.

 

Arguably the most iconic toadstool species, the fly agaric is one of the most recognizable and widely encountered in popular culture, including in video games—for example, the frequent use of a recognizable A. muscaria in the Mario franchise (e.g. its Super Mushroom power-up)—and television—for example, the houses in The Smurfs franchise. There have been cases of children admitted to hospitals after consuming this poisonous mushroom; the children may have been attracted to it because of its pop-culture associations.

 

Taxonomy

The name of the mushroom in many European languages is thought to derive from its use as an insecticide when sprinkled in milk. This practice has been recorded from Germanic- and Slavic-speaking parts of Europe, as well as the Vosges region and pockets elsewhere in France, and Romania. Albertus Magnus was the first to record it in his work De vegetabilibus some time before 1256, commenting vocatur fungus muscarum, eo quod in lacte pulverizatus interficit muscas, "it is called the fly mushroom because it is powdered in milk to kill flies."

 

The 16th-century Flemish botanist Carolus Clusius traced the practice of sprinkling it into milk to Frankfurt in Germany, while Carl Linnaeus, the "father of taxonomy", reported it from Småland in southern Sweden, where he had lived as a child. He described it in volume two of his Species Plantarum in 1753, giving it the name Agaricus muscarius, the specific epithet deriving from Latin musca meaning "fly". It gained its current name in 1783, when placed in the genus Amanita by Jean-Baptiste Lamarck, a name sanctioned in 1821 by the "father of mycology", Swedish naturalist Elias Magnus Fries. The starting date for all the mycota had been set by general agreement as January 1, 1821, the date of Fries's work, and so the full name was then Amanita muscaria (L.:Fr.) Hook. The 1987 edition of the International Code of Botanical Nomenclature changed the rules on the starting date and primary work for names of fungi, and names can now be considered valid as far back as May 1, 1753, the date of publication of Linnaeus's work. Hence, Linnaeus and Lamarck are now taken as the namers of Amanita muscaria (L.) Lam..

 

The English mycologist John Ramsbottom reported that Amanita muscaria was used for getting rid of bugs in England and Sweden, and bug agaric was an old alternative name for the species. French mycologist Pierre Bulliard reported having tried without success to replicate its fly-killing properties in his work Histoire des plantes vénéneuses et suspectes de la France (1784), and proposed a new binomial name Agaricus pseudo-aurantiacus because of this. One compound isolated from the fungus is 1,3-diolein (1,3-di(cis-9-octadecenoyl)glycerol), which attracts insects. It has been hypothesised that the flies intentionally seek out the fly agaric for its intoxicating properties. An alternative derivation proposes that the term fly- refers not to insects as such but rather the delirium resulting from consumption of the fungus. This is based on the medieval belief that flies could enter a person's head and cause mental illness. Several regional names appear to be linked with this connotation, meaning the "mad" or "fool's" version of the highly regarded edible mushroom Amanita caesarea. Hence there is oriol foll "mad oriol" in Catalan, mujolo folo from Toulouse, concourlo fouolo from the Aveyron department in Southern France, ovolo matto from Trentino in Italy. A local dialect name in Fribourg in Switzerland is tsapi de diablhou, which translates as "Devil's hat".

 

Classification

Amanita muscaria is the type species of the genus. By extension, it is also the type species of Amanita subgenus Amanita, as well as section Amanita within this subgenus. Amanita subgenus Amanita includes all Amanita with inamyloid spores. Amanita section Amanita includes the species with patchy universal veil remnants, including a volva that is reduced to a series of concentric rings, and the veil remnants on the cap to a series of patches or warts. Most species in this group also have a bulbous base. Amanita section Amanita consists of A. muscaria and its close relatives, including A. pantherina (the panther cap), A. gemmata, A. farinosa, and A. xanthocephala. Modern fungal taxonomists have classified Amanita muscaria and its allies this way based on gross morphology and spore inamyloidy. Two recent molecular phylogenetic studies have confirmed this classification as natural.

 

Description

A large, conspicuous mushroom, Amanita muscaria is generally common and numerous where it grows, and is often found in groups with basidiocarps in all stages of development. Fly agaric fruiting bodies emerge from the soil looking like white eggs. After emerging from the ground, the cap is covered with numerous small white to yellow pyramid-shaped warts. These are remnants of the universal veil, a membrane that encloses the entire mushroom when it is still very young. Dissecting the mushroom at this stage reveals a characteristic yellowish layer of skin under the veil, which helps identification. As the fungus grows, the red colour appears through the broken veil and the warts become less prominent; they do not change in size, but are reduced relative to the expanding skin area. The cap changes from globose to hemispherical, and finally to plate-like and flat in mature specimens. Fully grown, the bright red cap is usually around 8–20 centimetres (3–8 inches) in diameter, although larger specimens have been found. The red colour may fade after rain and in older mushrooms.

 

The free gills are white, as is the spore print. The oval spores measure 9–13 by 6.5–9 μm; they do not turn blue with the application of iodine. The stipe is white, 5–20 cm (2–8 in) high by 1–2 cm (1⁄2–1 in) wide, and has the slightly brittle, fibrous texture typical of many large mushrooms. At the base is a bulb that bears universal veil remnants in the form of two to four distinct rings or ruffs. Between the basal universal veil remnants and gills are remnants of the partial veil (which covers the gills during development) in the form of a white ring. It can be quite wide and flaccid with age. There is generally no associated smell other than a mild earthiness.

 

Although very distinctive in appearance, the fly agaric has been mistaken for other yellow to red mushroom species in the Americas, such as Armillaria cf. mellea and the edible A. basii—a Mexican species similar to A. caesarea of Europe. Poison control centres in the U.S. and Canada have become aware that amarill (Spanish for 'yellow') is a common name for the A. caesarea-like species in Mexico. A. caesarea is distinguished by its entirely orange to red cap, which lacks the numerous white warty spots of the fly agaric (though these sometimes wash away during heavy rain). Furthermore, the stem, gills and ring of A. caesarea are bright yellow, not white. The volva is a distinct white bag, not broken into scales. In Australia, the introduced fly agaric may be confused with the native vermilion grisette (Amanita xanthocephala), which grows in association with eucalypts. The latter species generally lacks the white warts of A. muscaria and bears no ring. Additionally, immature button forms resemble puffballs.

 

Controversy

Amanita muscaria var. formosa is now a synonym for Amanita muscaria var. guessowii.

Amanita muscaria varies considerably in its morphology, and many authorities recognize several subspecies or varieties within the species. In The Agaricales in Modern Taxonomy, German mycologist Rolf Singer listed three subspecies, though without description: A. muscaria ssp. muscaria, A. muscaria ssp. americana, and A. muscaria ssp. flavivolvata.

 

However, a 2006 molecular phylogenetic study of different regional populations of A. muscaria by mycologist József Geml and colleagues found three distinct clades within this species representing, roughly, Eurasian, Eurasian "subalpine", and North American populations. Specimens belonging to all three clades have been found in Alaska; this has led to the hypothesis that this was the centre of diversification for this species. The study also looked at four named varieties of the species: var. alba, var. flavivolvata, var. formosa (including var. guessowii), and var. regalis from both areas. All four varieties were found within both the Eurasian and North American clades, evidence that these morphological forms are polymorphisms rather than distinct subspecies or varieties. Further molecular study by Geml and colleagues published in 2008 show that these three genetic groups, plus a fourth associated with oak–hickory–pine forest in the southeastern United States and two more on Santa Cruz Island in California, are delineated from each other enough genetically to be considered separate species. Thus A. muscaria as it stands currently is, evidently, a species complex. The complex also includes at least three other closely related taxa that are currently regarded as species: A. breckonii is a buff-capped mushroom associated with conifers from the Pacific Northwest, and the brown-capped A. gioiosa and A. heterochroma from the Mediterranean Basin and from Sardinia respectively. Both of these last two are found with Eucalyptus and Cistus trees, and it is unclear whether they are native or introduced from Australia.

 

Distribution and habitat

A. muscaria is a cosmopolitan mushroom, native to conifer and deciduous woodlands throughout the temperate and boreal regions of the Northern Hemisphere, including higher elevations of warmer latitudes in regions such as Hindu Kush, the Mediterranean and also Central America. A recent molecular study proposes that it had an ancestral origin in the Siberian–Beringian region in the Tertiary period, before radiating outwards across Asia, Europe and North America. The season for fruiting varies in different climates: fruiting occurs in summer and autumn across most of North America, but later in autumn and early winter on the Pacific coast. This species is often found in similar locations to Boletus edulis, and may appear in fairy rings. Conveyed with pine seedlings, it has been widely transported into the southern hemisphere, including Australia, New Zealand, South Africa and South America, where it can be found in the Brazilian states of Paraná, São Paulo, Minas Gerais, Rio Grande do Sul.

 

Ectomycorrhizal, A. muscaria forms symbiotic relationships with many trees, including pine, oak, spruce, fir, birch, and cedar. Commonly seen under introduced trees, A. muscaria is the fungal equivalent of a weed in New Zealand, Tasmania and Victoria, forming new associations with southern beech (Nothofagus). The species is also invading a rainforest in Australia, where it may be displacing the native species. It appears to be spreading northwards, with recent reports placing it near Port Macquarie on the New South Wales north coast. It was recorded under silver birch (Betula pendula) in Manjimup, Western Australia in 2010. Although it has apparently not spread to eucalypts in Australia, it has been recorded associating with them in Portugal. Commonly found throughout the great Southern region of western Australia, it is regularly found growing on Pinus radiata.

 

Toxicity

a tall red mushroom with a few white spots on the cap

Mature. The white spots may wash off with heavy rainfall.

A. muscaria poisoning has occurred in young children and in people who ingested the mushrooms for a hallucinogenic experience, or who confused it with an edible species.

 

A. muscaria contains several biologically active agents, at least one of which, muscimol, is known to be psychoactive. Ibotenic acid, a neurotoxin, serves as a prodrug to muscimol, with a small amount likely converting to muscimol after ingestion. An active dose in adults is approximately 6 mg muscimol or 30 to 60 mg ibotenic acid; this is typically about the amount found in one cap of Amanita muscaria. The amount and ratio of chemical compounds per mushroom varies widely from region to region and season to season, which can further confuse the issue. Spring and summer mushrooms have been reported to contain up to 10 times more ibotenic acid and muscimol than autumn fruitings.

 

Deaths from A. muscaria have been reported in historical journal articles and newspaper reports, but with modern medical treatment, fatal poisoning from ingesting this mushroom is extremely rare. Many books list A. muscaria as deadly, but according to David Arora, this is an error that implies the mushroom is far more toxic than it is. Furthermore, The North American Mycological Association has stated that there were "no reliably documented cases of death from toxins in these mushrooms in the past 100 years".

 

The active constituents of this species are water-soluble, and boiling and then discarding the cooking water at least partly detoxifies A. muscaria. Drying may increase potency, as the process facilitates the conversion of ibotenic acid to the more potent muscimol. According to some sources, once detoxified, the mushroom becomes edible. Patrick Harding describes the Sami custom of processing the fly agaric through reindeer.

 

Pharmacology

Ibotenic acid, a prodrug to muscimol found in A. muscaria

Muscarine, discovered in 1869, was long thought to be the active hallucinogenic agent in A. muscaria. Muscarine binds with muscarinic acetylcholine receptors leading to the excitation of neurons bearing these receptors. The levels of muscarine in Amanita muscaria are minute when compared with other poisonous fungi such as Inosperma erubescens, the small white Clitocybe species C. dealbata and C. rivulosa. The level of muscarine in A. muscaria is too low to play a role in the symptoms of poisoning.

 

The major toxins involved in A. muscaria poisoning are muscimol (3-hydroxy-5-aminomethyl-1-isoxazole, an unsaturated cyclic hydroxamic acid) and the related amino acid ibotenic acid. Muscimol is the product of the decarboxylation (usually by drying) of ibotenic acid. Muscimol and ibotenic acid were discovered in the mid-20th century. Researchers in England, Japan, and Switzerland showed that the effects produced were due mainly to ibotenic acid and muscimol, not muscarine. These toxins are not distributed uniformly in the mushroom. Most are detected in the cap of the fruit, a moderate amount in the base, with the smallest amount in the stalk. Quite rapidly, between 20 and 90 minutes after ingestion, a substantial fraction of ibotenic acid is excreted unmetabolised in the urine of the consumer. Almost no muscimol is excreted when pure ibotenic acid is eaten, but muscimol is detectable in the urine after eating A. muscaria, which contains both ibotenic acid and muscimol.

 

Ibotenic acid and muscimol are structurally related to each other and to two major neurotransmitters of the central nervous system: glutamic acid and GABA respectively. Ibotenic acid and muscimol act like these neurotransmitters, muscimol being a potent GABAA agonist, while ibotenic acid is an agonist of NMDA glutamate receptors and certain metabotropic glutamate receptors which are involved in the control of neuronal activity. It is these interactions which are thought to cause the psychoactive effects found in intoxication.

 

Muscazone is another compound that has more recently been isolated from European specimens of the fly agaric. It is a product of the breakdown of ibotenic acid by ultra-violet radiation. Muscazone is of minor pharmacological activity compared with the other agents. Amanita muscaria and related species are known as effective bioaccumulators of vanadium; some species concentrate vanadium to levels of up to 400 times those typically found in plants. Vanadium is present in fruit-bodies as an organometallic compound called amavadine. The biological importance of the accumulation process is unknown.

 

Symptoms

Fly agarics are best known for the unpredictability of their effects. Depending on habitat and the amount ingested per body weight, effects can range from mild nausea and twitching to drowsiness, cholinergic crisis-like effects (low blood pressure, sweating and salivation), auditory and visual distortions, mood changes, euphoria, relaxation, ataxia, and loss of equilibrium (like with tetanus.)

 

In cases of serious poisoning the mushroom causes delirium, somewhat similar in effect to anticholinergic poisoning (such as that caused by Datura stramonium), characterised by bouts of marked agitation with confusion, hallucinations, and irritability followed by periods of central nervous system depression. Seizures and coma may also occur in severe poisonings. Symptoms typically appear after around 30 to 90 minutes and peak within three hours, but certain effects can last for several days. In the majority of cases recovery is complete within 12 to 24 hours. The effect is highly variable between individuals, with similar doses potentially causing quite different reactions. Some people suffering intoxication have exhibited headaches up to ten hours afterwards.[56] Retrograde amnesia and somnolence can result following recovery.

 

Treatment

Medical attention should be sought in cases of suspected poisoning. If the delay between ingestion and treatment is less than four hours, activated charcoal is given. Gastric lavage can be considered if the patient presents within one hour of ingestion. Inducing vomiting with syrup of ipecac is no longer recommended in any poisoning situation.

 

There is no antidote, and supportive care is the mainstay of further treatment for intoxication. Though sometimes referred to as a deliriant and while muscarine was first isolated from A. muscaria and as such is its namesake, muscimol does not have action, either as an agonist or antagonist, at the muscarinic acetylcholine receptor site, and therefore atropine or physostigmine as an antidote is not recommended. If a patient is delirious or agitated, this can usually be treated by reassurance and, if necessary, physical restraints. A benzodiazepine such as diazepam or lorazepam can be used to control combativeness, agitation, muscular overactivity, and seizures. Only small doses should be used, as they may worsen the respiratory depressant effects of muscimol. Recurrent vomiting is rare, but if present may lead to fluid and electrolyte imbalances; intravenous rehydration or electrolyte replacement may be required. Serious cases may develop loss of consciousness or coma, and may need intubation and artificial ventilation. Hemodialysis can remove the toxins, although this intervention is generally considered unnecessary. With modern medical treatment the prognosis is typically good following supportive treatment.

 

Uses

The wide range of psychoactive effects have been variously described as depressant, sedative-hypnotic, psychedelic, dissociative, or deliriant; paradoxical effects such as stimulation may occur however. Perceptual phenomena such as synesthesia, macropsia, and micropsia may occur; the latter two effects may occur either simultaneously or alternatingly, as part of Alice in Wonderland syndrome, collectively known as dysmetropsia, along with related distortions pelopsia and teleopsia. Some users report lucid dreaming under the influence of its hypnotic effects. Unlike Psilocybe cubensis, A. muscaria cannot be commercially cultivated, due to its mycorrhizal relationship with the roots of pine trees. However, following the outlawing of psilocybin mushrooms in the United Kingdom in 2006, the sale of the still legal A. muscaria began increasing.

 

Marija Gimbutas reported to R. Gordon Wasson that in remote areas of Lithuania, A. muscaria has been consumed at wedding feasts, in which mushrooms were mixed with vodka. She also reported that the Lithuanians used to export A. muscaria to the Sami in the Far North for use in shamanic rituals. The Lithuanian festivities are the only report that Wasson received of ingestion of fly agaric for religious use in Eastern Europe.

 

Siberia

A. muscaria was widely used as an entheogen by many of the indigenous peoples of Siberia. Its use was known among almost all of the Uralic-speaking peoples of western Siberia and the Paleosiberian-speaking peoples of the Russian Far East. There are only isolated reports of A. muscaria use among the Tungusic and Turkic peoples of central Siberia and it is believed that on the whole entheogenic use of A. muscaria was not practised by these peoples. In western Siberia, the use of A. muscaria was restricted to shamans, who used it as an alternative method of achieving a trance state. (Normally, Siberian shamans achieve trance by prolonged drumming and dancing.) In eastern Siberia, A. muscaria was used by both shamans and laypeople alike, and was used recreationally as well as religiously. In eastern Siberia, the shaman would take the mushrooms, and others would drink his urine. This urine, still containing psychoactive elements, may be more potent than the A. muscaria mushrooms with fewer negative effects such as sweating and twitching, suggesting that the initial user may act as a screening filter for other components in the mushroom.

 

The Koryak of eastern Siberia have a story about the fly agaric (wapaq) which enabled Big Raven to carry a whale to its home. In the story, the deity Vahiyinin ("Existence") spat onto earth, and his spittle became the wapaq, and his saliva becomes the warts. After experiencing the power of the wapaq, Raven was so exhilarated that he told it to grow forever on earth so his children, the people, could learn from it. Among the Koryaks, one report said that the poor would consume the urine of the wealthy, who could afford to buy the mushrooms. It was reported that the local reindeer would often follow an individual intoxicated by the muscimol mushroom, and if said individual were to urinate in snow the reindeer would become similarly intoxicated and the Koryak people's would use the drunken state of the reindeer to more easily rope and hunt them.

 

Other reports and theories

The Finnish historian T. I. Itkonen mentions that A. muscaria was once used among the Sámi peoples. Sorcerers in Inari would consume fly agarics with seven spots. In 1979, Said Gholam Mochtar and Hartmut Geerken published an article in which they claimed to have discovered a tradition of medicinal and recreational use of this mushroom among a Parachi-speaking group in Afghanistan. There are also unconfirmed reports of religious use of A. muscaria among two Subarctic Native American tribes. Ojibwa ethnobotanist Keewaydinoquay Peschel reported its use among her people, where it was known as miskwedo (an abbreviation of the name oshtimisk wajashkwedo (= "red-top mushroom"). This information was enthusiastically received by Wasson, although evidence from other sources was lacking. There is also one account of a Euro-American who claims to have been initiated into traditional Tlicho use of Amanita muscaria. The flying reindeer of Santa Claus, who is called Joulupukki in Finland, could symbolize the use of A. muscaria by Sámi shamans. However, Sámi scholars and the Sámi peoples themselves refute any connection between Santa Claus and Sámi history or culture.

 

"The story of Santa emerging from a Sámi shamanic tradition has a critical number of flaws," asserts Tim Frandy, assistant professor of Nordic Studies at the University of British Columbia and a member of the Sámi descendent community in North America. "The theory has been widely criticized by Sámi people as a stereotypical and problematic romanticized misreading of actual Sámi culture."

 

Vikings

The notion that Vikings used A. muscaria to produce their berserker rages was first suggested by the Swedish professor Samuel Ödmann in 1784. Ödmann based his theories on reports about the use of fly agaric among Siberian shamans. The notion has become widespread since the 19th century, but no contemporary sources mention this use or anything similar in their description of berserkers. Muscimol is generally a mild relaxant, but it can create a range of different reactions within a group of people. It is possible that it could make a person angry, or cause them to be "very jolly or sad, jump about, dance, sing or give way to great fright". Comparative analysis of symptoms have, however, since shown Hyoscyamus niger to be a better fit to the state that characterises the berserker rage.

 

Soma

See also: Botanical identity of Soma-Haoma

In 1968, R. Gordon Wasson proposed that A. muscaria was the soma talked about in the Rigveda of India, a claim which received widespread publicity and popular support at the time. He noted that descriptions of Soma omitted any description of roots, stems or seeds, which suggested a mushroom, and used the adjective hári "dazzling" or "flaming" which the author interprets as meaning red. One line described men urinating Soma; this recalled the practice of recycling urine in Siberia. Soma is mentioned as coming "from the mountains", which Wasson interpreted as the mushroom having been brought in with the Aryan migrants from the north. Indian scholars Santosh Kumar Dash and Sachinanda Padhy pointed out that both eating of mushrooms and drinking of urine were proscribed, using as a source the Manusmṛti. In 1971, Vedic scholar John Brough from Cambridge University rejected Wasson's theory and noted that the language was too vague to determine a description of Soma. In his 1976 survey, Hallucinogens and Culture, anthropologist Peter T. Furst evaluated the evidence for and against the identification of the fly agaric mushroom as the Vedic Soma, concluding cautiously in its favour. Kevin Feeney and Trent Austin compared the references in the Vedas with the filtering mechanisms in the preparation of Amanita muscaria and published findings supporting the proposal that fly-agaric mushrooms could be a likely candidate for the sacrament. Other proposed candidates include Psilocybe cubensis, Peganum harmala, and Ephedra.

 

Christianity

Philologist, archaeologist, and Dead Sea Scrolls scholar John Marco Allegro postulated that early Christian theology was derived from a fertility cult revolving around the entheogenic consumption of A. muscaria in his 1970 book The Sacred Mushroom and the Cross. This theory has found little support by scholars outside the field of ethnomycology. The book was widely criticized by academics and theologians, including Sir Godfrey Driver, emeritus Professor of Semitic Philology at Oxford University and Henry Chadwick, the Dean of Christ Church, Oxford. Christian author John C. King wrote a detailed rebuttal of Allegro's theory in the 1970 book A Christian View of the Mushroom Myth; he notes that neither fly agarics nor their host trees are found in the Middle East, even though cedars and pines are found there, and highlights the tenuous nature of the links between biblical and Sumerian names coined by Allegro. He concludes that if the theory were true, the use of the mushroom must have been "the best kept secret in the world" as it was so well concealed for two thousand years.

 

Fly trap

Amanita muscaria is traditionally used for catching flies possibly due to its content of ibotenic acid and muscimol, which lead to its common name "fly agaric". Recently, an analysis of nine different methods for preparing A. muscaria for catching flies in Slovenia have shown that the release of ibotenic acid and muscimol did not depend on the solvent (milk or water) and that thermal and mechanical processing led to faster extraction of ibotenic acid and muscimol.

 

Culinary

The toxins in A. muscaria are water-soluble: parboiling A. muscaria fruit bodies can detoxify them and render them edible, although consumption of the mushroom as a food has never been widespread. The consumption of detoxified A. muscaria has been practiced in some parts of Europe (notably by Russian settlers in Siberia) since at least the 19th century, and likely earlier. The German physician and naturalist Georg Heinrich von Langsdorff wrote the earliest published account on how to detoxify this mushroom in 1823. In the late 19th century, the French physician Félix Archimède Pouchet was a populariser and advocate of A. muscaria consumption, comparing it to manioc, an important food source in tropical South America that must also be detoxified before consumption.

 

Use of this mushroom as a food source also seems to have existed in North America. A classic description of this use of A. muscaria by an African-American mushroom seller in Washington, D.C., in the late 19th century is described by American botanist Frederick Vernon Coville. In this case, the mushroom, after parboiling, and soaking in vinegar, is made into a mushroom sauce for steak. It is also consumed as a food in parts of Japan. The most well-known current use as an edible mushroom is in Nagano Prefecture, Japan. There, it is primarily salted and pickled.

 

A 2008 paper by food historian William Rubel and mycologist David Arora gives a history of consumption of A. muscaria as a food and describes detoxification methods. They advocate that Amanita muscaria be described in field guides as an edible mushroom, though accompanied by a description on how to detoxify it. The authors state that the widespread descriptions in field guides of this mushroom as poisonous is a reflection of cultural bias, as several other popular edible species, notably morels, are also toxic unless properly cooked.

 

In culture

The red-and-white spotted toadstool is a common image in many aspects of popular culture. Garden ornaments and children's picture books depicting gnomes and fairies, such as the Smurfs, often show fly agarics used as seats, or homes. Fly agarics have been featured in paintings since the Renaissance, albeit in a subtle manner. For instance, in Hieronymus Bosch's painting, The Garden of Earthly Delights, the mushroom can be seen on the left-hand panel of the work. In the Victorian era they became more visible, becoming the main topic of some fairy paintings. Two of the most famous uses of the mushroom are in the Mario franchise (specifically two of the Super Mushroom power-up items and the platforms in several stages which are based on a fly agaric), and the dancing mushroom sequence in the 1940 Disney film Fantasia.

 

An account of the journeys of Philip von Strahlenberg to Siberia and his descriptions of the use of the mukhomor there was published in English in 1736. The drinking of urine of those who had consumed the mushroom was commented on by Anglo-Irish writer Oliver Goldsmith in his widely read 1762 novel, Citizen of the World. The mushroom had been identified as the fly agaric by this time. Other authors recorded the distortions of the size of perceived objects while intoxicated by the fungus, including naturalist Mordecai Cubitt Cooke in his books The Seven Sisters of Sleep and A Plain and Easy Account of British Fungi. This observation is thought to have formed the basis of the effects of eating the mushroom in the 1865 popular story Alice's Adventures in Wonderland. A hallucinogenic "scarlet toadstool" from Lappland is featured as a plot element in Charles Kingsley's 1866 novel Hereward the Wake based on the medieval figure of the same name. Thomas Pynchon's 1973 novel Gravity's Rainbow describes the fungus as a "relative of the poisonous Destroying angel" and presents a detailed description of a character preparing a cookie bake mixture from harvested Amanita muscaria. Fly agaric shamanism is also explored in the 2003 novel Thursbitch by Alan Garner.

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Becky found a new lovely home

 

Finally! Becky is here! Brace yourselves, dragons, no more being naughty and burning my furniture!

 

Full box Opening on DOA: Link to all the other photos (Warning HUGE amount of dragons and doll nudity)

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

En la parte norte de Lanzarote, al pie del volcán de la Corona, cuya última erupción fue hace 3.000 años, se encuentra uno de los sistemas de cuevas y tubos volcánicos más interesantes del mundo.

El "jameo" es un fenómeno que se origina en los tubos de lava, también conocidos como tubos volcánicos, por el que discurren las coladas lávicas más o menos fluidas y formado al precipitarse el techo del citado túnel, lo que suele suceder cuando éste sobrepasa los 20 metros de anchura, o bien cuando los gases acumulados producen una explosión.

Los Jameos del Agua de Lanzarote fueron la primera atracción arquitectónica diseñada por César Manrique en 1968.

Algunas especies animales permanecen aquí algún tiempo o para siempre. Así, los pequeños cangrejos albinos (Munidopsis polymorpha), ciegos y sensibles al ruido, al movimiento y a la luz, se han convertido en el símbolo de este lugar.

La bauxite a été découverte par le chimiste Pierre Berthier en 1821 près du village des Baux-de-Provence (près d'Avignon et Arles dans le massif des Alpilles en France). Il découvrit la bauxite en cherchant du minerai de fer pour le compte d'industriels lyonnais.

Il lui donna le nom de « terre d'alumine des Baux ». Le nom fut transformé en « beauxite » par Armand Dufrénoy en 1847 puis en « bauxite » par Henry Sainte-Claire Deville en 1861[réf. nécessaire]. Le premier site industriel producteur d'aluminium au monde utilise la bauxite qui est amenée à Salindres dans le Gard, dès 1860.

La bauxite est une roche latéritique blanche, rouge ou grise, caractérisée par sa forte teneur en alumine Al2O3 et en oxydes de fer. Cette roche constitue le principal minerai permettant la production d'aluminium.

Elle se forme par altération continentale en climat chaud et humide. De structure variée, elle contient dans des proportions variables des hydrates d'alumine, de la kaolinite, de la silice et des oxydes de fer qui lui confèrent souvent une coloration rouge.

Ses minéraux spécifiques sont les hydrates d'alumine comme les polymorphes de Al(OH)3 (bayerite et gibbsite, monocliniques) et ceux de AlO(OH) (diaspore et boehmite, orthorhombiques). Cette altérite n'est considérée comme minerai d'aluminium que si sa teneur en silice totale ne franchit pas un seuil variable selon les coûts du procédé d'extraction de l'alumine (procédé Bayer), puis de la transformation de l'alumine en aluminium par électrolyse. En règle générale, ces teneurs limites en silice ne dépassent pas 8 % et en aucun cas ne peuvent dépasser 15 %, valeur pour laquelle les hydrates d'alumine sont instables au profit de la kaolinite. Par démantèlement, cette roche résiduelle donne naissance à diverses autres roches de type sédimentaire que ce soit en milieu marin ou continental, voire souterrain par soutirage dans leur substrat carbonaté par dissolution de ce dernier (aramonite). source: fr.wikipedia.org/wiki/Bauxite

Cinnamon (/ˈsɪnəmən/ SIN-ə-mən) is a spice obtained from the inner bark of several trees from the genus Cinnamomum that is used in both sweet and savoury foods. The term "cinnamon" also refers to its mid-brown colour. While Cinnamomum verum is sometimes considered to be "true cinnamon", most cinnamon in international commerce is derived from related species, which are also referred to as "cassia" to distinguish them from "true cinnamon".

 

Cinnamon is the name for perhaps a dozen species of trees and the commercial spice products that some of them produce. All are members of the genus Cinnamomum in the family Lauraceae. Only a few of them are grown commercially for spice.

 

NAME

The English word cinnamon, attested in English since the 15th century, derives from the Greek κιννάμωμον kinnámōmon (later kínnamon), via Latin and medieval French intermediate forms. The Greek was borrowed from a Phoenician word, which was akin to the related Hebrew qinnamon.

 

The name cassia, first recorded in English around AD 1000, was borrowed via Latin and ultimately derives from Hebrew q'tsīʿāh, a form of the verb qātsaʿ, "to strip off bark".

 

Early Modern English also used the names canel and canella, akin to the current names of cinnamon in several other European languages, which are derived from the Latin word cannella, a diminutive of canna, "tube", from the way the bark curls up as it dries.

 

HISTORY

In classical times, four types of cinnamon were distinguished (and often confused):

 

- True cinnamon , the bark of C. verum (also called C. zeylanicum) from Sri Lanka

- Malabathrum or malobathrum (from Sanskrit तमालपत्रम्, tamālapattram, literally "dark-tree leaves"), several species including C. tamala from the north of India

- Serichatum, C. cassia from Seres, that is, China

- Cassia (Hebrew קציעה qəṣi`â), the bark of Cinnamomum iners from Arabia and Ethiopia, literally "the peel of the plant" which is scraped off the tree

 

Cinnamon has been known from remote antiquity. It was imported to Egypt as early as 2000 BC, but those who report it had come from China confuse it with cassia. Cinnamon was so highly prized among ancient nations that it was regarded as a gift fit for monarchs and even for a god: a fine inscription records the gift of cinnamon and cassia to the temple of Apollo at Miletus. Though its source was kept mysterious in the Mediterranean world for centuries by the middlemen who handled the spice trade, to protect their monopoly as suppliers, cinnamon is native to Bangladesh, Sri Lanka, the Malabar Coast of India, and Burma.

 

The first Greek reference to kasia is found in a poem by Sappho in the seventh century BC. According to Herodotus, both cinnamon and cassia grew in Arabia, together with incense, myrrh, and ladanum, and were guarded by winged serpents. The phoenix was reputed to build its nest from cinnamon and cassia. Herodotus mentions other writers who believed the source of cassia was the home of Dionysos, located somewhere east or south of Greece.

 

The Greeks used kásia or malabathron to flavour wine, together with absinth wormwood (Artemisia absinthium). While Theophrastus gives a good account of the plants, he describes a curious method for harvesting: worms eat away the wood and leave the bark behind.

 

Egyptian recipes for kyphi, an aromatic used for burning, included cinnamon and cassia from Hellenistic times onward. The gifts of Hellenistic rulers to temples sometimes included cassia and cinnamon as well as incense, myrrh, and Indian incense (kostos), so one might conclude that the Greeks used it for similar purposes.

 

The Hebrew Bible makes specific mention of the spice many times: first when Moses is commanded to use both sweet cinnamon (Hebrew: קִנָּמוֹן, qinnāmôn) and cassia in the holy anointing oil; in Proverbs where the lover's bed is perfumed with myrrh, aloes, and cinnamon; and in Song of Solomon, a song describing the beauty of his beloved, cinnamon scents her garments like "the smell of Lebanon." Cassia was also part of the ketoret, the consecrated incense described in the Hebrew Bible and Talmud. It was offered on the specialized incense altar in the time when the Tabernacle was located in the First and Second Jerusalem temples. The ketoret was an important component of the temple service in Jerusalem. Psalm 45:8 mentions the garments of the king (or of Torah scholars) that smell of myrrh, aloes, and cassia.

 

Pliny gives an account of the early spice trade across the Red Sea that cost Rome 100 million sesterces each year. Cinnamon was brought around the Arabian peninsula on "rafts without rudders or sails or oars," taking advantage of the winter trade winds. Pliny also mentions cassia as a flavouring agent for wine.

 

According to Pliny, a Roman pound (327 grams) of cassia, cinnamon, or serichatum cost up to 300 denarii, the wage of ten months' labour. Diocletian's Edict on Maximum Prices from 301 AD gives a price of 125 denarii for a pound of cassia while an agricultural labourer earned 25 denarii per day. Cinnamon was too expensive to be commonly used on funeral pyres in Rome, but the Emperor Nero is said to have burned a year's worth of the city's supply at the funeral for his wife Poppaea Sabina in AD 65.

 

Malabathrum leaves (folia) were used in cooking and for distilling an oil used in a caraway sauce for oysters by the Roman gourmet Gaius Gavius Apicius. Malabathrum is among the spices that, according to Apicius, any good kitchen should contain.

 

The famous Commagenum unguent produced in Commagene, in present-day eastern Turkey, was made from goose fat aromatised with cinnamon oil and spikenard. Malobathrum from Egypt (Dioscorides I, 63) was based on beef fat and contained cinnamon, as well; one pound cost 300 denarii. The Roman poet Martial (VI, 55) made fun of Romans who drip unguents, smell of cassia and cinnamon taken from a bird's nest, and look down on a man who does not smell at all.

 

Through the Middle Ages, the source of cinnamon was a mystery to the Western world. From reading Latin writers who quoted Herodotus, Europeans had learned that cinnamon came up the Red Sea to the trading ports of Egypt, but where it came from was less than clear. When the Sieur de Joinville accompanied his king to Egypt on crusade in 1248, he reported – and believed – what he had been told: that cinnamon was fished up in nets at the source of the Nile out at the edge of the world (i.e., Ethiopia). Marco Polo avoided precision on the topic. Herodotus and other authors named Arabia as the source of cinnamon: they recounted that giant cinnamon birds collected the cinnamon sticks from an unknown land where the cinnamon trees grew and used them to construct their nests, and that the Arabs employed a trick to obtain the sticks. Pliny the Elder wrote in the first century that traders had made this up to charge more, but the story remained current in Byzantium as late as 1310.

 

The first mention that the spice grew in Sri Lanka was in Zakariya al-Qazwini's Athar al-bilad wa-akhbar al-‘ibad ("Monument of Places and History of God's Bondsmen") about 1270. This was followed shortly thereafter by John of Montecorvino in a letter of about 1292.

 

Indonesian rafts transported cinnamon directly from the Moluccas to East Africa (see also Rhapta), where local traders then carried it north to Alexandria in Egypt. Venetian traders from Italy held a monopoly on the spice trade in Europe, distributing cinnamon from Alexandria. The disruption of this trade by the rise of other Mediterranean powers, such as the Mamluk sultans and the Ottoman Empire, was one of many factors that led Europeans to search more widely for other routes to Asia.

 

When Portuguese traders landed in Ceylon (Sri Lanka), they restructured the traditional production and management of cinnamon by the Sinhalese. They established a fort on the island in 1518 and protected Ceylon as their cinnamon monopoly for over a hundred years. Later, Sinhalese held the monopoly for cinnamon in Ceylon.

 

Dutch traders finally dislodged the Portuguese by allying with the inland Kingdom of Kandy. They established a trading post in 1638, took control of the manufactories by 1640, and expelled the remaining Portuguese by 1658. "The shores of the island are full of it," a Dutch captain reported, "and it is the best in all the Orient. When one is downwind of the island, one can still smell cinnamon eight leagues out to sea." The Dutch East India Company continued to overhaul the methods of harvesting in the wild and eventually began to cultivate its own trees.

 

During the 1500s, when the Spanish sent an expedition out from New Spain (Mexico) and arrived at the Philippines, they found that Cinnamon was growing in the island of Mindanao near the Rajahnate of Butuan. The species of Cinnamon was Cinnamomum mindanaense which was closely related to Cinnamomum zeylanicum and was found to be just as good as the Cinnamon found in Sri Lanka. This Cinnamon was often mixed with the chocolate the Spanish discovered from the Aztecs in order to sweeten it. This alternative Mindanao cinnamon to the one found in Sri Lanka, which was controlled by the Portuguese, supplied Spanish needs and this cinnamon traveled the route through the Americas and eventually to Spain where it competed with Sri Lankan cinnamon.

 

In 1767, Lord Brown of the British East India Company established Anjarakkandy Cinnamon Estate near Anjarakkandy in Cannanore (now Kannur) district of Kerala, and this estate became Asia's largest cinnamon estate. The British took control of Ceylon from the Dutch in 1796. However, the importance of the monopoly of Ceylon was already declining, as cultivation of the cinnamon tree spread to other areas, the more common cassia bark became more acceptable to consumers, and coffee, tea, sugar, and chocolate began to outstrip the popularity of traditional spices.

 

CULTIVATION

Aggregate annual production of cinnamon and cassia amounts to 27,500–35,000 tons, worldwide. Of this, Cinnamomum verum accounts for 7,500–10,000 tons of production, with the remainder produced by other species. Sri Lanka produces 80–90% of the world's supply of C. verum, but that is the only species grown there; C. verum is also cultivated on a commercial scale in Seychelles and Madagascar. Global production of the other species averages 20,000–25,000 tons, of which Indonesia produces around two-thirds of the total, with significant production in China. India and Vietnam are also minor producers.

 

Cinnamon is cultivated by growing the tree for two years, then coppicing it, i.e., cutting the stems at ground level. The following year, about a dozen new shoots will form from the roots, replacing those that were cut. A number of pests such as Colletotrichum gloeosporioides, Diplodia spp., and Phytophthora cinnamomi (stripe canker) can affect that growing plants, sometimes leading to death.

 

The stems must be processed immediately after harvesting while the inner bark is still wet. The cut stems are processed by scraping off the outer bark, then beating the branch evenly with a hammer to loosen the inner bark, which is then pried off in long rolls. Only 0.5 mm of the inner bark is used; the outer, woody portion is discarded, leaving metre-long cinnamon strips that curl into rolls ("quills") on drying. The processed bark will dry completely in four to six hours, provided it is in a well-ventilated and relatively warm environment. Once dry, the bark is cut into 5- to 10-cm lengths for sale. A less than ideal drying environment encourages the proliferation of pests in the bark, which may then require treatment by fumigation. Fumigated bark is not considered to be of the same premium quality as untreated bark.

 

Sri Lanka cinnamon has a very thin, smooth bark with a light-yellowish brown colour and a highly fragrant aroma. In recent years in Sri Lanka, mechanical devices have been developed to ensure premium quality and worker safety and health, following considerable research by the universities in that country, led by the University of Ruhuna.

 

GRADING

The Sri Lankan grading system divides the cinnamon quills into four groups:

 

- Alba, less than 6 mm in diameter

- Continental, less than 16 mm in diameter

- Mexican, less than 19 mm in diameter

- Hamburg, less than 32 mm in diameter

 

These groups are further divided into specific grades. For example, Mexican is divided into M00 000 special, M000000, and M0000, depending on quill diameter and number of quills per kilogram.

 

Any pieces of bark less than 106 mm long are categorized as quillings. Featherings are the inner bark of twigs and twisted shoots. Chips are trimmings of quills, outer and inner bark that cannot be separated, or the bark of small twigs.

 

SPECIES

A number of species are often sold as cinnamon:

 

- Cinnamomum cassia (cassia or Chinese cinnamon, the most common type)

- C. burmannii (Korintje, Padang cassia, or Indonesian cinnamon)

- C. loureiroi (Saigon cinnamon, Vietnamese cassia, or Vietnamese cinnamon)

- C. verum (Sri Lanka cinnamon or Ceylon cinnamon)

- C. citriodorum (Malabar cinnamon)

- C. tamale (Indian cinnamon)

 

Cassia is the strong spicy flavour associated with cinnamon rolls and other such baked goods, as it handles baking conditions well. Chinese cinnamon is generally a medium to light reddish brown, hard and woody in texture, and thicker (2–3 mm thick), as all of the layers of bark are used. Ceylon cinnamon, using only the thin inner bark, has a lighter brown colour, a finer, less dense and more crumbly texture, and is considered to be subtler and more aromatic in flavour than cassia, losing much of its flavour during cooking.

 

Levels of the blood-thinning agent coumarin in Ceylon cinnamon are much lower than those in cassia.

 

The barks of the species are easily distinguished when whole, both in macroscopic and microscopic characteristics. Ceylon cinnamon sticks (quills) have many thin layers and can easily be made into powder using a coffee or spice grinder, whereas cassia sticks are much harder. Indonesian cinnamon is often sold in neat quills made up of one thick layer, capable of damaging a spice or coffee grinder. Saigon cinnamon (C. loureiroi) and Chinese cinnamon (C. cassia) are always sold as broken pieces of thick bark, as the bark is not supple enough to be rolled into quills. The powdered bark is harder to distinguish, but if it is treated with tincture of iodine (a test for starch), little effect is visible with pure Ceylon cinnamon, but when Chinese cinnamon is present, a deep-blue tint is produced.

 

FLAVOUR, AROMA AND TASTE

The flavour of cinnamon is due to an aromatic essential oil that makes up 0.5 to 1% of its composition. This essential oil is prepared by roughly pounding the bark, macerating it in sea water, and then quickly distilling the whole. It is of a golden-yellow colour, with the characteristic odour of cinnamon and a very hot aromatic taste. The pungent taste and scent come from cinnamic aldehyde or cinnamaldehyde (about 90% of the essential oil from the bark) and, by reaction with oxygen as it ages, it darkens in colour and forms resinous compounds. Other chemical components of the essential oil include ethyl cinnamate, eugenol (found mostly in the leaves), beta-caryophyllene, linalool, and methyl chavicol.

 

FOOD USES

Cinnamon bark is used as a spice. It is principally employed in cookery as a condiment and flavouring material. It is used in the preparation of chocolate, especially in Mexico, which is the main importer of cinnamon. It is also used in many dessert recipes, such as apple pie, doughnuts, and cinnamon buns as well as spicy candies, coffee, tea, hot cocoa, and liqueurs. In the Middle East, cinnamon is often used in savoury dishes of chicken and lamb. In the United States, cinnamon and sugar are often used to flavour cereals, bread-based dishes, such as toast, and fruits, especially apples; a cinnamon-sugar mixture is even sold separately for such purposes. It is also used in Turkish cuisine for both sweet and savoury dishes. Cinnamon can also be used in pickling. Cinnamon powder has long been an important spice in enhancing the flavor of Persian cuisine, used in a variety of thick soups, drinks, and sweets.

 

USE AS AN ALCOHOLIC FLAVORANT

Cinnamon is a popular flavoring in numerous alcoholic beverages.

 

Cinnamon brandy concoctions, called "Cinnamon liqueur" and made with distilled alcohol, are popular in parts of Greece. In Europe, popular examples of such beverages are Maiwein (white wine with woodruff) and Żubrówka (vodka flavoured with bison grass).

 

TRADITIONAL MEDICINE

Cinnamon has a long history of use in traditional medicine, but there is no evidence that it is useful to treat any medical condition.

 

TOXICITY

The European Food Safety Authority in 2008 considered toxicity of coumarin, known to cause liver and kidney damage in high concentrations and a significant component of cinnamon, and metabolic effect on humans with CYP2A6 polymorphism, and confirmed a maximum recommended Tolerable Daily Intake (TDI) of 0.1 mg of coumarin per kg of body weight. The European Union set a guideline for maximum coumarin content in foodstuffs of 50 mg per kg of dough in seasonal foods, and 15 mg per kg in everyday baked foods. Note: Due to the unpredictable amount of coumarin in Cinnamomum cassia, usually well over 1,000 mg of coumarin per kg of cinnamon and sometimes up to 12 times that, Cinnamomum cassia has a very low safe intake level in order to adhere to the above Tolerable Daily Intake.

 

NUTRITIONAL INFORMATION

Ten grams (about 2 teaspoons) of ground cinnamon contain:

 

Energy: 103.4 kJ (24.7 kcal)

Fat: 0.12 g

Carbohydrates: 8.06 g (of which - fibres: 5.31 g, sugars: 0.2 g)

Protein: 0.4 g

 

WIKIPEDIA

Nice #Erythrina #fleurs #arbre #tree #flowers #red #nature #patm666photos Erythrina est un genre de plantes dicotylédones de la famille des Fabaceae, sous-famille des Faboideae, à répartition pantropicale, qui comprend 129 espèces acceptées.

Ses espèces sont distribuées un peu partout sur le globe dans les régions tropicales et subtropicales. Plusieurs espèces d’Erythrina ont de grandes fleurs rouges, ce qui est à l'origine de leur nom (en grec ερυθρος veut dire rouge). Cependant toutes les espèces d'Erythrina n'ont pas que des fleurs rouges : le wiliwili (Erythrina sandwicensis) a des variations dans la couleur de ses fleurs, qui peuvent être orange, jaunes, saumon, vertes ou blanches, et cela naturellement. Ce polymorphisme est sans doute unique au sein de ce genre.

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

The photos were taken at the following Canadian locations:

 

Niagara Parks Butterfly Conservatory

Toronto Zoo, Malayan Woods Pavilion

ENMAX Conservatory, Calgary Zoo

 

2008-2019

 

"Butterflies are part of the class of Insects in the order Lepidoptera. Adult butterflies have large, often brightly coloured wings, and conspicuous, fluttering flight. The group comprises the true butterflies (superfamily Papilionoidea), the skippers (superfamily Hesperioidea) and the moth-butterflies (superfamily Hedyloidea). Butterfly fossils date to the mid Eocene epoch, 40–50 million years ago.

 

Butterflies exhibit polymorphism, mimicry and aposematism. Some, like the Monarch, will migrate over long distances. Some butterflies have parasitic relationships with organisms including protozoans, flies, ants, other invertebrates, and vertebrates.Some species are pests because in their larval stages they can damage domestic crops or trees; however, some species are agents of pollination of some plants, and caterpillars of a few butterflies (e.g., harvesters) eat harmful insects. Culturally, butterflies are a popular motif in the visual and literary arts."

 

Source: wikipedia.org

 

Gentiana is a genus of flowering plants belonging to the Gentian family (Gentianaceae), tribe Gentianeae and monophyletic subtribe Gentianinae. This a large genus, with about 400 species.This is a cosmopolitan genus, occurring in alpine habitats of temperate regions of Asia, Europe and the Americas. Some species also occur in northwest Africa, eastern Australia and New Zealand. They consist of annual, biennial and perennial plants. Some are evergreen, others are not.Gentians have opposite leaves that are sometimes arranged in a basal rosette, and trumpet-shaped flowers that are usually deep blue or azure, but may vary from white, creamy and yellow to red. Many species also show considerable polymorphism with respect to flower color. Typically, blue-flowered species predominate in the Northern Hemisphere, with red-flowered species dominant in the Andes (where bird pollination is probably more heavily favored by natural selection). White-flowered species are scattered throughout the range of the genus but dominate in New Zealand. All gentian species have terminal tubular flowers and most are pentamerous, i.e. with 5 corolla lobes (petals), and 5 sepals, but 4-7 in some species. The style is rather short or absent. The corolla shows folds (= plicae) between the lobes. The ovary is mostly sessile and has nectary glands.Gentians are fully hardy and like full sun or partial shade, and neutral to acid soil that is rich in humus and well drained. They are popular in rock gardens.According to Pliny the Elder, Gentian is an eponym of Gentius (180-168 BC), the King of Illyria, said to have discovered its healing properties. Some species are of medicinal use and their roots were harvested for the manufacture of tonic liquor, for instance in France "Suze" or similar liquors. Gentian is also used as a flavouring, for example in bitters, and the soft drink "Moxie" which contains "Gentian Root Extractives"

 

La Genziana (Gentiana) è un genere di piante della famiglia delle Gentianaceae, che comprende circa 400 specie.Questo genere si trova un po' ovunque nell'habitat alpino delle regioni temperate dell'Asia, dell'Europa e del continente americano. Alcune specie si trovano anche nell'Africa nord-occidentale, nell'Australia orientale ed in Nuova Zelanda. Si tratta di piante annuali, biennali e perenni. Alcune sono sempreverdi, altre no. Sul versante italiano delle Alpi sono presenti diverse specie, che fioriscono durante l'estate. Sono quasi tutte "specie protette". Alcune specie si trovano anche sugli Appennini.I fiori sono a forma di imbuto; il colore è più comunemente azzurro o blu scuro, ma può variare dal bianco, avorio e giallo al rosso. Le specie col fiore di colore blu predominano nell'emisfero settentrionale, quelle col fiore rosso sulle Ande; le specie a fiore bianco sono più rare, ma più frequenti in Nuova Zelanda.Le genziane crescono su terreni acidi o neutri, ricchi di humus e ben drenati; si possono trovare in luoghi pienamente o parzialmente soleggiati.

 

Fonte : Vikipedia

   

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

(~7.0 centimeters across at its widest)

-----------------------------------

Igneous rocks form by the cooling and crystallization of hot, molten rock (magma and lava). If this happens at or near the land surface, or on the seafloor, they are extrusive igneous rocks. If this happens deep underground, they are intrusive igneous rocks. Most igneous rocks have a crystalline texture, but some are clastic, vesicular, frothy, or glassy.

 

Obsidian is readily identifiable. It is a glassy-textured, extrusive igneous rock. Obsidian is natural glass - it lacks crystals, and therefore lacks minerals. Obsidian is typically black in color, but most obsidians have a felsic to intermediate chemistry. Felsic igneous rocks are generally light-colored, so a felsic obsidian seems a paradox. Mafic obsidians are scarce, but they are also black and glassy. Obsidian is sometimes referred to "glassy rhyolite".

 

Obsidian is an uncommon rock, but can be examined at several famous localities in America, such as Obsidian Cliff at the Yellowstone Hotspot (northwestern Wyoming, USA) and Big Obsidian Flow at the Newberry Volcano (central Oregon, USA).

 

Obsidian is moderately hard and has a conchoidal fracture (smooth and curved fracture surface), with sharp broken edges. Freshly-broken obsidian has the sharpest edges of any material known, natural or man-made (as seen under a scanning electron microscope).

 

Obsidian forms two ways: 1) very rapid cooling of lava, which prevents the formation of crystals; 2) cooling of high-viscosity lava, which prevents easy movement of atoms to form crystals. An example of obsidian that formed the first way is along the margins of basaltic lava flows at Kilaeua Volcano (Hawaii Hotspot, central Pacific Ocean). The obsidian sample seen here formed the second way.

 

Obsidian is unstable on geologic time scales - it will slowly convert to material that is not obsidian. A partially-converted obsidian is a distinctive rock called snowflake obsidian. The black portions of the rock seen here are rhyolitic obsidian (glass). The white patches ("snowflakes") are devitrification spots composed of cristobalite (SiO2, a polymorph of quartz).

 

Locality: unrecorded / undisclosed, but possibly from Twin Peaks, Utah, USA

 

Cuculus canorus

[order] Cuculiformes | [family] Cuculidae | [latin] Cuculus canorus | [UK] Cuckoo | [FR] Coucou gris | [DE] Kuckuck | [ES] Cuco Europeo | [IT] Cuculo eurasiatico | [NL] Koekoek | [IRL] Cuach

 

Status: Widespread summer visitor to Ireland from April to August.

 

Conservation Concern: Green-listed in Ireland. The European population is currently evaluated as secure.

 

Identification: Despite its obvious song, relatively infrequently seen. In flight, can be mistaken for a bird of prey such as Sparrowhawk, but has rapid wingbeats below the horizontal plane - ie. the wings are not raised above the body. Adult male Cuckoos are a uniform grey on the head, neck, back, wings and tail. The underparts are white with black barring. Adult females can appear in one of two forms. The so-called grey-morph resembles the adult male plumage, but has throat and breast barred black and white with yellowish wash. The rufous-morph has the grey replaced by rufous, with strong black barring on the wings, back and tail. Juvenile Cuckoos resemble the female rufous-morph, but are darker brown above.

 

Similar Species: Sparrowhawk

 

Call: The song is probably one of the most recognisable and well-known of all Irish bird species. The male gives a distinctive “wuck-oo”, which is occasionally doubled “wuck-uck-ooo”. The female has a distinctive bubbling “pupupupu”. The song period is late April to late June.

 

Diet: Mainly caterpillars and other insects.

 

Breeding: Widespread in Ireland, favouring open areas which hold their main Irish host species – Meadow Pipit. Has a remarkable breeding biology unlike any other Irish breeding species.

 

Wintering: Cuckoos winter in central and southern Africa.

 

To minimise the chance of being recognised and thus attacked by the birds they are trying to parasitize, female cuckoos have evolved different guises.

 

The common cuckoo (Cuculus canorus) lays its eggs in the nests of other birds. On hatching, the young cuckoo ejects the host's eggs and chicks from the nest, so the hosts end up raising a cuckoo chick rather than a brood of their own. To fight back, reed warblers (a common host across Europe) have a first line of defence: they attack, or ‘mob’, the female cuckoo, which reduces the chance that their nest is parasitized.

 

To deter the warbler from attacking, the colouring of the grey cuckoo mimics sparrow hawks, a common predator of reed warblers. However, other females are bright rufous (brownish-red). The presence of alternate colour morphs in the same species is rare in birds, but frequent among the females of parasitic cuckoo species. The new research shows that this is another cuckoo trick: cuckoos combat reed warbler mobbing by coming in different guises.

 

In the study, the researchers manipulated local frequencies of the more common grey colour cuckoo and the less common (in the United Kingdom) rufous colour cuckoo by placing models of the birds at neighbouring nests. They then recorded how the experience of watching their neighbours mob changed reed warbler responses to both cuckoos and a sparrow hawk at their own nest.

 

They found that reed warblers increased their mobbing, but only to the cuckoo morph that their neighbours had mobbed. Therefore, as one cuckoo morph increases in frequency, local host populations will become alerted specifically to that morph. This means the alternate morph will be more likely to slip past host defences and lay undetected. This is the first time that ‘social learning’ has been documented in the evolution of mimicry as well as the evolution of different observable characteristics - such as colour - in the same species (called polymorphism).

 

From the University of Cambridge “When mimicry becomes less effective, evolving to look completely different can be a successful trick. Our research shows that individuals assess disguises not only from personal experience, but also by observing others. However, because their learning is so specific, this social learning then selects for alternative cuckoo disguises and the arms race continues.”.

“It’s well known that cuckoos have evolved various egg types which mimic those of their hosts in order to combat rejection. This research shows that cuckoos have also evolved alternate female morphs to sneak through the hosts' defences. This explains why many species which use mimicry, such as the cuckoo, evolve different guises.”

courtesy of Organ Museum

©2011 www.AbodeofChaos.org

 

Implacable approche Deleuzienne appliquée par les Guerriers du Chaos.

 

Durant les longs combats contre le système en place, les “Guerriers du Chaos” se déplacent dans la Demeure du Chaos devenue la “Citée Interdite” à travers des centaines de mètres de tunnels en surface et en sous-sol, par les salles machines, le Temple Protestant, les containers enterrés ou aériens, les toits, les passerelles tentaculaires d’Overground, le Bunker, les sculptures monumentales, les sources romaines et les éléments de végétations avec des élingues dans les arbres. ils jonglent en permanence entre les IPN et les treillis d’acier.

 

Les tunnels sont creusés dans une structure globale dense et contiguë empruntant les sources romaines du Domaine et les passages secrets du Temple Protestant. Bien qu’un grand nombre de Guerriers du Chaos évoluent simultanément dans les 9 000 m2 de la Demeure du Chaos, ils sont tellement “fondus” dans l’architecture glocale que très peu sont visibles de l’extérieur.

 

Cette forme de mouvement, décrite par les Guerriers du Chaos comme une “infestation“, cherche à redéfinir l’intérieur comme l’extérieur, et les intérieurs domestiques comme voies de communication. Nous jonglons à travers nos labyrinthes analogiques et tunnels numériques en laissant les cicatrices de lambeaux de peaux accrochés sur tous les murs de la Demeure. La stratégie des Guerriers du Chaos de “marcher à travers les murs” implique une conception de la “Cité interdite” comme non seulement le site, mais également comme le cœur même de la guerre, un milieu flexible, presque liquide et organique qui est toujours aléatoire et en prise à des changements permanents. Un véritable monde d’ombre face à l’ordre établi.

 

La Demeure du Chaos n’est jamais morte. C’est un bloc de matière primordiale et brute ; le culte d’un monstre unique, inerte et spontané, plus ultraviolet que toutes les autres mythologies telles les ombres devant Babylone entre le Tigre et l’Euphrate. Il ne faut jamais oublier que le Chaos précède tous les principes d’ordre et d’entropie, il n’est ni le bien ni le mal, car le monde n’est pas binaire, mec, c’ est l’incertitude du pouvoir. Il n’est ni un début, ni même une fin. C’est un trou noir, ce qui, par essence, fait des Guerriers du Chaos, des terroristes de la pensée… Le Chaos est un vide quantique dont les pirates que nous sommes sont les particules virtuelles, c’est la Materia Prima, le champ de tous les possibles.

 

Le Chaos naît dans les interstices d’un monde sous contrôle… C’est l’ordre que nous combattons qui crée le Chaos. Les théoriciens militaires contemporains sont occupés maintenant à re-conceptualiser les maps mouvants des mégapoles. En jeu, ce sont les concepts, les suppositions et les principes fondamentaux qui déterminent les stratégies et les tactiques militaires. Il y a des points communs considérables entre les textes théoriques considérés comme essentiels par les académies militaires et les écoles architecturales, l’Infra-mince de Duchamp est aussi cette interface entre ces deux mondes antagonistes.

 

En effet, les listes de lectures des institutions militaires contemporaines incluent des travaux depuis à peu près les années 1968, notamment sur les écrits de Gilles Deleuze, de Félix Guattari et de Guy Debord, ainsi que des écrits plus contemporains sur la théorie post-coloniale et post-structuraliste de l’urbanisme, de la psychologie, de la cybernétique. Les Guerriers du Chaos ont intégré ces données comme essentielles pour la résistance et la mise en place de TAZ comme la Borderline Biennial.

 

Les Guerriers du Chaos disent “l’espace que vous regardez, l’œuvre que vous regardez, ce n’est rien d’autre que votre interprétation”. La question est, comment interprétez-vous la Demeure du Chaos ? Un No man’s land, un espace ouvert selon la notation de Thiel ? L’ennemi interprète la Demeure du Chaos comme la “Cité Interdite” pour s’y déplacer et les portes centrales comme quelque chose dont le franchissement est un interdit sacré ou profane, et les murs d’enceinte comme quelque chose par lequel il est interdit de regarder, parce que des armes ou bien pire l’attendent derrière les murs, et des pièges de toutes natures sont derrière les portes centrales et périphériques de la “Cité Interdite”.

 

La Demeure est une bombe, lenteur de son explosion qui se propage dans tous les interstices de nos ennemis. La Demeure est l’estomac du rêve, la forme et les ombres des ennemis disparaissent, elles se mettent à hurler, à être digérées par le Chaos. Profaner le sanctuaire de la Demeure du Chaos, c’est violer l’ensemble de mesures assurant sa garantie, sa protection, avec une dimension de sauvegarde, de mise à part, d’intangibilité.

 

C’est parce que nos ennemis interprètent l’espace d’une façon traditionnelle et classique que nous ne voulons pas obéir à cette interprétation et tomber dans ses pièges. Les Guerriers du Chaos veulent les surprendre ! C’est l’essence même de la guerre. Nous devons vaincre l’ordre en place. Nous voici, nous autres Guerriers du Chaos nous glissant entre les fissures des murs du Temple, de l’état, du palais de justice, de l’université, de la bourse, de tous ces monolithes paranoïdes. Coupés de la tribu par la nostalgie brute, nous creusons un tunnel vers les mots perdus, les bombes imaginaires de la “Cité Interdite”.

 

C’est pourquoi nous avons opté pour la méthodologie de nous déplacer à travers les murs et les sous-sols de la Demeure… Comme un ver qui mange son chemin vers l’avant, émergeant à certains points et puis disparaissant. A mesure que le pouvoir disparaît, notre volonté de pouvoir doit être la disparition…

 

Les Guerriers du Chaos savent que la Demeure retient la réalité de nos ennemis et leurs formes entre les mâchoires de sa folie pour les consumer dans le soufre incombustible, le mercure philosophal. Sur leurs corps les Guerriers du Chaos portent la devise “Nutrisco ET Extinguo” qu’incarne la Salamandre alchimique symbole de la Demeure du Chaos.

 

Nous nous sommes délibérément interdit de définir la TAZ qui est explicite. Nous ne voulons pas créer de dogme politique. Nous nous contentons de tourner autour du sujet en lançant des sondes exploratoires s’articulant autour du principe des utopies pirates. La TAZ y est très liée, ne serait-ce que par une filiation d’idées : les concepteurs des TAZ se réclamant de l’esprit de révolte des flibustiers. On trouve d’ailleurs une longue partie sur la TAZ dans le livre sur les pirates de Mikhaïl W. Ramseier, “La Voile noire”, qui s’interroge entre autres sur l’éventuelle filiation que certains libertaires affirment reconnaître entre anarchie et piraterie.

 

Je vous en avais déjà parlé dans les précédentes lettres de la DDC, il faut impérativement lire l’histoire de la piraterie à travers entre autres, le livre de Marcus Rediker : « Villains of all nations ». Les coutumes pirates voulaient qu’à chaque création d’un nouvel équipage le navire nouvellement lancé sous l’étendard noir et blanc le personnalise en lui ajoutant un signe ou une particularité. Le « Jolly Rogers » s’imposait donc à la Demeure du Chaos comme étendard de valeurs communes au clan. Ainsi, 3 autres signes se sont imposés :- Le bandeau sur les yeux : signifiant du terrorisme dont la DDC à été accusée au procès de Grenoble mais aussi de l’état d’esprit du graffiti.- Le « cap » de l’aérosol associé à la goupille : tous 2 symboles d’une « bombe », d’un art controversé et d’une arme.

 

Nos ennemis nous affublent de noms tels que “Différence et Répétition”, “Entités rivales sans forme”, “Manœuvre fractale”, “Rapidité contre Rythmes”, “Machine de guerre”, “Anarchistes post-modernes”, “Terroristes intellectuels” et “Orgues de Staline”, “Cinquième colonne”, ils se réfèrent souvent au travail de Deleuze et de Guattari. Les machines de guerre, selon les philosophes, sont polymorphes ; des organismes diffus caractérisés par leur capacité à se métamorphoser, composés de petits groupes qui se fractionnent ou fusionnent entre eux, selon l’éventualité et les circonstances.

 

Deleuze et Guattari savaient bien que l’Etat pouvait aussi volontairement se transformer en machine de guerre. Plongée dans les eaux profondes, la Borderline Biennial va au-delà des contre-cultures, elle possède cet aspect festif de l’instant non contrôlé qui adhère en auto-organisation spontanée. C’est une épiphanie, une expérience démesurée aussi bien au niveau social qu’individuel. Notre TAZ de 40 jours et 40 nuits implique une certaine sauvagerie, une évolution du domestique au sauvage, un retour qui est un grand pas en avant. Elle implique également une danse du Chaos face à l’appareil de contrôle : l’Etat qui continue à se déliter et se pétrifier devant l’insurrection qui vient.

 

Nous déplaçons en cas d’attaque majeure notre conflit avec l’ordre établi dans l’Internet profond. On peut considérer que l’Internet profond est un outil important pour nos TAZ : “Si la TAZ est un campement nomade, alors l’Internet profond est le pourvoyeur des chants épiques, des généalogies et des légendes du clan ; il a en mémoire les routes secrètes des caravanes et les chemins d’embuscade qui assurent la fluidité de l’économie clanique ; il contient même certaines des routes à suivre et certains rêves qui seront vécus comme autant de signes et d’augures qui détruiront mentalement l’ennemi”.

 

Il est nécessaire de comprendre comment nos ennemis interprètent le principe désormais familier “d’essaimage”. La manœuvre de l’essaim en fait a été adaptée par les Guerriers du Chaos du principe d’intelligence artificielle, de l’intelligence de l’essaim, qui suppose que des capacités de résolution des problèmes soient trouvées dans l’interaction et la communication d’agents relativement peu sophistiqués (fourmis, oiseaux, abeilles, soldats) avec peu ou pas de commandement centralisé. L’essaim illustre le principe de non-linéarité apparente en termes spatiaux, organisationnels et temporels. Il est directement issu de la théorie du Chaos décrite par Lorenz et remasterisée par Gleick.

 

Le paradigme de manœuvre traditionnelle, caractérisé par la géométrie euclidienne, est transformé, selon les militaires par un nouveau paradigme en une géométrie complexe de type fractal. Selon nous, l’ensemble de Mandelbrot est localement connexe. En topologie militaire, la notion de connexité formalise le concept d’être d’un seul tenant, d’où notre avantage stratégique sur l’ennemi.

 

Cela peut expliquer la fascination de l’armée pour les modèles spatiaux et organisationnels et les modes opératifs avancés par des théoriciens tels que Deleuze et Guattari. Pour les militaires, la guerre urbaine est l’ultime forme post-moderne de conflit. La Foi en un plan de bataille structuré logiquement et à sens unique disparaît devant la complexité et l’ambiguïté de la réalité urbaine. Des artistes deviennent des combattants, et les combattants deviennent des artistes. Pour un ennemi de la Demeure du Chaos, les Guerriers du Chaos semblent “être partout : devant, derrière, sur les côtés, à droite et à gauche, en haut et en bas. Comment peut-on se battre dans cette façon ?”.

 

Pour aller plus loin nos ennemi nous demandent : pourquoi pas Derrida et la Déconstruction ? Nous répondons : Derrida est peut-être un peu trop conceptuel pour nous autres Guerriers du Chaos. Nous avons plus de choses en commun avec les architectes du désir ; nous combinons théorie et pratique. Nous pouvons lire, mais nous savons aussi comment construire et détruire et parfois, annihiler toute forme d’ennemis… Ces idées avaient été, bien sûr, conçues par Guy Debord et d’autres membres de l’Internationale Situationniste pour défier la hiérarchie construite de la cité capitaliste et pour casser les distinctions entre le public et le privé, entre l’intérieur et l’extérieur, l’usage et la fonction, en remplaçant l’espace privé par une surface publique “sans frontières ni limes”.

 

La violence mentale peut ainsi être projetée comme tolérable et le public encouragé à la soutenir. Ainsi, le développement et la diffusion de nouvelles technologies militaires encouragent la fiction qui est projetée dans le domaine public qu’une solution militaire est possible dans des situations où, au mieux, c’est très douteux. Le véritable danger est là. La fonction pratique ou tactique, la façon dont la théorie Deleuzienne influence les tactiques et les manœuvres militaires, soulève des questions sur la relation entre la théorie et la pratique. En termes discursifs, la guerre, s’il ne s’agit pas d’une guerre d’annihilation totale, constitue une forme de discours entre des ennemis.

 

Chaque action militaire est censée communiquer quelque chose à l’ennemi. Parler “d’essaimage” et de “destruction intelligente”, par la voix des Guerriers du Chaos, permet de communiquer à ses ennemis qu’ils ont la capacité d’effectuer des destructions bien plus importantes. Des raids ou attentats artistiques peuvent dont être projetés comme des alternatives plus modérées aux capacités dévastatrices possédées actuellement par les Guerriers du Chaos qu’ils déclencheront si l’ennemi dépasse le niveau “acceptable” de violence ou enfreint un accord tacite.

 

En termes de théorie militaire opérationnelle, il n’est jamais essentiel d’utiliser sa pleine capacité destructive, mais plutôt de maintenir le potentiel d’accroître le niveau d’atrocité mentale. Sinon, les menaces n’ont plus aucun sens.

 

Pour les Guerriers du Chaos, il n’y a pas de devenir, pas de révolution, pas de lutte, pas de voie ; chacun est déjà le monarque de sa propre peau, sa liberté inviolable n’attend que d’être complétée par l’amour des autres monarques, une politique de rêve, urgente comme le bleu du ciel et la folie de notre siècle.

 

Quand les Guerriers du Chaos parlent de théorie, cela semble être la question du changement de sa structure organisationnelle et hiérarchique. Et quand les Guerriers du Chaos parlent à l’ennemi, la théorie peut être comprise comme une arme particulièrement intimidante du type “shock and awe” (choc et épouvante), le message étant : “Tu ne comprendras même jamais ce qui annihile pour l’éternité ton ordre établi…

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

(~7.8 centimeters across at its widest)

--------------------------------------------------------------

Igneous rocks form by the cooling and crystallization of hot, molten rock (magma and lava). If this happens at or near the land surface, or on the seafloor, they are extrusive igneous rocks. If this happens deep underground, they are intrusive igneous rocks. Most igneous rocks have a crystalline texture, but some are clastic, vesicular, frothy, or glassy.

 

Obsidian is readily identifiable. It is a glassy-textured, extrusive igneous rock. Obsidian is natural glass - it lacks crystals, and therefore lacks minerals. Obsidian is typically black in color, but most obsidians have a felsic to intermediate chemistry. Felsic igneous rocks are generally light-colored, so a felsic obsidian seems a paradox. Mafic obsidians are scarce, but they are also black and glassy. Obsidian is sometimes referred to "glassy rhyolite".

 

Obsidian is an uncommon rock, but can be examined at several famous localities in America, such as Obsidian Cliff at the Yellowstone Hotspot (northwestern Wyoming, USA) and Big Obsidian Flow at the Newberry Volcano (central Oregon, USA).

 

Obsidian is moderately hard and has a conchoidal fracture (smooth and curved fracture surface), with sharp broken edges. Freshly-broken obsidian has the sharpest edges of any material known, natural or man-made (as seen under a scanning electron microscope).

 

Obsidian forms two ways: 1) very rapid cooling of lava, which prevents the formation of crystals; 2) cooling of high-viscosity lava, which prevents easy movement of atoms to form crystals. An example of obsidian that formed the first way is along the margins of basaltic lava flows at Kilaeua Volcano (Hawaii Hotspot, central Pacific Ocean). The obsidian sample seen here formed the second way.

 

Obsidian is unstable on geologic time scales - it will slowly convert to material that is not obsidian. A partially-converted obsidian is a distinctive rock called snowflake obsidian. The black portions of the rock seen here are rhyolitic obsidian (glass). The white patches ("snowflakes") are devitrification spots composed of cristobalite (SiO2, a polymorph of quartz).

 

Locality: unrecorded / undisclosed

 

Abbatiale romane Notre-Dame ; commune de Payerne, canton de Vaud, Suisse

 

L'abbatiale protestante Notre-Dame est un édifice religieux de la ville de Payerne. Elle est considérée comme la plus grande église romane de Suisse. Elle était, avant la Réforme, l'église de l'abbaye bénédictine de Payerne. Une partie adjacente à l'édifice - le musée - fut grandement endommagé par un incendie en 1987. L'architecture de l'abbatiale est considérée comme romane, et construite selon un schéma clunisien (XIe siècle). De nombreux éléments proviennent toutefois d'une inspiration gothique plus tardive (XVe siècle). De nombreux chapiteaux peints sont encore visibles. De nombreuses fresques des XIe et XIIe siècles habillent les murs du narthex : Christ en Croix soutenu par Dieu le père, Vierge de miséricorde, Christ du jugement dernier devant les vingt-quatre vieillards de l'Apocalypse.

 

(extrait de : fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_de_Payerne)

 

LES EXTÉRIEURS :

Les masses imposantes de l'édifice roman sont surmontées par une tour de croisée sommée d'une flèche effilée. Le massif occidental accuse deux étages, un nar-thex à l'étage bas, une chapelle dédiée à Saint-Michel en haut. Autrefois cette façade devait se terminer par deux tours comme il en a existé à Romainmôtier et comme il en subsiste à Paray-le-Monial, à Tournus et en bien d'autres édifices bourguignons. Probablement incen­diées au xve siècle, ces tours ont été rem­placées par le couronnement en molasse et le grand toit actuel. Le jeu de la lumière sur le petit appareil de calcaire jaune est remarquable sur la façade nord, surtout en fin d'après-midi. Cette façade est divisée par des lésènes supportant de petites arcatures, éléments qui appartiennent encore au « premier art roman ». Avec le massif occi­dental cette façade est la partie la plus ancienne de l'édifice actuel. Ce mur nord a subi diverses transformations, déjà au cours de la construc­tion de l'église. Poursuivant votre promenade, vous abordez le transept puis le chevet; placez-vous au nord-est, assez loin de l'édifice et de là admirez le subtil agencement des masses du transept et des cinq absides. Il y a encore quelques hési­tations et des maladresses dans les toitures des chapelles extérieures mais quelle habileté dans l'échelonnement des volumes, tant en plan qu'en élévation. La grande abside centrale est rythmée à l'étage inférieur par des contreforts à deux ressauts se transformant en colonnette appuyée à un dosseret à l'étage haut. Ces colonnes aux chapiteaux primitifs, dont certains n'ont pas été achevés, supportent de petites arcatures soutenant elles-mêmes une corniche moulurée.

Au passage, remarquez, sous la corniche de la façade sud de la chapelle méridionale un fragment de corniche romaine remployé comme console. La majeure partie des matériaux ayant servi à élever l'église sont en effet d'origine romaine. ...

 

Passant sous la voûte, à l'angle sud-ouest de la place ..., on tra­verse le bâtiment qui abritait la salle capitulaire et le dortoir, et l'on parvient dans la cour du cloître. Là, trois cloîtres successifs ont tour à tour disparu. Ils ont laissé de nombreuses traces dans le mur sud de l'église et dans le mur du bâtiment oriental du couvent. Les deux autres côtés de la cour sont occupés par des bâtiments plus récents : ... La façade ouest du croisillon sud du transept est percée d'une grande porte qui donnait autrefois accès à l'église depuis le cloître; dans le haut de cette façade, la corniche est portée par des modilIons sculptés intéressants qui sont probable­ment des remplois. Les toitures actuelles des bas-côtés, trop inclinées, masquent partiellement les fenêtres hautes de la nef. De plus, la forte saillie de l'avant-toit assombrit les fenêtres des bas-côtés. ... Dans son état actuel, la toiture de la nef doit dater du XVIe ou XVIIe siècle. Contre la face occidentale de la tour de croisée, un renvoi d'eau haut placé semble indiquer une toiture très élevée sur la nef, toiture peut-être prévue mais qui n'a pro­bablement jamais existé. Les toitures du chœur et du transept sont à peu près conformes aux dispositions originales. Quant aux toits des chapelles et des absidioles, ils ont été rétablis selon leurs dispositions primitives mais malheu­reusement couverts de tuiles trop régulières et trop foncées. La tour de croisée prévue au XIe siècle devait être soit une tour carrée terminée par un toit à quatre pans, soit une tour octogo­nale semblable aux tours de Saint-Pierre de Clages ou du transept de Cluny III. Non exé­cutée ou détruite, elle fut remplacée au XVe siècle par la tour gothique actuelle dont la flèche, détruite par un ouragan, fut recons­truite au début du xvne siècle. Cette flèche était couverte d'écaillés de fer blanc qui, en rouillant, prennent une belle teinte brun-rouge foncé. Lors de la récente restauration, le même effet a été obtenu avec des écailles de cuivre, matériel beaucoup plus durable. Les arcatures gothiques qui décorent la flèche ont été entièrement restaurées. ...

.

L'INTÉRIEUR :

... Après avoir traversé le narthex décoré de peintures murales intéressantes remontant à la fin du XIIe ou au début de XIIIe siècle, on monte quelques marches pour passer la grande porte autrefois ornée de pentures en fer et de deux belles têtes de lion en bronze. ... La porte franchie, on s'arrêtera pour jouir de la splendeur de la nef, splendeur qui n'est due qu'à la qualité des proportions et à l'admi­rable jeu de matériaux. Dès l'abord, on sent que le chevet est plus récent que la nef, plus richement orné, plus clair, mais le monument n'en perd pas pour autant son admirable unité. Le raccord entre les deux étapes principales de la construction se situe entre la sixième et septième travée de la nef. ... Dix piles d'un type assez particulier (constitué d'un massif rectangulaire formant pilastres pour les doubleaux de la nef et des bas-côtés et contre lequel viennent s'accoler deux demi-colonnes correspondant aux grandes arcades) soutien­nent les voûtes. Ce type de pilier se retrouve à Lomello (près de Pavie), dans la vaste église Santa Maria que Porter date de 1025 environ. La nef centrale est remarquablement élevée comparativement à sa largeur : 13 m 40 de haut pour 5 m. de largeur dans la première travée occidentale. On est bien là dans la tra­dition bourguignonne qui allait élever, peu après Payerne, la formidable Abbatiale de Cluny III. L'alternance des matériaux respectée stricte­ment pour les deux premières piles occiden­tales (une assise de calcaire jaune succédant à une assise de grès coquille gris) devient plus libre aux piles suivantes, mais on sent là une volonté décorative. Pas de bases ; les piles sont fichées à même le dallage. Chapiteaux rudimentaires, si tant est que l'on puisse considérer comme des chapi­teaux les raccords prismatiques entre les demi-colonnes et les arcs. On distingue pourtant ici et là des ébauches de décor : palmettes, animaux à deux corps. Ces chapiteaux rudimen­taires rappellent les triangles qui jouent le même rôle à Lómelo, Romainmôtier et Chapaize, mais où les piles sont en petit appareil tandis qu'à Payerne elles sont exécutées en pierre de taille. Arcades et doubleaux sont à arêtes vives, à un seul rouleau. La nef est cou­verte d'un berceau sur doubleaux, les bas-côtés le sont par des voûtes d'arête. Les fenêtres des bas-côtés sont très haut placées; les trois premières du bas-côté nord ne sont ébrasées qu'à l'intérieur, les autres sont à double ébrasement. Les fenêtres hautes de la nef sont placées près des clefs des arcades, mais malgré cela les fenêtres viennent partiellement entailler la voûte en formant des lunettes d'un heureux effet. Dans le mur occidental de la nef un pilastre, maintenant sans utilité, atteste un premier projet de reconstruction de la nef, vite aban­donné. Dans sa partie haute, le mur présente une saillie amortie en console à arêtes vives. C'est là le revers de l'abside de la chapelle Saint-Michel. Les piles recevant à l'est les arcades de la sixième travée étaient, dans le projet du pre­mier maître d'œuvre, destinées à amorcer la croisée et probablement à porter une tour.

 

... Les travaux en étaient là lorsque, vers 1050, un nouveau maître d'œuvre entreprit le chevet en modifiant le plan primitif. Il ajoute aux six travées élevées par son prédécesseur une sep­tième travée, puis développe un large transept et un chevet d'un style plus savant et plus hardi que celui de la nef. Il englobe dans les maçon­neries du mur sud de sa septième travée le pilier déjà préparé pour amorcer le transept par son prédécesseur (pilier laissé apparent à l'extérieur lors de la restauration) et implante quatre nouveaux piliers plus écartés que les piles de la nef, pour supporter la tour de croisée. Dans toute la partie orientale de l'édifice, les piles sont accusées par des ressauts, et les colonnes qui apparaissent aux arcades mettant en communication le chœur avec les deux cha­pelles qui le flanquent ... Les arcs d'entrée des chapelles du transept sont fortement brisés, type dont l'emploi deviendra systématique dans la grande Abba­tiale de saint Hugues à Cluny; les arcs de la croisée et du chœur ne le sont par contre que très faiblement.

La couverture des croisillons et de la travée droite du chœur est réalisée par de vastes voûtes d'arête de près de 60 m2 chacune. La voûte de la croisée, refaite sans doute posté­rieurement, est montée sur croisée d'ogives. Si la nef est pratiquement dépourvue de décorations, il n'en est pas de même du chevet. On distingue deux séries de chapiteaux très différentes l'une de l'autre : la première est formée de neufs chapiteaux assez archaïques, incorporés aux angles des croisillons et à l'entrée de la septième travée. A ce même groupe appartient en outre une base de colonne torse, engagée maintenant entre les deux fenêtres hautes de la façade sud du croisillon méridional. La seconde série comporte les douze beaux chapiteaux portés par les colonnes hautes de l'abside principale.

 

... Les chapiteaux de l'abside, d'un travail accompli, témoignent d'une connaissance approfondie du jeu des ombres et des lumières. La plupart d'entre eux sont simplement décoratifs. Mais le sculpteur y introduit volontiers, tout un monde. Les bêtes sont dressées à dessein pour souligner par leur verticalité l'angle du tailloir; une figure humaine comme pendue sous la volute, contraste, en son extrême douceur — presque XIIe siècle — avec la rudesse des autres figures, en particulier celle de l'homme moustachu qui transperce une chèvre, elle aussi dressée sous l'angle opposé. Au centre, deux doubles chapiteaux représentent d'une part saint Michel terrassant le dragon, qui ressemble curieusement à un poisson pris à l'hameçon, de l'autre le Christ et saint Pierre, tous deux inscrits dans une mandorle. Cette dis­position, assez rare sur des chapiteaux, fait immédiatement penser aux grandes sculptures du chœur de Cluny. Le style même, quoique plus rude, est bien de la même veine que celui des figures de l'abbatiale de saint Hugues. Les chapiteaux du transept sont vraiment d'un autre esprit. A vrai dire, on y retrouve des éléments semblables (en particulier l'arc tendu qui s'épanouit en volute, et jusqu'à un trait gravé en dents de scie), ainsi que la même affection pour un décor polymorphe extrê­mement touffu. Mais ici, le dessin est roi, et il multiplie les lignes parallèles comme simple­ment gravées : plis des vêtements, lignes sinu­soïdales, arceaux entrelacés. Aussi n'y a-t-il rien d'étonnant que l'on ait souvent attribu. ces chapiteaux au Xe siècle. Ils correspondent bien à ce que nous savons par ailleurs de la sculpture à cette époque. Le traitement des visages, au surplus, dont la taille est d'une finesse incomparable, use d'un canon — gros yeux ronds accrochés en binocle sur un nez triangulaire — qui n'est pas sans rappeler le chapiteau archaïque remployé (lui aussi !) au transept de Saint-Benoît-sur-Loire, ou cer­taines sculptures de Tournus. ... Il n'est pas beaucoup plus facile d'en déchiffrer l'iconographie. Nous nous sentons perdus comme des illettrés devant ce livre grouillant d'images. Un cerf nous évoque bien celui du psaume 42, altéré d'eaux vives. Mais que signi­fient ces oiseaux, ce lièvre ? Le plus énigmatique. peut-être, est celui [qui montre une] femme tenant un enfant entre ses bras [une piéta ?] [et une] figure humaine encore à moitié engloutie par un poisson ? [un Jonas ?]. Le parallélisme des obliques tracées par les corps de ce Jonas et de ce Christ (englouti dans la mort et promis à la résurrection comme Jonas) aurait en ce cas une valeur de rapprochement que l'on pourra supposer volontaire. Ce thème du Nouveau Testament venant accomplir l'Ancien se retrouve en tous cas d'une façon tout à fait claire dans le plus fameux de ces chapiteaux. Les quatre figures juchées sur quatre autres têtes — ce qui permet un jeu savant des huit mains — représentent les quatre évangélistes portés par les quatre prophètes, ... Quant à la règle de saint Benoît, elle se trouve glorifiée, en ce prieuré clunisien, sur un chapiteau du croisillon sud. Au centre, un abbé, avec la crosse, ce qui n'a rien d'extraordinaire, mais marqué au front d'une croix, ce qui l'est davantage. Est-ce une allu­sion à la définition donnée par la Règle : « L'Abbé tient lieu du Christ dans le monas­tère » ? Ainsi l'entendent du moins les quatre moines qui l'entourent et suivent son ensei­gnement, tenant, comme lui, un livre — la Règle — sur leur poitrine. Ainsi prémunis, ils foulent aux pieds (littéralement) deux espèces de bassets débonnaires qui pourraient bien être l'illustration de ce verset du psaume 90 : « Tu marcheras sur l'aspic et le basilic, et tu écraseras le lion et le dragon », toutes bêtes démoniaques. Que signifie alors la tête perchée au-dessus de l'abbé, qui évoque un ange, la ligne ondulée, figure classique de l'eau vive, et ces grappes (que l'on retrouve aussi sur le cha­piteau mystérieux ? Ce n'est pas telle­ment différent de ce que l'on retrouvera de part et d'autre du Christ, en haut du tympan de Vézelay : symbole des fleuves vivifiants de la doctrine (prêchée par l'abbé), et des fruits qu'ils produisent. Tout cela, il est vrai, reste bien conjectural. Ce qui ne l'est point, c'est la plénitude plastique de ces visages, surtout dans le chapiteau des évangélistes. On peut bien leur opposer la truculence et la grossièreté voulue de la triple figure qui orne la base réemployée dans ce même croisillon sud. Il semble vraiment bien difficile d'y voir une trinité ! Prodigieuse variété d'un art, d'apparence, démuni de moyens.

 

La peinture murale reste représentée à Payerne, à côté d'œuvres mineures par deux ensembles, l'un de la fin du XIIe ou du début du XIIIe siècle, dans le narthex, l'autre de la seconde moitié du XVe, dans la deuxième chapelle du croisillon sud.

 

LES PEINTURES DU NARTHEX :

Autrefois les murs et les voûtes étaient sans doute entièrement couverts de peintures. Au début du XIXe siècle, l'aménagement d'une prison dans cette partie de l'édifice a fait dis­paraître les enduits de la partie inférieure des murs; au même moment la voûte de la travée centrale fut détruite, pour laisser place à un escalier ; enfin des fenêtres sont venues éventrer les voûtes des travées extrêmes. Les peintures qui nous sont parvenues sont donc seulement des restes mutilés, heureusement encore impor­tants, mais qui ont, au surplus, subi une restau­ration excessive. Sur le mur nord, le Christ de majesté trône entre deux séraphins. On distingue encore à l'angle inférieur droit quelques fragments de la Jérusalem céleste. Sur le berceau de la travée nord du narthex, les vingt-quatre vieillards, assis deux par deux sur des trônes, louent le Seigneur. Le registre inférieur présentait un jugement dernier, il en subsiste un saint Michel pesant les âmes, quelques diables maltraitant des damnés et, sur le mur opposé, les trois patriaches Abraham, Isaac et Jacob, trônant sous des arbres, Abraham tenant les élus sur son sein suivant une représentation fréquente au Moyen-Age. Dans la travée sud, le Christ de majesté est encadré par la Vierge et Jean-Baptiste. Les douze Apôtres occupent la partie inférieure de la voûte; quelques visages sont encore bien conservés.

 

(extrait de : Suisse romane ; André Burmeister et al., Ed. du Zodiaque (1958), Coll. La Nuit des Temps, pp. 57-67)

Abbatiale romane Notre-Dame ; commune de Payerne, canton de Vaud, Suisse

 

L'abbatiale protestante Notre-Dame est un édifice religieux de la ville de Payerne. Elle est considérée comme la plus grande église romane de Suisse. Elle était, avant la Réforme, l'église de l'abbaye bénédictine de Payerne. Une partie adjacente à l'édifice - le musée - fut grandement endommagé par un incendie en 1987. L'architecture de l'abbatiale est considérée comme romane, et construite selon un schéma clunisien (XIe siècle). De nombreux éléments proviennent toutefois d'une inspiration gothique plus tardive (XVe siècle). De nombreux chapiteaux peints sont encore visibles. De nombreuses fresques des XIe et XIIe siècles habillent les murs du narthex : Christ en Croix soutenu par Dieu le père, Vierge de miséricorde, Christ du jugement dernier devant les vingt-quatre vieillards de l'Apocalypse.

 

(extrait de : fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_de_Payerne)

 

LES EXTÉRIEURS :

Les masses imposantes de l'édifice roman sont surmontées par une tour de croisée sommée d'une flèche effilée. Le massif occidental accuse deux étages, un nar-thex à l'étage bas, une chapelle dédiée à Saint-Michel en haut. Autrefois cette façade devait se terminer par deux tours comme il en a existé à Romainmôtier et comme il en subsiste à Paray-le-Monial, à Tournus et en bien d'autres édifices bourguignons. Probablement incen­diées au xve siècle, ces tours ont été rem­placées par le couronnement en molasse et le grand toit actuel. Le jeu de la lumière sur le petit appareil de calcaire jaune est remarquable sur la façade nord, surtout en fin d'après-midi. Cette façade est divisée par des lésènes supportant de petites arcatures, éléments qui appartiennent encore au « premier art roman ». Avec le massif occi­dental cette façade est la partie la plus ancienne de l'édifice actuel. Ce mur nord a subi diverses transformations, déjà au cours de la construc­tion de l'église. Poursuivant votre promenade, vous abordez le transept puis le chevet; placez-vous au nord-est, assez loin de l'édifice et de là admirez le subtil agencement des masses du transept et des cinq absides. Il y a encore quelques hési­tations et des maladresses dans les toitures des chapelles extérieures mais quelle habileté dans l'échelonnement des volumes, tant en plan qu'en élévation. La grande abside centrale est rythmée à l'étage inférieur par des contreforts à deux ressauts se transformant en colonnette appuyée à un dosseret à l'étage haut. Ces colonnes aux chapiteaux primitifs, dont certains n'ont pas été achevés, supportent de petites arcatures soutenant elles-mêmes une corniche moulurée.

Au passage, remarquez, sous la corniche de la façade sud de la chapelle méridionale un fragment de corniche romaine remployé comme console. La majeure partie des matériaux ayant servi à élever l'église sont en effet d'origine romaine. ...

 

Passant sous la voûte, à l'angle sud-ouest de la place ..., on tra­verse le bâtiment qui abritait la salle capitulaire et le dortoir, et l'on parvient dans la cour du cloître. Là, trois cloîtres successifs ont tour à tour disparu. Ils ont laissé de nombreuses traces dans le mur sud de l'église et dans le mur du bâtiment oriental du couvent. Les deux autres côtés de la cour sont occupés par des bâtiments plus récents : ... La façade ouest du croisillon sud du transept est percée d'une grande porte qui donnait autrefois accès à l'église depuis le cloître; dans le haut de cette façade, la corniche est portée par des modilIons sculptés intéressants qui sont probable­ment des remplois. Les toitures actuelles des bas-côtés, trop inclinées, masquent partiellement les fenêtres hautes de la nef. De plus, la forte saillie de l'avant-toit assombrit les fenêtres des bas-côtés. ... Dans son état actuel, la toiture de la nef doit dater du XVIe ou XVIIe siècle. Contre la face occidentale de la tour de croisée, un renvoi d'eau haut placé semble indiquer une toiture très élevée sur la nef, toiture peut-être prévue mais qui n'a pro­bablement jamais existé. Les toitures du chœur et du transept sont à peu près conformes aux dispositions originales. Quant aux toits des chapelles et des absidioles, ils ont été rétablis selon leurs dispositions primitives mais malheu­reusement couverts de tuiles trop régulières et trop foncées. La tour de croisée prévue au XIe siècle devait être soit une tour carrée terminée par un toit à quatre pans, soit une tour octogo­nale semblable aux tours de Saint-Pierre de Clages ou du transept de Cluny III. Non exé­cutée ou détruite, elle fut remplacée au XVe siècle par la tour gothique actuelle dont la flèche, détruite par un ouragan, fut recons­truite au début du xvne siècle. Cette flèche était couverte d'écaillés de fer blanc qui, en rouillant, prennent une belle teinte brun-rouge foncé. Lors de la récente restauration, le même effet a été obtenu avec des écailles de cuivre, matériel beaucoup plus durable. Les arcatures gothiques qui décorent la flèche ont été entièrement restaurées. ...

.

L'INTÉRIEUR :

... Après avoir traversé le narthex décoré de peintures murales intéressantes remontant à la fin du XIIe ou au début de XIIIe siècle, on monte quelques marches pour passer la grande porte autrefois ornée de pentures en fer et de deux belles têtes de lion en bronze. ... La porte franchie, on s'arrêtera pour jouir de la splendeur de la nef, splendeur qui n'est due qu'à la qualité des proportions et à l'admi­rable jeu de matériaux. Dès l'abord, on sent que le chevet est plus récent que la nef, plus richement orné, plus clair, mais le monument n'en perd pas pour autant son admirable unité. Le raccord entre les deux étapes principales de la construction se situe entre la sixième et septième travée de la nef. ... Dix piles d'un type assez particulier (constitué d'un massif rectangulaire formant pilastres pour les doubleaux de la nef et des bas-côtés et contre lequel viennent s'accoler deux demi-colonnes correspondant aux grandes arcades) soutien­nent les voûtes. Ce type de pilier se retrouve à Lomello (près de Pavie), dans la vaste église Santa Maria que Porter date de 1025 environ. La nef centrale est remarquablement élevée comparativement à sa largeur : 13 m 40 de haut pour 5 m. de largeur dans la première travée occidentale. On est bien là dans la tra­dition bourguignonne qui allait élever, peu après Payerne, la formidable Abbatiale de Cluny III. L'alternance des matériaux respectée stricte­ment pour les deux premières piles occiden­tales (une assise de calcaire jaune succédant à une assise de grès coquille gris) devient plus libre aux piles suivantes, mais on sent là une volonté décorative. Pas de bases ; les piles sont fichées à même le dallage. Chapiteaux rudimentaires, si tant est que l'on puisse considérer comme des chapi­teaux les raccords prismatiques entre les demi-colonnes et les arcs. On distingue pourtant ici et là des ébauches de décor : palmettes, animaux à deux corps. Ces chapiteaux rudimen­taires rappellent les triangles qui jouent le même rôle à Lómelo, Romainmôtier et Chapaize, mais où les piles sont en petit appareil tandis qu'à Payerne elles sont exécutées en pierre de taille. Arcades et doubleaux sont à arêtes vives, à un seul rouleau. La nef est cou­verte d'un berceau sur doubleaux, les bas-côtés le sont par des voûtes d'arête. Les fenêtres des bas-côtés sont très haut placées; les trois premières du bas-côté nord ne sont ébrasées qu'à l'intérieur, les autres sont à double ébrasement. Les fenêtres hautes de la nef sont placées près des clefs des arcades, mais malgré cela les fenêtres viennent partiellement entailler la voûte en formant des lunettes d'un heureux effet. Dans le mur occidental de la nef un pilastre, maintenant sans utilité, atteste un premier projet de reconstruction de la nef, vite aban­donné. Dans sa partie haute, le mur présente une saillie amortie en console à arêtes vives. C'est là le revers de l'abside de la chapelle Saint-Michel. Les piles recevant à l'est les arcades de la sixième travée étaient, dans le projet du pre­mier maître d'œuvre, destinées à amorcer la croisée et probablement à porter une tour.

 

... Les travaux en étaient là lorsque, vers 1050, un nouveau maître d'œuvre entreprit le chevet en modifiant le plan primitif. Il ajoute aux six travées élevées par son prédécesseur une sep­tième travée, puis développe un large transept et un chevet d'un style plus savant et plus hardi que celui de la nef. Il englobe dans les maçon­neries du mur sud de sa septième travée le pilier déjà préparé pour amorcer le transept par son prédécesseur (pilier laissé apparent à l'extérieur lors de la restauration) et implante quatre nouveaux piliers plus écartés que les piles de la nef, pour supporter la tour de croisée. Dans toute la partie orientale de l'édifice, les piles sont accusées par des ressauts, et les colonnes qui apparaissent aux arcades mettant en communication le chœur avec les deux cha­pelles qui le flanquent ... Les arcs d'entrée des chapelles du transept sont fortement brisés, type dont l'emploi deviendra systématique dans la grande Abba­tiale de saint Hugues à Cluny; les arcs de la croisée et du chœur ne le sont par contre que très faiblement.

La couverture des croisillons et de la travée droite du chœur est réalisée par de vastes voûtes d'arête de près de 60 m2 chacune. La voûte de la croisée, refaite sans doute posté­rieurement, est montée sur croisée d'ogives. Si la nef est pratiquement dépourvue de décorations, il n'en est pas de même du chevet. On distingue deux séries de chapiteaux très différentes l'une de l'autre : la première est formée de neufs chapiteaux assez archaïques, incorporés aux angles des croisillons et à l'entrée de la septième travée. A ce même groupe appartient en outre une base de colonne torse, engagée maintenant entre les deux fenêtres hautes de la façade sud du croisillon méridional. La seconde série comporte les douze beaux chapiteaux portés par les colonnes hautes de l'abside principale.

 

... Les chapiteaux de l'abside, d'un travail accompli, témoignent d'une connaissance approfondie du jeu des ombres et des lumières. La plupart d'entre eux sont simplement décoratifs. Mais le sculpteur y introduit volontiers, tout un monde. Les bêtes sont dressées à dessein pour souligner par leur verticalité l'angle du tailloir; une figure humaine comme pendue sous la volute, contraste, en son extrême douceur — presque XIIe siècle — avec la rudesse des autres figures, en particulier celle de l'homme moustachu qui transperce une chèvre, elle aussi dressée sous l'angle opposé. Au centre, deux doubles chapiteaux représentent d'une part saint Michel terrassant le dragon, qui ressemble curieusement à un poisson pris à l'hameçon, de l'autre le Christ et saint Pierre, tous deux inscrits dans une mandorle. Cette dis­position, assez rare sur des chapiteaux, fait immédiatement penser aux grandes sculptures du chœur de Cluny. Le style même, quoique plus rude, est bien de la même veine que celui des figures de l'abbatiale de saint Hugues. Les chapiteaux du transept sont vraiment d'un autre esprit. A vrai dire, on y retrouve des éléments semblables (en particulier l'arc tendu qui s'épanouit en volute, et jusqu'à un trait gravé en dents de scie), ainsi que la même affection pour un décor polymorphe extrê­mement touffu. Mais ici, le dessin est roi, et il multiplie les lignes parallèles comme simple­ment gravées : plis des vêtements, lignes sinu­soïdales, arceaux entrelacés. Aussi n'y a-t-il rien d'étonnant que l'on ait souvent attribu. ces chapiteaux au Xe siècle. Ils correspondent bien à ce que nous savons par ailleurs de la sculpture à cette époque. Le traitement des visages, au surplus, dont la taille est d'une finesse incomparable, use d'un canon — gros yeux ronds accrochés en binocle sur un nez triangulaire — qui n'est pas sans rappeler le chapiteau archaïque remployé (lui aussi !) au transept de Saint-Benoît-sur-Loire, ou cer­taines sculptures de Tournus. ... Il n'est pas beaucoup plus facile d'en déchiffrer l'iconographie. Nous nous sentons perdus comme des illettrés devant ce livre grouillant d'images. Un cerf nous évoque bien celui du psaume 42, altéré d'eaux vives. Mais que signi­fient ces oiseaux, ce lièvre ? Le plus énigmatique. peut-être, est celui [qui montre une] femme tenant un enfant entre ses bras [une piéta ?] [et une] figure humaine encore à moitié engloutie par un poisson ? [un Jonas ?]. Le parallélisme des obliques tracées par les corps de ce Jonas et de ce Christ (englouti dans la mort et promis à la résurrection comme Jonas) aurait en ce cas une valeur de rapprochement que l'on pourra supposer volontaire. Ce thème du Nouveau Testament venant accomplir l'Ancien se retrouve en tous cas d'une façon tout à fait claire dans le plus fameux de ces chapiteaux. Les quatre figures juchées sur quatre autres têtes — ce qui permet un jeu savant des huit mains — représentent les quatre évangélistes portés par les quatre prophètes, ... Quant à la règle de saint Benoît, elle se trouve glorifiée, en ce prieuré clunisien, sur un chapiteau du croisillon sud. Au centre, un abbé, avec la crosse, ce qui n'a rien d'extraordinaire, mais marqué au front d'une croix, ce qui l'est davantage. Est-ce une allu­sion à la définition donnée par la Règle : « L'Abbé tient lieu du Christ dans le monas­tère » ? Ainsi l'entendent du moins les quatre moines qui l'entourent et suivent son ensei­gnement, tenant, comme lui, un livre — la Règle — sur leur poitrine. Ainsi prémunis, ils foulent aux pieds (littéralement) deux espèces de bassets débonnaires qui pourraient bien être l'illustration de ce verset du psaume 90 : « Tu marcheras sur l'aspic et le basilic, et tu écraseras le lion et le dragon », toutes bêtes démoniaques. Que signifie alors la tête perchée au-dessus de l'abbé, qui évoque un ange, la ligne ondulée, figure classique de l'eau vive, et ces grappes (que l'on retrouve aussi sur le cha­piteau mystérieux ? Ce n'est pas telle­ment différent de ce que l'on retrouvera de part et d'autre du Christ, en haut du tympan de Vézelay : symbole des fleuves vivifiants de la doctrine (prêchée par l'abbé), et des fruits qu'ils produisent. Tout cela, il est vrai, reste bien conjectural. Ce qui ne l'est point, c'est la plénitude plastique de ces visages, surtout dans le chapiteau des évangélistes. On peut bien leur opposer la truculence et la grossièreté voulue de la triple figure qui orne la base réemployée dans ce même croisillon sud. Il semble vraiment bien difficile d'y voir une trinité ! Prodigieuse variété d'un art, d'apparence, démuni de moyens.

 

La peinture murale reste représentée à Payerne, à côté d'œuvres mineures par deux ensembles, l'un de la fin du XIIe ou du début du XIIIe siècle, dans le narthex, l'autre de la seconde moitié du XVe, dans la deuxième chapelle du croisillon sud.

 

LES PEINTURES DU NARTHEX :

Autrefois les murs et les voûtes étaient sans doute entièrement couverts de peintures. Au début du XIXe siècle, l'aménagement d'une prison dans cette partie de l'édifice a fait dis­paraître les enduits de la partie inférieure des murs; au même moment la voûte de la travée centrale fut détruite, pour laisser place à un escalier ; enfin des fenêtres sont venues éventrer les voûtes des travées extrêmes. Les peintures qui nous sont parvenues sont donc seulement des restes mutilés, heureusement encore impor­tants, mais qui ont, au surplus, subi une restau­ration excessive. Sur le mur nord, le Christ de majesté trône entre deux séraphins. On distingue encore à l'angle inférieur droit quelques fragments de la Jérusalem céleste. Sur le berceau de la travée nord du narthex, les vingt-quatre vieillards, assis deux par deux sur des trônes, louent le Seigneur. Le registre inférieur présentait un jugement dernier, il en subsiste un saint Michel pesant les âmes, quelques diables maltraitant des damnés et, sur le mur opposé, les trois patriaches Abraham, Isaac et Jacob, trônant sous des arbres, Abraham tenant les élus sur son sein suivant une représentation fréquente au Moyen-Age. Dans la travée sud, le Christ de majesté est encadré par la Vierge et Jean-Baptiste. Les douze Apôtres occupent la partie inférieure de la voûte; quelques visages sont encore bien conservés.

 

(extrait de : Suisse romane ; André Burmeister et al., Ed. du Zodiaque (1958), Coll. La Nuit des Temps, pp. 57-67)

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

Ipê Amarelo, Tabebuia [chrysotricha or ochracea].

Ipê-amarelo em Brasília, Brasil.

This tree is in Brasília, Capital of Brazil.

 

Text, in english, from Wikipedia, the free encyclopedia

"Trumpet tree" redirects here. This term is occasionally used for the Shield-leaved Pumpwood (Cecropia peltata).

Tabebuia

Flowering Araguaney or ipê-amarelo (Tabebuia chrysantha) in central Brazil

Scientific classification

Kingdom: Plantae

(unranked): Angiosperms

(unranked): Eudicots

(unranked): Asterids

Order: Lamiales

Family: Bignoniaceae

Tribe: Tecomeae

Genus: Tabebuia

Gomez

Species

Nearly 100.

Tabebuia is a neotropical genus of about 100 species in the tribe Tecomeae of the family Bignoniaceae. The species range from northern Mexico and the Antilles south to northern Argentina and central Venezuela, including the Caribbean islands of Hispaniola (Dominican Republic and Haiti) and Cuba. Well-known common names include Ipê, Poui, trumpet trees and pau d'arco.

They are large shrubs and trees growing to 5 to 50 m (16 to 160 ft.) tall depending on the species; many species are dry-season deciduous but some are evergreen. The leaves are opposite pairs, complex or palmately compound with 3–7 leaflets.

Tabebuia is a notable flowering tree. The flowers are 3 to 11 cm (1 to 4 in.) wide and are produced in dense clusters. They present a cupular calyx campanulate to tubular, truncate, bilabiate or 5-lobed. Corolla colors vary between species ranging from white, light pink, yellow, lavender, magenta, or red. The outside texture of the flower tube is either glabrous or pubescentThe fruit is a dehiscent pod, 10 to 50 cm (4 to 20 in.) long, containing numerous—in some species winged—seeds. These pods often remain on the tree through dry season until the beginning of the rainy.

Species in this genus are important as timber trees. The wood is used for furniture, decking, and other outdoor uses. It is increasingly popular as a decking material due to its insect resistance and durability. By 2007, FSC-certified ipê wood had become readily available on the market, although certificates are occasionally forged.

Tabebuia is widely used as ornamental tree in the tropics in landscaping gardens, public squares, and boulevards due to its impressive and colorful flowering. Many flowers appear on still leafless stems at the end of the dry season, making the floral display more conspicuous. They are useful as honey plants for bees, and are popular with certain hummingbirds. Naturalist Madhaviah Krishnan on the other hand once famously took offense at ipé grown in India, where it is not native.

Lapacho teaThe bark of several species has medical properties. The bark is dried, shredded, and then boiled making a bitter or sour-tasting brownish-colored tea. Tea from the inner bark of Pink Ipê (T. impetiginosa) is known as Lapacho or Taheebo. Its main active principles are lapachol, quercetin, and other flavonoids. It is also available in pill form. The herbal remedy is typically used during flu and cold season and for easing smoker's cough. It apparently works as expectorant, by promoting the lungs to cough up and free deeply embedded mucus and contaminants. However, lapachol is rather toxic and therefore a more topical use e.g. as antibiotic or pesticide may be advisable. Other species with significant folk medical use are T. alba and Yellow Lapacho (T. serratifolia)

Tabebuia heteropoda, T. incana, and other species are occasionally used as an additive to the entheogenic drink Ayahuasca.

Mycosphaerella tabebuiae, a plant pathogenic sac fungus, was first discovered on an ipê tree.

Tabebuia alba

Tabebuia anafensis

Tabebuia arimaoensis

Tabebuia aurea – Caribbean Trumpet Tree

Tabebuia bilbergii

Tabebuia bibracteolata

Tabebuia cassinoides

Tabebuia chrysantha – Araguaney, Yellow Ipê, tajibo (Bolivia), ipê-amarelo (Brazil), cañaguate (N Colombia)

Tabebuia chrysotricha – Golden Trumpet Tree

Tabebuia donnell-smithii Rose – Gold Tree, "Prima Vera", Cortez blanco (El Salvador), San Juan (Honduras), palo blanco (Guatemala),duranga (Mexico)

A native of Mexico and Central Americas, considered one of the most colorful of all Central American trees. The leaves are deciduous. Masses of golden-yellow flowers cover the crown after the leaves are shed.

Tabebuia dubia

Tabebuia ecuadorensis

Tabebuia elongata

Tabebuia furfuracea

Tabebuia geminiflora Rizz. & Mattos

Tabebuia guayacan (Seem.) Hemsl.

Tabebuia haemantha

Tabebuia heptaphylla (Vell.) Toledo – tajy

Tabebuia heterophylla – roble prieto

Tabebuia heteropoda

Tabebuia hypoleuca

Tabebuia impetiginosa – Pink Ipê, Pink Lapacho, ipê-cavatã, ipê-comum, ipê-reto, ipê-rosa, ipê-roxo-damata, pau d'arco-roxo, peúva, piúva (Brazil), lapacho negro (Spanish); not "brazilwood"

Tabebuia incana

Tabebuia jackiana

Tabebuia lapacho – lapacho amarillo

Tabebuia orinocensis A.H. Gentry[verification needed]

Tabebuia ochracea

Tabebuia oligolepis

Tabebuia pallida – Cuban Pink Trumpet Tree

Tabebuia platyantha

Tabebuia polymorpha

Tabebuia rosea (Bertol.) DC.[verification needed] (= T. pentaphylla (L.) Hemsley) – Pink Poui, Pink Tecoma, apama, apamate, matilisguate

A popular street tree in tropical cities because of its multi-annular masses of light pink to purple flowers and modest size. The roots are not especially destructive for roads and sidewalks. It is the national tree of El Salvador and the state tree of Cojedes, Venezuela

Tabebuia roseo-alba – White Ipê, ipê-branco (Brazil), lapacho blanco

Tabebuia serratifolia – Yellow Lapacho, Yellow Poui, ipê-roxo (Brazil)

Tabebuia shaferi

Tabebuia striata

Tabebuia subtilis Sprague & Sandwith

Tabebuia umbellata

Tabebuia vellosoi Toledo

 

Ipê-do-cerrado

Texto, em português, da Wikipédia, a enciclopédia livre.

Ipê-do-cerrado

Classificação científica

Reino: Plantae

Divisão: Magnoliophyta

Classe: Magnoliopsida

Subclasse: Asteridae

Ordem: Lamiales

Família: Bignoniaceae

Género: Tabebuia

Espécie: T. ochracea

Nome binomial

Tabebuia ochracea

(Cham.) Standl. 1832

Sinónimos

Bignonia tomentosa Pav. ex DC.

Handroanthus ochraceus (Cham.) Mattos

Tabebuia chrysantha (Jacq.) G. Nicholson

Tabebuia hypodictyon A. DC.) Standl.

Tabebuia neochrysantha A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. heteropoda (A. DC.) A.H. Gentry

Tabebuia ochracea subsp. neochrysantha (A.H. Gentry) A.H. Gentry

Tecoma campinae Kraenzl.

ecoma grandiceps Kraenzl.

Tecoma hassleri Sprague

Tecoma hemmendorffiana Kraenzl.

Tecoma heteropoda A. DC.

Tecoma hypodictyon A. DC.

Tecoma ochracea Cham.

Ipê-do-cerrado é um dos nomes populares da Tabebuia ochracea (Cham.) Standl. 1832, nativa do cerrado brasileiro, no estados de Amazonas, Pará, Maranhão, Piauí, Ceará, Pernambuco, Bahia, Espírito Santo, Goiás, Mato Grosso, Mato Grosso do Sul, Minas Gerais, Rio de Janeiro, São Paulo e Paraná.

Está na lista de espécies ameaçadas do estado de São Paulo, onde é encontrda também no domínio da Mata Atlântica[1].

Ocorre também na Argentina, Paraguai, Bolívia, Equador, Peru, Venezuela, Guiana, El Salvador, Guatemala e Panamá[2].

Há uma espécie homônima descrita por A.H. Gentry em 1992.

Outros nomes populares: ipê-amarelo, ipê-cascudo, ipê-do-campo, ipê-pardo, pau-d'arco-do-campo, piúva, tarumã.

Características

Altura de 6 a 14 m. Tronco tortuso com até 50 cm de diâmetro. Folhas pilosas em ambas as faces, mais na inferior, que é mais clara.

Planta decídua, heliófita, xerófita, nativa do cerrado em solos bem drenados.

Floresce de julho a setembro. Os frutos amadurecem de setembro a outubro.

FloresProduz grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em menos de 90 dias após coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978). As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%. As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 72 000 sementes em cada quilo.

O desenvolvimento da planta é rápido.

Como outros ipês, a madeira é usada em tacos, assoalhos, e em dormentes e postes. Presta-se também para peças torneadas e instrumento musicais.

 

Tabebuia alba (Ipê-Amarelo)

Texto, em português, produzido pela Acadêmica Giovana Beatriz Theodoro Marto

Supervisão e orientação do Prof. Luiz Ernesto George Barrichelo e do Eng. Paulo Henrique Müller

Atualizado em 10/07/2006

 

O ipê amarelo é a árvore brasileira mais conhecida, a mais cultivada e, sem dúvida nenhuma, a mais bela. É na verdade um complexo de nove ou dez espécies com características mais ou menos semelhantes, com flores brancas, amarelas ou roxas. Não há região do país onde não exista pelo menos uma espécie dele, porém a existência do ipê em habitat natural nos dias atuais é rara entre a maioria das espécies (LORENZI,2000).

A espécie Tabebuia alba, nativa do Brasil, é uma das espécies do gênero Tabebuia que possui “Ipê Amarelo” como nome popular. O nome alba provém de albus (branco em latim) e é devido ao tomento branco dos ramos e folhas novas.

As árvores desta espécie proporcionam um belo espetáculo com sua bela floração na arborização de ruas em algumas cidades brasileiras. São lindas árvores que embelezam e promovem um colorido no final do inverno. Existe uma crença popular de que quando o ipê-amarelo floresce não vão ocorrer mais geadas. Infelizmente, a espécie é considerada vulnerável quanto à ameaça de extinção.

A Tabebuia alba, natural do semi-árido alagoano está adaptada a todas as regiões fisiográficas, levando o governo, por meio do Decreto nº 6239, a transformar a espécie como a árvore símbolo do estado, estando, pois sob a sua tutela, não mais podendo ser suprimida de seus habitats naturais.

Taxonomia

Família: Bignoniaceae

Espécie: Tabebuia Alba (Chamiso) Sandwith

Sinonímia botânica: Handroanthus albus (Chamiso) Mattos; Tecoma alba Chamisso

Outros nomes vulgares: ipê-amarelo, ipê, aipê, ipê-branco, ipê-mamono, ipê-mandioca, ipê-ouro, ipê-pardo, ipê-vacariano, ipê-tabaco, ipê-do-cerrado, ipê-dourado, ipê-da-serra, ipezeiro, pau-d’arco-amarelo, taipoca.

Aspectos Ecológicos

O ipê-amarelo é uma espécie heliófita (Planta adaptada ao crescimento em ambiente aberto ou exposto à luz direta) e decídua (que perde as folhas em determinada época do ano). Pertence ao grupo das espécies secundárias iniciais (DURIGAN & NOGUEIRA, 1990).

Abrange a Floresta Pluvial da Mata Atlântica e da Floresta Latifoliada Semidecídua, ocorrendo principalmente no interior da Floresta Primária Densa. É característica de sub-bosques dos pinhais, onde há regeneração regular.

Informações Botânicas

Morfologia

As árvores de Tabebuia alba possuem cerca de 30 metros de altura. O tronco é reto ou levemente tortuoso, com fuste de 5 a 8 m de altura. A casca externa é grisáceo-grossa, possuindo fissuras longitudinais esparas e profundas. A coloração desta é cinza-rosa intenso, com camadas fibrosas, muito resistentes e finas, porém bem distintas.

Com ramos grossos, tortuosos e compridos, o ipê-amarelo possui copa alongada e alargada na base. As raízes de sustentação e absorção são vigorosas e profundas.

As folhas, deciduais, são opostas, digitadas e compostas. A face superior destas folhas é verde-escura, e, a face inferior, acinzentada, sendo ambas as faces tomentosas. Os pecíolos das folhas medem de 2,5 a 10 cm de comprimento. Os folíolos, geralmente, apresentam-se em número de 5 a 7, possuindo de 7 a 18 cm de comprimento por 2 a 6 cm de largura. Quando jovem estes folíolos são densamente pilosos em ambas as faces. O ápice destes é pontiagudo, com base arredondada e margem serreada.

As flores, grandes e lanceoladas, são de coloração amarelo-ouro. Possuem em média 8X15 cm.

Quanto aos frutos, estes possuem forma de cápsula bivalvar e são secos e deiscentes. Do tipo síliqua, lembram uma vagem. Medem de 15 a 30 cm de comprimento por 1,5 a 2,5 cm de largura. As valvas são finamente tomentosas com pêlos ramificados. Possuem grande quantidade de sementes.

As sementes são membranáceas brilhantes e esbranquiçadas, de coloração marrom. Possuem de 2 a 3 cm de comprimento por 7 a 9 mm de largura e são aladas.

Reprodução

A espécie é caducifólia e a queda das folhas coincide com o período de floração. A floração inicia-se no final de agosto, podendo ocorrer alguma variação devido a fenômenos climáticos. Como a espécie floresce no final do inverno é influenciada pela intensidade do mesmo. Quanto mais frio e seco for o inverno, maior será a intensidade da florada do ipê amarelo.

As flores por sua exuberância, atraem abelhas e pássaros, principalmente beija-flores que são importantes agentes polinizadores. Segundo CARVALHO (2003), a espécie possui como vetor de polinização a abelha mamangava (Bombus morio).

As sementes são dispersas pelo vento.

A planta é hermafrodita, e frutifica nos meses de setembro, outubro, novembro, dezembro, janeiro e fevereiro, dependendo da sua localização. Em cultivo, a espécie inicia o processo reprodutivo após o terceiro ano.

Ocorrência Natural

Ocorre naturalmente na Floresta Estaciobal Semidecicual, Floresta de Araucária e no Cerrado.

Segundo o IBGE, a Tabebuia alba (Cham.) Sandw. é uma árvore do Cerrado, Cerradão e Mata Seca. Apresentando-se nos campos secos (savana gramíneo-lenhosa), próximo às escarpas.

Clima

Segundo a classificação de Köppen, o ipê-amarelo abrange locais de clima tropical (Aw), subtropical úmido (Cfa), sutropical de altitude (Cwa e Cwb) e temperado.

A T.alba pode tolerar até 81 geadas em um ano. Ocorre em locais onde a temperatura média anual varia de 14,4ºC como mínimo e 22,4ºC como máximo.

Solo

A espécie prefere solos úmidos, com drenagem lenta e geralmente não muito ondulados (LONGHI, 1995).

Aparece em terras de boa à média fertilidade, em solos profundos ou rasos, nas matas e raramente cerradões (NOGUEIRA, 1977).

Pragas e Doenças

De acordo com CARVALHO (2003), possui como praga a espécie de coleópteros Cydianerus bohemani da família Curculionoideae e um outro coleóptero da família Chrysomellidae. Apesar da constatação de elevados índices populacionais do primeiro, os danos ocasionados até o momento são leves. Nas praças e ruas de Curitiba - PR, 31% das árvores foram atacadas pela Cochonilha Ceroplastes grandis.

ZIDKO (2002), ao estudar no município de Piracicaba a associação de coleópteros em espécies arbóreas, verificou a presença de insetos adultos da espécie Sitophilus linearis da família de coleópteros, Curculionidae, em estruturas reprodutivas. Os insetos adultos da espécie emergiram das vagens do ipê, danificando as sementes desta espécie nativa.

ANDRADE (1928) assinalou diversas espécies de Cerambycidae atacando essências florestais vivas, como ingazeiro, cinamomo, cangerana, cedro, caixeta, jacarandá, araribá, jatobá, entre outras como o ipê amarelo.

A Madeira

A Tabebuia alba produz madeira de grande durabilidade e resistência ao apodrecimento (LONGHI,1995).

MANIERI (1970) caracteriza o cerne desta espécie como de cor pardo-havana-claro, pardo-havan-escuro, ou pardo-acastanhado, com reflexos esverdeados. A superfície da madeira é irregularmente lustrosa, lisa ao tato, possuindo textura media e grã-direita.

Com densidade entre 0,90 e 1,15 grama por centímetro cúbico, a madeira é muito dura (LORENZI, 1992), apresentando grande dificuldade ao serrar.

A madeira possui cheiro e gosto distintos. Segundo LORENZI (1992), o cheiro característico é devido à presença da substância lapachol, ou ipeína.

Usos da Madeira

Sendo pesada, com cerne escuro, adquire grande valor comercial na marcenaria e carpintaria. Também é utilizada para fabricação de dormentes, moirões, pontes, postes, eixos de roda, varais de carroça, moendas de cana, etc.

Produtos Não-Madeireiros

A entrecasca do ipê-amarelo possui propriedades terapêuticas como adstringente, usada no tratamento de garganta e estomatites. É também usada como diurético.

O ipê-amarelo possui flores melíferas e que maduras podem ser utilizadas na alimentação humana.

Outros Usos

É comumente utilizada em paisagismo de parques e jardins pela beleza e porte. Além disso, é muito utilizada na arborização urbana.

Segundo MOREIRA & SOUZA (1987), o ipê-amarelo costuma povoar as beiras dos rios sendo, portanto, indicado para recomposição de matas ciliares. MARTINS (1986), também cita a espécie para recomposição de matas ciliares da Floresta Estacional Semidecidual, abrangendo alguns municípios das regiões Norte, Noroeste e parte do Oeste do Estado do Paraná.

Aspectos Silviculturais

Possui a tendência a crescer reto e sem bifurcações quando plantado em reflorestamento misto, pois é espécie monopodial. A desrrama se faz muito bem e a cicatrização é boa. Sendo assim, dificilmente encopa quando nova, a não ser que seja plantado em parques e jardins.

Ao ser utilizada em arborização urbana, o ipê amarelo requer podas de condução com freqüência mediana.

Espécie heliófila apresenta a pleno sol ramificação cimosa, registrando-se assim dicotomia para gema apical. Deve ser preconizada, para seu melhor aproveitamento madeireiro, podas de formação usuais (INQUE et al., 1983).

Produção de Mudas

A propagação deve realizada através de enxertia.

Os frutos devem ser coletados antes da dispersão, para evitar a perda de sementes. Após a coleta as sementes são postas em ambiente ventilado e a extração é feita manualmente. As sementes do ipê amarelo são ortodoxas, mantendo a viabilidade natural por até 3 meses em sala e por até 9 meses em vidro fechado, em câmara fria.

A condução das mudas deve ser feita a pleno sol. A muda atinge cerca de 30 cm em 9 meses, apresentando tolerância ao sol 3 semanas após a germinação.

Sementes

Os ipês, espécies do gênero Tabebuia, produzem uma grande quantidade de sementes leves, aladas com pequenas reservas, e que perdem a viabilidade em poucos dias após a sua coleta. A sua conservação vem sendo estudada em termos de determinação da condição ideal de armazenamento, e tem demonstrado a importância de se conhecer o comportamento da espécie quando armazenada com diferentes teores de umidade inicial, e a umidade de equilíbrio crítica para a espécie (KANO; MÁRQUEZ & KAGEYAMA, 1978).

As levíssimas sementes aladas da espécie não necessitam de quebra de dormência. Podem apenas ser expostas ao sol por cerca de 6 horas e semeadas diretamente nos saquinhos. A quebra natural leva cerca de 3 meses e a quebra na câmara leva 9 meses. A germinação ocorre após 30 dias e de 80%.

As sementes são ortodoxas e há aproximadamente 87000 sementes em cada quilo.

Preço da Madeira no Mercado

O preço médio do metro cúbico de pranchas de ipê no Estado do Pará cotado em Julho e Agosto de 2005 foi de R$1.200,00 o preço mínimo, R$ 1509,35 o médio e R$ 2.000,00 o preço máximo (CEPEA,2005).

1 2 ••• 15 16 18 20 21 ••• 79 80