View allAll Photos Tagged omnipresent
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Versículo de hoy: "¿Adónde me iré de tu Espíritu? ¿Y adónde huiré de tu presencia? Si subiere a los cielos, allí estás tú; y si en el Seol hiciere mi estrado, he aquí, allí tú estás." Salmos 139:7-8
Today's verse: "Where can I go from your Spirit? Where I can flee from your presence? If I go up to the heavens, you are there; if I make my bed in the depths, you are there." Psalms 147:10-11
The Omnipresent Blue Dasher (Pachydiplax longipennis) - Suburban New Jersey, 25 miles west of "The City" (NYC)
These guys can be seen by the thousands in New Jersey every summer, but just because they're abundant doesn't mean they're not photogenic, and I for one will continue to take their pics,
but only if they insist!
This particular guy is a resident at my pond,
and can be counted on to be standing guard on his favorite perch on a regular basis.
"l'omniprésence de la brique, dont les angles arrondis et la sensualité de la couleur adoucissent l'aspect quelque peu fortifié de la cathédrale.
Cette matière est d'autant plus riche qu'elle est animée du rythme très sophistiqué de l'appareillage qui accroche la lumière."
"l'habillage est constitué de briques de format classique (5,5x11x22 centimètres)"
"Les briques qui habillent les murs sont mises en oeuvre selon un dessin très savant qui s'adapte parfaitement aux formes complexes [...]."
On pourra retrouver ces briques dans des vues plus générales de l'extérieur et de l'intérieur de la cathédrale.
El Agua: Omnipresente en todo el entorno, dentro y fuera del Hotel, el agua es, sin duda, la protagonista, y su máxima expresión es el Spa Galatea. Bañeras de 180 salidas de agua y aire, chorros de agua, piscina interior con chorros cervicales, dorsales, lumbares, contracorrientes y cuello de cisne. Jacuzzis, hamman, masajes, belleza, relax…
Frente al Hotel, el agua del Atlántico resuelve los enigmas de la vida estresada y nos aleja de los malestares propios de la vida de hoy.
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
These omnipresent shade trees, which line the backroads of southern France, have bark that looks like camouflage.
The chic of the 1950s is omnipresent in the spacious ‘Regina Isabella Bar’, a glamorous setting for drinks.
Hong Kong. omnipresent skyscrapers. overview. Kowloon Peninsula. Hong Kong Island. Victoria Harbour
On the Beacon Hill
With Fujufilm Natura Classica
Before sun set
With Fujifilm ISO 100 Business Use Film loaded
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Després de varies setmanes d'una quasi omnipresent COP25, què pòsit ha quedat de tot allò? Hui les #ConversesaPineda analitzen amb una nova perspectiva la transició ecològica. Moderada per la periodista Cristina Vaáquez, la tertúlia compta amb experts i ciutadania per xarrar al Palau de Pineda sobre els efectes de la cimera del clima que es va celebrar al gener a Madrid.
Fotògraf: Paco Quiles.
Data: 27-02-2020
Després de varies setmanes d'una quasi omnipresent COP25, què pòsit ha quedat de tot allò? Hui les #ConversesaPineda analitzen amb una nova perspectiva la transició ecològica. Moderada per la periodista Cristina Vaáquez, la tertúlia compta amb experts i ciutadania per xarrar al Palau de Pineda sobre els efectes de la cimera del clima que es va celebrar al gener a Madrid.
Fotògraf: Paco Quiles.
Data: 27-02-2020
Ils sont omniprésents, sous votre chaise au restaurant, à votre porte en sortant, sur la tabouret dans le magasin... : les chats, au maroc, ça fait aussi partie du paysage !
J'avoue que cette série est inspiré de certains dessins de "Un américain en ballade" de Craig Thompson.
--
Moroccain Cats
They are everywhere, under your chair at the restaurant, near your door when you exit, on a seat in the store : the cats, in Morocco, are also part of landscape !
I concess that this serie is inspired by some drawings of Craig Thompson in "Carnet de voyage".
URBAN DREAMS, group exhibition, Art Today Association/Center for Contemporary Art - Plovdiv (Bulgaria)
Huge advertising boards are an omnipresent phenomenon in the streets and on the rooftops of houses in Plovdiv. The happy messages of consumerism merge with modernist architecture, which had its glory days several decades ago. I placed billboards on the roadside of a modernist boulevard that take up characteristic elements of the surrounding architecture from around the 60ies. It was loaded with a highly ideological agenda pursued by the socialist state, which aimed to educate and transform Bulgarians “from rural poor people to modern city dwellers”. With the fall of the socialist regime a total rejection of the aesthetics of that period had taken place, while the obvious signs of the socialist-modernist time remain a dominant feature of the urban environment up until today. I doubt that it is possible to completely erase parts of history, and that is, why I want to question in which ways we can make this architecture still function in the present. Why do cities in Europe restrict their heritage preservation to the "real old" history? The qualities and the good parts of modern architecture from the recent past are often ignored. The great common roof terraces on the housing blocks in Plovdiv, where we find only advertising boards at the moment, are one example. Is common space still an option for urban planning? Emblematically, my billboards were facing towards a wall that was covered with a huge poster advertising campaign for Western style private residential front doors, with which the residents of the blocks typically try to give an individual touch to their apartments.
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
In contrast to the south bicycles are a common vehicle in Northern Ghana. Child labour is omnipresent.
Orig. filename: "DSC06768.JPG"
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Queridos fabricantes de coches,
Ustedes se esfuerzan sobre manera con campañas de anuncios omnipresentes y comunicaciones institucionales agresivas para hacernos creer que están haciendo todo lo posible para reducir el impacto de los coches sobre el clima. ¡Pero todavía podemos apretar la tuerca mucho más, como demuestra el anuncio que acabo de crear!
Como Greenpeace, no estoy engañado: en lugar de asumir su responsabilidades, ustedes reducen el cambio climático a una mera oportunidad de marketing. ¡Pero un anuncio no va a salvar el planeta! Dejen ya de sabotear las negociaciones sobre la futura reglamentación que pretende limitar las emisiones de CO2 de los nuevos coches en Europa. Ustedes deben apoyar estos
objetivos para la reglamentación: 120 g de CO2 por km en 2012, con un sistema de penalidades muy severo, y 80 g de CO2 por km para 2020.
Atentamente,
PB
"l'omniprésence de la brique, dont les angles arrondis et la sensualité de la couleur adoucissent l'aspect quelque peu fortifié de la cathédrale.
Cette matière est d'autant plus riche qu'elle est animée du rythme très sophistiqué de l'appareillage qui accroche la lumière."
"l'habillage est constitué de briques de format classique (5,5x11x22 centimètres)"
"Les briques qui habillent les murs sont mises en oeuvre selon un dessin très savant qui s'adapte parfaitement aux formes complexes [...]."
On pourra retrouver ces briques dans des vues plus générales de l'extérieur et de l'intérieur de la cathédrale.
"L'entrée se fait par un espace triangulaire accolé au cercle de la cathédrale. [...] Surmonté de petites ouvertures rectangulaires étroites que l'on retrouve sur la façade voisine à une échelle plus grande, et qui s'apparentent à des meurtrières [...].
The stewards were omnipresent and invariably helpful. In order to get to my part of the Stadium, I had to walk a long way round and enjoyed the sights as I went.
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Les huit « logismoï » sont parfois qualifiés de démons ou de « diabolos ». L’omniprésence des démons est une composante essentielle des croyances populaires que les moines égyptiens du IVèmesiècle partagent avec la classe paysanne dont la plupart sont issus.1 À travers la praktiké, Évagre propose une manière de combattre les ennemis démoniaques qui s’opposent à la progression du moine vers Dieu. Il s'agit d'une lutte contre les vices par les vertus pour accéder à un état permettant la contemplation de Dieu.
Évagre compte huit "logismoï" ou vices :
Gastrimargia : La gloutonnerie.
Pornéia : L’obsession sexuelle.
Philarguria : L'avarice.
Lupè : La tristesse
Orgè : La colère.
Acedia : La dépression, ou le dégoût de la vie.
Kenodoxia : La vaine gloire.
Uperèphania : L'orgueil.
Gastrimargia (toutes les formes de pathologies orale : boulimie, anorexie, bavardage, gourmandise, alcoolisme…), la philarguria (avarice), la pornéia (obsession sexuelle), l’orgé (la colère), la lupé (la tristesse), l’acédia (la dépression à tendance suicidaire), la kénodoxia (la vaine gloire, l’inflation de l’égo), et l’upérèphania (le délire schizophrénique).
La philarguria : La philarguria est une sorte d’attachement irrationnel à un bien quelconque (livre, vêtement, voiture…) mais également à l’égard d’une idée pratique ou d’une posture particulière.
On peut ici nouer des liens avec la psychologie contemporaine, et utiliser la notion de stade anal chez Freud : Un enfant peut éprouver une peur indescriptible à la vue de ses excréments, pour lui c’est son corps qui se décompose, et si sa mère n’est pas là pour le rassurer et le remercier de ce cadeau, il va éprouver une certaine crainte qui peut le conduire à se retenir, ou au contraire à se vautrer dans ses excréments.
Ainsi on peut avoir deux modes de manifestation de la philarguria; une rétention forte ou à l’inverse un excès, une théâtralisation, voire une parodie.
La pornéia : La pornéïa noue des liens très étroits avec la philarguria. Chez Evagre le pontique il s’agit d’un mauvais équilibre psychologique qui concentre toute l’énergie et l’attention au niveau génital. Pour libérer cette énergie, il y a une véritable pulsion sexuelle qui en son point culminant arrive à la masturbation. On peut aussi évoquer le fait que son propre corps, mais aussi le corps de l’autre, n’est considéré ici que comme une chose, une matière sans âme, un simple objet de plaisir.
La kénodoxia : C’est une combinaison de la philarguria et de la pornéïa. C’est une inflation démesurée de l’égo. On peut évoquer l’image de la grenouille qui veut être plus gros que le bœuf. Le moi exige une reconnaissance, une admiration de tous, il faut que l’individu soit au centre des attentions et que tous les regards soient dirigés sur lui.
Plus le sentiment d’insécurité est grand, plus on aura besoin d’exploits ou de relationsrelevant de l’importance illusoire.
L’orgé : Comme la colère nous met hors de nous on comprend bien comment l’orgé peut nous éloigner de notre humanité.
Evagre le pontique la définit comme « notre difficulté d’accepter l’autre en tant qu’autre, s’il ne correspond pas à l’image qu’on se fait de lui notre esprit s’irrite et le ressentiment nous ronge ». Il écrit même qu’ « aucun vice ne fait devenir l’intellect démon autant que la colère ». La colère est une forme d’immaturité, c’est un enfant qui veut tout toute de suite par exemple. Evagre remarque d’ailleurs que lorsque l’être est en colère il est à bout de souffle, il perd son souffle, son spiritus capable de donner du volume à notre être.
La lupé : Elle vient souvent du fait de penser la vie en termes de besoins, ici l’être confond les désirs et les besoins, ce qui amène une frustration. Ainsi une relation déçue à l’autre peut conduire à de la tristesse.
La lupé est l’épreuve du vide que l’on fait et que l’on n’est pas prêt à faire, et le premier manque propre à l’Homme et qu’aucun ne peut jamais combler est la mort, cette peur irréfragable de l’inconnu et du vide.
Il est sain d’être insatisfait, mais il faut comprendre pourquoi. Plus on va remplir notre vie et notre être pour combler ce vide, plus on va être confronté au vide et plus il faudra remplir.
L’acédia : C’est la forme ultime de la lupé, c’est une pulsion de mort, un « a-quoi-bonisme » qui peut donner naissance à des tendances suicidaires.
L’acédia se rapproche fortement de la mélancolie, mais aujourd’hui on utilise plutôt le terme de dépression.
L’upérèphania : C’est le summum de la kénodoxia, de l’égologie. Ici on est dans une satisfaction égologique proche de l’autisme. C’est prendre ses rêves pour la réalité et ne plus se référer au jugement des autres, de la société et du monde. Etre dans l’upérèphania c’est perdre la conscience que l’altérité est validante, et que personne n’y échappe. C’est se déployer et vivre dans son propre monde, avec sa seule personne pour instance validante.
Le lien avec l’altérité est ici complètement coupé.
La praktiké est une méthode qui consiste en l'observation, l'analyse et la lutte intérieure contre les « logismoï » qu'on pourrait traduire par pensées de l'ego. une praxis par laquelle l’Homme peut entièrement être orienté et dynamisé par l’esprit, et ainsi laisser libre cours à la capacité de dépassement qui le caractérise.Les 8 logismoï, ou baisses de l’âme, ou maladies de l’égo, sont susceptibles d’empêcher l’Homme d’accéder à son humanitude, à la réconciliation avec son ESPRIT, du coup le "mal-à-dit" s'empare de lui et devient féminin LA MALADIE.
Du coup, tu attaques tes huit ego pour les planter en façade sous le balcon et, et.....bin tu as aussi les plantes, regardes chaque têtes, elle sont garnies comme des "têtes de veau"
La maladie est le résultat d'une force extérieure mauvaise qui s'attaque à l'archée d'un organe. Le traitement vise à restaurer l'archée malade par une archée médicamenteuse. Contrairement au principe de traitement par les contraires, le traitement se fait par action semblable. Une maladie provoquée par un poison doit être traitée par un poison semblable, la différence entre remède et poison résidant dans la préparation et le dosage.
Pour ces plantes-médicaments, Paracelse se fait le défenseur de la théorie des signatures qu'il définit ainsi « tout ce que la nature enfante, elle le forme selon l'essence de la vertu qui lui est inhérente ». La forme est l'expression parfaite et indissociable d'une fonction. Ainsi les plantes à latex augmentent le lait chez la femme ou la puissance séminale chez l'homme ; les plantes charnues ou crassulantes (poussant en milieu aride, rocailles, entre les pierres des murs...) développent la chair chez les amaigris ; les plantes aux feuilles en forme de cœur, de poumon, ou de foie soignent les maladies correspondantes, etc.....
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Banksy recouvre un véritable panneau publicitaire afin de dénoncer son omniprésence et son inutilité.
Très belle photo qui évoque une époque lointaine où la vigne omniprésente occupait la murale avec
vigueur. Un rayon de soleil vient délicatement caresser un bouquet de verdure adossé au cadrage de la
fenêtre, elle aussi d’une autre époque. Le passage des saisons a façonné le merveilleux treilli végétal
qui sert ici de toile de fond et on imagine aisément le patient travail d’émondage qu’a requis le
contournement de la fenêtre. Le contraste verdure-brique est ici particulièrement efficace, ces deux
couleurs étant pratiquement à l’opposé l’un de l’autre sur le cercle des couleurs. La position de la
fenêtre occupant le tier droit de l’image attire irrésistiblement le regard et sert d’appui aux autres
éléments qui la contournent ou s’y appuient docilement. Des éléments de la fenêtre, tel le rideau noué,
l’éclairage discret de la cuisine, le reflet irrégulier de la toiture rouge qu’on devine sur la gauche
complètent l’ensemble et donne à l’observateur matière à s’attarder un moment de plus. Un examen
plus approfondi révèle un très faible flou de mouvement, probablement causé par la faible vitesse
d’obturateur. Une légère rotation anti-horaire (0.5 degrés) corrigerait la légère inclinaison de la fenêtre
sans affecter la composition. Merveilleuse image, bravo.
Analyse par Charles
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
"l'omniprésence de la brique, dont les angles arrondis et la sensualité de la couleur adoucissent l'aspect quelque peu fortifié de la cathédrale.
Cette matière est d'autant plus riche qu'elle est animée du rythme très sophistiqué de l'appareillage qui accroche la lumière."
"l'habillage est constitué de briques de format classique (5,5x11x22 centimètres)"
"Les briques qui habillent les murs sont mises en oeuvre selon un dessin très savant qui s'adapte parfaitement aux formes complexes [...]."
On pourra retrouver ces briques dans des vues plus générales de l'extérieur et de l'intérieur de la cathédrale.
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Dans tous les bidonvilles de Nairobi, la violence est omniprésente et touche en particulier les femmes. Les habitants vivent dans des conditions précaires et ont un accès limité à l’eau salubre, aux installations sanitaires, aux services de santé, aux écoles et aux autres services publics de base. De nombreuses femmes doivent marcher longtemps avant d’atteindre des toilettes, ce qui s’avère particulièrement dangereux une fois qu’il fait nuit.
Amnesty Belgium et nos groupes universitaires ont mené une action coup de poing devant l'ambassade du Kenya : il s'agissait de faire pression sur le gouvernement kenyan afin qu'ils prennent des mesures en faveur des femmes au Kenya.
Plus d'infos sur www.amnesty.be/kenya
Les championnats de Bretagne de triathlon format M se sont offert un très bel écrin au Pouldu, à Clohars-Canoët, où le Kemperle Triathlon organise ses superbes triathlons. La journée de ce dimanche 28 août avait également tout pour plaire puisque le soleil a été omniprésent, sans être écrasant (27 degrés au mercure), et une brise légère venait rafraichir l’atmosphère sur la côte tout en s’effaçant dans les terres. Parfait pour le vélo.
Il est à noter que, Covid oblige, le titre régional sur format M n’avait plus été décerné depuis 2019, à Taden. 338 dossards ont été attribués pour ce 12e triathlon du Pays de Quimperlé et dans le parc à vélos, chacun avait hâte d’en découdre. Chez les femmes, le forfait de dernière minute de Nolwenn Daniel (HENNEBONT TRIATHLON) propulsait Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en position de très grande favorite. Chez les hommes, les pronostics allaient bon train puisque le plateau était de grande qualité. Aux présences annoncées d’Aymeric Réhel (Rennes Triathlon), Pol Le Bot (Pontivy triathlon), Maxime Greneu (Rennes triathlon), Yann Guyot (Saint-Grégoire Triathlon), Bruno Dréan (Rennes triathlon) et Titouan Le Grand (Brest Triathlon) sont venues s’ajouter celles de dernière minute de Guillaume Macq et Sébastien Escola-Fasseur (Quimper Triathlon) et Julien Gonnet (Saint-Grégoire triathlon). On avait donc à Clohars-Carnoët la fine fleur du triathlon breton.
, ̂ ́
À 14h30, le départ a été donné aux féminines. Nageuse d’eau libre venue au triathlon il y a deux ans, Maëla Moison (20 ans, Pontivy Triathlon) a pris les commandes d’entrée de jeu pour ne plus les lâcher. À la sortie de l’eau, elle comptait déjà 58 secondes d’avance sur une autre nageuse de formation (Élodie Coant, Quimper triathlon) et 2’43’’ sur l’Angevine Sibyle Sarradin. À vélo, Maëla Moison a encore accentué son avance sur ses poursuivantes puisqu’au terme du premier des deux tours de vélo, elle avait repoussé Sibyle Sarradin à plus de 3’ et Elodie Coant à plus de 4’. Ces trois-là vont rester dans cet ordre jusqu’à la fin de la course, Maëla Moison gérant son avance jusqu’à la ligne et sans se faire peur. Sibyle Sarradin aura beau lui reprendre exactement 4’ à pied en signant le meilleur temps sur les 10 km d’un parcours exigeant, la Pontyvienne s’impose tout de même avec 2’20’’ d’avance sur sa poursuivante. La Quimpéroise Elodie Coant se fait finalement reprendre par Marie Mingam (Lannion Triathlon) dans la partie pédestre, mais monte néanmoins sur la troisième marche du podium des championnats de Bretagne puisque l’Angevine Sibyle Sarradin, licenciée hors région, n’intègre pas ce classement.
À l’issue de la course, Maëla Moison avouait que ces championnats de Bretagne n’étaient qu’une étape dans la préparation de ses objectifs : « C’était effectivement une course d’entrainement de fin de cycle avant les échéances de D2 avec mon club de Pontivy. La natation s’est bien passée et quand les gars sont revenus sur moi à vélo, ça m’a fait du bien et j’ai remis un peu de watts. Le parcours à pied n’était pas évident. On n'est pas trop habitués à ce type de revêtement sur les manches de D2. » À propos de son titre de championne de Bretagne, la Pontivienne souligne son plaisir d’être titrée, « pour un deuxième triathlon sur cette distance (victoire sur le M du Pays de Redon le 8 mai 2022) et après deux années sans que le titre n’ait été attribué ».
, “”
Chez les hommes, un athlète du Stade Français Triathlon est venu se mêler avec talent à cette course pour le titre régional. Disons-le tout de suite, Igor Dupuis a largement dominé la course, même s’il a temporairement cédé la tête à la fin de la partie vélo. Ainsi, le nageur de niveau européen formé à Mulhouse, capable de nager le 100 m en 52’’, le 400 m en 3’46’’ et le 800 m en 7’48’’, a rapidement pris les devants dans l’eau, au point de sortir avec 1’17’’ d’avance sur Pol Le Bot (Pontivy Triathlon), 1’22’’ sur Aymeric Réhel (Rennes Triathlon) et déjà près de 4’ sur le quatrième, Bruno Dréan (Rennes Triathlon). À vélo, Aymeric Réhel a dû attendre plus de 30 km avant de reprendre Igor Dupuy devant lequel il pose le vélo avec seulement 10 secondes d’avance. Derrière, la bataille a fait rage et les gros rouleurs ont profité de ce parcours sans difficulté pour faire parler la poudre. Sébastien Escola-Fasseur a réalisé un très gros vélo (meilleur temps et seul coureur à passer sous l’heure) et pose à T2 avec Pol Le Bot avec une bonne minute de retard sur Aymeric Réhel. Yann Guyot (2e temps vélo) pointe alors à la 5e place, Julien Bonnet 6e (malgré une chute) et Guillaume Macq (3e temps vélo) est 7e.
L’explication a donc eu lieu à pied. Igor Dupuis a très vite repris les choses en main au point de se donner 1’30’’ d’avance à mi-parcours. Il va finalement s’imposer après avoir produit le meilleur temps à pied devant Pol Le Bot qui a pour sa part repris Aymeric Réhel. Ce dernier va également voir Yann Guyot (3e temps à pied) le rattraper. Au final, Igor Dupuis passe donc la ligne en 2h02’23, avec 2’13’’ d’avance sur Pol Le Bot (2h04’36’’) qui est ainsi sacré champion de Bretagne. Pour compléter le podium régional, Yann Guyot et Aymeric Réhel se placent 3e et 4e scratch.
Pol Le Bot, dernier champion de Bretagne “M” en date (à Taden, en 2019) - puisque le titre n’a pas été décerné en 2020 et 2021 (Covid) - était très satisfait de conserver son titre : « Je suis content de reprendre le titre que j’ai finalement conservé pendant trois ans. Ça me permet de le relégitimer ». En ce qui concerne sa course, Pol Le Bot résume les grandes étapes qui lui ont permis de rester champion de Bretagne : « Le gars du Stade français (Igor Dupuis) s’est détaché naturellement en natation et il n’y avait rien à faire. Derrière lui et à distance, je me suis retrouvé dans les pieds d’Aymeric (Réhel). J’ai essayé de passer devant, mais je n’y suis pas arrivé. À vélo, on a fait un tour ensemble, puis j’ai vu mes watts diminuer. Je suis resté concentré pour conserver la position aéro et les gens me donnaient les temps sur la tête. Quand on a posé le vélo avec Sébastien Escola, je savais que j’avais une minute de retard sur Aymeric et qu’il fallait que je mette en route très vite à pied. C’est ce que j’ai fait. J’ai repris Aymeric au 7-8e kilomètre. Par contre je ne savais pas que Yann Guyot n’était qu’à une vingtaine de secondes derrière. »
Enfin, Pol Le Bot ne le cache, s’il est très heureux de son titre de champion de Bretagne de format M, il est venu à Clohars-Carnoët en ne perdant jamais de vue que ses objectifs de la saison se situent le 4 septembre (à Quiberon) et le 11 septembre (à Saint-Jean-de-Monts) où, avec l’équipe de Pontivy, il est en position de jouer la montée en D1. « On ne pense qu’à ça. On attend ça depuis longtemps. On n’a pas le droit de se rater », conclut-il.
Résultats complets : www.breizhchrono.com/…/12emetriathlondupaysdequimpe…
#triathlon #triathlontraining #triathlete #triathlonlife #LigueBretagneTriathlon #ChampionnatBretagne
Triathlon. Pontivy triathlon rafle la mise à Clohars-Carnoët, cadre des championnats de Bretagne
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne dans le bel écrin littoral du Pouldu.
Triathlon du Pays de Quimperlé
Deux sociétaires du Pontivy Triathlon se sont emparés du titre de champion de Bretagne de Triathlon dans le bel écrin littoral du Pouldu. Chez les hommes Pol Le Bot, qui finit deuxième derrière Igor Dupuis du Stade Français, est sacré pour la deuxième fois tandis que chez les femmes Maëla Moison est couronnée pour la première fois. Deux titres et deux courses opposées.
Le Bot qui repart donc avec son deuxième titre après celui remporté en 2019 à Taden, a couru en stratège. Voyant la domination de Dupuis « Clairement au-dessus du lot », dixit l’intéressé, Le Bot déposait Réhel, interposé entre lui et le titre grâce à la course à pied.
Quiberon en vue pour les deux champions
« Aujourd’hui, Dupuis a survolé l’épreuve. Malgré le fait qu’Aymeric était très fort dans l’eau, je pensais pouvoir remonter lors de la course à pied. C’est pour ça qu’au vélo, je suis resté concentré et aérodynamique ». Bien lui en a pris.
Une course bien différente de celle livrée par Moison qui fendait l’eau en tête telle une torpille avant d’avaler les deux boucles de vélo et de course à pied sans rien laisser espérer à sa plus proche rivale, l’Angevine Sibyle Sarradin, reléguée à trois minutes au final. « J’aime trop les petites natations comme ça et le vélo s’est bien passé. Par contre, la partie course à pied a été plus tendue dans le sable mais j’ai vraiment aimé courir ici. J’y ai pris beaucoup de plaisir », admettait la nouvelle championne, néo-triathlète et ancienne nageuse en eau libre. Prochain objectif pour la jeune femme, le triathlon de Quiberon. Comme Pol Le Bot. Rendez-vous est pris.
Les classements.
Triathlon M.
Hommes : 1. Igor Dupuis (Stade Français) en 2h02'23'', 2. P. Le Bot (Pontivy Triathlon) en 2h04'36'', 3. Y. Guyot (Saint-Grégoire Triathlon) en 02h04'58'', 4.A. Rehel (Rennes Triathlon) en 2h05'06’’, 5.S. Escola (Quimper Triathlon) en 2h07'37''.
Femmes : 1. Maëla Moison (Pontivy Triathlon) en 2h29'43'', 2. S. Sarradin (ASPTT Angers) en 02h32'03''. 3. M. Mingam (Lannion Triathlion) en 2h35'46'', 4. E. Cohan (Quimper) en 2h39’36, 5.P. Caudan (Hennebont Triathlon) en 2h43'15''.
Triathlon S.
Hommes : 1. Jordan Gueguano (US Palaiseau Triathlon) en 1h 06'33'', 2. A. Bouvet (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h06'59'', 3. X. Cornevin (Meudon Triathlon) en 01h07'19'', 4. P. Hole (Cesson Sevigné Triathlon) en 01h08'04'', 5. K.Piriou (Lorient Triathlon FLK) en 1h09'00''.
Triathlon S
Femmes : 1. Louise Buannic Guirrec (Triathlon Bigouden) en 1h15'54'', 2. A. Guillemot en 1h19'51'' 3. I. Ludurin (Guidel Triathlon) en 1h22'40'', 4. C. Mathieu (Meudon Triathlon) en 01h25'04'', 5. H. Boudon Bausmayer (Cesson Sevigné Triathlon) en 1h25’49.
Street signs warn you: No pooping to the left, no pooping to the right. (TELL ME it doesn't look like a pooping stick figure. Srsly.)
Taken last November, I felt this an apt pic to couple a poem I wrote back in 2008. Let me know what you think.
On the horizon, a shimmer of hope.
Sunlight bathes the icy greys and blues,
and at the shore a lone hound frolicks,
barking at the stick dangled, enticing.
‘Fetch’ they shout.
Oh, how original.
I watch as each paw print recedes;
sand shifting, grain after grain;
omnipresent.
Rain descends; horizontal and cutting,
piercing raw and windswept faces.
Scarves blow and hats escape –
dancing down the beach.
You run. Unsuccessfully; the wet sand
sticking to your boots,
grain after grain;
omnipresent.
Beaten, you retreat to woolly hound
whose tongue dangles,
knots of saliva glistening.
Eagerly he pushes the game,
the sand shifts, grain after grain;
omnipresent.
Nature’s eternal adaptations
we fight.
It wins.
Grain after grain,
second after second.
Omnipresent.
Després de varies setmanes d'una quasi omnipresent COP25, què pòsit ha quedat de tot allò? Hui les #ConversesaPineda analitzen amb una nova perspectiva la transició ecològica. Moderada per la periodista Cristina Vaáquez, la tertúlia compta amb experts i ciutadania per xarrar al Palau de Pineda sobre els efectes de la cimera del clima que es va celebrar al gener a Madrid.
Fotògraf: Paco Quiles.
Data: 27-02-2020