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Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Manjula Vijayakumar Condolences Photos | Manjula Vijayakumar Condolences Images | Manjula Condolences Photos | Manjula Condolences Gallery | Manjula Condolences Wallpapers | Manjula Condolences Pictures |

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

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Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

1- una manjula que vimos en Bellagamba, que no era la manjula porque la manjula estaba retosando en valparaíso.

 

2- por qué no pudimos comprar cotillón en once ese día? porque se incendió el cotillón.

igual op hop tuvo su decoración cumpleañera!

 

3- reminiscencias del mambo-taxi de almodóvar, pero sólo en el taxista.

Hi guys today we make video about Top 10 Most Popular Tik Tok Stars In India 2019(भारत में शीर्ष 10 सबसे लोकप्रिय टिक टोक सितारे 2019) Those tik tok stars are very famous in tik tok.And they have large number of followers also. Hindi details : हाय दोस्तों आज हम भारत में 2019 के टॉप 10 टिक टोक स्टार्स के बारे में वीडियो बनाते हैं (मोस्ट पॉपुलर टिक टॉस्क स्टार्स) उन टीक टो स्टार्स के टीक टो में बहुत प्रसिद्ध हैं। और उनके बड़ी संख्या में अनुयायी भी हैं। Here is the list of Top 10 Tik Tok Stars In India 2019(Most Popular Tik tok Stars): 10.#GarimaChaurasia Details : Garima Chaurasia – 5.8 Million Followers – Garima Chaurasia is the well-known Tik Tok Star and recognized for her looks, pretty smile, approach and hot personality. Hindi Details : GarimaChaurasia विवरण: गरिमा चौरसिया - 5.8 मिलियन अनुयायी - गरिमा चौरसिया जानी-मानी टिक टोक स्टार हैं और अपने लुक, सुंदर मुस्कान के लिए पहचानी जाती हैं। दृष्टिकोण और गर्म व्यक्तित्व। 9.#NagmaMirajkar Details: Nagma Mirajkar – 6.7 Million Followers – With 5.6 million buffs, she is recognized as the style guru and is renowned for her special dance videos. Hindi Details :नगमा मिर्ज़कर - 6.7 मिलियन फॉलोअर्स - 5.6 मिलियन बफ़र्स के साथ, उन्हें स्टाइल गुरु के रूप में पहचाना जाता है और उनके विशेष नृत्य वीडियो के लिए प्रसिद्ध है। 8.#AdnanShaikh Details: Adnan Shaikh – 6.9 Million Followers – He is a very popular star on TikTok. Hindi Details : अदनान शेख - 6.9 मिलियन फॉलोअर्स - वे टिकटोक पर एक बहुत लोकप्रिय स्टार हैं। 7.#AashikaBhatia Details:Aashika Bhatia – 7.7 Million Followers – She is amongst the top muser boasting of 6.7 million followers. Recognized for her astounding dance and acting video recordings, she has been a part of various shows and movies. Hindi Details : 7.7 मिलियन फॉलोअर्स - वह 6.7 मिलियन फॉलोअर्स के शीर्ष मुस्तैद हैं। अपने अद्भुत नृत्य और अभिनय वीडियो रिकॉर्डिंग के लिए पहचानी जाने वाली, वह विभिन्न शो और फिल्मों का हिस्सा रही हैं। 6.#HasnainKhan Details: Hasnain Khan – 8.0 Million Followers – He is the well-known Tik Tok Star from India. He is recognized for his Comedy mimickers, funniness and entertaining talents. Hindi Details : 8.0 मिलियन फॉलोअर्स - वह भारत के जाने-माने टिक टोक स्टार हैं। वह अपने कॉमेडी मिमिकर्स, मस्ती और मनोरंजक प्रतिभाओं के लिए पहचाने जाते हैं। 5.#Awez Darbar Details: Awez Darbar – 8.3 Million Followers – A choreographer by line of work and is recognized for imaginative dance steps, he got the talent badge on TikTok. Hindi Details : 8.3 मिलियन फॉलोअर्स - एक कोरियोग्राफर काम की लाइन से और कल्पनाशील के लिए धारणाएँ जाती है डांस स्टेप्स, उन्हें टिकटोक पर टैलेंट बैज मिला। 4.#Manjul Khattar Details: Manjul Khattar – 9.4 Million Followers – Manjul Khattar is an Indian Musical.ly (now recognized as TikTok) celeb. He has gathered a huge buff base via his ‘TikTok’ videos. Manjul mainly shares comedy video clips and executes lip-syncs on ‘TikTok.’ Hindi Details : 8.3 मिलियन फॉलोअर्स - एक कोरियोग्राफर काम की लाइन से और कल्पनाशील के लिए धारणाएँ जाती है डांस स्टेप्स, उन्हें टिकटोक पर टैलेंट बैज मिला। 3.2.1=find on video??For more new video checked our channel now. #Aboutmore Subscribe Us: bit.ly/2VPUPom You Can Our Other Playlist too. 1.Netflix Playlist: bit.ly/2Gj0kYu 2.Hollywood Movies Playlist: bit.ly/2MVkW9D 3.Animated Movies Playlist: bit.ly/2MXer69 4.Beautiful World Playlist: bit.ly/2DmtkKR 5.Bollywood Movies Playlist: bit.ly/2SKm8C9 6.Tv series Playlist: bit.ly/2E1YKrC 7.Horror Movies Playlist : bit.ly/2I4cTs4 8.Hollywood Celebrity Playlist: bit.ly/2UOmS6s 9.Bollywood Celebrity Playlist: bit.ly/2I5u2lg 10.Actor Best Movies Playlist: bit.ly/2DpnCba 11.Action Special Playlist : bit.ly/2GjdX9J 12.Cast (Then And Now): bit.ly/2Gvn3zI For More Regular updates stay-Tune with Us!And Feedback about this video. And Recommended Us What you want to see next time. Thanks Everyone.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

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Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

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Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Manjula Vijayakumar Condolences Photos | Manjula Vijayakumar Condolences Images | Manjula Condolences Photos | Manjula Condolences Gallery | Manjula Condolences Wallpapers | Manjula Condolences Pictures |

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

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Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Hi guys today we make video about Top 10 Tik Tok Stars In India 2019(Most Popular Tik tok Stars) Those tik tok stars are very famous in tik tok. And they have a large number of followers also. Here is the list of Top 10 Tik Tok Stars In India 2019(Most Popular Tik Tok Stars): 10.#GarimaChaurasia Details: Garima Chaurasia – 5.8 Million Followers – Garima Chaurasia is the well-known Tik Tok Star and recognized for her looks, pretty smile, approach and hot personality. 9.#NagmaMirajkar Details: Nagma Mirajkar – 6.7 Million Followers – With 5.6 million buffs, she is recognized as the style guru and is renowned for her special dance videos. 8.#AdnanShaikh Details: Adnan Shaikh – 6.9 Million Followers – He is a very popular star on TikTok. 7.#AashikaBhatia Details:Aashika Bhatia – 7.7 Million Followers – She is amongst the top muser boasting of 6.7 million followers. Recognized for her astounding dance and acting video recordings, she has been a part of various shows and movies. 6.#HasnainKhan Details: Hasnain Khan – 8.0 Million Followers – He is the well-known Tik Tok Star from India. He is recognized for his Comedy mimickers, funniness and entertaining talents. 5.#Awez Darbar Details: Awez Darbar – 8.3 Million Followers – A choreographer by line of work and is recognized for imaginative dance steps, he got the talent badge on TikTok. 4.#Manjul Khattar Details: Manjul Khattar – 9.4 Million Followers – Manjul Khattar is an Indian Musical.ly (now recognized as TikTok) celeb. He has gathered a huge buff base via his ‘TikTok’ videos. Manjul mainly shares comedy video clips and executes lip-syncs on ‘TikTok.’ 3.2.1=find on video?? For more new video checked our channel now. #Aboutmore Subscribe Us: bit.ly/2VPUPom You Can Our Other Playlist too. 1.Netflix Playlist: bit.ly/2Gj0kYu 2.Hollywood Movies Playlist: bit.ly/2MVkW9D 3.Animated Movies Playlist: bit.ly/2MXer69 4.Beautiful World Playlist: bit.ly/2DmtkKR 5.Bollywood Movies Playlist: bit.ly/2SKm8C9 6.Tv series Playlist: bit.ly/2E1YKrC 7.Horror Movies Playlist: bit.ly/2I4cTs4 8.Hollywood Celebrity Playlist: bit.ly/2UOmS6s 9.Bollywood Celebrity Playlist: bit.ly/2I5u2lg 10.Actor Best Movies Playlist: bit.ly/2DpnCba 11.Action Special Playlist: bit.ly/2GjdX9J 12.Cast (Then And Now): bit.ly/2Gvn3zI For More Regular updates stay-Tune with Us! And Feedback about this video. And Recommended Us What you want to see next time. Thanks, Everyone.

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Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

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il mio primo naan...con la ricetta di manjula link

Los tonos de esta tela, ocres y naranjas, no quedan bien a todas las niñas... quizá Manjula es quien lo luce mejor.

to the past

present or

distant

future

he is

immune

he does

not trust

two legged

animals

heartless

vicious

goons

at home

with the

silence

of his dogs

he awaits

the monsoons

mumbai

hot sultry

humid

gloomy

to him

gods

generous

boon

better

than

dehradun

more peaceful

than rangoon

goodbye

see you

soon

 

god

accidentally

created man

while drawing

his first cartoon

 

dedicated to manjul

the next laxman

pretty cool

 

#firozeshakir

#beggarpoet

“The Kueh Pie Tee”

by Pratyush Manjul Singh

Shot @ Nyonya Baba Cuisine / Penang / Malaysia

 

Kueh Pie Tee is truly the quintessence of the delectable Peranakan cuisine. Savoury, Tangy and fit for all occasions it is a great party food and an ever popular snack.

Made with finely slices vegetables and prawns filled in a thin and crispy pastry tart shell and flavoured with local spices and condiments the Kueh Pie Tee is a perfect example of the blend of Malay, Indonesian and Chinese cuisines, which is the Peranakan cuisine.

 

Fotografía y edición: Cris Herrero

Corset: PICANT-Tenda erótica

Accesorios: Moon Dark/Lorena Argüello Diseñadora

Modelo: Picant Tenda

MakeUp: Maria Manjula

Fotografía y edición: Cris Herrero

Corset: Picant Tenda

Accesorios: Moon Dark // Lorena Argüello Diseñadora

Modelo: Alicia Gündesmontir

Make Up: Maria Manjula

this is the royalty chque issued by my publisher Manjul Publication for my books "Management ke nuske" and "Management ke sabaq"...the book "Management ke nuske" is now on 4th print..

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