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Epipremnum aureum est une plante de la famille des Araceae, originaire de Polynésie française et de l'Asie du Sud-Est, largement cultivée.

Il s'agit d'une liane qui en zone tropicale humide, peut pousser en s'enroulant et s'accrochant par des racines aériennes aux branches des arbres et à d'autres épiphytes.

 

fr.wikipedia.org/wiki/Epipremnum_aureum

Manjula Indian Rhino...Cincinnati Zoo 1997

Si Jean y Joel siguen vivos no es gracias a su inteligencia... los tontos siempre tienen suerte! XDD

 

Foto spoiler completada... aunque la luz es peor que ayer! T T

 

Bueno, completada no, faltan Manjula y Parvani...pero el outfit no daba para mas! (y no es su estilo, precisamente) ^ ^

"Time is like a barber, it shears you first and then shows you your own face in the mirror. (Marrying Nusrat)"

(From "Another Man's Wife" by Manjul Bajaj)

 

There is a barber on the stairs of Dashashwamedh Ghat, the main ghat on the Ganges River in Varanasi (Benaras).

He is using the wall of the Jantar Mantar (the observatory) where he is hanging a mirror each time he comes to work.

In this mirror I can see the face of his clients whenever I am passing by…

 

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El vestido de Manjula tiene tanto vuelo que parece una campana! Tanto la blusa como el tutú de encajes forman parte de el

Model: Aëihl Naseine

Necklace: Black Moon Shop (Accesorios Góticos) Lorena Argüello Diseñadora

Corset: PICANT-Tenda erótica

Makeup: Maria Manjula

TikTok New Viral Videos | Riyaz, Jannat, Faisu, Gima, Arishfa, Lucky | Trending Tik Tok Videos Paid promotion and Business Enquiry faisal.malik.2889@gmail.com I hope you will Enjoy This Video. If you do, then do Like, Share, Comment and Subscribe For More Entertaining Videos. This video is made under personal choice of Interest. If you have any suggestions for this video, please put them in the comments below. *Note:- Copyright Disclaimer Under Section 107 of the Copyright Act 1976, allowance is made for "fair use" for purposes such as criticism, comment, news reporting, teaching, scholarship, and research. Fair use is a use permitted by copyright statute that might otherwise be infringing. Non-profit, educational or personal use tips the balance in favor of fair use. Tags : #Riyaz #Jannat #LuckyDancer #ArishfaKhan #FaisalMalikFM #TikTok #Musically #FunnyVideos #Funny #AwezDarbar #NagmaMirajkar #VitastaBhat #Fizuliyat #DishaMadan #UnnathiMalharkar #AliaBhat #KareenaKapoor #TaimurAliKhan #SohaAliKhan #KarismaKapoor #AnushkaSharma #ViratKohli #SharukhKhan #TwinMelody #AvneetKaur #TikTokTrending #Highlights #Trending #ViralTikTok #Viral #Makeup #Blooper #MusicallyBlooper #TikTokBlooper Faisal Malik FM, Tik Tok, Musically , Trending Video, Trending Songs, Bollywood, Hollywood, Dollywood, Mollywood, Avneet Kaur, Tollywood, Tik Tok Transformation, Shahid Kapoor, Mira Rajput, Mr Faisu, Awez Darbar, Nagma Mirajkar, Satvik Sankhyan, Danish Zehen, Aashika Bhatia, Avneet Kaur, Jannat Zubair, Manjul Khattar, Mrunal Panchal, Siddharth Nigam, Raveka, Sunny Chopra, Sagar Goswami, Anam Darbar, Zaid Darbar, Shanaya Khan, Laakshii Pathak, TikTok, Shoaib Ibrahim, Memon Shifu, Faiz Baloch, Adnaan Sheikh, Hanain Khan, Anmol Bhatia, Faizal Siddiqui, Ashu Ali, Shriya Jain, Pinky Francis, Mamta Acharya, Mr Mnv, Mr Manav, Vrushali Vachhiyat, Rekha Chaudhary, Faisal Malik FM | Tik Tok | Musically | Musically Compilation | Musically Trending | Musically Comedy | Tik Tok Comedian | Tik Tok Funny Videos | Viral Video | Tik Tok | Tum Saath Ho Beauty | Makeup | Sports | Dance | Games | Song | Act | Actress | Actor | Transformation | Beauty Transformation | Bollywood News | Hollywood News | Bollywood | Hollywood | Kareena Kapoor | Kapil Sharma | Sunny Leone | Selena Gomez | Justin Bieber | Ariana Grande | Taylor Swift | Anushka Sharma | Trending | Trending Video | Makeup | Fashion | Passion | Tips | Akshay Kumar | Kajol | Jhanvi Kapoor | Kushi Kapoor | Sonam Kapoor | Aishwarya rai | Deepika Padukone | Alia Bhat | Disha Patani | Hailey Baldwin | Luis Fonsi | Challenge | Troll Video | Troll | Priyanka Chopra | Priya Varrier | Priya Prakash Varrier | Roshan Abdul Rahoof Thanks for watching.. Subscribe my YouTube channel and press the bell icon🔔for never miss an updates from my YouTube channel

Photo: Lucia Sánchez

Model: Barbara Navarro

Jewerly: Lorena Argüello Diseñadora Black Moon Shop (Accesorios Góticos)

Makeup: Maria Manjula

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

ask reverently

receive your

boon..be

reasonable

in what you

ask..be practical

dont ask for

celestial moon

dont wish that

he make you

a business tycoon

your wishes you

need to prune

wish for others

ask for peace

hope in dehradoon

kindly rains not

tempestuous

tumultuous monsoon

no tsunami no typhoon

also pray that manjul

becomes the king of

indian cartoons ,,

never spit on our

political system

just in case

use the spittoon

our netas before

election are prone

to become gas

filled balloons

 

jai ashtavinayaka

jai omkara

jai shree ganesha

let the prices

of onions come

down soon..

 

#carterroad

#firozeshakir

#beggarpoet

 

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

K.L. Misra and Family with Chief Minister Pt. Govind Ballav Pant, Governor Dr. K.M. Munshi and Chief Justice Mootham.

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A Diplomat-turned-Politican, and the Congress' dalit face Meira Kumar has come a long way since entering electoral politics in the mid-1980s to becoming the first woman to be chosen to occupy the high office of the Lok Sabha Speaker.

 

Ms. Kumar, who resigned as Union minister, is the daughter of late Congress stalwart Jagjivan Ram, and came out as a surprise choice over veteran Congressman from Andhra Pradesh, Kishore Chandra Deo, whose name figured prominently last fortnight as the person being tipped for the Speaker's post.

 

A five-time MP, the 64-year-old Kumar had quit the Indian Foreign Service in 1985 to join politics. She resigned from the Congress in 2002 citing differences with the party leadership only to rejoin it two years later.

 

Ms. Kumar first joined the government as a deputy minister in the P.V. Narasimha Rao ministry and was made a minister with a Cabinet rank when UPA took over the reins of power from NDA after the 2004 Lok Sabha polls.

 

The decision to chose her for the Speaker's post comes just two days after she took charge of the Water Resources Ministry.

 

With a degree in law and a masters in English in her kitty, she had joined the Indian Foreign Service in 1973 and served in the embassies in Spain, the U.K. and Mauritius. She also served as a member of the India-Mautius Joint Commission.

 

Soft-spoken Kumar was elected to the Lok Sabha from Bijnore in Uttar Pradesh in 1985.

 

She was re-elected as an MP in 1996 and in 1998 from Delhi's Karol Bagh seat but lost her seat in 1999 when NDA returned to power.

 

Ms. Kumar was re-elected in 2004 from Sasaram in Bihar, the constituency of her father and went on to become the Minister for Social Justice and Empowerment.

 

She served as an AICC General Secretary from 1990 to 1992 and again from 1996 to 1998. She was first made a member of the Congress Working Committee in 1990 and continued for ten year till 2000. After a gap of two year, she was reinducted in the CWC in 2002 and remained its member till 2004.

 

As an MP, she served among others as a member of the Public Accounts Committee, Committee on Home Affairs and its Sub-Committee on Personnel Policy of Central Para-Military Forces and Joint Committee on Empowerment of Women. She was also a member of Committees on Food and Consumer Affairs and Environment and Foreign.

 

Born in Patna on March 31, 1945, Ms. Kumar studied in Indraprastha College and Miranda House in Delhi University.

 

She also has an advanced diploma in Spanish. She also hold medals for rifle shooting.

 

Armed with a law degree, Ms. Kumar became a member of the Supreme Court Bar Association in 1980.

 

Married to Manjul Kumar, a Supreme Court lawyer, she has three children.

 

(The Hindu 01/06/2009)

Sadhguru shines like a rare diamond in the publishing sector in addition to his worldwide acclaim as a spiritual master. His books are a treat for the mind and food for the soul and consequently, over 2 million of his books have been sold worldwide. His books have been published in 9 Indian languages and in over 20 languages across the world.

 

Of the 15 English books published in India, 8 are bestsellers. Some of these literary treasures are:

 

1. Inner Engineering: A Yogis Guide to Joy (Over 3.5 lakh copies sold in India)

2. Adiyogi The Source of Yoga (Over 1 lakh copies sold)

3. Emotion: The Juice of Life / Relationships: Bond or Bondage (Close to 1 lakh copies sold)

4. A Taste of Well-Being (Over 50,000 copies sold)

5. Body: The Greatest Gadget / Mind Is Your Business (Over 50,000 copies sold)

6. Flowers on the Path

7. Mystics Musings

8. Life and Death in One Breath

 

It is little wonder then that Sadhguru has been hailed as a New York Times bestselling author, as one of Amazons bestselling authors, and as a bestselling Indian author in the Trade Non-Fiction category by Nielsen India BookScan. Two of Sadhgurus books, Inner Engineering and A Taste of Well-Being, received the Raymond Crossword award in the Popular Books category in 2017.

Sadhgurus books have been published by major publishers such as Penguin India, Harper Collins India, Jaico Publishing House, Manjul Publishing, Sakal Media, Mathrubhumi Books, DC books, Emesco Books, Sapna Books and many others.

 

Source: Nielsen India Bookscan.

Hi guys today we make video about Top 10 Tik Tok Stars In India 2019(Most Popular Tik tok Stars) Those tik tok stars are very famous in tik tok. And they have a large number of followers also. Here is the list of Top 10 Tik Tok Stars In India 2019(Most Popular Tik tok Stars): 10.#GarimaChaurasia Details: Garima Chaurasia – 5.8 Million Followers – Garima Chaurasia is the well-known Tik Tok Star and recognized for her looks, pretty smile, approach and hot personality. 9.#NagmaMirajkar Details: Nagma Mirajkar – 6.7 Million Followers – With 5.6 million buffs, she is recognized as the style guru and is renowned for her special dance videos. 8.#AdnanShaikh Details: Adnan Shaikh – 6.9 Million Followers – He is a very popular star on TikTok. 7.#AashikaBhatia Details: Aashika Bhatia – 7.7 Million Followers – She is amongst the top muser boasting of 6.7 million followers. Recognized for her astounding dance and acting video recordings, she has been a part of various shows and movies. 6.#HasnainKhan Details: Hasnain Khan – 8.0 Million Followers – He is the well-known Tik Tok Star from India. He is recognized for his Comedy mimickers, funniness and entertaining talents. 5.#Awez Darbar Details: Awez Darbar – 8.3 Million Followers – A choreographer by line of work and is recognized for imaginative dance steps, he got the talent badge on TikTok. 4.#Manjul Khattar Details: Manjul Khattar – 9.4 Million Followers – Manjul Khattar is an Indian Musical.ly (now recognized as TikTok) celeb. He has gathered a huge buff base via his ‘TikTok’ videos. Manjul mainly shares comedy video clips and executes lip-syncs on ‘TikTok.’ 3.2.1=find on video?? For more new video checked our channel now. #Aboutmore Subscribe Us: bit.ly/2VPUPom You Can Our Other Playlist too. 1.Netflix Playlist: bit.ly/2Gj0kYu 2.Hollywood Movies Playlist: bit.ly/2MVkW9D 3.Animated Movies Playlist: bit.ly/2MXer69 4.Beautiful World Playlist: bit.ly/2DmtkKR 5.Bollywood Movies Playlist: bit.ly/2SKm8C9 6.Tv series Playlist: bit.ly/2E1YKrC 7.Horror Movies Playlist : bit.ly/2I4cTs4 8.Hollywood Celebrity Playlist: bit.ly/2UOmS6s 9.Bollywood Celebrity Playlist: bit.ly/2I5u2lg 10.Actor Best Movies Playlist: bit.ly/2DpnCba 11.Action Special Playlist : bit.ly/2GjdX9J 12.Cast (Then And Now): bit.ly/2Gvn3zI For More Regular updates stay-Tune with Us! And Feedback about this video. And Recommended Us What you want to see next time. Thanks, Everyone.

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Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Desfase temporal... cuando Manjula tenga esa edad, Bliss ya será tan alta como su madre

Iranian mathematician Maryam Mirzakhani wins the Fields Medal, considered the Nobel of math, and breaks into a male-dominated academic elite. All 52 previous winners of the award were men

  

A female mathematician has won the most prestigious prize in math for the first time, a hugely symbolic breakthrough for gender equality in one of the most male-dominated areas of academic research.

 

Maryam Mirzakhani, 37, will be awarded the Fields Medal — widely considered math’s Nobel Prize, since there is no Nobel for mathematics — at a ceremony in Seoul on Wednesday morning. Born and raised in Iran, she has been a professor at Stanford University since 2008.

 

All the previous 52 winners of the Fields have been men since its inception in 1936, one of the most visible indicators that at its highest level math remains a predominantly male preserve.

 

Ingrid Daubechies, president of the International Mathematical Union (IMU), said that Mirzakhani’s success was “hugely symbolic and I hope it will encourage more women to get into mathematics because we need more women. I am very happy that now we can put to rest that particular ‘it has never happened before.’”

 

The Fields Medal is awarded every four years at the IMU’s International Mathematical Congress to two to four mathematicians aged under 40. The medal honors “outstanding mathematical achievement for existing work and for the promise of future achievement,” which is why there is an age limit.

 

Besides Mirzakhani, the other recipients will be Manjul Bhargava, Princeton professor who was born in Canada but raised in the U.S.; Artur Ávila from Brazil; and Martin Hairer from Austria.

 

As well as honoring a woman for the first time, this year’s Fields also reflect the rise of the developing world in producing top mathematicians, even if they are working at universities in the West.

 

Ávila, who works in Paris, is the first winner from South America and Mirzakhani the first from the Middle East.

 

Yet it is the emergence of a female winner that is likely to cause the most discussion in math and science circles. Even though the percentage of math majors who are women is now approaching parity with men in the U.S., women make up less than 10% of full math professors at the top 100 universities in the U.S., according to Stephen Ceci and Wendy Williams, both Cornell University professors, in their book The Mathematics of Sex.

 

“In the U.S. about 30% of the graduate population at research departments are women,” said Daubechies. “But a higher percentage of women leave academia than men, so we have an even lower percentage of women postdocs and an even lower percentage of women in faculty. It is not just that the numbers are small, it is also that more leave percentagewise. I hope that will change.”

 

Daubechies, who is the first female president of the IMU, said that there have been excellent female mathematicians before but often they have not done their strongest work before age 40.

 

“I am of course chuffed that the first female Fields medalist has happened when I am president, but I think it is coincidence. I did not set it out as an agenda point. It would have been completely inappropriate to do that.”

 

Each Fields Medal comes with a citation, which can be hard to understand for those with no mathematical grounding — and even those with one, since the frontiers of math are such abstract places.

 

Ávila won “for his profound contributions to dynamical systems theory,” Bhargava won “for developing powerful new methods in the geometry of numbers,” Hairer won “for his outstanding contributions to the theory of stochastic partial differential equations,” and Mirzakhani won “for her outstanding contributions to the dynamics and geometry of Riemann surfaces and their moduli spaces.”

 

Daubechies added: “At the IMU we believe that mathematical talent is spread randomly and uniformly over the Earth — it is just opportunity that is not. We hope very much that by making more opportunities available — for women, or people from developing countries — we will see more of them at the very top, not just in the rank and file.”

  

source : Time

time.com/3105056/math-prize-woman/

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Photography: Lucia Sánchez

Model: Aëihl Naseine

Jewerly: Lorena Argüello Diseñadora Black Moon Shop (Accesorios Góticos)

Corset: PICANT-Tenda erótica

Makeup: Maria Manjula

The wife of Apu Nahasapeemapetilon and the mother of their eight children.

 

She claims that Fried Green Tomatoes is her favorite book, movie, and food.

 

She has excellent culinary skills, demonstrated by her ability to make a wide variety of dishes using only chickpeas, lentils, and rice. She is also one of Marge's best and only friends.

 

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

"थिएटर ऑफ रेलेवन्स नाट्यतत्व ...सौन्दर्यशास्त्र"

 

बाळ जन्माला येतं माणसाच्या जन्माची सुंदरता त्या निरागस स्वरूपात दिसते.. जगातले सर्वात सुंदर निर्मळ आणि मानवनिर्मित चैतन्य.. हेच चैतन्य सौंदर्य शोधण्याची , निर्मित करण्याची प्रवृत्ती , दृष्टी आपल्यात जन्मजात असते.. पण या सौंदर्यशास्त्राला विकसित नाही करत..अनहद नाद या नाटकाच्या निमित्ताने खरंतर हे निमित्तमात्र नाही तर अनेक निमित्तांचे निर्माण करणारे नाटक आहे .. या नाटकाच्या माध्यमातून सौंदर्यशास्त्र पाहण्याची दृष्टी मला या TOR च्या प्रक्रियेने जाणवून दिली... सौंदर्यशास्त्र हा शब्दही ऐकिवात नव्हता.. सौंदर्य म्हणजे सुंदरता दिसणे, भावणे... पण याच्याही पलीकडे असे सौंदर्य चे सुंदरतेच्या पलीकडे नेतं.. तुमच्या मनाला भिडतं , रोमारोमात फुलत जातं.. आणि तुमच्या मुखातून विलंब न होता शब्द स्फुटीत होतो वाह! सुंदर ! या नाटकाला सुरुवात केली त्यावेळी याची सुंदरता जाणवली नाही पण आज याचे एक एक formation पाहते आणि याची सुंदरता जाणवते...प्रत्येक formation मध्ये प्रत्येक माणसाला कलाकाराला उन्मुक्त होण्याची प्रक्रिया जाणवते... आजच्या युगात सौंदर्य वस्तूंमध्ये दर्शवले जाते.. वस्तूने बाह्य सौंदर्य सजवले जाते... पण अनहद नाद या नाटकाचे सौंदर्य मानवी प्रक्रिया आणि कलाकाराच्या उन्मुक्ततेचे सौन्दर्य आहे ... हे सौन्दर्य फक्त दिसत नाही तर मनाला भिडत जाते ..आणि प्रेक्षक या प्रक्रियेचा एक भाग बनत जातो ..

आज विकासाच्या अंदाधुंद काळात वस्तुकरणाच्या बाजारात प्रत्येकाला वस्तू बनवणारी कुरुपता फोफावत चालली आहे. जिथे पाहावे तिथे वस्तूंची देवाणघेवाण आणि बाजारीकरण आहे. यांत निसर्ग, बम्हांड, झाडे, पक्षी, पंचतत्वाने निर्मित झालेल्या निसर्गाची सर्वात सुंदर निर्मिती 'मनुष्य' हा देखील वस्तू बनत चालला आहे, पण 'अनहद नाद' या वस्तुकरणाला बाहेर टाकतो, विरोध करतो. निसर्गाच्या सौंदर्याला मानवी मूल्यांच्या आकारातून साकार करतो इथे मानवच निसर्ग बनतो आणि नाटकाला ही नैसर्गिक बनवतो... इथे मानवच विचार बनतो आणि विचारांचे सौंदर्य प्रत्येक संवादाला वैचारिक बनवते. माणसाचा माणूस असण्याचा, माणूस बनून राहण्याचा हा सुंदर प्रवास...कलेचा माणसाला सात्विक बनवण्याचा कलात्मक प्रवास ही याची विशेष सुंदरता आहे ...ही दृष्टी की माणसाला वस्तू नका समजू तो जीवित आहे ... खळाळता झरा आहे ... या नाटकाच्या फॉर्मेशन मध्ये निसर्ग जिवंत होतांना दिसतो.. शरीर गायब होतात.. आणि विचार स्पष्ट होतात... माणसाचे शब्द आणि माणसाचे कर्म एक होतांना दिसतात... कलाकाराची ताकद याही पलीकडे एका व्यक्तीची ताकद किती सुंदर असते हे जाणवते .. क्षणभरात नदीचा प्रवाह.. तर दुसऱ्या क्षणी बस , रेल्वे यांची गर्दी .. क्षणात उगवणारा सूर्य तर कधी ब्रम्हांडात फिरणारे ग्रह... हिमालयाचे गोठवणारे टोक तर कधी जळत्या चितेत जळणारी मी असे एकाहून एक सुंदर मानवी आकृत्या ,चित्र स्पष्ट करत जातात आणि या फ्रेम्स मागे असलेला वैचारिक प्रवाह, आत्मिक संवाद स्पष्ट होत जातात ...

 

#अश्विनी (#स्मायली)

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Ilustraçao by IZOLAG

    

ALBUM DESAGUOU , Andre Sampaio & Os AfroMandiga

 

soundcloud.com/andresampaiomandinga/2-bumaye-inc-ja-funmi...

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

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Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

Originaire d’Odienné dans le Nord-Ouest de la Côte d’Ivoire, Soumahoro Mamadou dit ‘’MALAYKY’’ est né un 12 Novembre à Lakota (Côte d’Ivoire). C’est dans cette localité de la région du sud-Bandama, à l’Ouest du Pays, qu’il grandit auprès de ses parents commerçants.

 

MALAYKY est un Artiste chanteur, auteur, compositeur évoluant dans le domaine de la musique reggae.

 

Dans le « Djiboua » (Lakota), il commence ses premiers pas dans la musique en participant à quelques concours scolaires.

 

Quelques années plus tard, Malayky abandonne les études et se retrouve à Abidjan. Confronté aux dures réalités de la vie, il se passionne pour le reggae, comme une soupape contre les contraintes de la vie, qu’il écoute tout en fredonnant quelques grands classiques pour amuser et égayer ses amis de la rue.

 

Cet épisode de sa vie à la rue, lui forgera un tempérament de battant. Il exercera ainsi plusieurs petits métiers, dont celui de bagagiste à la gare d’Adjamé pour assurer son quotidien.

 

Sa rencontre avec Feu Mamadou Doumbia, considéré comme son idole et un conseiller, va déterminer sa volonté de devenir un artiste chanteur.

 

Une anecdote liée à cet emploi : une fois, il fut conduit au commissariat du 3ème Arrondissement d’Adjamé, quand un passager perdit ses bagages. Pendant sa détention préventive, les policiers vont lui demander de chanter une chanson populaire de l’époque : « Chef, ce n’est pas moi. C’est mon bras droit Polo » d’Hamed Faras. Dans la douleur et les larmes, l’émotion qu’il dégagea, mit une ambiance folle dans le commissariat qui se prit d’admiration pour sa belle voix.

 

Après cette triste aventure, il décide d’être apprenti de mini car, communément appelé Gbaka, puis à force de persévérance, il intègre le Studio d’Enregistrement « NAVARO » de feu Mamadou Doumbia qui l’adopte et lui apprend les ficelles du métier de chanteur.

 

En 1993, lors d’un concert pendant la caravane de la paix à Danané, il croise Tiken Jah Fakoly (son grand frère d’Odienné) qui commençait aussi sa carrière musicale. De cette rencontre naitra une grande amitié qui le confortera dans sa décision de ne se consacrer qu’à la musique. Il restera ainsi au côté de Tiken Jah pour apprendre et pratiquer ce qu’il aime le plus au monde : chanter.

 

En 1999, il fait partie du staff de Tiken Jah pour l’enregistrement de l’album « Le Caméléon », dans lequel il toaste sur la chanson « Yen a marre ».

 

Sa rencontre avec l’ex Wailer « Tyrone Donwie » au Burkina, va contribuer à lui faire pousser des ailes.

 

Avec toutes ses expériences accumulées et surtout son atout premier qui est sa fabuleuse voix, Tiken Jah le fait entrer en studio pour l’enregistrement de son premier album en 2000. Mais, compte tenu des problèmes socio-politiques que connait la Côte d’Ivoire à cette époque, l’album n’ira pas à son terme.

 

Au lieu de le décourager, cette mésaventure le stimule et lui donne de travailler dans l’ombre avec acharnement, car son amour pour la musique, hérité de son père est bien plus fort que tout.

 

Malayky se frotte à d’autres musiciens, fréquente les espaces dédiés à la musique, toujours en quête d’expériences. Il participe ainsi à des sounds system et joue dans plusieurs « temples » du reggae, Jamaica City, Parker Place et le Centre Culturel Français.

 

Il participe même à plusieurs éditions du Marché des Arts et du Spectacle d’Abidjan, « MASA off », et de la Fête de la Musique.

 

Toujours en quête d’expériences, il part pour Bamako où il joue avec le groupe Septeto et le groupe Soul Train Band sous le label de Manjul pendant les sounds system de ‘’Radio Libre’’. Tous les mélomanes ont été épatés par son talent au stade Modibo Keïta de Bamako lorsqu’il a assuré la première partie de Tiken Jah Fakoly.

 

Par ailleurs, le public a pu apprécier sa présence scénique pendant la tournée du RASALAO avec Tiken Jah Fakoly à Man, à Odienné (Gbéléban) et à Abidjan au Palais de la culture de Treichville et de même qu’à la sixième édition du Femua.

 

A l’image des stars mondiales du reggae, telles que Bob Marley, Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, il accorde une place prépondérante au message d’engagement qu’il véhicule à travers sa musique. Ses chansons illustrant des scènes de la vie quotidienne et sa sensibilité face aux problèmes des jeunes du Ghetto fait de lui la voix des sans voix. Malayky aussi chante la cause des africains, ses détresses, ses interrogations, ses espoirs et ses révoltes.

 

A force de travail, de persévérance, de courage, Malayky met enfin sur le marché, un album de douze (12) titres « Radykal Roots’’. Cet album est le fruit de plus de 20 ans d’expérience. L’album révèle ses énormes qualités vocales avec les arrangements exécutés de mains de maitre par Manjul au studio Humble Ark Records à Bamako (Mali) et la participation de Moses Doumbia à Abidjan puis de Georges Kouakou côte arrangement au Studio Lion and Fox qui relève le niveau de cet album.

 

C’est dans ce studio de renom international Lion and Fox basé à Washington DC que le mix et le mastering seront assurés. Cet album est un véritable Opus qui va certainement se hisser parmi les grandes œuvres du reggae mondial.

 

L’aventure qui a commencé il y a 20 ans, s’annonce glorieuse pour le bonheur des mélomanes ivoiriens, africains et du monde.

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