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Cet ancien hôtel particulier du chef de la police Nikolai Chicherin est situé au 15 perspective Nevski (Nevsky Prospekt), côté sud, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Cet édifice rose et blanc se situe en face du Kotomin. On remarque ses deux rangées de colonnes enroulées autour du coin de la rue. Longeant Bolshaya Morskaya Street et la Moïka Embankment, cette maison palatiale abrita une variété de grands clubs de divertissement et des institutions artistiques avant et après la révolution. Sa conversion en Taleon Imperial Hotel, un hôtel de luxe, date de 2008. Dans le même édifice, face au canal se trouve la fameuse boulangerie Wolkonsky.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

L'escalier des Ambassadeurs (ou du Jourdain) du palais d’Hiver situé au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Cet escalier en marbre de carrare relie le rez-de-chaussée au 1er étage du palais d’Hiver qui fait partie aujourd’hui du vaste complexe du Musée Ermitage.

 

Le palais d'Hiver (qui fait aujourd'hui partie du vaste complexe du Musée Ermitage) est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage. C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Cet édifice se dresse au 29-31 perspective Nevsky (Nevsky Prospekt) à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Le bâtiment historique s'élève sur le côté sud de la principale artère de la ville, la perspective Nevski, à l'angle de la rue Doumskaïa (« de la Douma »), à côté du Gostiny Dvor et en face du Grand Hôtel Europe. Le bâtiment de style néoclassique présente une longue façade qui s'élève le long de la rue Doumskaïa. Inauguré en 1787, le bâtiment avait été construit pour abriter la nouvelle institution de la Douma de Saint-Pétersbourg créée en 1785 dans le cadre de la réforme municipale de la Grande Catherine.

 

La célèbre tour à l'italienne, autrefois utilisée pour l'observation des feux, fut édifiée de 1799 à 1804. L'édifice est reconstruit entre 1847 et 1852 dans le Style néo-Renaissance, favorisé par Nicolas Ier. Enfin, en 1913-1914, deux étages sont ajoutés à l'édifice. Ayant subi au fil du temps bien des évolutions, la Douma est dissoute en septembre 1918 et ses fonctions dévolues au Soviet de Petrograd. Après 1918, le bâtiment de la Douma n'a donc plus de rôle officiel. Par contre, le spacieux hall central fut par la suite souvent le lieu d'événements de la haute société.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Une vue vers le sud-ouest à partir de la rue Mytninskaya Naberezhnaya, sur la rive sud du quartier Petrogradskaïa qui se trouve sur la rive nord de la Neva.

 

Cette pointe de l'île se trouve où le fleuve Neva se sépare en deux bras. Elle offre une belle vue panoramique sur le palais d'hiver (Musée Ermitage), qu’on aperçoit à gauche de la photo, et la forteresse Pierre-et-Paul. La place est décorée de 2 colonnes rostrales (i.e. commémorant une victoire navale ou des campagnes maritimes victorieuses) faites de granit rouge aux piédestaux décorés des allégories des 4 grands fleuves de Russie, soit la Neva, la Volga, la Dniepr et le Volkhov.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Ce théâtre Alexandrinski ou théâtre Alexandra se dresse au 6 place Ostrovoski (Ostrovskogo Square), à Saint-Pétersbourg, en Russie.

 

Une vue à partir du petit parc Yekaterininskiy Sad (signifiant Le Jardin de Catherine), situé du côté sud de la perspective Nevski. On peut y voir une statue monumentale (1783) de la tsarine Catherine II la Grande entourée, entre autres, de son ami Potemkine.

 

Le théâtre a été construit pour la Troupe impériale de Saint-Pétersbourg (troupe fondée en 1756). Il ouvre ses portes en 1832, ce qui en fait le plus ancien théâtre dramatique de Russie. Il accueille aussi aujourd’hui des spectacles de ballets. Renommé en 1920 le théâtre dramatique académique national de Russie du nom de Pouchkine, il reprend son ancien nom en 1991 et redevient le théâtre Alexandra, d'après le nom de l'impératrice Alexandra Feodorovna de Russie, l'épouse de l'empereur Nicolas Ier. Depuis 1990. Il fait partie avec tous les monuments du Centre historique de Saint-Pétersbourg, du patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, la cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

La Knights' Room correspond à la salle 243 au premier étage du bâtiment Nouvel Ermitage faisant partie du Musée Ermitage, qui occupe une partie du palais d’Hiver au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Le palais d’Hiver est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage.

 

C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Ce hall d'escalier (salle 242) se trouve entre les deux cours intérieures du bâtiment Nouvel Ermitage qui fait partie du Musée Ermitage occupant une partie du palais d’Hiver au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Le palais d’Hiver est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage.

 

C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

L'épicerie Elisseïev est située au Nevsky Prospekt 56 (côté nord), à l’angle de la rue Malaya Sadovaya, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Une vue à partir de la Perspective Nevsky.

 

Cette galerie marchande date de 1848. Installée dans un immeuble Art nouveau datant de 1903 et fraîchement restauré, cette épicerie de luxe célèbre offre des vitrines opulentes aux multiples produits ainsi que des macarons dans sa rotonde.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Cette cathédrale est située au Saint Isaac's Square 4, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Une vue vers le nord à partir de la rue Saint Isaac's Square ou place Saint-Isaac. À droite, on aperçoit l'hôtel Astoria au Bol'shaya Morskaya Ulitsa, 39.

 

La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses.

 

La cathédrale a été fermée sur ordre des autorités communistes en juin 1928 et transformée en 1931 en musée de l'athéisme puis en 1937, en musée d'histoire et de l'art. Toutefois, le 10 janvier 2017, le gouverneur de Saint-Pétersbourg Gueorgui Poltavtchenko a annoncé le transfert de l'usage de la cathédrale à l'Église orthodoxe russe. Le bâtiment reste propriété de l'État russe, son entretien demeure à la charge de la ville de Saint-Pétersbourg mais l'Église orthodoxe russe recouvre l'entière jouissance de l'occupation du lieu, tout en conservant sa fonction de musée; cette décision s'est accompagnée d'une grande controverse parmi la population.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, la cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Cette librairie est située au Nevsky Prospekt 28 (côté nord), à Saint-Pétersbourg en Russie. Une vue vers le nord à partir de la Perspective Nevsky.

 

Cet immeuble Singer (ancien siège social de cette compagnie en Russie) est un magnifique bâtiment emblématique du style Art nouveau datant de 1904. Il est aujourd'hui occupé par la célèbre Maison du livre, première librairie créée durant l'ère soviétique, en 1919. C'est un des premiers exemples de structure métallique permettant de grandes fenêtres. L'immeuble a fermé entre 2004 et 2006 pour restauration. La librairie est désormais installée dans une partie du rez-de-chaussée et du 1er étage qui comprend également un restaurant-salon de thé. Le reste de l'immeuble est loué à diverses sociétés.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

La Malachite Room correspond à salle 189 du palais d’Hiver au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Conçue par Alexander Briullov en 1839, cette salle, un chef-d'œuvre en soi, a servi de salon état de l'impératrice Alexandra Fiodorovna, l'épouse de Nicolas Ier. La décoration de malachite unique de la salle et beaucoup de ses meubles ont été faits dans la technique "mosaïque russe". Le grand vase de malachite et les meubles conçus et fabriqués par Auguste Montferrand étaient parmi les meubles de la salle de réception Jasper qui a été détruite lors du feu de 1837. Un mur de la salle est agrémenté d'une représentation allégorique de la nuit, le jour et de la poésie d'Antonio Vighi. De Juin à Octobre 1917, le gouvernement provisoire s'est réuni dans cette salle.

 

Le palais d'Hiver (qui fait aujourd'hui partie du vaste complexe du Musée Ermitage) est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage. C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Cette cathédrale orthodoxe russe, située sur l’île de la forteresse du même nom, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg.

 

Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale. Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville. L'église est entourée, au dehors, d'un vaste jardin où sont enterrés tous les commandants de la forteresse.

 

L'intérieur de l'église est orné de nombreux trophées militaires. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Kronstadt is a fortified town on an island in front of St. Petersburg. It is the traditional base of the russian fleet in the Baltic sea.

Ce hall d’escalier se trouve entre les salles 254 et 207 au premier étage du Vieil ou Grand Ermitage faisant partie du Musée Ermitage, qui occupe une partie du palais d’Hiver au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Le palais d’Hiver est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage. C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Cette cathédrale orthodoxe russe, située sur l’île de la forteresse du même nom, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg.

 

Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale. Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville. L'église est entourée, au dehors, d'un vaste jardin où sont enterrés tous les commandants de la forteresse.

 

La cathédrale Pierre-et-Paul diffère des traditionnelles églises orthodoxes. Une fois à l'intérieur, on perçoit immédiatement l'influence des architectures italienne et nord-européenne. L'intérieur de l'église est orné de nombreux trophées militaires. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

La chapelle spéciale de la famille de Nicolas II a été installée dans la cathédrale Pierre-et-Paul de la forteresse du même nom, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Le destin des membres de la famille de Nicolas II Romanov, tués par les bolchéviks, demeura pendant longtemps l’une des énigmes de l’histoire. En 1979, grâce à la découverte d’un rapport caché du Soviet de Moscou, les corps furent découverts et soumis à des analyses ADN. Ce n’est qu’en 1998 que cette découverte fut révélée au grand public et qu’une cérémonie permit aux 9 corps de venir rejoindre les autres membres des Romanov dans une chapelle dédiée de la cathédrale Pierre-et-Paul.

 

Cette cathédrale orthodoxe russe, située sur l’île de la forteresse Pierre-et-Paul, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg. Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.

 

Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville. L'église est entourée, au dehors, d'un vaste jardin où sont enterrés tous les commandants de la forteresse.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

La cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé située au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Une iconostase (signifiant « image dressée ») est une cloison, de bois ou de pierre, qui, dans les églises de rite byzantin, particulièrement orthodoxes, sépare les lieux où se tient le clergé célébrant (sanctuaire, prothèse et diaconicon) du reste de l'église où se tiennent le chœur, le clergé non célébrant et les fidèles.

 

Devant l'iconostase, on remarque des images religieuses dont, à droite, une icône orthodoxe représentant la famille martyre du tsar Nicolas II.

 

Construite entre 1883-1907 dans le style néo-russe, l'édifice s’inspire de l'architecture russe du 16e et 17e siècle et en particulier de la fameuse cathédrale Basile-le-Bienheureux sur la Place Rouge de Moscou. Érigée par Alexandre III sur la rive est du canal Griboyedov, à l'endroit de l'assassinat de son père Alexandre II en 1881, l'extérieur et l’intérieur est une débauche de couleurs et de matériaux formant 7000 m2 de mosaïques et des sols de marbre polychrome.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Буксир «Калан-1» типа «Костромич» проекта 1606 (бортовой номер 49-4663) на рейде Кронштадта.

Les deux sphinx, âgés d'environ trois mille ans et demi, sont installés sur l’University Embankment ou Quai de l'Université, face à l'Académie des Beaux-Arts, sur la rive sud de l'île Vassilievsky à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Enlevés de l'entrée du temple d'Amenhotep III près de Thèbes en 1832, ils ont voyagé pendant un an pour atterrir sur les bords de la Neva. Depuis, ces sculptures s'inscrivent harmonieusement dans l'ensemble sobre des quais de granit. Les marches du quai sont garnies de griffons (lions ailés) de bronze. Comme c'est fréquent avec les sculptures de bronze, une croyance superstitieuse accorde aux griffons la capacité de réaliser un vœu à condition que l'on respecte une procédure très précise (doigt dans la gueule et chuchotement dans l'oreille).

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction d'une nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

  

L'Horloge de Paon se trouve dans le Pavilion Hall du Petit Ermitage qui fait partie du palais d’Hiver au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Cette horloge automate est une vedette du musée de l'Ermitage. Son histoire a commencé en 1777 lorsque la duchesse de Kingston est venue à Saint-Pétersbourg. Potemkin a appris de la duchesse l'existence de mécanismes de luxe faits par un célèbre maître anglais James Cox. Connaissant la passion de Catherine II pour la collection d'œuvres d'art, le prince a commandé un automate monumental pour l'Impératrice. Cox a invité Friedrich Urey - maître allemand vivant à Londres à travailler avec lui sur cette commande. La Peacock Clock, faite de bronze, d'argent, des cristaux et de dorure, est arrivée à Saint-Pétersbourg en 1781. Le caractère unique de cette horloge est qu'elle est la seule grande machine du 18e siècle à nous être parvenue intact et fonctionnant toujours.

 

Le palais d'Hiver (qui fait aujourd'hui partie du vaste complexe du Musée Ermitage) est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage. C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Kronstadt also spelled Kronshtadt, Cronstadt or Kronštádt (from German: Krone for "crown" and Stadt for "city"; Estonian: Kroonlinn) is an early 18th-century foundation which became an important international centre of commerce whose trade role was eclipsed by the growth of its strategic significance in the ensuing centuries as the primary maritime defence outpost of the former Russian capital. It is now the port city in Kronshtadtsky District of the federal city of Saint Petersburg, Russia, located on Kotlin Island, 30 kilometers (19 mi) west of Saint Petersburg, near the head of the Gulf of Finland. It is linked to the former Russian capital by a combination levee-causeway-seagate, the St Petersburg Dam, part of the city's flood defences, which also acts as road access to Kotlin island from the mainland. In March 1921, the island city was the site of the Kronstadt rebellion.

I lifted tripod for shooting. Kotlin island.

El palacio de Peterhof es un conjunto del palacio y del parque que se encuentra en la orilla meridional del Golfo de Finlandia, a unos 29 km de San Petersburgo. Está situado en el territorio de la ciudad de Peterhof (llamada antiguamente Petrodvoréts). El conjunto de palacio y parque de la ciudad de Petrodvoréts y su centro histórico forma parte, con el código 540-017, del lugar Patrimonio de la Humanidad llamado «Centro histórico de San Petersburgo y conjuntos monumentales anexos». El centro del conjunto lo constituye el Palacio Grande, que está construido en la terraza marítima y es de estilo barroco. Destacan sus parques y fuentes.

 

Hasta la Revolución de Octubre de 1917, Peterhof fue residencia de los zares. En el año 1918 se transformó en museo. Durante de Segunda Guerra Mundial estuvo ocupado por las tropas alemanas. Antes de su llegada se pudieron evacuar más de 8.000 objetos de decoración de los palacios y cerca de 50 estatuas. Las tropas alemanas destruyeron casi todo. Después de la Segunda Guerra Mundial se empezó a restaurar el Palacio de Peterhof, y aún hoy continúan las obras (2007). Desde 1945 está abierto el Parque Inferior. Desde 1946 las fuentes se están reconstruyendo de memoria, como la fuente «Sansón», que fue robada por las tropas alemanas. En el año 1952 se empezó a reconstruir el Palacio Grande. En 1964 quedaron abiertas al público las salas del museo.

 

es.wikipedia.org/wiki/Palacio_Peterhof

  

The Peterhof Palace (Russian: Петерго́ф) is a series of palaces and gardens located in Petergof, Saint Petersburg, Russia, commissioned by Peter the Great as a direct response to the Palace of Versailles by Louis XIV of France. Originally intended in 1709 for country habitation, Peter the Great sought to expand the property as a result of his visit to the French royal court in 1717, inspiring the nickname used by tourists "The Russian Versailles". In the period between 1714 and 1728, the architecture was designed by Domenico Trezzini, and the style he employed became the foundation for the Petrine Baroque style favored throughout Saint Petersburg. Also in 1714, Jean-Baptiste Alexandre Le Blond designed the gardens, likely chosen due to his previous collaborations with Versailles landscaper André Le Nôtre. Francesco Bartolomeo Rastrelli completed an expansion from 1747 to 1756 for Elizabeth of Russia. The palace-ensemble along with the city center is recognized as a UNESCO World Heritage Site.

The end of the Great Northern War resulted in the Treaty of Nystad in 1721, ceding much of the Swedish Empire's claim to the Baltic Sea to the rising Tsardom of Russia. Peter the Great already began construction of his new capital St Petersburg in 1703 after successfully capturing Swedish provinces on the eastern coast. This strategic location allowed Russian access to the Baltic Sea through the Neva River that flowed to the Gulf of Finland. The island of Kotlin and its fortress Kronstadt northeast of St Petersburg provided a gateway and commercial harbor access owing to the shallowness of water closer to the city.

Throughout the early 18th century, Peter the Great built and expanded the Peterhof Palace complex as a part of his goal to modernize and westernize Russia.

In 1714, Peter began construction of the Monplaisir Palace (French: "my delight") based on his own sketches. He "сhalked out not only the site but also the inside layout, some elements of the decorative finish, etc". Based in a Dutch style, this was Peter's summer retreat (not to be confused with his Summer Palace) that he would use on his way coming and going from Europe through the harbour at Kronstadt. On the walls of this seacoast palace hung hundreds of paintings that Peter brought from Europe and allowed to weather Russian winters and the dampness of the sea without heat. In the seaward corner of his Monplaisir Palace, Peter made his Maritime Study, from which he could see Kronstadt Island to the left and St. Petersburg to the right. Later, he expanded his plans to include a vaster royal château of palaces and gardens further inland, on the model of Versailles which would become Peterhof Palace. The initial design of the palace and its garden was done by the French architect Jean-Baptiste Le Blond.

The dominant natural feature of Peterhof is a 16-m-high bluff lying less than 100 m from the shore. The so-called Lower Gardens (Nizhny Sad), at 1.02 km² comprising the better part of Peterhof's land area, are confined between this bluff and the shore, stretching east and west for roughly 200 m. The majority of Peterhof's fountains are contained here, as are several small palaces and outbuildings. East of the Lower Gardens lies the Alexandria Park with 19th-century Gothic Revival structures such as the Kapella.

Atop the bluff, near the middle of the Lower Gardens, stands the Grand Palace (Bolshoi Dvorets). Behind (south) of it are the comparatively small Upper Gardens (Verhnyy Sad). Upon the bluff's face below the palace is the Grand Cascade (Bolshoi Kaskad). This and the Grand Palace are the centrepiece of the entire complex. At its foot begins the Sea Channel (Morskoi Kanal), one of the most extensive waterworks of the Baroque period, which bisects the Lower Gardens.

The Grand Cascade is modelled on one constructed for Louis XIV at his Château de Marly,[15] which is likewise memorialised in one of the park's outbuildings.

At the centre of the cascade is an artificial grotto with two stories, faced inside and out with hewn brown stone. It currently contains a modest museum of the fountains' history. One of the exhibits is a table carrying a bowl of (artificial) fruit, a replica of a similar table built under Peter's direction. The table is rigged with jets of water that soak visitors when they reach for the fruit, a feature from Mannerist gardens that remained popular in Germany. The grotto is connected to the palace above and behind by a hidden corridor.

The fountains of the Grand Cascade are located below the grotto and on either side of it. There are 64 fountains.[16] Their waters flow into a semicircular pool, the terminus of the fountain-lined Sea Channel. In the 1730s, the large Samson Fountain was placed in this pool. It depicts the moment when Samson tears open the jaws of a lion, representing Russia's victory over Sweden in the Great Northern War, and is doubly symbolic.[17] The lion is an element of the Swedish coat of arms, and one of the great victories of the war was won on St Sampson's Day. From the lion's mouth shoots a 20-metre-high vertical jet of water, the highest in all of Peterhof. This masterpiece by Mikhail Kozlovsky was looted by the invading Germans during the Second World War; see History below. A replica of the statue was installed in 1947.

Perhaps the greatest technological achievement of Peterhof is that all of the fountains operate without the use of pumps. Water is supplied from natural springs and collects in reservoirs in the Upper Gardens. The elevation difference creates the pressure that drives most of the fountains of the Lower Gardens, including the Grand Cascade. The Samson Fountain is supplied by a special aqueduct, over 4 km in length, drawing water and pressure from a high-elevation source.

The expanse of the Lower Gardens is designed in the formal style of French formal gardens of the 17th century. Although many trees are overgrown, in the recent years the formal clipping along the many allees has resumed in order to restore the original appearance of the garden. The many fountains located here exhibit an unusual degree of creativity. One of the most notable designs is entitled 'The Sun'. A disk radiating water jets from its edge creates an image of the sun's rays, and the whole structure rotates about a vertical axis so that the direction in which the "sun" faces is constantly changing.

The same bluff that provides a setting for the Grand Cascade houses two other, very different cascades. West of the Grand Palace is the Golden Mountain (Золотая Гора), decorated with marble statuary that contrasts with the riotous gilded figures of the Grand Cascade. To the east is the Chess Mountain (Шахматная Гора), a broad chute whose surface is tiled black and white like a chessboard. The most prominently positioned fountains of Peterhof are 'Adam' and 'Eve'. They occupy symmetric positions on either side of the Sea Channel, each at the conjunction of eight paths.

 

en.wikipedia.org/wiki/Peterhof_Palace

 

Kotlin Island, Saint-Petersburg, Russia

La Leonardo da Vinci Room correspond à salle 214 au premier étage du Vieil ou Grand Ermitage faisant partie du Musée Ermitage, qui occupe une partie du palais d’Hiver au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Cette salle doit son nom au fait qu’elle présente deux tableaux de Léonard de Vinci, soit la Madone Benois et la Madone Litta, deux tableaux vedettes du musée.

 

Le palais d’Hiver est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage. C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

A small lighthouse on an outcrop of rock, that marks part of the channel that passes by the Kronstadt military seaport on Kotlin Island, off Saint Petersburg, in the Gulf of Finland.

Kronstadt also spelled Kronshtadt, Cronstadt or Kronštádt (from German: Krone for "crown" and Stadt for "city"; Estonian: Kroonlinn) is an early 18th-century foundation which became an important international centre of commerce whose trade role was eclipsed by the growth of its strategic significance in the ensuing centuries as the primary maritime defence outpost of the former Russian capital. It is now the port city in Kronshtadtsky District of the federal city of Saint Petersburg, Russia, located on Kotlin Island, 30 kilometers (19 mi) west of Saint Petersburg, near the head of the Gulf of Finland. It is linked to the former Russian capital by a combination levee-causeway-seagate, the St Petersburg Dam, part of the city's flood defences, which also acts as road access to Kotlin island from the mainland. In March 1921, the island city was the site of the Kronstadt rebellion.

The Naval cathedral of Saint Nicholas in Kronstadt (Russian: Морской Никольский собор, Morskoj Nikol'skij sobor) is a Russian Orthodox cathedral built in 1903–1913 as the main church of the Russian Navy and dedicated to all fallen seamen. The cathedral was closed in 1929, was converted to a cinema, a House of Officers (1939) and a museum of the Navy (1980).

El palacio de Peterhof es un conjunto del palacio y del parque que se encuentra en la orilla meridional del Golfo de Finlandia, a unos 29 km de San Petersburgo. Está situado en el territorio de la ciudad de Peterhof (llamada antiguamente Petrodvoréts). El conjunto de palacio y parque de la ciudad de Petrodvoréts y su centro histórico forma parte, con el código 540-017, del lugar Patrimonio de la Humanidad llamado «Centro histórico de San Petersburgo y conjuntos monumentales anexos». El centro del conjunto lo constituye el Palacio Grande, que está construido en la terraza marítima y es de estilo barroco. Destacan sus parques y fuentes.

 

Hasta la Revolución de Octubre de 1917, Peterhof fue residencia de los zares. En el año 1918 se transformó en museo. Durante de Segunda Guerra Mundial estuvo ocupado por las tropas alemanas. Antes de su llegada se pudieron evacuar más de 8.000 objetos de decoración de los palacios y cerca de 50 estatuas. Las tropas alemanas destruyeron casi todo. Después de la Segunda Guerra Mundial se empezó a restaurar el Palacio de Peterhof, y aún hoy continúan las obras (2007). Desde 1945 está abierto el Parque Inferior. Desde 1946 las fuentes se están reconstruyendo de memoria, como la fuente «Sansón», que fue robada por las tropas alemanas. En el año 1952 se empezó a reconstruir el Palacio Grande. En 1964 quedaron abiertas al público las salas del museo.

 

es.wikipedia.org/wiki/Palacio_Peterhof

  

The Peterhof Palace (Russian: Петерго́ф) is a series of palaces and gardens located in Petergof, Saint Petersburg, Russia, commissioned by Peter the Great as a direct response to the Palace of Versailles by Louis XIV of France. Originally intended in 1709 for country habitation, Peter the Great sought to expand the property as a result of his visit to the French royal court in 1717, inspiring the nickname used by tourists "The Russian Versailles". In the period between 1714 and 1728, the architecture was designed by Domenico Trezzini, and the style he employed became the foundation for the Petrine Baroque style favored throughout Saint Petersburg. Also in 1714, Jean-Baptiste Alexandre Le Blond designed the gardens, likely chosen due to his previous collaborations with Versailles landscaper André Le Nôtre. Francesco Bartolomeo Rastrelli completed an expansion from 1747 to 1756 for Elizabeth of Russia. The palace-ensemble along with the city center is recognized as a UNESCO World Heritage Site.

The end of the Great Northern War resulted in the Treaty of Nystad in 1721, ceding much of the Swedish Empire's claim to the Baltic Sea to the rising Tsardom of Russia. Peter the Great already began construction of his new capital St Petersburg in 1703 after successfully capturing Swedish provinces on the eastern coast. This strategic location allowed Russian access to the Baltic Sea through the Neva River that flowed to the Gulf of Finland. The island of Kotlin and its fortress Kronstadt northeast of St Petersburg provided a gateway and commercial harbor access owing to the shallowness of water closer to the city.

Throughout the early 18th century, Peter the Great built and expanded the Peterhof Palace complex as a part of his goal to modernize and westernize Russia.

In 1714, Peter began construction of the Monplaisir Palace (French: "my delight") based on his own sketches. He "сhalked out not only the site but also the inside layout, some elements of the decorative finish, etc". Based in a Dutch style, this was Peter's summer retreat (not to be confused with his Summer Palace) that he would use on his way coming and going from Europe through the harbour at Kronstadt. On the walls of this seacoast palace hung hundreds of paintings that Peter brought from Europe and allowed to weather Russian winters and the dampness of the sea without heat. In the seaward corner of his Monplaisir Palace, Peter made his Maritime Study, from which he could see Kronstadt Island to the left and St. Petersburg to the right. Later, he expanded his plans to include a vaster royal château of palaces and gardens further inland, on the model of Versailles which would become Peterhof Palace. The initial design of the palace and its garden was done by the French architect Jean-Baptiste Le Blond.

The dominant natural feature of Peterhof is a 16-m-high bluff lying less than 100 m from the shore. The so-called Lower Gardens (Nizhny Sad), at 1.02 km² comprising the better part of Peterhof's land area, are confined between this bluff and the shore, stretching east and west for roughly 200 m. The majority of Peterhof's fountains are contained here, as are several small palaces and outbuildings. East of the Lower Gardens lies the Alexandria Park with 19th-century Gothic Revival structures such as the Kapella.

Atop the bluff, near the middle of the Lower Gardens, stands the Grand Palace (Bolshoi Dvorets). Behind (south) of it are the comparatively small Upper Gardens (Verhnyy Sad). Upon the bluff's face below the palace is the Grand Cascade (Bolshoi Kaskad). This and the Grand Palace are the centrepiece of the entire complex. At its foot begins the Sea Channel (Morskoi Kanal), one of the most extensive waterworks of the Baroque period, which bisects the Lower Gardens.

The Grand Cascade is modelled on one constructed for Louis XIV at his Château de Marly,[15] which is likewise memorialised in one of the park's outbuildings.

At the centre of the cascade is an artificial grotto with two stories, faced inside and out with hewn brown stone. It currently contains a modest museum of the fountains' history. One of the exhibits is a table carrying a bowl of (artificial) fruit, a replica of a similar table built under Peter's direction. The table is rigged with jets of water that soak visitors when they reach for the fruit, a feature from Mannerist gardens that remained popular in Germany. The grotto is connected to the palace above and behind by a hidden corridor.

The fountains of the Grand Cascade are located below the grotto and on either side of it. There are 64 fountains.[16] Their waters flow into a semicircular pool, the terminus of the fountain-lined Sea Channel. In the 1730s, the large Samson Fountain was placed in this pool. It depicts the moment when Samson tears open the jaws of a lion, representing Russia's victory over Sweden in the Great Northern War, and is doubly symbolic.[17] The lion is an element of the Swedish coat of arms, and one of the great victories of the war was won on St Sampson's Day. From the lion's mouth shoots a 20-metre-high vertical jet of water, the highest in all of Peterhof. This masterpiece by Mikhail Kozlovsky was looted by the invading Germans during the Second World War; see History below. A replica of the statue was installed in 1947.

Perhaps the greatest technological achievement of Peterhof is that all of the fountains operate without the use of pumps. Water is supplied from natural springs and collects in reservoirs in the Upper Gardens. The elevation difference creates the pressure that drives most of the fountains of the Lower Gardens, including the Grand Cascade. The Samson Fountain is supplied by a special aqueduct, over 4 km in length, drawing water and pressure from a high-elevation source.

The expanse of the Lower Gardens is designed in the formal style of French formal gardens of the 17th century. Although many trees are overgrown, in the recent years the formal clipping along the many allees has resumed in order to restore the original appearance of the garden. The many fountains located here exhibit an unusual degree of creativity. One of the most notable designs is entitled 'The Sun'. A disk radiating water jets from its edge creates an image of the sun's rays, and the whole structure rotates about a vertical axis so that the direction in which the "sun" faces is constantly changing.

The same bluff that provides a setting for the Grand Cascade houses two other, very different cascades. West of the Grand Palace is the Golden Mountain (Золотая Гора), decorated with marble statuary that contrasts with the riotous gilded figures of the Grand Cascade. To the east is the Chess Mountain (Шахматная Гора), a broad chute whose surface is tiled black and white like a chessboard. The most prominently positioned fountains of Peterhof are 'Adam' and 'Eve'. They occupy symmetric positions on either side of the Sea Channel, each at the conjunction of eight paths.

 

en.wikipedia.org/wiki/Peterhof_Palace

 

Coast of the Kotlin island

Kronstadt also spelled Kronshtadt, Cronstadt or Kronstadt (from German: Krone for "crown" and Stadt for "city"; Estonian: Kroonlinn) is a Russian port city in Kronshtadtsky District of the federal city of Saint Petersburg, located on Kotlin Island, 30 kilometers (19 mi) west of Saint Petersburg, near the head of the Gulf of Finland. It is linked to the former Russian capital by a combination levee-causeway-seagate, the St Petersburg Dam, part of the city's flood defences, which also acts as road access to Kotlin island from the mainland.

Founded in the early 18th century by Peter the Great, it became an important international centre of commerce whose trade role was later eclipsed by its strategic significance as the primary maritime defence outpost of the former Russian capital. The main base of the Russian Baltic Fleet was located in Kronstadt, guarding the approaches to Saint Petersburg. In March 1921, the island city was the site of the Kronstadt rebellion.

The historic centre of the city and its fortifications are part of the World Heritage Site that is Saint Petersburg and Related Groups of Monuments.

Kronstadt has been a place of pilgrimage for Orthodox Christians for many years due to the memory of Saint John of Kronstadt.

Kronstadt also spelled Kronshtadt, Cronstadt or Kronstadt (from German: Krone for "crown" and Stadt for "city"; Estonian: Kroonlinn) is a Russian port city in Kronshtadtsky District of the federal city of Saint Petersburg, located on Kotlin Island, 30 kilometers (19 mi) west of Saint Petersburg, near the head of the Gulf of Finland. It is linked to the former Russian capital by a combination levee-causeway-seagate, the St Petersburg Dam, part of the city's flood defences, which also acts as road access to Kotlin island from the mainland.

Founded in the early 18th century by Peter the Great, it became an important international centre of commerce whose trade role was later eclipsed by its strategic significance as the primary maritime defence outpost of the former Russian capital. The main base of the Russian Baltic Fleet was located in Kronstadt, guarding the approaches to Saint Petersburg. In March 1921, the island city was the site of the Kronstadt rebellion.

The historic centre of the city and its fortifications are part of the World Heritage Site that is Saint Petersburg and Related Groups of Monuments.

Kronstadt has been a place of pilgrimage for Orthodox Christians for many years due to the memory of Saint John of Kronstadt.

Palacio de Peterhof - Peterhof Palace - Петерго́ф

 

El palacio de Peterhof es un conjunto del palacio y del parque que se encuentra en la orilla meridional del Golfo de Finlandia, a unos 29 km de San Petersburgo. Está situado en el territorio de la ciudad de Peterhof (llamada antiguamente Petrodvoréts). El conjunto de palacio y parque de la ciudad de Petrodvoréts y su centro histórico forma parte, con el código 540-017, del lugar Patrimonio de la Humanidad llamado «Centro histórico de San Petersburgo y conjuntos monumentales anexos». El centro del conjunto lo constituye el Palacio Grande, que está construido en la terraza marítima y es de estilo barroco. Destacan sus parques y fuentes.

 

Hasta la Revolución de Octubre de 1917, Peterhof fue residencia de los zares. En el año 1918 se transformó en museo. Durante de Segunda Guerra Mundial estuvo ocupado por las tropas alemanas. Antes de su llegada se pudieron evacuar más de 8.000 objetos de decoración de los palacios y cerca de 50 estatuas. Las tropas alemanas destruyeron casi todo. Después de la Segunda Guerra Mundial se empezó a restaurar el Palacio de Peterhof, y aún hoy continúan las obras (2007). Desde 1945 está abierto el Parque Inferior. Desde 1946 las fuentes se están reconstruyendo de memoria, como la fuente «Sansón», que fue robada por las tropas alemanas. En el año 1952 se empezó a reconstruir el Palacio Grande. En 1964 quedaron abiertas al público las salas del museo.

 

es.wikipedia.org/wiki/Palacio_Peterhof

  

The Peterhof Palace (Russian: Петерго́ф) is a series of palaces and gardens located in Petergof, Saint Petersburg, Russia, commissioned by Peter the Great as a direct response to the Palace of Versailles by Louis XIV of France. Originally intended in 1709 for country habitation, Peter the Great sought to expand the property as a result of his visit to the French royal court in 1717, inspiring the nickname used by tourists "The Russian Versailles". In the period between 1714 and 1728, the architecture was designed by Domenico Trezzini, and the style he employed became the foundation for the Petrine Baroque style favored throughout Saint Petersburg. Also in 1714, Jean-Baptiste Alexandre Le Blond designed the gardens, likely chosen due to his previous collaborations with Versailles landscaper André Le Nôtre. Francesco Bartolomeo Rastrelli completed an expansion from 1747 to 1756 for Elizabeth of Russia. The palace-ensemble along with the city center is recognized as a UNESCO World Heritage Site.

The end of the Great Northern War resulted in the Treaty of Nystad in 1721, ceding much of the Swedish Empire's claim to the Baltic Sea to the rising Tsardom of Russia. Peter the Great already began construction of his new capital St Petersburg in 1703 after successfully capturing Swedish provinces on the eastern coast. This strategic location allowed Russian access to the Baltic Sea through the Neva River that flowed to the Gulf of Finland. The island of Kotlin and its fortress Kronstadt northeast of St Petersburg provided a gateway and commercial harbor access owing to the shallowness of water closer to the city.

Throughout the early 18th century, Peter the Great built and expanded the Peterhof Palace complex as a part of his goal to modernize and westernize Russia.

In 1714, Peter began construction of the Monplaisir Palace (French: "my delight") based on his own sketches. He "сhalked out not only the site but also the inside layout, some elements of the decorative finish, etc". Based in a Dutch style, this was Peter's summer retreat (not to be confused with his Summer Palace) that he would use on his way coming and going from Europe through the harbour at Kronstadt. On the walls of this seacoast palace hung hundreds of paintings that Peter brought from Europe and allowed to weather Russian winters and the dampness of the sea without heat. In the seaward corner of his Monplaisir Palace, Peter made his Maritime Study, from which he could see Kronstadt Island to the left and St. Petersburg to the right. Later, he expanded his plans to include a vaster royal château of palaces and gardens further inland, on the model of Versailles which would become Peterhof Palace. The initial design of the palace and its garden was done by the French architect Jean-Baptiste Le Blond.

The dominant natural feature of Peterhof is a 16-m-high bluff lying less than 100 m from the shore. The so-called Lower Gardens (Nizhny Sad), at 1.02 km² comprising the better part of Peterhof's land area, are confined between this bluff and the shore, stretching east and west for roughly 200 m. The majority of Peterhof's fountains are contained here, as are several small palaces and outbuildings. East of the Lower Gardens lies the Alexandria Park with 19th-century Gothic Revival structures such as the Kapella.

Atop the bluff, near the middle of the Lower Gardens, stands the Grand Palace (Bolshoi Dvorets). Behind (south) of it are the comparatively small Upper Gardens (Verhnyy Sad). Upon the bluff's face below the palace is the Grand Cascade (Bolshoi Kaskad). This and the Grand Palace are the centrepiece of the entire complex. At its foot begins the Sea Channel (Morskoi Kanal), one of the most extensive waterworks of the Baroque period, which bisects the Lower Gardens.

The Grand Cascade is modelled on one constructed for Louis XIV at his Château de Marly,[15] which is likewise memorialised in one of the park's outbuildings.

At the centre of the cascade is an artificial grotto with two stories, faced inside and out with hewn brown stone. It currently contains a modest museum of the fountains' history. One of the exhibits is a table carrying a bowl of (artificial) fruit, a replica of a similar table built under Peter's direction. The table is rigged with jets of water that soak visitors when they reach for the fruit, a feature from Mannerist gardens that remained popular in Germany. The grotto is connected to the palace above and behind by a hidden corridor.

The fountains of the Grand Cascade are located below the grotto and on either side of it. There are 64 fountains.[16] Their waters flow into a semicircular pool, the terminus of the fountain-lined Sea Channel. In the 1730s, the large Samson Fountain was placed in this pool. It depicts the moment when Samson tears open the jaws of a lion, representing Russia's victory over Sweden in the Great Northern War, and is doubly symbolic.[17] The lion is an element of the Swedish coat of arms, and one of the great victories of the war was won on St Sampson's Day. From the lion's mouth shoots a 20-metre-high vertical jet of water, the highest in all of Peterhof. This masterpiece by Mikhail Kozlovsky was looted by the invading Germans during the Second World War; see History below. A replica of the statue was installed in 1947.

Perhaps the greatest technological achievement of Peterhof is that all of the fountains operate without the use of pumps. Water is supplied from natural springs and collects in reservoirs in the Upper Gardens. The elevation difference creates the pressure that drives most of the fountains of the Lower Gardens, including the Grand Cascade. The Samson Fountain is supplied by a special aqueduct, over 4 km in length, drawing water and pressure from a high-elevation source.

The expanse of the Lower Gardens is designed in the formal style of French formal gardens of the 17th century. Although many trees are overgrown, in the recent years the formal clipping along the many allees has resumed in order to restore the original appearance of the garden. The many fountains located here exhibit an unusual degree of creativity. One of the most notable designs is entitled 'The Sun'. A disk radiating water jets from its edge creates an image of the sun's rays, and the whole structure rotates about a vertical axis so that the direction in which the "sun" faces is constantly changing.

The same bluff that provides a setting for the Grand Cascade houses two other, very different cascades. West of the Grand Palace is the Golden Mountain (Золотая Гора), decorated with marble statuary that contrasts with the riotous gilded figures of the Grand Cascade. To the east is the Chess Mountain (Шахматная Гора), a broad chute whose surface is tiled black and white like a chessboard. The most prominently positioned fountains of Peterhof are 'Adam' and 'Eve'. They occupy symmetric positions on either side of the Sea Channel, each at the conjunction of eight paths.

 

en.wikipedia.org/wiki/Peterhof_Palace

 

The Naval cathedral of Saint Nicholas in Kronstadt (Russian: Морской Никольский собор, Morskoj Nikol'skij sobor) is a Russian Orthodox cathedral built in 1903–1913 as the main church of the Russian Navy and dedicated to all fallen seamen. The cathedral was closed in 1929, was converted to a cinema, a House of Officers (1939) and a museum of the Navy (1980).

Une vue vers le nord-est à partir du quai du Palais qui longe le palais d’Hiver sur la rive sud de la Neva.

 

La cathédrale orthodoxe russe Pierre-et-Paul s, située sur l’île de la forteresse du même nom, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg.

 

Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale.

 

Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville. L'église est entourée, au dehors, d'un vaste jardin où sont enterrés tous les commandants de la forteresse. L'intérieur de l'église est orné de nombreux trophées militaires. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

The Naval cathedral of Saint Nicholas in Kronstadt (Russian: Морской Никольский собор, Morskoj Nikol'skij sobor) is a Russian Orthodox cathedral built in 1903–1913 as the main church of the Russian Navy and dedicated to all fallen seamen. The cathedral was closed in 1929, was converted to a cinema, a House of Officers (1939) and a museum of the Navy (1980).

The Naval cathedral of Saint Nicholas in Kronstadt (Russian: Морской Никольский собор, Morskoj Nikol'skij sobor) is a Russian Orthodox cathedral built in 1903–1913 as the main church of the Russian Navy and dedicated to all fallen seamen. The cathedral was closed in 1929, was converted to a cinema, a House of Officers (1939) and a museum of the Navy (1980).

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Le riche décor intérieur de la cathédrale Pierre-et-Paul de la forteresse du même nom, à Saint-Pétersbourg en Russie.

 

Cette cathédrale orthodoxe russe, située sur l’île de la forteresse Pierre-et-Paul, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg. Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.

 

Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.

 

Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).

Kotlin Island, Russia

UNESCO WHL-540:

🇪🇸 Centro histórico de San Petersburgo y conjuntos monumentales anejos

🇬🇧 Historic Centre of Saint Petersburg and Related Groups of Monuments

 

Información en WIKIPEDIA:

🇪🇸 Centro histórico de San Petersburgo

🇷🇺 Исторический центр Санкт-Петербурга и связанные с ним группы памятников

 

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# LMF Expos (galleries) 04 (3)

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(3) Invitados

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Pasos:

800, 1000

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