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Spotted this feline resident on a visit to Kronstadt.
Kronstadt, traditionally the seat of the Russian admiralty and the base of the Russian Baltic Fleet, is located on Kotlin Island, 30km west of Saint Petersburg, Russia.
Wikipedia: Kronstadt
From the album Russia Summer 2016
Russian Orthodox cathedral built in 1903–1913 as the main church of the Russian Navy and dedicated to all fallen seamen.
Russian Orthodox cathedral built in 1903–1913 as the main church of the Russian Navy and dedicated to all fallen seamen.
L’éclairage nocturne du nouveau Blagoveshchenskiy most (pont de l'Annonciation) datant de 2007, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir à partir de la rive sud de l'île Vassilievsky.
En arrière-plan on remarque le dôme doré de la cathédrale St-Isaac. La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette cathédrale orthodoxe se dresse au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Construite entre 1883-1907 dans le style néo-russe, l'édifice s’inspire de l'architecture russe du 16e et 17e siècle et en particulier de la fameuse cathédrale Basile-le-Bienheureux sur la Place Rouge de Moscou. Érigée par Alexandre III sur la rive est du canal Griboyedov, à l'endroit de l'assassinat de son père Alexandre II en 1881, l'extérieur et l’intérieur de l'église forment une débauche de couleurs et de matériaux formant 7000 m2 de mosaïques et des sols de marbre polychrome.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette galerie spectaculaire correspond à la salle 227 qui longe, à l'ouest, le premier étage du Vieil Ermitage faisant partie du Musée Ermitage, qui occupe une partie du palais d’Hiver au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie.
La galerie appelée "Raphael Loggias" expose la fameuse copie des Loges de Raphaël créées en 1528-19 par lui dans le palais du Vatican. Catherine II commanda cette galerie à l'architecte Giacomo Quarenghi en 1780. Les fresques ont été reproduites dans la technique Tempura. Les voûtes sont ornées de scènes bibliques appelées "La bible de Raphaël" et les murs décorées de grotesques que Raphaël avait peints en s'inspirant des murales vues dans les "grottos" des ruines de la Maison d'Or construit au 1er siècle pour Néron.
Le palais d’Hiver est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage. C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
La colonne Alexandre et le palais d’Hiver sur la place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue vers le nord-est à partir de la place.
Haut-lieu de l'histoire de St-Pétersbourg, ensanglantée par les révolutions de 1905 et de 1917, la place du Palais est aujourd'hui le centre culturel de la ville, avec le prestigieux musée de l'Ermitage. Conçue par Carlo Rossi comme une scène de théâtre, offrant une perspective grandiose (8 ha), elle est fermée, côté Neva, par le palais d'Hiver qui abrite aujourd’hui le musée de l’Ermitage et qui fait face à l'impressionnante colonnade en hémicycle de l'État-Major général, percée en son centre d'un majestueux arc de triomphe. Au centre de la place se dresse la colonne Alexandre.
Surmontée d'un ange doré, la colonne, qui se dresse au centre de la place du Palais entre le palais d’Hiver et l’hémicycle de l'État-Major général, culmine à 47,50 m, ce qui en fait la plus haute du monde. Elle fut élevée entre 1830 et 1834 par Auguste de Montferrand pour commémorer la victoire d'Alexandre Ier sur Napoléon en 1812, et à ce titre, elle se devait de surpasser celle de l'empereur des Français, place Vendôme à Paris. Ce monolithe en granit rose est seulement posé sur un piédestal orné de bas-reliefs allégoriques et malgré son poids (600 t), elle n'a jamais bougé.
Le palais d’Hiver, un éblouissant palais baroque pistache et blanc, était la résidence d'hiver des tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage. C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Le somptueux décor intérieur de la cathédrale Saint-Isaac au Saint Isaac's Square 4, à Saint-Pétersbourg en Russie.
La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses.
La cathédrale a été fermée sur ordre des autorités communistes en juin 1928 et transformée en 1931 en musée de l'athéisme puis en 1937, en musée d'histoire et de l'art. Toutefois, le 10 janvier 2017, le gouverneur de Saint-Pétersbourg Gueorgui Poltavtchenko a annoncé le transfert de l'usage de la cathédrale à l'Église orthodoxe russe. Le bâtiment reste propriété de l'État russe, son entretien demeure à la charge de la ville de Saint-Pétersbourg mais l'Église orthodoxe russe recouvre l'entière jouissance de l'occupation du lieu, tout en conservant sa fonction de musée; cette décision s'est accompagnée d'une grande controverse parmi la population.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, la cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette cathédrale orthodoxe se dresse au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Construite entre 1883-1907 dans le style néo-russe, l'édifice s’inspire de l'architecture russe du 16e et 17e siècle et en particulier de la fameuse cathédrale Basile-le-Bienheureux sur la Place Rouge de Moscou. Érigée par Alexandre III sur la rive est du canal Griboyedov, à l'endroit de l'assassinat de son père Alexandre II en 1881, l'extérieur et l’intérieur de l'église forment une débauche de couleurs et de matériaux formant 7000 m2 de mosaïques et des sols de marbre polychrome.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
La cathédrale Saint-Isaac est située au Saint Isaac's Square 4, à Saint-Pétersbourg en Russie.
La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses.
La cathédrale a été fermée sur ordre des autorités communistes en juin 1928 et transformée en 1931 en musée de l'athéisme puis en 1937, en musée d'histoire et de l'art. Toutefois, le 10 janvier 2017, le gouverneur de Saint-Pétersbourg Gueorgui Poltavtchenko a annoncé le transfert de l'usage de la cathédrale à l'Église orthodoxe russe. Le bâtiment reste propriété de l'État russe, son entretien demeure à la charge de la ville de Saint-Pétersbourg mais l'Église orthodoxe russe recouvre l'entière jouissance de l'occupation du lieu, tout en conservant sa fonction de musée; cette décision s'est accompagnée d'une grande controverse parmi la population.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, la cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Le somptueux décor intérieur de la cathédrale Saint-Isaac au Saint Isaac's Square 4, à Saint-Pétersbourg en Russie.
La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses.
La cathédrale a été fermée sur ordre des autorités communistes en juin 1928 et transformée en 1931 en musée de l'athéisme puis en 1937, en musée d'histoire et de l'art. Toutefois, le 10 janvier 2017, le gouverneur de Saint-Pétersbourg Gueorgui Poltavtchenko a annoncé le transfert de l'usage de la cathédrale à l'Église orthodoxe russe. Le bâtiment reste propriété de l'État russe, son entretien demeure à la charge de la ville de Saint-Pétersbourg mais l'Église orthodoxe russe recouvre l'entière jouissance de l'occupation du lieu, tout en conservant sa fonction de musée; cette décision s'est accompagnée d'une grande controverse parmi la population.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, la cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Des animateurs costumés circulant autour de la cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir de la promenade Griboyedov channel embankment, qui contourne l’édifice et poursuit le canal juste au sud de l’édifice.
Il s’agit de costume rappelant la mode « à la française » que le tsar Pierre le Grand (1672-1725) imposait à la population après la fondation de la ville.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette statue se dresse sur la place du Sénat faisant face à la Neva, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue vers le sud à partir du Quai des Anglais, à l’angle de la Place du Sénat (Senatskaya Ploshchad), sur la rive sud de la Neva.
Cette statue équestre extrêmement réaliste du sculpteur français Étienne-Maurice Falconet (suggéré par Diderot) fut commandée par Catherine II la Grande en hommage à Pierre le Grand et pour commémorer, en 1782, les 25 ans de son propre règne. La statue doit son surnom à un poème de Pouchkine.
La place du Sénat, aussi connue comme la place des Décembristes entre 1925 et 2008, offre une superbe vue sur l'île Vassilievski.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette épicerie est située au Nevsky Prospekt 56 (côté nord), à l’angle de la rue Malaya Sadovaya, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue vers le nord à partir de la Perspective Nevsky.
Cette galerie marchande date de 1848. Installée dans un immeuble Art nouveau datant de 1903 et fraîchement restauré, cette épicerie de luxe célèbre offre des vitrines opulentes aux multiples produits ainsi que des macarons dans sa rotonde.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
This picture was in "Flickr's Explore" on September 23th 2025. Publiée par Flickr dans "Explorez" le 23 septembre 2025 (autour du no 276 sur Fluidr/EXPLORE du 23 septembre 2025): www.fluidr.com/explore/interesting/2025/09/23
La cathédrale Troitsky sobor ou de la Trinité se dresse au Izmaylovskiy Prospekt, 7А, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue vers l’est à partir de la rue Fontaka River Embakment (près de l’intersection Ulitsa Tsiolkovskogo) qui longe la rive sud de la rivière Fontaka.
La cathédrale Troitsky sobor est une église orthodoxe de style Empire construite entre 1828 et 1835 par l'architecte Vassili Stassov. Célèbre pour ses dômes bleus étoilés, elle est située au sud de l'Amirauté sur la perspective Izmailovski non loin de la station de métro Institut Technologique. Du temps des tsars chaque régiment de la garde impériale disposait de sa propre église ou cathédrale. La cathédrale de la Trinité était celle du régiment impérial Izmailovski, l'un des plus anciens régiments de l'armée russe.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Le Nouvel Ermitage est situé au 35 Millionnaïa à Saint-Pétersbourg en Russie.
Son portique d’entrée avec ses dix atlantes géants est célèbre dans l’Europe entière. Commanda, en 1839, par l'empereur Nicolas, à Léon de Klenze, le créateur de la Pinacothèque de Munich, ce bâtiment surnommé le "Nouvel Ermitage" sera destiné à recevoir les œuvres d'art éparses des divers palais impériaux, Tsarkoe-Sèlo, Tauride, etc.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
An extract from today's Journal:-
At St Petersburg's Moskovsky Station we were met by guides Katrina and Marina. The crowds at the train station were beyond impossible, two porters loaded our luggage onto trollies and vanished into the crowd. Katrina and Marina led us through hoards of people in the train station before we emerged into a street that was just as crowded.
We walked and walked through streets packed with parked buses, and just when all hope was fading, we climbed aboard a medium sized Mercedes Benz touring bus. From there it was a short drive through dense traffic to Nevsky Prospekt and I got my first real look at Saint Petersburg. Nevsky Prospekt is a wide straight boulevard that just disappears into the horizon; to say it’s impressive would be an understatement.
We drove through other equally wide and impressive streets; the place was stunning. As for the buildings lining the streets, they were equally spectacular; the architecture here is beautiful. Our hotel was therefore something of a disappointment, it wasn’t on one of the impressive thoroughfares, nor was it beautifully elegant after the style of our hotel in Moscow. Can it be that I’ve been spoiled rotten on my stay in Moscow.
This afternoon we were driven around the city while Katrina delivered a detailed description of every place we went, and every building we saw. It was beyond boring because there was no sequence to any of it and I got no sense of place or its history. The overthrow of the Czar and the Bolshevik revolution were never mentioned; it was as though it had all been airbrushed from history.
Pre-revolutionary history was however, alive and well. We were taken to see such significant landmarks as the Monument to Peter the Great, founder of this beautiful Imperial capital. The monument is located in Kronstadt on Kotlin Island. The island is strategically located in the Finnish bay and protects St. Petersburg from the sea. The man was an astute and strategic thinker.
Russian Orthodox cathedral built in 1903–1913 as the main church of the Russian Navy and dedicated to all fallen seamen.
La Dionysus Room correspond à la salle 109 au rez-de-chaussée du bâtiment Nouvel Ermitage faisant partie du Musée Ermitage qui occupe une partie du palais d’Hiver au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie. La salle est dédiée aux statues de l’Antiquité.
Le palais d’Hiver est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage.
C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette cathédrale se dresse au 2 place Kazan (Kazanskaya Square), juste avant le canal Griboïedov, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue vers le sud à partir de la Perspective Nevsky (Nevsky Prospekt ou Avenue). Avec sa façade donnant sur la Perspective Nevski, cette cathédrale, au dôme de 76 m et aux 96 colonnes en hémicycle, rappelle fortement la basilique St-Pierre de Rome. La porte de son portique principal (façade nord) est une réplique de la Porte du Paradis du Baptistère de Florence.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette cathédrale orthodoxe russe, située sur l’île de la forteresse du même nom, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg.
Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale. Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville. L'église est entourée, au dehors, d'un vaste jardin où sont enterrés tous les commandants de la forteresse.
La cathédrale Pierre-et-Paul diffère des traditionnelles églises orthodoxes. Une fois à l'intérieur, on perçoit immédiatement l'influence des architectures italienne et nord-européenne. L'intérieur de l'église est orné de nombreux trophées militaires. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
L'Hôtel Europe borde la rue Mikhaïlovskaï, large et courte qui relie la perspective Nevski (Nevsky Prospekt) à la place des Arts à Saint-Pétersbourg en Russie.
Dénaturé à l'époque soviétique, l’hôtel a retrouvé sa splendeur au cours des années 1990 avec sa façade aux Atlantes et son décor intérieur rococo très réussi. Il est la réincarnation rénovée de fond en comble de l'ancien Europeiskaya, qui ouvrit ses portes en 1875, et constitue ainsi le plus ancien hôtel de la ville. C'est une véritable ville dans la ville regroupant divers services. On y retrouve, comme jadis l'ont vécu Strauss et Debussy, le genre de service 5 étoiles à l'européenne et de sophistication qui ne sont pas encore monnaie courante parmi les hôtels russes.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Le Peter the Great Hall ou la Small Throne Room (salle 194) du palais d’Hiver au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Cette salle du trône a été créée en 1833 par Auguste Montferrand et restauré après l'incendie en 1837 par Vasily Stasov. La salle est dédiée à la mémoire de Pierre le Grand; sa décoration comporte le monogramme de l'empereur (deux lettres latines P), des aigles à deux têtes et des couronnes. Une niche qui est conçue comme un arc de triomphe abrite une peinture de Pierre I avec Minerva.
Le palais d'Hiver (qui fait aujourd'hui partie du vaste complexe du Musée Ermitage) est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage. C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Le chevet de la cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé située au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue vers l’ouest à partir de la promenade Griboyedov channel embankment, qui contourne l’édifice et poursuit le long du canal, juste au sud de l’édifice.
La façade sud de la cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé située au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir de la promenade Griboyedov channel embankment, qui longe le canal juste au sud de l’édifice.
Construite entre 1883-1907 dans le style néo-russe, l'édifice s’inspire de l'architecture russe du 16e et 17e siècle et en particulier de la fameuse cathédrale Basile-le-Bienheureux sur la Place Rouge de Moscou. Érigée par Alexandre III sur la rive est du canal Griboyedov, à l'endroit de l'assassinat de son père Alexandre II en 1881, l'extérieur et l’intérieur est une débauche de couleurs et de matériaux formant 7000 m2 de mosaïques et des sols de marbre polychrome.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Le Letuchiy Gollandec ou Flying Dutchman est amarré au quai Mytninskaya Naberezhnaya sur la rive sud du quartier Petrogradskaïa à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir du pont Kronverkskiy Most reliant l’île de la forteresse Pierre-et-Paul à la rue Mytninskaya Naberezhnaya.
Ce voilier trois-mâts est la copie unique d’un bateau hollandais qui appartenait en 1748 à la flotte d'Amsterdam. Considéré comme un des monuments emblématiques de Saint-Pétersbourg, il abrite un complexe de trois restaurants de haute cuisine offrant chacun une vue sur les sites de Saint-Pétersbourg avec des menus de qualité japonais, italien et russe.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
L'église orthodoxe Tserkov' Uspeniya Presvyatoy Bogoroditsy (église de la Dormition de la Mère de Dieu) est située au Leytenanta Shmidta embankment, 27/2, sur la rive sud de l’île Vassilievski à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir du pont Blagoveshchenskiy (de l’Annonciation) reliant l’île à la rive sud de la Neva.
Le pont de l'Annonciation, plus connu sous son ancien nom de pont du Lieutenant Schmidt, est un pont de Saint-Pétersbourg sur la Neva qui relie le centre historique à l'île Vassilievski. Il a été construit entre 1843 et 1850 et était à l'époque le pont le plus long d'Europe.
La construction de l’église de la Dormition de la Mère de Dieu a commencé en 1894 lorsque les moines de la Laure des Grottes de Kiev ont décidé d'agrandir la branche monastique de leur monastère. Les travaux de construction ont duré six ans et l'église a été conçue dans le style néo-byzantin par Vasily Kosyakov. À l'été 1898, les dômes furent dorés. En 1903, l'église fut achevée.
Après la fermeture de l'église par le régime soviétique en 1935, le port militaire de Leningrad est devenu responsable de l'église. En 1936, l'édifice fut utilisé comme salle de sport. En 1956, un projet prévoyait d'utiliser le temple pour la construction de la première patinoire couverte de Leningrad. L'ouverture de la patinoire a eu lieu en 1961. Cela a conduit à la destruction de plusieurs tableaux car la patinoire était décorée de portraits de Lénine.
L'église a heureusement été restaurée dans les années 1990. Le 16 janvier 1998, une croix a été érigée sur le dôme. En 2003, l’iconostase a été restaurée. À la mi-2013, l’église a été entièrement restaurée à l’extérieur et à l’intérieur, et le 15 septembre, le patriarche Cyrille a consacré le temple par un grand rite.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
L'Italian Skylight Room correspond à la salle 238 au premier étage du Vieil ou Grand Ermitage faisant partie du Musée Ermitage, qui occupe une partie du palais d’Hiver au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Le palais d’Hiver est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage.
C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Une vue panoramique vers le nord-est à partir de la galerie du dôme de la cathédrale Saint-Isaac au Saint Isaac's Square 4, à Saint-Pétersbourg en Russie.
On reconnaît la flèche dorée de l’Amirauté et le palais d’hiver (Ermitage) vert et blanc, sur la rive sud de la Neva et, en arrière-plan, la Forteresse Pierre-et-Paul et la flèche dorée de sa cathédrale du même nom.
La flèche dorée couronnée de la caravelle de l'Amirauté, devenue un des symboles St-Pétersbourg, est un des points de repère favoris des visiteurs de la ville. C'est là que Pierre le Grand décida de bâtir le chantier naval d'où sortirait sa marine de guerre. L'édifice abrite aujourd'hui l'École supérieure de la marine de guerre. Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale Pierre-et-Paul, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville.
La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses. La cathédrale a été fermée sur ordre des autorités communistes en juin 1928 et transformée en 1931 en musée de l'athéisme puis en 1937, en musée d'histoire et de l'art. Toutefois, le 10 janvier 2017, le gouverneur de Saint-Pétersbourg Gueorgui Poltavtchenko a annoncé le transfert de l'usage de la cathédrale à l'Église orthodoxe russe. Le bâtiment reste propriété de l'État russe, son entretien demeure à la charge de la ville de Saint-Pétersbourg mais l'Église orthodoxe russe recouvre l'entière jouissance de l'occupation du lieu, tout en conservant sa fonction de musée; cette décision s'est accompagnée d'une grande controverse parmi la population.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette cathédrale orthodoxe se dresse au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir du pont Ново - Конюшенный мост qui traverse le canal Griboyedov juste au nord de l’édifice.
Construite entre 1883-1907 dans le style néo-russe, l'édifice s’inspire de l'architecture russe du 16e et 17e siècle et en particulier de la fameuse cathédrale Basile-le-Bienheureux sur la Place Rouge de Moscou. Érigée par Alexandre III sur la rive est du canal Griboyedov, à l'endroit de l'assassinat de son père Alexandre II en 1881, l'extérieur et l’intérieur de l'église forment une débauche de couleurs et de matériaux formant 7000 m2 de mosaïques et des sols de marbre polychrome.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
La cathédrale Saint-Isaac est située au Saint Isaac's Square, 4 et la Strelka (signifiant flèche) est la pointe est de l'île Vassilievsky à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue vers le sud-ouest à partir de la rue Mytninskaya Naberezhnaya, sur la rive sud du quartier Petrogradskaïa qui se trouve sur la rive nord de la Neva.
La pointe est de l'île Vassilievsky se trouve où le fleuve Neva se sépare en deux bras. Elle offre une belle vue panoramique sur le palais d'hiver (Musée Ermitage) et la forteresse Pierre-et-Paul. La place est décorée de 2 colonnes rostrales (i.e. commémorant une victoire navale ou des campagnes maritimes victorieuses) faites de granit rouge aux piédestaux décorés des allégories des 4 grands fleuves de Russie, soit la Neva, la Volga, la Dniepr et le Volkhov.
La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses.
La cathédrale a été fermée sur ordre des autorités communistes en juin 1928 et transformée en 1931 en musée de l'athéisme puis en 1937, en musée d'histoire et de l'art. Toutefois, le 10 janvier 2017, le gouverneur de Saint-Pétersbourg Gueorgui Poltavtchenko a annoncé le transfert de l'usage de la cathédrale à l'Église orthodoxe russe. Le bâtiment reste propriété de l'État russe, son entretien demeure à la charge de la ville de Saint-Pétersbourg mais l'Église orthodoxe russe recouvre l'entière jouissance de l'occupation du lieu, tout en conservant sa fonction de musée; cette décision s'est accompagnée d'une grande controverse parmi la population.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Vue vers le sud sur la place St-Isaac à partir de la galerie du dôme de la cathédrale Saint-Isaac au Saint Isaac's Square 4, à Saint-Pétersbourg en Russie.
La place St-Isaac avec, au centre, la statue équestre de Nicolas 1er, est encadrée à l’est (gauche sur la photo) par les hôtels de luxe Astoria et Angleterre, inauguré en 1912 dans le style Art nouveau, et en face de la cathédrale, le palais Marie, le dernier palais de style néo-classique construit dans le centre historique de Saint-Pétersbourg. Il a été construit entre 1839 et 1844 par Andreï Stackenschneider sur commande de l’empereur Nicolas Ier pour sa fille la grande-duchesse Marie Nikolaïevna (1819-1876) pour son mariage avec le duc Maximilien de Leuchtenberg, fils d’Eugène de Beauharnais. Il abrite depuis 1994 l’Assemblée législative de Saint-Pétersbourg.
La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses. La cathédrale a été fermée sur ordre des autorités communistes en juin 1928 et transformée en 1931 en musée de l'athéisme puis en 1937, en musée d'histoire et de l'art. Toutefois, le 10 janvier 2017, le gouverneur de Saint-Pétersbourg Gueorgui Poltavtchenko a annoncé le transfert de l'usage de la cathédrale à l'Église orthodoxe russe. Le bâtiment reste propriété de l'État russe, son entretien demeure à la charge de la ville de Saint-Pétersbourg mais l'Église orthodoxe russe recouvre l'entière jouissance de l'occupation du lieu, tout en conservant sa fonction de musée; cette décision s'est accompagnée d'une grande controverse parmi la population.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette station de métro est située au Kirpichnyy Pereulok, 1, à Saint-Pétersbourg en Russie.
La station dessert notamment le musée de l'Ermitage et elle est très profonde. Elle existe depuis très longtemps mais son quai étant resté inachevé, elle est devenue une station fantôme pendant plusieurs années. Elle a finalement été mise en service en 2011. Elle dispose d'un quai central encadrées par deux voies. Des macarons et deux mosaïques y rendent hommage à l'Amirauté, le siège du haut commandement de la marine militaire, construite entre 1706 et 1723, à proximité de la station, d’où le nom de celle-ci.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Форт Риф в Кронштадте. Он находится в самой западной точке острова Котлин, на берегу Финского залива, продуваемый ветрами со всех сторон. Сейчас там музей.
Cette galerie correspond à la salle 241 au premier étage du bâtiment Nouvel Ermitage faisant partie du Musée Ermitage, qui occupe une partie du palais d’Hiver au 2 place du Palais, à Saint-Pétersbourg en Russie. Cette galerie regroupe statues et bustes de marbre.
Le palais d’Hiver est un éblouissant palais baroque pistache et blanc qui servit de résidence d'hiver aux tsars. Il fut construit de 1754 à 1762 à la demande de l'impératrice Élisabeth, fille de Pierre le Grand. Catherine II (1729-1796) y ajouta une partie appelée l'Ermitage, où elle recevait des invités et collectionnait des tableaux de grands peintres; c'est de cette partie du palais d'Hiver que vient le nom de musée de l'Ermitage.
C'est Alexandre Ier (1777-1825) qui déclara le palais musée impérial. Il y a habité pendant plusieurs années. L'empereur y séjournait alors entre l'automne et le printemps. Bien que le palais semble symétrique, chacune de ses façades présente des ornements différents et réserve des surprises.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette cathédrale orthodoxe russe, située sur l’île de la forteresse du même nom, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg.
Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale. Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville. L'église est entourée, au dehors, d'un vaste jardin où sont enterrés tous les commandants de la forteresse.
La cathédrale Pierre-et-Paul diffère des traditionnelles églises orthodoxes. Une fois à l'intérieur, on perçoit immédiatement l'influence des architectures italienne et nord-européenne. L'intérieur de l'église est orné de nombreux trophées militaires. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cet ancien hôtel particulier du chef de la police Nikolai Chicherin est situé au 15 perspective Nevski (Nevsky Prospekt), côté sud, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Cet édifice rose et blanc se situe en face du Kotomin. On remarque ses deux rangées de colonnes enroulées autour du coin de la rue. Longeant Bolshaya Morskaya Street et la Moïka Embankment, cette maison palatiale abrita une variété de grands clubs de divertissement et des institutions artistiques avant et après la révolution. Sa conversion en Taleon Imperial Hotel, un hôtel de luxe, date de 2008. Dans le même édifice, face au canal se trouve la fameuse boulangerie Wolkonsky.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).