View allAll Photos Tagged kotlin
Spotted this feline resident on a visit to Kronstadt.
Kronstadt, traditionally the seat of the Russian admiralty and the base of the Russian Baltic Fleet, is located on Kotlin Island, 30km west of Saint Petersburg, Russia.
Wikipedia: Kronstadt
From the album Russia Summer 2016
Russian Orthodox cathedral built in 1903–1913 as the main church of the Russian Navy and dedicated to all fallen seamen.
Russian Orthodox cathedral built in 1903–1913 as the main church of the Russian Navy and dedicated to all fallen seamen.
L’éclairage nocturne du nouveau Blagoveshchenskiy most (pont de l'Annonciation) datant de 2007, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir à partir de la rive sud de l'île Vassilievsky.
En arrière-plan on remarque le dôme doré de la cathédrale St-Isaac. La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette cathédrale orthodoxe se dresse au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Construite entre 1883-1907 dans le style néo-russe, l'édifice s’inspire de l'architecture russe du 16e et 17e siècle et en particulier de la fameuse cathédrale Basile-le-Bienheureux sur la Place Rouge de Moscou. Érigée par Alexandre III sur la rive est du canal Griboyedov, à l'endroit de l'assassinat de son père Alexandre II en 1881, l'extérieur et l’intérieur de l'église forment une débauche de couleurs et de matériaux formant 7000 m2 de mosaïques et des sols de marbre polychrome.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette cathédrale orthodoxe se dresse au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Construite entre 1883-1907 dans le style néo-russe, l'édifice s’inspire de l'architecture russe du 16e et 17e siècle et en particulier de la fameuse cathédrale Basile-le-Bienheureux sur la Place Rouge de Moscou. Érigée par Alexandre III sur la rive est du canal Griboyedov, à l'endroit de l'assassinat de son père Alexandre II en 1881, l'extérieur et l’intérieur de l'église forment une débauche de couleurs et de matériaux formant 7000 m2 de mosaïques et des sols de marbre polychrome.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette statue se dresse sur la place du Sénat faisant face à la Neva, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue vers le sud à partir du Quai des Anglais, à l’angle de la Place du Sénat (Senatskaya Ploshchad), sur la rive sud de la Neva.
Cette statue équestre extrêmement réaliste du sculpteur français Étienne-Maurice Falconet (suggéré par Diderot) fut commandée par Catherine II la Grande en hommage à Pierre le Grand et pour commémorer, en 1782, les 25 ans de son propre règne. La statue doit son surnom à un poème de Pouchkine.
La place du Sénat, aussi connue comme la place des Décembristes entre 1925 et 2008, offre une superbe vue sur l'île Vassilievski.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Des animateurs costumés circulant autour de la cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir de la promenade Griboyedov channel embankment, qui contourne l’édifice et poursuit le canal juste au sud de l’édifice.
Il s’agit de costume rappelant la mode « à la française » que le tsar Pierre le Grand (1672-1725) imposait à la population après la fondation de la ville.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Le somptueux décor intérieur de la cathédrale Saint-Isaac au Saint Isaac's Square 4, à Saint-Pétersbourg en Russie.
La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses.
La cathédrale a été fermée sur ordre des autorités communistes en juin 1928 et transformée en 1931 en musée de l'athéisme puis en 1937, en musée d'histoire et de l'art. Toutefois, le 10 janvier 2017, le gouverneur de Saint-Pétersbourg Gueorgui Poltavtchenko a annoncé le transfert de l'usage de la cathédrale à l'Église orthodoxe russe. Le bâtiment reste propriété de l'État russe, son entretien demeure à la charge de la ville de Saint-Pétersbourg mais l'Église orthodoxe russe recouvre l'entière jouissance de l'occupation du lieu, tout en conservant sa fonction de musée; cette décision s'est accompagnée d'une grande controverse parmi la population.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Le somptueux décor intérieur de la cathédrale Saint-Isaac au Saint Isaac's Square 4, à Saint-Pétersbourg en Russie.
La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses.
La cathédrale a été fermée sur ordre des autorités communistes en juin 1928 et transformée en 1931 en musée de l'athéisme puis en 1937, en musée d'histoire et de l'art. Toutefois, le 10 janvier 2017, le gouverneur de Saint-Pétersbourg Gueorgui Poltavtchenko a annoncé le transfert de l'usage de la cathédrale à l'Église orthodoxe russe. Le bâtiment reste propriété de l'État russe, son entretien demeure à la charge de la ville de Saint-Pétersbourg mais l'Église orthodoxe russe recouvre l'entière jouissance de l'occupation du lieu, tout en conservant sa fonction de musée; cette décision s'est accompagnée d'une grande controverse parmi la population.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
La façade sud de la cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé située au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir de la promenade Griboyedov channel embankment, qui longe le canal juste au sud de l’édifice.
Construite entre 1883-1907 dans le style néo-russe, l'édifice s’inspire de l'architecture russe du 16e et 17e siècle et en particulier de la fameuse cathédrale Basile-le-Bienheureux sur la Place Rouge de Moscou. Érigée par Alexandre III sur la rive est du canal Griboyedov, à l'endroit de l'assassinat de son père Alexandre II en 1881, l'extérieur et l’intérieur est une débauche de couleurs et de matériaux formant 7000 m2 de mosaïques et des sols de marbre polychrome.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
La cathédrale Saint-Isaac est située au Saint Isaac's Square 4, à Saint-Pétersbourg en Russie.
La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses.
La cathédrale a été fermée sur ordre des autorités communistes en juin 1928 et transformée en 1931 en musée de l'athéisme puis en 1937, en musée d'histoire et de l'art. Toutefois, le 10 janvier 2017, le gouverneur de Saint-Pétersbourg Gueorgui Poltavtchenko a annoncé le transfert de l'usage de la cathédrale à l'Église orthodoxe russe. Le bâtiment reste propriété de l'État russe, son entretien demeure à la charge de la ville de Saint-Pétersbourg mais l'Église orthodoxe russe recouvre l'entière jouissance de l'occupation du lieu, tout en conservant sa fonction de musée; cette décision s'est accompagnée d'une grande controverse parmi la population.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
This picture was in "Flickr's Explore" on September 23th 2025. Publiée par Flickr dans "Explorez" le 23 septembre 2025 (autour du no 276 sur Fluidr/EXPLORE du 23 septembre 2025): www.fluidr.com/explore/interesting/2025/09/23
La cathédrale Troitsky sobor ou de la Trinité se dresse au Izmaylovskiy Prospekt, 7А, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue vers l’est à partir de la rue Fontaka River Embakment (près de l’intersection Ulitsa Tsiolkovskogo) qui longe la rive sud de la rivière Fontaka.
La cathédrale Troitsky sobor est une église orthodoxe de style Empire construite entre 1828 et 1835 par l'architecte Vassili Stassov. Célèbre pour ses dômes bleus étoilés, elle est située au sud de l'Amirauté sur la perspective Izmailovski non loin de la station de métro Institut Technologique. Du temps des tsars chaque régiment de la garde impériale disposait de sa propre église ou cathédrale. La cathédrale de la Trinité était celle du régiment impérial Izmailovski, l'un des plus anciens régiments de l'armée russe.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette cathédrale orthodoxe russe, située sur l’île de la forteresse du même nom, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg.
Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale. Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville. L'église est entourée, au dehors, d'un vaste jardin où sont enterrés tous les commandants de la forteresse.
La cathédrale Pierre-et-Paul diffère des traditionnelles églises orthodoxes. Une fois à l'intérieur, on perçoit immédiatement l'influence des architectures italienne et nord-européenne. L'intérieur de l'église est orné de nombreux trophées militaires. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Russian Orthodox cathedral built in 1903–1913 as the main church of the Russian Navy and dedicated to all fallen seamen.
Le Letuchiy Gollandec ou Flying Dutchman est amarré au quai Mytninskaya Naberezhnaya sur la rive sud du quartier Petrogradskaïa à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir du pont Kronverkskiy Most reliant l’île de la forteresse Pierre-et-Paul à la rue Mytninskaya Naberezhnaya.
Ce voilier trois-mâts est la copie unique d’un bateau hollandais qui appartenait en 1748 à la flotte d'Amsterdam. Considéré comme un des monuments emblématiques de Saint-Pétersbourg, il abrite un complexe de trois restaurants de haute cuisine offrant chacun une vue sur les sites de Saint-Pétersbourg avec des menus de qualité japonais, italien et russe.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Le chevet de la cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé située au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue vers l’ouest à partir de la promenade Griboyedov channel embankment, qui contourne l’édifice et poursuit le long du canal, juste au sud de l’édifice.
La façade sud de la cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé située au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir de la promenade Griboyedov channel embankment, qui longe le canal juste au sud de l’édifice.
Construite entre 1883-1907 dans le style néo-russe, l'édifice s’inspire de l'architecture russe du 16e et 17e siècle et en particulier de la fameuse cathédrale Basile-le-Bienheureux sur la Place Rouge de Moscou. Érigée par Alexandre III sur la rive est du canal Griboyedov, à l'endroit de l'assassinat de son père Alexandre II en 1881, l'extérieur et l’intérieur est une débauche de couleurs et de matériaux formant 7000 m2 de mosaïques et des sols de marbre polychrome.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette cathédrale orthodoxe se dresse au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue à partir du pont Ново - Конюшенный мост qui traverse le canal Griboyedov juste au nord de l’édifice.
Construite entre 1883-1907 dans le style néo-russe, l'édifice s’inspire de l'architecture russe du 16e et 17e siècle et en particulier de la fameuse cathédrale Basile-le-Bienheureux sur la Place Rouge de Moscou. Érigée par Alexandre III sur la rive est du canal Griboyedov, à l'endroit de l'assassinat de son père Alexandre II en 1881, l'extérieur et l’intérieur de l'église forment une débauche de couleurs et de matériaux formant 7000 m2 de mosaïques et des sols de marbre polychrome.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
La cathédrale Saint-Isaac est située au Saint Isaac's Square, 4 et la Strelka (signifiant flèche) est la pointe est de l'île Vassilievsky à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une vue vers le sud-ouest à partir de la rue Mytninskaya Naberezhnaya, sur la rive sud du quartier Petrogradskaïa qui se trouve sur la rive nord de la Neva.
La pointe est de l'île Vassilievsky se trouve où le fleuve Neva se sépare en deux bras. Elle offre une belle vue panoramique sur le palais d'hiver (Musée Ermitage) et la forteresse Pierre-et-Paul. La place est décorée de 2 colonnes rostrales (i.e. commémorant une victoire navale ou des campagnes maritimes victorieuses) faites de granit rouge aux piédestaux décorés des allégories des 4 grands fleuves de Russie, soit la Neva, la Volga, la Dniepr et le Volkhov.
La cathédrale Saint-Isaac est une cathédrale orthodoxe russe bâtie entre 1818 et 1858, sous les règnes des empereurs Alexandre Ier (1801-1825), Nicolas Ier (1825-1855) et Alexandre II (1855-1881). Elle a été inspirée par la cathédrale Saint-Paul de Londres et a été conçue pour accueillir 14 000 fidèles. Troisième du monde par sa taille, après la basilique St-Pierre de Rome et la cathédrale St-Paul de Londres, l'œuvre de l'architecte français Auguste Montferrand s'impose avec ses colonnades de granit et son imposante coupole dorée et les 350 statues de sa toiture. La sobriété de l'extérieur classique de cette œuvre d'un architecte français, bâtie sur pilotis, cache cependant un intérieur somptueux fait d'une débauche de marbre, stucs et pierres semi-précieuses.
La cathédrale a été fermée sur ordre des autorités communistes en juin 1928 et transformée en 1931 en musée de l'athéisme puis en 1937, en musée d'histoire et de l'art. Toutefois, le 10 janvier 2017, le gouverneur de Saint-Pétersbourg Gueorgui Poltavtchenko a annoncé le transfert de l'usage de la cathédrale à l'Église orthodoxe russe. Le bâtiment reste propriété de l'État russe, son entretien demeure à la charge de la ville de Saint-Pétersbourg mais l'Église orthodoxe russe recouvre l'entière jouissance de l'occupation du lieu, tout en conservant sa fonction de musée; cette décision s'est accompagnée d'une grande controverse parmi la population.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
La station de métro Pouchkinskaïa est située sur Zagorodnyi prospekt, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Cette station de la ligne 1 du métro de Saint-Pétersbourg a été mise en service en 1955. Elle est dédiée au fameux écrivain russe Alexander Pouchkin, une vedette à St-Pétersbourg.
Alexandre Sergueïevitch Pouchkine est un poète, dramaturge et romancier russe. Dans la station qui porte son nom, on voit un mémorial formé d'une sculpture de marbre du poète qui est souvent fleurie par des admirateurs. On considère que c'est l'une des plus belles stations et la seule de la ligne 1 qui ne soit pas l'œuvre d'architectes de Leningrad.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Форт Риф в Кронштадте. Он находится в самой западной точке острова Котлин, на берегу Финского залива, продуваемый ветрами со всех сторон. Сейчас там музей.
Cette cathédrale orthodoxe russe, située sur l’île de la forteresse du même nom, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg.
Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale. Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville. L'église est entourée, au dehors, d'un vaste jardin où sont enterrés tous les commandants de la forteresse.
La cathédrale Pierre-et-Paul diffère des traditionnelles églises orthodoxes. Une fois à l'intérieur, on perçoit immédiatement l'influence des architectures italienne et nord-européenne. L'intérieur de l'église est orné de nombreux trophées militaires. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Une vue vers le sud-ouest à partir de la rue Mytninskaya Naberezhnaya, sur la rive sud du quartier Petrogradskaïa qui se trouve sur la rive nord de la Neva.
Cette pointe de l'île se trouve où le fleuve Neva se sépare en deux bras. Elle offre une belle vue panoramique sur le palais d'hiver (Musée Ermitage), qu’on aperçoit à gauche de la photo, et la forteresse Pierre-et-Paul. La place est décorée de 2 colonnes rostrales (i.e. commémorant une victoire navale ou des campagnes maritimes victorieuses) faites de granit rouge aux piédestaux décorés des allégories des 4 grands fleuves de Russie, soit la Neva, la Volga, la Dniepr et le Volkhov.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Kronstadt is a fortified town on an island in front of St. Petersburg. It is the traditional base of the russian fleet in the Baltic sea.
Cette cathédrale orthodoxe russe, située sur l’île de la forteresse du même nom, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg.
Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale. Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville. L'église est entourée, au dehors, d'un vaste jardin où sont enterrés tous les commandants de la forteresse.
L'intérieur de l'église est orné de nombreux trophées militaires. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
La cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé située au Griboyedov channel embankment, 2Б, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Une iconostase (signifiant « image dressée ») est une cloison, de bois ou de pierre, qui, dans les églises de rite byzantin, particulièrement orthodoxes, sépare les lieux où se tient le clergé célébrant (sanctuaire, prothèse et diaconicon) du reste de l'église où se tiennent le chœur, le clergé non célébrant et les fidèles.
Devant l'iconostase, on remarque des images religieuses dont, à droite, une icône orthodoxe représentant la famille martyre du tsar Nicolas II.
Construite entre 1883-1907 dans le style néo-russe, l'édifice s’inspire de l'architecture russe du 16e et 17e siècle et en particulier de la fameuse cathédrale Basile-le-Bienheureux sur la Place Rouge de Moscou. Érigée par Alexandre III sur la rive est du canal Griboyedov, à l'endroit de l'assassinat de son père Alexandre II en 1881, l'extérieur et l’intérieur est une débauche de couleurs et de matériaux formant 7000 m2 de mosaïques et des sols de marbre polychrome.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
La chapelle spéciale de la famille de Nicolas II a été installée dans la cathédrale Pierre-et-Paul de la forteresse du même nom, à Saint-Pétersbourg en Russie.
Le destin des membres de la famille de Nicolas II Romanov, tués par les bolchéviks, demeura pendant longtemps l’une des énigmes de l’histoire. En 1979, grâce à la découverte d’un rapport caché du Soviet de Moscou, les corps furent découverts et soumis à des analyses ADN. Ce n’est qu’en 1998 que cette découverte fut révélée au grand public et qu’une cérémonie permit aux 9 corps de venir rejoindre les autres membres des Romanov dans une chapelle dédiée de la cathédrale Pierre-et-Paul.
Cette cathédrale orthodoxe russe, située sur l’île de la forteresse Pierre-et-Paul, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg. Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.
Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville. L'église est entourée, au dehors, d'un vaste jardin où sont enterrés tous les commandants de la forteresse.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Cette cathédrale orthodoxe russe, située sur l’île de la forteresse du même nom, fut construite de 1712 à 1733 sous l'empereur Pierre Ier de Russie en suivant les plans de l'architecte Domenico Trezzini pour remplacer une église en bois. Elle est l'un des monuments les plus anciens de Saint-Pétersbourg.
Elle fut construite pour devenir la nécropole de la famille impériale russe des Romanov. Ici sont enterrés presque tous les empereurs et les impératrices russes en commençant par Pierre Ier et terminant par Nicolas II et sa famille et aussi beaucoup de membres de la famille impériale. Comme celle de l'Amirauté, la flèche de la cathédrale, haute de 122 m et surmontée d'un ange tenant une croix, est un des symboles visuels de la ville. L'église est entourée, au dehors, d'un vaste jardin où sont enterrés tous les commandants de la forteresse.
La cathédrale Pierre-et-Paul diffère des traditionnelles églises orthodoxes. Une fois à l'intérieur, on perçoit immédiatement l'influence des architectures italienne et nord-européenne. L'intérieur de l'église est orné de nombreux trophées militaires. Les tombeaux occupent, sans ordre ni symétrie, toute la nef. Quelques-uns portent des inscriptions; pour d'autres, des plaques fixées au mur indiquent le rang du défunt. Les tombeaux de Nicolas II et sa famille tués par les bolchéviks, occupent une chapelle spéciale.
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction de cette nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité, qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Les deux sphinx, âgés d'environ trois mille ans et demi, sont installés sur l’University Embankment ou Quai de l'Université, face à l'Académie des Beaux-Arts, sur la rive sud de l'île Vassilievsky à Saint-Pétersbourg en Russie.
Enlevés de l'entrée du temple d'Amenhotep III près de Thèbes en 1832, ils ont voyagé pendant un an pour atterrir sur les bords de la Neva. Depuis, ces sculptures s'inscrivent harmonieusement dans l'ensemble sobre des quais de granit. Les marches du quai sont garnies de griffons (lions ailés) de bronze. Comme c'est fréquent avec les sculptures de bronze, une croyance superstitieuse accorde aux griffons la capacité de réaliser un vœu à condition que l'on respecte une procédure très précise (doigt dans la gueule et chuchotement dans l'oreille).
Dès 1703, le tsar Pierre le Grand ordonna la construction de fortifications à l'embouchure de la Neva, destinées à abriter l'armée durant la Grande Guerre du Nord contre la Suède. Il construisit la forteresse de Schüsselbourg (la ville-clé), appelé aujourd'hui, la forteresse Pierre-et-Paul, et fit fortifier l'île de Kotline. Puis l'idée de construire une ville sur les marécages environnants lui vint en 1706, sans doute parce que l'emplacement de Saint-Pétersbourg en faisait un port maritime le plus souvent libre des glaces et bien relié par la Neva au réseau fluvial de la Russie. Ainsi, l'une des œuvres majeures du règne de Pierre le Grand fut la construction d'une nouvelle ville sur les rives de la mer Baltique, au fond du golfe de Finlande, en 1703, une cité qu'il baptisa Saint-Pétersbourg. Celle-ci devait être résolument tournée vers l'Occident et la modernité. Elle devint aussitôt la capitale de l'Empire russe, en 1712, et le resta jusqu'à la révolution d'Octobre de 1917.
Cette « Venise du Nord », avec ses nombreux canaux et plus de 400 ponts, est donc avant tout le résultat d'un vaste projet d'urbanisme commencé en 1703 sous Pierre le Grand et poursuivi par ses successeurs. Depuis 1990, son centre historique de Saint-Pétersbourg (incluant l'Amirauté, forteresse Pierre-et-Paul et sa cathédrale, le palais d'Hiver ou musée Ermitage, cathédrale Saint-Isaac et le Théâtre Alexandra) ainsi que les ensembles monumentaux annexes tels les palais de Peterhof (Petrodvorets) et de Tsarskoïe Selo (Pouchkine), sont classés au patrimoine de l'UNESCO (WHL-540bis).
Kronstadt also spelled Kronshtadt, Cronstadt or Kronštádt (from German: Krone for "crown" and Stadt for "city"; Estonian: Kroonlinn) is an early 18th-century foundation which became an important international centre of commerce whose trade role was eclipsed by the growth of its strategic significance in the ensuing centuries as the primary maritime defence outpost of the former Russian capital. It is now the port city in Kronshtadtsky District of the federal city of Saint Petersburg, Russia, located on Kotlin Island, 30 kilometers (19 mi) west of Saint Petersburg, near the head of the Gulf of Finland. It is linked to the former Russian capital by a combination levee-causeway-seagate, the St Petersburg Dam, part of the city's flood defences, which also acts as road access to Kotlin island from the mainland. In March 1921, the island city was the site of the Kronstadt rebellion.