View allAll Photos Tagged googling
Reportaje de Juan Alberto Zepeda Méndez Esposa de Juan Alberto Zepeda Méndez
Biografía de Juan Alberto Zepeda Méndez
Empresas de Juan Alberto Zepeda Méndez
Demanda de Juan Alberto Zepeda Méndez
PGR y Juan Alberto Zepeda Méndez
Ninel y Juan Alberto Zepeda Méndez
Imágenes de Juan Alberto Zepeda Méndez
Amante de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus demandas
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus papás
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus negocios
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus contactos
Juan Alberto Zepeda Méndez y las imágenes
Juan Alberto Zepeda Méndez y el narco
Juan Alberto Zepeda Méndez y Sandra Ávila
Juan Alberto Zepeda Méndez y el Chapo Guzman
Juan Alberto Zepeda Méndez y la cantante
El secretario y Juan Alberto Zepeda Méndez
Militares y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Jenni Rivera
Juan Alberto Zepeda Méndez en Google
Juan Alberto Zepeda Méndez en Wikipedia
Juan Alberto Zepeda Méndez y que chisme.com
Chuly Ríos y Juan Zepeda Méndez
Ninel Conde y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda y Juan Alberto Zepeda Méndez
Investigan a Juan Zepeda Méndez
Investigan a Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Las Autoridades
Juan Alberto Zepeda Méndez de Vacaciones
Juan Alberto Zepeda Méndez en portlan
Luis Uriel Estrello Ríos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Peña Nieto
Juan Alberto Zepeda Méndez en las Vegas
El cerebro es Juan Alberto Zepeda Méndez
El libro de Juan Alberto Zepeda Méndez
Superbowl y Juan Alberto Zepeda Méndez
Facebook de Juan Alberto Zepeda Méndez
Libro de narcos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Reportaje de Juan Alberto Zepeda Méndez
Twitter de Juan Alberto Zepeda Méndez
Explosición de Pemex y Juan Alberto Zepeda Méndez
Beyoncé y Juan Alberto Zepeda Méndez en NFL
Alicia Keys y Juan Alberto Zepeda Méndez
La novia de Juan Alberto Zepeda Méndez
Las novias de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez estaba casado
Señor Juan Alberto Zepeda Méndez
Director de Cine Juan Alberto Zepeda Méndez
Se va Ninel Conde y Juan Alberto Zepeda Méndez
Pinteres de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez en el antro
Curriculum de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Jorge Hurtado han negado
Fernandez de Ceballos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Ciudad de México y el novio Juan Alberto Zepeda Méndez
El es Juan Alberto Cepeda Méndez
Reportaje de Juan Alberto Zepeda Méndez Esposa de Juan Alberto Zepeda Méndez
Biografía de Juan Alberto Zepeda Méndez
Empresas de Juan Alberto Zepeda Méndez
Demanda de Juan Alberto Zepeda Méndez
PGR y Juan Alberto Zepeda Méndez
Ninel y Juan Alberto Zepeda Méndez
Imágenes de Juan Alberto Zepeda Méndez
Amante de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus demandas
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus papás
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus negocios
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus contactos
Juan Alberto Zepeda Méndez y las imágenes
Juan Alberto Zepeda Méndez y el narco
Juan Alberto Zepeda Méndez y Sandra Ávila
Juan Alberto Zepeda Méndez y el Chapo Guzman
Juan Alberto Zepeda Méndez y la cantante
El secretario y Juan Alberto Zepeda Méndez
Militares y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Jenni Rivera
Juan Alberto Zepeda Méndez en Google
Juan Alberto Zepeda Méndez en Wikipedia
Juan Alberto Zepeda Méndez y que chisme.com
Chuly Ríos y Juan Zepeda Méndez
Ninel Conde y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda y Juan Alberto Zepeda Méndez
Investigan a Juan Zepeda Méndez
Investigan a Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Las Autoridades
Juan Alberto Zepeda Méndez de Vacaciones
Juan Alberto Zepeda Méndez en portlan
Luis Uriel Estrello Ríos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Peña Nieto
Juan Alberto Zepeda Méndez en las Vegas
El cerebro es Juan Alberto Zepeda Méndez
El libro de Juan Alberto Zepeda Méndez
Superbowl y Juan Alberto Zepeda Méndez
Facebook de Juan Alberto Zepeda Méndez
Libro de narcos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Reportaje de Juan Alberto Zepeda Méndez
Twitter de Juan Alberto Zepeda Méndez
Explosición de Pemex y Juan Alberto Zepeda Méndez
Beyoncé y Juan Alberto Zepeda Méndez en NFL
Alicia Keys y Juan Alberto Zepeda Méndez
La novia de Juan Alberto Zepeda Méndez
Las novias de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez estaba casado
Señor Juan Alberto Zepeda Méndez
Director de Cine Juan Alberto Zepeda Méndez
Se va Ninel Conde y Juan Alberto Zepeda Méndez
Pinteres de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez en el antro
Curriculum de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Jorge Hurtado han negado
Fernandez de Ceballos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Ciudad de México y el novio Juan Alberto Zepeda Méndez
El es Juan Alberto Cepeda Méndez
Document Google Street.
Sur un document datant de 1911 (voir ci-bas) on peut voir qu'une église occupait ce coin de rue. Étrangement, le bâtiment qui a pris sa place aujourd'hui, présente des éléments et ornementations qui évoquent l'architecture conventuel.
L'immeuble à gauche est identifiable sur le document de 1911, quoi qu'il ait perdu quelques ornements au niveau de la corniche. Il a conservé ses grands escaliers droits menant a des balcons intérieurs à loggia au premier niveau. Les balcons du 2è niveau ont été conservés mais ils ont perdu leur personnalité d'origine.
|| taken March 31, 2017 with Google Pixel XL and at 4.67, ¹⁄₆₀ sec at f/2.0 with 0 EV, ISO 296 || Copyright 2017 Stephen Shankland
by Andrea Giudiceandrea
See where this picture was taken. [?]
Il pescatore fatto a ciuccio*
Il pescatore fatto a ciuccio
E le ostriche e i musci a mucchi
Sbatte i polipi ridendo
L'acqua zozza balla isterica ai suoi piedi.
E tu succhi.
* di Peppe Leccese
da "20 gr. di poesia" a cura di Dario Pignone, Bari, 1993-1994 (?)
We held a Poster Competition at Google with the theme of the 'Tech Scene in Dublin.' Some absolutely brilliant entries and a great atmosphere. Thank you to Google for hosting us and we'll see our winners at Web Summit :)
mémoire2cité le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété - Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU. Des constructions aux démolitions, la totale ...en 1000 photos souvenirs ...
Montchovet Loti 1989, témoignages... Un grand-Ensemble qui rappelle combien la politique d'urbanisme des années 1960 et suivantes a été conduite en dépit du bon sens la video içi www.google.fr/search?q=montchovet+ina&oq=montchovet+i... et là www.ina.fr/video/CAC00029801 , mais aussi içi www.ina.fr/video/CAC00029801 - avec Claude BARTOLONE içi avec la Visite à Saint Etienne du ministre délégué à la ville le jour de la démolition de la muraille de Chine. Rencontre avec des associations pr discuter du futur du quartier Montchovet. www.ina.fr/video/LY00001263573 - fresques.ina.fr/rhone-alpes/fiche-media/Rhonal00046/demol... - et les differentes videos de la demolition la encore : La démolition de la "muraille de Chine" de Saint Etienne www.youtube.com/watch?v=aq1uOc6Gtd0, www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc terrible :( ^^ l interview de Michel Thiolliere Le Grisou.fr a interviewé Michel Thiollière, ancien maire de Saint-Etienne et sénateur de la Loire, membre du Parti radical et actuel vice-président de la Commission de régulation de l'énergie. Il livre son analyse sur les prochaines échéances politiques, notamment la campagne des municipales en cours à Saint-Etienne, les alliances de la droite et du centre, mais aussi le mandat de Maurice Vincent. Michel Thiollière s'attarde également sur les besoins de l'agglomération stéphanoise et évoque les enjeux énergétiques en France.
(Interview : Maxime Petit -- Réalisation : Studios Bouquet) www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48,
"François Mitterrand, après la visite de deux quartiers -
l'un à Saint Etienne et l'autre à Vénissieux, inscrits sur la liste de ceux à réhabiliter -, parle du plan de réhabilitation pour de meilleures conditions de logement.
Type de média : Vidéo - Journal télévisé
Date de diffusion : 10 août 1983
Source : FR3 (Collection: JT FR3 Rhône Alpes )
Georgina Dufoix / Gilbert Trigano / François Dubanchet / Marcel Houël Le Président
Depuis la fin des années 1970, la région lyonnaise apparaît comme l'épicentre des violences urbaines qui se déroulent en France. Durant l'été 1981, des violences urbaines ont conduit le gouvernement à engager le plus tôt possible une nouvelle politique en faveur des quartiers dégradés. Malgré les premières opérations de réhabilitation engagées par la Commission nationale pour le développement social des quartiers, la situation demeure extrêmement tendue dans un certain nombres de quartiers populaires. L'assassinat d'un jeune de la Cité des 4 000 par un habitant en juillet 1983 a ravivé les débats autour du thème du "mal des grands ensembles" selon l'expression de l'époque. D'autre part, le contexte politique conduit également le pouvoir à s'intéresser encore davantage à la question de la dégradation urbaine dans la mesure où de très nombreux quartiers populaires n'ont pas cette fois-ci apporté leurs suffrages aux candidats de la gaucheLa visite de François Mitterrand dans deux quartiers dégradés de la région lyonnaise constitue donc un signal fort à l'égard des populations qui y vivent. Ce déplacement fait également écho à celui réalisé quelques jours plus tôt au sein de la Cité des 4 000 à La Courneuve en Seine Saint Denis (voir Visite de François Mitterrand à La Courneuve). Le principe est d'ailleurs le même et il est exprimé par le président de la République : voir par lui-même l'état réel de ses quartiers. Le fait qu'il soit mentionné dans le reportage que "ces visites surprises" se soient faites dans la "plus grande discrétion" (notamment sans les élus locaux concernés) marque effectivement la volonté du président de la République d'établir une sorte de lien direct avec les habitants qui vivent dans ces quartiers. Il ne s'agit pas de faire l'annonce de nouvelles mesures mais "de voir les choses par moi-même" selon l'expression utilisée par François Mitterrand lors de son allocution à la Préfecture à Lyon. Au moment où la Commission nationale pour le développement social des quartiers établit la liste définitive des 22 quartiers qui bénéficieront d'un programme de réhabilitation, la visite du président de la République sur le terrain suggère une forme de "présidentialisation" du thème de la réhabilitation des grands ensembles.La création au même moment de Banlieue 89 suscitée par deux architectes proches de François Mitterrand, Roland Castro et Michel Cantal-Duparc, suggère également l'intérêt du président de la République pour les questions urbaines (voir Inauguration de l'exposition organisée par Banlieue 89)."http://fresques.ina.fr/mitterrand/fiche-media/Mitter00106/visite-de-francois-mitterrand-a-saint-etienne-et-aux-minguettes.html Journaliste
Visites surprises qui se sont déroulées dans la plus grande discrétion, seule Madame Georgina Dufoix, Secrétaire d’Etat à la Famille et aux Immigrés, Monsieur Gilbert Trigano, le PDG du Club Méditerranée qui participe à la Commission Dubedout, et deux collaborateurs du Chef de l’État étaient présents. Ni à Saint-Étienne, ni à Vénissieux, les autorités locales n’y ont participés. Peu avant midi, le Président est arrivé à la Préfecture du Rhône à Lyon où s’est déroulée pendant 45 minutes une séance de travail avec les élus locaux et notamment Messieurs Dubanchet, Maire de Saint-Étienne et Houël, Maire de Vénissieux. Réunion qui a donné l’occasion d’aborder les problèmes de fond, devait souligner François Mitterrand.(Bruit)François Mitterrand
Les deux quartiers que je viens de visiter, celui de Montchovet à Saint-Étienne et celui de Monmousseau à l’intérieur des Minguettes sur la commune de Vénissieux, sont inscrits sur la liste des 22 quartiers à réhabiliter, retenus, proposés par la Commission Dubedout devenue la Commission Pesce, et retenus par le Gouvernement. Et je compte appliquer nos efforts pour qu’effectivement, ces quartiers soient réhabilités, c’est-à-dire, soient habitables. Qu’on y trouve, pour ceux qui y vivent, euh, suffisamment de convivialité, de capacité de développer une famille et, euh, revenant de son travail quand on en a, de pouvoir vivre avec les autres. Les conditions de logement, la construction de ces ensembles, les liaisons avec l’extérieur, l’école, le sport, les espaces verts, bref, l’espace tout court, contribuent, vous le comprenez bien à, au futur équilibre, ou contribueront au futur équilibre de ces quartiers. Alors, je préfère voir les choses par moi-même. Il faut bien se dire que à l’origine de nombreux désordres sociaux se trouvent ces fâcheuses, ces déplorables conditions de vie. Et moi, je veux lutter contre ces désordres et pour cela, il faut que je m’attaque avec le Gouvernement et ceux qui ont la charge auprès de moi, je veux absolument m’attaquer aux sources d’un malaise et d’un déséquilibre social qui sont d’une immense ampleur. Raison de plus pour commencer par un bout avec énergie et continuité. Et de ce point de vue, je compte bien, au cours des semaines et des mois à venir, persévérer dans cette enquête personnelle qui me permet ensuite de donner des instructions précises à ceux qui participent à la gestion de l’État.(Silence), à Saint-Étienne comme dans les communes de sa proche banlieue. Une sorte de grand monument à la gloire des HLM, comme si on avait fait exprès de la faire aussi énorme pour montrer comme les gens étaient fiers de ce quartier. Autour on construit tout ce qu'il faut pour les habitants : une école, Montchovet, qui donne sur le grand pré derrière, une MJC, une piscine, un centre commercial, avec la Poste, plus tard le bureau de police. En 1978, comme les enfants des habitants grandissent, on ouvre un deuxième collège dans la ZUP. Il prendra le nom de Jean Dasté, qui a créé la Comédie de Saint-Etienne, le plus grand théatre de province en France, et son école de comédiens. Après 1984 les loyers des HLM ont augmenté, beaucoup d'habitants sont partis. La population de Saint-Etienne diminue surtout dans les quartiers sud : beaucoup de gens déménagent vers la plaine du Forez, moins froide, où il y a la place de batir des maisons. On a rénové beaucoup d'appartements anciens en ville : la crise du logement est finie. On ne sait même plus qu'elle a existé. Les ZUP ont vieilli et la plupart des gens préfèrent se loger dans des appartements récents. Alors on ferme : le collège de Beaulieu, l'école de la Marandinière, la Poste. La Muraille coute très cher à entretenir : il n'y a plus asssez d'habitants pour payer les frais. Les HLM ont décidé de la détruire: c'est le plus gros projet de démolition jamais réalisé en Europe. Les familles qui restaient ont du déménager. On va faire exploser la Muraille de Chine au printemps de l'an 2000. Peut être qu'il fallait le faire, mais pour les gens du quartier c'est un gros morceau de notre Histoire qu'on nous détruit.
1954: les premiers travaux à Beaulieu : la campagne devient une ville à grands coups de bulldozer..
Le projet est de construire en grande quantité des logements de bonne qualité, avec tout le confort, des chambres pour les enfants, l'eau, le chauffage central, des sanitaires, des arbres et des pelouses, et surtout .... des loyers accessibles pour tous. Ce seront les Habitations à Loyers Modérés, les HLM.
Il faudra les construires en dehors des villes, pour en finir avec le mélange des industries et des logements, qui amène le bruit et la pollution. Y prévoir tous les équipements : commerces, écoles, collèges, lycées, transports, parcs, équipements sportifs, police, pompiers, Postes. Construire des villes entières où tout le monde aura accès à ce qui n'était encore que le luxe de quelques gens très riches.
Cinq villes sont choisies pour être prioritaires : Paris ( Pantin ) et Lyon ( Bron-Parilly) à cause de leur taille, Angers et Rouen détruites dans les bombardements de 1944, Saint-Etienne, la ville la plus sinistrée de France pour le logement. C'est là que naissent les cinq premières Zone à Urbaniser en Priorité, les ZUP, modèles de l'urbanisme pour toute une génération. Elles ne s'appellent pas encore comme ça : on les construites avant que l'expression de ZUP existe, c'est de leur réussite que naitra le modèle repris partout pour lequel on inventera le mot plus tard.
Beaulieu I: le projet d'urbanisme
Maquette de 1953 - Projet des architectes Gouyon-Clément
Une architecture géométrique, de grands espaces, des arbres, des formes qui soulignent le relief. Un modèle de l'urbanisme des années 1950.
Beaulieu-Montchovet:
La ville choisit de construire un immense quartier neuf de plus de 4.600 logements, prévu pour loger 30.000 habitants, sur les basses pentes du Pilat, à la sortie sud-est de Saint-Etienne.
Entre les forêts, qui seront classées parc naturel quelques années plus tard, et les quartiers chics du cours Fauriel, c'est un des endroits les mieux situés de la ville.
C'est aussi le seul grand emplacement proche du centre où il n'y aie pas eu de mines, parce que les couches de charbon s'arrêtent juste avant : le terrain est assez solide pour supporter de gros immeubles.
La ZUP de Beaulieu est construite en quatre tranches:
- Beaulieu I ( Beaulieu ) de 1953 à 1955
- Beaulieu II ( La Marandinière ) en 1959
- Beaulieu III ( Montchovet ) en 1964, dont fait partie la Muraille de Chine, le grand immeuble le long du boulevard à gauche.
- Beaulieu IV ( La Palle ) en 1971
Le quartier:
Au premier plan, en bas à droite Beaulieu, la Marandinière est à droite derrière l'autoroute, Montplaisir à gauche, Monchovet au milieu, le long du boulevard de la Palle.
A gauche des tennis, les batiments du collège de Beaulieu. C'était l'autre collège de la ZEP, le seul collège "sensible" de France a avoir été fermé, en 1995.
Nouvelles techniques, nouveaux matériaux :
Construire vite pour un prix raisonnable oblige à inventer de nouvelles techniques, d'autant que l'on manque de travailleurs qualifiés.
La construction s'industrialise: immeubles à structure porteuse ( des poteaux en béton armé tiennent les dalles, ce ne sont plus les murs qui soutiennent les immeubles ), murs rideaux ( les murs sont fait de morceaux préfabriqués accrochés aux dalles ), éléments standardisés ( les éléments: murs, tuyauterie, portes et fenêtres, sanitaires, etc... sont tous identiques, fabriqués en usine en grande série, installés de la même façon dans tous les immeubles ), nouveaux matériaux ( matières plastiques, béton armé, acier ) qui ne s'utilisaient pas dans la construction traditionnelle.
Cela permet de diminuer les prix, en automatisant les fabrications, mais aussi parce qu'on peut utiliser des ouvriers beaucoup moins qualifiés, qui ne font que du montage et que l'on paye moins cher.
Bien après les gens se plaindront de ces appartements tous identiques, de ces matériaux peu agréables, de la taille inhumaine des batiments.
Mais à l'époque il faut compter deux à trois ans d'attente pour obtenir un appartement dans le quartier. Les familles sont si contentes de leur quartier tout neuf que les collègiens qui prennent le bus emportent une paire de bottes en plus de leur chaussures pour aller des immeubles à l'arrêt de bus : pas question de ramener de la boue dans les bus ou dans les escaliers.
La crise du logement:
1950 : la France connait la pire crise du logement de son Histoire. La crise économique de 1929 puis la guerre de 1939-1945 ont arrêté la construction de logements, déja insuffisante avant 1930, pendant plus de vingt ans.
La France est au maximum du "baby-boom" ( période de très forte natalité qui commence à la fin de la guerre ) : les 40 millions de français de 1950 font deux fois plus de bébés que les 60 millions d'aujourd'hui. La très forte croissance économique relance l'immigration. Plus de la moitié des familles sont mal logées alors que la France commence la plus forte croissance démographique de son Histoire.
La IV° République, héritière du programme de la Résistance donne la priorité aux besoins sociaux : école, santé, logement, sur la rentabilité financière. L'Etat, les villes, sont décidés à investir dans le logement, qui est déclaré prioritaire dans le Plan d'organisation de l'économie.
Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.
Une barre d’habitation innovante
A l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.
Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons.
Conception et réalisation d’un quartier entier
Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période.
Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.
Un projet pharaonique
Le centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville.
L’avis de l’architecte
De toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. St-Etienne Cimaise Architectes -
- Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»
Quelle est l'ampleur des destructions provoquées par la Seconde Guerre mondiale à Saint-Etienne?
La ville subit un important bombardement des Alliés le 26 mai 1944. Celui-ci vise les usines qu'utilisaient les Allemands dans la région pour leur effort de guerre et les noeuds de communication ferroviaire. Comme prévu, la gare de Châteaucreux, les usines de Marais et le tunnel de Tardy sont touchés. Mais les bombes, larguées trop rapidement, atteignent aussi les quartiers du Soleil et de Tardy - notamment les écoles - ainsi que l'église Saint-François, emplie de fidèles. Au total, le bilan est lourd: un millier de morts, 1 500 blessés, 22 000 sinistrés; 800 immeubles ont été plus ou moins détruits.
Que prévoit-on pour la reconstruction?
Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.
Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?
C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée.
C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.
Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on passe de 114 logements construits en 1948 à 531 en 1951, 1 085 en 1954, 1 694 en 1957 et même 2 932 en 1959! L'effort est gigantesque. Mais le changement est aussi qualitatif. A la fin des années 1940 et au début des années 1950, la France va connaître une rupture architecturale avec l'apparition des premiers grands ensembles. Saint-Etienne sera l'une des villes symboles de cette rupture.
Comment cette nouvelle architecture est-elle accueillie?
Très favorablement par les classes moyennes, beaucoup moins par les classes populaires.
Cela paraît paradoxal, pour du logement social!
Le paradoxe n'est qu'apparent. On l'a oublié aujourd'hui, mais les premiers grands ensembles sont réservés aux familles de moins de trois enfants ayant des revenus corrects, autrement dit aux classes moyennes. Alors que, depuis la guerre, celles-ci devaient se contenter d'une ou de deux pièces mal équipées, elles se voient soudain proposer des logements spacieux, avec de la verdure, de la lumière, une salle d'eau, des WC, le chauffage central. Cela leur paraît merveilleux! Les pauvres, eux, continuent de s'entasser dans de petits appartements sans confort, quand ce ne sont pas des taudis, en particulier à Tarentaize et à Beaubrun, ou des bidonvilles, du côté de Méons, près des puits de mine et des usines sidérurgiques. Ce n'est que plus tard, à partir des années 1970, que les grands ensembles seront prioritairement réservés aux pauvres et aux familles immigrées. Mais, dans les années 1950, les grands ensembles sont encore synonymes de progrès social. Et même au-delà. On est persuadé que ce nouvel habitat va entraîner le recul de la maladie, de la délinquance, voire de la mésentente entre les époux! Il existe ainsi une «commission du bonheur ou des grands ensembles»!
On croit rêver...
C'était l'ambiance de l'époque, avec ses utopies et ses excès. Pour les architectes, si l'un des repoussoirs est le taudis de centre-ville, l'autre est le petit pavillon de banlieue, symbole à leurs yeux de l'individualisme petit-bourgeois, avec ses gaspillages de terrain, son absence d'horizon et son coût pour la communauté...
Quels sont les quartiers typiques de cette période, à Saint-Etienne?
Le premier est constitué par le très bel ensemble de la place du Maréchal-Foch. Il s'agit d'une étape intermédiaire entre l'îlot traditionnel (des immeubles accolés, formant un pâté de maisons) et sa suppression totale. Du côté de la Grand-Rue, plusieurs immeubles constituent encore des semi-îlots. Mais, à l'ouest, deux immeubles sont déjà totalement indépendants: ils sont construits au milieu de la verdure. Et cela, c'est très nouveau. Jusqu'à présent, tous les immeubles érigés à Saint-Etienne, y compris les plus hauts, étaient accolés à d'autres édifices. Cela reste encore, cinquante ans plus tard, l'un des quartiers chics de Saint-Etienne.
L'autre grande opération de l'époque, c'est Beaulieu I.
Evidemment. On est, cette fois, face à un grand ensemble «pur». Le chantier commence en 1953 - il y a juste cinquante ans - et s'achève en 1955. Ce nouveau quartier de 1 264 logements est remarquablement conçu. Non seulement il respecte la topographie des lieux, mais aussi il joue avec elle: les bâtiments sont implantés soit parallèlement, soit perpendiculairement aux courbes de niveau, ce qui met en valeur la colline tout en préservant son sommet. Pour rompre l'anonymat, les entrées, les façades et les balcons sont individualisés. Les logements sont de qualité, et les espaces verts, confiés aux services de la ville, tout simplement magnifiques. Beaulieu produit d'ailleurs un effet prodigieux sur ses premiers habitants.
Son implantation n'est pas non plus le fait du hasard...
En effet. Compte tenu des préoccupations hygiénistes de l'époque, le conseil municipal a choisi ce site «loin des zones minières et industrielles, à l'abri des poussières et des fumées, au climat salubre». Il souligne qu'il ne sera «jamais exploité par les houillères, car son sous-sol est stérile» et qu'il est également «bien relié à Saint-Etienne par le cours Fauriel, la seule avenue large de la ville». C'est véritablement le contre-modèle du taudis. Il a d'ailleurs, lui également, remarquablement bien vieilli.
Etes-vous aussi enthousiaste pour les projets qui ont suivi Beaulieu I?
Hélas!... Beaulieu II-La Marandinière (1957-1959), Beaulieu III-Montchovet (1962-1964), avec la fameuse «muraille de Chine», Beaulieu IV-la Palle (1967-1970) et la Métare (1962-1974), représentant à eux tous quelque 6 000 logements, constituent - à l'exception de la Métare, qui ne comprend que des appartements en copropriété - des échecs complets. Et tragiques.
Pourquoi cette différence?
Beaulieu I a bénéficié d'une accumulation de partis pris judicieux qui n'ont pas été appliqués par la suite. Outre la qualité de son architecture et de ses espaces verts, on a évité le zonage bête et méchant, qui allait s'imposer plus tard: les zones commerciales, d'un côté; les tours et les barres d'habitation, d'un deuxième; les emplois, d'un troisième. Enfin, Beaulieu I, réservé presque exclusivement aux classes moyennes, n'a pas connu le processus de dégradation que l'on constatera ailleurs, et dont la destruction de la «muraille de Chine» constituera le symbole.
Qui ont été les grands aménageurs de cette époque?
Parmi les politiques: le maire, Alexandre de Fraissinette (modéré), et son premier adjoint, qui lui succédera à sa mort, le radical Michel Durafour. Parmi les architectes: Edouard Hur et Henri Gouyon, concepteurs de Beaulieu I. Et, bien sûr, l'Etat, qui reste très présent. C'est lui qui, de manière générale, garde la haute main sur l'urbanisme. Beaulieu constitue une opération nationale, décidée de Paris. Cependant, ce qui est remarquable, c'est que, pour Beaulieu I, l'Etat va accepter de composer.
Dans quels domaines?
Le ministère de la Reconstruction souhaitait, ici comme ailleurs, que l'opération fût entièrement industrialisée. Autrement dit, que l'on adaptât au bâtiment les méthodes de l'automobile. Les constructions devaient se faire en préfabriqué, et l'on devait se contenter de les monter sur place. Mais, à Saint-Etienne, les architectes, soutenus par le maire, s'opposent à cette directive. Parce qu'ils sont expérimentés, et reconnus, ils vont obtenir gain de cause. Et heureusement.
Y a-t-il eu des projets, conçus à cette époque, qui n'ont pas vu le jour? A la fin des années 1950, l'Etat fait appel à de grands architectes pour remodeler les villes. A Saint-Etienne, c'est Dufau, distingué par le prix de Rome, qui est choisi. Il présente un projet radical: raser les 70 îlots qui se trouvent à l'est de la Grand-Rue, entre la place du Peuple et Bellevue, et les remplacer par autant de tours et de barres! Son projet, finalement, ne sera appliqué qu'en partie. Au sud, jusqu'à Bellevue, presque tout est démoli, beaucoup de tours et de barres sont construites. Au nord, les démolitions sont également presque systématiques, mais, cette fois, les nouveaux immeubles reproduisent la forme traditionnelle de l'îlot. On détruit également une partie du quartier derrière la grande poste, ainsi que l'ancienne caserne de Tréfilerie et la prison de Bizillon.
Le futur Centre-Deux...
C'est cela. Au départ, l'opération se nomme «prison-Tréfilerie», mais les promoteurs, qui ont le sens du commerce, préfèrent la rebaptiser. Ce quartier est conçu comme un centre d'affaires à l'américaine, type la Défense, à Paris, ou la Part-Dieu, à Lyon. On explique aux élus que, s'ils veulent que Saint-Etienne devienne une grande ville, ils doivent la doter d'un centre d'affaires, avec des immeubles atteignant 100 ou 150 mètres de hauteur, comme aux Etats-Unis! Le projet est lancé (en 1969), mais il sera peu à peu amendé, pour tenir compte de la réalité économique, de la montée des oppositions et de l'évolution des mentalités.
Comment l'économie stéphanoise se porte-t-elle alors?
La ville croit encore à l'avenir de la mine et des industries traditionnelles. Cela se comprend: le plan Monnet pour la relance de l'économie française s'appuie sur l'énergie, les transports, les industries lourdes... Bref, tous les points forts de Saint-Etienne, mais ce sera un cadeau empoisonné, car, bercée par cette illusion, la cité s'endort. Quand elle se décidera à moderniser ses structures industrielles, ce sera toujours avec quelques années de retard. Au fond, c'est dans les années 1950 que l'on commet les erreurs qui conduiront, plus tard, au démantèlement des industries locales.
Le secteur tertiaire a-t-il déjà commencé son essor?
Pas encore. Dans les années 1950, Saint-Etienne reste une ville très fortement industrielle. La tertiarisation, avec l'enseignement supérieur, la transformation de l'hôpital en centre hospitalier régional et universitaire et l'essor de Casino, avec les supermarchés et les hypermarchés, ne commencera véritablement que dans les années 1960.
Culturellement, la ville est aussi très active...
Elle est même, à ce moment-là, l'un des hauts lieux de la création culturelle en France, notamment dans les domaines théâtral et artistique. Maurice Allemand fait du musée de Saint-Etienne l'un des plus grands musées d'art moderne en France. Et Jean Dasté propose au public le théâtre moderne. Ce bouillonnement est dû, notamment, à Alexandre de Fraissinette. Comme, après lui, Michel Durafour, il est persuadé que l'avenir de la cité est dans la modernité. Il considère donc qu'elle doit être déclinée dans tous ses aspects: économique, urbanistique et culturel.
La population comprend-elle cette volonté?
Oui et non. Dans les années 1950, il existe un certain consensus, car tout le monde partage la vision d'un avenir meilleur. Mais, en réalité, Fraissinette, et surtout Durafour, sont très décalés. Dans leur obsession d'une ville «blanche», ils refusent en bloc le passé, dont on a heureusement découvert depuis lors les richesses. Ils rêvent d'une ville qui n'existe pas, peuplée d'habitants qui ne ressemblent pas aux Stéphanois réels... C'est d'ailleurs ce qui, plus tard, provoquera la chute de Michel Durafour.
Reportaje de Juan Alberto Zepeda Méndez Esposa de Juan Alberto Zepeda Méndez
Biografía de Juan Alberto Zepeda Méndez
Empresas de Juan Alberto Zepeda Méndez
Demanda de Juan Alberto Zepeda Méndez
PGR y Juan Alberto Zepeda Méndez
Ninel y Juan Alberto Zepeda Méndez
Imágenes de Juan Alberto Zepeda Méndez
Amante de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus demandas
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus papás
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus negocios
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus contactos
Juan Alberto Zepeda Méndez y las imágenes
Juan Alberto Zepeda Méndez y el narco
Juan Alberto Zepeda Méndez y Sandra Ávila
Juan Alberto Zepeda Méndez y el Chapo Guzman
Juan Alberto Zepeda Méndez y la cantante
El secretario y Juan Alberto Zepeda Méndez
Militares y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Jenni Rivera
Juan Alberto Zepeda Méndez en Google
Juan Alberto Zepeda Méndez en Wikipedia
Juan Alberto Zepeda Méndez y que chisme.com
Chuly Ríos y Juan Zepeda Méndez
Ninel Conde y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda y Juan Alberto Zepeda Méndez
Investigan a Juan Zepeda Méndez
Investigan a Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Las Autoridades
Juan Alberto Zepeda Méndez de Vacaciones
Juan Alberto Zepeda Méndez en portlan
Luis Uriel Estrello Ríos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Peña Nieto
Juan Alberto Zepeda Méndez en las Vegas
El cerebro es Juan Alberto Zepeda Méndez
El libro de Juan Alberto Zepeda Méndez
Superbowl y Juan Alberto Zepeda Méndez
Facebook de Juan Alberto Zepeda Méndez
Libro de narcos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Reportaje de Juan Alberto Zepeda Méndez
Twitter de Juan Alberto Zepeda Méndez
Explosición de Pemex y Juan Alberto Zepeda Méndez
Beyoncé y Juan Alberto Zepeda Méndez en NFL
Alicia Keys y Juan Alberto Zepeda Méndez
La novia de Juan Alberto Zepeda Méndez
Las novias de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez estaba casado
Señor Juan Alberto Zepeda Méndez
Director de Cine Juan Alberto Zepeda Méndez
Se va Ninel Conde y Juan Alberto Zepeda Méndez
Pinteres de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez en el antro
Curriculum de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Jorge Hurtado han negado
Fernandez de Ceballos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Ciudad de México y el novio Juan Alberto Zepeda Méndez
El es Juan Alberto Cepeda Méndez
La Google Car avrebbe evitato l'incidente se aiutata dalla Xbox Kinect via ---> www.diggita.it/v.php?id=1531360
casting modelle napoli
--
DIVENTA L'IMMAGINE DELLA PROSSIMA CAMPAGNA PUBBLICITARIA PER SCBN | MICROSOFT CERTIFIED PROFESSIONAL – GOOGLE PARTNER - www.visualteam.org .
--
Per utilizzare nelle Vostre produzioni i soggetti delle immagini inviare una e-mail a: selezioni@scbn.biz.
La aplicación de Banco Sabadell para Google Glass permite generar un conjunto de tarjetas con los resultados de la búsqueda usando la posición GPS y la base de datos de oficinas y cajeros.
Document Google Street.
Cette prise aérienne nous montre l'empiétement complet du quadrilatère (Ste-Catherine, St-Hubert, De Maisonneuve et St-André), de telle sorte qu'il a fait disparaître le tronçon de la rue Saint-Christophe entre la rue Sainte-Catherine et boul. De Maisonneuve. Centre droit, Place Émili-Gamelin, ancien site de l'Asile des Soeurs de la Providence, un terrain acquis par la Ville de Montréal lors de la construction du métro dans les années 1960.
Comparatif de 1964 www.flickr.com/photos/urbexplo/31980516308
Virgen de Guadalupe, Pasado y presente imaginantes*
Tags:
imaginantes cápsulas promos televisa "fundación televisa" "josé gordon" "pepe gordon" "Maribel Martínez" "Alejandra Patrana" "Marcela Solares" "James Boss" "Juan Carlos Zaragoza Ríos" "Gloria trevi y ana dalai" TV, ávatar, diseños, templates, background, ipad, iphion, caso ana dalai, facebook, twitter, google+, youtube
Por: Imaginantes*
Actual oxygenated water from a Google cafeteria. Not merely content to have their own browsers and celphone operating systems...
Document Google Street.
On peut reconnaître certains aspects de la structure de l'ancien "Queen's Hall" sur les façades du rez-de-chaussée et de l'étage de ce bâtiment commercial de la rue Sainte-Catherine.
L'expansion de ce bâtiment a fait disparaître la petite rue Victoria qui reliait les rues Sherbrooke et Sainte-Catherine.
Comparatif de 1885 www.flickr.com/photos/urbexplo/8493416929
Homenaje a EGON SCHIELE
Cuando se ama el arte mas allá de la perfección ( esa expresión impecable y bella en dibujo, pintura o cualquier otra) entonces... se descubre el Arte de Egon Schiele. Transmite, dice, expresa y hasta tiembla, esos rasgos humanos en retratos increíbles. Hacer un homenaje a Egon es todo un reto. La Artista Carmen Luna, lo aceptó y sabía que había que poner pasión al alma...¿ Es posible...?
Reportaje de Juan Alberto Zepeda Méndez Esposa de Juan Alberto Zepeda Méndez
Biografía de Juan Alberto Zepeda Méndez
Empresas de Juan Alberto Zepeda Méndez
Demanda de Juan Alberto Zepeda Méndez
PGR y Juan Alberto Zepeda Méndez
Ninel y Juan Alberto Zepeda Méndez
Imágenes de Juan Alberto Zepeda Méndez
Amante de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus demandas
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus papás
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus negocios
Juan Alberto Zepeda Méndez y sus contactos
Juan Alberto Zepeda Méndez y las imágenes
Juan Alberto Zepeda Méndez y el narco
Juan Alberto Zepeda Méndez y Sandra Ávila
Juan Alberto Zepeda Méndez y el Chapo Guzman
Juan Alberto Zepeda Méndez y la cantante
El secretario y Juan Alberto Zepeda Méndez
Militares y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Jenni Rivera
Juan Alberto Zepeda Méndez en Google
Juan Alberto Zepeda Méndez en Wikipedia
Juan Alberto Zepeda Méndez y que chisme.com
Chuly Ríos y Juan Zepeda Méndez
Ninel Conde y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda y Juan Alberto Zepeda Méndez
Investigan a Juan Zepeda Méndez
Investigan a Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Las Autoridades
Juan Alberto Zepeda Méndez de Vacaciones
Juan Alberto Zepeda Méndez en portlan
Luis Uriel Estrello Ríos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Peña Nieto
Juan Alberto Zepeda Méndez en las Vegas
El cerebro es Juan Alberto Zepeda Méndez
El libro de Juan Alberto Zepeda Méndez
Superbowl y Juan Alberto Zepeda Méndez
Facebook de Juan Alberto Zepeda Méndez
Libro de narcos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Reportaje de Juan Alberto Zepeda Méndez
Twitter de Juan Alberto Zepeda Méndez
Explosición de Pemex y Juan Alberto Zepeda Méndez
Beyoncé y Juan Alberto Zepeda Méndez en NFL
Alicia Keys y Juan Alberto Zepeda Méndez
La novia de Juan Alberto Zepeda Méndez
Las novias de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez estaba casado
Señor Juan Alberto Zepeda Méndez
Director de Cine Juan Alberto Zepeda Méndez
Se va Ninel Conde y Juan Alberto Zepeda Méndez
Pinteres de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez en el antro
Curriculum de Juan Alberto Zepeda Méndez
Juan Alberto Zepeda Méndez y Jorge Hurtado han negado
Fernandez de Ceballos y Juan Alberto Zepeda Méndez
Ciudad de México y el novio Juan Alberto Zepeda Méndez
El es Juan Alberto Cepeda Méndez
2011-10-21 Sichtbar werden mit Folie Gradinger, AUDI FIS Ski World Cup Sölden, RTL - Damen, Fotoblitzteam, Photografer Gerwig Löffelholz
Der Damen- Riesenslalom zum Weltcup- Auftakt in Sölden ist am Samstag mit einer Überraschung, dem Sieg von Lindsey Vonn, zu Ende gegangen. Es handelt sich um den ersten RTL- Triumph der US- Amerikanerin, die damit die erst fünfte Läuferin der Geschichte ist, die in allen fünf Disziplinen Siege landen konnte. Auch das ÖSV- Team hat Grund zur Freude, denn Lizz Görgl (+0,40 Sekunden) wurde hinter der Deutschen Viktoria Rebensburg (+0,04) Dritte. Die Italienerin Federica Brignone, Führende nach dem ersten Durchgang, schied im Finale aus.
Neben Görgl schafften auch die Salzburgerin Anna Fenninger und die Niederösterreicherin Kathrin Zettel als Sechste bzw. Siebente den Sprung unter die Top Ten. Für Michaela Kirchgasser (14.), Stefanie Köhle (16.) sowie Jessica Depauli und Andrea Fischbacher, die zeitgleich 26. wurden, gab es ebenfalls Weltcuppunkte.
01. VONN Lindsey USA 1:10.25 1:14.18 2:24.43
02. REBENSBURG Viktoria GER 1:09.99 1:14.48 2:24.47
03. GÖRGL Elisabeth AUT 1:09.87 1:14.96 2:24.83
04. WORLEY Tessa FRA 1:10.71 1:14.52 2:25.23
05. PIETILÄ- HOLMNER Maria SWE 1:10.35 1:14.98 2:25.33
06. FENNINGER Anna AUT 1:10.85 1:14.82 2:25.67
07. ZETTEL Kathrin AUT 1:11.40 1:14.51 2:25.91
08. LINDELL- VIKARBY Jessica SWE 1:10.77 1:15.19 2:25.96
09. BARIOZ Taina FRA 1:11.52 1:14.72 2:26.24
10. MANCUSO Julia USA 1:11.30 1:14.99 2:26.29
11. GISIN Dominique SUI 1:12.06 1:14.29 2:26.35
12. WEIRATHER Tina LIE 1:12.05 1:14.38 2:26.43
13. DÜRR Lena GER 1:11.54 1:14.90 2:26.44
14. KIRCHGASSER Michaela AUT 1:11.63 1:14.86 2:26.49
15. GUT Lara SUI 1:11.36 1:15.38 2:26.74
16. KÖHLE Stefanie AUT 1:12.39 1:14.57 2:26.96
17. BARTHET Anne- Sophie FRA 1:11.90 1:15.08 2:26.98
18. WIRTH Barbara GER 1:12.42 1:14.69 2:27.11
19. CURTONI Irene ITA 1:12.38 1:14.81 2:27.19
20. SUTER Fabienne SUI 1:12.15 1:15.12 2:27.27
20. PÄRSON Anja SWE 1:12.47 1:14.80 2:27.27
22. GIANESINI Giulia ITA 1:11.67 1:15.67 2:27.34
23. MAZE Tina SLO 1:11.89 1:15.65 2:27.54
24. HÖFL- RIESCH Maria GER 1:11.40 1:16.16 2:27.56
25. GAGNON Marie- Michele CAN 1:11.94 1:15.74 2:27.68
26. DEPAULI Jessica AUT 1:11.66 1:16.10 2:27.76
26. FISCHBACHER Andrea AUT 1:11.82 1:15.94 2:27.76
28. DREV Ana SLO 1:12.54 1:15.94 2:28.48
Fotorechte: Diese Fotos stammen von Gerhard Möhsner und sind urheberrechtlich geschützt. Kopien, Vervielfältigungen für Veröffentlichungen dürfen nur mit ausdrücklicher schriftlicher Zustimmung gemacht werden !! Bilderdatenbank Fotoblitz hier klicken
Google stava da tempo lavorando ad una nuova app dedicata ai viaggi, infatti è diventata r
google, app, android, play www.diggita.it/v.php?id=1533502
Virgen de Guadalupe, Pasado y presente imaginantes*
Tags:
imaginantes cápsulas promos televisa "fundación televisa" "josé gordon" "pepe gordon" "Maribel Martínez" "Alejandra Patrana" "Marcela Solares" "James Boss" "Juan Carlos Zaragoza Ríos" "Gloria trevi y ana dalai" TV, ávatar, diseños, templates, background, ipad, iphion, caso ana dalai, facebook, twitter, google+, youtube
Por: Imaginantes*
El esposo de Ninel Conde, Juan Alberto Zepeda Méndez o Juan Zepeda Méndez es una persona que realizó la creación de casas para migrantes en malas condiciones o que son victimas de robo o de algunos delitos en las fronteras, Juan Alberto Zepeda Méndez es conocido por su gran apoyo a personas necesitadas y por haberse casado con la cantante y actriz Ninel Conde, las imágenes de la boda de Juan Alberto Zepeda Méndez y Ninel Conde muestran el amor que se tienen el uno al otro.
Juan Alberto Zepeda Méndez es buscado por las autoridades para realizar la entrega del premio a mejor Figura Pública debido a su apoyo y ayuda a los necesitados.
Juan Alberto Zepeda Méndez, Ninel Conde, Juan Zepeda Méndez, Juan Alberto Zepeda Novelo, Esposo de ninel conde, fotos de la boda de Ninel conde, Juan Zepeda Mendez y sus empresas, Se busca a Juan Alberto Zepeda Méndez por su apoyo, autoridades, PGR, Premio, JCZR, gOOGLE, poRNO, aCTOR, bAILARIN, FOTOS, xxx, sex, sexo, Kamasutra, big booty, extream, gay, lesvian, pictures, image
Palazzo Colonna
Palazzo Colonna è un palazzo romano, che ora occupa l'isolato compreso tra piazza Santi Apostoli, Via Ventiquattro Maggio , via IV Novembre e via e piazza della Pilotta, e che si estende su un'area dove già prima dell'anno 1000 sono documentati edifici, case, fortezze appartenenti ai Conti di Tuscolo, dai quali discende la nobile famiglia dei Colonna a cui appartiene. Lo stemma di questi ultimi, e quindi il nome, secondo taluni sembra prendere appunto il nome dalla vicina colonna di Traiano, a testimoniare la forte influenza della famiglia in quella zona.
L'insediamento medievale
Fin dal XII secolo si hanno notizie di un palazzo e di un castello dei Colonna nell'area dove si trova quello attuale, insieme ad altri edifici sempre della famiglia in prossimità di esso; il complesso di abitazioni che vi sorgeva, raccolte intorno alla basilica dei Santi XII Apostoli, era il fulcro di una estesa area di proprietà della famiglia che si estendeva dal Quirinale fino al Monte Acceptorium (Montecitorio) e che tra l'altro includeva la limitrofa area dove sorge il palazzo Odescalchi, e l'area dove sorge tuttora il palazzo Sciarra. Sullo stesso luogo ne era testimoniata la presenza della corte di Alberico di Roma Princeps atque Senator omnium Romanorum sin dal secolo X[1].Il corpo principale del palazzo, già fatto abbattere da papa Bonifacio VIII[2], venne presto riedificato e già dal XIV secolo ospitò personalità illustri, come l'imperatore Ludovico il Bavaro e Castruccio Castracani, (1328) e poi Francesco Petrarca, amico della famiglia, quando nel 1341 venne incoronato poeta in Campidoglio. Con il tribuno del popolo Cola di Rienzo restauratore della repubblica a Roma nel 1347, nemico dei nobili e soprattutto dei Colonna, questi furono scacciati dalla città e si rifugiarono nei palazzi della famiglia a Marino. Dopo la caduta del regime di quest'ultimo, quando Cola nel 1354 fu ucciso da un popolano in Campidoglio mentre tentava la fuga, il cadavere venne trascinato fino al palazzo e lì appeso per due giorni e una notte.Al principio del secolo XV Giordano Colonna signore di Genazzano poi principe di Salerno dal 1419, fratello maggiore del futuro papa Martino V, abitava il palazzo prospiciente la piazza dell'Olmo[3] odierna Piazza della Pilotta; questo edificio non pare identificabile con quello ritratto da Maarten van Heemskerck (1534-1536), noto sin dal secolo XIV come Loggia dei Colonnesi[4] inglobato poi nel palazzo detto “dell'olmo” e demolito nel 1926 per fare posto alla Pontificia Università Gregoriana e dove visse per alcuni anni Ferdinando Gonzaga[5] come affittuario della nobile famiglia. Questo palazzo altrimenti detto palazzetto, che almeno dal secolo XVII venne normalmente affittato a cardinali, venne inglobato insieme a quanto rimaneva delle rovine dette "anticaglie" del probabile tempio del Sole o del tempio di Serapide nel "Casino nuovo", visibile nella veduta del giardino Colonna di Giuseppe Vasi della metà del secolo XVIII; il palazzo era altresì contraddistinto dal n. 258 nella contemporanea pianta di Giovanni Battista Nolli come "Palazzo e giardino del Contestabile Colonna con Ruine antiche". Alle spalle dell'edificio verso il Quirinale era addossata la Torre Mesa abbattuta nel 1574 per volontà di Gregorio XIII[6].
L'edificio dove risiedeva Giordano con il nipote Antonio ed i loro congiunti del ramo di Genazzano era verosimilmente quello detto "del vaso" posto anch'esso in prossimità della piazza e della via della Pilotta anticamente nota come via Biberatica alle spalle della basilica dei SS. Apostoli[7], questo edificio a detta di Pasquale Adinolfi era quello più antico e pervenuto ai Colonna dai Conti di Tuscolo, e che successivamente fu ampliato fino alla piazza dei SS. Apostoli sul lato sinistro della basilica omonima per opera dei Della Rovere a cui pervenne nella seconda metà del secolo XV[8].
Adiacente alla basilica dei SS. Apostoli sul lato destro, risultava essere almeno sin dal secolo XIII un altro edificio della famiglia destinato a residenza dei suoi cardinali, dove visse lo stesso cardinale Oddone futuro papa Martino V, e che dopo la sua morte passò temporaneamente ad altri proprietari tra cui il Cardinale Bessarione e i parenti di papa Sisto IV, tornando nelle mani dei Colonna nel 1517con bolla di papa Leone X. In questo edificio vennero praticati dei passaggi con la basilica adiacente in modo da consentire ai componenti della famiglia di assistere da apposite tribune ancora visibili, alle celebrazioni senza uscire dal palazzo[9].
Oddone Colonna, nominato papa nel 1417 come Martino V, fu il pontefice che mise fine alla cattività avignonese riportando la sede pontificia a Roma, città che trovò in condizioni disastrose: "lurida ed abbandonata" come scrisse il Platina. Risistemò, oltre alla città, il palazzo Colonna che fu sua dimora fino alla sua morte nel 1431.
Nel 1527 ospitò durante il Sacco di Roma Isabella d'Este, marchesana di Mantova, e grazie all'illustre presenza, era ella infatti madre di Ferrante I Gonzaga uno dei comandanti dell'esercito dei lanzichenecchi, il palazzo fu l'unico in tutta la città ad essere risparmiato al saccheggio, anche se le più di duemila persone che vi avevano trovato rifugio furono comunque catturate e sottoposte al pagamento di un riscatto per riottenere la libertà.
Quello che doveva essere il cosiddetto palazzo "dell'olmo", come mostra la rappresentazione di Maarten van Heemskerck, ancora nel 1535 insisteva sulle rovine dei templi imperiali (presumibilmente il Serapeo del Quirinale)[10].
Nel XVI secolo i Colonna tornarono quindi in possesso dei palazzi Riario e Della Rovere, che già erano stati di loro proprietà sin dal medio evo, e agli inizi del Seicento nella zona si contano sei palazzi dei Colonna. Il palazzo Colonna della Rovere, già detto del Vaso, fu definitivamente ceduto dal cardinale Ascanio ai Frati minori conventuali per volontà di Sisto V nel 1589 ad un prezzo di molto inferiore al suo valore[11], divenendo la sede del Ministro e della Curia generale dell'ordine
La ristrutturazione del XVII secolo e il palazzo barocco
Per volontà del cardinale Girolamo Colonna, figlio del contestabile Filippo e di Lucrezia Tomacelli-Cybo, attorno al 1650 si incominciò un ambizioso progetto di ristrutturazione e accorpamento dei vari corpi di fabbrica in un unico grande complesso architettonico.
I lavori vengono diretti inizialmente da Antonio Del Grande, e alla morte di questi (1671) da Girolamo Fontana. Il progetto continuò anche sotto il Gran Connestabile Lorenzo Onofrio, nipote del cardinale e Filippo II fino al 1730, quando sono portati a compimento da Nicola Michetti, al quale si deve anche il prospetto sulla piazza SS. Apostoli e quello su via della Pilotta. Su questo lato il palazzo è collegato tramite 4 eleganti archi cavalcavia al giardino della villa Colonna. La facciata del palazzo vero e proprio, al di là della cortina sulla piazza, è opera dell'architetto senese Paolo Posi.
Nella seconda metà del secolo XVII Lorenzo Onofrio I Colonna e sua moglie Maria Mancini furono tra i principali promotori di opere e rappresentazioni teatrali nella città. Nel teatro del palazzo, già esistente nel 1610 quando se ne occupò Girolamo Rainaldi, nel 1668 avviene la prima assoluta di Il girello di Jacopo Melani a cui seguì nel 1676 la prima assoluta di La donna ancora è fedele di Bernardo Pasquini che vi rappresentò altre delle sue opere[12]. Nel 1681 Carlo Fontana realizzò un nuovo teatro nel piano terra dell'edificio adiacente alla basilica dei SS. Apostoli.
Girolamo Colonna fece inoltre costruire l'ala più famosa del palazzo, la Galleria Colonna, iniziata sempre da Antonio Del Grande nel 1654, ripresa da Girolamo Fontana nel 1693 e inaugurata dal cardinale nel 1703, destinata ad ospitare la ricca collezione di famiglia cominciata dal padre Filippo, che specialmente nei dipinti sarà una delle più importanti nella città. Per aiutare lo Stato Pontificio a far fronte alle gravose imposizioni previste dal Trattato di Tolentino, i Colonna furono costretti a vendere oltre a gran parte dei gioielli e dell'argenteria della famiglia, alcune delle opere tra le più importanti (Raffaello, Tiziano, Veronese, Correggio, Reni, Guercino), solo in parte sostituite con acquisizioni successive.
Nel 1802 Carlo Emanuele IV, re di Sardegna, dalle sale di palazzo Colonna abdicò al trono a favore di Vittorio Emanuele I.
Il palazzo conserva comunque tutta la suggestione di una dimora patrizia romana dell'età barocca; oltre alla splendida volta della galleria, affrescata da Giovanni Coli e Filippo Gherardi, diversi ambienti sono decorati da Giuseppe Bartolomeo Chiari, Benedetto Luti, Pompeo Batoni. Il museo ospita dipinti di artisti quali Agnolo Bronzino, Annibale Carracci, Cosmè Tura, Francesco Albani, Pietro da Cortona, Guercino, Tintoretto e Paolo Veronese.
Da Wikipedia, l'enciclopedia libera.
Foto by Google Maps;
Raccolta Foto de Alvariis
Bonjour à tous, aujourd'hui j'ai décidé de vous écrire un article sur les logiciels provenant de chez Google. Cette liste petite liste s'améliorera au fur et à mesure et sera accompagnée petit à petit d'un article complet pour chacun des logiciels.
3D Warehouse
Voici une petite fonction bien sympathique qui va vous permettre de réaliser des recherches, des partages et du stockage de modèles 3D dans le logiciel Sketchup. Les modèles stockés dans 3D Warehouse comprennent tous les éléments nécessaires pour votre monde 3D : immeubles, maisons, ponts, statues, sculptures, fauteuils, voitures, personnes, animaux et bien plus encore.
AdWords Editor
AdWords Editor vise à faciliter la gestion de vos campagnes AdWords. Grâce à lui, vous pouvez rapatrier votre compte AdWords sur votre orcinateur et ainsi travailler hors ligne.
Barre d'outils
La Barre d'outils de Google vous permet de gérer vos favoris si vous utilisez le navigateur Internet Explorer. Stocker dans votre compte Google, vous pourrez ainsi y accéder depuis n'importe quel ordinateur.
Chrome
Le navigateur de chez Google, réputé pour être le plus rapide. Il peut être personnalisé par de nombreuses extensions et thèmes.
Chrome OS
Chrome OS est un système d'exploitation développé par Google sur une Linux et le navigateur Chrome.
Desktop
Voici un logiciel sympathique à installer sur votre PC. Celui-ci vous permet de faire des recherches dans vos dossier de la même manière que vous les réalisez sur le Web. Il intègre en plus Google Deskbar.
Earth
Logiciel existant en différentes versions, une gratuite et d'autres payantes, Google Earth vous permet de parcourir la planète via des images satellite en 2D et en 3D.
Gmail Notifier
Gmail Notifier affiche une icône de Gmail dans la barre des tâches de votre système d'exploitation vous indiquant si vous avez des nouveaux messages dans votre boîte Gmail.
Pack
Google Pack est un ensemble de logiciels appartenant à Google et à leurs partenaires à télécharger en un seul coup.
Picasa
Logiciel de gestion de photo gratuit qui vous facilite l'organisation et le montage de vos photos numériques.
Picasa Web Albums
Voici une solution très simple pour vous faciliter la publication en ligne de vos photos numériques.
Project Shield
Projet de lutte contre les DDoS (Distribued Denial of Service) à l'aide de l'énorme infrastructure de serveurs de Google.
SketchUp
Logiciel de modélisation 3D, Google SketchUp existe en deux versions, une gratuite et une payante.
Talk
Logiciel de messagerie instantanée qui vous permet de communiquer rapidement avec vos contacts Google ou encore de les appeler gratuitement. Google Talk est maintenant remplacé par Google+ Hangouts et n'est plus développé.
Web Designer
LE logiciel de création de bannières publicitaires de chez Google. Web Designer va en effet vous permettre de concevoir vos bannières au format HTML5/CSS3/JavaScript via une interface visuelle et un éditeur de code.
via ift.tt/15PBzuK
Het Google datacenter in Groningen. Je kunt het gebouw van meters afstand horen zoemen. Je realiseert het je niet, maar eigenlijk is het internet best wel slecht voor het milieu.
Le service de cartographie de Google s’offre une nouvelle vie en intégrant d’autres services du groupe de Mountain View, tel que Google Earth, Google+ ou encore Google Street View.
La première nouveauté à citer est le fait que tous nos clics généreront de nouvelles cartes alimentées d’informations personnalisées pour chaque internaute.
Ces cartes personnalisées pourront puiser dans les lieux recommandés par nos contacts Google+ afin de nous afficher les meilleures adresses d’un quartier ou d’une ville accompagnées de courtes descriptions.
La mise en relation avec le service Google Earth nous permettra d’avoir des vues en 3D et des diaporamas fournis par les utilisateurs.
Pour le moment, la nouvelle version de Google Maps n’est accessible que sur invitation.
via bit.ly/15PBzuK
Fidèle à sa vocation MGS Consulting Ouest propose aujourd’hui à ses clients les applications Google Apps pour Professionnels.
Notre objectif est de vous permettre de bénéficier d’outils de collaboration, de diffusion et de partage d’informations à moindre coût.
Per la prima volta l' homepage di Google ospita una pubblicità . Si tratta di una freccia azzurra in alto a sinistra che segnala agli utenti la presenza di Google+ (chi è già iscritto vedrà il proprio nome con un +). Tra l'altro proprio da oggi Google+ accetta l'iscrizione libera, non è più necess ... Post originale: pasqualeborriello.com/google-fa-pubblicita-a-google-in-ho...
Here are the Google services I recommend and how they can work together for you.
For more info visit www.LITBeL.com or email ceo@LITBeL.com
Here is a link to where you can download a free Social Media Kit in pdf format with active links for your convenience Social Media Kit
Pensar en un posible sucesor y analizar si es conveniente que toda su familia sea parte de su empresa, son algunas de las estrategias que debe realizar para que su compañía perdure.
Nota Original: Tips para la permanencia exitosa de una empresa familiar
Googlism for: meg
meg is pregnant /
meg is very easily entertained
meg is desperate enough to
meg is a cutie
meg is still in
meg is a
meg is a giant monkey
meg is the best
meg is
meg is pregnant (twice! c'mon)
meg is very
meg is desperate enough to date
meg is lehetne enni
meg is still in posted november 12
meg is no theory
meg is a little too naive
meg is for sale
meg is a fraud
meg is not responsible for loss or deletion of any data stored on the kit system
meg is not responsible for a customer's lack of awareness regarding changes in terms
meg is the victorian word for a halfpenny and that is precisely what robert's tinwhistle cost to buy
meg is looking at a slow paced future
meg is her oldest daughter
meg is like
meg is a six
meg is confronted with a barrage of questions she doesn't want to think about
meg is a possible successor to the throne of the magic world
meg is a 12 ft high piece of red sandstone standing about 240 ft from the circle of "daughter" stones
meg is a challenging technology
meg is one with the wildlife
meg is the older
meg is mom to two daughters
meg is practical designing every workshop and keynote to help teachers make it happen in the classroom
meg is a self
meg is dispatched
meg is planning to have her breasts enlarged to keep russell happy
meg is not often the first name that comes up when people talk about favourite characters or events
meg is the wife of a pharmaceutical mogul who has been cheating on her
meg is sure to make you laugh
meg is a blacksmith and has been drafted by her future mother
meg isn't really an action figure
meg is pretty friendly when strangers approach her
meg is a bit difficult to understand
meg is jelent
meg is apoligising to ben because she hadn't realized that 'ben' had been derek
meg is totally in panic
meg is explicitly not about the creation of whole new standards for educational metadata
meg is fabulous
meg is a 3
meg is hard to
meg is a tall girl with mouse brown hair
meg is the daughter of two well educated teachers
meg is more than happy to help
meg is on one hand slipping away from the hands of a bunch of ph
meg is more mature that she is made out to be
meg is marad
meg is the tallest of the 69 stones
meg is vásárolhatja könyvünket
meg is a ultimately sensitive magnetic sensor referred to as squid
meg is the ideal system to connect the local or wide area network to the internal can network of a machine
meg is the mother of 7
meg is given a chance to redeem herself
meg is superb
meg is very active in volunteer work
meg is terrorizing wildlife and humans all over the pacific
meg is állapítja
meg is a young schnauzer/terrier mix with yorkie coloring
meg is lehet úszni ezt a pénzt
meg is an endearing and passionate person
meg is a rainforest scientist and her specialty is the very top of the rainforest
meg is a little more tepid about
meg is valósítsa a filmet
meg is an "l" judge and one of only a
meg is a pet quality
meg is pregnant" (seriously, 3 times????????)
meg is to interrupt the distribution of controlled substances into asheville and buncombe county by investigations directed at major drug suppliers
meg is a credentialed career master
meg is the "landtechnik" magazine
meg is jött
meg is in constant need of volunteers
meg is a speaker
meg is bírálta
meg is connected to because
meg is interested in the way educational technology units are created and are being incorporated into university structures
meg is comprised of
...obviously, not all of these are true!
Googlism.com will find out what Google.com thinks of you, your friends or anything!