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Samedi 3 novembre et dimanche 4 novembre, les bateaux des participants de la Route du Rhum - Destination Guadeloupe vont quitter les bassins du port de Saint-Malo pour prendre le départ de la course. Pour assister au passage des écluses, voici les horaires et les interdictions pour suivre ce moment spectaculaire.

Un des spectacles les plus attendus de cette Route du Rhum - Destination Guadeloupe va être la sortie des bateaux des bassins du port de Saint-Malo. Les 123 bateaux vont être répartis en différents sas à partir de 13 h 03 samedi, jusqu’à dimanche 4 h 45. Le spectacle pourra être vu de la terre ou de la mer.

Mais pour limiter « le danger représenté par les risques d’abordages entre les navires concurrents et les navires de plaisance spectateurs à la sortie de l’écluse du Naye », la sous-préfecture de Saint-Malo a pris un arrêté pour modifier le règlement de police du port.

L’organisateur de la Route du Rhum, OC Sport Pen Duick a demandé d’interdire l’accès des navires de plaisance dans l’avant-port, son prolongement et dans la rade de Dinard, le samedi 3 novembre, de 12 h à 20 h, et le dimanche 4 novembre, de 1 h à 13 h. L’accès des navires de plaisance hors concurrents et navires d’assistance, engins de plage, jet-skis et embarcations non-immatriculées est donc interdit.

Les horaires

Les horaires des sas sont fixés pour les Rhum Multi et les Rhum Mono le samedi à 13 h 03, 14 h 03 et 15 h 03. Les Multi 50 sortiront le samedi à 16 h 03. Les Class 40 le samedi à 17 h 03 et dimanche à 3 h 45 et 4 h 45. L’Ultime Use it again sortira le samedi à 17 h 03. Les Imoca partiront le samedi à 18 h 03 et le dimanche à 0 h 45.

Les Ultime situés à l’extérieur des bassins devront quitter leur place à 7 h dimanche.

Les 40 ans d’une course mythique La Route du Rhum s’élancera de Saint-Malo dimanche 4 novembre 2018, comme toujours à 13h02, pour satisfaire à sa retransmission en direct sur France Télévisions.

La célèbre transatlantique, organisée tous les 4 ans, fête cette année ses 40 ans.

Créée en 1978 par Michel Etévenon, un publicitaire parisien et homme de spectacles, elle est désormais « barrée » par Pen Duick, une société appartenant au groupe de presse Le Télégramme. 3 500 miles, soit un peu plus de 5 600 km, séparent Saint-Malo de Pointe-à-Pitre en Guadeloupe, théâtre d’arrivée de cette transat en solitaire. 98 secondes pour une éternité Ils étaient 38 à s’y jeter à l’eau la première fois, en 1978.

Il y avait là Olivier de Kersauson, Philippe Poupon, Florence Arthaud et Bruno Peyron.

Cette édition d’anthologie connaîtra un final incroyable entre Mike Birch et Michel Malinovsky.

Le skipper français est dépassé par le premier nommé, Canadien, à moins d’un kilomètre de l’arrivée. 98 secondes séparent les deux hommes sur la ligne d’arrivée. « 98 secondes pour une éternité » titrera en gros sur sa Une le journal L’Équipe au lendemain de l’événement.

Le drame Manureva 1978, c’est aussi la disparition tragique d’Alain Colas et de son trimaran Manureva. Juste avant que le contact ne soit rompu, le marin lance un appel désespéré au PC Course : « Je suis dans l’œil du cyclone. Il n’y a plus de ciel, tout est amalgame d’éléments, il y a des montagnes d’eau autour de moi ». C’était le 16 novembre 1978 à 4h.

123 bateaux au départ

C’est une édition record qui s’annonce cette année. Dimanche 4 novembre, au départ de la Route du Rhum, au large de Cancale, 123 skippers s’élanceront en solo vers Pointe-à-Pitre.

Ils sont répartis en 6 catégories. Les stars de la course sont regroupées en catégorie « Ultime ».

Ils seront 6 géants des mers à voler sur l’eau en tête de peloton. Les autres bateaux se partagent entre les catégories « Multi 50 », « Imoca », « Rhum multicoques », « Rhum monocoques » et enfin la plus nombreuse la « Class 40 » (53 engagés).

Celle où se côtoient, sur des monocoques de 12 mètres 40, marins aguerris et passionnés de la course au large. Des hommes partis pour certains pour réaliser le rêve d’une vie.

Le record pour Peyron 7 jours, 15 heures, 8 minutes et 32 secondes.

 

Sur la Route du Rhum, ils sont six engagés en Multi50, qui a effectué sa révolution copernicienne ces dernières années. Plus vite, plus fort, plus fiable et sécurisant, ce type de bateaux se cherche un nouvel essor. Le point avec l’actuel et l’ancien dirigeant de la classe.

« On a fait le choix fort de se séparer des anciens bateaux, des vintage, pour présenter sur les départs de courses une classe plus homogène avec des bateaux de mêmes dimensions, qui aient la même hauteur de mât, qui se ressemblent tous un peu tant en termes de performance que de visibilité. »

Erwan Le Roux, skippeur de FenêtréA-Mix Buffet et qui en est à son troisième mandat de président de la classe des Multi50, vainqueur de la Route du Rhum 2014 dans la catégorie, pose les enjeux qui se sont présentés lorsqu’il a pris la succession de Franck-Yves Escoffier, retiré des bateaux après trois victoires dans la reine des Transats et autant dans la Transat Jacques Vabre.

Les Multi50 avaient déjà connu un bel essor sous le règne de son prédécesseur – 11 bateaux engagés il y a quatre ans – mais qu’il convenait de moderniser. Pour lui conférer un aspect plus sportif, pour faire en sorte, aussi, de dépoussiérer. « Ça signifiait se passer de certains », dit-il. Aucune hésitation à trancher dans le vif. Cette année, ils auraient dû être 7, « mais on en a perdu un l’année dernière (l’ex Crêpes Whaou II de Franck-Yves Escoffier, Drekan Groupe d’Éric Defert et Christopher Pratt, chaviré au large des Açores pendant la Transat Jacques Vabre). Quand on a décidé ça, l’objectif était d’arriver au départ de la Route du Rhum avec six à huit bateaux neufs. Il est donc partiellement rempli, avec six bateaux qui peuvent gagner. »

2,2 millions d'euros à la construction

L’affaire est passée par une exigence technologique accrue, et par là même un niveau de pilotes plus aguerris aux joutes rapides sur des bateaux qui lèvent facilement la patte. Les trimarans de 15,24 m ont donc embrayé et suivi la marche engagée tant en Ultimes qu’en Imoca : « On les a modernisés, on a posé des foils, on a essayé de les rendre plus vivants et aériens, et du coup ça a intéressé d’autres skippeurs, Thierry Bouchard, Thibaut Vauchel-Camus, Armel Tripon qui ont contribué à faire que cette classe se dynamise. » Réussite sur toute la ligne, même si cela a supposé une réduction des effectifs et un appauvrissement du nombre pour plus de qualité intrinsèque.

Pas question pour autant de céder à tout, dans un but avoué de coûts limités même si aujourd’hui un Multi50 coûte 2,2 millions d’euros à la construction, et nécessitent globalement un budget annuel de 800 000 euros (amortissement de la machine compris) : « Le carbone reste autorisé pour les bras de liaison, coques et flotteurs restent en verre (plis de verre et mousse en sandwich), et on reste ouverts pour continuer de moderniser la jauge mais on ne pense pas que le tout carbone soit un facteur très important de modernité. » En revanche, d’autres pistes sont explorées. « Les plans porteurs sur les safrans et les mâts basculants en revanche vont dans ce sens, et ce sont des perspectives qu’on explore aujourd’hui. »

« Les bateaux sont plus aériens »

Déjà, l’apport des foils a représenté un bond en avant conséquent. Cinq des six bateaux qui se présenteront dimanche sur la ligne de départ en sont dotés (seul La French Tech Rennes-Saint-Malo de Gilles Lamiré en est dépourvu), et les deux plus récents de la flotte ont été construits autour de ces appendices « volants » : « Très clairement, ils ont constitué un gain de sécurité, et si Drekan en avait eu je pense qu’il n’aurait pas chaviré, assure Le Roux. Moi qui ai navigué avec et sans, je ne comprends pas qu’on n’y soit pas passés avant… Les bateaux sont plus aériens, on a gagné en confort dans de la mer au près – avant dans 2,50m de mer le flotteur s’enfonçait quand maintenant la capacité de naviguer dans de la mer est passée à 3,50m et on a un énorme gain en matière de sécurité d’enfournement et de risque de sansir (chavirer par l’avant). Ça nous permet d’atteindre des vitesses qu’on n’atteignait pas avant dans 3 mètres de mer. »

Du même coup, les performances ont naturellement pris un coup de pied aux fesses. À conditions météo égales par rapport à 2014 où il avait mis 11 jours et 15 heures pour traverser, Erwan Le Roux estime qu’un 50 pieds à foils parcourrait la distance en 10 jours, « et il y a quatre ans on aurait quasiment pris le même régime météo que les Ultimes », ce qui aurait notamment évité le gros décrochage enregistré au cap Finisterre. Cette année permettra de mieux mesurer le chemin effectué. Mais une donnée reste incompressible : celle de la longueur. Quoi qu’il en soit, en dépit du double de longueur qu’affichent les plus grands trimarans, les Multi50 ne mettront pas deux fois plus de temps pour rallier Pointe-à-Pitre.

Franck-Yves Escoffier : « De notre temps… »

« Il y a plus de bateaux compétitifs ! Je vais parler comme un vieux, mais de notre temps, il y avait deux, trois, quatre bateaux plus des vintage, la flotte n’était pas homogène. Quand j’étais président de la classe, mon but était de ne pas exploser les budgets et j’ai toujours freiné. Mais on avait souvent discuté et on savait qu’un jour il faudrait progresser pour réduire les écarts entre classes sur les arrivées et si on n’évoluait pas les monocoques de 60 pieds auraient fini par arriver devant nous ce qui n’aurait pas été normal pour un multicoque. Ils sont donc passés aux foils au bon moment.

J’ai simplement eu le mérite d’aller dans cette classe-là, et de faire des régates avec de très bonnes vitesses moyennes. Maintenant, c’est sûr que pour gagner le Rhum ça va être plus difficile. Sur les six bateaux, il y en a cinq très récents ou qui se sont dotés de foils (seul celui de Gilles Lamiré n’en est pas équipé), donc dire qui va gagner… Ces cinq-là peuvent. J’aimerais qu’il y ait plus de bateaux, parce que quand cette classe a été créée en 2005 après ma victoire dans la Transat Jacques Vabre c’était l’idée, et je ne comprends toujours pas pourquoi plus de skippeurs professionnels ou amateurs très éclairés n’y viennent pas. C’est vrai que ça reste cher, mais très abordable par rapport aux ultimes. On est dans le vrai bateau de belle PME et le problème, c’est qu’aujourd’hui il y a un fossé entre les Ultimes et les Multi50, il n’y a rien d’autre. Bien sûr, et c’est le propre du multicoque, ce type de bateau peut se retourner et si ça se produit à plus de 300 milles des côtes le risque est grand de le perdre, mais c’est justement pour ça qu’il en faudrait plus, pour qu’il en reste toujours un petit peu.

À l’origine, on s’était dit avec nos partenaires un skippeur, un assistant. Et certains ont débordé, je ne leur en veux pas parce qu’ils avaient les moyens d’étoffer les équipes, que ça nécessite aussi de la recherche, énormément de développement sur les pilotes automatiques… Ce sont des bateaux qui vont très vite, beaucoup plus vite que ce qu’on faisait ! Nos pointes de vitesse avec Crêpe Whaou 3 (en 2009) sans foils c’était 32 nœuds, maintenant ils frôlent les 40 nœuds ! Thibaut a réussi à faire 40 nœuds par mer plate avec beaucoup de vent et sous le vent de la côte, ce qu’aucun skippeur n’aurait été capable de prévoir il y a dix ans. C’est énorme sur un 50 pieds, les Ultimes de 32m marchent à 48 nœuds en pointe…

On est en train de progresser, maintenant, je pense qu’il faut s’arrêter aux foils en termes de développement, n’allons pas faire comme les Ultimes, mettre des plans porteurs, des mâts basculants. Il faut se rapprocher de la monotypie, comme ça a été fait pour les foils, et avec des mâts identiques comme ils l’ont fait en Imoca ce qui permettrait de produire des mâts à 10 ou 20 % moins cher, faire des bateaux basiques, même si ce sont des avions de chasse, pour que les sponsors ne viennent pas à débourser trop d’argent tous les ans. C’est certainement la classe où les bateaux sont les plus proches. Vauchel : bateau puissant, beaucoup plus haut sur l’eau pour mieux passer dans le gros temps, et je lui dis en rigolant qu’il ne se gêne pas s’il a la possibilité de passer par le Nord. »

 

La 11e édition de la Route du Rhum va débuter ce dimanche. 123 skippers, amateurs ou professionnels, chevronnés ou novices de la Route du Rhum, vont quitter Saint-Malo pour rallier Pointe-à-Pitre (Guadeloupe). Ces aventuriers des mers sont répartis en six catégories (Ultime, Imoca, Multi50, Class40, Rhum multi, Rhum mono), selon les caractéristiques de leur bateau. Vous ne connaissez pas la différence entre un Imoca et un Class40 ? Ne cherchez pas plus loin ! Nous vous proposons ce décryptage des six catégories de bateaux engagés sur la Route du Rhum.

Les Ultimes, rois de la piste

Ils seront six au départ. Ce seront les rois de la piste évidemment. Les Ultimes sont ces trimarans de 32 m de long (max), par 23 m de large (max) qui atteignent désormais des vitesses vertigineuses (près de 45 nœuds). Ce sera la première vraie confrontation, en course, des derniers nés de la catégorie munis de foils capables de les faire voler au-dessus de l’eau. Si leurs mensurations rentrent dans un cadre commun, ils sont loin d’être identiques cependant.

Les Imoca s’installent dans l’ère du foil...

Depuis le dernier Vendée Globe, en 2016, ces monocoques de 18 m, conçus pour être maneuvrés en solitaire, sont passés à l’ère des foils. Une page s’est clairement tournée avec le tir groupé des foilers (1er, 2e, 3e, 4e) à l’arrivée du tour du monde. Il ne fait plus aucun doute que la performance, au large, est nettement supérieure avec ses appendices qui permettent au bateau de s’élever au dessus de l’eau, à grande vitesse. Sur les 20 bateaux engagés dans cette Route du Rhum, 10 sont désormais munis de foils. Parmi eux, le plus observé sera Charal, le bateau de Jérémie Beyou, mis à l’eau cet été, et qui semble déjà impressionner ses adversaires par sa puissance phénoménale. C’est véritablement le premier Imoca conçu (par le cabinet vannetais VPLP) autour et pour l’usage de ses foils. Les autres sont déjà de la génération 2015 (Bureau Vallée, Malizia, Ucar St-Michel, Newrest...), voire 2010 (Initiatives cœur).

Multi 50 : petite classe, grosses sensations

Ils ne sont que six dans cette catégorie, mais c’est probablement la plus homogène des six. Ces trimarans de 15 m, moitié plus petit que des Ultimes, mais quatre fois moins onéreux (au minimum) sont quand même de véritables petites bombes. Depuis que la jauge leur a autorisé l’implantation de foils, ils peuvent désormais atteindre des vitesses impressionnantes, largement au-delà des 30 nœuds. En convoyage, Solidaires en Peloton, de Thibaut Vauchel-Camus a même décroché une pointe à plus de 40 nœuds ! Son bateau, le dernier sorti des chantiers et Ciela Village de Thierry Bouchard préfigurent du futur de la classe. Mais les bateaux d’Erwan le Roux (FenétréA mix Buffet), de Lalou Roucayrol (Arkema) et d’Armel Tripon (Réauté chocolat), reconfigurés, sont toujours très compétitifs. Seul celui de Gilles Lamiré (French Tech Rennes Saint-Malo) semble un peu dépassé.

Les Class 40, plus vite, plus nombreux

C’est la catégorie de bateau la plus nombreuse avec 53 inscrits. Cette classe de bateaux de 12 m connaît un succès croissant. Bien plus abordables financièrement que les Ultimes, les Imoca et les multi 50, ils sont devenus une belle porte d’entrée dans la course au large. Les bateaux des dernières générations sont désormais très performants, capables de tenir des moyennes élevées (plus de 320 milles par jour) et attirent donc des skippers expérimentés comme d’anciens vainqueurs de la Solitaire du Figaro (De Pavant, Troussel, Richomme…). Comme ce sont des bateaux fiables, ils présentent des chances importantes de rallier l’arrivée. Plus d’une quinzaine de ces Class 40 ont moins de quatre ans, et composent, au sein de la flotte, un groupe qui devrait se tirer la bourre et battre, si le temps le permet, un record de la traversée (16 j 17 h).

Rhum multi : vintage ou croisière rapide

Ont été regroupés dans cette catégorie tous les bateaux qui comptaient plus d’une coque et ne rentrait pas dans les catégories Ultimes ou Multi 50. C’est une catégorie qui compte, pour la très grande majorité des skippers amateurs. La flotte des 21 bateaux est très hétérogène et on y trouve aussi biens des anciens Multi 50 déclassés, des répliques ou sistership d’Olympus, premier bateau vainqueur en 1978 avec Mike Birch, que de récents catamarans de croisière rapide. Tête d’affiche de la catégorie Rhum multi : Loïck Peyron, qui participera, à l’ancienne, sur son petit trimaran jaune « Happy », de 12 m, pour rendre hommage à Mike Birch, son premier mentor. Il aura deux adversaires directs sur des bateaux quasi identiques : Charlie Capelle et François Corre.

Rhum mono : de tout, pour tous

Dans cette catégorie-là aussi on trouve de tout. Seul impératif : les bateaux ne doivent comporter qu’une seul coque, et mesurer au minimum 12 m. Le plus grand sera Kriter V Socomore, le bateau de 21 m de Michel Malinowski, vaincu par Olympus de Mike Birch, pour 98 secondes en 1978. C’est quasiment un monument historique que ce plan Mauric en contreplaqué ! Et c’est Bob Escoffier, le skipper malouin âge de 69 ans qui a relevé le défi de l’emmener 40 ans plus tard à Pointe-à-Pître. Plus étrange, on trouve aussi un Imoca, non adhérent à la classe, skippé par Sébastien Destremeau, lanterne rouge du dernier Vendée Globe, qui devrait plutôt figurer avec ses homologues de 60 pieds, et qui, du coup, fausse un peu l’équité de la course dans cette catégorie de passionnés.

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While eight out of ten men can read and write in Yemen, only half the number of women can, or four out of ten. By increasing the number of female school teachers, UNICEF is managing to boost the number of girls receiving primary education.

 

© UNICEF Yemen / 2007 / Giacomo Pirozzi

In 1906 the Bellingham Y opened in a new building on Holly Street. Later it become the Odd Fellows Building, but now that building is apartments with a bar downstairs and a dance floor, old gym in the back.

 

The newer YMCA was built as an office building around 1907. In the 1920s, it became the Hotel Henry. By the 1940s, it becoame the Y with a gym and pool addition built in the back during the 1950s.

 

The Y may be moving again. The city and the Y are studying the feasibility of a new center at Civic Field off of Lakeway Drive.

 

More parking. Seems like parking drives a lot of thinking. Also more traffic on Lakeway Drive, but it would be a more modern facility. Would be built in conjunction to the Arne Hanna Aquatics Center that the city has been operating since it was built in the 1990s.

 

As for the traffic on Lakeway, there are some better bike routes to the north along Meador, Fraser or the trail along Whatcom Creek. These routes can access the north side of Civic Field. See Mark Allyn's video on these routes.

 

The current Y building, on State Street, would be re purposed to another use such as for housing.

 

If this plan comes to fruition, it would be several years from now. A new facility would cost quite a bit of money to build.

 

Bellingham Herald article on the potential move.

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Newspaper

2-22-1967

 

Mrs. Edwin Roberts presents certificates to local students who took part in an essay contest. Pictured, from left, are Mrs. Roberts, Pamela Nicely, Brenda Hardgrove, Joan Rogers, Barbara Nutgrass, Ann Fowler, Mickey Ray and Walter Mauldin.

 

(GGG)

Jim Slaughter Photography Collection

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Avec cette victoire méritée, Saint-Malo s'installe dans le haut du tableau en compagnie de ses victimes du jour.

Dans la semaine, Fabrice Garin l'entraîneur malouin, au-delà des points de la victoire bien entendu, souhaitait avoir enfin « un match référence », à l'occasion de cette troisième journée de championnat. C'est donc chose faite après cette victoire face à l'équipe du Mans qui était pourtant invaincue, et surtout qui n'avait encaissé aucun but depuis l'ouverture du championnat.

« Je trouve que nous étions là, dans l'état d'esprit et dans l'engagement défensif. Nous avons aussi essayé de proposer du jeu lors de nos possessions de balle », analysait, à chaud, le technicien malouin. Une analyse effectivement lucide, car après une entame de match plutôt timide et crispée, Saint-Malo, au fil des minutes, trouvait son rythme et s'enhardissait même offensivement, avec deux belles actions de buts. Tout d'abord par Lefeuvre seule face à la gardienne du Mans (25') et surtout à la suite d'un centre de Béroudiaux, repoussé des poings par le dernier rempart visiteur dans les pieds d'une de ses joueuses. Un renvoi qui pouvait tout aussi bien finir dans les filets du Mans et non en corner comme cela était le cas (37').

Entre-temps, les visiteuses Gahery (10') et Debonne (30'), sur des tirs, et Thébault, sur une sortie sans conviction de Guézille, la gardienne malouine (25'), avaient fait passer quelques sueurs froides dans le dos des supporters locaux.

Au retour des vestiaires, après deux actions de buts pour le Mans et la blessure de Daunas la capitaine locale (genou), les entrées en jeu malouines de Le Garrec et de Kaboré, en pointe, allaient finalement être salvatrices pour les Diablesses. En effet, après l'ouverture du score par Le Garrec partie seule battre Dalibot (58'), Kaboré, lancée en profondeur par Le Garrec et après un grand pont sur Dalibot venue à sa rencontre, l'ancienne joueuse d'Orvault enfonçait le clou avec une seconde réalisation locale (80'). « La messe était dite », comme il était de coutume d'affirmer il y a quelques années dans les patronages !

SAINT-MALO - LE MANS : 2-0 (0-0).

Arbitre : Mme Buffart.

BUTS : Le Garrec (58'), Kaboré (80').

AVERTISSEMENT. Le Mans : Messager (44').

Fabrice Garin (entraîneur de Saint-Malo) : « Nous avions besoin de cette victoire. Nous marquons sur leur temps fort, alors que nous étions dans le dur. Le bémol, c'est la blessure de Mélanie Daunas. Mais je le redis, nous avons été costauds défensivement. »

Christophe Charbonnier (entraîneur du Mans) : « Quand nous perdons, nous sommes déçus. Quand nous sommes nuls, comme nous l'avons été aujourd'hui, nous le sommes encore plus ! L'esprit qui m'habite actuellement, c'est que j'ai honte de mes joueuses ! À la mi-temps, je les ai prévenues, qu'à force de rater des buts, nous finirions par le payer. C'est exactement ce qui s'est passé. »

 

US Saint-Malo - Le Mans,

dimanche. Face à une équipe invaincue, Justine Lepauvre et ses coéquipières doivent réussir la première à domicile.

Pour préparer au mieux ce match, Fabrice Garin n'a pas manqué, jeudi, de parler individuellement avec l'une de ses joueuses. Non pas qu'il eût besoin de recadrer, Justine Lepauvre, la joueuse en question. Bien au contraire, le technicien n'a pour l'heure que des éloges pour son arrière droite, « une fille avec un super-état d'esprit, à l'écoute et qui travaille beaucoup ».

Ce temps individuel, était tout simplement pour voir avec elle les forces et défauts de ses hôtes de dimanche. En effet, Justine, 21 ans, recrue malouine de l'été, connaît parfaitement bien le Mans pour y avoir joué en D2 durant quatre saisons. « Après Saint-Hilaire du Harcouët où je suis née, Avranches où j'ai pu évoluer avec les garçons en 13 ans DH, et surtout deux années en D2 à Condé dès l'âge de 16 ans, j'ai opté pour le Mans. Comme j'étais aussi au Pôle Espoir de Rennes, cela me permettait d'évoluer encore en D2 », explique Justine, qui dit ne garder que des bons souvenirs dans le 72.

Alors, pourquoi muter cet été ? « Je voulais à la fois me rapprocher de mes parents dans la Manche, évoluer encore en D2 et surtout penser au travail. Là, à Saint-Malo, je prépare un Bachelor au service des achats au sein de l'entreprise du président du club », répond avec simplicité celle qui compte aussi dans son parcours sportif quatre sélections en U19. Décrite comme « une joueuse puissante », par son entraîneur, et importante : « Elle sait mettre une bonne ambiance, sans oublier un esprit de compétitrice. »

Compétitrice effectivement, car à l'évocation des deux premières sorties de son équipe à Bordeaux (revers 0-1), et malgré une victoire face à Quimper (2-0), elle dit sentir que son équipe : « peut mieux faire. » Elle compte d'ailleurs, « faire mieux », dès ce week-end contre ses anciennes coéquipières dans ce match « si particulier. » Justine sait que pour battre, « une équipe jeune, mais qui se connaît parfaitement, nous devrons certes s'appuyer sur nos joueuses cadres, mais sans oublier le sens du collectif ! » Une bonne idée pour avoir enfin, après 3 journées de championnat : « un match référence », comme le demande aussi Fabrice Garin.

SAINT-MALO : Guézille, Perrin, Lepauvre, Février, Sychareunh, Gourvil, Daunas, Le Meur, Le Dins, Abad, Kaboré, Lefeuvre, Dos Santos, Beroudiaux, Portier, Le Garrec (?).

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Yemen continues to rank last in the world in terms of gender equality. Girls and women are excluded from the political, social and economic spheres, resulting in vulnerability, exploitation and oppression.

 

© UNICEF Yemen / © 2011 / Hedinn Halldorsson

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facebook.com/michmutters

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This series/essay covers 48 hours of moments and scenes in my last visit to Melbourne in July 2013. The edit style is inspired by Eugène Atget and his photographs of "old Paris". It was not my intention to turn Melbourne into Paris, even if it is our most European city, but to capture the mood that was conveyed through many of Atget's images. In a time when things seemingly move forward too quickly, moments come and go and are forgotten - and in the end, like many historical images in our visual landscape, all these moments, like all the people, are just that: the past.

 

All images were taken using Procamera in iPhone 4S.

Some edits were done on the iPhone 4S whilst others were streamed via iCloud and edited on my iPad 2 - I wanted to ensure that these were "mobile only" - a juxtaposition: capturing the 21st century, reflecting a time when photography was romantic and using modern, non-romantic technology.

 

Apps used to edit were the same right through to: Snapseed, Tintype App, Koloid, Mextures and Camera Awesome.

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My apologies if you have to read the same caption on the whole set.

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