View allAll Photos Tagged cauchemar

Classified in the flickstrsBETA

 

Noir comme une perte de mémoire

Que l'on voudrait encore avoir,

Pour passer entre les cafards

Passer entre les cafards

 

Noir comme nos amours

Qui n'ont plus le goût du réglisse,

Comme l'encre d'un tatoo

Qui vient cacher les cicatrices,

Noir comme nos amours

Moi qui croyais en la justice,

Noir c'est la couleur de ton regard

Quand il me dit qu'il est trop tard,

Et m'interdit d'encore y croire

Et m'interdit d'encore y croire

Noir comme désir est un cauchemar

Où tout peut basculer un soir,

 

[Lionel Florence] - Pascal Obispo Lyrics "Les Fleurs du bien"

 

Latest photos - Randomized visit - Blog entry

[...] I cannot refrain from doubting that there exist any genuine realizations of our deepest character except war and illness, those two infinities of nightmare, [...]

 

[...] je ne peux m'empêcher de mettre en doute qu'il existe d'autres véritables réalisations de nos profonds tempéraments que la guerre et la maladie, ces deux infinis du cauchemar, [...]

 

Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit

 

Infrarouge

Infrared

 

J'aime comme l'infrarouge permet différents traitements...

Tout peut devenir douce rêverie ou affreux cauchemars....

 

Toujours lors de ma petite virée en Estrie

 

- photomontage - cette image est tirée du site internet www.laboratoiredelhydre.fr qui présente un corpus de travaux en architecture, scénographie, peinture, photomontage, sculpture, photographie, séquence.

 

Guardate le altre foto del SET... DREAM LAND

See other pictures of SET... DREAM LAND

 

Tutte le foto - All photo [ from PaoloBis ]

 

L'« opération militaire » en Ukraine m'interpelle tous les jours et cela m'a inspiré cette image que je publie en guise de support au peuple ukrainien qui vit ce cauchemar terrible.

Il s'agit de la Cathédrale Orthodoxe ukrainienne Sainte-Sophie de Rosemont à Montréal, photographiée avec une technique d'ICM (mouvement intentionnel de l'appareil).

La nuit,

 

La nuit n’est point un cauchemar,

Le noir dessine l’espace,

Où mon esprit se prélasse,

En libérant tous ses amarres.

 

La nuit, je suis tel le renard,

En chasse de riches idées,

D’art, aux lumières évadées,

Pour aviver tous vos regards.

 

Puis après le nuit luit le jour,

Morose comme nos chemins,

Qui se dessinent de chagrin,

Dans nos prisons sans nul recours.

 

Au moins la nuit, je peux rêver,

Je suis libre tel l’artiste,

Que plus nulle vie n’attriste,

Je peux vivre à en crever.

 

Michaël Overberg

Voyage poétique

 

Poète, envole-toi au bout de l’univers,

Où germent les trésors de radieux paysages,

Pour nourrir ton esprit de perfection sauvage,

Prompte à illuminer tes citadins hivers.

 

Abandonne un instant ton quotidien amer

Dont la monotonie assombrit ton ouvrage,

Afin de t’égayer sous des cieux sans nuages,

Qu’un soleil flamboyant habille d’outremer.

 

Troubadour, va cueillir sur de lointains rivages

Des gerbes enflammées de soyeuses images,

Zélées à conjurer tes cauchemars diserts.

 

Ta plume, retrouvée au bout de ton voyage,

Enrichie des pays que tu auras couverts,

Épanchera ta joie en myriade de vers.

En s'appuyant sur sa théorie de l'évolution, Charles Darwin ne comprenait pas l'existence des paons. En effet, d'après les théories du scientifique, un tel animal, très voyant, aux couleurs extravagantes, aux cris si aisément reconnaissables et perceptibles, et courant aussi lentement, aurait dû disparaître depuis longtemps parce qu'il était mal adapté à son environnement. Darwin disait lui-même que les paons étaient son cauchemar. Il en induisit qu'une des composantes de la sélection naturelle était la sélection sexuelle : évolution d'un attribut sexuel apparu au départ par une fluctuation et s'étant développé parce que conférant un léger avantage reproductif. fr.wikipedia.org/wiki/Paon

Better in large size ^^

 

Bisous, bisous, gentils bisounours

 

Bisou, bisou, gentil bisounours

Un p'tit bisou y a rien de plus fou

Bisou, bisou gentil bisounours

Un gros bisou y a rien de plus fou.

 

Un le matin juste pour se sentir bien

Un bisou à onze heures pour un peu de bonheur

Un à midi ça fait plaisir aussi

Et un le soir ça évite les cauchemars

 

Un en janvier pour attendre l'été

Un en avril pour un printemps facile

Un en juillet pour danser et chanter

Un à Noël ça rend la vie plus belle

Barzaz - An erc'h war an enezeg youtu.be/SQO7yAEVSHs

  

Une grande allée d'acacias. Une chapelle bâtie dans un espace verdoyant. Le Champ-des-Martyrs, à Brec'h, est un lieu où l'histoire résonne. L'histoire de France a frappé deux fois à Brec'h, tout d'abord en 1364, près d'ici, avec la bataille d'Auray et la guerre de succession des ducs de Bretagne ; en 1795 alors que des chouans et royalistes furent exécutés sur ce site.

Cette année-là, des navires de partisans de la monarchie débarquent en baie de Quiberon. Face au général républicain Hoche, l'expédition tourne mal.

Rappel historique :

"Le 27 juin 1795, sur les plages de Carnac, une flotte à la solde de l’Angleterre débarque 5400 émigrés venus rejoindre les Chouans de Bretagne. Leur objectif commun : restaurer la monarchie en France. Face à la réactivité et à l’organisation de l’armée républicaine, les "Blancs" se retranchent rapidement sur la presqu’île de Quiberon… Mais le courage de quelques chefs chouans ne suffit pas à sauver de la répression de nombreux royalistes. Sur les 6262 personnes arrêtées, 748 sont fusillées. Trois semaines auront suffi à l’armée du général Hoche pour réduire le dessin royaliste en cauchemar. L’Histoire lui a laissé le nom "d’Affaire de Quiberon". Dès 1795, les lieux d’exécution des émigrés et des Chouans sont appelés "Champs des Martyrs".

 

On raconte qu'avant de repartir Hoche avait donné parole que les prisonniers ne seraient pas tués. Il en fut autrement.

Son adjoint les fait amener par vingt, ils descendent le chemin et sont exécutés dans ce champ, qui à l'époque, un marécage - le marais de Kerzo - dans lequel les troupes républicaines ouvraient et rebouchaient des fosses, semaine après semaine. Le champ est devenu un charnier. Au total, 206 personnes y auraient ainsi été fusillées par les troupes du général Lemoine.

les corps sont à peine ensevelis, si bien que les ossements remontent rapidement à la surface… Mi-mai 1814, sous Louis XVIII, les ossements sont transférés à La Chartreuse, à Brec'h, pour que les soeurs puissent veiller sur eux. Le duc d'Angoulême effectue une visite. À l'automne, il est décidé de créer deux monuments : Un mausolée en marbre à La Chartreuse et une chapelle expiatoire dans cet endroit dénommé champs des martyres. Une souscription est lancée...

Montparnasse - Paris - Canon FD 50mm F/1.4 S.S.C

Un grand merci à Alexandra B et Frédéric M, mes deux assistants préférés, de s'être gelés avec moi !

stefaniebst.wordpress.com/2016/03/08/killing-my-self/#mor...

« La première condition de l’immortalité, c’est la mort. » (S.J.L.)

 

new website : this, random, RSS | random Flickr | © David Farreny.

www.youtube.com/watch?v=-u3qekV6XXM

Que des dégâts matériels , vitre de côté conducteur explosée , les fenêtres du toit arrachées et la cuisine écroulée ..... et bientôt la pluie ....

Une nuit de cauchemar mais le camping-car est resté debout , chose rare dans cette nuit très mouvementée

Le vent l´a quand même déplacé latéralement de presque 2 mètres ...

Alptraum oder Erinnerung?

  

In Explore - January 10, 2019

 

Victory Day, held annually on 9 May, is a national holiday in Georgia and many former Soviet Union countries. It commemorates the formal surrender of Nazi Germany to the Soviet Union in Berlin in May 1945 and marks the end of the Great Patriotic War for the USSR, which lost around 25 million citizens in the four years of fighting. A traditional ceremony of laying wreaths at the Tomb of the Unknown Soldier is held at Vake Park in Tbilisi. Similar events are held throughout Georgia at the memorials to those killed in World War

Comme ils travaillent sans trêve, se retournant dans

les draps de la vie comme en un lit de cauchemar,

Avec la sueur au front, les mains moites, et poursuivant

on ne sait quelle aventure inéluctable,[…]

Et ils continuent à accomplir leur besogne, oh ! pour-quoi,

sans doute parce qu’il faut manger et qu’il y a des gosses à la maison,

Georges Ribemont-Dessaignes

 

Facebook | Twitter | Prints | SoundCloud | © Ben Heine

______________________________________________

 

Every woman's nightmare. Hair dryer in reverse mode :S

 

OK, this was almost an improvised photo while Alizée was

getting ready for our shooting but I spent a bit of time to edit

it and boost every detail of it. You can view some backstage

photos at this link.

 

I took this photo in the frame of the "Tour De France Photo"

 

Model: Alizée Poulicek

Hair Styling: Alain Spaens by Joseph

Master Makeup Artist: Avital Assayag

Fashion Design: Alizée Poulicek

Photography (+editing): Ben Heine

Location: The Dominican Hotel

______________________________________________

 

For more information about my work: info@benheine.com

______________________________________________

- photomontage - cette image est tirée du site internet www.laboratoiredelhydre.fr qui présente un corpus de travaux en architecture, scénographie, peinture, photomontage, sculpture, photographie, séquence.

Le château de l'Anglais est un édifice qui marque l’apparition de châteaux de styles exotiques construit à Nice de 1856 à 1858 xixe siècle.De par sa couleur et sa forme, il demeure comme l’un des témoignages forts des folies qui sont érigées sur la Riviera.Il est situé sur les pentes rocheuses au sud-est du Mont-Boron qui donne à la fois sur le boulevard Carnot et l’avenue Jean Lorrain. Sa construction débute en 1856, date de l'achat d'un terrain de 22 000 m2, par Robert Smith (1787-1873), colonel du génie anglais en Inde2. Il est construit en trois ans et son architecture éclectique s'inspire des constructions néo-mogholes. Les merlons sont inspirés du Fort-Rouge de Delhi que le colonel Smith avait restauré. Le domaine descend sans interruption jusqu’à la mer et comprend de nombreuses fabriques (tours, belvédères, kiosques, escaliers…), toutes dans le même style exotique fantaisiste.

 

Le château suscite rapidement de nombreux commentaires souvent contradictoires : En 1861, Émile Négrin évoque « un quelque chose, cauchemar des architectes classiques », en 1877, Mayrargue parle « d’une admirable villa où tout ce que l’imagination peut rêver de plus extraordinaire y a été assemblé avec un art exquis » et Stephen Liegeard le juge comme « une bâtisse qui n’est ni un château, ni un palais, ni une tour, ni un bastion, ni une villa, ni une pièce montée, ni un gâteau de Savoie, ni rien qui ait un nom dans aucune langue ».

 

À partir de 1875, la propriété est achetée par la famille polonaise Gurowsky de Wezele au fils du bâtisseur, puis elle est revendue à différentes sociétés immobilières qui la morcelle en plusieurs lotissements. Après la Seconde Guerre mondiale, le château est transformé en copropriété. Le jardin botanique est classé Monument historique.

 

Le château (avec la rotonde de l’ancienne salle de musique) fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 20 juin 2000

des rêves et des cauchemars

La prochaine fois, je prendrais un trépied... mais du coup j'aurais plus un portrait de spectateur que le panorama derrière. ...

 

Perfectible ;)

 

Pour une photo à mains levées, les bras tendus, sur la pointe des pieds, ce n'est pas si mal ;)

 

Je partage mon rêve avant qu'il ne se soit malheureusement transformé en cauchemar à cause de la folie.

Aux victimes.

 

Gardons notre capacité d'émerveillement et nos idéaux :

"Article Premier. Tous les êtres humains naissent libres et égaux en droits », texte repris en 1948 comme article 1er de la Déclaration universelle des droits de l'homme en ajoutant l'obligation de fraternité: « Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ». Wikipédia

A chaque minute nous sommes écrasés par l'idée et la sensation du temps !

Il n'y a que deux moyens pour échapper à ce cauchemar : le plaisir et le travail.

Le plaisir nous use et le travail nous fortifie."

Alors "Choisissons.”

De Charles Baudelaire

- Underground Nightmare # 7 -

The end is a beginning, we each have ours...

Chasse gardée ! ... Il y a 4 ans cet endroit était une Zone de protection de la faune !!!

Au même endroit ... 13 mars 2014 ... les temps changent !

Les chasseurs ont donc plus de droit que les promeneurs pourtant 10 fois plus nombreux ?....

Ça me laisse rêveur ...façon cauchemar !

   

... Attiré par la neige abondante et immaculée... on chausse nos skis d'fond ou raquettes... Dans le silence absolu... on avance... on s'enfonce dans la forêt ... Tout à coup on réalise que le décor a changé... le sentier disparait... On a plus nos repaires... tout s'embrouille... Où allons nous?... Où sommes nous?... Est-ce un mauvais rêve?... un cauchemar?... ou bien... la réalité qui se déforme?...

*Photo prise dans les marais MacLaurin...

----------

Quand on s’endort on ne sait jamais là où nos songes vont nous porter, arrachée à un doux rêve de couleurs acidulées, elle se réveille suffocante, gênée par cette épaisse poussière. Le lieu est désert, glacial, rongé et figé dans le temps. Les seuls fils soyeux flottants autour d’elle sont les derniers signes d’un semblant de vie.

Un lieu où l’on devient vite la proie des ténèbres, son cœur tambourine depuis le réveil, sa respiration est bruyante, elle a l’impression de l’entendre raisonner dans l’immense bâtiment.

Au loin des bruits se font entendre, des grincements, puis claquements, le vent s’engouffre et gémit au quatre coins de la bâtisse.

Depuis qu’elle s’est redressée sur ce lit bancale, il y a ce poids, ce poids qui lui pèse sur les épaules, à chaque instant il devient de plus en plus lourd, elle n’arrive pas à se lever. Les murs, tel un papier que l’on tremperait, s’imprègnent de silhouette sombre, commençant à danser autour d’elle.

Ses yeux cherchent une quelconque façon de s’échapper, c’est alors qu’elle aperçoit un léger rayon passer à travers l’un des volets, elle ne l’avait pas remarqué jusqu’à maintenant.

Elle bondit sur ses pieds et se précipite à la fenêtre l’ouvrant avec fracas, la pièce se retrouve immédiatement immaculée de lumière, elle place une main devant ses yeux pour se protéger de cette luminosité aveuglante. La rêveuse n’arrive plus rien à discerner autour d’elle, tout semble changer, elle se sent happée, elle quitte progressivement ce cauchemar.

Le silence retombe, le froid et les noirceurs ont repris leur place, mais le lit est vide, parmi l’obscurité et les immondices elle avait réussi à les affronter, à se relever et se hisser vers la lumière.

  

Tous les cauchemars ont une porte de sortie, n’abandonnez jamais, vous êtes plus fort.

Confinement Jour 33 / Lockdown Day 33

Three continents at home :

Czech vase / Mexican glass / Japanese whisky

 

EN: "Haïku" of the day :

 

"At home…

Dream vs nightmare

Sun vs jail

Warm colors vs cool colors

Whisky vs virus…"

 

FR : Le "haïku" du jour :

 

"A la maison…

Rêve, cauchemar

Soleil, prison

Couleurs chaudes, couleurs froides

Whisky, virus…"

 

Samedi = Pas d'imagination pour un texte intelligent, donc abstention !

Le secret de la sagesse est de ne rien dire quand on n'a rien à dire d'utile ou d'intéressant…

Tout le contraire des réseaux sociaux toute l'année, des politiques en campagne électorale, et des médecins en période de crise sanitaire ! :(

 

Bon confinement à tous et "Take care !"

 

Le journal complet du confinement et des chroniques de la guerre :

www.flickr.com/photos/27857697@N05/albums/72157713617403357

L’histoire du jour, histoire vraie même si j’ai changé les prénoms :

 

Alexandra est la fille d’un héros de l’armée soviétique durant la 2ème guerre mondiale. Cette belle russe blonde a presque 20 ans de moins que moi et pourtant son père avait 10 ans de plus que le mien. Née en 1977 d’un père né en 1923, elle me montre les nombreuses médailles de son père au corps criblé de balles. Athée sauvé plusieurs fois miraculeusement de la mort durant « la grande guerre patriotique. »

Le colonel Grigoviev s’énervait quand ses filles le questionnaient sur sa guerre : il lui en était resté des cicatrices sur le corps mais aussi dans son âme et les cauchemars poursuivaient la guerre contre lui, et pas seulement la nuit. Alexandra et sa sœur lui arrachèrent quand même quelques récits. En voici trois:

1- mitraillé au cours d’un combat à terre, il se retrouva parmi une jonchée de cadavres que le froid peu à peu congela. Épuisé et blessé, le froid l’anesthésiait et commençait à l’endormir quand il aperçut les hommes venus charger les cadavres dans des camions. Il comprit qu’il risquait de se trouver dans un camion enseveli sous ses camarades congelés et que c’en aurait été fini pour lui.

Il voulu bouger, son corps ne répondait plus.

Il voulu crier ; pas un mot ne sortait de ses lèvres

Heureusement, quand des hommes le saisirent, un faible grognement vint à sourdre de sa gorge. Il fut ainsi sauvé

2- Plus tard, ils étaient une douzaine de passager d’un un avion quand il quitta le groupe pour aller jouer aux échecs en queue de l’aéronef en compagnie de deux autres camarades. L’avion fut abattu par les allemands et seuls trois rescapés sortirent vivants des décombres de l’appareil : les joueurs d’échecs.

3- Devenu enfin pilote, son avion fut abattu par les allemands au dessus de l’Ukraine et tomba en pleine zone occupée par l’ennemi. Son copilote et lui-même ne durent leur salut qu’à l’aide providentielle d’une jeune ukrainienne qui les guida jusque vers les lignes soviétiques.

 

Russie, Ukraine, la situation ne manque pas d’attrister Alexandra qui me dit que tous les russes ont soit du sang ukrainien soit des amis ukrainiens :

-Russie, Biélorussie et Ukraine, nous ne sommes qu’un seul peuple, tous slaves.

-Et la Géorgie où vous avez passé votre enfance ?

-Oh non, ce sont des caucasiens, pas des slaves.

-Mais Staline était géorgien et cela devait se remarquer.

-Oui, il avait un fort accent.

-Votre père devait être stalinien.

-Oui, jusqu’à sa mort et pour ma mère, la mort de Staline fut plus douloureuse que celle de son propre père.

-Le « Père des peuples. » La propagande avait marché.

-J’avais de grandes discussions avec mon père qui ne démordait pas de son stalinisme.

Après les 3 obsèques célébrées ce vendredi et la répétition d’un baptême, je faisais une halte sur le chemin du retour pour visiter mon jeune filleul Anton et me voilà transportée par sa mère sur les champs de batailles glacés de l’Ukraine en 1942 puis en 2022.

Slava Ukraini!

I have to breathe slowly, none of this is true, something seems to want to scare me here... my dreams are turning into nightmares. Last night I saw myself dead in a strange place. And I woke up sweating....

 

--------------------------------------------------------------------------------------

Je dois respirer lentement, rien de tout cela n'est vrai, quelque chose semble vouloir me faire peur ici.... mes rêves se transforment en cauchemars. Hier soir, je me suis vu mort dans un endroit étrange. Et je me suis réveillée en sueur.......

  

music: www.youtube.com/watch?v=2-S0_tMVEUc

 

Map: maps.secondlife.com/secondlife/Eversong/189/52/2158

Un homme assis sur un banc public dans une bulle d'idées noires...

Varanasi (Inde) - La circulation en Inde est un véritable cauchemar, contrairement à ce que pourrait laisser penser la photo publiée hier. En ville, un trajet ne se calcule en temps passé dans les embouteillages. Ici, même les piétons peuvent créer des bouchons. Dans les artères congestionnées, la moto est reine. La 350 cc et la 500 cc Enfield, motos héritées de la présence britannique, ont longtemps régné sans partage. Peu de temps avant son assassinat en 1991, le premier ministre Rajiv Gandhi a ouvert les frontières de l’Inde aux produits d’importation. Les japonais se sont infiltrés dans la brèche et leurs motos ont peu a peu détrôné la célèbre Enfield, même si elle fait de la résistance.

  

The motorcycle, queen of traffic jams

 

Varanasi (India) - Traffic in India is a real nightmare, contrary to what the photo published yesterday might suggest. In the city, a journey is calculated in time spent in traffic jams. Here, even pedestrians can create traffic jams. In congested arteries, the motorcycle is queen. The 350 cc and 500 cc Enfield, motorcycles inherited from the British presence, have long reigned supreme. Shortly before his assassination in 1991, Prime Minister Rajiv Gandhi opened India's borders to imported products. The Japanese infiltrated the breach and their motorcycles have gradually dethroned the famous Enfield, even if it is resisting.

   

1 2 3 5 7 ••• 79 80