View allAll Photos Tagged cauchemar
Pas de pose, pas de mise en scène, juste une photo au détour d'un pissenlit, lors d'une promenade dans un square près de chez nous, un soir d'automne...
La source lumineuse? Des spots dans la terre pour éclairer les monuments...
C'est banal, n'est-ce pas?
Pas d'histoire aujourd'hui, pas de cauchemar...
Quoi que...
Corridors.
Svarbūs žingsniai smalsūs dunksniai vingiuojantys takai stiprūs pojūčiai nepažįstamieji teorijos kovojantys gyvenime persekiojančios figūros gili tamsa,
mains piétinées doutes considérables intimations associations souffrance œuvres ignorants désespoirs force incroyable cauchemars constants thèmes confus,
Todesfälle Prototypen Unterschiede beträchtliche literarische Verachtungen beispiellose Mysterien stürzender Sturm ferne Mauern wilde Winde bleichendes Wasser,
bearta díshealbhaithe tuairimí trioblóideacha staighre nach bhfacthas riamh ráflaí candid léirithe osnádúrtha taibhsí meabhracha áiteanna rúnda foirmeacha speictrim,
ظاهرة الليالي توسعات لا يمكن تصورها القنوات العلمية تقلص الأفكار المذهلة تسحب الثواني مفارقات مروعة مستعرة سخيفة,
重大な生き物の取引恐ろしい悲惨な苦痛ラフなイラスト決闘を誘発する人間のルール強力な要素変更されたほこりの奇行な散歩の旅死体心理的な恐怖夜の物語.
Steve.D.Hammond.
“You do not know how much they mean to me, my friends, and how, how rare and strange it is, to find in a life composed so much of odds and ends… to find a friend who has these qualities, who has, and gives those qualities upon which friendship lives. How much it means that I say this to you -without these friendships - life, what cauchemar!”
~T.S. Eliot!~
petite balade au mont Ventoux - le cauchemard des cyclistes et surtout ceux du tour de France #explore
vue depuis l'Est - Et ce n'est pas de la neige que l'on voit, mais ... des cailloux ! le cauchemar des cyclistes.
La pente moyenne y est de 10% - le vent souffle (mistral en particulier) à environ 90 kms/heure 2 jours sur 3 - record en 1967 320 kms/heure. Chaleur + vent : la galère.
Le petit peuple
Déçus et écoeurés, ils se sont retirés,
vivent désormais dans la nature, cachés.
Impuissants et tristes, ils assistent
au cauchemar chaque jour vécu par la Dame,
que ses enfants sans pitié détruisent,
en dépit de ses cris et de ses larmes.
Mais leurs regards sur nous se posent,
nous jugent, mais aussi espèrent
qu'un beau jour enfin quelqu'un ose
défendre et protéger La Terre, notre Mère.
Enfants de la terre, La Dame vous oubliez
et par votre folie, c'est vous que vous tuez .
Flo
merci Lenabem pour cette texture magnifique :
www.flickr.com/photos/lenabem-anna/5729568195/in/photostream
Photographie d'Aurélia frey
Image extraite de la série Juste avant l'orage .
Pour plus de renseignements sur la série, se rendre dans l'album :
www.flickr.com/photos/aurelia-frey/sets/72157600920337865/
Mon site internet :
avec mes remerciements à JoesSistah pour la texture : www.flickr.com/photos/27805557@N08/5765555529/
♪♫♫♪... youtu.be/8daTTQb_TXQ
"Darkness" - Blackmore's Night
...vous trouvez mes photos géniales...vous ne vous réveillerez pas....continuer à fixer cette photo.....vous vous promenez dans ma galerie, comme dans un pays enchanté, vous aimez ce que vous voyez ♥♥♥♥....
bon assez fait le pitre !
vous vous réveillez....comment ça ?_? vous avez fait un cauchemar !!! :-(((
J'ai réussi a hypnotiser Explorer ! :-)
DSC00737
Artpla 5ème collège
artpla.co/cinquieme/mon-pire-cauchemar-un-monstre-sort-du...
© Olivier Broise {broise-okuuchi.com/}
Collection #Barcelona
{España} Catalunya, Barcelona
Canon set/7 num./ Zoom Series
August 1st 2013
Réédition
Sculpture realized with wires, iron coat hanger, rusty nails and screws.
See Recycled Metal Sculpture Spine syndrome
Sculpture réalisée avec des fils de fer, cintres en fer, des vis et clous rouillés.
En Août 2016 , dans la baie Briande au large de la CROIX VALMER
Plus grosses que les violettes
La Pélagie :
12 cm de diamêtres rosée parsemée de taches brunes
commune en méditerranée
Elle flotte entre 2 eaux et est difficile à discerner
parfois en banc de plusieurs centaines d'individus , elle est un vrai cauchemar
elle produit de la lumière quand elle est perturbée
40kms … encore 40 petits kms à travers les derniers contreforts du Pays Basque espagnol avant le terme de notre long voyage. Et soudain le cauchemar. Des véhicules de la sécurité routière tous gyrophares et sirènes allumés nous invitent à ralentir. Bloqués à l’entrée d’un tunnel nous assistons impuissants à un ballet ininterrompu d’ambulances, voitures de police, véhicules de secours, dépanneuses surmontées de grue qui s’engouffrent par dizaines dans ce tunnel où nous ne pouvons qu’imaginer le pire … Il était 3 heures de l’après-midi. Les heures se sont égrenées lentement au rythme de la pluie sur les vitres. Les nuages se sont assombris et la nuit nous a enveloppés de son triste halo de lumières blafardes. Certainement des kms de voitures agglutinées derrière nous mais pas un bruit durant ces trois heures d’attente … sidération, compassion, communion avec tous ces drames humains qui certainement se déroulaient à quelques mètres seulement de nous … 18:30 : un policier est venu nous prévenir individuellement de rouler au pas car la chaussée serait très glissante … nous nous sommes tous introduits très respectueusement dans le tunnel où aucune trace du drame encouru ne subsistait. Juste une très forte odeur de gasoil … nous n’en saurons pas plus … juste une certitude doublée d’une amère culpabilité. Celle d’avoir, nous, réchappé du pire …
Pour rejoindre cet Eden, une fois traversée la Manche et les pendules mises à l’heure (c’est toujours agréable de rajeunir d’une heure !), cap vers le Nord, toujours tout droit sans oublier de tenir sa gauche bien sûr! Sur l’autoroute, ne cherchez pas les aires de stationnement entre les stations- service pour vous dégourdir les jambes : il n’y en a pas! Et ne soyez pas pressés : avec autant d’habitants qu’en France pour une surface beaucoup plus réduite, la circulation en Angleterre est un vrai cauchemar les trois quarts du temps ! Un jour de chance, un jour où il y a un match de football important à la télé par exemple, on ne mettra que six heures de Douvres. Plus on monte, plus le ciel s’obscurcit : le gris perle du sud se transforme doucement mais sûrement en gris ardoise à mi-chemin pour atteindre finalement un magnifique gris anthracite vers Bradford où l’on quitte l’autoroute. La ville est illuminée par les saris aux mille couleurs vibrantes des pakistanaises. Puis on traverse un tas de petites villes pittoresques avant de pénétrer dans notre campagne. Les fermes, cottages et même les maisons neuves sont toujours en pierres et s’intègrent avec bonheur aux camaïeux de verts et gris du paysage. Seize ans sous la pluie
.
Un muñeco se gana la vida arreglando hombres rotos. Le llevan un soldado roto por la guerra y lo recompone, una mujer rota por amor y la arregla, un borracho roto de pesadillas, una loca rota de pájaros celestes, un sillón de ruedas roto de niño triste y los repara.
Un mal día le trajeron un buen Dios roto en mil pedazos por la ingratitud eterna de sus hijos, pero a ese todavía no lo pudo arreglar.
*
C'est l'histoire d'une poupée qui gagne sa vie en réparant des hommes cassés. On lui emmène un soldat cassé par la guerre et elle le répare, une femme brisée par l'amour et elle la répare, un ivrogne déchiré par ses propres cauchemars, une folle affolée par des oiseaux célestes, un fauteuil roulant d'enfant triste cassé et il répare tout.
On lui emmène un jour un dieu en mille morceaux, brisé à cause de l'éternelle ingratitude de ses enfants, et là il n'a rien pu faire encore.
Rubén Vedovaldi (Rosario, Arg. 1951)
*
Photo : Rieux-Volvestre (31) et son reflet dans le miroir de l'eau (de l'Arize, en l'occurrence). Ce village médiéval au sud-ouest de Toulouse possède un patrimoine architectural de premier ordre, vestige de son passé d’évêché, en 1317.
Foto: Rieux-Volvestre: bañado por el río Arize en su curso bajo, cuenca del Garona, este pueblo medieval conserva un patrimonio arquitectónico considerable heredado de su pasado de obispado en 1317.
Reste
Encore vif
Le souvenir vague
D’un cauchemar choc
Une tempête de beauté
Et de douleurs étouffées
Le passé perdu
Dans l’agitation
Le poids des flocons
Froids
Sur l’abonné absent
Le besoin d’encore un verre
Au chant du coq
Norman tâte le vide
Dans le grain
Du chêne calciné
Le sang versé
L’odeur du feu
Un aperçu reçu
En pleine face
De vieilles peurs
Au cœur du tumulte
Norman lâche un pet
Quand sa voix se perd
Un ciel d’orage
La pluie enfin
Quelques nuances de tendresse
Seront le clou du spectacle
Marlène ment sur elle
Un petit malin la croit
Vertige
D’un homme en pièces
Qui ne lève plus les yeux
Il croit
L’esprit sauteur
Qui lui tourne autour
Marlène a les dents de verre
D’une louve empaillée
Elle mord la vie
En buisson ardent
Le petit malin
A le cœur emballé
Un regard « à travers »
Une limite humide
Un trésor dans les ruines
Le partage des miettes
Un festin
Bouche cousue
La vie douce
Dans un non-lieu
Du bon sens
Jonas veut perdre
Se couler
Dans un flot de matière
Il est d’attaque
Et tout est déjà fini
Aussitôt sauvé
Il lève le pied
Pour une danse fière
Sans qualité
Dans la solitude
De la cave à vins
Pas la force d’attendre
Le butin du jour
Une furieuse égalité
Dans l’indocile troupeau
La fièvre monte
Les sourires sont salaces
Calme-toi
Grande colère
Calmez-vous
Enfants d’un chœur triste
Mauvais sangs
Dans l’air sauvage
La vie au présent
Est de passage en ville
Quelques nuances de tendresse
Sont le clou du spectacle
Fromont, 2023
Journée de repos pour les coureurs mais leurs rêves peuvent vite tourner aux cauchemars avec le Covid 19. Et oui les tests se font pour toutes les équipes ce lundi. Si 2 membres, staff compris, sont contrôlés positifs, le team devra quitter la Grande Boucle.
Résultat ce mardi matin : aucun coureur n est positif au covid 19 ... mais bien le directeur de course. Bizarre. Je me demande si le premier ministre français va être mis en quarantaine ? Pour rappel, il a passé une journée dans la voiture officielle du Tour de France avec Christian Prudhomme.
Photo minimaliste pouvant illustrer l'expression "Pousser le bouchon un peu trop loin" (et surtout un peu trop haut !)
Souvent, le destin du pêcheur à la ligne ne tient qu'a un fil !
Lac des Ibis / Le Vésinet (78)
Je me suis perdu. J'étais dans une exploration assez peu conventionnelle. il y a quelques semaines, je fus contacté par un riche collectionneur privé. Il recherchait un trésor mystérieux d'une civilisation perdue. Ces derniers temps, le propriétaire de mon appartement réclamait beaucoup de deniers ces derniers temps, c'était donc une occasion en or de me faire assez gracieusement payer. J'acceptais. Je devais aller dans les ruines d'une ancienne ville, voler une relique et des objets du culte dans une ancienne cathédrale tout autant en ruine que l'ancienne cité.
Je retrouvais le lieu assez facilement, mais une aura bien étrange se faisait sentir... Comme si les lieux étaient protégés. Un fois à l'intérieur, mon expédition se transformait en cauchemar, mes lampes ne pouvaient plus fonctionner, aucun équipement électrique, tous subitement en panne. J'avançais dans le noir, l'air était vicié et d'étranges sons me plongeait dans un profond malaise, comme épié par de viles créatures. J'essayais tout de même de me frayer un chemin dans l'obscurité, en recherche de mon butin. Tout à coup je vis une lueur ! Elle se mis à éclairer un meuble que je n'avais pas vu. Un livre rituel, un "missel", je crois bien que ça s'appelle comme ça. Dessus il y avait un texte qui demandait d'écouter le Fils bien-aimé. Clairement, si mes actions sont liées à un appel de es bourses vides, ici une force n'approuvait pas mes actes. Je renonçais donc à mon larcin, je retournais sur mes pas, alors que la ruine de l'église était alors emplie d'un étrange brouillard et cette fois-ci un lourd silence emplissait la vaste nef. Une fois les portes franchies... je me retrouvais de façon déconcertante directement chez moi, avec sur la table de mon salon trois besaces remplies de pièces en or et l'âtre de déjà remplie de bûches flamboyantes. Que c'est-il passé ? Ai-je rêvé ? Où bien m'a-t-on remercié d'avoir laissé en paix les ruines d'une maison de Dieu ? Quoiqu'il en soit mon propriétaire ne pouvait plus me reprocher
aucune dette avec tout cet or !
Antwerpen - Deurne - Sterckshof
Gosh , I hate that snow .....
No , I can't deny that it means a lot of fun for the children and can also be beautiful , as you see in the picture in my comment , but for so many people it's just a nightmare !
And here I'm especially thinking of the numerous homeless people living in the big cities as I saw them in my hometown .....
PLEASE , do not comment with GROUP INVITATIONS or GLITTER IMAGES !
C’est l’histoire de Pauline très amoureuse. Elle part rencontrer Jack en vélo. Elle était belle avec sa petite jupe rouge et ses talons hauts… Mais voila vous avez déjà fait du vélo avec une jupe étroite et des talons hauts ? Ce fut un vrai cauchemar !
This is the story of Pauline very much in love. She goes to meet Jack with her bicycle. She was beautiful with her little red skirt and high heels ... But have you yet biked with a narrow skirt and high heels? It was a nightmare!
www.youtube.com/watch?v=qpIzy3XdvVk
Hé eh eh, eh eh, ah ah ah, ah ah
Hé eh eh, eh eh, ah ah ah
Pour certains elle est belle
Pour d'autres elle est blanche
Entre cauchemar et rêve
Ou entre drague et danse
Quelques étoiles dans le ciel
On contemple et on pense
Certains travaillent ou traînent
Et d'autres se dépensent
Insomnie de sortie
Sans cesse on cogite
Insomnie de sortie
On oublie nos principes
Y'a des story de fou mais j'avoue que moi je l'aime tellement la nuit
On s'y donne rendez-vous, on rigole, on est fou, on fait passer l'ennui
Et tout se passe la nuit
Tu peux le voir à mes cernes
Comme une seconde vie
Qui fait naître nos rêves
Et tout se passe la nuit
Tu peux le voir à mes cernes
Encore une insomnie
Ce soir moi je traîne
Hé eh eh, eh eh, ah ah ah, ah ah
Hé eh eh, eh eh, ah ah ah
Tu sais la nuit moi non je ne dors pas
Je fais le tour de Paris, posé sur ma Vespa
La queue devant les clubs dans lesquels je rentre pas
Je dis que je vais me coucher tôt mais à chaque fois je rentre tard
Les bords de Seine remplis par une foule agitée
Ce qui se passe dans ma ville, c'est pas ce qu'on voit au JT
Et entre les sirènes et les rires, je me suis fais à l'idée
Quand quelques secondes, tout peut si vite basculer
On s'y retrouve mais on peut s'y perdre
Entre les mégots et les tickets par terre
Des fois c'est sombre mais on s'y fait
Une chose est sûre c'est qu'elle dessine mes cernes
Y'a des story de fou mais j'avoue que moi je l'aime tellement la nuit
On s'y donne rendez-vous, on rigole, on est fou, on fait passer l'ennui
Et tout se passe la nuit
Tu peux le voir à mes cernes
Comme une seconde vie
Qui fait naître nos rêves
Et tout se passe la nuit
Tu peux le voir à mes cernes
Encore une insomnie
Ce soir moi je traîne
Hé eh eh, eh eh, ah ah ah, ah ah
Hé eh eh, eh eh, ah ah ah, ah ah
Accompagné ou solo, en voiture, à pied en vélo
Les poches vides ou remplies d'euros, non j'ai pas besoin de tel-hô
Je reste pas devant la télé, expliquez moi l'intérêt
Oui il faut lâcher internet, y'a de quoi devenir taré
Et tout se passe la nuit
Tu peux le voir à mes cernes
Comme une seconde vie
Qui fait naître nos rêves
Et tout se passe la nuit
Tu peux le voir à mes cernes
Encore une insomnie
Ce soir moi je traîne
Alsace
© Philippe Haumesser. TOUS DROITS RESERVES - ALL RIGHTS RESERVED ©.
Merci beaucoup pour vos visites , commentaires et favoris♥
Thank you very much for your visits, comments and favorites
www.flickriver.com/photos/philippe_haumesser/popular-inte...
French/English
Dinkenech est toujours restée sur la réserve. Jamais je n'ai réussi à connaître son âge et son histoire. Je suis cependant parvenu, au bout de plusieurs jours, à me faire oublier et à la prendre en photo.
Dinkenech vient d'Ethiopie. Depuis plusieurs années, il y un très fort exode des Ethiopiens qui quittent leur pays face à la misère et à l'explosion démographique. Ils n'ont qu'un seul rêve : traverser la Mer Rouge et atteindre l'Arabie Saoudite ou les Emirats. C'est leur eldorado, qui souvent se termine en cauchemar. Beaucoup meurent noyés en traversant le détroit de Bab el Manded, la porte des larmes, si bien nommée. Si par chance, ils survivent à la traversée, ils se retrouvent souvent maltraités et exploités par des employeurs peu scrupuleux.
Dinkenech, comme beaucoup de femmes éthiopiennes, s'est arrêtée quelque temps à Djibouti. Femme de ménage, elle essaye d'économiser un peu d'argent pour sa traversée jusqu'au Yémen. J'ai tenté de parler avec elle. Elle sait les risques qu'elle court, elle sait qu'elle risque d'être jetée à la mer par des passeurs somaliens peu scrupuleux. Arrivée en Arabie Saoudite, peut-être deviendra-t-elle l'esclave domestique d'une famille riche, peut-être sera-t-elle frappée, peut-être abusera-t-on d'elle ? Elle sait tout cela, mais rien ne la ferait renoncer.
J'ai donc réussi à prendre Dinkenech en photo. Puis, un matin, après avoir demandé son salaire pour ses quelques jours de ménage, elle a disparu sans laisser de traces.
©MiguelJauralde
Dinkenech was always reserved. I never got to know her age and her background. But eventually after a few days she forgot about me and I managed to take her picture.
Dinkenech comes from Ethiopia. For several years a high number of Ethiopians have been leaving their country to escape poverty and overpopulation. They have only one dream : cross the read sea and reach Saudi Arabia or the Emirates. It is their dream which very often ends in a nightmare. Many of them drown crossing the Bab el Manded straits, the tears gate, as it is so well named. If by chance they manage to cross, they often end up being exploited and mistreated by unscrupulous employers.
Dinkenech, like many Ethiopian women, settled for some time in Djibouti. Working as a housemaid she tries to save enough money to reach Yemen. I tried to speak with her. She knows the risks involved, she knows she could be thrown out to sea by dishonest smugglers. Once in Saudi Arabia she could become the slave of a rich family, she might be beaten up, raped. She knows all of this but she won’t give up.
I managed to take her picture. Then one morning, she asked for her wages for her few days of work and then she disappeared without a trace.
©MiguelJauralde
Sculpture realized with wires, iron coat hanger, rusty nails and screws.
See Recycled Metal Sculpture Spine syndrome
Sculpture réalisée avec des fils de fer, cintres en fer, des vis et clous rouillés.
Sculpture realized with wires, iron coat hanger, rusty nails and screws.
See Recycled Metal Sculpture Anathema
Sculpture réalisée avec des fils de fer, cintres en fer, des vis et clous rouillés.
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Prisonnier dans son rêve, l'enfant tente d'atteindre la lumière, afin de s'échapper de son cauchemar, et pouvoir se réveiller et retrouver son ourson.
C'est une vrai photo fait avec ma caméra fujifilm.
C'est un peu inspiré par le film que j'ai vu hier. Night of the Zoopocalypse. C'était moyen comme film.
La nuit n’est pas qu’un voile posé sur la ville.
C’est un royaume caché, un territoire secret où seuls quelques êtres osent marcher.
Là-haut, sur les toits silencieux, entre les cheminées assoupies,
des silhouettes glissent sans un bruit.
Les Veilleurs de Rêves sont là.
Personne ne sait d’où ils viennent, ni quand ils apparaissent.
Certains disent qu’ils sont faits de brume et d’étoiles,
que leurs pas ne laissent pas d’empreintes,
que leurs doigts sont des fils de lune tissés dans l’ombre.
Leur mission est ancienne, aussi vieille que la nuit elle-même.
À l’heure où les paupières se ferment,
ils descendent des nuages, s’infiltrent dans les ruelles endormies,
se posent sur les tuiles comme des souffles oubliés.
Ils gardent les songes.
Ils les rassemblent comme des perles sur un collier invisible,
ils guident les âmes vers des contrées d’illusion et de lumière,
ils chassent les cauchemars avant qu’ils ne s’ancrent dans le cœur.
Si un rêve tombe, ils le rattrapent.
Si une nuit s’alourdit de peurs,
ils la délestent d’un soupir.
Et si un esprit s’égare trop loin,
ils le ramènent doucement aux premières lueurs de l’aube.
Les Veilleurs ne parlent pas,
mais parfois, sous la pâleur des réverbères,
on croit apercevoir une ombre fugace,
un éclat d’argent qui danse sur une vitre.
Et quand le jour renaît,
ils disparaissent avec les étoiles,
laissant aux dormeurs un dernier cadeau :
une poussière de rêve,
une étincelle d’ailleurs,
un mystère qu’ils emporteront avec eux au réveil.