View allAll Photos Tagged cauchemar

Pas de pose, pas de mise en scène, juste une photo au détour d'un pissenlit, lors d'une promenade dans un square près de chez nous, un soir d'automne...

La source lumineuse? Des spots dans la terre pour éclairer les monuments...

C'est banal, n'est-ce pas?

Pas d'histoire aujourd'hui, pas de cauchemar...

Quoi que...

 

www.youtube.com/watch?v=6_PAHbqq-o4

Corridors.

 

Svarbūs žingsniai smalsūs dunksniai vingiuojantys takai stiprūs pojūčiai nepažįstamieji teorijos kovojantys gyvenime persekiojančios figūros gili tamsa,

mains piétinées doutes considérables intimations associations souffrance œuvres ignorants désespoirs force incroyable cauchemars constants thèmes confus,

Todesfälle Prototypen Unterschiede beträchtliche literarische Verachtungen beispiellose Mysterien stürzender Sturm ferne Mauern wilde Winde bleichendes Wasser,

bearta díshealbhaithe tuairimí trioblóideacha staighre nach bhfacthas riamh ráflaí candid léirithe osnádúrtha taibhsí meabhracha áiteanna rúnda foirmeacha speictrim,

ظاهرة الليالي توسعات لا يمكن تصورها القنوات العلمية تقلص الأفكار المذهلة تسحب الثواني مفارقات مروعة مستعرة سخيفة,

重大な生き物の取引恐ろしい悲惨な苦痛ラフなイラスト決闘を誘発する人間のルール強力な要素変更されたほこりの奇行な散歩の旅死体心理的な恐怖夜の物語.

Steve.D.Hammond.

“You do not know how much they mean to me, my friends, and how, how rare and strange it is, to find in a life composed so much of odds and ends… to find a friend who has these qualities, who has, and gives those qualities upon which friendship lives. How much it means that I say this to you -without these friendships - life, what cauchemar!”

 

~T.S. Eliot!~

petite balade au mont Ventoux - le cauchemard des cyclistes et surtout ceux du tour de France #explore

 

vue depuis l'Est - Et ce n'est pas de la neige que l'on voit, mais ... des cailloux ! le cauchemar des cyclistes.

 

La pente moyenne y est de 10% - le vent souffle (mistral en particulier) à environ 90 kms/heure 2 jours sur 3 - record en 1967 320 kms/heure. Chaleur + vent : la galère.

Nightmare.

Cauchemar.

Le petit peuple

 

Déçus et écoeurés, ils se sont retirés,

vivent désormais dans la nature, cachés.

 

Impuissants et tristes, ils assistent

au cauchemar chaque jour vécu par la Dame,

que ses enfants sans pitié détruisent,

en dépit de ses cris et de ses larmes.

 

Mais leurs regards sur nous se posent,

nous jugent, mais aussi espèrent

qu'un beau jour enfin quelqu'un ose

défendre et protéger La Terre, notre Mère.

 

Enfants de la terre, La Dame vous oubliez

et par votre folie, c'est vous que vous tuez .

 

Flo

  

merci Lenabem pour cette texture magnifique :

www.flickr.com/photos/lenabem-anna/5729568195/in/photostream

Ton pire cauchemar....

Photographie d'Aurélia frey

 

Image extraite de la série Juste avant l'orage .

Pour plus de renseignements sur la série, se rendre dans l'album :

www.flickr.com/photos/aurelia-frey/sets/72157600920337865/

 

Mon site internet :

www.aureliafrey.com

avec mes remerciements à JoesSistah pour la texture : www.flickr.com/photos/27805557@N08/5765555529/

  

♪♫♫♪... youtu.be/8daTTQb_TXQ

"Darkness" - Blackmore's Night

Quand l’angoisse règne, lui veille. Que jusqu’à l’aube, jamais la terreur ne s’estompe.

...vous trouvez mes photos géniales...vous ne vous réveillerez pas....continuer à fixer cette photo.....vous vous promenez dans ma galerie, comme dans un pays enchanté, vous aimez ce que vous voyez ♥♥♥♥....

bon assez fait le pitre !

vous vous réveillez....comment ça ?_? vous avez fait un cauchemar !!! :-(((

 

J'ai réussi a hypnotiser Explorer ! :-)

DSC00737

Artpla 5ème collège

artpla.co/cinquieme/mon-pire-cauchemar-un-monstre-sort-du...

© Olivier Broise {broise-okuuchi.com/}

 

Collection #Barcelona

 

{España} Catalunya, Barcelona

Canon set/7 num./ Zoom Series

August 1st 2013

Réédition

Sculpture realized with wires, iron coat hanger, rusty nails and screws.

See Recycled Metal Sculpture Spine syndrome

 

Sculpture réalisée avec des fils de fer, cintres en fer, des vis et clous rouillés.

Voir Sculpture en métal recyclé Spine Syndrome

Psylle du poirier.

Les larves sont un cauchemar pour le poirier.

Taille réelle : 3mm

Explored, November 22nd 2009.

En Août 2016 , dans la baie Briande au large de la CROIX VALMER

Plus grosses que les violettes

 

La Pélagie :

12 cm de diamêtres rosée parsemée de taches brunes

commune en méditerranée

Elle flotte entre 2 eaux et est difficile à discerner

parfois en banc de plusieurs centaines d'individus , elle est un vrai cauchemar

elle produit de la lumière quand elle est perturbée

Cauchemar en cuisine !

Musée royal de l'Afrique centrale

40kms … encore 40 petits kms à travers les derniers contreforts du Pays Basque espagnol avant le terme de notre long voyage. Et soudain le cauchemar. Des véhicules de la sécurité routière tous gyrophares et sirènes allumés nous invitent à ralentir. Bloqués à l’entrée d’un tunnel nous assistons impuissants à un ballet ininterrompu d’ambulances, voitures de police, véhicules de secours, dépanneuses surmontées de grue qui s’engouffrent par dizaines dans ce tunnel où nous ne pouvons qu’imaginer le pire … Il était 3 heures de l’après-midi. Les heures se sont égrenées lentement au rythme de la pluie sur les vitres. Les nuages se sont assombris et la nuit nous a enveloppés de son triste halo de lumières blafardes. Certainement des kms de voitures agglutinées derrière nous mais pas un bruit durant ces trois heures d’attente … sidération, compassion, communion avec tous ces drames humains qui certainement se déroulaient à quelques mètres seulement de nous … 18:30 : un policier est venu nous prévenir individuellement de rouler au pas car la chaussée serait très glissante … nous nous sommes tous introduits très respectueusement dans le tunnel où aucune trace du drame encouru ne subsistait. Juste une très forte odeur de gasoil … nous n’en saurons pas plus … juste une certitude doublée d’une amère culpabilité. Celle d’avoir, nous, réchappé du pire …

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

collage papier

Pour rejoindre cet Eden, une fois traversée la Manche et les pendules mises à l’heure (c’est toujours agréable de rajeunir d’une heure !), cap vers le Nord, toujours tout droit sans oublier de tenir sa gauche bien sûr! Sur l’autoroute, ne cherchez pas les aires de stationnement entre les stations- service pour vous dégourdir les jambes : il n’y en a pas! Et ne soyez pas pressés : avec autant d’habitants qu’en France pour une surface beaucoup plus réduite, la circulation en Angleterre est un vrai cauchemar les trois quarts du temps ! Un jour de chance, un jour où il y a un match de football important à la télé par exemple, on ne mettra que six heures de Douvres. Plus on monte, plus le ciel s’obscurcit : le gris perle du sud se transforme doucement mais sûrement en gris ardoise à mi-chemin pour atteindre finalement un magnifique gris anthracite vers Bradford où l’on quitte l’autoroute. La ville est illuminée par les saris aux mille couleurs vibrantes des pakistanaises. Puis on traverse un tas de petites villes pittoresques avant de pénétrer dans notre campagne. Les fermes, cottages et même les maisons neuves sont toujours en pierres et s’intègrent avec bonheur aux camaïeux de verts et gris du paysage. Seize ans sous la pluie

Reste

Encore vif

Le souvenir vague

D’un cauchemar choc

Une tempête de beauté

Et de douleurs étouffées

Le passé perdu

Dans l’agitation

Le poids des flocons

Froids

Sur l’abonné absent

Le besoin d’encore un verre

Au chant du coq

 

Norman tâte le vide

Dans le grain

Du chêne calciné

Le sang versé

L’odeur du feu

Un aperçu reçu

En pleine face

De vieilles peurs

Au cœur du tumulte

Norman lâche un pet

Quand sa voix se perd

 

Un ciel d’orage

La pluie enfin

Quelques nuances de tendresse

Seront le clou du spectacle

 

Marlène ment sur elle

Un petit malin la croit

Vertige

D’un homme en pièces

Qui ne lève plus les yeux

Il croit

L’esprit sauteur

Qui lui tourne autour

Marlène a les dents de verre

D’une louve empaillée

Elle mord la vie

En buisson ardent

Le petit malin

A le cœur emballé

 

Un regard « à travers »

Une limite humide

Un trésor dans les ruines

Le partage des miettes

Un festin

Bouche cousue

La vie douce

Dans un non-lieu

Du bon sens

 

Jonas veut perdre

Se couler

Dans un flot de matière

Il est d’attaque

Et tout est déjà fini

Aussitôt sauvé

Il lève le pied

Pour une danse fière

Sans qualité

Dans la solitude

De la cave à vins

Pas la force d’attendre

Le butin du jour

 

Une furieuse égalité

Dans l’indocile troupeau

La fièvre monte

Les sourires sont salaces

Calme-toi

Grande colère

Calmez-vous

Enfants d’un chœur triste

Mauvais sangs

Dans l’air sauvage

 

La vie au présent

Est de passage en ville

Quelques nuances de tendresse

Sont le clou du spectacle

 

Fromont, 2023

Journée de repos pour les coureurs mais leurs rêves peuvent vite tourner aux cauchemars avec le Covid 19. Et oui les tests se font pour toutes les équipes ce lundi. Si 2 membres, staff compris, sont contrôlés positifs, le team devra quitter la Grande Boucle.

Résultat ce mardi matin : aucun coureur n est positif au covid 19 ... mais bien le directeur de course. Bizarre. Je me demande si le premier ministre français va être mis en quarantaine ? Pour rappel, il a passé une journée dans la voiture officielle du Tour de France avec Christian Prudhomme.

Photo minimaliste pouvant illustrer l'expression "Pousser le bouchon un peu trop loin" (et surtout un peu trop haut !)

Souvent, le destin du pêcheur à la ligne ne tient qu'a un fil !

 

Lac des Ibis / Le Vésinet (78)

Je me suis perdu. J'étais dans une exploration assez peu conventionnelle. il y a quelques semaines, je fus contacté par un riche collectionneur privé. Il recherchait un trésor mystérieux d'une civilisation perdue. Ces derniers temps, le propriétaire de mon appartement réclamait beaucoup de deniers ces derniers temps, c'était donc une occasion en or de me faire assez gracieusement payer. J'acceptais. Je devais aller dans les ruines d'une ancienne ville, voler une relique et des objets du culte dans une ancienne cathédrale tout autant en ruine que l'ancienne cité.

 

Je retrouvais le lieu assez facilement, mais une aura bien étrange se faisait sentir... Comme si les lieux étaient protégés. Un fois à l'intérieur, mon expédition se transformait en cauchemar, mes lampes ne pouvaient plus fonctionner, aucun équipement électrique, tous subitement en panne. J'avançais dans le noir, l'air était vicié et d'étranges sons me plongeait dans un profond malaise, comme épié par de viles créatures. J'essayais tout de même de me frayer un chemin dans l'obscurité, en recherche de mon butin. Tout à coup je vis une lueur ! Elle se mis à éclairer un meuble que je n'avais pas vu. Un livre rituel, un "missel", je crois bien que ça s'appelle comme ça. Dessus il y avait un texte qui demandait d'écouter le Fils bien-aimé. Clairement, si mes actions sont liées à un appel de es bourses vides, ici une force n'approuvait pas mes actes. Je renonçais donc à mon larcin, je retournais sur mes pas, alors que la ruine de l'église était alors emplie d'un étrange brouillard et cette fois-ci un lourd silence emplissait la vaste nef. Une fois les portes franchies... je me retrouvais de façon déconcertante directement chez moi, avec sur la table de mon salon trois besaces remplies de pièces en or et l'âtre de déjà remplie de bûches flamboyantes. Que c'est-il passé ? Ai-je rêvé ? Où bien m'a-t-on remercié d'avoir laissé en paix les ruines d'une maison de Dieu ? Quoiqu'il en soit mon propriétaire ne pouvait plus me reprocher

aucune dette avec tout cet or !

A doodle from a square

Antwerpen - Deurne - Sterckshof

 

Gosh , I hate that snow .....

No , I can't deny that it means a lot of fun for the children and can also be beautiful , as you see in the picture in my comment , but for so many people it's just a nightmare !

And here I'm especially thinking of the numerous homeless people living in the big cities as I saw them in my hometown .....

 

PLEASE , do not comment with GROUP INVITATIONS or GLITTER IMAGES !

 

C’est l’histoire de Pauline très amoureuse. Elle part rencontrer Jack en vélo. Elle était belle avec sa petite jupe rouge et ses talons hauts… Mais voila vous avez déjà fait du vélo avec une jupe étroite et des talons hauts ? Ce fut un vrai cauchemar !

This is the story of Pauline very much in love. She goes to meet Jack with her bicycle. She was beautiful with her little red skirt and high heels ... But have you yet biked with a narrow skirt and high heels? It was a nightmare!

www.youtube.com/watch?v=qpIzy3XdvVk

Hé eh eh, eh eh, ah ah ah, ah ah

Hé eh eh, eh eh, ah ah ah

Pour certains elle est belle

Pour d'autres elle est blanche

Entre cauchemar et rêve

Ou entre drague et danse

Quelques étoiles dans le ciel

On contemple et on pense

Certains travaillent ou traînent

Et d'autres se dépensent

Insomnie de sortie

Sans cesse on cogite

Insomnie de sortie

On oublie nos principes

Y'a des story de fou mais j'avoue que moi je l'aime tellement la nuit

On s'y donne rendez-vous, on rigole, on est fou, on fait passer l'ennui

Et tout se passe la nuit

Tu peux le voir à mes cernes

Comme une seconde vie

Qui fait naître nos rêves

Et tout se passe la nuit

Tu peux le voir à mes cernes

Encore une insomnie

Ce soir moi je traîne

Hé eh eh, eh eh, ah ah ah, ah ah

Hé eh eh, eh eh, ah ah ah

Tu sais la nuit moi non je ne dors pas

Je fais le tour de Paris, posé sur ma Vespa

La queue devant les clubs dans lesquels je rentre pas

Je dis que je vais me coucher tôt mais à chaque fois je rentre tard

Les bords de Seine remplis par une foule agitée

Ce qui se passe dans ma ville, c'est pas ce qu'on voit au JT

Et entre les sirènes et les rires, je me suis fais à l'idée

Quand quelques secondes, tout peut si vite basculer

On s'y retrouve mais on peut s'y perdre

Entre les mégots et les tickets par terre

Des fois c'est sombre mais on s'y fait

Une chose est sûre c'est qu'elle dessine mes cernes

Y'a des story de fou mais j'avoue que moi je l'aime tellement la nuit

On s'y donne rendez-vous, on rigole, on est fou, on fait passer l'ennui

Et tout se passe la nuit

Tu peux le voir à mes cernes

Comme une seconde vie

Qui fait naître nos rêves

Et tout se passe la nuit

Tu peux le voir à mes cernes

Encore une insomnie

Ce soir moi je traîne

Hé eh eh, eh eh, ah ah ah, ah ah

Hé eh eh, eh eh, ah ah ah, ah ah

Accompagné ou solo, en voiture, à pied en vélo

Les poches vides ou remplies d'euros, non j'ai pas besoin de tel-hô

Je reste pas devant la télé, expliquez moi l'intérêt

Oui il faut lâcher internet, y'a de quoi devenir taré

Et tout se passe la nuit

Tu peux le voir à mes cernes

Comme une seconde vie

Qui fait naître nos rêves

Et tout se passe la nuit

Tu peux le voir à mes cernes

Encore une insomnie

Ce soir moi je traîne

French/English

Dinkenech est toujours restée sur la réserve. Jamais je n'ai réussi à connaître son âge et son histoire. Je suis cependant parvenu, au bout de plusieurs jours, à me faire oublier et à la prendre en photo.

Dinkenech vient d'Ethiopie. Depuis plusieurs années, il y un très fort exode des Ethiopiens qui quittent leur pays face à la misère et à l'explosion démographique. Ils n'ont qu'un seul rêve : traverser la Mer Rouge et atteindre l'Arabie Saoudite ou les Emirats. C'est leur eldorado, qui souvent se termine en cauchemar. Beaucoup meurent noyés en traversant le détroit de Bab el Manded, la porte des larmes, si bien nommée. Si par chance, ils survivent à la traversée, ils se retrouvent souvent maltraités et exploités par des employeurs peu scrupuleux.

Dinkenech, comme beaucoup de femmes éthiopiennes, s'est arrêtée quelque temps à Djibouti. Femme de ménage, elle essaye d'économiser un peu d'argent pour sa traversée jusqu'au Yémen. J'ai tenté de parler avec elle. Elle sait les risques qu'elle court, elle sait qu'elle risque d'être jetée à la mer par des passeurs somaliens peu scrupuleux. Arrivée en Arabie Saoudite, peut-être deviendra-t-elle l'esclave domestique d'une famille riche, peut-être sera-t-elle frappée, peut-être abusera-t-on d'elle ? Elle sait tout cela, mais rien ne la ferait renoncer.

J'ai donc réussi à prendre Dinkenech en photo. Puis, un matin, après avoir demandé son salaire pour ses quelques jours de ménage, elle a disparu sans laisser de traces.

©MiguelJauralde

 

Dinkenech was always reserved. I never got to know her age and her background. But eventually after a few days she forgot about me and I managed to take her picture.

Dinkenech comes from Ethiopia. For several years a high number of Ethiopians have been leaving their country to escape poverty and overpopulation. They have only one dream : cross the read sea and reach Saudi Arabia or the Emirates. It is their dream which very often ends in a nightmare. Many of them drown crossing the Bab el Manded straits, the tears gate, as it is so well named. If by chance they manage to cross, they often end up being exploited and mistreated by unscrupulous employers.

Dinkenech, like many Ethiopian women, settled for some time in Djibouti. Working as a housemaid she tries to save enough money to reach Yemen. I tried to speak with her. She knows the risks involved, she knows she could be thrown out to sea by dishonest smugglers. Once in Saudi Arabia she could become the slave of a rich family, she might be beaten up, raped. She knows all of this but she won’t give up.

I managed to take her picture. Then one morning, she asked for her wages for her few days of work and then she disappeared without a trace.

©MiguelJauralde

Sculpture realized with wires, iron coat hanger, rusty nails and screws.

See Recycled Metal Sculpture Spine syndrome

 

Sculpture réalisée avec des fils de fer, cintres en fer, des vis et clous rouillés.

Voir Sculpture en métal recyclé Spine Syndrome

Sculpture realized with wires, iron coat hanger, rusty nails and screws.

See Recycled Metal Sculpture Anathema

 

Sculpture réalisée avec des fils de fer, cintres en fer, des vis et clous rouillés.

Voir Sculpture en métal recyclé Anathema

You can buy prints here : art.icanvas.com/search?w=sebastien%20del%20grosso

 

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Prisonnier dans son rêve, l'enfant tente d'atteindre la lumière, afin de s'échapper de son cauchemar, et pouvoir se réveiller et retrouver son ourson.

C'est une vrai photo fait avec ma caméra fujifilm.

 

C'est un peu inspiré par le film que j'ai vu hier. Night of the Zoopocalypse. C'était moyen comme film.

La nuit n’est pas qu’un voile posé sur la ville.

C’est un royaume caché, un territoire secret où seuls quelques êtres osent marcher.

Là-haut, sur les toits silencieux, entre les cheminées assoupies,

des silhouettes glissent sans un bruit.

 

Les Veilleurs de Rêves sont là.

 

Personne ne sait d’où ils viennent, ni quand ils apparaissent.

Certains disent qu’ils sont faits de brume et d’étoiles,

que leurs pas ne laissent pas d’empreintes,

que leurs doigts sont des fils de lune tissés dans l’ombre.

 

Leur mission est ancienne, aussi vieille que la nuit elle-même.

À l’heure où les paupières se ferment,

ils descendent des nuages, s’infiltrent dans les ruelles endormies,

se posent sur les tuiles comme des souffles oubliés.

 

Ils gardent les songes.

Ils les rassemblent comme des perles sur un collier invisible,

ils guident les âmes vers des contrées d’illusion et de lumière,

ils chassent les cauchemars avant qu’ils ne s’ancrent dans le cœur.

 

Si un rêve tombe, ils le rattrapent.

Si une nuit s’alourdit de peurs,

ils la délestent d’un soupir.

Et si un esprit s’égare trop loin,

ils le ramènent doucement aux premières lueurs de l’aube.

 

Les Veilleurs ne parlent pas,

mais parfois, sous la pâleur des réverbères,

on croit apercevoir une ombre fugace,

un éclat d’argent qui danse sur une vitre.

 

Et quand le jour renaît,

ils disparaissent avec les étoiles,

laissant aux dormeurs un dernier cadeau :

une poussière de rêve,

une étincelle d’ailleurs,

un mystère qu’ils emporteront avec eux au réveil.

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