Depuis mai 2015, la municipalité de Tielt-Winge -Belgium, dans le Brabant flamand, est un lieu qui témoigne de la singularité de l'architecture de paysage. Une structure fascinante qui atténue la distinction entre une tour et un escalier flotte au-dessus du célèbre Kabouterbos ( forêt de conte de fées) et attire la curiosité de nombreux résidents et passants de Tielt. Le volume fascinant de l’acier est revêtu d’acier inoxydable de haut en bas.

Les exigences du cahier des charges reflétaient cet objectif: la nouvelle tour devait être entièrement construite en métal, mesurer au moins dix mètres de haut, comporter un abri et résister à toute forme de vandalisme.

Au lieu d'une construction classique avec un escalier en colimaçon, le designer a conçu un volume suspendu sans trop de fioritures décoratives. Le «Vlooybergtoren», comme on l'appelle, mesure 11, 28 mètres de haut (la plate-forme supérieure déborde de 10, 08 mètres + mur de rambarde de 1, 20 mètre) et est construit sur une sous-structure galvanisée revêtue d'acier patiné, une allusion subtile au typique brun-rouge. couleur de la pierre de fer dans la région de Hageland. Au total, l’imposante tour d’escalier ne pèse pas moins de treize tonnes.

Selon les propres mots du concepteur, la modélisation de la tour Vlooyberg était «une guerre contre son propre poids». Pour s'assurer que la structure serait suffisamment solide et ne s'affaisserait pas, il calculait manuellement les forces agissant sur chaque élément. Ses conclusions ont donné à la tour d'escalier sa forme et ses dimensions ultimes. La structure évolue de grande, lourde et forte, à petite, légère et mince. Le mur de garde-corps fonctionne comme une poutre structurelle qui confère à la structure en acier une solidité et une stabilité suffisantes pour résister aux forces agissant sur elle. Deux amortisseurs de vibrations garantissent que la tour d'escalier ne commence pas à vibrer sous le pied.

La structure a été entièrement préfabriquée et assemblée sur le site section par section. En fin de compte, l'installation n'a duré qu'une demi-journée. En tant que monument à forte valeur iconique, la tour Vlooyberg met en valeur, au sens propre et figuré, le profil de la belle région autour de Tielt-Winge. Les habitants de Tielt, les passants fortunés et les amateurs d'architecture moderne apprécient énormément ce monument fascinant.

Since May 2015, the municipality of Tielt-Winge -Belgium, in Flemish Brabant, has been a place that bears witness to the uniqueness of landscape architecture. A fascinating structure that softens the distinction between a tower and a staircase floats above the famous Kabouterbos (fairytale forest) and attracts the curiosity of many residents and passers-by of Tielt. The fascinating volume of the steel is coated with stainless steel from top to bottom.

The specifications reflected this objective: the new tower had to be constructed entirely of metal, be at least ten meters high, include a shelter and be resistant to all forms of vandalism.

Instead of a classic construction with a spiral staircase, the designer designed a suspended volume without too many decorative frills. The "Vlooybergtoren", as it is called, is 11.28 meters high (the upper platform overhangs 10.08 meters + guardrail wall of 1.20 meters) and is built on a coated galvanized substructure. of patinated steel, a subtle allusion to the typical brown-red. color of the iron stone in the Hageland region. In total, the imposing staircase tower weighs no less than thirteen tons.

In the designer's own words, the modeling of the Vlooyberg Tower was "a war against its own weight". To ensure that the structure would be strong enough and not sag, he would manually calculate the forces acting on each element. His findings gave the staircase tower its ultimate shape and dimensions. The structure evolves from big, heavy and strong, to small, light and thin. The guardrail wall functions as a structural beam which gives the steel structure sufficient strength and stability to withstand the forces acting on it. Two vibration dampers ensure that the stair tower does not start to vibrate underfoot.

The structure was completely prefabricated and assembled on site section by section. In the end, the installation only took half a day. As a monument of high iconic value, the Vlooyberg Tower highlights, literally and figuratively, the profile of the beautiful region around Tielt-Winge. Tielt residents, wealthy passers-by and lovers of modern architecture greatly appreciate this fascinating monument.

L’histoire entre Pont-Aven et la peinture a décollé dans la 2ème partie du 19ème siècle. L’arrivée du chemin de fer en Bretagne révèle alors une région singulière par sa langue, ses traditions et son patrimoine qui diffèrent du reste de la France. Une singularité qui attire de nombreux peintres séduits par la lumière, la beauté des paysages, les nombreux sujets qu’offre la région.

Ce sont d’abord des peintres américains qui rejoignent le village à partir de 1865 sur les conseils de Henry Bacon qui avait découvert la région un an plus tôt. Ces peintres réalistes représentent des scènes de la vie quotidienne.

Dans les années 1880 une deuxième vague de peintres rejoignent Pont-Aven. Et parmi eux Paul Gauguin, à court d’argent et à la recherche d’une nouvelle source d’inspiration, qui arrive à l’été 1886 et s’installe à la pension Gloanec. Avec Émile Bernard et Paul Sérusier entre autres, ils inventent un nouveau style, le synthétisme, dont le concept est d’exprimer idées et sensations par les formes et les couleurs. On donnera plus tard à ce groupe de peintres le nom d’École de Pont-Aven. Paul Gauguin reviendra régulièrement à Pont-Aven jusqu’en 1894, y réalisant quelques-unes de ses oeuvres les plus célèbres comme Le christ jaune ou La belle Angèle.

Depuis mai 2015, la municipalité de Tielt-Winge -Belgium, dans le Brabant flamand, est un lieu qui témoigne de la singularité de l'architecture de paysage. Une structure fascinante qui atténue la distinction entre une tour et un escalier flotte au-dessus du célèbre Kabouterbos ( forêt de conte de fées) et attire la curiosité de nombreux résidents et passants de Tielt. Le volume fascinant de l’acier est revêtu d’acier inoxydable de haut en bas.

Les exigences du cahier des charges reflétaient cet objectif: la nouvelle tour devait être entièrement construite en métal, mesurer au moins dix mètres de haut, comporter un abri et résister à toute forme de vandalisme.

Au lieu d'une construction classique avec un escalier en colimaçon, le designer a conçu un volume suspendu sans trop de fioritures décoratives. Le «Vlooybergtoren», comme on l'appelle, mesure 11, 28 mètres de haut (la plate-forme supérieure déborde de 10, 08 mètres + mur de rambarde de 1, 20 mètre) et est construit sur une sous-structure galvanisée revêtue d'acier patiné, une allusion subtile au typique brun-rouge. couleur de la pierre de fer dans la région de Hageland. Au total, l’imposante tour d’escalier ne pèse pas moins de treize tonnes.

Selon les propres mots du concepteur, la modélisation de la tour Vlooyberg était «une guerre contre son propre poids». Pour s'assurer que la structure serait suffisamment solide et ne s'affaisserait pas, il calculait manuellement les forces agissant sur chaque élément. Ses conclusions ont donné à la tour d'escalier sa forme et ses dimensions ultimes. La structure évolue de grande, lourde et forte, à petite, légère et mince. Le mur de garde-corps fonctionne comme une poutre structurelle qui confère à la structure en acier une solidité et une stabilité suffisantes pour résister aux forces agissant sur elle. Deux amortisseurs de vibrations garantissent que la tour d'escalier ne commence pas à vibrer sous le pied.

La structure a été entièrement préfabriquée et assemblée sur le site section par section. En fin de compte, l'installation n'a duré qu'une demi-journée. En tant que monument à forte valeur iconique, la tour Vlooyberg met en valeur, au sens propre et figuré, le profil de la belle région autour de Tielt-Winge. Les habitants de Tielt, les passants fortunés et les amateurs d'architecture moderne apprécient énormément ce monument fascinant.

Since May 2015, the municipality of Tielt-Winge -Belgium, in Flemish Brabant, has been a place that bears witness to the uniqueness of landscape architecture. A fascinating structure that softens the distinction between a tower and a staircase floats above the famous Kabouterbos (fairytale forest) and attracts the curiosity of many residents and passers-by of Tielt. The fascinating volume of the steel is coated with stainless steel from top to bottom.

The specifications reflected this objective: the new tower had to be constructed entirely of metal, be at least ten meters high, include a shelter and be resistant to all forms of vandalism.

Instead of a classic construction with a spiral staircase, the designer designed a suspended volume without too many decorative frills. The "Vlooybergtoren", as it is called, is 11.28 meters high (the upper platform overhangs 10.08 meters + guardrail wall of 1.20 meters) and is built on a coated galvanized substructure. of patinated steel, a subtle allusion to the typical brown-red. color of the iron stone in the Hageland region. In total, the imposing staircase tower weighs no less than thirteen tons.

In the designer's own words, the modeling of the Vlooyberg Tower was "a war against its own weight". To ensure that the structure would be strong enough and not sag, he would manually calculate the forces acting on each element. His findings gave the staircase tower its ultimate shape and dimensions. The structure evolves from big, heavy and strong, to small, light and thin. The guardrail wall functions as a structural beam which gives the steel structure sufficient strength and stability to withstand the forces acting on it. Two vibration dampers ensure that the stair tower does not start to vibrate underfoot.

The structure was completely prefabricated and assembled on site section by section. In the end, the installation only took half a day. As a monument of high iconic value, the Vlooyberg Tower highlights, literally and figuratively, the profile of the beautiful region around Tielt-Winge. Tielt residents, wealthy passers-by and lovers of modern architecture greatly appreciate this fascinating monument.

Essential singularities

Aujourd’hui, les logiciels de traitement moderne et l’intelligence artificielle offrent des possibilités impressionnantes : retouche photo presque indétectable, amélioration automatique du son ou de la vidéo, génération d’images ou de textes sur mesure…

Ces outils ouvrent des portes créatives et techniques que l’on n’imaginait pas il y a encore quelques années.

Cependant, comme pour tout progrès, l’excès peut nuire. Trop d’effets, de filtres ou de corrections risquent de dénaturer l’authenticité, de gommer l’émotion ou même d’induire en erreur.

À force de vouloir “perfectionner”, on finit parfois par perdre le naturel et la singularité qui font la valeur d’un contenu.

La clé reste donc la modération et le discernement : utiliser l’IA et les outils modernes comme un soutien ou un embellissement, mais sans leur laisser tout le contrôle.

C’est dans l’équilibre entre innovation et authenticité que naît la vraie richesse créative …

°°°°°°°°°°°°

Today, modern editing software and artificial intelligence offer impressive possibilities: nearly undetectable photo retouching, automatic enhancement of sound or video, custom-generated images or texts…

These tools open creative and technical doors we could hardly have imagined just a few years ago.

However, as with any advancement, excess can be harmful. Too many effects, filters, or corrections risk distorting authenticity, erasing emotion, or even misleading the audience.

By seeking “perfection” at all costs, we sometimes end up losing the natural and unique qualities that give content its true value.

The key, therefore, lies in moderation and discernment: using AI and modern tools as support or enhancement, but without letting them take over entirely.

It’s in the balance between innovation and authenticity that true creative richness emerges ...

Depuis mai 2015, la municipalité de Tielt-Winge -Belgium, dans le Brabant flamand, est un lieu qui témoigne de la singularité de l'architecture de paysage. Une structure fascinante qui atténue la distinction entre une tour et un escalier flotte au-dessus du célèbre Kabouterbos ( forêt de conte de fées) et attire la curiosité de nombreux résidents et passants de Tielt. Le volume fascinant de l’acier est revêtu d’acier inoxydable de haut en bas.

Les exigences du cahier des charges reflétaient cet objectif: la nouvelle tour devait être entièrement construite en métal, mesurer au moins dix mètres de haut, comporter un abri et résister à toute forme de vandalisme.

Au lieu d'une construction classique avec un escalier en colimaçon, le designer a conçu un volume suspendu sans trop de fioritures décoratives. Le «Vlooybergtoren», comme on l'appelle, mesure 11, 28 mètres de haut (la plate-forme supérieure déborde de 10, 08 mètres + mur de rambarde de 1, 20 mètre) et est construit sur une sous-structure galvanisée revêtue d'acier patiné, une allusion subtile au typique brun-rouge. couleur de la pierre de fer dans la région de Hageland. Au total, l’imposante tour d’escalier ne pèse pas moins de treize tonnes.

Selon les propres mots du concepteur, la modélisation de la tour Vlooyberg était «une guerre contre son propre poids». Pour s'assurer que la structure serait suffisamment solide et ne s'affaisserait pas, il calculait manuellement les forces agissant sur chaque élément. Ses conclusions ont donné à la tour d'escalier sa forme et ses dimensions ultimes. La structure évolue de grande, lourde et forte, à petite, légère et mince. Le mur de garde-corps fonctionne comme une poutre structurelle qui confère à la structure en acier une solidité et une stabilité suffisantes pour résister aux forces agissant sur elle. Deux amortisseurs de vibrations garantissent que la tour d'escalier ne commence pas à vibrer sous le pied.

La structure a été entièrement préfabriquée et assemblée sur le site section par section. En fin de compte, l'installation n'a duré qu'une demi-journée. En tant que monument à forte valeur iconique, la tour Vlooyberg met en valeur, au sens propre et figuré, le profil de la belle région autour de Tielt-Winge. Les habitants de Tielt, les passants fortunés et les amateurs d'architecture moderne apprécient énormément ce monument fascinant.

Since May 2015, the municipality of Tielt-Winge -Belgium, in Flemish Brabant, has been a place that bears witness to the uniqueness of landscape architecture. A fascinating structure that softens the distinction between a tower and a staircase floats above the famous Kabouterbos (fairytale forest) and attracts the curiosity of many residents and passers-by of Tielt. The fascinating volume of the steel is coated with stainless steel from top to bottom.

The specifications reflected this objective: the new tower had to be constructed entirely of metal, be at least ten meters high, include a shelter and be resistant to all forms of vandalism.

Instead of a classic construction with a spiral staircase, the designer designed a suspended volume without too many decorative frills. The "Vlooybergtoren", as it is called, is 11.28 meters high (the upper platform overhangs 10.08 meters + guardrail wall of 1.20 meters) and is built on a coated galvanized substructure. of patinated steel, a subtle allusion to the typical brown-red. color of the iron stone in the Hageland region. In total, the imposing staircase tower weighs no less than thirteen tons.

In the designer's own words, the modeling of the Vlooyberg Tower was "a war against its own weight". To ensure that the structure would be strong enough and not sag, he would manually calculate the forces acting on each element. His findings gave the staircase tower its ultimate shape and dimensions. The structure evolves from big, heavy and strong, to small, light and thin. The guardrail wall functions as a structural beam which gives the steel structure sufficient strength and stability to withstand the forces acting on it. Two vibration dampers ensure that the stair tower does not start to vibrate underfoot.

The structure was completely prefabricated and assembled on site section by section. In the end, the installation only took half a day. As a monument of high iconic value, the Vlooyberg Tower highlights, literally and figuratively, the profile of the beautiful region around Tielt-Winge. Tielt residents, wealthy passers-by and lovers of modern architecture greatly appreciate this fascinating monument.

Soundtrack // Bandes-on: Petru GUELFUCCI ("Corsica"): www.youtube.com/watch?v=nVCH8E9n37E

"La ville de Solenzara porte le nom de la rivière du même nom, qui vient du nom corse 'sole' signifiant 'soleil'. Elle offre un agréable bord de mer et un accès direct aux montagnes: l'étroite D268 conduit au col de Bavella en 30km." (Le Guide Vert Corse)

Autre vue // Other view: www.flickr.com/photos/regisa/40298981280/in/photolist-Fhs...

"Une nouvelle composition imparable, audacieuse et réussie, qui pointe la singularité du lieu, soulignée par le traitement immersif." (VINCENT / www.flickr.com/photos/58769600@N07/)

Own texture.

Vue du toit terrasse du barrage VAUBAN où l'on peut observer entre-autre, sur la gauche de la photo, les nouveaux locaux de l'ENA.

Autre singularité : si l'on observe la ligne d'horizon avec attention, moins de 5 clochers se dressent vers les cieux...

Depuis mai 2015, la municipalité de Tielt-Winge -Belgium, dans le Brabant flamand, est un lieu qui témoigne de la singularité de l'architecture de paysage. Une structure fascinante qui atténue la distinction entre une tour et un escalier flotte au-dessus du célèbre Kabouterbos ( forêt de conte de fées) et attire la curiosité de nombreux résidents et passants de Tielt. Le volume fascinant de l’acier est revêtu d’acier inoxydable de haut en bas.

Les exigences du cahier des charges reflétaient cet objectif: la nouvelle tour devait être entièrement construite en métal, mesurer au moins dix mètres de haut, comporter un abri et résister à toute forme de vandalisme.

Au lieu d'une construction classique avec un escalier en colimaçon, le designer a conçu un volume suspendu sans trop de fioritures décoratives. Le «Vlooybergtoren», comme on l'appelle, mesure 11, 28 mètres de haut (la plate-forme supérieure déborde de 10, 08 mètres + mur de rambarde de 1, 20 mètre) et est construit sur une sous-structure galvanisée revêtue d'acier patiné, une allusion subtile au typique brun-rouge. couleur de la pierre de fer dans la région de Hageland. Au total, l’imposante tour d’escalier ne pèse pas moins de treize tonnes.

Selon les propres mots du concepteur, la modélisation de la tour Vlooyberg était «une guerre contre son propre poids». Pour s'assurer que la structure serait suffisamment solide et ne s'affaisserait pas, il calculait manuellement les forces agissant sur chaque élément. Ses conclusions ont donné à la tour d'escalier sa forme et ses dimensions ultimes. La structure évolue de grande, lourde et forte, à petite, légère et mince. Le mur de garde-corps fonctionne comme une poutre structurelle qui confère à la structure en acier une solidité et une stabilité suffisantes pour résister aux forces agissant sur elle. Deux amortisseurs de vibrations garantissent que la tour d'escalier ne commence pas à vibrer sous le pied.

La structure a été entièrement préfabriquée et assemblée sur le site section par section. En fin de compte, l'installation n'a duré qu'une demi-journée. En tant que monument à forte valeur iconique, la tour Vlooyberg met en valeur, au sens propre et figuré, le profil de la belle région autour de Tielt-Winge. Les habitants de Tielt, les passants fortunés et les amateurs d'architecture moderne apprécient énormément ce monument fascinant.

Since May 2015, the municipality of Tielt-Winge -Belgium, in Flemish Brabant, has been a place that bears witness to the uniqueness of landscape architecture. A fascinating structure that softens the distinction between a tower and a staircase floats above the famous Kabouterbos (fairytale forest) and attracts the curiosity of many residents and passers-by of Tielt. The fascinating volume of the steel is coated with stainless steel from top to bottom.

The specifications reflected this objective: the new tower had to be constructed entirely of metal, be at least ten meters high, include a shelter and be resistant to all forms of vandalism.

Instead of a classic construction with a spiral staircase, the designer designed a suspended volume without too many decorative frills. The "Vlooybergtoren", as it is called, is 11.28 meters high (the upper platform overhangs 10.08 meters + guardrail wall of 1.20 meters) and is built on a coated galvanized substructure. of patinated steel, a subtle allusion to the typical brown-red. color of the iron stone in the Hageland region. In total, the imposing staircase tower weighs no less than thirteen tons.

In the designer's own words, the modeling of the Vlooyberg Tower was "a war against its own weight". To ensure that the structure would be strong enough and not sag, he would manually calculate the forces acting on each element. His findings gave the staircase tower its ultimate shape and dimensions. The structure evolves from big, heavy and strong, to small, light and thin. The guardrail wall functions as a structural beam which gives the steel structure sufficient strength and stability to withstand the forces acting on it. Two vibration dampers ensure that the stair tower does not start to vibrate underfoot.

The structure was completely prefabricated and assembled on site section by section. In the end, the installation only took half a day. As a monument of high iconic value, the Vlooyberg Tower highlights, literally and figuratively, the profile of the beautiful region around Tielt-Winge. Tielt residents, wealthy passers-by and lovers of modern architecture greatly appreciate this fascinating monument.

L’histoire entre Pont-Aven et la peinture a décollé dans la 2ème partie du 19ème siècle. L’arrivée du chemin de fer en Bretagne révèle alors une région singulière par sa langue, ses traditions et son patrimoine qui diffèrent du reste de la France. Une singularité qui attire de nombreux peintres séduits par la lumière, la beauté des paysages, les nombreux sujets qu’offre la région.

Ce sont d’abord des peintres américains qui rejoignent le village à partir de 1865 sur les conseils de Henry Bacon qui avait découvert la région un an plus tôt. Ces peintres réalistes représentent des scènes de la vie quotidienne.

Dans les années 1880 une deuxième vague de peintres rejoignent Pont-Aven. Et parmi eux Paul Gauguin, à court d’argent et à la recherche d’une nouvelle source d’inspiration, qui arrive à l’été 1886 et s’installe à la pension Gloanec. Avec Émile Bernard et Paul Sérusier entre autres, ils inventent un nouveau style, le synthétisme, dont le concept est d’exprimer idées et sensations par les formes et les couleurs. On donnera plus tard à ce groupe de peintres le nom d’École de Pont-Aven. Paul Gauguin reviendra régulièrement à Pont-Aven jusqu’en 1894, y réalisant quelques-unes de ses oeuvres les plus célèbres comme Le christ jaune ou La belle Angèle.

Construite dans les années 1620, l'église Saint-Michel n'est pas sans rappeler les églises fortifiées de Thiérache. Réalisée en brique sur un haut soubassement de grès, doté de jambages et de chaînes d'angle en pierre blanche, elle est dotée de deux tourelles de part et d'autre de l'entrée qui en font sa singularité. A l'intérieur, la nef central est séparée des deux bas-côtés par des colonnes de pierre bleue.

L’histoire entre Pont-Aven et la peinture a décollé dans la 2ème partie du 19ème siècle. L’arrivée du chemin de fer en Bretagne révèle alors une région singulière par sa langue, ses traditions et son patrimoine qui diffèrent du reste de la France. Une singularité qui attire de nombreux peintres séduits par la lumière, la beauté des paysages, les nombreux sujets qu’offre la région.

Ce sont d’abord des peintres américains qui rejoignent le village à partir de 1865 sur les conseils de Henry Bacon qui avait découvert la région un an plus tôt. Ces peintres réalistes représentent des scènes de la vie quotidienne.

Dans les années 1880 une deuxième vague de peintres rejoignent Pont-Aven. Et parmi eux Paul Gauguin, à court d’argent et à la recherche d’une nouvelle source d’inspiration, qui arrive à l’été 1886 et s’installe à la pension Gloanec. Avec Émile Bernard et Paul Sérusier entre autres, ils inventent un nouveau style, le synthétisme, dont le concept est d’exprimer idées et sensations par les formes et les couleurs. On donnera plus tard à ce groupe de peintres le nom d’École de Pont-Aven. Paul Gauguin reviendra régulièrement à Pont-Aven jusqu’en 1894, y réalisant quelques-unes de ses oeuvres les plus célèbres comme Le christ jaune ou La belle Angèle.

Depuis mai 2015, la municipalité de Tielt-Winge -Belgium, dans le Brabant flamand, est un lieu qui témoigne de la singularité de l'architecture de paysage. Une structure fascinante qui atténue la distinction entre une tour et un escalier flotte au-dessus du célèbre Kabouterbos ( forêt de conte de fées) et attire la curiosité de nombreux résidents et passants de Tielt. Le volume fascinant de l’acier est revêtu d’acier inoxydable de haut en bas.

Les exigences du cahier des charges reflétaient cet objectif: la nouvelle tour devait être entièrement construite en métal, mesurer au moins dix mètres de haut, comporter un abri et résister à toute forme de vandalisme.

Au lieu d'une construction classique avec un escalier en colimaçon, le designer a conçu un volume suspendu sans trop de fioritures décoratives. Le «Vlooybergtoren», comme on l'appelle, mesure 11, 28 mètres de haut (la plate-forme supérieure déborde de 10, 08 mètres + mur de rambarde de 1, 20 mètre) et est construit sur une sous-structure galvanisée revêtue d'acier patiné, une allusion subtile au typique brun-rouge. couleur de la pierre de fer dans la région de Hageland. Au total, l’imposante tour d’escalier ne pèse pas moins de treize tonnes.

Selon les propres mots du concepteur, la modélisation de la tour Vlooyberg était «une guerre contre son propre poids». Pour s'assurer que la structure serait suffisamment solide et ne s'affaisserait pas, il calculait manuellement les forces agissant sur chaque élément. Ses conclusions ont donné à la tour d'escalier sa forme et ses dimensions ultimes. La structure évolue de grande, lourde et forte, à petite, légère et mince. Le mur de garde-corps fonctionne comme une poutre structurelle qui confère à la structure en acier une solidité et une stabilité suffisantes pour résister aux forces agissant sur elle. Deux amortisseurs de vibrations garantissent que la tour d'escalier ne commence pas à vibrer sous le pied.

La structure a été entièrement préfabriquée et assemblée sur le site section par section. En fin de compte, l'installation n'a duré qu'une demi-journée. En tant que monument à forte valeur iconique, la tour Vlooyberg met en valeur, au sens propre et figuré, le profil de la belle région autour de Tielt-Winge. Les habitants de Tielt, les passants fortunés et les amateurs d'architecture moderne apprécient énormément ce monument fascinant.

Since May 2015, the municipality of Tielt-Winge -Belgium, in Flemish Brabant, has been a place that bears witness to the uniqueness of landscape architecture. A fascinating structure that softens the distinction between a tower and a staircase floats above the famous Kabouterbos (fairytale forest) and attracts the curiosity of many residents and passers-by of Tielt. The fascinating volume of the steel is coated with stainless steel from top to bottom.

The specifications reflected this objective: the new tower had to be constructed entirely of metal, be at least ten meters high, include a shelter and be resistant to all forms of vandalism.

Instead of a classic construction with a spiral staircase, the designer designed a suspended volume without too many decorative frills. The "Vlooybergtoren", as it is called, is 11.28 meters high (the upper platform overhangs 10.08 meters + guardrail wall of 1.20 meters) and is built on a coated galvanized substructure. of patinated steel, a subtle allusion to the typical brown-red. color of the iron stone in the Hageland region. In total, the imposing staircase tower weighs no less than thirteen tons.

In the designer's own words, the modeling of the Vlooyberg Tower was "a war against its own weight". To ensure that the structure would be strong enough and not sag, he would manually calculate the forces acting on each element. His findings gave the staircase tower its ultimate shape and dimensions. The structure evolves from big, heavy and strong, to small, light and thin. The guardrail wall functions as a structural beam which gives the steel structure sufficient strength and stability to withstand the forces acting on it. Two vibration dampers ensure that the stair tower does not start to vibrate underfoot.

The structure was completely prefabricated and assembled on site section by section. In the end, the installation only took half a day. As a monument of high iconic value, the Vlooyberg Tower highlights, literally and figuratively, the profile of the beautiful region around Tielt-Winge. Tielt residents, wealthy passers-by and lovers of modern architecture greatly appreciate this fascinating monument.

Depuis mai 2015, la municipalité de Tielt-Winge -Belgium, dans le Brabant flamand, est un lieu qui témoigne de la singularité de l'architecture de paysage. Une structure fascinante qui atténue la distinction entre une tour et un escalier flotte au-dessus du célèbre Kabouterbos ( forêt de conte de fées) et attire la curiosité de nombreux résidents et passants de Tielt. Le volume fascinant de l’acier est revêtu d’acier inoxydable de haut en bas.

Les exigences du cahier des charges reflétaient cet objectif: la nouvelle tour devait être entièrement construite en métal, mesurer au moins dix mètres de haut, comporter un abri et résister à toute forme de vandalisme.

Au lieu d'une construction classique avec un escalier en colimaçon, le designer a conçu un volume suspendu sans trop de fioritures décoratives. Le «Vlooybergtoren», comme on l'appelle, mesure 11, 28 mètres de haut (la plate-forme supérieure déborde de 10, 08 mètres + mur de rambarde de 1, 20 mètre) et est construit sur une sous-structure galvanisée revêtue d'acier patiné, une allusion subtile au typique brun-rouge. couleur de la pierre de fer dans la région de Hageland. Au total, l’imposante tour d’escalier ne pèse pas moins de treize tonnes.

Selon les propres mots du concepteur, la modélisation de la tour Vlooyberg était «une guerre contre son propre poids». Pour s'assurer que la structure serait suffisamment solide et ne s'affaisserait pas, il calculait manuellement les forces agissant sur chaque élément. Ses conclusions ont donné à la tour d'escalier sa forme et ses dimensions ultimes. La structure évolue de grande, lourde et forte, à petite, légère et mince. Le mur de garde-corps fonctionne comme une poutre structurelle qui confère à la structure en acier une solidité et une stabilité suffisantes pour résister aux forces agissant sur elle. Deux amortisseurs de vibrations garantissent que la tour d'escalier ne commence pas à vibrer sous le pied.

La structure a été entièrement préfabriquée et assemblée sur le site section par section. En fin de compte, l'installation n'a duré qu'une demi-journée. En tant que monument à forte valeur iconique, la tour Vlooyberg met en valeur, au sens propre et figuré, le profil de la belle région autour de Tielt-Winge. Les habitants de Tielt, les passants fortunés et les amateurs d'architecture moderne apprécient énormément ce monument fascinant.

Since May 2015, the municipality of Tielt-Winge -Belgium, in Flemish Brabant, has been a place that bears witness to the uniqueness of landscape architecture. A fascinating structure that softens the distinction between a tower and a staircase floats above the famous Kabouterbos (fairytale forest) and attracts the curiosity of many residents and passers-by of Tielt. The fascinating volume of the steel is coated with stainless steel from top to bottom.

The specifications reflected this objective: the new tower had to be constructed entirely of metal, be at least ten meters high, include a shelter and be resistant to all forms of vandalism.

Instead of a classic construction with a spiral staircase, the designer designed a suspended volume without too many decorative frills. The "Vlooybergtoren", as it is called, is 11.28 meters high (the upper platform overhangs 10.08 meters + guardrail wall of 1.20 meters) and is built on a coated galvanized substructure. of patinated steel, a subtle allusion to the typical brown-red. color of the iron stone in the Hageland region. In total, the imposing staircase tower weighs no less than thirteen tons.

In the designer's own words, the modeling of the Vlooyberg Tower was "a war against its own weight". To ensure that the structure would be strong enough and not sag, he would manually calculate the forces acting on each element. His findings gave the staircase tower its ultimate shape and dimensions. The structure evolves from big, heavy and strong, to small, light and thin. The guardrail wall functions as a structural beam which gives the steel structure sufficient strength and stability to withstand the forces acting on it. Two vibration dampers ensure that the stair tower does not start to vibrate underfoot.

The structure was completely prefabricated and assembled on site section by section. In the end, the installation only took half a day. As a monument of high iconic value, the Vlooyberg Tower highlights, literally and figuratively, the profile of the beautiful region around Tielt-Winge. Tielt residents, wealthy passers-by and lovers of modern architecture greatly appreciate this fascinating monument.

Depuis mai 2015, la municipalité de Tielt-Winge -Belgium, dans le Brabant flamand, est un lieu qui témoigne de la singularité de l'architecture de paysage. Une structure fascinante qui atténue la distinction entre une tour et un escalier flotte au-dessus du célèbre Kabouterbos ( forêt de conte de fées) et attire la curiosité de nombreux résidents et passants de Tielt. Le volume fascinant de l’acier est revêtu d’acier inoxydable de haut en bas.

Les exigences du cahier des charges reflétaient cet objectif: la nouvelle tour devait être entièrement construite en métal, mesurer au moins dix mètres de haut, comporter un abri et résister à toute forme de vandalisme.

Au lieu d'une construction classique avec un escalier en colimaçon, le designer a conçu un volume suspendu sans trop de fioritures décoratives. Le «Vlooybergtoren», comme on l'appelle, mesure 11, 28 mètres de haut (la plate-forme supérieure déborde de 10, 08 mètres + mur de rambarde de 1, 20 mètre) et est construit sur une sous-structure galvanisée revêtue d'acier patiné, une allusion subtile au typique brun-rouge. couleur de la pierre de fer dans la région de Hageland. Au total, l’imposante tour d’escalier ne pèse pas moins de treize tonnes.

Selon les propres mots du concepteur, la modélisation de la tour Vlooyberg était «une guerre contre son propre poids». Pour s'assurer que la structure serait suffisamment solide et ne s'affaisserait pas, il calculait manuellement les forces agissant sur chaque élément. Ses conclusions ont donné à la tour d'escalier sa forme et ses dimensions ultimes. La structure évolue de grande, lourde et forte, à petite, légère et mince. Le mur de garde-corps fonctionne comme une poutre structurelle qui confère à la structure en acier une solidité et une stabilité suffisantes pour résister aux forces agissant sur elle. Deux amortisseurs de vibrations garantissent que la tour d'escalier ne commence pas à vibrer sous le pied.

La structure a été entièrement préfabriquée et assemblée sur le site section par section. En fin de compte, l'installation n'a duré qu'une demi-journée. En tant que monument à forte valeur iconique, la tour Vlooyberg met en valeur, au sens propre et figuré, le profil de la belle région autour de Tielt-Winge. Les habitants de Tielt, les passants fortunés et les amateurs d'architecture moderne apprécient énormément ce monument fascinant.

Since May 2015, the municipality of Tielt-Winge -Belgium, in Flemish Brabant, has been a place that bears witness to the uniqueness of landscape architecture. A fascinating structure that softens the distinction between a tower and a staircase floats above the famous Kabouterbos (fairytale forest) and attracts the curiosity of many residents and passers-by of Tielt. The fascinating volume of the steel is coated with stainless steel from top to bottom.

The specifications reflected this objective: the new tower had to be constructed entirely of metal, be at least ten meters high, include a shelter and be resistant to all forms of vandalism.

Instead of a classic construction with a spiral staircase, the designer designed a suspended volume without too many decorative frills. The "Vlooybergtoren", as it is called, is 11.28 meters high (the upper platform overhangs 10.08 meters + guardrail wall of 1.20 meters) and is built on a coated galvanized substructure. of patinated steel, a subtle allusion to the typical brown-red. color of the iron stone in the Hageland region. In total, the imposing staircase tower weighs no less than thirteen tons.

In the designer's own words, the modeling of the Vlooyberg Tower was "a war against its own weight". To ensure that the structure would be strong enough and not sag, he would manually calculate the forces acting on each element. His findings gave the staircase tower its ultimate shape and dimensions. The structure evolves from big, heavy and strong, to small, light and thin. The guardrail wall functions as a structural beam which gives the steel structure sufficient strength and stability to withstand the forces acting on it. Two vibration dampers ensure that the stair tower does not start to vibrate underfoot.

The structure was completely prefabricated and assembled on site section by section. In the end, the installation only took half a day. As a monument of high iconic value, the Vlooyberg Tower highlights, literally and figuratively, the profile of the beautiful region around Tielt-Winge. Tielt residents, wealthy passers-by and lovers of modern architecture greatly appreciate this fascinating monument.

Le Pont Napoléon de Lille - Le seul pont piétonnier couvert en France.

Le magnifique Pont Napoléon est une curiosité à plus d’un titre : d’abord parce que sa reconstruction à l’identique est une vraie réussite. Ensuite, parce que son architecture est unique en France. Enfin parce que, tel un chat, ce pont si tranquille a eu plusieurs vies. L’endroit a déjà beaucoup de charme et va prendre peu à peu une place plus grande dans la métamorphose de l’Esplanade et du Champ de Mars.

Installées devant les quatre piles du pont, il a même retrouvé ses quatre sphinges, mi femmes mi lion, qui ornent à nouveau les escaliers.

Son architecture élégante et inhabituelle a toujours fait la singularité du Pont Napoléon. Il a été et reste le seul exemple de pont couvert piétonnier, construit en fer et en pierre.

Les multiples vies du Pont Napoléon :

Le premier pont construit en 1812 par l’architecte Benjamin Dewarlez est en bois. Il se détériore rapidement nécessitant une première restauration dès 1850. On change alors son nom le rebaptisant provisoirement “Pont de Berry ” et “Pont Royal”. On efface également les victoires napoléoniennes les moins populaires.

En 1918, il est détruit par les troupes allemandes lors de leur départ de la ville. En 1922, le Pont Napoléon est en partie reconstruit à l’occasion de l’exposition Internationale. Il ne survivra pas à la seconde guerre mondiale où les troupes allemandes, à nouveau, le détruisent.

La reconstruction du pont Napoléon, signée par l’architecte lillois Etienne Sintive, s’inscrit dans le programme de rénovation du parc de la Citadelle Vauban. Il entame aujourd’hui une nouvelle vie… Souhaitons qu’elle soit plus paisible cette fois.

Depuis mai 2015, la municipalité de Tielt-Winge -Belgium, dans le Brabant flamand, est un lieu qui témoigne de la singularité de l'architecture de paysage. Une structure fascinante qui atténue la distinction entre une tour et un escalier flotte au-dessus du célèbre Kabouterbos ( forêt de conte de fées) et attire la curiosité de nombreux résidents et passants de Tielt. Le volume fascinant de l’acier est revêtu d’acier inoxydable de haut en bas.

Les exigences du cahier des charges reflétaient cet objectif: la nouvelle tour devait être entièrement construite en métal, mesurer au moins dix mètres de haut, comporter un abri et résister à toute forme de vandalisme.

Au lieu d'une construction classique avec un escalier en colimaçon, le designer a conçu un volume suspendu sans trop de fioritures décoratives. Le «Vlooybergtoren», comme on l'appelle, mesure 11, 28 mètres de haut (la plate-forme supérieure déborde de 10, 08 mètres + mur de rambarde de 1, 20 mètre) et est construit sur une sous-structure galvanisée revêtue d'acier patiné, une allusion subtile au typique brun-rouge. couleur de la pierre de fer dans la région de Hageland. Au total, l’imposante tour d’escalier ne pèse pas moins de treize tonnes.

Selon les propres mots du concepteur, la modélisation de la tour Vlooyberg était «une guerre contre son propre poids». Pour s'assurer que la structure serait suffisamment solide et ne s'affaisserait pas, il calculait manuellement les forces agissant sur chaque élément. Ses conclusions ont donné à la tour d'escalier sa forme et ses dimensions ultimes. La structure évolue de grande, lourde et forte, à petite, légère et mince. Le mur de garde-corps fonctionne comme une poutre structurelle qui confère à la structure en acier une solidité et une stabilité suffisantes pour résister aux forces agissant sur elle. Deux amortisseurs de vibrations garantissent que la tour d'escalier ne commence pas à vibrer sous le pied.

La structure a été entièrement préfabriquée et assemblée sur le site section par section. En fin de compte, l'installation n'a duré qu'une demi-journée. En tant que monument à forte valeur iconique, la tour Vlooyberg met en valeur, au sens propre et figuré, le profil de la belle région autour de Tielt-Winge. Les habitants de Tielt, les passants fortunés et les amateurs d'architecture moderne apprécient énormément ce monument fascinant.

Since May 2015, the municipality of Tielt-Winge -Belgium, in Flemish Brabant, has been a place that bears witness to the uniqueness of landscape architecture. A fascinating structure that softens the distinction between a tower and a staircase floats above the famous Kabouterbos (fairytale forest) and attracts the curiosity of many residents and passers-by of Tielt. The fascinating volume of the steel is coated with stainless steel from top to bottom.

The specifications reflected this objective: the new tower had to be constructed entirely of metal, be at least ten meters high, include a shelter and be resistant to all forms of vandalism.

Instead of a classic construction with a spiral staircase, the designer designed a suspended volume without too many decorative frills. The "Vlooybergtoren", as it is called, is 11.28 meters high (the upper platform overhangs 10.08 meters + guardrail wall of 1.20 meters) and is built on a coated galvanized substructure. of patinated steel, a subtle allusion to the typical brown-red. color of the iron stone in the Hageland region. In total, the imposing staircase tower weighs no less than thirteen tons.

In the designer's own words, the modeling of the Vlooyberg Tower was "a war against its own weight". To ensure that the structure would be strong enough and not sag, he would manually calculate the forces acting on each element. His findings gave the staircase tower its ultimate shape and dimensions. The structure evolves from big, heavy and strong, to small, light and thin. The guardrail wall functions as a structural beam which gives the steel structure sufficient strength and stability to withstand the forces acting on it. Two vibration dampers ensure that the stair tower does not start to vibrate underfoot.

The structure was completely prefabricated and assembled on site section by section. In the end, the installation only took half a day. As a monument of high iconic value, the Vlooyberg Tower highlights, literally and figuratively, the profile of the beautiful region around Tielt-Winge. Tielt residents, wealthy passers-by and lovers of modern architecture greatly appreciate this fascinating monument.

Lauterbrunnen se niche dans l’une des plus impressionnantes vallées alpines, entre de gigantesques parois rocheuses et de hauts sommets. Avec ses 72 cascades rugissantes ainsi que ses vallées retirées, ses alpages fleuris et ses hôtels de montagne isolés, la vallée de Lauterbrunnen est l’une des plus importantes réserves naturelles de Suisse.

« Lauter Brunnen » - le nom du village évoque à lui seul déjà la singularité de ce paysage : la vallée de Lauterbrunnen compte 72 cascades. La plus emblématique est la chute d’eau du Staubbach, une des plus hautes cascades d’Europe, qui se jette d’une paroi rocheuse haute de près de 300 mètres. Johann Wolfgang von Goethe, qui visita la vallée en 1779, trouva l’inspiration dans ces eaux rugissantes pour composer son célèbre poème « Gesang der Geister über den Wassern ».

L’église St-Pierre et St-Paul est construite au Moyen-Age et elle subit ensuite les ravages des guerres de religion. En 1591, l’église est détruite alors que les habitants s’y sont retranchés.

Suite à ces évènements, la reconstruction des voûtes a lieu tout comme la fortification de l’église à la fin du XVIIème siècle. La charpente et la couverture, quant à elles, sont renouvelées en 1762. En 1921, l’édifice est classé au titre des Monuments historiques. En 1959, lors d’un tremblement de terre, une travée s’effondre amenant d’importants travaux de reconstruction.

L’église présente de nombreuses singularités tels que les ornements de ses chapiteaux parés de têtes d’hommes et d’animaux en relief ; les clefs de voûte portent des agneaux en blasons. Sur le tympan du portail occidental se trouve une petite fresque représentant la Descente de Croix. Très endommagée, cachée sous un enduit, elle a été restaurée de manière stylisée. D’autres fresques sont visibles, redécouvertes dans les années 1960 dans le chœur alors cachées sous des boiseries. Elles ont été peintes au XVIIe siècle par des peintres italiens. L’église possède trois autels classés et des retables en bois partiellement peints ou dorés.

La singularité du bâtiment de Jacques Ferrier se fonde sur le lien que le nouveau siège communautaire crée avec le paysage de Rouen.

Son architecture facettée et transparente est conçue pour jouer des variations de lumière du ciel normand, des reflets de l’eau et des couleurs du climat. Le bâtiment est revêtu d’une façade d’écailles de verre colorées. Irisant et diffractant la lumière solaire, elles parent le bâtiment de touches de couleur qui se démultiplient avec les reflets du fleuve. Ce registre poétique est inspiré de l’impressionnisme et de Claude Monet. Le verre est revêtu d’une couche d’oxydes métalliques qui, de l’extérieur crée un reflet iridescent coloré, et s’efface vu de l’intérieur, n’altérant pas la vision des espaces de travail.

Le sanctuaire fut agrandi et surélevé plusieurs fois, entre le IXe et le XIVe siècle. Elle comporte trois niveaux : la crypte, l’église, et le chœur surélevé, accessible par deux escaliers en marbre.

L'abside polygonale gothique, résultat de l'expansion du chœur, fut achevée en 1398.

Surprenante singularité, l’édifice comporte un chœur surélevé au-dessus d’une crypte. Une série de statues ex-polychromiques en marbre (VIIIe siècle) représente le Christ et ses Apôtres. Ils se tiennent face à la nef et soulignent physiquement la séparation entre les espaces.

Le maître autel est surmonté du très beau retable de Saint-Zénon (1457-1460) .....Andrea MANTEGNAMais j ai renoncé à le photographier...trop loin et inaccessible....( photos lointaines pas assez bonnes pour Flickr )

. ... Héron Cendré, en déplacement au-dessus de son petit étang.

. ... Pour photographier un héron, il faut une patience de héron.... Il faut être héron !!!.... c'est-à-dire, être capable de rester des heures immobile comme lui, et prêt à déclencher au moindre signe d'une activité prochaine... on n'y arrive pas toujours !!!..... Quand il s'envole, par exemple, il donne un signe : il commence par plier ses pattes à 90° pour prendre de l'élan... Et hop ! c'est le moment de prendre la photo !!!....

. ... Sur cette photo, on peut estimer volontiers qu'il vient de quitter son aire de départ.... mais il a souvent les pattes pendantes de la même façon lorsqu'il est en vol bien lancé (ce n'est que lorsqu'il est parti pour de longues distances qu'il met ses pattes dans le prolongement de son corps, comme les autres échassiers, cigognes ou grues).... Toutefois, son attitude est très reconnaissable lorsqu'il est sur le point d'atterrir, car il a un comportement d'aérofreinage caractéristique : il se "cabre", et il tend ses pattes vers l'avant pour se réceptionner au sol, en douceur... en tenant ses ailes déployées, comme avec un parachute !!!....

. ... La grisaille générale de cette photo met l'accent sur une singularité de mon héron : il a le dessous du ventre et les cuisses, teinté de jaune...... Je pense que ce n'est pas la couleur naturelle de ses plumes, mais une teinte ajoutée dont j'ai essayé de savoir l'origine..... Je crois qu'il s'agit d'une prolifération d'algues microscopiques, due au fait que ce héron est particulièrement "barboteur".... C'est en effet un héron encore jeune, qui est certainement encore dans son apprentissage de la vie, et il a pris la mauvaise habitude de pêcher en se tenant dans l'eau jusqu'au ventre... ça se fait aussi, chez les autres hérons, mais plus ou moins..... Les adultes confirmés préfèrent en général chasser le poisson depuis le bord, sans se tremper les pattes, ou dans une eau peu profonde, sans se tremper le ventre... Les autres années, j'avais affaire à l'un de ses parents, adulte bien plus gros, et qui n'était pas un "barboteur" !!!!...... donc, qui n'avait pas le ventre jaune !!!.....

...... Deux liens vers des photos du même héron, lorsqu'il est en station immobile au bord de l'eau :

. ... flic.kr/p/23okWwX

. ... flic.kr/p/Q8xESC

Je venais d'arriver dans le village de Lishan. Le chauffeur du bus a refusé de me faire payer mon billet. Le fond de l'air était frais, témoin de l'altitude du lieu dont je n'avais pas encore tout à fait pris la mesure. Rue poussiéreuse, deux-roues et camions locaux, habitants en bottes, casques facultatifs pour les chauffeurs de scooters, foulards, doudounes, et le mec qui fumait sa clope au fond du magasin... J'étais loin de m'imaginer que ce village possédait pas moins de dix hôtels prêts à accueillir de nombreux visiteurs. Ni qu'on y récoltait un thé parmi les plus réputés de Taïwan. Ce qui est certain et marque la singularité du lieu, c'est qu'aucune ville importante de l'ile n'est située à moins d'un interminable trajet le long de splendides routes sinueuses. Et que ce magasin ne disposait que d'une proportion bien limitée de produits de marque, industriels, standardisés, emballés comme partout ailleurs. Ceci le démarquait tant de l'écrasante majorité des localités taïwanaise, toutes colonisées par les "convenience store" de grandes chaînes uniformisées. Ce village n'est apparemment pas rentable, au sens des seigneurs du commerce de détail international.

Le charme d'un paysage se dévoile parfois à travers le regard neuf des visiteurs. On peut observer leur émerveillement devant un monument historique ou un paysage pittoresque. Leur curiosité nous rappelle la beauté des choses simples que l'on oublie parfois d'apprécier. Ce regard extérieur offre une nouvelle perspective sur notre environnement quotidien. Il nous invite à redécouvrir la richesse et la singularité de notre patrimoine.

Les barbes attirent le regard.

Et sous le masque, celles-ci font encore parler d'elles !

Comment peut-on rendre anonyme un barbu avec une barbe pareille ?

Avec un masque, la question est réglée ! Et en plus, ça ajoute un élément de singularité !

Longue vie aux Barbus !

Landes secrète.

Dans un département dont le relief doit contribuer à renforcer les certitudes des platistes, profiter du spectacle grandiose qu'offre une cascade semble être une volonté à inscrire au registre des fantasmes.

Et pourtant, il en existe bien une, pour qui est prêt à s'aventurer dans les méandres des forêts de pins landaise.

Nichée au coeur de l'une d'entre elle, quasi invisible au beau milieu d'une végétation luxuriante et atypique, elle se laisse uniquement découvrir en remontant sur une centaine de mètres, le lit d'une rivière sablonneuse jonchée de faluns.

A mesure de la progression, les berges s'élèvent, se transformant progressivement en gorges dont les parois rocheuses et ruisselantes se font de plus en plus abruptes. Puis, au détour d'un dernier lacet, elle apparaît, se jetant avec élégance dans une anse élargie contrastant avec l'étroitesse du chemin jusque là emprunté.

Alors certes pour les amateurs et spécialistes du genre, avec ses cinq mètres de hauteur, elle n'a pas l'envergure ni la puissance des cascades montagneuse de notre département voisin. Elle représente cependant à mes yeux, un des joyaux naturel du territoire landais, autant pour ses singularités géologiques que pour son charme indéniable.

Au final une belle surprise à proximité de la maison. A redécouvrir je l'espère, dans d'autres conditions. Un peu moins d'eau pour commencer, histoire qu'elle se laisse approcher d'un peu plus près et pourquoi pas, sans contrainte de couvre feu, afin de profiter des derniers rayons de soleil de la journée...

Coquelicots au coucher de soleil.Mais où sont les coquelicots? Les fleurs sont déjà passées mais ces tiges avec leurs futurs graines m'ont fait pensé à des individus, chacun avec leurs singularités, leurs personnalités.

glancesbiodiversity.wixsite.com/glancesbiodiversity

À l'extrême nord du littoral catalan se trouve la péninsule du cap de Creus , une superficie rocheuse et montagneuse considérée comme la prolongation des Pyrénées à leur contact avec la Méditerranée. Le territoire, de 150 kilomètres carrés , a été classé parc naturel en 1998 .

Le parc naturel du Cap de Creus est parmi les zones protégées les plus importantes de Catalogne. La singularité de sa géologie et de sa faune est visible dans les réserves de la pointe du phare du cap de Creus, du cap Gros , du cap Norfeu et de la sierra de Rodes . C´est l´une des régions les plus riches et passionnantes pour les chercheurs et les spécialistes, mais aussi pour les touristes et les amoureux de la nature.

Source : www.catalunya.com/espai-cap-de-creus-17-16001-223?languag...

Cette ville présente la singularité d'avoir été construite à l'intérieur, puis autour, du palais de Dioclétien.

Cet empereur romain — d'origine dalmate — se fait construire un immense palais sur sa côte natale, de 294 à 305. Il y passe sa retraite. Ce palais, outre les bâtiments résidentiels, comprend thermes, bibliothèque, temple dédié à Jupiter, caserne abritant une garde, et est cerné de remparts. Le tout occupe une surface de 215 m sur 180, soit 39 000 m² (environ 8 stades de football). Le front de mer est encore constitué de l'enceinte du palais.

Bassins de Lumières à l’ancienne base sous-marine de Bordeaux: les artistes Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi présentent leur création "Gustav Klimt, d’or et de couleurs" réalisée à partir d’oeuvres de la figure incontournable de la peinture symbolique viennoise. L’exposition numérique présente les oeuvres qui ont fait la singularité et le succès de Klimt : sa période dorée, ses portraits et ses paysages.

Instagram: www.instagram.com/jl.dumas

500Px: 500px.com/jldum

B&W: www.flickr.com/photos/jldum/albums/72157635275056980

Assis, les gens ont différentes manières d'agir. Certains semblent posés. D'autres à l'affût de la moindre singularité qui se pointerait, d'autres encore sont absorbés par leur conversation.

Et à côté de ça, y a des gens debout dont on se demande ce qu'ils font.

...Et au final tous se demandent ce que je fiche, planté au milieu de la rue... :-))

"There's a crack in everything, That's how the light gets in"

La sculpture « L'Homme Aux Semelles Devant », face à la bibliothèque de l'Arsenal, place du Père-Teilhard-de-Chardin, 4e arr. à Paris, Ile-de-France, France.

Cette sculpture, créée par Jean-Robert Ipoustéguy, rend hommage à Arthur Rimbaud (1854-1891). Arthur Rimbaud, qui était surnommé « l'homme aux semelles de vent » par Verlaine, est ici représenté dans une horizontalité faisant référence au Bateau ivre (« Comme je descendais des fleuves impassibles »). De plus, Ipoustéguy a voulu représenter à la fois le poète et l'aventurier, et cette singularité de celui qui est parti en pleine gloire vers des contrées lointaines.

Il s'agit d'une commande du président de la République de l'époque, François Mitterrand, qui 'inscrit dans une série commencée en 1984 de commandes publiques de monuments en hommage à des grands hommes français. N.B. La sculpture a été déplacée à l'automne 2018 dans le musée de la Sculpture en plein air du 5e arr.

À l'extrême nord du littoral catalan se trouve la péninsule du cap de Creus , une superficie rocheuse et montagneuse considérée comme la prolongation des Pyrénées à leur contact avec la Méditerranée. Le territoire, de 150 kilomètres carrés , a été classé parc naturel en 1998 .

Le parc naturel du Cap de Creus est parmi les zones protégées les plus importantes de Catalogne. La singularité de sa géologie et de sa faune est visible dans les réserves de la pointe du phare du cap de Creus, du cap Gros , du cap Norfeu et de la sierra de Rodes . C´est l´une des régions les plus riches et passionnantes pour les chercheurs et les spécialistes, mais aussi pour les touristes et les amoureux de la nature.

La pratique d´activités aquatiques et sous-marines est l´un des principaux attraits de ce site naturel, outre la randonnée . Le parc propose aussi de suivre les sentiers de long parcours GR-11 et GR-92 .

Parmi les espèces animales qui l’habitent, citons la rainette verte, le cormoran et le mérou noir. La végétation est caractérisée par la présence du sèseli ferreny , des limoni et de nombreuses espèces sous-marines singulières comme la posidonie.

Le phare du cap de Creus fut construit sur un site privilégié, un promontoire rocheux de 67 mètres dominant la mer, le point de plus oriental de la péninsule ibérique.

Parmi les installations annexes du phare, l´espai Cap de Creus est un musée de divulgation dédié à la richesse environnementale de ce parc naturel. L'une des quatre salles du centre est réservée aux expositions temporaires . Le reste propose une exposition permanente avec des photographies, des panneaux graphiques et des éléments multimédia sur les points les plus importants de cet environnement naturel.

Source : www.catalunya.com/espai-cap-de-creus-17-16001-223?languag...

Le Pont Napoléon de Lille - Le seul pont piétonnier couvert en France.

Le magnifique Pont Napoléon est une curiosité à plus d’un titre : d’abord parce que sa reconstruction à l’identique est une vraie réussite. Ensuite, parce que son architecture est unique en France. Enfin parce que, tel un chat, ce pont si tranquille a eu plusieurs vies. L’endroit a déjà beaucoup de charme et va prendre peu à peu une place plus grande dans la métamorphose de l’Esplanade et du Champ de Mars.

Installées devant les quatre piles du pont, il a même retrouvé ses quatre sphinges, mi femmes mi lion, qui ornent à nouveau les escaliers.

Son architecture élégante et inhabituelle a toujours fait la singularité du Pont Napoléon. Il a été et reste le seul exemple de pont couvert piétonnier, construit en fer et en pierre.

Les multiples vies du Pont Napoléon :

Le premier pont construit en 1812 par l’architecte Benjamin Dewarlez est en bois. Il se détériore rapidement nécessitant une première restauration dès 1850. On change alors son nom le rebaptisant provisoirement “Pont de Berry ” et “Pont Royal”. On efface également les victoires napoléoniennes les moins populaires.

En 1918, il est détruit par les troupes allemandes lors de leur départ de la ville. En 1922, le Pont Napoléon est en partie reconstruit à l’occasion de l’exposition Internationale. Il ne survivra pas à la seconde guerre mondiale où les troupes allemandes, à nouveau, le détruisent.

La reconstruction du pont Napoléon, signée par l’architecte lillois Etienne Sintive, s’inscrit dans le programme de rénovation du parc de la Citadelle Vauban. Il entame aujourd’hui une nouvelle vie… Souhaitons qu’elle soit plus paisible cette fois.

Xi'an. Depuis 1974, près de 1500 personnages ont été exhumés de plusieurs fosses funéraires. Les autres ont été laissés en l'état, ensevelis sous terre pour mieux les préserver.

La multiplicité de visages et la singularité de leurs expressions font de cette armée de terre cuite une oeuvre unique!

Depuis la route, Rocamadour surgit devant vous. Le village vertical, bâti en paliers successifs à l'aplomb de la falaise, s'accroche à 150 m au-dessus du canyon de l’Alzou. De jour comme de nuit, vous serez certainement éblouis par la beauté esthétique et la prouesse technique des bâtisseurs.

Ce petit village de 630 habitants est l’un des sites les plus visités de France. Vous y entrerez par la porte fortifiée du Figuier avant de suivre la rue de la Couronnerie, l’unique rue de Rocamadour, très animée, avec ses boutiques et restaurants.

Les mystères de Rocamadour

L'histoire du village de Rocamadour commence bien mystérieusement : rien ne permet en effet de connaître les raisons qui poussèrent des pèlerins à se rendre , dès le 9ème siècle, dans ce lieu escarpé.

Pas le moindre document pour éclairer sur le culte primitif qui entraîna ce rassemblement populaire, ni sur l'identité du corps trouvé intact sur le seuil de l'église Notre-Dame.

Rocamadour, membre des Villes Sanctuaires en France

Mais avant d'aller plus loin dans sa découverte, il faut savoir que Rocamadour est membre de l'association qui regroupe 17 villes sanctuaires de France. Toutes sont visitées chaque année par des milliers de touristes et de pèlerins venus du monde entier :

Chartres, Lisieux, Lourdes, le Mont-Saint-Michel, La salette, Paray -le-Monial, Ars, Vezelay, Alençon, Cotignac, Le Puy-en-Velay, Nevers, Saint-Anne-d'Auray, Thierenbach, Saint-Maximin er la Sainte Beaume et Souvigny.

Toutes méritent le détour. Elles se distinguent par la singularité de leurs paysages, de leur patrimoine souvent reconnu par l’UNESCO, de leurs chemins arpentés par des milliers de pèlerins venus de toutes parts, mais aussi par leurs saints. Leur notoriété est souvent nationale voire internationale.

A voir absolument sur fluidr.

www.fluidr.com/photos/caputarietis/

Thank you so much everyone for taking the time to comment and view my pictures.

Merci à tous de prendre le temps de regarder mes photos et de les commenter.

www.flickriver.com/photos/caputarietis/popular-interesting/

Touche L pour voir sur fond noir.

Touche Z zoomer.

L’EXPO URBAIN DE PANAME À PARIS.

2000 M2 D’ART URBAIN À L’HONNEUR

Pour sa première édition, Urbain de Paname met à l’honneur les œuvres de plus de 30 artistes, certains émergents, d’autres bien connus du grand public. Invader, Banksy, et Kaws y seront notamment exposés.Tous les artistes sont inspirés par la ville, sa faune, ses habitants, et ses paysages. L’exposition vise ainsi à créer des passerelles naturelles entre street art, art urbain, et art contemporain, afin de proposer un art accessible au plus grand nombre.

Tanc a déjà exposé nombre de ses œuvres à travers le monde. Ce qui le caractérise, c'est l'unicité de son style : une caractéristique qu'on comprend davantage en réalisant que Tanc a grandi avec le graffiti. Il considère que l'art de la rue est éphémère et que l'action est plus importante que le résultat.

Pour lui "être artiste est un mode de vie." l'investissement doit être total et l'intégrité, absolue. Au début des années 2000, il se concentre sur un travail d'atelier et se démarque tout de suite des graffeurs traditionnels par son art basé sur le trait.

Une recherche sur la synthèse.

D'abord de son nom, puis de celle des tags en général, puis des personnes, de la musique, et pour finir de son sujet préféré : la vie. Son travail ne cherche pas à être parfait mais plutôt spontané. C'est l'état dans lequel il est qui va définir la densité et la rigueur de son trait.

Son rythme cardiaque actionne son bras à la manière d'un métronome, il ne cherche pas à contrôler ce flux, mais simplement à comprendre ce qui représente en équilibre son conscient et son inconscient. II compose sa musique et ses toiles d'une manière spontanée.

Dense ou léger, rigoureux ou déstructuré... Tanc ne joue pas : il vit son art.

Il signe ses toiles "Tanc" comme il signe les murs de ses tags depuis l'adolescence. Cette discipline est d'abord l'exutoire instinctif d'un besoin d'expression: il se réapproprie l'espace urbain en criant son nom à la ville avec force.

Bientôt, les lettres disparaissent et Tanc s'engage dans une recherche formelle abstraite. En concentrant son travail sur le trait et la couleur, il renouvelle la recherche picturale classique en la confrontant à la vivacité première de l'art de rue: prépondérance de l'action, perfection du geste, acceptation de l'aléa et de l'expression d'une singularité forte.

Ses œuvres frappent avant tout par leur intensité, leur musicalité, la vibration des lumières et des matières. L'action, l'énergie et l'émotion de l'artiste touchent le spectateur de la façon la plus sensuelle, intime et immédiate.

Depuis mai 2015, la municipalité de Tielt-Winge -Belgium, dans le Brabant flamand, est un lieu qui témoigne de la singularité de l'architecture de paysage. Une structure fascinante qui atténue la distinction entre une tour et un escalier flotte au-dessus du célèbre Kabouterbos ( forêt de conte de fées) et attire la curiosité de nombreux résidents et passants de Tielt. Le volume fascinant de l’acier est revêtu d’acier inoxydable de haut en bas.

Les exigences du cahier des charges reflétaient cet objectif: la nouvelle tour devait être entièrement construite en métal, mesurer au moins dix mètres de haut, comporter un abri et résister à toute forme de vandalisme.

Au lieu d'une construction classique avec un escalier en colimaçon, le designer a conçu un volume suspendu sans trop de fioritures décoratives. Le «Vlooybergtoren», comme on l'appelle, mesure 11, 28 mètres de haut (la plate-forme supérieure déborde de 10, 08 mètres + mur de rambarde de 1, 20 mètre) et est construit sur une sous-structure galvanisée revêtue d'acier patiné, une allusion subtile au typique brun-rouge. couleur de la pierre de fer dans la région de Hageland. Au total, l’imposante tour d’escalier ne pèse pas moins de treize tonnes.

Selon les propres mots du concepteur, la modélisation de la tour Vlooyberg était «une guerre contre son propre poids». Pour s'assurer que la structure serait suffisamment solide et ne s'affaisserait pas, il calculait manuellement les forces agissant sur chaque élément. Ses conclusions ont donné à la tour d'escalier sa forme et ses dimensions ultimes. La structure évolue de grande, lourde et forte, à petite, légère et mince. Le mur de garde-corps fonctionne comme une poutre structurelle qui confère à la structure en acier une solidité et une stabilité suffisantes pour résister aux forces agissant sur elle. Deux amortisseurs de vibrations garantissent que la tour d'escalier ne commence pas à vibrer sous le pied.

La structure a été entièrement préfabriquée et assemblée sur le site section par section. En fin de compte, l'installation n'a duré qu'une demi-journée. En tant que monument à forte valeur iconique, la tour Vlooyberg met en valeur, au sens propre et figuré, le profil de la belle région autour de Tielt-Winge. Les habitants de Tielt, les passants fortunés et les amateurs d'architecture moderne apprécient énormément ce monument fascinant.

Since May 2015, the municipality of Tielt-Winge -Belgium, in Flemish Brabant, has been a place that bears witness to the uniqueness of landscape architecture. A fascinating structure that softens the distinction between a tower and a staircase floats above the famous Kabouterbos (fairytale forest) and attracts the curiosity of many residents and passers-by of Tielt. The fascinating volume of the steel is coated with stainless steel from top to bottom.

The specifications reflected this objective: the new tower had to be constructed entirely of metal, be at least ten meters high, include a shelter and be resistant to all forms of vandalism.

Instead of a classic construction with a spiral staircase, the designer designed a suspended volume without too many decorative frills. The "Vlooybergtoren", as it is called, is 11.28 meters high (the upper platform overhangs 10.08 meters + guardrail wall of 1.20 meters) and is built on a coated galvanized substructure. of patinated steel, a subtle allusion to the typical brown-red. color of the iron stone in the Hageland region. In total, the imposing staircase tower weighs no less than thirteen tons.

In the designer's own words, the modeling of the Vlooyberg Tower was "a war against its own weight". To ensure that the structure would be strong enough and not sag, he would manually calculate the forces acting on each element. His findings gave the staircase tower its ultimate shape and dimensions. The structure evolves from big, heavy and strong, to small, light and thin. The guardrail wall functions as a structural beam which gives the steel structure sufficient strength and stability to withstand the forces acting on it. Two vibration dampers ensure that the stair tower does not start to vibrate underfoot.

The structure was completely prefabricated and assembled on site section by section. In the end, the installation only took half a day. As a monument of high iconic value, the Vlooyberg Tower highlights, literally and figuratively, the profile of the beautiful region around Tielt-Winge. Tielt residents, wealthy passers-by and lovers of modern architecture greatly appreciate this fascinating monument.

Départ le 1er octobre pour une aventure de 4050 milles nautiques entre La Rochelle- Le Marin en Martinique. La singularité de cette mini transat qui se court en solitaire tient à l'absence de contact avec la terre et la petite taille des 82 bateaux engagés (6.50m).

Située dans les bois de La Gleixhe (hameau de Flmémalle)

Singularité: cadran solaire sur le clocher

Aquarelle 38x56 cm sur papier Sanders Waterford 300g grain fin

Les parisiens connaissent bien cette pratique du cadenas d'amour : un cadenas attaché à la rambarde d'un pont comme symbole d'une union amoureuse éternelle et indéfectible. Sur certains ponts, notamment à Paris, la situation est telle que les services municipaux retirent massivement les cadenas pour éviter de mettre en péril la structure globale.

Bon. Disons qu'à Alençon on n'en est pas là.

D'ailleurs, est-ce vraiment un cadenas d'amour ?

Parfois, la rue nous offre des singularités loufoques sans vraiment de sens propre... Ou des singularités parfaitement logiques mais qui, une fois dépouillées de leur contexte originel, sont des poèmes absurdes ballotés aux vents d'hiver.

Alors qu'en fait le Foutographe ?

Il attend la tache rouge, bien évidemment !

. ... C'est une singularité que je ne découvris qu'en examinant les photos que j'avais prises... Cet agrion femelle a les ailes amputées d'une large partie terminale. Cette mutilation ne l'empêchait pourtant pas de voler et de se poser adroitement sur ses perchoirs...

. ... Il est très fréquent de trouver des insectes volants avec leurs ailes abîmées, chez les libellules et surtout chez les papillons, avec des ailes parfois amputées de moitié... Mais ici, l'amputation est particulière du fait que les quatre ailes ont été happées et sectionnées toutes ensemble. Ce résultat donne à penser que le prédateur devait être un animal assez important ... Il s'était saisi de cet agrion par le bout des ailes quand il était au repos sur son perchoir, avec les quatre ailes bien rangées au-dessus de son dos. La proie s'était ensuite débattue et avait réussi à se libérer en laissant le bout de ses ailes dans la bouche de son agresseur.

. ... Il aurait pu s'agir d'un poisson, mais il n'y en avait pas d'aussi importants dans le petit ruisseau où je photographiais mes libellules (un simple fossé serait plus exact). Le monstre était donc probablement une grenouille.....

. ... Note : les données exif sont faussées par l'utilisation d'un tube d'extension.

Le Pont Napoléon de Lille - Le seul pont piétonnier couvert en France.

Le magnifique Pont Napoléon est une curiosité à plus d’un titre : d’abord parce que sa reconstruction à l’identique est une vraie réussite. Ensuite, parce que son architecture est unique en France. Enfin parce que, tel un chat, ce pont si tranquille a eu plusieurs vies. L’endroit a déjà beaucoup de charme et va prendre peu à peu une place plus grande dans la métamorphose de l’Esplanade et du Champ de Mars.

Installées devant les quatre piles du pont, il a même retrouvé ses quatre sphinges, mi femmes mi lion, qui ornent à nouveau les escaliers.

Son architecture élégante et inhabituelle a toujours fait la singularité du Pont Napoléon. Il a été et reste le seul exemple de pont couvert piétonnier, construit en fer et en pierre.

Les multiples vies du Pont Napoléon :

Le premier pont construit en 1812 par l’architecte Benjamin Dewarlez est en bois. Il se détériore rapidement nécessitant une première restauration dès 1850. On change alors son nom le rebaptisant provisoirement “Pont de Berry ” et “Pont Royal”. On efface également les victoires napoléoniennes les moins populaires.

En 1918, il est détruit par les troupes allemandes lors de leur départ de la ville. En 1922, le Pont Napoléon est en partie reconstruit à l’occasion de l’exposition Internationale. Il ne survivra pas à la seconde guerre mondiale où les troupes allemandes, à nouveau, le détruisent.

La reconstruction du pont Napoléon, signée par l’architecte lillois Etienne Sintive, s’inscrit dans le programme de rénovation du parc de la Citadelle Vauban. Il entame aujourd’hui une nouvelle vie… Souhaitons qu’elle soit plus paisible cette fois.

Ouvert ou fermé ? Quoi qu'il en soit, cette grande façade vitrée est un motif (ahah) d'intérêt un peu monomaniaque de ma part !

Parce que "pourquoi pas ?"...

Atelier d'un souffleur de verre en plein travail avec des gestes précis et appliqués avec passion.

Monadic singularity

Accroché au flanc de la colline et au milieu du vignoble, Mittelbergheim est un de ces villages dont la singularité historique et architecturale, souvent oubliés, mérite toute votre attention. D'une unité de style remarquable, Mittelbergheim a conservé le caractère d'un village viticole des 17° et 18° siècles, où chaque pierre et chaque maison racontent son histoire.

Il classé parmi les « Plus Beaux Villages de France ».

Le terroir de la colline du Zotzenberg est classé « Grand Cru » ; c'est le seul en Alsace à avoir également donné ses lettres de noblesse au cépage Sylvaner !