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"La chouette lapone vole généralement à faible hauteur, ses plumes épaisses et souples lui permettent de le faire silencieusement. Lorsqu'elle chasse, pieux de clôture, arbustes et arbres peu élevés lui servent de postes d'observation. Grâce à sa vue perçante, elle peut repérer ses proies de très loin. Son ouïe très fine lui permet aussi de déceler la présence de petits rongeurs sous la neige."
Québec, province de Québec, Canada.
the barges along the Jouy canal
Metz dispose à proximité du centre ville de vastes espaces verts et la rivière Moselle les traverse. Le canal de Jouy est un lieu de promenade très agréable avec un cheminement piétonnier sur les deux rives. De nombreuses péniches sont accostées à demeure. Certaines servent de lieu d'habitation. Quelques unes accueillent des touristes de passage en chambres d'hôtes. On peut même assister à des spectacles dans certaines.
L'islandais est une race de chevaux de selle de petite taille, qui forme l'unique race chevaline originaire d'Islande. Ces animaux sont vraisemblablement les descendants directs des montures amenées en bateau par les Vikings lors de la colonisation de l'Islande. Les Islandais sont restés très fiers de leurs chevaux, qu'ils citent régulièrement dans leurs sagas. Les importations de chevaux sont interdites sur l'île depuis le xe siècle et de ce fait, l'islandais n'a pas subi de croisements depuis les années 900. Il reste très longtemps une race exclusive à l'île d'Islande. La sélection naturelle lui permet d'acquérir une grande résistance aux conditions climatiques, en se contentant d'une nourriture pauvre.
Bien qu'il y ait une relation étroite entre ces chevaux et des poneys, surtout celtiques, les Islandais ont gardé le nom de « cheval » pour désigner leurs montures. Ces animaux sont caractérisés par leur taille réduite, leur grande robustesse et rusticité, leurs robes très variées et leur particularité de posséder fréquemment cinq allures, soit le tölt et l'amble en plus des trois allures habituelles du cheval. Leur utilisation est multiple, puisqu'ils servent encore au gardiennage des moutons sur leur île d'origine. Des courses et des concours d'allures spéciaux leur sont totalement réservés, ils peuvent également être élevés pour leur viande bien qu'ils soient employés comme montures de loisir.
L'islandais ne fut exporté que tardivement, au xxe siècle. Depuis, son succès en a fait une race représentée par des associations dans 19 pays, particulièrement en Europe de l'Ouest, en Scandinavie et en Amérique du Nord. Près de la moitié des chevaux islandais exportés se trouvent en Allemagne.
Avec l'arrivée du printemps , le chant des oiseaux revient pour notre plus grand plaisir.
Nos fils de téléphone si peu esthétique leurs servent juste pour se regrouper tranquillement et nous permettre de les admirer de plus près.
"Contrairement à leurs cousines, les araignées (ordre des Araneae), les faucheux ne sécrètent pas de soie et ne construisent donc pas de toile, et leur corps apparaît compact et non pas divisé en deux parties, le céphalothorax et l'abdomen, même si cette segmentation est sous-jacente. Deux yeux (contre six ou huit chez les araignées) occupent souvent une petite tourelle dorsale, le mamelon oculaire ou ocularium, à l'avant du céphalothorax. Petits, ils ne servent vraisemblablement pas à détecter la nourriture ou les ennemis, ou à orienter l'animal, mais contribuent au contrôle du rythme des activités diurnes et nocturnes de chaque espèce. Comme d'autres arachnides, les faucheux vivent dans un monde dominé par le toucher et le goût, plus que par la vision."
source : www.pourlascience.fr/sd/biologie-animale/les-faucheux-393...
Les paysans indiens recycle les bouses de vaches en les mélangeant avec un peu de paille.
Les femmes en font des petites boules qu'elles écrasent ensuite sur les murs.
Une fois sèchée les galettes servent de combustible pour faire la cuisine.
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Indian farmers recycle cow manure by mixing with a little straw.
Women make small balls then they crash on the walls.
Once dried patties are used as fuel for cooking.
La Capilla de la Virgen de l'iglesia de Nuestra Senora de la Encarnacion, Plaza de la Iglesia, Marbella, Andalousie, Espagne.
Initialement installée au 16e siècle dans une ancienne mosquée, cette église a été agrandie et réaménagée au 18e siècle. Elle se caractérise par sa tour à quatre corps, haute d'environ 50 m, surmontée d'une flèche pyramidale, et d'une girouette en forme d'ange, par son portail ocre de style rococo enchâssé dans les murs blancs et, à l’intérieur, par son maître-autel vert et doré typiquement baroque.
Marbella est une ville et une station balnéaire du sud de l'Espagne, sur la Costa del Sol. Les montagnes de la Sierra Blanca servent de toile de fond à 27 km de plages de sable méditerranéennes, de villas, d'hôtels et de golfs. À l'ouest de la ville de Marbella, boîtes de nuit et propriétés côtières prestigieuses se succèdent sur plus d'un kilomètre jusqu'à la marina de Puerto Banús, cernée de boutiques et de bars sélects, où s'alignent les yachts de luxe.
Le Grèbe huppé est un oiseau des étangs, des cours d'eau lents, des marais, des lacs, des réservoirs artificiels, des gravières inondées, des estuaires et d'autres lieux similaires. Pour nicher, il apprécie particulièrement les plans d'eau ceinturés de roseaux fournis et il a besoin de végétation palustre assez épaisse parmi laquelle il place son nid flottant.
C'est un oiseau assez peu farouche. Cet excellent nageur et plongeur peut s'enfoncer à 20 m (généralement 4-6 m) pendant 3 minutes au maximum.
Grèbe huppé adulte plum. nuptial
Il est également capable de parcourir plusieurs dizaines de mètres sous l'eau. C'est un migrateur partiel. Bien que l'espèce soit surtout sédentaire, certains Grèbes huppés issus des régions nordiques de l'aire de répartition, descendent passer l'hiver dans les estuaires et le long des côtes sableuses lorsque le gel fige les eaux douces. Toutefois, ils ne tardent pas à regagner les eaux continentales dès le début du printemps pour y nicher. Le seul moment où le grèbe consent à voler est justement l'époque de la migration. Il vole plutôt bas, actionnant rapidement les ailes, cou et pattes étendus. Les pattes servent de gouvernail, tant dans l'air que dans l'eau.
Le Grèbe huppé se nourrit surtout de divers petits poissons, de larves d'insectes, de crustacés et de mollusques. Les poissons mesurent généralement de 5 à 20 cm. L'adulte peut également consommer à l'occasion des petites grenouilles, des algues et d'autres végétaux. Pour trouver ses proies, le Grèbe huppé plonge fréquemment sous la surface ; il peut alors fouiller la vase de son long bec ou traquer des animaux aquatiques à la nage.
Le Grèbe huppé niche entre avril et juillet. À cette époque, les adultes portent une double huppe et des oreillettes brunes encadrant la tête.
Grèbe huppé adulte
Lors de la parade nuptiale complexe, le mâle et la femelle se font face et dressent le cou. Il nagent de concert, se frottent le cou tout en émettant des cris sonores, plongent puis réapparaissent, l'un des deux présentant des algues à l'autre. Le couple s'immobilise, poitrine contre poitrine, et chaque oiseau tourne la tête d'un côté puis de l'autre. Ce manège peut se perpétuer même lorsque les grèbes sont occupés à la construction du nid. Ce dernier est constitué principalement d'algues. Il peut reposer sur un fond vaseux mais il est conçu en principe pour affleurer la surface. Il peut également flotter mais il est alors arrimé à une souche ou à un paquet de végétaux entremêlés. Les adultes en garnissent la coupe peu profonde de végétaux qui servent à recouvrir les œufs si les adultes s'absentent du nid. La ponte est composée de 3 à 6 œufs blancs qui virent ensuite au brun et deviennent de ce fait plus discrets. Les adultes couvent en se relayant toutes les quelques heures. L'éclosion intervient au bout de 28 jours. Les jeunes sont capables de nager aussitôt mais ils restent dépendants de leurs parents plusieurs semaines.
Source : oiseaux.net
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Face à face... avec elle même ou dieu ?
Les pagodes sont construites principalement en bois. De puissantes colonnes de bois de fer supportent une lourde charpente couverte de deux épaisseurs de tuiles: une couche de tuiles plates sous une couche de tuiles décoratives en général en forme de demi-lune ou de feuille de mûrier. La première couche joue le rôle d'isolant tout en préservant l'esthétique intérieure du bâtiment en l'absence de plafond. La toiture massive est structurée pour résister aux fréquents typhons. Les murs, quant à eux, ne contribuent pas à la solidité de l'édifice; ils ne servent qu'à isoler l'intérieur de l'extérieur.
Les pagodes du Nord du Vietnam abritent un riche panthéon constitué de statues en bois de jacquier ou en plâtre laqué représentant les divinités taoïstes et bouddhistes, en particulier des saints et des démons. Selon la tradition vietnamienne, la construction d'une pagode répond à des rites stricts. Le lieu et l'orientation, de même que la date de construction, sont déterminés par des géomanciens.
Ce sont les moines qui ont la charge de l'organisation des cérémonies rituelles afin d'obtenir les bonnes grâces des esprits de la Terre pour l'édification de la pagode. Par exemple, un de ces rites consiste à faire flotter au vent des étoffes rouges symbole des flammes pour faire croire aux esprits du feu qu'un brasier est déjà allumé et qu'il leur est inutile d'approcher.
Au XIème siècle, la cour de la nouvelle dynastie des Ly' témoignait d'une très grande ferveur bouddhiste. Les bonzes y jouissaient d'une forte influence. En 1031, Ly' Thai Tô remporta une grande victoire militaire contre le Royaume du Champa dont il détruisit la capitale Indrapura. Il s'empara d'un immense butin grâce auquel il entreprit la construction, dans le delta du Fleuve Rouge, de 95 pagodes qu'il inaugura en grande pompe. Beaucoup d'entre elles furent malheureusement détruites en 1428 lors de la guerre de libération menée contre les Ming par Lê Lo'i. Celles qui demeurent constituent cependant les plus beaux vestiges de pagodes du Vietnam.
Face to face with herself ... or even God?
The pagodas are built mainly of wood. Powerful ironwood columns support a heavy frame covered with two layers of tiles: a layer of flat tiles under a layer of decorative tiles usually shaped like a half moon or mulberry leaf. The first layer acts as an insulator while preserving the aesthetics of the building interior in the absence of the cap. The massive roof is structured to withstand frequent typhoons. The walls, meanwhile, did not contribute to the strength of the building; they only serve to isolate the inside from the outside.
Pagodas in northern Vietnam are home to a rich pantheon made of jackfruit wood statues or painted plaster representing the Taoist and Buddhist deities, especially of saints and demons. Under Vietnamese tradition, building a pagoda meets strict observance. The location and orientation, as well as the date of construction, are determined by geomancers.
The monks who are responsible for organizing rituals to obtain the favor of the spirits of the earth for the construction of the pagoda. For example, one of these rites is to judder red symbol flames fabrics to believe the spirits of fire that is already on fire and that it is useless to them to approach.
In the eleventh century, the court of the new dynasty of Ly 'showed a great Buddhist fervor. The monks there enjoyed a strong influence. In 1031, Ly 'Thai To won a great military victory against the Kingdom of Champa he destroyed the Indrapura capital. He seized a huge booty with which he began building in the Red River Delta, 95 pagodas that inaugurated with great fanfare. Many of them were unfortunately destroyed in 1428 during the liberation war against the Ming by Lê lo'i. However, those that remain are the most beautiful remains of pagodas in Vietnam.
Au sud de Rome, Taranto, est un port commercial prospère et un chantier naval de premier ordre. Fondée au viiie siècle avant l’ère chrétienne, l’ancienne colonie grecque de Taras est devenue la troisième métropole du Sud de l’Italie. Si le futur de Taranto est dans le développement industriel, une adorable ville musée se découvre lorsqu’on se donne la peine de déambuler dans le centre historique. Qui n’est jamais venu à Tarante sans rêver de sa forteresse aragonaise qui domine fièrement la mer Ionienne ? L’esplanade du château abrite des ruines grecques et byzantines. Que l’on pense au trésor de l’art baroque qu’est la cathédrale Saint-Cataldo. Que l’on considère les innombrables palazzi à chaque ruelle, témoignages de l’époque où les notables génois, florentins ou angevins administraient la ville. Le Musée archéologique national est également à inclure dans le carnet d’adresses. Si le visiteur est tombé amoureux du riche patrimoine de Tarante, il le sera encore plus des délices du terroir. Hôtels et restaurants étoilés servent une cuisine à base de calamars, de poulpes et de poissons, toujours arrosée d’huile d’olive.
Le plus souvent toutefois, dans la littérature et pour la plupart des francophones, la « colombe » désigne la forme blanche d'un pigeon biset ou d'une tourterelle domestique. Dans ce cas, il s'agit d'individus ou de lignées sélectionnées parmi les Colombinés et présentant un leucistisme (yeux foncés) ou albinos (yeux rouges). Les oiseaux blancs utilisées lors des traditionnels « lâchers de colombes » sont des pigeons bisets entrainés à rentrer au colombier; ceux qui servent à des tours de magie, plus petits, sont généralement des tourterelles domestiques.
C’est drôle, il faut que j’attende d’être triste ou en période de doute avancé pour écrire avec des mots qui mouchent… me mouchent… Atchoum !
Je ne dirais jamais à quel point je me suis trompé… Je me suis trompé… Que je remonte à la genèse jusqu’à nos jours, il n’est pas un choix que j’ai commis qui n’ait été couronné d’échecs crasses. Je suis un romantique inadapté. Inadapté à l’époque, inadapté aux êtres que je rencontre et qui me touchent souvent à leur corps défendant…
Cela faisait longtemps que je n’avais pas écrit en état de détresse ; autant dire, cela faisait longtemps que je n’avais écrit. J’avais mis entre parenthèse cette exigence de vérité – quand bien même je suis un menteur invétéré – qui fait ma marque, qui fonde mon insupportable orgueil. Je me considère comme une exception, de l’art humain brut. J’ai tort.
Les boyaux qui me servent de conscience sont là pour en témoigner… Il n’y a aucun orgueil à devenir un amoureux transi, un jaloux, un manipulateur…. Il n’y a que fatalité et sentiment de persécution, paranoïa… masochisme… Tout se confond et je sais désormais avec la froide détermination d’un serial killer ès-sentiments que je ne serais jamais heureux.
Ce soir, une fille aimable et botticellienne m’a dit que le bonheur n’était pas un but dans l’existence et je la remercie assez de sa sollicitude… Mais ces mots ne sont que des mots, ils entrent, ils sortent, conduit, boyaux agencés, déclamés, balancés… Chut digère, mon gars.
Je sais écrire, c’est dit. Je sais penser, c’est écrit. Mais, je ne me donne pas le labeur nécessaire de la transsubstantiation (content de l’avoir écrit sans commettre une faute) ; ce qui amène le génie : de l’écriture, du beau, du divin laïcisé…
Je suis une pâte leasy… Si fatigué que j’en omet d’aimer sans jugement… Judith Commeau fut la muse originelle, je ne l’ai jamais oublié. S. fut mon amour, ma déchirure, ma femme, il faut bien le dire, je l’ai perdu faute d’intelligence ou de constance… Et puis, il y a eu les autres (je n’ai découvert le fort potentiel de l’amour que tardivement), Encelade, Julie(s)… Et dernièrement Huda Ali (ou Anan, elle préfère).
Je les ai toutes jugé, disséqué, maltraité… La forfanterie et le bagout me tenant lieu de politique !
Elles sont bien sûr comptables des raisons de l’échec.
Mais elles étaient des femmes qui m’aimaient… Des femmes qui me modifiaient… Superficiellement mais suffisamment pour que je les gardes au fond des tripes – putain de boyaux – dans ce qui ressemblait furieusement à une histoire de transit et sodomie jolie. Je n’aime ni Butor ni la Modification, capito, c’est dit. On ne me changera jamais, pas même les gentils, ceux qui se révoltent, on m’effleurera ad vitam… eternam !
Et v’là l’addition !
Il n’a rien qui n’ait été dit qui ne mérite d’être répété. Alors innovons. Je suis d’une telle exigence vis-à-vis de du « mode de vie » des femmes qui m’attendrissent qu’elle en confine à la domination. Mon égoïsme ferait de moi le roi des lapins si les lapins cessaient de se ronger le frein !
Easy to get, yes man !
Ouiche, le frein qui lime leur dent de docteur, Entiendo Bug’s ?
Ma fulgurance est apparence. Mes engouements sont limités. Ma compassion est étrangère. Je ne suis pas aimable !
Je n’aime pas. Ou plutôt si, j’aime des êtres qui en ma présence vouent toute communion à la ruine. Le masochisme et le désir de faire mal sont mes compères d’ignorance. La solitude mon rempart contre le malheur… Mais mes cuirasses sont en papier mâché.
And so soldier ?
J’ai une peur panique de l’abandon et je fais tout mon possible pour être délaissé.
Je suis d’une telle passion que j’en rebute les plus amourachées.
Je ne suis pas en odeur de sainteté et n’espère rien d’un quelconque salut.
Sinon, la fin de mon pouvoir approche. Il n’est donc pas sûr que cela se termine sur une note triste… Malgré ton manque d’intelligence manifeste, il est encore probable que tu rappelles demain, « my dudette ».
Comme je te l’ai dit, nonobstant mes répugnances, je serais même prêt en guise de retrouvaille à humer une ligne ou deux en ta compagnie… histoire de renouer avec d’autres démons, d’autres merveilles. Toi ou une autre, le pire n’est jamais sûr mais les indices s’accumulent…
Sinon Foutrecul, vivement que cette comédie humaine se termine.
Et c’est combien la séance eau de boudin ? 100 euros, comme d’hab ? Tu trouves pas ça assez étrange d’être toujours le même charognard ?
Meuh non mon Sigmund, cher Dieu que je conchie ; cela fait bien longtemps que je n’ai plus dit « mamour » ou « mon ange »…
Et je ne dirais plus jamais « my lovely »… Bien dommage car c’est joli à écrire « my lovely »…
My lovely… c’est un peu con mais tu me manques.
En attendant, je pars lundi pour la Somalie du Nord... le quotidien d'un des pays les plus pauvres et les plus dangereux de la planète, cela devrait réussir à me changer les idées...
L’Étoilée (Orgyia antiqua) est un papillon de nuit européen.
Sa chenille compte parmi les plus originales de toutes les chenilles européennes.
Son corps est gris foncé avec des verrues rougeâtres garnies de longues touffes de soies groupées d'un blanc grisâtre ou jaunâtre (parfois brunes).
Sa longueur maximum est d'environ 35 millimètres.
Sa couleur évolue selon sa taille.
Une brosse dorsale constituée de poils brun jaune ou ocre clair est placée sur chacun des quatre premiers segments abdominaux.
Le prothorax est pourvu d'une paire de longs pinceaux noirs qui sont dirigés vers l'avant.
Un pinceau semblable sur le huitième segment abdominal est dirigé vers l'arrière.
Deux petits pinceaux latéraux, noirs, se trouvent sur le deuxième segment abdominal.
Ligne longitudinale blanche discontinue au niveau des stigmates sur les flancs.
La tête est d'un noir luisant.
Les soies de cette chenille sont urticantes ou du moins très irritantes.
La chenille dispose de cellules productrices de toxines, qui servent à enduire l'extrémité de certaines soies qu'elle peut alors présenter à ses adversaires.
(Le pavillon royal dans le parc de Rajapruek; Chiang Mai)
"Some 700 years ago, the Lanna kingdom dominated most of what is now northern Thailand, stretching from the Xishuangbanna Province in China to Luang Prabang in Laos and to some parts of Burma. The kingdom was annexed by Siam in the early 20th century, which slowly eroded the Lanna identity. The most visible elements of what remains of Lanna culture are its monuments, including many of the temples that dot Chiang Mai, and their distinct architecture.
Today, a small group of architects, with help from the government of Chiang Mai - about a 10-hour drive north of Bangkok - is working to preserve the existing Lanna-era temples and revive the style in modern buildings that serve as upmarket hotels and resorts. But these efforts, while well-intentioned, are facing the twin threats of rocketing land prices and rampant construction that demand cheap, utilitarian designs that can be thrown up quickly.
"Lanna is a concept of simplicity and humility, coming from nature," said Jullatat Kitibud, who designs modern Lanna buildings.
> Il y a quelques 700 ans, le royaume du Lanna dominait la majeure partie de ce qui est aujourd'hui le nord de la Thaïlande, s'étendant de la province du Xishuangbanna en Chine à Luang Prabang au Laos et à certaines parties de la Birmanie. Le royaume fut annexé par le Siam au début du XXe siècle, ce qui a lentement érodé l'identité du Lanna. Les éléments les plus visibles de ce qui reste de la culture Lanna sont ses monuments, notamment les nombreux temples parsemés dans Chiang Mai, et leur architecture distincte.
Aujourd'hui, un petit groupe d'architectes, avec l'aide du gouvernement de Chiang Mai - à environ 10 heures de route au nord de Bangkok - s'efforce de préserver les temples de l'ère Lanna existants et de faire revivre le style dans les bâtiments modernes qui servent d'hôtels et de centres de villégiature haut de gamme. Mais ces efforts, bien que bien intentionnés, sont confrontés à la double menace de la flambée des prix du foncier et de la construction galopante, qui exigent des modèles bon marché et utilitaires pouvant être construits rapidement.
"Le Lanna est un concept de simplicité et d'humilité, issu de la nature", explique Jullatat Kitibud, qui conçoit des bâtiments modernes du Lanna.
More info on this link:
www.nytimes.com/2007/05/07/travel/07iht-lanna.1.5595665.html
Image publiée avec l’autorisation d’un compagnon de randonnée, non redresssée afin de souligner son caractère spectaculaire. La pente réelle est de 100% (45º).
Très ancien, le vignoble fait face à la mer sur des terrasses. Les viticulteurs se servent d’un système à crémaillère pour acheminer le matériel et la récolte.
Le château bâti XIIe siècle tel un puissant donjon, épaulé de murailles épaisses, assure à cette époque la protection de la plaine Comtadine.En 1538, il devient la propriété d'Henri De Rovigliasc venu à la cour pontificale d'Avignon à qui on doit sa transformation. Il devient ainsi la plus belle demeure à l'époque de la Renaissance. On le compare aux palais des rois Valois. Il s'enrichit au cour du temps d'une chapelle couverte de fresques et de fortifications. Pillé à la Révolution, ses murs et pierres sont vendus et servent au cours du XIXe à bâtir les maisons des alentours. Le château connaîtra les dernières vicissitudes lors de l’incendie commandité par les allemands lors de la dernière guerre. Restauré dès 1960 par le Docteur Mouliérac-Lamoureux, le château renaît peu à peu. Depuis 1993, l’Association des Amis du Château du Barroux poursuit ce travail de préservation, avec le soutien de la famille Vayson de Pradenne, à qui il appartient toujours. Il offre aujourd'hui un cadre splendide à diverses manifestations culturelles et artistiques. La vue sur la plaine du Comtat Venaissin et les collines verdoyantes est magnifique.
La sculpture "L’Éléphant cosmique", un bronze de Dali ornant le Jardin des sculptures le long de l'Avenida del Mar, Marbella, Andalousie, Espagne.
Cette belle promenade en marbre rend hommage aux œuvres de l’artiste catalan Salvador Dali (1904-1989) et celles d'autres artistes espagnols.
Marbella est une ville et une station balnéaire du sud de l'Espagne, sur la Costa del Sol. Les montagnes de la Sierra Blanca servent de toile de fond à 27 km de plages de sable méditerranéennes, de villas, d'hôtels et de golfs. À l'ouest de la ville de Marbella, boîtes de nuit et propriétés côtières prestigieuses se succèdent sur plus d'un kilomètre jusqu'à la marina de Puerto Banús, cernée de boutiques et de bars sélects, où s'alignent les yachts de luxe.
"La mise en place des ogives est une innovation architecturale du Moyen Age. Les architectes imaginent d’élever des toitures à forte pente. L’inclinaison de celles de Notre-Dame est à 55°. Au moment de sa construction, les défrichements et le développement urbain raréfient le gros bois. Des bois à section plus faible servent alors à l’élévation des charpentes et à l’accentuation des pentes.
Une première charpente est construite dans le chœur de la cathédrale avec des arbres abattus vers 1160-1170. Certains bois ont déjà trois cents ou quatre cents ans au moment de la construction, ce qui correspond à des arbres du VIIIe ou du IXe siècle. La première charpente a disparu, mais des bois sont réutilisés dans la seconde charpente, mise en place entre 1220 et 1240."
www.notredamedeparis.fr/decouvrir/architecture/la-charpente/
Maquette réalisée par les Compagnons charpentiers des Devoirs : responsable du chantier : Jean-Michel Hourcade, épure, taille et levage : Armand Dumesnil, Yann Férotin, Valentin Pontarollo. Cette pièce a aussi constitué le travail de réception de ces 3 jeunes devenus Compagnons.
Actuellement exposée du 27 juin 2022 au 6 novembre 2022 dans la salle capitulaire du cloître St Julien (Musée du Compagnonnage) à Tours (Val de Loire)
www.museecompagnonnage.fr/le-musee-pratique/agenda/exposi...
www.restauronsnotredame.org/post/la-for%C3%AAt-de-notre-d...
Viola est un genre de plantes à fleurs de la famille des Violaceae. Selon le positionnement des pétales, les espèces sont appelées « Violettes » ou « Pensées ». Les violettes sont parfois appelées « Herbes de la Trinité ». Ces plantes ont un usage principalement ornemental. Des variétés odorantes servent en parfumerie et en confiserie.
En pierre de Caen, en craie de Caumont et en pierre de Saint-Maximin, la façade occidentale de la cathédrale Notre-Dame du Havre est magnifique. Nous trouvons la traditionnelle disposition avec trois portails. Le premier niveau d'ordre ionique, est décoré par le génie de la sculpture Simon Levesque et le sculpteur Georges Lallemant, qui a fait un tympan au portail principal et dont l'original avait été saccagé par les révolutionnaires. Chaque portail reçoit un fronton avec tympan orné et sur les côtés les rebords saillants servent de support pour les anges tenant des rameaux et sonnant la trompette, au milieu desquels apparaît la Vierge à l'Enfant, symbole de la victoire de Dieu et de l'apparition de l'Eglise Triomphante lors de l'Apocalypse.
As at the start of a dragster race, 2 tractors from the port of Saint-Nazaire side by side.
These port vehicles carry the steel rollers unloaded from the cargo ship MANISA BELLA.
Comme au départ d'une course de dragster, 2 tracteurs du port de Saint-Nazaire côte à côte.
Ces engins portuaires transportent les rouleaux d'acier déchargés du cargo MANISA BELLA.
Poids de la bobine : +26 tonnes
Longueur de la bobine : +300 mètres environ
Ces bobines servent à la fabrication des paquebots aux Chantiers de l'Atlantique,
Saint-Nazaire
FRANCE
Au second plan le Cargo MANISA BELLA et la grue mobile GOTTWALD.
Cargo MANISA BELLA :
IMO: 9421075
MMSI: 244630729
Call Sign: PCGV
Flag: Netherlands [NL]
AIS Vessel Type: Cargo
Gross Tonnage: 5598
Deadweight: 8112 t
Length Overall x Breadth Extreme: 108.17m × 18.5m
Year Built: 2008
Status: Active
Épervier de Cooper / Cooper's Hawk / Accipiter Cooperii
Depuis plusieurs jours j'observe qu'un des deux s'affaire à casser les petites branches qui servent à fabriquer le nid pendant que l'autre monte la garde.
Le nid s’agrandit de jours en jours. Le couple semble de plus en plus tolérant de ma proximité.
Je marche sur des œufs (sans jeu de mots) afin de ne pas les déranger. Les corneilles c'est une autre affaire. À plusieurs occasions celles-ci ont essayé d'importuner le couple.
À deux ou trois, elles ne sont pas de taille. L'épervier esquive la poursuite assez aisément sans battre beaucoup des ailes.
Par contre si un escadron de corneilles devait se mobiliser se serait une autre histoire.
Pendant ce temps le couple s'affaire à la construction du nid et chaque jour consolide mes espoirs que cette année sera la bonne.
For the past several days I have been observing that while one of the two is busy breaking off little branches and flying them back to the nest the other stands watch.
The nest is getting bigger everyday. The Cooper pair is more and more at ease with my presence. A fine line between proximity and intrusion...Crows on the other hand have tried to harass the couple many times.
Usually there are two or three in pursuit and the Cooper easily and gracefully leads them into flight patterns that are just beyond their abilities. My only worry is that a larger cohort my mobilize.
Meanwhile our Cooper couple is very busy at building a home for a future generation. Hopefully this will be a good year.
No 177 In Explore April 3, 2016
le Brusc (Var). Le terme "pointu" désigne une catégorie de bateaux de pêche traditionnels typique des côtes des comtés de Provence et de Nice, initialement à voile et désormais le plus souvent motorisés. Nombre d'entre eux servent encore à la pêche, mais depuis quelques temps; de nombreux pointus sont restaurés par leurs propriétaires en vue d'une activité de loisirs.
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oui c'est toujours un moment qui traîne en longueur,
ce printemps encore froid,
marre des légumes d'hiver...
et on a envie de se projeter un peu vite dans le bleu et or..
On voudrait s'y croire déjà
- on oublie le dicton qui pourtant dit bien
"en avril ne te découvre pas d'un fil"
Haut les coeurs !
et PATIENCE ...
C'est à ça que servent nos archives photos
Et d'ailleurs quand chaleur et sécheresse seront là, et prairies uniformes, on le regrettera, avril !
Sa longueur maximum est d'environ 35 mm, jusqu'à 40 mm. Sa couleur évolue selon sa taille.
Une brosse dorsale constituée de poils brun jaune ou ocre clair est placée sur chacun des quatre premiers segments abdominaux.
Le prothorax est pourvu d'une paire de longs pinceaux noirs qui sont dirigés vers l'avant, un pinceau semblable sur le huitième segment abdominal est dirigé vers l'arrière. Deux petits pinceaux latéraux, noirs, se trouvent sur le deuxième segment abdominal.
Ligne longitudinale blanche discontinue au niveau des stigmates sur les flancs.
La tête est d'un noir luisant.
Les soies de cette chenille sont urticantes ou du moins très irritantes. D'après Wagner (2005), la chenille dispose de cellules productrices de toxines, qui servent à enduire l'extrémité de certaines soies que la chenille peut alors présenter à ses adversaires. Elle deviendras un papillon de nuit.
The boudoirs are crisp and dry biscuits, elongated, and sprinkled with crystallized sugar. They traditionally serve as accompaniments to wine or champagne and are therefore sometimes called champagne biscuits. They are also used in the making of charlottes and tiramisu.
Les boudoirs sont des biscuits secs et croquants, de forme allongée, et saupoudrés de sucre cristallisé. Ils servent traditionnellement d'accompagnement au vin ou au champagne et sont de ce fait parfois appelés biscuits champagne. Ils sont également utilisés dans la confection de charlottes et de tiramisu.
Si vous vous rendez dans un vrai restaurant de rue en dehors des quartiers touristiques, il ne vous sera pas fourni de menu « à l’occidentale » : vous verrez, en grand, sur un mur, les différentes propositions qui s’offrent à vous. C’est là qu’il vous faudra maîtriser ces quelques rudiments de vietnamien que je vous donne ici :
Phở : soupe de nouilles
Mỳ : deuxième sorte de nouilles
Miến : troisième sorte de nouilles !
Bún : vermicelles
Bò: bœuf
Gà : poulet
Lợn : porc
Cá : poisson
Cua : crabe
Xào : sec – on l’utilise pour distinguer les soupes de nouilles des nouilles sautées ; vous pouvez donc avoir du Phở Xào et du My Xào
Cơm : riz – les restaurants de « Com » vous servent une boule de riz gluant à la vapeur, et vous choisissez ensuite plusieurs garnitures parmi un choix impressionnant ! (viande, légume, poisson, tofu, pousses de bambou, etc.).
Rang : frit – le riz frit est servi avec une viande et des légumes frais
Hop : « Com Hop », littéralement le « riz dans une boite », s’utilise si vous voulez prendre votre riz à emporter.
If you go to a real restaurant street outside the tourist areas, you will not be provided no menu "Western": you'll see big, on a wall, the various proposals available to you . It is there that you need to master these few Vietnamese basics that I give you here:
Phở: Noodle Soup
MY: second kind of noodles
Mien: third kind of noodles!
Bún: vermicelli
Bò: beef
Gà: chicken
Lon: Pork
Cá: Fish
Cua: crab
Xào: dry - it is used to distinguish the noodle soups fried noodles; so you can have the Phở XAO and My XAO
Cơm rice - restaurants "Com" will serve a rice ball gooey steamed, and then you choose several toppings from an impressive choice! (Meat, vegetable, fish, tofu, bamboo shoots, etc.).
Rank: fried - fried rice is served with meat and fresh vegetables
Hop "Hop Com", literally "rice in a box" is used if you want your rice takeaway.
Le nom de Baux-de-Provence provient de l'occitan bauç ('baws) selon la norme classique, en provençal baus selon la norme mistralienne, qui signifie « en aplomb », « falaise » ou « escarpement rocheux ». Cette racine se retrouve dans d'autres toponymes, comme le Baou de Saint-Jeannet.
Par le décret du 7 août 1958, journal officiel du 12 août 1958 avec effet au 13 août 1958, Les Baux deviennent Les Baux-de-Provence. La commune se nomme en occitan provençal Lei Bauç de Provènça selon la norme classique ou Li Baus de Prouvènço selon la norme mistralienne.
La bauxite, minerai d'aluminium, tient son nom de cette commune où elle fut exploitée pour la première fois.
Les Baux, ainsi que la Provence, sont alors rattachés à la couronne de France. Sous la férule de la famille Manville, le village devient un centre du protestantisme et tente même une révolte contre la couronne. En 1631, las d'être pris pour cible, les habitants négocient avec le pouvoir le rachat du territoire du château et le droit d'en démanteler les fortifications, qui servent de retraite aux factieux. Louis XIII y consent le 5 août11.
En 1642, la ville est offerte à la famille Grimaldi en tant que marquisat, créé en faveur d'Hercule de Grimaldi, prince de Monaco (1642-1780). Le titre de marquis des Baux leur est d'ailleurs encore rattaché. Administrativement, la ville est entièrement française et le titre de marquis des Baux est traditionnellement donné à l'héritier du trône monégasque. Le fils de l'actuel prince de Monaco, Albert II, Jacques porte parmi ses nombreux titres celui de marquis des Baux.
(extrait de Wikipedia)
The village is officially classified and labelled as "one of the most beautiful villages in France". Its cultural heritage is exceptionally rich, with 22 architectural treasures classified as "Historic Monuments" (including the church, chateau, town-hall, hospital, chapels, houses, doorways... without counting items of furniture and a collection of paintings).
excerpt from : www.provenceweb.fr/e/bouches/baux/baux.htm
Si les couleurs servent à attirer les dames, celui-ci doit être un vrai casanova
If colours are meant to attract ladies, this one must be a real casanova.
Mante religieuse (Mantis religiosa)
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La Mante religieuse (Mantis religiosa) est une espèce d'insectes de l'ordre des mantoptères (Mantodea) et de la famille des Mantidae.
La faune Française comporte une petite dizaine d'espèces, en l'occurrence méditerranéennes, et il n'est guère que notre "Mantis religiosa" pour s'accommoder de régions nettement plus nordiques, puisqu'elle "remonte" au niveau du Havre, et est connue d'Alsace.
La mante religieuse est un insecte diurne de 6 à 8 centimètres de long.
Les deux sexes sont aptes au vol, néanmoins, la femelle alourdie à l'approche de la ponte ne peut se déplacer que grâce à ses pattes postérieures qualifiées de déambulatoires.
Le mâle est plus petit que la femelle de 2 ou 3 centimètres mais son caractère très fluet donne souvent l'impression d'une disparité allant du simple au double.
Ses antennes sont plus longues et son abdomen est plus fin.
Ses pattes avant, appelées "ravisseuses", portent des piques et sont capables de se replier et se détendre vivement.
Elles servent à attraper les proies.
Elles servent aussi à accrocher la végétation afin de se hisser.
Les pattes ravisseuses sont un modèle du genre car en se "projetant" elles permettent de littéralement harponner la proie, grâce à un éperon courbe très puissant et acéré.
Sitôt l'attaque portée, les pattes se replient et le futur déjeuner se retrouve "coincé" au sein d'une double rangée d'épines là aussi très développées.
Le tout permet la capture de proies volumineuses, aptes à résister et se défendre, jusqu'à de petits oiseaux et des chauve-souris, et peuvent parfois faire des blessures plus ou moins importantes à la peau humaine.
La Mante religieuse n'est pas venimeuse, elle est inoffensive pour les humains, elle peut cependant mordre si on la manipule sans précaution.
Ses yeux écartés très développés et proéminents lui donnent une excellente vision en relief.
Contrairement aux autres insectes, la Mante peut faire pivoter sa tête à 180°, ce qui lui permet de suivre les déplacements de ses proies sans bouger le corps.
Elle possède deux yeux composés (ou à facettes) et trois ocelles (yeux simples) entre les antennes.
Le champ de vision de la Mante religieuse est quasi périscopique, et il n'est guère d' insectes pour soutenir la comparaison.
Cette particularité fait que la bestiole peut rester parfaitement immobile, et donc ne pas trahir sa présence, tout en ayant loisir de guetter l'arrivée d'une proie, d'où qu'elle vienne.
Sur les antennes siège le sens auditif , des sensilles spécialisées, en l'occurrence mécano-réceptrices qui captent les vibrations de l'air produites par le vol d'un insecte.
Ces sensilles, dites filiformes, sont d'ailleurs connues chez d'autres orthoptères.
On trouve des individus bruns ou verts dans les mêmes lieux. Par leur homochromie, elles peuvent aisément passer inaperçues dans leur milieu.
Ces caractéristiques font de cet insecte un spécialiste de la chasse à l'affût.
La mante religieuse ne vole pas très vite, ni très loin.
Elle ne manque pas de puissance dans les ailes.
Son thorax est frêle mais ses pattes antérieures et ses mandibules puissantes.
Elle n'acquiert ses ailes définitives que lors de la dernière mue, mais ne se lance jamais dans de longues migrations, elle chasse parfois les papillons de nuit jusque dans les maisons.
Parfois appelée "le tigre de l'herbe" en raison de ses mœurs voraces, la mante religieuse se nourrit d'insectes vivants qu'elle attrape avec ses pattes avant et immobilise en dévorant parfois d'abord ses ganglions cervicaux puis le reste du corps jusqu'à l'extrémité de l'abdomen.
Elle laisse les parties trop dures comme certaines ailes ou pattes.
Ses pièces buccales sont de type broyeur, ce qui lui permet de manger très facilement des proies parfois aussi grosses qu’elle.
Ses proies sont généralement d'autres insectes comme des criquets, sauterelles, papillons, abeilles, mouches…
En Europe, la mante religieuse devenue adulte s'accouple d'août à octobre.
Le mâle, comme tout animal s'approchant d'une mante, se fait parfois dévorer pendant ou après la copulation.
Plusieurs accouplements peuvent avoir lieu, mais un seul est nécessaire pour la fécondation.
Même après avoir eu la tête coupée, le mâle continue à copuler et transmettre ses spermatozoïdes.
En septembre, octobre ou novembre, la femelle pond 200 à 300 œufs.
Elle dépose une soie blanche, proche de la mousse de polyuréthane, sur un support comme une tige forte, une pierre ou un mur, et lui fait prendre la forme d'une structure en lamelles qui protège les œufs jusqu'au printemps
Cette structure s'appelle l'oothèque.
Au printemps (mai, juin) une centaine de larves émergent de l'oothèque.
Chacune d'entre elles est confinée dans une très fine membrane, et après s'en être libérée, elle ressemblera en tous points à l'adulte.
Celles-ci sont par ailleurs des proies faciles.
Une araignée, des fourmis, des lézards ou même des oiseaux peuvent ainsi attaquer les nouveau-nés dès l'éclosion.
Après six métamorphoses successives, l'insecte adulte porte des ailes, absentes jusque-là et la femelle est fécondable.
Le texte qui suit propose des extraits tirés de l’histoire du village, présentée sur le site officiel du village des Bories.
Il donne le ton des informations plus complètes qu’il est possible de retrouver grâce à ce lien :
(…) Les principaux bâtisseurs sont de modestes paysans, des cultivateurs, et des bergers qui ont pratiqué l’auto construction avec la pierre qu’ils trouvaient in situ.
(…)
Ces constructions en pierre sèche ont pu correspondre à une évolution de la société française.
Aux 17ème et 18ème siècle le pays doit faire face à la croissance démographique et s’amorce alors une « boulimie de terres » pour éviter la «disette du grain». Les paysans les plus démunis, les ouvriers agricoles et tout un petit peuple se portent acquéreurs des terres vacantes et incultes souvent éloignées des villages.
A force de travail et de défrichements acharnés ces paysans conquièrent de nouvelles terres sur la forêt et la garrigue en aménageant des champs où ils développent de nouvelles activités complémentaires.
Lors de la création de ces parcelles, les pierres arrachées au sol à la barre à mine et ensuite soulevées par la charrue lors des labours sont une manne inépuisable et très économique pour la construction.
A cette époque, en Provence, les coteaux et les plateaux font l’objet d’une colonisation paysanne et les constructions en pierre sèche donnent un nouveau visage à la campagne.
(…)
Inutilisées, les cabanes situées sur la commune de Gordes sombrent dans l’oubli pendant presque un siècle, elles deviennent vite la proie des ronces et servent de poste d’affût pour les chasseurs alors que les pierres sont pillées.
On doit leur redécouverte et leur sauvegarde à Pierre Viala, poète, écrivain, comédien et globe trotter qui arrive à Gordes dans las années 1960 et a un coup de foudre pour le village, sa campagne, ses bories. Il raconte :
« Nous sommes sûrement nombreux parmi « les venus d’ailleurs » à conserver intact le souvenir du choc émotionnel de la découverte de Gordes qui nous a conduits à y prendre racine. Pâques 1956 ! Après le fameux gel qui avait roussi la nature, quelle ivresse de courir la garrigue, véritable « terra incognita », autrefois cultivée, mais redevenue sauvage après des décennies d’abandon. Étonnement de n’y rencontrer âme qui vive, et si peu de maisons, toutes en ruines. Tout un monde évanoui dans un chaos minéral envahi par une végétation dévorante. Et les bories ! Dès cette époque je me suis passionné pour ces cabanes.
En 1968 j’ai appris que ces terres étaient mises en vente (…), je vendis ma maison et devins propriétaire des ruines de mes rêves et me consacrai au sauvetage des bories dont je me sentais désormais responsable (…) Les travaux de remise en état se sont échelonnés sur une période de huit années sans aucune aide financière, avec la précieuse collaboration d’excellents maçons de Gordes. (…) »
La passion qu’il vouait aux vielles pierres et à l’histoire de Gordes, l’attachement à ce site unique et remarquable, et le respect du labeur et du savoir faire de nos anciens ont été les moteurs de Pierre Viala pour réaliser ce sauvetage et nous permettre de nous réapproprier notre patrimoine.
Le Rankot Vihara est la 4e plus large stupa (désigné localement par le mot dagoba) du pays et, avec ces 55m de hauteur pour 168m de diamètre à sa base c’est aussi le second bâtiment le plus grand du Sri Lanka encore entier après 900 ans. La construction serait le fait du roi Nassanka Malla, enfin il serait en tout cas celui qui l’aurait fait compléter (un panneau indique d’ailleurs la position exacte où il aurait observé en personne les ouvriers à l’oeuvre). La stupa repose sur une terrace en brique, elle même étant entièrement fait de briques. Elle comporte également 4 vahalkada (une à chaque point cardinaux) qui ont avant tout une fonction décorative mais servent aussi pour le dépôt de fleurs en offrande.
" In Flanders fields the poppies blow. Between the crosses, row on row..............."
"In Flanders Fields" is a war poem in the form of a rondeau, written during the First World War by Canadian physician Lieutenant-Colonel John McCrae.
With great appreciation for all those who serve, and have served.
"Dans les champs de Flandre, les coquelicots soufflent entre les croix, rangée sur rangée ..............."
«In Flanders Fields» est un poème de guerre sous la forme d'un rondeau, écrit pendant la Première Guerre mondiale par le médecin canadien, le lieutenant-colonel John McCrae.
Avec une grande appréciation pour tous ceux qui servent et ont servi.
Ville la plus connue de l'Hadramaout. Elle fut capitale du III au XV ème siècle. On l'a surnommée la "Manhattan du désert" avec ses 450 tours de 30 m de haut en moyenne (5 à 7 étages). Elle est classée au Patrimoine Mondial de l'UNESCO depuis 1980.
Les maisons sont faites en briques d'argile séchées au soleil .
Les rez de chaussée sont sans fenêtres et réservés au bétail et au stockage. Les étages supérieurs servent d'habitation et le dernier étage est en général le "mafraj", endroit où les hommes chiquent le qat l'après midi.
Un marabout-fontaine.
Diapositive scannée
Une maison longue pouvait couvrir un espace intérieur d’environ 146 mètres carrés. Le niveau inférieur était composé d’un plancher traversé d’une allée centrale d’environ 3 mètres de large où s’alignent des feux de cuisson. Le plancher cache parfois des fosses qui servent de lieux d’entreposage ou de rejet des déchets. La partie supérieure de la maison longue servait également d’espace d’entreposage et de rangement. Des banquettes sont installées à une hauteur variable de 40 à 150 cm. L’espace sous les banquettes sert à entreposer le bois pour le foyer et des objets d’usage quotidien. Chaque foyer est utilisé par deux familles installées face-à-face dans la maison longue. Ces deux familles réunies par leur cohabitation forment un compartiment. Les compartiments sont généralement séparés par des cloisons, ce qui assure à chaque membre des familles une intimité relative. Les lits sont faits avec des branches, et sont superposés pour accueillir plus de membres.
Merci à vous qui avez regardé avec intérêt les images précédentes et commenté de même . Oui , la conversation continue ici ...Quelques mots de mon projet : vous montrer le côté obscur de cette partie de l'Auvergne où je vis: l'exode rural qui a débuté au milieu des années 50 et a perduré pendant les décennies suivantes. Ce sont les premières paroles de la chanson - composée en 1964- de Jean Ferrat "La montagne" qui servent de titre à cette image. L'auteur compositeur interprète (1930-2010) y avait été très sensible et avait composé cette chanson que des millions de français peuvent encore fredonner . J'ai choisi ici le thème des "maisons de vignerons ' (le cellier, avec entrée au rez de chaussée et caves en sous sol, les lieux de vie au dessus ) Nombre d'entre elles sont abandonnées maintenant : comme le disait l'artiste en parlant du vin "c'était une horrible piquette , mais il faisait des centenaires , à ne plus savoir qu'en faire , s'il ne vous tournait pas la tête".....
These pictures have all been taken along the streets of our villages.The architecture here is typical of the homes of the wine makers , cellars underneath and living quarters at the top of the stairs. A lot of them have been left behind, sometimes for the worst .The title is from the song by Jean Ferrat , popular musician , composer and singer(1930-2010) "One by one they leave their homeland to find jobs in the cities". That was in the fifties and, to a certain extent, it's not over despite signs of revival ....
Cette photo a participé à
La Tour du Bost, imposant donjon quadrangulaire de 14,75 m de long sur 12,75 m de large, s’élève dans son état actuel à 30 m au-dessus du sol. C’est une tour de défense, avant-poste des anciens châteaux de Montcenis et d’Uchon, mais aussi un lieu de résidence et de prestige, chef-lieu d’une seigneurie importante de la région, riche d’événements souvent dramatiques durant toute son histoire. La date de sa construction est inconnue, mais estimée selon les spécialistes au XIVe siècle. Il s’agit d’un bâtiment unique en son genre, qui possède un escalier aménagé dans les murs et montant du sous-sol jusqu’au sommet. Détruite en partie par un incendie en 1920, elle risquait de s’effondrer. La création d’une association de sauvegarde, "La Tour du Bost", a permis de la faire progressivement renaître.
Les études conduites et les premiers travaux de dégagement et de consolidation ont permis son classement Monument Historique en 1997. Depuis 1991, l’association "La Tour du Bost" intervient pour sa restauration avec l’aide de bénévoles et depuis 2001, ces travaux servent de support à des chantiers et ateliers d’insertion conduits par P.H.A.R.E. et TREMPLIN Homme et Patrimoine, qui travaillent en permanence sur le site.
La vieille ville où se tient le souk : nous nous promenons à pieds dans les ruelles : vieilles portes en bois, arches en pierre, 4 tours. De nombreuses maisons sont en ruine et servent de décharge. Certaines sont encore habitées. Il est midi et la mosquée se remplit d’hommes qui viennent pour la prière du vendredi.
Parc des Félins (77)
A quoi servent les pinceaux que portent toutes les espèces de lynx ainsi que le caracal à l’extrémité des oreilles ? Ceux du caracal sont d’ailleurs les plus longs et les plus fournis, pouvant atteindre jusqu’à 8 cm. Pour l’instant, les chercheurs suggèrent diverses hypothèses sans pouvoir démontrer une quelconque fonction.
On a longtemps supposé que ces bouquets de poils noirs amélioraient l’audition, amplifiant la réception des sons, notamment des hautes fréquences. Mais aujourd’hui, les spécialistes présument que ces plumeaux servent davantage à la communication entre congénères.
www.animaux-online.com/article,lecture,1446_le-caracal-un...
Bien qu'assez commun, il est difficilement observable dans de bonnes conditions car il se perche très haut dans les arbres morts où il plane souvent à de hautes altitudes.
Nous avons eu de la chance pendant cette observation , car il pleuvait ,il y avait un reste de cadavre au sol , peut-être tué par un puma ou jaguar et les vautours (Roi, Urubus rouges et noirs ) après s'en être délecter, ne pouvaient plus décoller ,allourdis par le poids de l'eau .
le Vautour royal est absolument incapable de procéder à une prédation sur un animal vivant, même si celui-ci est gravement affaibli ou sur le point de mourir.
ils possèdent un bec plus puissant que leurs concurrents et en général, ils sont chargés de réaliser la première brèche dans l'épiderme dure afin que l'ensemble des vautours puissent s'alimenter. Chaque participant de la curée se spécialise dans une partie unique de la carcasse. Le Vautour royal mange la peau et les parties les plus dures du tissu des animaux morts.
La plupart des prédateurs rapportent la nourriture dans leur serres, ce qui n'est pas le cas du Vautour royal. Il possède un jabot qui lui permet de la transporter dans l'intestin. Arrivé au nid, il régurgite la nourriture dont il alimente les jeunes. Les jeunes poussins sont nourris directement du bec de leurs parents, mais au fur et à mesure qu'ils grandissent et deviennent plus autonomes, les parents régurgitent la nourriture sur le sol pour que les petits se servent.
Les calanques de Marseille s'étendent sur plus de vingt kilomètres de côtes sur la mer Méditerranée entre le village des Goudes, quartier du sud-ouest de la ville de Marseille, et la commune de Cassis, dans les Bouches-du-Rhône. Elles ne se trouvent qu'à quelques dizaines de minutes de la Canebière selon la circulation. C'est un des sites les plus remarquables de France, et une zone majeure de ressources naturelles et d'activités sportives pour son million de visiteurs annuels. Le mot calanque (du provençal « calanco », « escarpé ») désigne une vallée creusée par une rivière, puis récupérée par la mer.
Elles bénéficient de la protection du parc national des Calanques depuis avril 2012 qui est le premier parc national périurbain d'Europe. Afin de réempoissonner les eaux, certaines zones du futur parc sont interdites à la pêche pour servir de nurseries naturelles.
Les innombrables fossiles incrustés dans le calcaire témoignent d'une histoire qui a commencé, il y a plus de cent millions d'années, par l'accumulation de sédiments au fond de la mer, puis par un soulèvement à l'ère tertiaire, époque de la formation des Alpes. L'érosion a accentué les fractures, pour donner naissance au relief tourmenté que l'on observe aujourd'hui
La calanque d'En-Vau est une des nombreuses calanques des côtes entre Marseille et Cassis.
Elle est située à l'extrémité sud-est du 9e arrondissement de Marseille, dans le quartier officiel de Vaufrèges, juste avant la calanque de Port Pin (seule la calanque de Port-Miou étant sur la commune de Cassis). Très encaissée, avec de hautes falaises, c'est notamment un site d'escalade apprécié.
On y accède par la mer ou par un sentier depuis le massif. La plage y est de sable grossier et sur les fonds alternent sable et posidonie.
De la calanque de Callelongue, jusqu'à Cassis, il faut compter 20 km et 11 heures de marche pour un marcheur confirmé sur des sentiers, pour faire toutes les calanques. Des chaussures de marche, trois litres d'eau par personne et une trousse de secours sont indispensables dès que l'on pénètre dans le massif. Les panneaux d'indication sont rares et seules des marques de peinture (nombreuses sur le parcours), rouges et blanches servent d'indications, typique des sentiers de grande randonnée. Bien que le parcours ne comporte pas de réelles difficultés, le parcours est jalonné de montées et de descentes et, pour quelques rares secteurs, il faut s'aider de ses mains pour avancer. Seules les calanques de Callellongue, Sormiou, Morgiou sont habitées et accessibles par route. Il est également possible à partir des calanques de Callellongue, Sormiou, Morgiou, Sugiton, de rejoindre les transports publics, exploités par la Régie des transports de Marseille (seule la calanque de Callelongue est directement accessible en bus). Cassis étant un point de départ important pour visiter les calanques en partant de Port-Miou, on peut rejoindre ce village par le réseau de car départemental Cartreize, au départ de la place Castellane.
The best known examples of this formation can be found in the Massif des Calanques (Massís dei calancas in Occitan, the historic local language) in the Bouches-du-Rhône département of France. This range extends for 20 km in length and 4 km in width along the coast between Marseille and Cassis, culminating in Marseilleveyre (432 m) and Mont Puget (565 m). Similar calanques can also be found on the French riviera near Estérel and on the island of Corsica (see Calanques de Piana). The highest point along the clanaques are located at Mount Puget (565 meters)and in the mountains of Marseilleveyre (432 meters).[4] Similarities are seen between calanques, and rias, the river mouths formed along the coast of Brittany in Northern France.
Map of the Calanques between Marseille and La Ciotat.The limestone calanques of the Massif des Calanques lie within the recently created Parc Nationale des Calanques (2012) and include the Calanque de Sormiou, the Calanque de Morgiou, the Calanque d'En-Vau, the Calanque de Port-Pin and the Calanque de Sugiton. There are additional calanques in the parc, further east along the coast, incised into Cap Canaille. These calanques formed in very different rock strata, often in layers of cemented pebble conglomerate (geology).
Calanques are also present in the Italian Apennines, in locations such as the Accona Desert and in the Calanchi natural preserve of Atri.
source wikipédia
Quand les lunettes nous servent de masque éphémère.
Photoquai 2015- Paris Quai Branly
Sous l'Oeil de Stanzy et avec l'aimable participation d'Inconnus.
Lego Simpsons 71005
The Simpsons is an American adult animated sitcom created by Matt Groening for the Fox Broadcasting Company.The series is a satirical depiction of a middle class American lifestyle epitomized by its family of the same name, which consists of Homer, Marge, Bart, Lisa, and Maggie. The show is set in the fictional town of Springfield and parodies American culture, society, television, and many aspects of the human condition.
The family was conceived by Groening shortly before a solicitation for a series of animated shorts with the producer James L. Brooks. Groening created a dysfunctional family and named the characters after members of his own family, substituting Bart for his own name. The shorts became a part of The Tracey Ullman Show on April 19, 1987. After a three-season run, the sketch was developed into a half-hour prime time show and was an early hit for Fox, becoming the network's first series to land in the Top 30 ratings in a season (1989–1990).
Since its debut on December 17, 1989, the show has broadcast 548 episodes and the 25th season began on September 30, 2013. The Simpsons is the longest-running American sitcom, the longest-running American animated program, and in 2009 it surpassed Gunsmoke as the longest-running American primetime, scripted television series. The Simpsons Movie, a feature-length film, was released in theaters worldwide on July 26 and 27, 2007, and grossed over $527 million.
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Les Simpson (The Simpsons) est une série télévisée d'animation américaine créée par Matt Groening et diffusée depuis le 17 décembre 1989 sur le réseau FOX.
Elle met en scène les Simpson, stéréotype d'une famille de classe moyenne. Leurs aventures servent une satire du mode de vie américain. Les membres de la famille, tous ayant la pigmentation de peau de couleur jaune, sont Homer, Marge, Bart, Lisa et Maggie.
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Il est fascinant de voir comment ces oiseaux se servent de leur queue comme point d'appui .
It is fascinating to see how these birds use their tail as a fulcrum.
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Tous les accès aux blocs concernés sont bouclés par des camions sous pression prêts à intervenir. Les pompiers et la police sont partout, Rien ne passe plus les grandes avenues mitoyennes sont fermées et servent de garage aux camions en réserve...
Le Moineau domestique (Passer domesticus) est une espèce de petits passereaux de la famille des Passeridae. C'est un petit oiseau assez trapu, mesurant environ 16 cm de long pour un poids allant de 24 à 39,5 g. Il présente un dimorphisme sexuel, comparable à celui du Moineau rutilant. Les femelles et les jeunes oiseaux sont pâles, colorés de brun et de gris, tandis que les mâles ont le teint plus vif, avec des marques noires, blanches et brunes. Granivore, il se nourrit majoritairement de céréales et d'autres graines, mais se montre opportuniste, consommant divers invertébrés, les insectes en premier lieu, qui servent par ailleurs d'alimentation de base aux oisillons. Ses prédateurs principaux sont les chats domestiques et les rapaces.
Dans le Poitou, on appelle balet des petits hangars ouverts sur poteaux en pierre ou en bois qui servent à stocker le foin, le bois de chauffage et les outils. Dessin aux polychromos, format A4.
Que savons nous vraiment sur le lierre que l’on côtoie communément dans nos jardins sans y porter intérêt, si ce n’est pour essayer de s’en débarrasser ?
Ecoutons Jean-Baptiste Pierre Antoine de Monet de Lamarck dans son Histoire naturelle des végétaux, classés par familles […] Tome XI… (1803), nous en parler :
« Lorsqu’il est jeune il rampe sur la terre, et ses feuilles sont arrondies, anguleuses et échancrées en coeur. Dans l’âge adulte il grimpe le long des arbres et des vieilles murailles, au moyen de petites griffes qui collent ses tiges contre leur surface, et il s’élève ainsi à des hauteurs considérables.
Ses feuilles alors ne sont plus quelquefois anguleuses. Dans la vieillesse il est quelquefois debout, sans soutien, et ses feuilles supérieures sont alors entières et pointues.
Les anciens, induits en erreur par les diverses formes que prend le lierre suivant son âge et les lieux qu’il habite, en avoient mentionné une prodigieuse quantité d’espèces. Le lierre rampant, le lierre grimpant, le lierre en arbre, qu’on regarde encore aujourd’hui comme des variétés, n’en méritent pas davantage le nom, puisqu’ils ne sont que des individus d’une même espèce, à diverses époques de leur existence. Les variétés réelles de cet arbrisseau sont le lierre à feuilles panachées, et le lierre de Bacchus ou des poètes, dont les baies sont jaunes.
Le lierre étoit très-célèbre chez les anciens Grecs et Romains. C’est avec lui qu’on couronnoit les poètes. Les peuples de la Thrace, les Bacchantes en ornoient leurs thyrses, et en couronnoient encore leur tête pour célébrer les fêtes de Bacchus. Cette plante étoit consacrée à ce dieu ainsi que la vigne.
Parmi nous les marchands de vin en suspendent encore des couronnes devant leurs tavernes.
Quoique cet arbrisseau ne puise point sa nourriture sur les arbres qu’il couvre, il peut cependant leur être nuisible, en retenant l’humidité superflue qui pourrit l’écorce et on doit l’écarter avec soin de ceux que l’on veut conserver.
Hedera (Pl.) vient, selon les étymologistes, du mot latin adhoerere ; ainsi nommé parce que le Hedera hélix s’attache aux corps sur lesquels il grimpe. »
Que rajouter à cela, que le chevalier n’ait déjà dit ?
Insister sur la façon dont notre lierre était attaché à Dionysos (ou peut être l’inverse) ? Un Dionysos kissos (nom du lierre en grec) dieu du vin, protecteur des arbres, esprit de l’écorce et de tous les sucs vitaux, du renouveau printanier. Un dieu de toutes les exubérances mais aussi le dieu de la vie foisonnante, émergeant de toute contrainte ! Un dieu symbolisé à merveille par un lierre toujours vert et répandant sans répit ses rameaux avec une force végétative remarquable.
Les représentations de Dionysos sur les céramiques ioniennes, toujours associé à des guirlandes de lierre, témoignent du lien qui uni ces deux-là dès les VIème siècle avant notre ère. Les vases et amphores du potier athénien Amasis en sont un bel exemple ou encore le fameux Cratère, utilisé comme urne funéraire dans le tombeau de Deverni, ayant auparavant servi pour mélanger du vin et de l’eau. Daté des environs de 330-320 avant notre ère, la richesse de sa décoration est un hymne aux divinités Ariane et Dyonisos.
Mais ça, c’était il y a 2500 ans !
Aujourd’hui on peut dire que le lierre a perdu son aura ! Tombé de son piédestal, il est même devenu mal aimé. Peu utilisé en médecine, toxique, squattant souvent des supports (murs ou arbres) auxquels nous sommes « attachés », il nous incommode !
Et pourtant ne faudrait-il pas mettre en valeur ses supposés défauts ?
Prenons par exemple cette fameuse saponine, molécule contenue dans toute la plante et à l’origine de sa toxicité. Douées de propriétés tensioactives, les saponines font mousser leurs solutions et servent de détergeant. De là à les associer à la lessive… Qui se souvient que pour laver les vêtements noirs, assez nombreux dans les campagnes, puisque les femmes méditerranéennes ne portaient plus que cette couleur après s’être mariées, on utilisait une décoction concentrée de feuilles de lierre ou de saponaire ?
Tout cela n’est plus d’une très grande utilité me direz vous… Cela dit, vous pourriez, encore aujourd’hui, en faisant bouillir 100 g de lierre dans 2 litres d’eau plusieurs minutes et en pressant le tout, obtenir un liquide vaisselle tout à fait écologique.
Prenons un autre exemple. Cette exubérance végétale, cette capacité à recouvrir la matière, loin d’être une tare, peut, au contraire, se révéler protectrice, un régulateur thermique du meilleur effet, pour les maisons comme pour les arbres. Et foin de la rétention de l’humidité déplorée par le Chevalier de Lamarck, les spécialistes nous affirment aujourd’hui au contraire que le lierre absorbe l’excès d’humidité et qu’il a même une action chimique inhibitrice sur les champignons, bactéries ou parasites pouvant s’attaquer au tronc. Il favoriserait donc plutôt la croissance des arbres, lui apportant de surcroît un compost de qualité grâce à la décomposition de son feuillage…
Et puis c’est un formidable réservoir de biodiversité. Il sert de refuge à de nombreuses espèces. Les oiseaux trouvent là un foisonnement végétal idéal pour y dissimuler un nid. Mais aussi les papillons, comme le citron (Gonepteryx rhamni) qui se camoufle l’hiver dans son feuillage.
Sa floraison et sa fructification tardives le rendent également très attractif. Une abeille solitaire, l’abeille du lierre (Colletes hederae), totalement inoffensive, lui est directement liée. Une abeille active dès la fin de l’été jusque fin octobre. Sans parler du nombre d’oiseaux se régalant de ses fruits : grive musicienne, fauvette à tête noire, merle…
Il est donc grand temps d’en faire l’emblème du jardin, à l’instar de Dionysos qui, on se le rappelle, était un dieu protecteur des arbres, esprit de l’écorce et de tous les sucs vitaux et du renouveau printanier…
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