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www.twitter.com/Memoire2cite le Logement Collectif* 50,60,70's dans tous ses états..Histoire & Mémoire de l'Habitat / Rétro-Villes / HLM / Banlieue / Renouvellement Urbain / Urbanisme URBANISME S’imaginer Paris et le Grand Paris @ URBANISME S’imaginer Paris et le Grand Paris @ Les 50ans d'Apur 50ans.apur.org/#intro @ Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … @ Où en est l'histoire urbaine des sociétés contemporaines ? Cet ouvrage, inspiré par Annie Fourcaut, qui contribua de manière décisive à son développement, propose un état des lieux de ce champ et explore des pistes de recherche ouvrant l'histoire urbaine à une variété de " genres ".où en est l'histoire urbaine des sociétés contemporaines ? Cet ouvrage, inspiré par Annie Fourcaut, qui contribua de manière décisive à son développement, propose un état des lieux de ce champ. De Femmes à l'usine (1981), Bobigny, banlieue rouge (1986), à La banlieue en morceaux (2000), en passant par les publications collectives qu'elle a coordonnées et les travaux qu'elle a encadrés, la trajectoire de cette historienne a conduit l'histoire sociale et politique – telle qu'on la pratiquait dans les années 1970 – vers une histoire urbaine renouvelée. Le livre revient sur cette évolution et explore des pistes de recherche ouvrant l'histoire urbaine à une variété de " genres ". Les auteurs, historiennes et historiens, sociologues, politistes, géographes, architectes, urbanistes et décideurs politiques proposent une histoire urbaine à la fois interdisciplinaire et ancrée dans la fabrique de la ville et ses représentations, portant la marque de sa dédicataire. Les quatre sections de l'ouvrage dessinent les chantiers qu'Annie Fourcaut a investis : " Du social à l'urbain " met en avant la conviction qu'étudier l'histoire des villes, c'est toujours faire de l'histoire sociale ; " Qu'elle était belle la banlieue " est centré sur les banlieues, son territoire d'étude de prédilection ; " Les habits neufs des politiques de la ville " interroge les politiques urbaines successives et leur transformation ; enfin, " Banc d'essai des modernités " propose une analyse historique de l'urbanisme, comme discipline et comme pratique.
www.twitter.com/Memoire2cite LES GRANDS ENSEMBLES @ L EXEMPLE DE DIJON «LE BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE»Sylvain TABOURY, sociologue, enseignant à l’école d’architecture de Versailles.
Co-auteur avec Karine Gougerot, photographe, de Billardon, histoire d’un grand ensemble, paru aux éditions Créaphis en 2004. Texte communiqué à partir de la rencontre-débat du 20 mai 2005 Organisée par le Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne en partenariat avec Maison de Banlieue et de l’Architecture, le CAUE 91 et CINEAM
dans le cadre de l’exposition «Des ensembles assez grands: mémoire et projets en Essonne».
Cet ouvrage retrace l’histoire de la cité Jean-Billardon, barre de 14 étages et de 250 logements, à Dijon, premier grand ensemble de la ville, construit entre 1953 et 1955, démoli en 2003. Sélectionné parmi les immeubles significatifs de l’architecture du XXe siècle par la direction de l’Architecture et du Patrimoine (DAPA) du ministère de la Culture, Billardon était un symbole incontournable de l’histoire du quartier des Grésilles et de l’agglomération dijonnaise, ainsi qu’un formidable témoin de l’architecture novatrice de l’après-guerre. Sollicités par le service Inventaire de la Direction régionale des affaires culturelles de Bourgogne (Drac) et par l’Office public d’aménagement et de construction de Dijon (Opac), dans le cadre de l’opération de renouvellement urbain (ORU) du quartier des Grésilles, nous avons collecté et rassemblé, de janvier à juillet 2003, les traces de cette histoire, les archives, mais aussi les témoignages, recomposant des trajectoires familiales, professionnelles, des documents iconographiques et sonores. La restitution auprès des habitants et des partenaires du projet en octobre 2004, accompagnée d’une table ronde avec différents intervenants et acteurs du quartier, a été un moment fort, inscrit dans le processus de transformation engagé sur le quartier des Grésilles. Une exposition, intitulée «Mémoires de Billardon, fragments de vies», a également été présentée dans les locaux prestigieux du musée de la Vie bourguignonne de Dijon, du 14 octobre 2004 au 31 janvier 2005.Garder une trac De fait, la démolition de la Cité Billardon, le 4 juillet 2003, restera sans aucun doute un événement sensible dans la mémoire de nombre d’habitants de l’agglomération dijonnaise. Cette barre fut la première construction d’un tout nouveau quartier – le quartier des Grésilles –, à Dijon, où près de 4000 logements ont été construits Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne entre 1953 et 1966 – 14970 habitants en 1968, 8263 en 2003 – sur un terrain agricole demeuré nu, à l’est du territoire communal. Les 14 étages et 250 logements de l’immeuble, élevés au milieu des champs et des jardins familiaux, où un écriteau «Chasse interdite» était encore visible quelques années auparavant, faisaient alors l’admiration des très nombreux badauds venus visiter cette toute nouvelle Cité radieuse, construite tel un
Meccano de béton et d’acier.
« Immeuble révolutionnaire», «Meccano géant à l’échelle du monde moderne», les titres de la presse de l’époque donnent un aperçu de l’impact national et international de l’événement. «Des visiteurs étaient venus de toute la France et même de l’étranger, jeter un coup d’œil au chantier», rappelait un article de la presse locale le jour de la démolition.
Cette « barre » de 14 étages et de 250 logements, desservis par des coursives placées tous les trois niveaux, était une déclinaison appauvrie du modèle de la Cité radieuse du Corbusier, inaugurée le 14 octobre 1952. Les appartements étaient de deux types: les uns de deux et trois pièces,
situés dans les ailes, de disposition traditionnelle, orientés au sud et pourvus de loggias; les autres, de cinq pièces, situés au centre du bâtiment, du type
« duplex ». Huit espaces commerciaux avaient été aménagés en rez-dechaussée. Cependant, en dépit des ressemblances et de la qualité architecturale de l’édifice, l’immeuble n’était pas une unité d’habitation au sens où Le Corbusier l’entendait. L’originalité de la Cité Billardon tient en réalité au procédé constructif qui fut utilisé lors de son édification. Elle fut la toute première à expérimenter en France le procédé de préfabrication Estiot, réutilisé par la suite pour la construction de plusieurs grands ensembles, comme le Noyer-Renard à AthisMons, la Cité des 4000 à la Courneuve, la Grâce-de-Dieu à Caen, la Croixdes-Oiseaux et Champ-Fleury à Avignon, le Gros Buisson à Épinay, SainteBarbe à Metz, le Haut-du-Lièvre à Nancy, les tours du Lancy à Genève ou encore des bâtiments d’habitation à Alger. Le mode constructif, repris sur celui des gratte-ciel américains, associait l’acier en ossature et le béton en pré-enrobage avec une majeure partie réalisée en atelier. Le procédé donnait des résultats évidents: précision remarquable, rapidité d’exécution, peu ou pas d’installations de chantier – suppression des coffrages, des étayages, des échafaudages – et surtout économie considérable de main-d’œuvre. Il s’agissait des prémices d’industrialisation dite lourde du bâtiment. Forte de cette première expérience, la commune avait ensuite réalisé deux autres cités de même type, Épirey, puis Lochères. Mais le modèle de Billardon fut perverti: dans une logique de réduction des coûts de production et de rapidité d’exécution, tous les espaces peu productifs comme les logements en duplex, les cellules commerciales, ou les très grands halls, ont été supprimés. Les deux cités comprennent 348 logements, relativement mal desservis et sans attrait, des petits logements sur un seul niveau La démolition de Billardon n’a donc évidemment pas la même signification, Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne « BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE » Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne ni les mêmes conséquences que celles d’Épirey ou des Lochères, déjà démolies en 1992 et 2000. Cet immeuble possédait une fonction symbolique incontestable, une place à part dans la vie des résidents qui s’y sont succédé, comme dans la mémoire des habitants du quartier. Les récits que nous avons pu recueillir auprès d’une trentaine d’anciens résidents de l’immeuble nous offrent différentes représentations de l’histoire de
Billardon, et des personnes qui y ont vécu ou travaillé d’avril 1955 à décembre 2002.
Les témoignages des plus anciens, arrivés parmi les premiers, en 1955, répondent aux histoires des plus jeunes, derniers occupants du rafiot, aujourd’hui démoli. Ils sont venus d’horizons divers, de Côte-d’Or, de Bretagne, d’Alsace, de la région parisienne, du Maroc, d’Algérie, du Portugal, du Cambodge ou d’ailleurs et leurs paroles traduisent l’enracinement profond de leurs souvenirs de Billardon, que certains n’auraient jamais voulu quitter. Bien sûr, la mémoire n’est pas «objective». Le discours s’élabore toujours à partir d’un présent et la disparition engendre certainement une nostalgie conduisant à magnifier les bons moments et à tempérer les plus pénibles. Mais en faisant imploser Billardon, c’est bien tout un pan de leur vie que l’on a réduit en poussière. Chaque témoin traduit avec ses mots ces petits faits de la vie quotidienne, souvent jugés sans importance, petits riens ou traumatismes, anecdotes ou événements tragiques, qui ont marqué leur sensibilité.« Une verrue dans le quartier»C’est pour ces différentes raisons esthétiques, historico-culturelles – témoignage de l’histoire des villes – et socio-symboliques – mémoire des hommes – que la Direction de l’Architecture et du Patrimoine (DAPA) du ministère de la
Culture avait décidé de répertorier la Cité Billardon parmi les immeubles représentatifs de l’architecture du XXe siècle. L’immeuble avait reçu le label
«Patrimoine du XXe siècle» à la fin des années 1990.
Or, ce processus de «patrimonialisation» était inconcevable pour de nombreuses personnalités locales, voire de nombreux habitants du quartier.
Stigmatisé comme une «verrue» dans le quartier, l’immeuble était devenu un véritable cauchemar: dégradations, violence, difficultés et «mal-vivre» constituaient le quotidien de locataires excédés, souvent «assignés à résidence».
Bagarres, agressions, cambriolages, drogue, vitres brisées, ascenseurs en panne, alimentaient manchettes de journaux et témoignages, décrivant le naufrage d’un immeuble à la dérive, devenu symbole de tous les maux. La démolition paraissait donc inéluctable, comme une délivrance, la promesse d’un avenir meilleur. Les partenaires institutionnels se devaient de mettre en scène leur capacité à changer la vie des habitants du quartier, réparer les erreurs d’une période de l’urbanisation contemporaine, dont Billardon était l’un des symboles les plus représentatifs.
L’idée d’une enquête ethnographique sur l’édifice et ses locataires avait donc « BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE » Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne du mal à passer dans la réflexion de certains décideurs. La mise en œuvre du projet, initié par le service Inventaire de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) de Bourgogne, sur les budgets de l’opération de renouvellement urbain du quartier, fut bloquée administrativement pendant plusieurs mois. Entre-temps, tous les locataires de l’immeuble avaient été relogés… (la dernière famille quitte son logement le 23 décembre 2002).
Une histoire des grands ensembles?
Le travail de recherche historique sur les grands ensembles est rendu aujourd’hui d’autant plus difficile à faire comprendre que la ville issue des Trente Glorieuses est souvent considérée, avec la politique publique qui l’a programmée, comme une vaste erreur collective (A. Fourcaut). L’architecture des «tours» et des «barres», du «chem« BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE »
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phie, histoire et sociologie, de monographies locales – Saint-Étienne, Villeurbanne, etc. – publiés ces dernières années sur ce thème en témoigne clairement.Cependant, on est encore loin du compte. Si plusieurs urbanistes, historiens,
géographes ou sociologues1 ont récemment contribué à une meilleure connaissance du sujet au niveau national et international, l’histoire de ces quartiers d’habitat collectif reste un terrain largement méconnu, à peine exploré par les historiens locaux. En Essonne, à quelques exceptions près – Draveil, Viry-Châtillon, les Ulis, Athis-Mons ou Grigny –, rares sont les monographies ou les études locales à accorder une place de choix à l’analyse et à la présentation de ces bouleversements. Les mauvaises volontés, auxquelles nous avons parfois été confrontés dans le cadre de nos recherches dans le département témoignent des réticences que continue de susciter toute démarche d’enquête et d’analyse sur la mémoire et le devenir des grands ensembles.
La transformation en cours ou à venir d’une vingtaine de sites en Essonne dans le cadre du Programme national de rénovation urbaine, institué par la loi Borloo du 1er août 2003, et la priorité donnée à la démolition-reconstruction,
sur fond de crise du logement social, devraient pourtant poser avec plus d’acuité la question de l’appréciation de ce patrimoine départemental. De nombreuses communes mobilisées dans des programmes d’intervention n’ont qu’une vision très partielle de l’histoire de ces quartiers, de leurs évolutions, dont les conséquences ne sont envisagées le plus souvent qu’à travers le prisme d’une crise sociale impossible à juguler. Or, n’est-il pas singulier, voire dangereux, d’entreprendre des opérations de transformation urbaine aussi radicales, sans même commencer par chercher à comprendre comment, par qui et pour quelles raisons ces espaces ont été construits ou transformés, sans évaluer dans certains cas l’impact des politiques précédemment engagées?Richesse patrimoniale ou héritage encombrant, définir une nouvelle vision de la ville exige un travail d’enquête, d’expertise, une capitalisation des expériences, rarement mis en œuvre.Et c’est sans doute là le talon d’Achille d’une politique de transformation
urbaine menée dans l’urgence, qui ne peut se nourrir de capitalisation critique, et occulte le rôle crucial de l’accompagnement qualitatif et de la sensibilisation et/ou de la formation des élus, des services de l’État et des collectivités, des opérateurs et des aménageurs, des bailleurs.Ces images devenues presque ordinaires de parpaings, pans de bétons fracassés, vitres brisées laissent songeur: quel regard les résidents – et notamment
les plus jeunes – pourront-ils bien porter à l’avenir sur un environnement si violemment rejeté? Pourquoi respecter ce qui n’est bon qu’à être démoli?
Pour n’en citer que quelques-uns : FORTIN J-P., Grands ensembles. L’espace et ses raisons, Plan Urbanisme Construction Architecture (PUCA), 1997 ; PEILLON P., Utopie et désordre urbains. Essai sur les grands ensembles d’habitation, La Tour d’Aigues, Editions de l’Aube, 2001 ; DUFAUX F., FOURCAUT A., SKOUTELSKY R., Faire l’histoire des grands ensembles. Bibliographie 1950-1980, ENS éditions, 2003 ; TOMAS F., BLANC J-N., BONILLA M., Les grands ensembles, une histoire qui continue…, Publications de l’université de Saint-Etienne, 2003 ; DUFAUX F., FOURCAUT A. (dir.), Le monde des grands
ensembles, Créaphis, 2004.« Pour une histoire des grands ensembles en Essonne », Les Cahiers de la Maison de Banlieue et de l’Architecture, n° 11, mai 2005« BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE »
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Les enjeux du projet
À Dijon, le projet a mis de long mois à se concrétiser. L’enjeu de ce travail était double:
■ Un enjeu de connaissance et d’analyse de l’histoire et des différentes étapes de l’évolution urbaine et sociale de l’immeuble et du quartier, des vécus, trajectoires résidentielles et familiales des habitants de la cité. Il a été réalisé à travers:
– une recherche historique dans les archives du bailleur, de la commune, des journaux locaux, de l’agence d’urbanisme, etc., replaçant l’étude dans le contexte général de l’histoire de la France de la Reconstruction et des quarante dernières années;– une écoute, dévoilant les différentes représentations de ce quartier, non plus
à partir de critères ou de théories de spécialistes, mais en suivant pas à pas(mot à mot) les trajets, les images qu’y déposent les habitants et les acteursdu quartier. Le travail artistique – photographies, textes – ayant alors pour fonction de réintroduire ces regards croisés dans la circulation de la ville,d’en faire des éléments de partage, de réflexio« BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE »Centre de Ressources Politique de la Ville en EssonneCes recherches ont permis de retracer les différentes étapes de construction et de transformation de cet immeuble dans son territoire, ainsi que l’évolution d sa composition socio-démographique. Une iconographie importante a pu être collectée et répertoriée sur CD-Rom. Une présence longue – deux à trois jours par semaine pendant cinq mois – a été assurée sur le terrain, favorisant notre immersion et l’observation du quotidien des habitants du quartier, le recueil d’une parole informelle, permettant d’expliciter notre démarche, ses objectifs, son intérêt, l’instauration d’une quotidienneté, de relations de confiance. Pour cela, une présence régulière aux différentes manifestations, aux réunions et aux événements publics liés au quartier et une fréquentation de lieux de rencontre et d’échanges préalablement identifiés ont été nécessaires.Des rencontres collectives et individuelles ont été organisées avec les partenaires – associations, structures et personnes-relais sur le quartier – nous permettant d’être rapidement identifiés et de baliser précisément notre rôle – le rôle de chacun – dans le projet, de recueillir leur connaissance du terrain, leurs représentations et leurs réflexions sur le projet. Les ateliers avec les techniciens, les élus et les associations concernées devaient définir précisément: ● les objectifs à court, moyen et, le cas échéant, long terme;
● les actions à court, moyen et long terme;
● les modalités de leur déroulement.
Ces rencontres avaient également pour objectif de faire fonctionner le«bouche-à-oreille», qui demeure bien souvent le principal vecteur d’information pour ce type de démarche. Elles nous permettaient également de nouer des premiers contacts avec les habitants et les personnes-relais impliqués dans la vie du quartier. Ont été mis en œuvre:
● un moment de rencontre-discussion avec les habitants sous la forme d’une soirée projection-débat: présentation du travail de recueil de mémoire, personnes et structures porteuses, méthodes, finalités; définition en commundes modalités de leur participation au projet.
● sollicitation et information de la presse locale (journaux, radio, télévision), des bulletins associatifs, de la communication institutionnelle (ville, communauté
d’agglomération, bailleur, etc.) pour relayer et présenter le plus précisément possible la démarche entreprise et les personnes en charge de ce travail;
● des entretiens compréhensifs, individuels, en couple ou en petits groupes sous la forme d’entretiens semi-directifs de type «récits de vie(s)», recueillisauprès d’habitants ou d’anciens habitants du quartier, de professionnels travaillant ou ayant exercé leur activité dans le quartier, d’élus ou de responsables associatifs.
« BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE »
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Les entretiens ont été enregistrés et traités sur support numérique – mini-disc –, et les documents et les objets soigneusement inventoriés et/ou scannés.Ces entretiens avaient pour objectifs d’enregistrer non pas l’histoire de ce quartier, mais la manière qu’avaient nos interlocuteurs de dire leur propre histoire, cequi faisait mémoire pour ces personnes en contact étroit avec le quartier, natifs ou de passage, enracinés ou nouveaux venus. Il s’agissait de souvenirs, d’impressions d’enfance, de petits faits de la vie quotidienne parfois jugés sans importance, d’événements heureux ou tragiques, qui ont marqué leur sensibilité. Cela supposait donc que l’on prenne le temps, précisément de parler et d’écouter. Les entretiens se sont déroulés de préférence au domicile des personnes, pas dans la rue ou une salle impersonnelle, mais dans la sphère privée plus à même de laisser subvenir ces épopées de l’intime. L’objectif n’était pas de faire une archéologie du quartier, ni même d’enfermer nos interlocuteurs dans la norme de la personne-type qui habite un grand ensemble, mais bien de montrer que cet immeuble était composé de fragmentsde vies, de destins d’hommes et de femmes singuliers. Il s’agissait de montrer
comment, à un moment donné, ces personnes, venues parfois d’horizons lointains, se sont arrêtées là et ont enrichi ce lieu de leurs histoires et de leurs trajectoires particulières.
Nous avons donc insisté sur les trajectoires familiales et professionnelles de chacun: origines, parcours résidentiels, étapes et ruptures de vies – mariage, naissances, emplois successifs, divorces, décès, etc. –, points de repères autour desquels chacun construit «son temps», étapes qui organisent la durée, le vécu familial, domestique, les faits d’une vie et les événements de l’histoire. Le souvenir trouve également un support concret dans l’espace et les multiplesbouleversements du bâti et du cadre de vie. Démolitions, reconstructions,aménagements, suscitent une perte de repères, et invitent d’autant plus à faireun travail de mémoire. Dans cette perspective, ont été évoqués les souvenirs attachés plus précisément au quartier des Grésilles et à l’immeuble Billardon.Les personnes interrogées ont été invitées à s’appuyer le plus largement possible sur des descriptions détaillées (déménagement, logements successifs, accessibilité au travail ou aux équipements et services, nombre et identité des commerces, relations de voisinage, espaces collectifs), leurs pratiques (loisirs, vie scolaire, pratiques commerciales, etc.), les événements (fêtes, accidents, etc.) ou personnes marquantes; leurs perceptions du quartier et de son évolution – qu’ils y habitent toujours ou pas –, leurs projections éventuelles dans l’avenir (liste de thèmes non exhaustive).De février à juin 2003, une quinzaine d’entretiens ont pu être réalisés auprès d’une trentaine d’anciens locataires de l’immeuble, des premiers résidents de
Billardon dans les années 1950 aux derniers occupants, récemment relogés. « BILLARDON, HISTOIRE D’UN GRAND ENSEMBLE » Centre de Ressources Politique de la Ville en Essonne Des outils pour l’action: la restitution Tout au long de l’étude, nous avons rencontré et consulté régulièrement l’ensemble des institutions et des partenaires concernés par la démarche, afin de leur soumettre les premiers éléments de notre travail, recueillir leurs commentaires, leurs suggestions et critiques. Ces rencontres ont été l’occasion de partager une réflexion, d’élaborer des propositions de restitution aux différents publics.Malgré nos craintes initiales, une restitution de qualité a pu être proposée aux habitants, grâce à l’implication très forte de l’Opac de Dijon, véritable porteur du projet, et dans une moindre mesure du service Inventaire de la Direction régionale des affaires culturelles de Bourgogne. Leur implication a permis de trouver différents partenaires financiers, comme la Caisse des Dépôts et Consignations ou la communauté d’agglomération.
De notre côté, sur la base du rapport et du reportage photographique que nous avions remis à nos commanditaires, nous avons pu convaincre les éditions
Créaphis, reconnues pour la qualité de leurs publications de documents d’histoire, de sciences sociales et de photographie, de formuler une proposition éditoriale de qualité. Sur la base de nos recommandations, deux pistes de restitution ont été privilégiées:
● une exposition, événement fort et fédérateur, pouvant susciter des échanges,des moments de rencontre entre habitants du quartier et résidents extérieurs,
dans une optique d’ouverture du quartier au reste de la ville, les productions de certains groupes d’habitants pouvant être également valorisées, ainsi que les objets ou films recueillis dans le cadre du projet;
● une publication, associant textes et documents d’archives sur l’histoire du quartier, une sélection de témoignages et de photographies professionnelles
et amateurs, et accompagnant cette exposition, pour une diffusion plus large des résultats de l’opération, et une appropriation durable du projet par les habitants du quartier et les autres résidents de l’agglomération.Cette restitution avait également pour objectif de mettre en lumière les différentes préoccupations des habitants, permettant aux acteurs de terrain de disposer d’une base de connaissances pour définir et programmer leurs interventions, à court, moyen et long terme. Un tel travail fait émerger des représentations collectives, des divergences, des tensions qu’il faut savoir analyser et traiter pour améliorer les rapports sociaux et les conditions de vie des habitants.Encore faut-il que ces paroles soient prises en compte pour permettre aux institutions de redéfinir leurs modes d’intervention sur la ville: vaste chantier… Sylvain TABOURY,sociologue, enseignant à l’école d’architecture de Versailles Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.. Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Jérôme (Mémoire2Ville) #chercheur #archiviste #maquettiste dans l #histoire des #logementssociaux #logement #HLM #logementsocial #Patrimoine @ Les films du MRU -Industrialiser la construction, par le biais de la préfabrication.Cette industrialisation a abouti, dans les années 1950, à un choix politique de l'Etat, la construction massive de G.E. pour résoudre la très forte crise du logement dont souffrait la France www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... … Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije Noisy-le-Sec le laboratoire de la reconstruction, 1948 L'album cinématographique de la reconstruction maison préfabriquée production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, 1948 L'album cinématographique içi www.dailymotion.com/video/xwytke archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... - - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document Gwenaëlle Le Goullon (LAHRA), auteur du livre "la genèse des grands ensembles",& Danièle Voldman (CHS, Centre d'Histoire Sociale), expliquent le processus qui a conduit l'Etat, et le ministère de l'urbanisme &de la reconstruction à mener des chantiers exp www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... mémoire2cité & l'A.U.A. - Jacques Simon (1929 - 26 septembre 2015) est un architecte paysagiste formé à l'École des beaux-arts de Montréal et à l'École nationale supérieure du paysage de Versailles. Fasciné par la campagne qui témoigne d'une histoire de labeur, celle des agriculteurs "ses amis", "les génies de la terre", Jacques SIMON, paysagiste dplg, Premier Grand Prix du Paysage en 1990*, réalise avec eux des installations paysagères éphémères principalement dans des champs et visibles du ciel. Avec sa palette d'artiste, Jacques SIMON réinvente des paysages comme les agriculteurs eux-aussi à leur façon les créent et les entretiennent. Le CAUE du Rhône vous invite à venir découvrir ses travaux au travers d'un kaléidoscope de photographies empreintes de spontanéité, de fraîcheur et d'humour. Cette exposition nous interpelle sur le caractère essentiel d'une nature changeante, fragile, sur l'importance d'une activité agricole diversifiée et sur la nécessaire évolution du métier de paysan. Elle nous amène aussi à voir et à interpréter ce que l'on voit, elle éveille en nous le sens de la beauté du paysage en conjuguant les différentes échelles de perception et de lecture; à pied et à vol d'oiseau, à la fois l'échelle humaine, terrestre, géologique, forestière, hydrologique, biologique mais aussi esthétique et symbolique. Jacques Simon, paysagiste cosmopolite est l'un des principaux acteurs du renouveau de la pensée paysagère en France dans les années 60 et 70 conjuguant avec cohérence sa pratique de paysagiste, de voyageur, d'éditeur, d'enseignant avec son approche plus artistique du paysage, subtile, sensible et humaine de la nature avec la réalisation de "performances". Ses projets paysagers comme ses interventions paysagères éphémères sont marqués par la mobilité, la fragilité, une empathie avec le lieu, par la dualité même du voyage : découverte / évanouissement, création / disparition. Jacques Simon dessine, écrit sur le paysage, "une surface", un peu à la manière du land'art avec les techniques et les outils du jardinier, du cultivateur. Il ne s'agit plus de représenter la nature mais de l'utiliser en créant avec et dans le paysage. L'intention de Jacques Simon n'est pas d'apposer sa marque sur le paysage mais de travailler instinctivement avec lui afin que ses travaux-installations manifestent même brièvement un contact en harmonie avec le monde naturel. "On dit qu'il a bouleversé l'esprit du paysage, il a remis les choses essentielles à leur place. Il rit de l'importance qu'on veut bien lui donner, fils de l'air, il ne veut rien de plus que passer dans les cerveaux pour les ventiler, les rafraîchir et non pour les modeler; son "importance", il l'a ailleurs et autrement; il est historique parce que dans son temps, dans celui qui s'écoule et non dans celui qui passe". Extrait de "Jacques Simon, tous azimuts", Jeanne-Marie Sens et Hubert Tonka, Pandora Editions, 1991. Il a introduit une nouvelle conception de l'art du paysage proche du Land art, Jacques Simon est l'auteur d'une série d'ouvrages sur différents aspects du paysage et abordés d'un point de vue technique. Il a travaillé de 1964 à 1966 en collaboration avec Michel Corajoud. Il a conçu le Parc de la Deûle (qui lui a valu le Grand Prix national du Paysage en 2006, après l'avoir reçu une première fois en 19901).
Il est mort le 29 septembre 20151 et a été incinéré à Auxerre Le paysagiste Jacques Simon s'est éteint le 26 septembre dernier à l'âge de 86 ans. Diplômé de Versailles en 1959, il fut sans doute l'une des figures les plus emblématiques, les plus géniales et les plus originales du paysagisme contemporain. Premier grand prix du paysage et prix du Conseil de l'Europe pour le parc de la Deule, on lui doit des principes de compositions très forts, autour du nivellement, du traitement du végétal ou de la place laissée au vide. Ses intuitions comme ses travaux ont inspiré tous les paysagistes avec lesquels il a travaillé, à commencer par Michel Corajoud ou Gilles Vexlard. On lui doit un profond renouvellement dans la composition des grands ensembles, ses réalisations -comme le parc Saint-John Perse à Reims- restant des modèles pour tous les professionnels. Jacques Simon développa également une production d'œuvres plus éphémères, attentif aux mouvements et aux transformations. Pédagogue talentueux et généreux, il le fut autant par les documents techniques et la revue qu'il publia, que par ses interventions en atelier devant plusieurs générations d'étudiants de l'école. Les paysagistes perdent un de leurs plus féconds inspirateurs. L'ENSP s'associe au deuil de sa famille et de ses proches. Témoignages à la mémoire de Jacques Simon
Dans les années 1990 à l'école du Paysage de Versailles, lorsque nous entrions en première année, la première satisfaction était d'acquérir du nouveau matériel d'expression plastique. Encre, feutres, supports en grand format et sur papier calque...mais aussi découvrir des livres de notre professeur Jacques Simon : des carnets de dessins et de croquis, des photomontages découpés aux ciseaux.
En amphithéâtre lors de conférences et séances de projections de diapositives, Jacques Simon évoquait surtout sa capacité à piloter un hélicoptère. Je viens de retrouver un extrait d'un article à ce sujet..« (...) Car depuis une dizaine d'années, le Bourguignon a trouvé une solution à son imagination en bourgeonnement permanent. Jacques Simon crée ‘pour lui tout seul'. Ni commande ni concours. Mais des messages géants écrits dans les champs et seulement visibles d'avion ou d'hélicoptère. Un art éphémère et privé dont il s'amuse, les veilles de moissons, tout autour de sa ferme de Turny, dans l'Yonne.Et là, plus rien ne l'arrête. Les agriculteurs du coin ont pris l'habitude de le voir faucher des allées entières de luzerne. De l'apercevoir écraser d'interminables chemins de phacelia, un graminé californien qui existe en trois couleurs (blanc, bleu, rouge). De l'observer dans son hélicoptère photographiant le résultat. Ses messages sont des hommages ou des avertissements. L'un prévient : ‘Hé, si tu n'as plus de forêt t'es foutu.' Un autre : 'Sans les paysans, je m'emmerde. Signé : la Terre.' Même l'hiver, Jacques Simon s'adonne à cette calligraphie paysagère. (...) ».Extrait paru dans La Croix l'événement du dimanche 11 et lundi 12 juin 1995, par Frédéric Potet, rubrique Culture. son site simonpaysage.free.fr/
file:///C:/Users/user/Downloads/B_Blanchon_AUA.pdf Interview to Jacques Simon incleded on the dvd that accompanies book "Metropoles en Europe", from the exhibition "Lille - Metropoles en Europe". The French landscape architect Jacques Simon's love for nature first developed on his father's tree farm and then deepened when he traveled as a young man to Sweden and then Canada, where he attended art school in Montreal while working as a lumberjack. Between 1957 and 1959, Simon studied at the École Nationale de Horticulture. He has since become an important link in the renewal of French landscape architecture, combining the Anglo-Saxon and Scandinavian garden cultures he absorbed in his travels with classic Latin structures. He works as often as possible in situ, and does not shy away from driving the tractor himself.
www.youtube.com/watch?v=OyBnqrUlK9U turny.chez.com/A0archives/jSIMMON.htm Jacques Simon, Il crée la revue Espaces verts en 1968, l’anime jusqu’en 1982, publie des cahiers spéciaux dédiés à « l’Aménagement des espaces libres ». Même l'hiver, il s'adonne à cette calligraphie paysagère».La Croix dimanche 11 et lundi 12 juin 1995, simonpaysage.free.fr/ Jacques Simon écrit ses premiers articles dès la fin des années 1950 pour des revues comme Maison et Jardin et Urbanisme. En 1965, il signe l’un de ses premiers livres, L’Art de connaître les arbres. strabic.fr/Jacques-Simon-Gilles-Vexlard … jacques simon & Le parc des Coudrays - Élancourt-Maurepas, 1970 strabic.fr/Jacques-Simon-Gilles-Vexlard … simonpaysage.free.fr/ Jacques Simon - Espaces verts n° 27, avril-mai-juin 1971, p. 44-45 Fasciné par la campagne qui témoigne d'une histoire de labeur, celle des agriculteurs "ses amis", "les génies de la terre" paysagiste dplg, Premier Grand Prix du Paysage en 1990*, www.youtube.com/watch?v=OyBnqrUlK9U …ici es EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg ,
A partir des années 1950, le trafic de la banlieue parisienne suit l’urbanisation galopante et les dessertes ferroviaires doivent s’adapter et se moderniser.Quelques amateurs ont su immortaliser un monde ferroviaire qui était alors en voie de disparition. Dans ce film, nous retrouvons les dessertes 750 volts par troisième rail en rames « Standard » sur les lignes de Versailles-RD, sur la ligne d’Auteuil et entre Puteaux et Issy-Plaine mais aussi les derniers trains à vapeur à St Lazare, à La Bastille et sur le Nord et quelques ultimes voyages sur les lignes de Ceinture --------------De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète. www.arte.tv/fr/videos/073938-000-A/l-homme-a-mange-la-terre/ Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique. Liaisons dangereuses
En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme. le Logement Collectif* 50,60,70's dans tous ses états..Histoire & Mémoire de l'Habitat / Rétro-Villes / HLM / Banlieue / Renouvellement Urbain / Urbanisme URBANISME S’imaginer Paris et le Grand Paris @ Les 50ans d'Apur (link: 50ans.apur.org/#intro) 50ans.apur.org/#intro @ Où en est l'histoire urbaine des sociétés contemporaines ? Cet ouvrage, inspiré par Annie Fourcaut, qui contribua de manière décisive à son développement, propose un état des lieux de ce champ et explore des pistes de recherche ouvrant l'histoire urbaine à une variété de " genres ". Où en est l'histoire urbaine des sociétés contemporaines ? Cet ouvrage, inspiré par Annie Fourcaut, qui contribua de manière décisive à son développement, propose un état des lieux de ce champ. De Femmes à l'usine (1981), Bobigny, banlieue rouge (1986), à La banlieue en morceaux (2000), en passant par les publications collectives qu'elle a coordonnées et les travaux qu'elle a encadrés, la trajectoire de cette historienne a conduit l'histoire sociale et politique – telle qu'on la pratiquait dans les années 1970 – vers une histoire urbaine renouvelée. Le livre revient sur cette évolution et explore des pistes de recherche ouvrant l'histoire urbaine à une variété de " genres ". Les auteurs, historiennes et historiens, sociologues, politistes, géographes, architectes, urbanistes et décideurs politiques proposent une histoire urbaine à la fois interdisciplinaire et ancrée dans la fabrique de la ville et ses représentations, portant la marque de sa dédicataire.Les quatre sections de l'ouvrage dessinent les chantiers qu'Annie Fourcaut a investis : " Du social à l'urbain " met en avant la conviction qu'étudier l'histoire des villes, c'est toujours faire de l'histoire sociale ; " Qu'elle était belle la banlieue " est centré sur les banlieues, son territoire d'étude de prédilection ; " Les habits neufs des politiques de la ville " interroge les politiques urbaines successives et leur transformation ; enfin, " Banc d'essai des modernités " propose une analyse historique de l'urbanisme, comme discipline et comme pratique.
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Ames High School Class of 1972 35-year class reunion
1972 AHS 35th reunion Woodsy event
Friday evening August 3, 2007
North of Ames, Iowa
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Ames High School class of 2007 10 year reunion held July 22, 2017 at ISU Alumni Center, Ames, Iowa. 40+ classmates attended. The AHS 2007 Social event of the year. It really was a ton of fun.
AHS 2007 10-year reunion info click: ameshigh.org/reunion/reunion_2017.html#ahs2007
#photobyEdHendricksonJr #2017ahs #AmesHighSchool #ameshighclassof2007 #ahs2007 #ahs2007tenth
Saturday evening July 22, 2017
ISU Alumni Center
Ames, Iowa
40+ attendance
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Spokane's own INPA shooting for Peak 7 Adventures
About Peak 7: We are dedicated to challenging people to discover who they are in relation to who God is. We accomplish this goal through rafting, kayaking, hiking and camping. We have prepared several exciting itineraries throughout the Pacific Northwest, but are more than willing to tailor our adventure trips to meet the needs of specific groups.
Peak 7 Adventures has great ACA certified raft guides in the Northwest, ACA certified kayak instructor, and high-experienced volunteers that make the trips happen. By the end of your Peak 7 Adventures experience we hope you will have had an unforgettable time and appreciate the outdoors more, thereby appreciate its Creator as well
Source: en.wikipedia.org/wiki/Augusta,_Georgia
Augusta, officially Augusta–Richmond County, is a consolidated city-county on the central eastern border of the U.S. state of Georgia. The city lies across the Savannah River from South Carolina at the head of its navigable portion. Georgia's second-largest city after Atlanta, Augusta is located in the Piedmont section of the state.
According to the U.S. Census Bureau, Augusta–Richmond County had a 2017 estimated population of 197,166, not counting the unconsolidated cities of Blythe and Hephzibah. It is the 123rd largest city in the United States. The process of consolidation between the City of Augusta and Richmond County began with a 1995 referendum in the two jurisdictions. The merger was completed on July 1, 1996. Augusta is the principal city of the Augusta metropolitan area, situated in both Georgia and South Carolina on both sides of the Savannah River. In 2017 it had an estimated population of 600,151, making it the second-largest metro area in the state. It is the 93rd largest metropolitan area in the United States.
Augusta was established in 1736 and is named for Princess Augusta of Saxe-Gotha (1719–1772), the bride of Frederick, Prince of Wales and the mother of the British monarch George III. During the American Civil War, Augusta housed the principal Confederate powder works. Augusta's warm climate made it a major resort town of the Eastern United States in the early and mid-20th century. Internationally, Augusta is best known for hosting The Masters golf tournament each spring. The Masters brings over 200,000 visitors from across the world to the Augusta National Golf Club. Membership at Augusta National is widely considered to be the most exclusive in the sport of golf across the world.
Augusta lies approximately two hours east of downtown Atlanta by car via I-20. The city is home to Fort Gordon, a major U.S. Army base. In 2016, it was announced that the new National Cyber Security Headquarters would be based in Augusta, bringing as many as 10,000 cyber security specialists to the Fort Gordon area.
Source: www.visitaugusta.com/listing/savannah-rapids-park/524/
This 33 acre park is home to the Savannah Rapids Pavilion and the Historic Augusta Canal Headgates. This newly developed area overlooks the picturesque Reed Creek Falls as it flows into the Historic Augusta Canal. Walkers and joggers love the pedestrian bridge that begins the 7.5 mile trail that takes you all the way to Augusta. Or you may simply chose to sit along the banks of Reed Creek and listen to the water rushing past. Picnic pavilions offer shade and a covered area to stop and rest or eat lunch.
Driver: ?
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Ames High School class of 2007 10 year reunion held July 22, 2017 at ISU Alumni Center, Ames, Iowa. 40+ classmates attended. The AHS 2007 Social event of the year. It really was a ton of fun.
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Saturday evening July 22, 2017
ISU Alumni Center
Ames, Iowa
40+ attendance
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Saturday Ames High School Banquet Saturday Sep 29 2018
The Ames High School Class of 1978 40-Year Reunion was held Friday and Saturday September 28 and 29 2018 in Ames IA, and we hope you attended because ... drum roll ... it was super FUN !!
ALL AHS class of 1978 photos. Click here
1978 AHS 40th reunion photos from Sep 2018 are here
AHS 1978 40th reunion info on AmesHigh.org
Welcome back Class of 1978 Ames Senior High School !!
Ames High School class of 1978 40-year post reunion summary
The 40th reunion was so fun !! The class of 1978 is quickly becoming one of the most connected classes out of all the Alumni classes at AHS, as approximately 102 1978 classmates met and re-connected on Friday Sep 28 2018 at North Cyde restaurant in North Ames, Iowa.
Saturday, September 29 we all toured the High School then 100+ classmates met again later that evening at the American Legion on Main street for a banquet, group photos, a short program and then another wonderfully enchanted evening of re-connecting with old friends. It was so much fun to see classmates we had not seen for so long, in some cases not since AHS days 40 years ago. We all have journeyed 40 years to get back together again. Ever so special to have friends that span most, if not all of your life, especially after 40 plus years. Then we shed a tear and said our goodbyes and we hope to see you again soon, maybe in 5 years.
1978 all photos album
Sat evening photos courtesy #photobyEdHendricksonJr
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Source: en.wikipedia.org/wiki/Pensacola,_Florida
Pensacola is the westernmost city in the Florida Panhandle, and the county seat of Escambia County, Florida. As of 2018, the population was estimated to be 52,713. Pensacola is the principal city of the Pensacola Metropolitan Area, which had an estimated 494,883 residents as of 2018. Pensacola is one of the largest metropolitan areas in the Gulf Coast region, the largest between New Orleans and Tampa.
Pensacola is the site of the first Spanish settlement within the borders of the continental United States in 1559, predating the establishment of St. Augustine by 6 years, although the settlement was abandoned due to a hurricane and not re-established until 1698. Pensacola is a seaport on Pensacola Bay, which is protected by the barrier island of Santa Rosa and connects to the Gulf of Mexico. A large United States Naval Air Station, the first in the United States, is located southwest of Pensacola near Warrington; it is the base of the Blue Angels flight demonstration team and the National Naval Aviation Museum. The main campus of the University of West Florida is situated north of the city center.
The area was originally inhabited by Muskogean-speaking peoples. The Pensacola people lived there at the time of European contact, and Creek people frequently visited and traded from present-day southern Alabama. Spanish explorer Tristán de Luna founded a short-lived settlement in 1559. In 1698 the Spanish established a presidio in the area, from which the modern city gradually developed. The area changed hands several times as European powers competed in North America. During Florida's British rule (1763–1781), fortifications were strengthened.
It is nicknamed "The City of Five Flags", due to the five governments that have ruled it during its history: the flags of Spain (Castile), France, Great Britain, the United States of America, and the Confederate States of America. Other nicknames include "World's Whitest Beaches" (due to the white sand of Florida panhandle beaches), "Cradle of Naval Aviation", "Western Gate to the Sunshine State", "America's First Settlement", "Emerald Coast", "Red Snapper Capital of the World", and "P-Cola".
Source: en.wikipedia.org/wiki/National_Naval_Aviation_Museum
The National Naval Aviation Museum, formerly known as the National Museum of Naval Aviation and the Naval Aviation Museum, is a military and aerospace museum located at Naval Air Station Pensacola, Florida.
Decided I wanted more control over the resulting forms. To do this, I had to tone down the movement possibilities for each of the particles so there would be a greater chance the particles would spread out evenly over the surfaces of the gravity spheres. End result... hairy spheres!!! Heh, I said 'hairy spheres'. Check the hi-res versions to see the detail.
WITNESS: A Night for Change
November 9, 2017
National Sawdust, Brooklyn, NY
#IAmAWitness #WITNESS25
Photo by Justin Hoch | JHoch Photography
From top to bottom:
Binary
Basic (inverted Chord Catalogue)
Chord Catalogue
Gray Coded Chord Catalogue
Gray Coded binary
bundeling / tangeling experiment using eerkit
( www.volatileprototypes.com/projects-2/eerkit )
inspired by otto frei's woolthread experiments
The ancestors of the Icelandic horse were probably brought to the country by Viking Age Scandinavians between 860 and 935 AD. These settlers were followed by immigrants from Norse colonies in Ireland, the Isle of Man, and the Western Isles of Scotland, who brought the ancestors of what would elsewhere become Shetland, Highland, and Connemara ponies. There may also be a connection with the Yakutian pony and the Nordlandshest of Norway. Breeds with similar characteristics include the Faroe pony and the Norwegian Fjord horse. Genetic analyses have revealed a link to the Mongolian horse (believed to have been originally imported from Russia by Swedish traders and subsequently contributing to the Fjord, Exmoor, Highland, Shetland, and Connemara breeds, all of which have been found to be genetically linked to the Icelandic horse). About 900 years ago, attempts were made to introduce eastern blood into the Icelandic, resulting in a degeneration of the stock. In 982 AD, the Icelandic Althing (parliament) passed laws prohibiting the importation of horses into Iceland, thus ending crossbreeding. The breed has now been bred pure in Iceland for more than 1,000 years.
The earliest Norse people venerated the horse as a symbol of fertility, and white horses were slaughtered at sacrificial feasts and ceremonies. Horses played a significant part in Norse mythology, among them Odin's eight-footed pacer Sleipnir. The first Icelandic horse known by name is the mare Skalm from the Book of Settlements from the 12th century: a chieftain named Seal-Thorir founded a settlement at the place where Skalm stopped and lay down with her pack. Horses also play key roles in the 13th-century Icelandic sagas Hrafnkel's Saga, Njal's Saga, and Grettir's Saga, set as far back as the 9th century.
Horses were often considered the most prized possession of a medieval Icelander and war horses were sometimes buried alongside their fallen riders. Icelanders also arranged for bloody fights between stallions; these were used for entertainment and to pick the best animals for breeding, and they were described in both literature and official records from the Commonwealth period of 930 to 1262 AD. Stallion fights were an important part of Icelandic culture; and the sometimes-serious physical and verbal brawls among the spectators had wide social and political repercussions that could even restructure political alliances. Courting between young men and women was also common at horse fights.
At first, natural selection played a major role in the development of the breed, as large numbers of horses died from lack of food and exposure to the elements. Between 874 and 1300 AD, during the more favorable climatic conditions of the medieval warm period, Icelandic breeders selectively bred horses according to special rules of color and conformation. From 1300 to 1900, selective breeding became less of a priority, as the climate was often severe and many horses and people died. Between 1783 and 1784, around 70% of the horses in Iceland were killed by volcanic-ash poisoning and starvation after the 1783 eruption of Lakagígar. The eruption lasted eight months, covered hundreds of square miles of land with lava, and rerouted or dried up several rivers. The population slowly recovered over the next hundred years, and from the beginning of the 20th century selective breeding again became important.
Despite increasing mechanization and road improvements, these horses still play a large part in Icelandic life. Farmers still use the breed to round up sheep in the Icelandic highlands, but most horses are used for competition and leisure riding. The first official race was held at Akureyri in 1874, and many competitions--gallop and pace races as well as performance classes showcasing the breed's unique gaits--are still held throughout the country from April through June. Winter events are often held, including races on frozen bodies of water (in 2009, both horses and riders needed to be rescued after falling through the ice at such an event). The first shows, focused on the quality of animals as breeding stock, were held in 1906. The Agricultural Society of Iceland, along with the National Association of Riding Clubs, now organizes regular shows with a wide variety of classes. Some horses are still bred for slaughter, and much of the meat is exported to Japan.
The first Icelandic breed societies were established in 1904, and the first breed registry in Iceland was established in 1923. In 2000, WorldFengur was established by the Icelandic government in cooperation with the FEIF as an official registry for Icelandic horses: this web database program is used as a studbook to track contains information on the pedigree, breeder, owner, offspring, photo, breeding evaluations, and assessments, and unique identification of each horse registered. Around 300,000 Icelandic horses, living and dead, have been registered worldwide.
There are now about 80,000 Icelandic horses in Iceland (compared to a human population of 317,000), and around 100,000 abroad. Because of their strength and small size, Icelandics were exported to Great Britain before the 20th century to work as unregistered pit ponies in the coal mines. The first formal exports of Icelandic horses were to Germany in the 1940s (almost 50,000 horses are in Germany, which has many active riding clubs and breed societies). Great Britain's first official imports started in 1956 with a Scottish farmer, Stuart McKintosh, and the Icelandic Horse Society of Great Britain was formed in 1986. The number of Icelandic horses exported to other nations has steadily increased and it's especially popular in western Europe, Scandinavia, and North America.
Though Icelandic horses are small (330-380 kg and 13-14 hands), breed registries always refer to them as horses. One theory says this is because of their spirited temperament and large personality, and another suggests that their weight, bone structure, and weight-carrying abilities let them be classified as horses. Some breeders focus on animals for pack and draft work, which are conformationally distinct from those bred for their ability to perform the traditional Icelandic gaits. Others are bred solely for meat.
The hardy Icelandic horse comes in many coat colors, including chestnut, dun, bay, black, gray, palomino, pinto, and roan, and there are over 100 names for various colors and color patterns in the Icelandic language. Their double coat offers extra insulation in cold temperatures. They have well-proportioned heads with straight profiles and wide foreheads. The neck is short, muscular, and broad at the base; they have broad, low withers, a deep chest, muscular and slightly sloping shoulders, a long back, and broad, muscular, short, and slightly sloping croup. Their legs are strong and short, with relatively long cannon bones and short pasterns. The mane and tail are full, with coarse hair, and the tail is set low.
Members of this long-lived breed are not usually ridden until they are four or five years old and structural development is not complete until age seven. Their most productive years are between eight and eighteen, and they retain their strength and stamina into their twenties. An Icelandic mare that lived in Denmark reached a record age of 56, while another horse, living in Great Britain, reached the age of 42. The horses are highly fertile, and both sexes are fit for breeding up to age 25; mares have been recorded giving birth at age 27. The horses are social and not easily spooked, probably the result of not having any natural predators in their native Iceland. Icelandics tend to be friendly, docile, enthusiastic, and self-assured.
As a result of their isolation from other horses, disease in the breed within Iceland is mostly unknown except for some kinds of internal parasites. This is maintained by laws forbidding horse imports and exported horses from returning to Iceland, and by requiring that all equine equipment taken into the country be either new and unused or fully disinfected. As a result, native horses have no acquired immunity to disease; an outbreak on the island would be likely to be devastating to the breed. This makes it difficult to enter Icelandic horses into competitions outside of the country.
The Icelandic is a "five-gaited" breed, known for its sure-footedness and ability to cross rough terrain. As well as the typical gaits of walk, trot, and canter/gallop, the breed is noted for its ability to perform two additional gaits. The comfortable, ground-covering four-beat lateral ambling gait known as the tölt is known for its explosive acceleration and speed. There is considerable variation in style within the gait, and so the tölt is variously compared to similar lateral gaits such as the rack of the Saddlebred, the largo of the Paso Fino, or the running walk of the Tennessee Walking Horse. Like all lateral ambling gaits, the footfall pattern is the same as the walk (left hind, left front, right hind, right front), but differs from the walk in that it can be performed at a range of speeds. Some Icelandic horses prefer to tölt while others prefer to trot; correct training can improve weak gaits, but the tölt is a natural gait present from birth. There are two uncomfortable, incorrect varieties of the tölt: the first is an uneven gait called a "Pig's Pace" or "Piggy-pace" that is closer to a two-beat pace than a four-beat amble. The second, Valhopp, is a tölt-and-canter combination most often seen in untrained young horses.
The fast, smooth skeið, flugskeið, or "flying pace" allows some horses to reach 48 km/h. Not all Icelandic horses can perform this gait; animals that perform both the tölt and the flying pace in addition to the traditional gaits are considered the best of the breed. The flying pace is a two-beat lateral gait with a moment of suspension between footfalls; each side has both feet land almost simultaneously (left hind and left front, suspension, right hind and right front). Not a gait used for long-distance travel, it's uncomfortable for the rider when slow. Although most pacing horses are raced in harness using sulkies, in Iceland horses are raced while ridden.
Los Angeles actor/writer, Tim Coyne, interviews Joseph Gordon-Levitt about "500 Days of Summer", his short film "Sparks", and his website www.hitrecord.org Runnning time 8:37
Source: en.wikipedia.org/wiki/Rapid_City,_South_Dakota
Rapid City is the second most populous city in South Dakota and the county seat of Pennington County. Named after Rapid Creek, where the settlement developed, it is in western South Dakota, on the Black Hills' eastern slope. The population was 74,703 as of the 2020 Census.
Known as the "Gateway to the Black Hills" and the "City of Presidents" because of the life-size bronze president statues downtown, Rapid City is split by a low mountain ridge that divides the city's western and eastern parts. Ellsworth Air Force Base is on the city's outskirts. Camp Rapid, part of the South Dakota Army National Guard, is in the city's western part.
Rapid City is home to such attractions as Art Alley, Dinosaur Park, the City of Presidents walking tour, Chapel in the Hills, Storybook Island, and Main Street Square. The historic "Old West" town of Deadwood is nearby. In the neighboring Black Hills are the tourist attractions of Mount Rushmore, the Crazy Horse Memorial, Custer State Park, Wind Cave National Park, Jewel Cave National Monument, and the museum at the Black Hills Institute of Geological Research. To the city's east is Badlands National Park.
Source: www.visittheusa.com/destination/rapid-city
Where a rugged landscape surrounds charm and culture
While Rapid City is best known for its proximity to national parks and enormous mountain carvings, including Mount Rushmore just 40 kilometers away, visitors to the heart of this Black Hills destination will be enthralled by a plethora of outdoor adventures, a charming and historic downtown and a salute to American Indian heritage in southwestern South Dakota.
The Famous Faces
Make Rapid City your headquarters for short jaunts to six national parks – Badlands National Park, Devils Tower National Monument, Jewel Cave National Monument, Wind Cave National Park, Minuteman Missile Silo National Park and Mount Rushmore National Memorial – as well as Crazy Horse Memorial.
No trip here would be complete without seeing the heads of four U.S. presidents, each about 18 meters tall, carved into granite on the side of Mount Rushmore. Once there, you’ll see why the sculpture, which took 14 years to complete, attracts nearly 3 million people a year. Nearby, work continues in the Black Hills on another mountain carving, this one of the famous Lakota warrior Crazy Horse astride his horse, that will become the world’s largest sculpture upon completion. The memorial serves to preserve the culture of North American Indians.
Find out more about the area at The Journey Museum & Learning Center, which features exhibits tracing some 2.5 billion years of history, from the earliest rock formations to Native American cultures and Western frontier exploration.
Large-Scale Outdoor Adventures
Options are plentiful for people who enjoy outdoor activities like hiking, biking, fishing, kayaking, rock climbing, wildlife viewing and off-the-beaten-path exploration. Traipse through all of those national parks and see a variety of landscapes, including mountains, hills, canyons, valleys, creeks and lakes.
Take in the natural beauty of the Black Hills National Forest and all of its hidden gems, including the Stratobowl clearing that was home base for historic balloon flights. Venture into Custer State Park, where the Wildlife Loop takes visitors through 29 kilometers of hills and grasslands, home to more than 1,300 free-roaming bison. Stop in the Wildlife Station Visitor Center to learn what other types of wildlife you might encounter. Sites along the George S. Mickelson Trail – a Black Hills rail trail route that is about 175 kilometers long – include tunnels, bridges and 15 trail heads.
A City of Culture
In addition to the prominent Native American arts and culture, Rapid City has become known for its culinary, winery and brewery scene as well as history tied to the original settlers. The Sculpture Project: Passage of Wind and Water is a five-year public art initiative with sculptor Masayuki Nagase working during the summer months to carve by hand granite sculptures in Main Street Square. As you tour the city, look for the City of Presidents, life-size bronze statues of 43 former U.S. presidents, including the famous four that are also on Mount Rushmore.
Comfort is key in Rapid City, which features smaller boutique hotels, larger hotel chains, vacation rentals, camping and bed-and-breakfast establishments. Perhaps you will find a place with a history that includes some of the nation’s presidents.
Source: bearcountryusa.com/
Welcome to Bear Country USA!
Come see black bears, elk, cougars, goats, and more!
Very few people have had a full-grown black bear look in the window of their family car, or if they have, it was not by choice. Even fewer have seen a reindeer or a elk up close. However, many people are getting experiences like these at Bear Country U.S.A. in the Black Hills of South Dakota.
Nestled over 200 acres amidst towering pines and along rolling meadows just eight miles south of Rapid City, Bear Country U.S.A. offers visitors intimate views of most North American mammals. Visitors take a leisurely three-mile drive through several enclosures and encounter black bear, elk, reindeer, deer, cougars, bobcats, rocky mountain goats, bighorn sheep, dall sheep, pronghorn and buffalo.
At this “the home of the largest collection of privately owned black bear in the world”, Bear Country U.S.A. guests are guaranteed to see more than they bargained for. From the comfort of their own car, visitors watch as these clowns of nature frolic in a pool, climb trees and amble across the road in front of their vehicle.
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No photoshopping here. This is the color of the cat's eyes.
This cat is waiting to be adopted at the Pat Brody Cat Shelter in Lunenburg, Mass.
AHS Ames High School Alumni Assoc - Ames, IA. ameshigh.org - reunions - photos - newsletters - authors - calendar - news - deceased - email - letters - join AHSAA
Saturday Ames High School Banquet Saturday Sep 29 2018
The Ames High School Class of 1978 40-Year Reunion was held Friday and Saturday September 28 and 29 2018 in Ames IA, and we hope you attended because ... drum roll ... it was super FUN !!
ALL AHS class of 1978 photos. Click here
1978 AHS 40th reunion photos from Sep 2018 are here
AHS 1978 40th reunion info on AmesHigh.org
Welcome back Class of 1978 Ames Senior High School !!
Ames High School class of 1978 40-year post reunion summary
The 40th reunion was so fun !! The class of 1978 is quickly becoming one of the most connected classes out of all the Alumni classes at AHS, as approximately 102 1978 classmates met and re-connected on Friday Sep 28 2018 at North Cyde restaurant in North Ames, Iowa.
Saturday, September 29 we all toured the High School then 100+ classmates met again later that evening at the American Legion on Main street for a banquet, group photos, a short program and then another wonderfully enchanted evening of re-connecting with old friends. It was so much fun to see classmates we had not seen for so long, in some cases not since AHS days 40 years ago. We all have journeyed 40 years to get back together again. Ever so special to have friends that span most, if not all of your life, especially after 40 plus years. Then we shed a tear and said our goodbyes and we hope to see you again soon, maybe in 5 years.
1978 all photos album
Sat evening photos courtesy #photobyEdHendricksonJr
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Aloha,
Young Pacific Islanders waving climate signs along Kalakaua Ave., Waikiki, Honolulu, USA.
photographer: Lana Brodziak
Mahalo, Lana
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Thanks!
'Colaboraciones'
Nos gustan los espacios participativos que se nutren de gente diferente. Aquí mostramos las distintas formas para poder colaborar.
Redkite’s Colour Ball is like no other charity event: it’s an outrageous, sophisticated stand-up cocktail event with sensational live entertainment, celebrity MCs - and in the 13 years since its inception has raised over $1 million for the children, young people and families that Redkite supports.
This year’s Black and White theme was hosted by Sydney’s spectacular Ivy Ballroom with entertainment from Tall Pop Syndrome and a host of great fundraising activities.
Thanks to our volunteer committee and many generous sponsors who made this year’s event such a success! Participants may download any of the photos via the 'Actions' menu above (‘View all sizes’).
Source: en.wikipedia.org/wiki/St._Louis
St. Louis is an independent city and inland port in the U.S. state of Missouri. It is situated along the western bank of the Mississippi River, which marks Missouri's border with Illinois. The Missouri River merges with the Mississippi River just north of the city. These two rivers combined form the fourth longest river system in the world. The city had an estimated 2017 population of 308,626 and is the cultural and economic center of the St. Louis metropolitan area (home to nearly 3,000,000 people), which is the largest metropolitan area in Missouri, the second-largest in Illinois (after Chicago), and the 22nd-largest in the United States.
Before European settlement, the area was a regional center of Native American Mississippian culture. The city of St. Louis was founded in 1764 by French fur traders Pierre Laclède and Auguste Chouteau, and named after Louis IX of France. In 1764, following France's defeat in the Seven Years' War, the area was ceded to Spain and retroceded back to France in 1800. In 1803, the United States acquired the territory as part of the Louisiana Purchase. During the 19th century, St. Louis became a major port on the Mississippi River; at the time of the 1870 Census it was the fourth-largest city in the country. It separated from St. Louis County in 1877, becoming an independent city and limiting its own political boundaries. In 1904, it hosted the Louisiana Purchase Exposition and the Summer Olympics.
The economy of metropolitan St. Louis relies on service, manufacturing, trade, transportation of goods, and tourism. Its metro area is home to major corporations, including Anheuser-Busch, Express Scripts, Centene, Boeing Defense, Emerson, Energizer, Panera, Enterprise, Peabody Energy, Ameren, Post Holdings, Monsanto, Edward Jones, Go Jet, Purina and Sigma-Aldrich. Nine of the ten Fortune 500 companies based in Missouri are located within the St. Louis metropolitan area. The city has also become known for its growing medical, pharmaceutical, and research presence due to institutions such as Washington University in St. Louis and Barnes-Jewish Hospital. St. Louis has two professional sports teams: the St. Louis Cardinals of Major League Baseball and the St. Louis Blues of the National Hockey League. One of the city's iconic sights is the 630-foot (192 m) tall Gateway Arch in the downtown area.
Source: en.wikipedia.org/wiki/Forest_Park_(St._Louis)
Forest Park is a public park in western St. Louis, Missouri. It is a prominent civic center and covers 1,326 acres (5.37 km2). Opened in 1876, more than a decade after its proposal, the park has hosted several significant events, including the Louisiana Purchase Exposition of 1904 and the 1904 Summer Olympics. Bounded by Washington University in St. Louis, Skinker Boulevard, Lindell Boulevard, Kingshighway Boulevard, and Oakland Avenue, it is known as the "Heart of St. Louis" and features a variety of attractions, including the St. Louis Zoo, the St. Louis Art Museum, the Missouri History Museum, and the St. Louis Science Center.
Since the early 2000s, it has carried out a $100 million restoration through a public-private partnership aided by its Master Plan. Changes have extended to improving landscaping and habitat as well. The park's acreage includes meadows and trees and a variety of ponds, manmade lakes, and freshwater streams. For several years, the park has been restoring prairie and wetlands areas of the park. It has reduced flooding and attracted a much greater variety of birds and wildlife, which have settled in the new natural habitats.
www.churchvillenaturecenter.org/
Churchville Nature Center is a non-profit facility of the Bucks County Department of Parks & Recreation founded in 1964 as the county's first nature center. Our main focus is environmental education and the promotion of responsible stewardship. The center occupies 65 acres of contiguous preserve with around 100 acres of connected properties.
Starting out of an old farmhouse on the property, the nature center has grown over its fifty plus years into a true environmental education center hosting thousands of school kids, scouts and visitors of all kinds each year for our programming.
The Churchville Reservoir
Established in 1942 by Springfield Water Company (later purchased by Philadelphia Suburban Water Company), the lake now known as Churchville Reservoir was first called Springfield Lake. Formation was done by damming up a section of the Ironworks Creek which is the main flow of water in and out of the lake. It is a shallow reservoir that is meant to be used as a backup for drinking water supplies if the Neshaminy Creek and subsequently the Delaware River get too low. Currently the lake is owned by Aqua America making it privately owned with sections of its surrounding land leased to the county for use by the nature center. It is important wildlife habitat preserved by Aqua and assisted in its preservation needs by the center.
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