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Ce rapace diurne est un migrateur stricte, dans le sens où il séjourne en Afrique subsaharienne l'hiver et revient l'été dans nos contrées. Il ne pèse que 350 grammes et se nourrit principalement de micro-mammifères, ce qui n'empêche pas que ses nids soient piétinés (quand bien même il est protégé), pour faire obstacle à l’hypothétique menace qu'il représente pour le gibier : je ne cite personne, mais vous aurez compris de qui je veux parler ! Ce n'est pas le seul risque qu'encourt sa progéniture, puisque les jeunes non encore volants sont massivement fauchés lors des moissons de plus en plus précoces, mettant en danger la pérennité de cette espèce en France.
Les moissons commencent sous le ciel bleu. Les champs se remplissent de balles de paille filmées.
The harvests begin under a blue sky. The fields are filled with filmed straw bales.
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Thanks you all for your visits, faves and comments
Grive à collier | Varied Thrush | Ixoreus naevius
Grand merci à Jean-Claude Charbonneau pour son partage rapide.
Une bien belle chance... suite
Voici une autre image de cette si rare et merveilleuse rencontre. Nous la retrouvons ici sur la première perche où elle a trouvé refuge lorsqu'elle fut dérangée par un merle. Sur cette image j'ai appliqué un recadrage de 50%. En discutant avec l'ornithologue François Grenon hier au Domaine Saint-Paul, j'ai appris que cette rareté est observée normalement sur le territoire québécois en automne et en hiver, il est donc encore plus rare et surprenant de la voir en mai et les autres mois des saisons chaudes. J'ai fait quelques recherches sur eBird pour découvrir qu'il s'agit là seulement de la 3e fois que cette espèce est observée en mai au Québec. Historiquement, la plus ancienne observation de l'espèce en mai s'était tenue sur quelques jours au début du mois en 1983 (du 4 au 6) au parc Summit de Westmount, la seconde fois elle a eu lieu à Saint-Georges en Beauce le 16 mai 2004. Malheureusement, elle n'a pas été retrouvée depuis ce passage d'un jour au Parc des moissons de Saint-Eustache.
ƒ/6.3 | 1/30 sec. | ISO 640 | 0 EV
Created for the Magnificent Manipulated Masterpieces
149th MMM "Out Of Bounds" Challenge
Original painting by Julien Dupre ~ The Harvest
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Xylocope moissonnant une tête d'échinops.
Le terme « abeille charpentière », comme son appellation scientifique, provient de son comportement de nidifiction, la quasi totalité des espèces de ce taxon creusant le bois ou le bambou mort afin d'y entreposer leurs œufs. La principale exception est le sous-genre Proxylocopa dont ses espèces creusent des tunnels dans la terre. Cette Abeille est donc plus foreuse que bâtisseuse, son nom de charpentière étant alors quelque peu usurpé. En français, d'autres appellations plus ou moins locales comme « Abeille perce-bois » et « Perceur de bois » décrivent plus précisément ce comportement. Est également utilisée la traduction littérale du nom scientifique « Abeille xylocope » ou « Xylocope ». Par analogie avec les Bourdons et leur vol lourd, ce genre est parfois nommé « Bourdon noir » ou « Bourdon bleu », mais cette terminologie est à éviter car Xylocopa et Bombus sont des Abeilles très différentes, tant par leur morphologie que par leur comportement.
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