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Après avoir fait danser la jeunesse des années 70 jusqu’au comédien Omar Sy dans la scène devenue culte du film « Intouchables », le groupe funky–rock Earth, Wind and Fire, plus vivant que jamais, s’est reformé en une seconde version autour de son guitariste des années 1973 à 1981 : Al McKay. Ce dernier considérant que l’héritage du groupe légendaire lui appartenait autant qu’aux autres membres, il a monté ce qu’il considère comme une « Experience ».
Allez voir ce concert à 360° : www.360images.fr/visites-virtuelles/insolite/earth-wind-f...
Après avoir fait danser la jeunesse des années 70 jusqu’au comédien Omar Sy dans la scène devenue culte du film « Intouchables », le groupe funky–rock Earth, Wind and Fire, plus vivant que jamais, s’est reformé en une seconde version autour de son guitariste des années 1973 à 1981 : Al McKay. Ce dernier considérant que l’héritage du groupe légendaire lui appartenait autant qu’aux autres membres, il a monté ce qu’il considère comme une « Experience ».
Allez voir ce concert à 360° : www.360images.fr/visites-virtuelles/insolite/earth-wind-f...
Welcome to the Jornada del Muerto desert basin of New Mexico where INFINITI celebrated its 30th anniversary of past and present prominence while hinting at a progressive future inclusive of electric mobility. The 30 Years Forward vehicle experience and test drive event with the 2020 fleet --including the venerable QX80s and dashing Red Sports -- was exciting, historical, and entertaining. Once at Spaceport America, we were able to drift AWD Q50 Red Sport 400s and RWD Q60 Red Sport 400s on the dynamic desert course constructed for the festivities.
InTouch Weekly's Icons & Idols Red Carpet following the 2013 MTV Video Music Awards.
(Photo by Evan K. Schmidt/BSD Media)
L'existence de Sanya remonte à la période Edo. A près la terrible famine de 1780, les autorités décidèrent de regrouper les classes sociales inférieures désignées sous le terme eta buraku (en schématisant, les burakumin étaient les "intouchables" du Japon ; ils n'étaient autorisés à travailler que dans l'industrie du cuir ou d'autres activités porteuses d'une forme de "souillure"). Les taboux ancestraux relatifs à la souillure des hinins (non-humains dans le sens "ne faisant pas partie de la communauté) restent encore extrêmement vivaces malgré l'abolition officielle des discriminations au début de l'ère Meiji. Evoquer l'existence des burakumin devant un Japonais est quasiment impossible autant pour des raisons liées à la religin shintoiste que pour des raisons sociales.
Sanya est un yoseba, territoire fermé sur lui-même regroupant une communauté de travailleurs journaliers et de sans-abri (environ 8000 personnes à Sanya, loin derrière le quartier de Kamagasaki à Osaka, premier du Japon). La mafia japonaise contrôlerait la quasi-totalité des sociétés de BTP. Les journaliers (hiyatoi) désirant travailler doivent passer pae un oyakata (marchand de travail), en se faisant racketter au passage. Chaque jour le travailleur est payé en liquide. Les plus de cinquante ans sont à la rue et leur seule solution de survie est le ramassage des canettes en aluminium ou la revente des mangas abandonnés par les voyageurs du métro, à un prix dérisoire.
先輩/後輩 (senpai / kohai) via my Holga 120N.
How to get your Holga to do this. Make sure to prevent light leaks by using rubberbands. Make sure that the rubberbands get in the way of the "picture taking button" so that is fuck up and and give you this effect. I really like the effect, but that is the joy of the Holga. I have since found a different location to place the rubberbands to prevent this in the future.
As for the subjects of this photo:
"I stumbled across these two taking photos near Shibuya Station. I stopped and talked to them for a minute. She is a film student in Tokyo and he is her senpai (wikipedia link). They were very friendly. She took a few photos of me with my cameras. I gave them some propaganda. She gave me her e-mail address so I could get intouch with her to see the photos she took of me. I asked her to write it on the back of a sticker. Silly me, I accidently stuck the sticker she wrote it one and trashed the sticker backing without realizing what I had done until later."
A l’issue de leur première journée au Paris Sevens, les Bleues terminent 1ère de leur poule après un dernier match au coude à coude contre les Etats-Unis. Elles se qualifient ainsi pour le quart de Cup contre l’Angleterre qui aura lieu demain !
Une belle entrée dans le tournoi pour les Bleues ! L’équipe de France n’a laissé aucune pitié aux Espagnoles en s’imposant 20 à 0 dès leur premier match de poule. Les Françaises ont attaqué dès le début avec un premier essai signé Chloé Pelle puis un deuxième dans la foulée par Marjorie Mayans. Une première mi-temps toute à leur avantage à l’image de la seconde avec un magnifique essai de Camille Grassineau après un long rush avant de conclure sur le quatrième essai de Lina Guérin juste avant le gong de fin. « On sent qu’on est bien que rien ne peut nous arriver si on joue ensemble. On essaye vraiment d’être concentré sur notre objectif » explique Chloé Pelle. « Contre l’Espagne, ce n’est jamais facile. Ça a été car on a attaqué vraiment la ligne, les ballons et en jouant notre jeu à fond mais on les connaît très bien et il n’y a jamais de match facile ».
Les Bleues ont poursuivi sur leur lancée en battant le Japon (26–17) pour leur deuxième match de poule. Une fois de plus, l’équipe de France a donné le ton dès la première mi-temps : le Japon n’a pas réussi à résister à l’avancée française qui a terminé les sept premières minutes du match avec trois essais signés Camille Drouin, Fanny Horta et Camille Grassineau. La seconde période a commencé par une course incroyable d’Audrey Ciofani qui est venue aplatir le ballon sans trop de pression. Mais les Japonaises n’ont pas démérité avec une remontée spectaculaire de 17 points en seconde mi-temps et un triplé signé Bativakalolo. Mais cela n’a pas suffi pour battre les Bleues.
USA VS France : l’heure de la revanche ! A Langford, les Etats-Unis avaient volé la 3ème place de la France. Ce soir, ce sont les Bleues qui les ont battues (5–14). Le match s’est joué au coude à coude : les Etats-Unis ont ouvert le score dès la première minute avec un essai signé Lauren Doyle. Mais les Françaises n’ont rien lâché avec un public en feu dans les gradins pour les soutenir et terminent ainsi première de leur poule. Objectif atteint pour le capitaine, Fanny Horta : « On savait que ça allait être un match très compliqué. Les Américaines montrent beaucoup d’agressivité mais on a su répondre présent ! »
Demain, les Bleues joueront le quart de finale de Cup contre l’Angleterre à 16h42. L’état d’esprit de l’équipe après cette première journée : « emmagasiner le positif » et « corriger quelques petites erreurs de précipitations ». « On va aborder le match de demain comme tous nos autres matchs avec l’envie de gagner ! » a conclu Marjorie Mayans.
A l’issue de leur deuxième journée au Paris Sevens, les Bleues ont gagné leur quart mais se sont inclinées en demi-finale face à l’Australie. Malgré tout, les Bleues sont assurées de finir sur le podium des Sevens World Series, une première !
Les Bleues ont commencé cette deuxième journée par un crunch inédit ! Elles ont refait une entrée spectaculaire sur la pelouse de Jean Bouin en ne laissant aucune pitié à leurs adversaires historiques de l’Angleterre (48 – 7) ! Bien que les Anglaises aient été les premières à ouvrir le score dès la première minute de jeu, les Bleues ne leur ont laissé plus aucune occasion de marquer un essai, avec notamment trois magnifiques doublés signés Fanny Horta, Marjorie Mayans et Shannon Izar. « Je pense que ce quart de final est accompli » concède François Duboisset, le manager-adjoint de l’équipe. « Très honnêtement, je pense qu’on a été porté par l’ambiance. C’est la première fois qu’on le vit, qu’on le voit. Aujourd’hui, le public parisien a répondu présent et a été formidable. »
Malgré cette magnifique performance, les Bleues se sont inclinées face aux redoutables Aussies, premières du classement mondial, en demi-finale (21 – 17). Elles n’ont pourtant pas facilité la tâche à leurs adversaires, avec une défense implacable côté français, mais également côté australien. Les Françaises ont tenu jusqu’aux dernières minutes mais les Aussies ont sonné le coup de grâce avec un essai dans les dernières secondes signé Emilee Cherry. Malgré cette défaite, les Bleues n’ont pas démérité : « On n’a pas à rougir de là où on est à l’heure actuelle : il faut se féliciter » Il y a encore un gros match demain. Avec le public, avec notre rage, on a envie de finir sur une belle note ! »
Le Paris Sevens n’est pas fini ! L’équipe peut encore prétendre à la 3ème place du podium : rendez-vous demain à 17h05 pour le match de Bronze Finale contre le Canada !
A l’issue de leur dernière journée au Paris Sevens, les Bleues se sont inclinées en Finale Bronze face aux Canadiennes (10-17). Elles terminent ainsi 4èmes du tournoi et 3èmes des Sevens World Series 2018 pour la première fois !
Elles ont tout donné jusqu’au bout mais les Canadiennes ne les ont pas laissé beaucoup avancer pour marquer. Les Bleues ont résisté en répliquant un nouvel essai à chaque nouvelle attaque de leurs adversaires mais n’ont pas réussi à percer le mur défensif canadien. « Ce sont les aléas du sport » explique Fanny Horta, la capitaine d’équipe. « On a subi une longue séquence défensive. Psychologiquement, faut arriver à reprendre le dessus quand on est sur le terrain. » « On savait que le Canada faisait partie des nations ‘intouchables’ et dans le top 3 mondial » ajoute François Duboisset, manager-adjoint de France 7 Féminines. « L’issue s’est jouée à peu. On est forcément un peu déçu mais on est très heureux de finir sur le podium mondial. C’est une belle performance pour le rugby féminin après le Grand Chelem de l’équipe à XV ! »
Les Bleues n’ont pas à rougir de leur parcours avec un groupe qui n’a cessé d’évoluer depuis le début de la compétition : « On fait un bilan positif de cette saison » s’enthousiasme Fanny Horta. « Chapeau aux jeunes qui nous ont rejoint et se sont très vite adaptées à notre jeu. Le groupe vit très bien ensemble. On se force à se surpasser et c’est ce qui nous pousse à être là où on est aujourd’hui. »
Prochaine étape : la Coupe du Monde de Rugby à 7 qui se déroulera au mois de juillet à San Francisco. L’équipe va couper un peu avant d’entamer une phase de préparation physique pour la compétition. « Notre objectif pour cette Coupe du Monde, c’est de grimper ! Chaque match est éliminatoire, donc il ne faudra pas les prendre à la légère et imposer notre jeu contre tous nos adversaires » conclu Marjorie Mayans.
Match de finale (7ème place) : Espagne 5 – 33 Angleterre
Match de finale (5ème place) : Etats-Unis 28 – 7 Fidji
Bronze Finale : Canada 17 – 10 France
Cup Finale : Nouvelle-Zélande 33 – 7 Australie
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Espagne 24-19 (mi-temps : 10-0)
France : 4 essais Pelle (2), Mayans (4), Grassineau (13), Tremoulière (15)
Espagne : -
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Izar, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (12), Torres Duxans (14), Guerin (10), Ciofani (10), Sainlo (14)
ESPAGNE : Ribera, Bravo, Martinez Garcia, Echebarria, Garcia, Pla (cap), Casado
Entrées en jeu : Bueso Gonez (7), Erbina (7), Fresneda (10)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Japon 26-17 (mi-temps : 19-0)
France : 4 essais Drouin (1), Horta (3), Grassineau (6), Ciofani (7) transformations Drouin (1, 4), Izar (7)
Japon : 3 essais Bativakalolo (11, 13, 15)
FRANCE : Izar, Mayans, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (9), Torres Duxans (11), Ciofani (6), Sainlo (8)
JAPON : Nagata, Okuroda, Tateyama, Nakamura (cap), Taniguchi, Hirano, Tanaka
Entrées en jeu : Koide (7), Bativakalolo (11), Kuwai (7), Suzuki (9), Otake (8)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat USA 14-5 (mi-temps : 0-5)
France : 2 essais Pelle (8), Grassineau (13) 2 transformations Drouin (9), Izar (14)
USA : 1 essai Doyle (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Guerin, Drouin, Bertrand
Entrées en jeu : Tremoulière (14), Izar (9), Ciofani (8)
USA : Gray, Gustaitis, Carlyle, Doyle, Heavirland (cap), Kelter, Tapper
Entrées en jeu : Thomas (9), Emba (7), Canett (15), Fa’avesi (11), Maher (11)
QUART DE FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Angleterre (48 - 7)
France : 8 essais Horta (3, 6), Mayans (7, 9), Ciofani (10), Drouin (12), Izar (13, 15), 4 transformations Drouin (6, 9, 13, 15)
Angleterre : 1 essai Fleming (1), 1 transformation McKenna (1)
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta, Drouin, Grassineau, Izar, Guerin
Entrées en jeu : Torres Duxans (11), Bertrand (6), Ciofani (7), Sainlo (13)
ANGLETERRE : Fisher, Scarratt, Matthews, McKenna, Scott, Brown (cap), Fleming
Entrées en jeu : Wilson Hardy (6), Fleetwood (11), Wood (11), Aitchison (9), Allan (9)
DEMI-FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Australie (21 - 17)
France : 3 essais Horta (8), Mayans (10), Pelle (12), 1 transformation Drouin (10)
Australie : 3 essais Du Toit (3), Cherry (6, 14), 3 transformations (3, 7, 14)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Bertrand (9), Ciofani (9)
AUSTRALIE : Hayes, Pelite, Tonegato, Cherry, Sykes, Du Toit, Caslick (cap)
Entrées en jeu : Parry (5), Meakes (12)
FINALE BRONZE - Dimanche 10 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), Canada – France 17-10 (mi-temps : 12 - 10)
France : 2 essais Guerin (6), Izar (7)
Canada : 3 essais Landry (1), Williams (4), Farella (9) 1 transformation Landry (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (13), Torres-Duxans (13), Bertrand (10), Ciofani (10), Sainlo (10)
CANADA : Crossley, Williams, Buisa, Farella, Benn, Landry, Moleschi
Entrées en jeu : Watcham-Roy (7), Nicholas (10), Darling (7)
A l’issue de leur première journée au Paris Sevens, les Bleues terminent 1ère de leur poule après un dernier match au coude à coude contre les Etats-Unis. Elles se qualifient ainsi pour le quart de Cup contre l’Angleterre qui aura lieu demain !
Une belle entrée dans le tournoi pour les Bleues ! L’équipe de France n’a laissé aucune pitié aux Espagnoles en s’imposant 20 à 0 dès leur premier match de poule. Les Françaises ont attaqué dès le début avec un premier essai signé Chloé Pelle puis un deuxième dans la foulée par Marjorie Mayans. Une première mi-temps toute à leur avantage à l’image de la seconde avec un magnifique essai de Camille Grassineau après un long rush avant de conclure sur le quatrième essai de Lina Guérin juste avant le gong de fin. « On sent qu’on est bien que rien ne peut nous arriver si on joue ensemble. On essaye vraiment d’être concentré sur notre objectif » explique Chloé Pelle. « Contre l’Espagne, ce n’est jamais facile. Ça a été car on a attaqué vraiment la ligne, les ballons et en jouant notre jeu à fond mais on les connaît très bien et il n’y a jamais de match facile ».
Les Bleues ont poursuivi sur leur lancée en battant le Japon (26–17) pour leur deuxième match de poule. Une fois de plus, l’équipe de France a donné le ton dès la première mi-temps : le Japon n’a pas réussi à résister à l’avancée française qui a terminé les sept premières minutes du match avec trois essais signés Camille Drouin, Fanny Horta et Camille Grassineau. La seconde période a commencé par une course incroyable d’Audrey Ciofani qui est venue aplatir le ballon sans trop de pression. Mais les Japonaises n’ont pas démérité avec une remontée spectaculaire de 17 points en seconde mi-temps et un triplé signé Bativakalolo. Mais cela n’a pas suffi pour battre les Bleues.
USA VS France : l’heure de la revanche ! A Langford, les Etats-Unis avaient volé la 3ème place de la France. Ce soir, ce sont les Bleues qui les ont battues (5–14). Le match s’est joué au coude à coude : les Etats-Unis ont ouvert le score dès la première minute avec un essai signé Lauren Doyle. Mais les Françaises n’ont rien lâché avec un public en feu dans les gradins pour les soutenir et terminent ainsi première de leur poule. Objectif atteint pour le capitaine, Fanny Horta : « On savait que ça allait être un match très compliqué. Les Américaines montrent beaucoup d’agressivité mais on a su répondre présent ! »
Demain, les Bleues joueront le quart de finale de Cup contre l’Angleterre à 16h42. L’état d’esprit de l’équipe après cette première journée : « emmagasiner le positif » et « corriger quelques petites erreurs de précipitations ». « On va aborder le match de demain comme tous nos autres matchs avec l’envie de gagner ! » a conclu Marjorie Mayans.
A l’issue de leur deuxième journée au Paris Sevens, les Bleues ont gagné leur quart mais se sont inclinées en demi-finale face à l’Australie. Malgré tout, les Bleues sont assurées de finir sur le podium des Sevens World Series, une première !
Les Bleues ont commencé cette deuxième journée par un crunch inédit ! Elles ont refait une entrée spectaculaire sur la pelouse de Jean Bouin en ne laissant aucune pitié à leurs adversaires historiques de l’Angleterre (48 – 7) ! Bien que les Anglaises aient été les premières à ouvrir le score dès la première minute de jeu, les Bleues ne leur ont laissé plus aucune occasion de marquer un essai, avec notamment trois magnifiques doublés signés Fanny Horta, Marjorie Mayans et Shannon Izar. « Je pense que ce quart de final est accompli » concède François Duboisset, le manager-adjoint de l’équipe. « Très honnêtement, je pense qu’on a été porté par l’ambiance. C’est la première fois qu’on le vit, qu’on le voit. Aujourd’hui, le public parisien a répondu présent et a été formidable. »
Malgré cette magnifique performance, les Bleues se sont inclinées face aux redoutables Aussies, premières du classement mondial, en demi-finale (21 – 17). Elles n’ont pourtant pas facilité la tâche à leurs adversaires, avec une défense implacable côté français, mais également côté australien. Les Françaises ont tenu jusqu’aux dernières minutes mais les Aussies ont sonné le coup de grâce avec un essai dans les dernières secondes signé Emilee Cherry. Malgré cette défaite, les Bleues n’ont pas démérité : « On n’a pas à rougir de là où on est à l’heure actuelle : il faut se féliciter » Il y a encore un gros match demain. Avec le public, avec notre rage, on a envie de finir sur une belle note ! »
Le Paris Sevens n’est pas fini ! L’équipe peut encore prétendre à la 3ème place du podium : rendez-vous demain à 17h05 pour le match de Bronze Finale contre le Canada !
A l’issue de leur dernière journée au Paris Sevens, les Bleues se sont inclinées en Finale Bronze face aux Canadiennes (10-17). Elles terminent ainsi 4èmes du tournoi et 3èmes des Sevens World Series 2018 pour la première fois !
Elles ont tout donné jusqu’au bout mais les Canadiennes ne les ont pas laissé beaucoup avancer pour marquer. Les Bleues ont résisté en répliquant un nouvel essai à chaque nouvelle attaque de leurs adversaires mais n’ont pas réussi à percer le mur défensif canadien. « Ce sont les aléas du sport » explique Fanny Horta, la capitaine d’équipe. « On a subi une longue séquence défensive. Psychologiquement, faut arriver à reprendre le dessus quand on est sur le terrain. » « On savait que le Canada faisait partie des nations ‘intouchables’ et dans le top 3 mondial » ajoute François Duboisset, manager-adjoint de France 7 Féminines. « L’issue s’est jouée à peu. On est forcément un peu déçu mais on est très heureux de finir sur le podium mondial. C’est une belle performance pour le rugby féminin après le Grand Chelem de l’équipe à XV ! »
Les Bleues n’ont pas à rougir de leur parcours avec un groupe qui n’a cessé d’évoluer depuis le début de la compétition : « On fait un bilan positif de cette saison » s’enthousiasme Fanny Horta. « Chapeau aux jeunes qui nous ont rejoint et se sont très vite adaptées à notre jeu. Le groupe vit très bien ensemble. On se force à se surpasser et c’est ce qui nous pousse à être là où on est aujourd’hui. »
Prochaine étape : la Coupe du Monde de Rugby à 7 qui se déroulera au mois de juillet à San Francisco. L’équipe va couper un peu avant d’entamer une phase de préparation physique pour la compétition. « Notre objectif pour cette Coupe du Monde, c’est de grimper ! Chaque match est éliminatoire, donc il ne faudra pas les prendre à la légère et imposer notre jeu contre tous nos adversaires » conclu Marjorie Mayans.
Match de finale (7ème place) : Espagne 5 – 33 Angleterre
Match de finale (5ème place) : Etats-Unis 28 – 7 Fidji
Bronze Finale : Canada 17 – 10 France
Cup Finale : Nouvelle-Zélande 33 – 7 Australie
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Espagne 24-19 (mi-temps : 10-0)
France : 4 essais Pelle (2), Mayans (4), Grassineau (13), Tremoulière (15)
Espagne : -
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Izar, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (12), Torres Duxans (14), Guerin (10), Ciofani (10), Sainlo (14)
ESPAGNE : Ribera, Bravo, Martinez Garcia, Echebarria, Garcia, Pla (cap), Casado
Entrées en jeu : Bueso Gonez (7), Erbina (7), Fresneda (10)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Japon 26-17 (mi-temps : 19-0)
France : 4 essais Drouin (1), Horta (3), Grassineau (6), Ciofani (7) transformations Drouin (1, 4), Izar (7)
Japon : 3 essais Bativakalolo (11, 13, 15)
FRANCE : Izar, Mayans, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (9), Torres Duxans (11), Ciofani (6), Sainlo (8)
JAPON : Nagata, Okuroda, Tateyama, Nakamura (cap), Taniguchi, Hirano, Tanaka
Entrées en jeu : Koide (7), Bativakalolo (11), Kuwai (7), Suzuki (9), Otake (8)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat USA 14-5 (mi-temps : 0-5)
France : 2 essais Pelle (8), Grassineau (13) 2 transformations Drouin (9), Izar (14)
USA : 1 essai Doyle (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Guerin, Drouin, Bertrand
Entrées en jeu : Tremoulière (14), Izar (9), Ciofani (8)
USA : Gray, Gustaitis, Carlyle, Doyle, Heavirland (cap), Kelter, Tapper
Entrées en jeu : Thomas (9), Emba (7), Canett (15), Fa’avesi (11), Maher (11)
QUART DE FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Angleterre (48 - 7)
France : 8 essais Horta (3, 6), Mayans (7, 9), Ciofani (10), Drouin (12), Izar (13, 15), 4 transformations Drouin (6, 9, 13, 15)
Angleterre : 1 essai Fleming (1), 1 transformation McKenna (1)
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta, Drouin, Grassineau, Izar, Guerin
Entrées en jeu : Torres Duxans (11), Bertrand (6), Ciofani (7), Sainlo (13)
ANGLETERRE : Fisher, Scarratt, Matthews, McKenna, Scott, Brown (cap), Fleming
Entrées en jeu : Wilson Hardy (6), Fleetwood (11), Wood (11), Aitchison (9), Allan (9)
DEMI-FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Australie (21 - 17)
France : 3 essais Horta (8), Mayans (10), Pelle (12), 1 transformation Drouin (10)
Australie : 3 essais Du Toit (3), Cherry (6, 14), 3 transformations (3, 7, 14)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Bertrand (9), Ciofani (9)
AUSTRALIE : Hayes, Pelite, Tonegato, Cherry, Sykes, Du Toit, Caslick (cap)
Entrées en jeu : Parry (5), Meakes (12)
FINALE BRONZE - Dimanche 10 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), Canada – France 17-10 (mi-temps : 12 - 10)
France : 2 essais Guerin (6), Izar (7)
Canada : 3 essais Landry (1), Williams (4), Farella (9) 1 transformation Landry (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (13), Torres-Duxans (13), Bertrand (10), Ciofani (10), Sainlo (10)
CANADA : Crossley, Williams, Buisa, Farella, Benn, Landry, Moleschi
Entrées en jeu : Watcham-Roy (7), Nicholas (10), Darling (7)
View large and on black.
There is, to me at least, such wonderful significance of red doors on churches. It reminds me of the red cord with which Rahab saved her family (and then ended up in the lineage of Christ as the mother-in-law of Ruth and great-grandmother of King David); the Passover, when blood of lambs being used to paint the Jews' doorways to protect them from God's wrath; the red cord on the Temple doors turning to white once the scapegoat was taken away; the curtain of the Holy of Holies being torn from top to bottom.
It's such simple but powerful symbolism - and a reminder that with His death and by His blood, we can speak directly to God and appear before our Creator as pure as Jesus Himself.
Door of Trinity Episcopal Cathedral in downtown Pittsburgh.
InTouch Weekly's Icons & Idols Red Carpet following the 2013 MTV Video Music Awards.
(Photo by Evan K. Schmidt/BSD Media)
Ashley Tisdale runs errands near her Los Angeles home Tuesday July 22. Tisdale's first stop was at the nail salon, where she caught up on the news in InStyle and InTouch while getting her nails done. Tisdale then got her sneakers out and went to the gym. On her way home, she slipped into her Nike slides and stopped by a clothing store where she picked up a new top.
CR: SLY/Fame Pictures
07/22/2008 --- Ashley Tisdale --- (C) 2008 Fame Pictures, Inc. - Santa Monica, CA, U.S.A - 310-395-0500 / Sales: 310-395-0500
Après avoir fait danser la jeunesse des années 70 jusqu’au comédien Omar Sy dans la scène devenue culte du film « Intouchables », le groupe funky–rock Earth, Wind and Fire, plus vivant que jamais, s’est reformé en une seconde version autour de son guitariste des années 1973 à 1981 : Al McKay. Ce dernier considérant que l’héritage du groupe légendaire lui appartenait autant qu’aux autres membres, il a monté ce qu’il considère comme une « Experience ».
Allez voir ce concert à 360° : www.360images.fr/visites-virtuelles/insolite/earth-wind-f...
People Magazine profiles the New Jersey and OC Housewives under the headline "All Our Nips and Tucks!"
Ramona Singer says she gets VelaSmooth for her cellulite and Kim Zolciak mentions that she gets VelaShape to smooth her cellulite.
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A l’issue de leur première journée au Paris Sevens, les Bleues terminent 1ère de leur poule après un dernier match au coude à coude contre les Etats-Unis. Elles se qualifient ainsi pour le quart de Cup contre l’Angleterre qui aura lieu demain !
Une belle entrée dans le tournoi pour les Bleues ! L’équipe de France n’a laissé aucune pitié aux Espagnoles en s’imposant 20 à 0 dès leur premier match de poule. Les Françaises ont attaqué dès le début avec un premier essai signé Chloé Pelle puis un deuxième dans la foulée par Marjorie Mayans. Une première mi-temps toute à leur avantage à l’image de la seconde avec un magnifique essai de Camille Grassineau après un long rush avant de conclure sur le quatrième essai de Lina Guérin juste avant le gong de fin. « On sent qu’on est bien que rien ne peut nous arriver si on joue ensemble. On essaye vraiment d’être concentré sur notre objectif » explique Chloé Pelle. « Contre l’Espagne, ce n’est jamais facile. Ça a été car on a attaqué vraiment la ligne, les ballons et en jouant notre jeu à fond mais on les connaît très bien et il n’y a jamais de match facile ».
Les Bleues ont poursuivi sur leur lancée en battant le Japon (26–17) pour leur deuxième match de poule. Une fois de plus, l’équipe de France a donné le ton dès la première mi-temps : le Japon n’a pas réussi à résister à l’avancée française qui a terminé les sept premières minutes du match avec trois essais signés Camille Drouin, Fanny Horta et Camille Grassineau. La seconde période a commencé par une course incroyable d’Audrey Ciofani qui est venue aplatir le ballon sans trop de pression. Mais les Japonaises n’ont pas démérité avec une remontée spectaculaire de 17 points en seconde mi-temps et un triplé signé Bativakalolo. Mais cela n’a pas suffi pour battre les Bleues.
USA VS France : l’heure de la revanche ! A Langford, les Etats-Unis avaient volé la 3ème place de la France. Ce soir, ce sont les Bleues qui les ont battues (5–14). Le match s’est joué au coude à coude : les Etats-Unis ont ouvert le score dès la première minute avec un essai signé Lauren Doyle. Mais les Françaises n’ont rien lâché avec un public en feu dans les gradins pour les soutenir et terminent ainsi première de leur poule. Objectif atteint pour le capitaine, Fanny Horta : « On savait que ça allait être un match très compliqué. Les Américaines montrent beaucoup d’agressivité mais on a su répondre présent ! »
Demain, les Bleues joueront le quart de finale de Cup contre l’Angleterre à 16h42. L’état d’esprit de l’équipe après cette première journée : « emmagasiner le positif » et « corriger quelques petites erreurs de précipitations ». « On va aborder le match de demain comme tous nos autres matchs avec l’envie de gagner ! » a conclu Marjorie Mayans.
A l’issue de leur deuxième journée au Paris Sevens, les Bleues ont gagné leur quart mais se sont inclinées en demi-finale face à l’Australie. Malgré tout, les Bleues sont assurées de finir sur le podium des Sevens World Series, une première !
Les Bleues ont commencé cette deuxième journée par un crunch inédit ! Elles ont refait une entrée spectaculaire sur la pelouse de Jean Bouin en ne laissant aucune pitié à leurs adversaires historiques de l’Angleterre (48 – 7) ! Bien que les Anglaises aient été les premières à ouvrir le score dès la première minute de jeu, les Bleues ne leur ont laissé plus aucune occasion de marquer un essai, avec notamment trois magnifiques doublés signés Fanny Horta, Marjorie Mayans et Shannon Izar. « Je pense que ce quart de final est accompli » concède François Duboisset, le manager-adjoint de l’équipe. « Très honnêtement, je pense qu’on a été porté par l’ambiance. C’est la première fois qu’on le vit, qu’on le voit. Aujourd’hui, le public parisien a répondu présent et a été formidable. »
Malgré cette magnifique performance, les Bleues se sont inclinées face aux redoutables Aussies, premières du classement mondial, en demi-finale (21 – 17). Elles n’ont pourtant pas facilité la tâche à leurs adversaires, avec une défense implacable côté français, mais également côté australien. Les Françaises ont tenu jusqu’aux dernières minutes mais les Aussies ont sonné le coup de grâce avec un essai dans les dernières secondes signé Emilee Cherry. Malgré cette défaite, les Bleues n’ont pas démérité : « On n’a pas à rougir de là où on est à l’heure actuelle : il faut se féliciter » Il y a encore un gros match demain. Avec le public, avec notre rage, on a envie de finir sur une belle note ! »
Le Paris Sevens n’est pas fini ! L’équipe peut encore prétendre à la 3ème place du podium : rendez-vous demain à 17h05 pour le match de Bronze Finale contre le Canada !
A l’issue de leur dernière journée au Paris Sevens, les Bleues se sont inclinées en Finale Bronze face aux Canadiennes (10-17). Elles terminent ainsi 4èmes du tournoi et 3èmes des Sevens World Series 2018 pour la première fois !
Elles ont tout donné jusqu’au bout mais les Canadiennes ne les ont pas laissé beaucoup avancer pour marquer. Les Bleues ont résisté en répliquant un nouvel essai à chaque nouvelle attaque de leurs adversaires mais n’ont pas réussi à percer le mur défensif canadien. « Ce sont les aléas du sport » explique Fanny Horta, la capitaine d’équipe. « On a subi une longue séquence défensive. Psychologiquement, faut arriver à reprendre le dessus quand on est sur le terrain. » « On savait que le Canada faisait partie des nations ‘intouchables’ et dans le top 3 mondial » ajoute François Duboisset, manager-adjoint de France 7 Féminines. « L’issue s’est jouée à peu. On est forcément un peu déçu mais on est très heureux de finir sur le podium mondial. C’est une belle performance pour le rugby féminin après le Grand Chelem de l’équipe à XV ! »
Les Bleues n’ont pas à rougir de leur parcours avec un groupe qui n’a cessé d’évoluer depuis le début de la compétition : « On fait un bilan positif de cette saison » s’enthousiasme Fanny Horta. « Chapeau aux jeunes qui nous ont rejoint et se sont très vite adaptées à notre jeu. Le groupe vit très bien ensemble. On se force à se surpasser et c’est ce qui nous pousse à être là où on est aujourd’hui. »
Prochaine étape : la Coupe du Monde de Rugby à 7 qui se déroulera au mois de juillet à San Francisco. L’équipe va couper un peu avant d’entamer une phase de préparation physique pour la compétition. « Notre objectif pour cette Coupe du Monde, c’est de grimper ! Chaque match est éliminatoire, donc il ne faudra pas les prendre à la légère et imposer notre jeu contre tous nos adversaires » conclu Marjorie Mayans.
Match de finale (7ème place) : Espagne 5 – 33 Angleterre
Match de finale (5ème place) : Etats-Unis 28 – 7 Fidji
Bronze Finale : Canada 17 – 10 France
Cup Finale : Nouvelle-Zélande 33 – 7 Australie
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Espagne 24-19 (mi-temps : 10-0)
France : 4 essais Pelle (2), Mayans (4), Grassineau (13), Tremoulière (15)
Espagne : -
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Izar, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (12), Torres Duxans (14), Guerin (10), Ciofani (10), Sainlo (14)
ESPAGNE : Ribera, Bravo, Martinez Garcia, Echebarria, Garcia, Pla (cap), Casado
Entrées en jeu : Bueso Gonez (7), Erbina (7), Fresneda (10)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Japon 26-17 (mi-temps : 19-0)
France : 4 essais Drouin (1), Horta (3), Grassineau (6), Ciofani (7) transformations Drouin (1, 4), Izar (7)
Japon : 3 essais Bativakalolo (11, 13, 15)
FRANCE : Izar, Mayans, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (9), Torres Duxans (11), Ciofani (6), Sainlo (8)
JAPON : Nagata, Okuroda, Tateyama, Nakamura (cap), Taniguchi, Hirano, Tanaka
Entrées en jeu : Koide (7), Bativakalolo (11), Kuwai (7), Suzuki (9), Otake (8)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat USA 14-5 (mi-temps : 0-5)
France : 2 essais Pelle (8), Grassineau (13) 2 transformations Drouin (9), Izar (14)
USA : 1 essai Doyle (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Guerin, Drouin, Bertrand
Entrées en jeu : Tremoulière (14), Izar (9), Ciofani (8)
USA : Gray, Gustaitis, Carlyle, Doyle, Heavirland (cap), Kelter, Tapper
Entrées en jeu : Thomas (9), Emba (7), Canett (15), Fa’avesi (11), Maher (11)
QUART DE FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Angleterre (48 - 7)
France : 8 essais Horta (3, 6), Mayans (7, 9), Ciofani (10), Drouin (12), Izar (13, 15), 4 transformations Drouin (6, 9, 13, 15)
Angleterre : 1 essai Fleming (1), 1 transformation McKenna (1)
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta, Drouin, Grassineau, Izar, Guerin
Entrées en jeu : Torres Duxans (11), Bertrand (6), Ciofani (7), Sainlo (13)
ANGLETERRE : Fisher, Scarratt, Matthews, McKenna, Scott, Brown (cap), Fleming
Entrées en jeu : Wilson Hardy (6), Fleetwood (11), Wood (11), Aitchison (9), Allan (9)
DEMI-FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Australie (21 - 17)
France : 3 essais Horta (8), Mayans (10), Pelle (12), 1 transformation Drouin (10)
Australie : 3 essais Du Toit (3), Cherry (6, 14), 3 transformations (3, 7, 14)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Bertrand (9), Ciofani (9)
AUSTRALIE : Hayes, Pelite, Tonegato, Cherry, Sykes, Du Toit, Caslick (cap)
Entrées en jeu : Parry (5), Meakes (12)
FINALE BRONZE - Dimanche 10 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), Canada – France 17-10 (mi-temps : 12 - 10)
France : 2 essais Guerin (6), Izar (7)
Canada : 3 essais Landry (1), Williams (4), Farella (9) 1 transformation Landry (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (13), Torres-Duxans (13), Bertrand (10), Ciofani (10), Sainlo (10)
CANADA : Crossley, Williams, Buisa, Farella, Benn, Landry, Moleschi
Entrées en jeu : Watcham-Roy (7), Nicholas (10), Darling (7)
How does our vanity fare? According to a survey by American Laser Centers men and women agree when it comes to naming their favorite and least favorite body parts: faces win and abs lose!
American Laser Centers
1-877.252.8803
A l’issue de leur première journée au Paris Sevens, les Bleues terminent 1ère de leur poule après un dernier match au coude à coude contre les Etats-Unis. Elles se qualifient ainsi pour le quart de Cup contre l’Angleterre qui aura lieu demain !
Une belle entrée dans le tournoi pour les Bleues ! L’équipe de France n’a laissé aucune pitié aux Espagnoles en s’imposant 20 à 0 dès leur premier match de poule. Les Françaises ont attaqué dès le début avec un premier essai signé Chloé Pelle puis un deuxième dans la foulée par Marjorie Mayans. Une première mi-temps toute à leur avantage à l’image de la seconde avec un magnifique essai de Camille Grassineau après un long rush avant de conclure sur le quatrième essai de Lina Guérin juste avant le gong de fin. « On sent qu’on est bien que rien ne peut nous arriver si on joue ensemble. On essaye vraiment d’être concentré sur notre objectif » explique Chloé Pelle. « Contre l’Espagne, ce n’est jamais facile. Ça a été car on a attaqué vraiment la ligne, les ballons et en jouant notre jeu à fond mais on les connaît très bien et il n’y a jamais de match facile ».
Les Bleues ont poursuivi sur leur lancée en battant le Japon (26–17) pour leur deuxième match de poule. Une fois de plus, l’équipe de France a donné le ton dès la première mi-temps : le Japon n’a pas réussi à résister à l’avancée française qui a terminé les sept premières minutes du match avec trois essais signés Camille Drouin, Fanny Horta et Camille Grassineau. La seconde période a commencé par une course incroyable d’Audrey Ciofani qui est venue aplatir le ballon sans trop de pression. Mais les Japonaises n’ont pas démérité avec une remontée spectaculaire de 17 points en seconde mi-temps et un triplé signé Bativakalolo. Mais cela n’a pas suffi pour battre les Bleues.
USA VS France : l’heure de la revanche ! A Langford, les Etats-Unis avaient volé la 3ème place de la France. Ce soir, ce sont les Bleues qui les ont battues (5–14). Le match s’est joué au coude à coude : les Etats-Unis ont ouvert le score dès la première minute avec un essai signé Lauren Doyle. Mais les Françaises n’ont rien lâché avec un public en feu dans les gradins pour les soutenir et terminent ainsi première de leur poule. Objectif atteint pour le capitaine, Fanny Horta : « On savait que ça allait être un match très compliqué. Les Américaines montrent beaucoup d’agressivité mais on a su répondre présent ! »
Demain, les Bleues joueront le quart de finale de Cup contre l’Angleterre à 16h42. L’état d’esprit de l’équipe après cette première journée : « emmagasiner le positif » et « corriger quelques petites erreurs de précipitations ». « On va aborder le match de demain comme tous nos autres matchs avec l’envie de gagner ! » a conclu Marjorie Mayans.
A l’issue de leur deuxième journée au Paris Sevens, les Bleues ont gagné leur quart mais se sont inclinées en demi-finale face à l’Australie. Malgré tout, les Bleues sont assurées de finir sur le podium des Sevens World Series, une première !
Les Bleues ont commencé cette deuxième journée par un crunch inédit ! Elles ont refait une entrée spectaculaire sur la pelouse de Jean Bouin en ne laissant aucune pitié à leurs adversaires historiques de l’Angleterre (48 – 7) ! Bien que les Anglaises aient été les premières à ouvrir le score dès la première minute de jeu, les Bleues ne leur ont laissé plus aucune occasion de marquer un essai, avec notamment trois magnifiques doublés signés Fanny Horta, Marjorie Mayans et Shannon Izar. « Je pense que ce quart de final est accompli » concède François Duboisset, le manager-adjoint de l’équipe. « Très honnêtement, je pense qu’on a été porté par l’ambiance. C’est la première fois qu’on le vit, qu’on le voit. Aujourd’hui, le public parisien a répondu présent et a été formidable. »
Malgré cette magnifique performance, les Bleues se sont inclinées face aux redoutables Aussies, premières du classement mondial, en demi-finale (21 – 17). Elles n’ont pourtant pas facilité la tâche à leurs adversaires, avec une défense implacable côté français, mais également côté australien. Les Françaises ont tenu jusqu’aux dernières minutes mais les Aussies ont sonné le coup de grâce avec un essai dans les dernières secondes signé Emilee Cherry. Malgré cette défaite, les Bleues n’ont pas démérité : « On n’a pas à rougir de là où on est à l’heure actuelle : il faut se féliciter » Il y a encore un gros match demain. Avec le public, avec notre rage, on a envie de finir sur une belle note ! »
Le Paris Sevens n’est pas fini ! L’équipe peut encore prétendre à la 3ème place du podium : rendez-vous demain à 17h05 pour le match de Bronze Finale contre le Canada !
A l’issue de leur dernière journée au Paris Sevens, les Bleues se sont inclinées en Finale Bronze face aux Canadiennes (10-17). Elles terminent ainsi 4èmes du tournoi et 3èmes des Sevens World Series 2018 pour la première fois !
Elles ont tout donné jusqu’au bout mais les Canadiennes ne les ont pas laissé beaucoup avancer pour marquer. Les Bleues ont résisté en répliquant un nouvel essai à chaque nouvelle attaque de leurs adversaires mais n’ont pas réussi à percer le mur défensif canadien. « Ce sont les aléas du sport » explique Fanny Horta, la capitaine d’équipe. « On a subi une longue séquence défensive. Psychologiquement, faut arriver à reprendre le dessus quand on est sur le terrain. » « On savait que le Canada faisait partie des nations ‘intouchables’ et dans le top 3 mondial » ajoute François Duboisset, manager-adjoint de France 7 Féminines. « L’issue s’est jouée à peu. On est forcément un peu déçu mais on est très heureux de finir sur le podium mondial. C’est une belle performance pour le rugby féminin après le Grand Chelem de l’équipe à XV ! »
Les Bleues n’ont pas à rougir de leur parcours avec un groupe qui n’a cessé d’évoluer depuis le début de la compétition : « On fait un bilan positif de cette saison » s’enthousiasme Fanny Horta. « Chapeau aux jeunes qui nous ont rejoint et se sont très vite adaptées à notre jeu. Le groupe vit très bien ensemble. On se force à se surpasser et c’est ce qui nous pousse à être là où on est aujourd’hui. »
Prochaine étape : la Coupe du Monde de Rugby à 7 qui se déroulera au mois de juillet à San Francisco. L’équipe va couper un peu avant d’entamer une phase de préparation physique pour la compétition. « Notre objectif pour cette Coupe du Monde, c’est de grimper ! Chaque match est éliminatoire, donc il ne faudra pas les prendre à la légère et imposer notre jeu contre tous nos adversaires » conclu Marjorie Mayans.
Match de finale (7ème place) : Espagne 5 – 33 Angleterre
Match de finale (5ème place) : Etats-Unis 28 – 7 Fidji
Bronze Finale : Canada 17 – 10 France
Cup Finale : Nouvelle-Zélande 33 – 7 Australie
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Espagne 24-19 (mi-temps : 10-0)
France : 4 essais Pelle (2), Mayans (4), Grassineau (13), Tremoulière (15)
Espagne : -
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Izar, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (12), Torres Duxans (14), Guerin (10), Ciofani (10), Sainlo (14)
ESPAGNE : Ribera, Bravo, Martinez Garcia, Echebarria, Garcia, Pla (cap), Casado
Entrées en jeu : Bueso Gonez (7), Erbina (7), Fresneda (10)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Japon 26-17 (mi-temps : 19-0)
France : 4 essais Drouin (1), Horta (3), Grassineau (6), Ciofani (7) transformations Drouin (1, 4), Izar (7)
Japon : 3 essais Bativakalolo (11, 13, 15)
FRANCE : Izar, Mayans, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (9), Torres Duxans (11), Ciofani (6), Sainlo (8)
JAPON : Nagata, Okuroda, Tateyama, Nakamura (cap), Taniguchi, Hirano, Tanaka
Entrées en jeu : Koide (7), Bativakalolo (11), Kuwai (7), Suzuki (9), Otake (8)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat USA 14-5 (mi-temps : 0-5)
France : 2 essais Pelle (8), Grassineau (13) 2 transformations Drouin (9), Izar (14)
USA : 1 essai Doyle (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Guerin, Drouin, Bertrand
Entrées en jeu : Tremoulière (14), Izar (9), Ciofani (8)
USA : Gray, Gustaitis, Carlyle, Doyle, Heavirland (cap), Kelter, Tapper
Entrées en jeu : Thomas (9), Emba (7), Canett (15), Fa’avesi (11), Maher (11)
QUART DE FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Angleterre (48 - 7)
France : 8 essais Horta (3, 6), Mayans (7, 9), Ciofani (10), Drouin (12), Izar (13, 15), 4 transformations Drouin (6, 9, 13, 15)
Angleterre : 1 essai Fleming (1), 1 transformation McKenna (1)
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta, Drouin, Grassineau, Izar, Guerin
Entrées en jeu : Torres Duxans (11), Bertrand (6), Ciofani (7), Sainlo (13)
ANGLETERRE : Fisher, Scarratt, Matthews, McKenna, Scott, Brown (cap), Fleming
Entrées en jeu : Wilson Hardy (6), Fleetwood (11), Wood (11), Aitchison (9), Allan (9)
DEMI-FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Australie (21 - 17)
France : 3 essais Horta (8), Mayans (10), Pelle (12), 1 transformation Drouin (10)
Australie : 3 essais Du Toit (3), Cherry (6, 14), 3 transformations (3, 7, 14)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Bertrand (9), Ciofani (9)
AUSTRALIE : Hayes, Pelite, Tonegato, Cherry, Sykes, Du Toit, Caslick (cap)
Entrées en jeu : Parry (5), Meakes (12)
FINALE BRONZE - Dimanche 10 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), Canada – France 17-10 (mi-temps : 12 - 10)
France : 2 essais Guerin (6), Izar (7)
Canada : 3 essais Landry (1), Williams (4), Farella (9) 1 transformation Landry (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (13), Torres-Duxans (13), Bertrand (10), Ciofani (10), Sainlo (10)
CANADA : Crossley, Williams, Buisa, Farella, Benn, Landry, Moleschi
Entrées en jeu : Watcham-Roy (7), Nicholas (10), Darling (7)
InTouch Weekly's Icons & Idols Red Carpet following the 2013 MTV Video Music Awards.
(Photo by Evan K. Schmidt/BSD Media)
Un concours d’architecture fut organisé et la conception d’un nouveau bâtiment, annexe de l’habitation du gouverneur (l’Hôtel) fut confiée à Henri Beyaert (1823 – 1894) et à Wynand Janssens (1827 – 1913).
Les travaux furent entamés à la fin de 1860, mais ce n’est qu’en 1865 que les premiers services emménagèrent dans les nouveaux bureaux. La décoration ne fut terminée qu’en 1874. (site du musée)
Henri (ou Hendrik) Beyaert, né le 29 juillet 1823 à Courtrai et mort le 22 janvier 1894 à Bruxelles, est un architecte belge, et l'un des principaux représentants de l’architecture éclectique en Belgique.
Henri Beyaert se découvre une vocation pour l’architecture à l’âge de 19 ans, alors qu’il est employé de banque dans sa ville natale de Courtrai. Il abandonne aussitôt son poste et travaille comme apprenti-maçon sur le chantier de la gare de Tournai. Il vient ensuite à Bruxelles pour suivre les cours à l’Académie tout en gérant une librairie pour assurer une maigre subsistance. Conscient de ses qualités exceptionnelles, Félix Janlet l’engage dans son atelier tandis que la ville de Courtrai lui octroie une bourse pour lui permettre de poursuivre ses études à l’abri de la misère.
Cours à l’Académie royale des beaux-arts de Bruxelles (1842-1846)
Commis-architecte dans l’atelier de Félix Janlet (1843-1851)
Membre de la Commission royale des Monuments et des Sites (1865-1894)
Conseiller communal de Bruxelles-ville (1867-1881)
Fortement influencé par son professeur, Tilman-François Suys, dont il mettra de son propre aveu la deuxième moitié de sa vie à oublier ce qu’il lui avait appris dans la première, il commence par ressusciter le style Louis XVI dans ses premiers hôtels particuliers à l’avenue des Arts et à la chaussée de Charleroi. Il s’attaque ensuite, avec Wynand Janssens, à l’hôtel de la Banque Nationale, d’un style néo-classique très chargé influencé par les réalisations parisiennes de l’époque. La restauration et la transformation en musée de la porte de Hal (1868-1871) qu’il entreprend ensuite, sous la supervision admirative de Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, est décisive dans son évolution. Sa démarche consiste, selon ses propres termes, à rajeunir, les parties artistiques intérieures de style Renaissance flamande.
Passionné par l’étude et la nouveauté – il possède une bibliothèque considérable sur l’architecture et les arts décoratifs - il remporte ensuite, avec la maison des Chats (1874), le premier prix du concours organisé par la Ville de Bruxelles pour les façades des nouveaux boulevards centraux, aménagés sur le voûtement de la Senne. Avec cette maison, inspirée du style des maisons de gildes de la Grand-Place de Bruxelles, il s’inscrit désormais dans le renouveau d’un style – la néorenaissance flamande – d’inspiration nationale, aux côtés de Charles-Émile Janlet et Jules-Jacques Van Ysendijck. En digne représentant du courant éclectique de la fin du xixe siècle, cela l’incitera à adapter, avec beaucoup d’audace, des éléments décoratifs typiques de la Renaissance flamande à des constructions d’un tout autre style, allant du néo-classicisme au baroque italien. Avec le ministère des Chemins de fer, de la Poste, du Télégraphe et de la Marine (1890) situé rue de Louvain, il signe une œuvre dépourvue de toute monotonie où se révèle un art de la scénographie et de la décoration très aigu.
(Wikipedia)
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Après avoir fait danser la jeunesse des années 70 jusqu’au comédien Omar Sy dans la scène devenue culte du film « Intouchables », le groupe funky–rock Earth, Wind and Fire, plus vivant que jamais, s’est reformé en une seconde version autour de son guitariste des années 1973 à 1981 : Al McKay. Ce dernier considérant que l’héritage du groupe légendaire lui appartenait autant qu’aux autres membres, il a monté ce qu’il considère comme une « Experience ».
Allez voir ce concert à 360° : www.360images.fr/visites-virtuelles/insolite/earth-wind-f...
Cinéma Cinémovida Le Clovis - 12, rue du Beffroi
Comme disait Pinocchio, "stop à la langue
de bois "
Tonnerre de Brest !
expression le mot 'tintin' a été associé à de
la frustration ou de la privation
« Intouchables » : le couac à Soissons Un Festival d'Hypocrisie et de Mensonges .
Àu Cinéma Cinémovida Le Clovis - 12, rue du Beffroi , le film sur le handicap est projeté dans une salle inaccessible aux
personnes handicapées.
le complexe Cinéma Cinémovida Le Clovis , est l'un des plus grandes de ce cinéma.
S'il falait dû voir qu'un seul film cet automne, c'était celui-ci. Mais quel calvaire pour parvenir à voir « Intouchables »,
la comédie mettant en scène un François Cluzet en milliardaire tétraplégique et Omar Sy dans la peau d'un voyou de banlieue
J'étais venue rendre visite à ma famille, qui habite à Soissons et ils ils travaillent .
Me déplaçant uniquement en fauteuil roulant, j ai passé une bonne partie de samedi après-midi à chercher une salle où je puisse le voir
C'est incroyable, certaines personnes disent que la ville es accessible à tous .
On comprend mieux pourquoi les personnes à mobilité réduite (PMR) Soissonnais, Soissonnaises ne vivent pas dans cette ville .
Problème : les salles ne sont pas accessibles aux Clients (es) handicapées.
Ces remarques ont bien entendu été notifiées, en premier lieu, à un responsable du cinéma,
« il se dit trés gêné, dit-il, c'est un film « Intouchables »très grand public et le passer en grande salles inaccessibles est un paradoxe .
Pour l'accès aux Clients (es) handicapées, il se sent sensible à ce sujet et il essaye de gérer au mieux. »
l'entrée principale du Cinéma Cinémovida Le Clovis , on bute sur plusieurs marches de 6 à 8 centimètres à enjamber avec un
fauteuil roulant ça serai plustot pour l instand le film "Mission Impossible "
Cinéma Cinémovida Le Clovis est le seul cinéma à Soissons où se pose encore un souci d'accessibilité.
il nous faut attendre la sortie du film en DVD
Blu-ray !!!
Honneur. CJF Saint Malo - RC Quimper : 58-10. Les Finistériens ont offert des boulevards aux attaquants locaux très entreprenants.
Même en infériorité numérique, le quinze corsaire n'a pas tremblé, envoyant du jeu dès que cela était possible. Le premier acte avait été pourtant assez équilibré puisque les Cerclistes ne menaient que 11-3 aux citrons, grâce à deux pénalités de Coupeau (4', 17') et à un essai de Cédric Morvan (8'). Malgré quelques indisciplines Malouines (deux exclusions temporaires), on sentait que les trois-quarts, emmenés par un excellent Cédric Morvan, avaient des fourmis dans les jambes.
Les visiteurs jouaient crânement leurs chances et semaient le désordre près de l'en but des Corsaires, mais sans concrétiser au tableau d'affichage. La deuxième mi-temps allait sonner le glas des Quimpérois qui encaissaient deux essais dès la reprise. La faute aux attaquants locaux Videau (41') et Thibault Morvan (45') qui s'engouffraient dans les intervalles offerts par les défenseurs Finistériens. Profitant d'un carton rouge attribué à Georgelin, la réaction visiteuse se concrétisait par un essai de pénalité accordé suite à une belle charge du deuxième ligne Viegas (25 - 10 à la 60').
À l'heure de jeu, les Corsaires passaient la vitesse supérieure et franchissaient à cinq reprises la ligne de Quimper. Le remplaçant Brisou s'offrait un beau cadeau de Noël en inscrivant la bagatelle de quatre essais (65', 68', 75', 78') tandis que le troisième ligne Mariot prenait part également à la boulimie offensive locale (73').
« On avait un effectif réduit consécutif à de nombreuses blessures. Notre équipe était déstabilisée et on n'avait plus les moyens de défendre. Un match à oublier » constatait le président du RC Quimper, Patrick Donnart.
P. Le Guern (Entraîneur du CJF) : « On valide notre plan de jeu. C'est le fruit d'un gros travail physique, technique et mental entrepris depuis quelques mois qui nous fait accéder à la deuxième place du groupe. Bravo les garçons ! »
SAINT MALO - QUIMPER : 58-10 (11-3).
Arbitre : M. Bohec.
SAINT-MALO. Huit essais : Cédric Morvan, Videau, Thibault Morvan, Mariot, Brisou (4). Deux pénalités et six transformations de Coupeau.
RC QUIMPER. Un essai de pénalité (60'). Une pénalité (11'), une transformation de Ressant.
Suite à sa large victoire, face à Saint-Brieuc le week-end dernier, le XV Corsaire n'est plus qu'à quatre points de la seconde place du classement. La victoire s'impose donc pour les Corsaires, afin d'achever cette première phase du championnat dans une belle dynamique. Le match se déroulera cet après-midi, à 15 h, face au RC Quimpérois sur le terrain de l'Hippodrome. À 13 h 30, Esperanza - RC Quimpérois B.
XV Corsaire solidaire
Après avoir offert, la semaine dernière, un jeu de maillots et de shorts à l'association Village pilote qui oeuvre pour les enfants des rues au Sénégal, le XV Corsaire poursuit son engagement social et solidaire. Pour le Samu social de Saint-Malo, Wendy Titchmarsh, membre du XV Corsaire, remettra les vêtements dont elle a organisé les collectes aux responsables du Samu. Enfin, c'est cet après-midi à 15 h que se déroule le Noël de l'école de rugby à l'Hippodrome : animations, élection du meilleur déguisement de corsaire et goûter.
Dimanche 11 décembre 2016, le CJF Saint-Malo Rugby accueille Quimper, pour le compte du championnat Honneur en Bretagne. Un match qui s’annonce serré entre deux équipes ambitieuses et qui se suivent au classement.
Ce n’est pas un mince exploit qu’ont accompli les joueurs du CJF Saint-Malo Rugby en allant s’imposer dimanche 4 décembre à Saint Brieuc, deuxième du classement, sur un score sans appel (35-14).
Après un début de saison en demi-teinte, les Corsaires semblent avoir trouvé le rythme et se posent désormais comme de très sérieux prétendants à la place de dauphin derrière l’intouchable Grandchamp, auteur d’un sans-faute dans cette première partie de saison.
Cette deuxième place tend les bras aux Malouins qui disputent leur rencontre en retard face à Quimper ce dimanche 11 décembre sur leur pelouse de l’hippodrome.
En cas de succès, ils monteraient donc sur la deuxième marche du podium à l’issue de la phase aller avec un point d’avance sur Saint Brieuc. Deux points si le Père-Noël ajoute un bonus offensif dans sa hotte. Mais attention tout de même, Quimper est aussi une grosse écurie de ce championnat et ne fera aucun cadeau aux Malouins. Cette dernière victoire de l’année, il va falloir aller la chercher…
september 15th,2009(i know i know i'm so getting into this effect i'll stop)
Oooo and 19 is one of my favorite numbers, as well as the age i will be soon:D
Today was really busy and fun. My aunt and i went to the mac dil air force base and went food shopping. if you can't tell here..we got A LOT of food, yummy yummy food. Lot's of fruit and veggies, yummy breakfast food, and yada yada. I leave in two days for my moms though, and then CALIFORNIA saturday..i know i know it's getting old. Anyways more about today when we were at the comensary, there was a fire drill of some sort and everyone had to leave the store and go about 20 ft away. It was crazy! It was really hott outside, so my aunt and i decided to go walk to get lunch while we were waiting but as we were walking away, everyone started going back in ahah it was funny i told here "it'd be so funny if as soon as we get inside everyone went inside the place again" and THEY DID!! hahaha it was great so funny. But yeah today was great. I'm learning so much these days and i love it. I love being so intouch with myself and my faults, it makes me want to to treat people better, if i'm not, and slowly change myself. I'm and no one else is perfect but you should never stop trying to better yourself and be a good person and what not, and thats what i do. BUT don't obsess over it, don't dwell on your faults because then you will never change, and you will just feel sorry for yourself and become insecure because you want to be perfect and becoming perfect is non existent. Hope everyone is good. enjoy my ghost in the fridge. laterz i'm going to cook home made cinnamon buns
InTouch Weekly's Icons & Idols Red Carpet following the 2013 MTV Video Music Awards.
(Photo by Evan K. Schmidt/BSD Media)
Cinéma Cinémovida Le Clovis - 12, rue du Beffroi
Comme disait Pinocchio, "stop à la langue
de bois "
Tonnerre de Brest !
expression le mot 'tintin' a été associé à de
la frustration ou de la privation
« Intouchables » : le couac à Soissons Un Festival d'Hypocrisie et de Mensonges .
Àu Cinéma Cinémovida Le Clovis - 12, rue du Beffroi , le film sur le handicap est projeté dans une salle inaccessible aux
personnes handicapées.
le complexe Cinéma Cinémovida Le Clovis , est l'un des plus grandes de ce cinéma.
S'il falait dû voir qu'un seul film cet automne, c'était celui-ci. Mais quel calvaire pour parvenir à voir « Intouchables »,
la comédie mettant en scène un François Cluzet en milliardaire tétraplégique et Omar Sy dans la peau d'un voyou de banlieue
J'étais venue rendre visite à ma famille, qui habite à Soissons et ils ils travaillent .
Me déplaçant uniquement en fauteuil roulant, j ai passé une bonne partie de samedi après-midi à chercher une salle où je puisse le voir
C'est incroyable, certaines personnes disent que la ville es accessible à tous .
On comprend mieux pourquoi les personnes à mobilité réduite (PMR) Soissonnais, Soissonnaises ne vivent pas dans cette ville .
Problème : les salles ne sont pas accessibles aux Clients (es) handicapées.
Ces remarques ont bien entendu été notifiées, en premier lieu, à un responsable du cinéma,
« il se dit trés gêné, dit-il, c'est un film « Intouchables »très grand public et le passer en grande salles inaccessibles est un paradoxe .
Pour l'accès aux Clients (es) handicapées, il se sent sensible à ce sujet et il essaye de gérer au mieux. »
l'entrée principale du Cinéma Cinémovida Le Clovis , on bute sur plusieurs marches de 6 à 8 centimètres à enjamber avec un
fauteuil roulant ça serai plustot pour l instand le film "Mission Impossible "
Cinéma Cinémovida Le Clovis est le seul cinéma à Soissons où se pose encore un souci d'accessibilité.
il nous faut attendre la sortie du film en DVD
Blu-ray !!!
A l’issue de leur première journée au Paris Sevens, les Bleues terminent 1ère de leur poule après un dernier match au coude à coude contre les Etats-Unis. Elles se qualifient ainsi pour le quart de Cup contre l’Angleterre qui aura lieu demain !
Une belle entrée dans le tournoi pour les Bleues ! L’équipe de France n’a laissé aucune pitié aux Espagnoles en s’imposant 20 à 0 dès leur premier match de poule. Les Françaises ont attaqué dès le début avec un premier essai signé Chloé Pelle puis un deuxième dans la foulée par Marjorie Mayans. Une première mi-temps toute à leur avantage à l’image de la seconde avec un magnifique essai de Camille Grassineau après un long rush avant de conclure sur le quatrième essai de Lina Guérin juste avant le gong de fin. « On sent qu’on est bien que rien ne peut nous arriver si on joue ensemble. On essaye vraiment d’être concentré sur notre objectif » explique Chloé Pelle. « Contre l’Espagne, ce n’est jamais facile. Ça a été car on a attaqué vraiment la ligne, les ballons et en jouant notre jeu à fond mais on les connaît très bien et il n’y a jamais de match facile ».
Les Bleues ont poursuivi sur leur lancée en battant le Japon (26–17) pour leur deuxième match de poule. Une fois de plus, l’équipe de France a donné le ton dès la première mi-temps : le Japon n’a pas réussi à résister à l’avancée française qui a terminé les sept premières minutes du match avec trois essais signés Camille Drouin, Fanny Horta et Camille Grassineau. La seconde période a commencé par une course incroyable d’Audrey Ciofani qui est venue aplatir le ballon sans trop de pression. Mais les Japonaises n’ont pas démérité avec une remontée spectaculaire de 17 points en seconde mi-temps et un triplé signé Bativakalolo. Mais cela n’a pas suffi pour battre les Bleues.
USA VS France : l’heure de la revanche ! A Langford, les Etats-Unis avaient volé la 3ème place de la France. Ce soir, ce sont les Bleues qui les ont battues (5–14). Le match s’est joué au coude à coude : les Etats-Unis ont ouvert le score dès la première minute avec un essai signé Lauren Doyle. Mais les Françaises n’ont rien lâché avec un public en feu dans les gradins pour les soutenir et terminent ainsi première de leur poule. Objectif atteint pour le capitaine, Fanny Horta : « On savait que ça allait être un match très compliqué. Les Américaines montrent beaucoup d’agressivité mais on a su répondre présent ! »
Demain, les Bleues joueront le quart de finale de Cup contre l’Angleterre à 16h42. L’état d’esprit de l’équipe après cette première journée : « emmagasiner le positif » et « corriger quelques petites erreurs de précipitations ». « On va aborder le match de demain comme tous nos autres matchs avec l’envie de gagner ! » a conclu Marjorie Mayans.
A l’issue de leur deuxième journée au Paris Sevens, les Bleues ont gagné leur quart mais se sont inclinées en demi-finale face à l’Australie. Malgré tout, les Bleues sont assurées de finir sur le podium des Sevens World Series, une première !
Les Bleues ont commencé cette deuxième journée par un crunch inédit ! Elles ont refait une entrée spectaculaire sur la pelouse de Jean Bouin en ne laissant aucune pitié à leurs adversaires historiques de l’Angleterre (48 – 7) ! Bien que les Anglaises aient été les premières à ouvrir le score dès la première minute de jeu, les Bleues ne leur ont laissé plus aucune occasion de marquer un essai, avec notamment trois magnifiques doublés signés Fanny Horta, Marjorie Mayans et Shannon Izar. « Je pense que ce quart de final est accompli » concède François Duboisset, le manager-adjoint de l’équipe. « Très honnêtement, je pense qu’on a été porté par l’ambiance. C’est la première fois qu’on le vit, qu’on le voit. Aujourd’hui, le public parisien a répondu présent et a été formidable. »
Malgré cette magnifique performance, les Bleues se sont inclinées face aux redoutables Aussies, premières du classement mondial, en demi-finale (21 – 17). Elles n’ont pourtant pas facilité la tâche à leurs adversaires, avec une défense implacable côté français, mais également côté australien. Les Françaises ont tenu jusqu’aux dernières minutes mais les Aussies ont sonné le coup de grâce avec un essai dans les dernières secondes signé Emilee Cherry. Malgré cette défaite, les Bleues n’ont pas démérité : « On n’a pas à rougir de là où on est à l’heure actuelle : il faut se féliciter » Il y a encore un gros match demain. Avec le public, avec notre rage, on a envie de finir sur une belle note ! »
Le Paris Sevens n’est pas fini ! L’équipe peut encore prétendre à la 3ème place du podium : rendez-vous demain à 17h05 pour le match de Bronze Finale contre le Canada !
A l’issue de leur dernière journée au Paris Sevens, les Bleues se sont inclinées en Finale Bronze face aux Canadiennes (10-17). Elles terminent ainsi 4èmes du tournoi et 3èmes des Sevens World Series 2018 pour la première fois !
Elles ont tout donné jusqu’au bout mais les Canadiennes ne les ont pas laissé beaucoup avancer pour marquer. Les Bleues ont résisté en répliquant un nouvel essai à chaque nouvelle attaque de leurs adversaires mais n’ont pas réussi à percer le mur défensif canadien. « Ce sont les aléas du sport » explique Fanny Horta, la capitaine d’équipe. « On a subi une longue séquence défensive. Psychologiquement, faut arriver à reprendre le dessus quand on est sur le terrain. » « On savait que le Canada faisait partie des nations ‘intouchables’ et dans le top 3 mondial » ajoute François Duboisset, manager-adjoint de France 7 Féminines. « L’issue s’est jouée à peu. On est forcément un peu déçu mais on est très heureux de finir sur le podium mondial. C’est une belle performance pour le rugby féminin après le Grand Chelem de l’équipe à XV ! »
Les Bleues n’ont pas à rougir de leur parcours avec un groupe qui n’a cessé d’évoluer depuis le début de la compétition : « On fait un bilan positif de cette saison » s’enthousiasme Fanny Horta. « Chapeau aux jeunes qui nous ont rejoint et se sont très vite adaptées à notre jeu. Le groupe vit très bien ensemble. On se force à se surpasser et c’est ce qui nous pousse à être là où on est aujourd’hui. »
Prochaine étape : la Coupe du Monde de Rugby à 7 qui se déroulera au mois de juillet à San Francisco. L’équipe va couper un peu avant d’entamer une phase de préparation physique pour la compétition. « Notre objectif pour cette Coupe du Monde, c’est de grimper ! Chaque match est éliminatoire, donc il ne faudra pas les prendre à la légère et imposer notre jeu contre tous nos adversaires » conclu Marjorie Mayans.
Match de finale (7ème place) : Espagne 5 – 33 Angleterre
Match de finale (5ème place) : Etats-Unis 28 – 7 Fidji
Bronze Finale : Canada 17 – 10 France
Cup Finale : Nouvelle-Zélande 33 – 7 Australie
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Espagne 24-19 (mi-temps : 10-0)
France : 4 essais Pelle (2), Mayans (4), Grassineau (13), Tremoulière (15)
Espagne : -
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Izar, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (12), Torres Duxans (14), Guerin (10), Ciofani (10), Sainlo (14)
ESPAGNE : Ribera, Bravo, Martinez Garcia, Echebarria, Garcia, Pla (cap), Casado
Entrées en jeu : Bueso Gonez (7), Erbina (7), Fresneda (10)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Japon 26-17 (mi-temps : 19-0)
France : 4 essais Drouin (1), Horta (3), Grassineau (6), Ciofani (7) transformations Drouin (1, 4), Izar (7)
Japon : 3 essais Bativakalolo (11, 13, 15)
FRANCE : Izar, Mayans, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (9), Torres Duxans (11), Ciofani (6), Sainlo (8)
JAPON : Nagata, Okuroda, Tateyama, Nakamura (cap), Taniguchi, Hirano, Tanaka
Entrées en jeu : Koide (7), Bativakalolo (11), Kuwai (7), Suzuki (9), Otake (8)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat USA 14-5 (mi-temps : 0-5)
France : 2 essais Pelle (8), Grassineau (13) 2 transformations Drouin (9), Izar (14)
USA : 1 essai Doyle (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Guerin, Drouin, Bertrand
Entrées en jeu : Tremoulière (14), Izar (9), Ciofani (8)
USA : Gray, Gustaitis, Carlyle, Doyle, Heavirland (cap), Kelter, Tapper
Entrées en jeu : Thomas (9), Emba (7), Canett (15), Fa’avesi (11), Maher (11)
QUART DE FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Angleterre (48 - 7)
France : 8 essais Horta (3, 6), Mayans (7, 9), Ciofani (10), Drouin (12), Izar (13, 15), 4 transformations Drouin (6, 9, 13, 15)
Angleterre : 1 essai Fleming (1), 1 transformation McKenna (1)
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta, Drouin, Grassineau, Izar, Guerin
Entrées en jeu : Torres Duxans (11), Bertrand (6), Ciofani (7), Sainlo (13)
ANGLETERRE : Fisher, Scarratt, Matthews, McKenna, Scott, Brown (cap), Fleming
Entrées en jeu : Wilson Hardy (6), Fleetwood (11), Wood (11), Aitchison (9), Allan (9)
DEMI-FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Australie (21 - 17)
France : 3 essais Horta (8), Mayans (10), Pelle (12), 1 transformation Drouin (10)
Australie : 3 essais Du Toit (3), Cherry (6, 14), 3 transformations (3, 7, 14)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Bertrand (9), Ciofani (9)
AUSTRALIE : Hayes, Pelite, Tonegato, Cherry, Sykes, Du Toit, Caslick (cap)
Entrées en jeu : Parry (5), Meakes (12)
FINALE BRONZE - Dimanche 10 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), Canada – France 17-10 (mi-temps : 12 - 10)
France : 2 essais Guerin (6), Izar (7)
Canada : 3 essais Landry (1), Williams (4), Farella (9) 1 transformation Landry (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (13), Torres-Duxans (13), Bertrand (10), Ciofani (10), Sainlo (10)
CANADA : Crossley, Williams, Buisa, Farella, Benn, Landry, Moleschi
Entrées en jeu : Watcham-Roy (7), Nicholas (10), Darling (7)
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St Christopher's Hospice Classic Vehicle Show 2015.
Photo ( c ) Tom G.2015.
Maroc (Casablanca), 1947, Etienne Menjoulet, Charpentier, dans son atelier avec 3 chiens, et des piles de madriers pour charpente.
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Concernant la vie de mon grand-père Etienne, j'ai écrit la petite biographie qui suit à partir de différents récits de mémoire familiale :
Etienne Menjoulet
Charpentier, né en 1899. Il grandit à Barbaste (sud-ouest de la France).
Son prénom d’Etat civil était Gustave, mais il n’aimait pas ce prénom et se fit toujours appeler Etienne.
Bon élève à l'école, il passa son certificat d'étude et le Brevet et commença à travailler, comme tous ses aïeux, en tant qu'apprenti charpentier (période de son premier séjour au Maroc en 1913-1914).
Charpentiers depuis la nuit des temps
Etienne Menjoulet fut le dernier charpentier d'une très très longue lignée de charpentiers. Mes recherches sur mes ancêtres Menjoulet et sur les charpentiers du sud-ouest de la France m’ont conduite à me pencher sur l’histoire des « cagots », dont je suis quasiment certaine que les Menjoulet de Barbaste/Nérac en étaient des descendants directs (même s’il n’y a pas de mémoire familiale de cette origine « cagote », oubli sans doute souhaité dès le 18e siècle). Jusqu’au 18ème siècle, tous les charpentiers du sud-ouest étaient des « cagots » de génération en génération. Dans chaque village du sud-ouest, la ou les maisons de charpentiers étaient tenues à l’écart, les cagots étaient considérés par les paysans de ces régions comme des « mauvais chrétiens » atteints d’une « lèpre intérieure », c’était une caste d’intouchables.
Le siècle suivant cette longue période, au 19ème siècle, le grand-père d’Etienne, Jean Menjoulet, maître charpentier, franc-maçon, épousa une jeune-fille de la région, Anne Boustens. et eu 3 fils qu’il nomma Edward, Edgard et Ancel. La consonance des 3 prénoms avait été choisie pour faire "chier" le curé. Les prénoms anglo-saxons s'inspiraient par ailleurs de la loge maçonnique londonienne de leur père, Jean Menjoulet. Ce dernier partit ensuite (pour des raisons sans doute de nécessité financière) exercer son métier au Mozambique (alors colonie portugaise), laissant sa femme et ses fils Edward, Ancel et Edgard à Barbaste en France. Jean Menjoulet, qui vivait en dernier lieu dans le district de Manica, au Mozambique, fut tué à 45 ans à Beira (ville portuaire du Mozambique) en 1891.
Son fils Edgard, né en 1872, futur père d’Etienne, devint charpentier, il épousa en 1898 Marie Menjoulet/Lescouzère, une jeune fille de la région, de famille paysanne. Etienne naquit l’année suivante, en 1899. Ses parents émigrèrent en Argentine vers 1907, avec leurs deux plus jeunes fils (André, dit Lou Peliou, né en 1905 et Claude, bébé) et leur fille, Paule, laissant leur fils aîné Etienne, 7 ans, seul en France chez une tante, « bouchonnière » de métier (fabrication de bouchons de liège).
Etienne connut une enfance très pauvre (on peut penser que sa petite taille était liée à une alimentation très frugale dans son enfance, et comme d'autres enfants de sa génération, son cadeau de noël chaque année de son enfance consistait en une orange).
Apprenti-charpentier au Maroc, Etienne Menjoulet avait 15 ans en août 1914. Le temps d’atteindre l’âge du service, il fut appelé sous les drapeaux alors que la guerre avait déjà bien commencé. Lors de la visite médicale vers 1917, le médecin dit en le voyant arriver "mais voilà un petit chasseur" (il était petit mais musclé), mais il fut affecté en fin de compte chez les sapeurs-mineurs (comme beaucoup d'artisans). Le temps qu'il finisse sa préparation militaire, l'armistice arriva vite, ce qui lui permit de réchapper à l'hécatombe et de ne guère mettre en pratique sa formation à la guerre, notamment l'entraînement de combat à la baïonnette qui lui avait paru extrêmement barbare (mais il n'aurait pas reculé si la guerre ne s'était pas terminée). Sans doute cet entraînement intensif aux combats à la baïonnette était prévu pour des combats dans les galeries de mines où étaient envoyés les sapeurs-mineurs. Son service militaire se prolongea bien après 1918.
La formation professionnelle d’Etienne Menjoulet se poursuivra après la Grande Guerre, dans une société de type compagnonnique en tant que « Renard Joyeux Libre et Indépendant sur le Tour de France ». Athée et Indifférent aux religions, comme ses aïeux, il ne prolongea pas la tradition familiale de franc-maçonnerie (dans une loge anglaise, dans laquelle un de ses aïeux avait d’ailleurs été un dirigeant). Il refusa l’initiation maçonnique pour ne pas promettre sans savoir de quoi il en était, puisqu'il n'était pas informé avant d'être introduit. Dans ce sens, son choix d'une association alternative aux « compagnons du devoir » et aux « compagnons du devoir de liberté », s'inscrivait sans doute dans le même esprit : refus des mythologies. Pas de rites religieux, pas de rites maçonniques et pas de rites compagnonniques. Les « Renards Joyeux Libres et Indépendants sur le Tour de France » s'étaient en effet créés par opposition aux compagnons Soubises (compagnons du Devoir) et Indiens (compagnons du Devoir de Liberté) dans un esprit qui rejetait les rites quels qu’ils soient.
La langue natale d’Etienne Menjoulet était le patois gascon et le Français. Il parlait couramment les deux langues, le gascon comme le français (il continuait à parler en patois avec sa seconde femme dans les années 1950). Son père Edgard et ses oncles Ancel et Edward avaient été battus par leur instituteur lorsqu'ils parlaient patois, y compris en récréation, mais la langue continuait d'être parlée, dans l'entre-soi, une génération après.
Plus tard, au Maroc Etienne chantait souvent des chansons en patois en conduisant, jusque dans les années 1950, pour ne pas s’endormir au volant, lors de longues heures sur les routes en camionnette. Quand il ne chantait pas en patois, Etienne demandait à l'ouvrier marocain qui l'accompagnait de lui raconter des histoires pour le tenir éveillé. Et l’ouvrier se défendait souvent en disant « mais qu’est-ce que tu veux que je te raconte ?! ».
Etienne fit donc son tour de France (autour de 1923) en tant que "Renard libre joyeux et indépendant" (rattaché à Lyon-Vaise, où siégeaient d’ailleurs également les compagnons du devoir) . Les "Renards" étaient en rivalité avec les sociétés compagnonniques. Au début des années 1920, cette rivalité ne donnait pas lieu à des bagarres, mais lorsqu'un Renard (comme Etienne Menjoulet) passait par des ateliers où avaient travaillé des compagnons de sociétés rivales, il commençait par nettoyer tous les instruments, établis, etc. et à tout bien tout essuyer pour ne pas avoir à toucher ce qui avait été manipulé par les membres des deux sociétés rivales.
Au cours de son tour de France, Etienne eut des liaisons avec des femmes, mais sa rencontre sérieuse fut avec Marie-Louise Bongard, une jeune fille de la Nièvre, fille d’agriculteurs (père lorrain), de religion catholique. Marie-Louise était fille unique, et comme beaucoup de filles d’agriculteurs de la « belle-époque », elle avait été « placée » à Paris comme bonne. Elle rencontra Etienne à Paris, sans doute au cours d’un bal, et ce placement ne dura donc pas. Marie-Louise épousa Etienne à la mairie. Pour l’église, Etienne resta à l'extérieur de l'église même pour son mariage, et il négocia avec sa femme l’accord suivant : leurs enfants seraient seulement baptisés, ils n'auraient aucune éducation religieuse.
Après quelques mois en Normandie (fin de tour de France du ccompagnon Etienne, sans doute), n'en pouvant plus de la pluie incessante de cette région (d'autant plus gênante avec son métier), il alla s'installer avec sa femme au Maroc, à Casablanca, en tant que charpentier.
Son ancien patron d'apprentissage, Estève, devint son associé. Il retrouva, à Casablanca, son oncle Ancel (ferronnier, qui habita pendant un temps à Casablanca avec sa femme) puis son frère André et son père Edgard (tous deux avaient d'abord émigré en Argentine, mais Edgard s'était séparé de sa femme. Marie Menjoulet/Lescouzere (mère d'Etienne, couturière) était restée en Argentine, avec leur fille Paule (et soeur d'Etienne) et leur fils Claude pendant que le père et l'autre fils, André, rejoignaient le Maroc. Etienne en voulait beaucoup à sa mère, considérant qu'elle l'avait abandonné dans son enfance. Mais sachant que le père d'Etienne, Edgard, avait le défaut d'être très "coureur" (il est mort de la Syphilis en 1945), on peut penser que la mère d'Etienne, Marie, avait des raisons de vouloir se séparer d'Edgard. Ma bisaïeule Marie Menjoulet/Lescouzère est morte en Argentine dans les années 1940. Edgard , quant à lui, vivait au Maroc en concubinage avec une femme de Casablanca (dont je n’ai pas le nom, je sais simplement qu’elle était juive).
Leur fille Paule, soeur d'Etienne, établie en Argentine, se maria avec un Argentin d'origine française, Pierre Sendon, et son frère (et frère d'Etienne), Claude, émigra de l’Argentine aux Etats-Unis. Paule rendit visite à ses frères au Maroc, Etienne et André, au moins une fois.
Au Maroc, Etienne et Marie-Louise eurent d’abord deux garçons (André né en 1925, et Georges, né en 1929).
Lors du déclenchement de la seconde guerre mondiale, Etienne (bien établi à Casablanca), est à nouveau appelé sous les drapeaux, à 40 ans. Il passe une année militaire à Mazagan (El Jadida), grade de caporal. Son dernier fils, Jean, naît le 13 mai 1940.
Son fils aîné, André, sera très grièvement blessé en 1944 lors d'un accident à la fin de sa formation d'aviateur, quelques jours avant qu'il passe d'aspirant à pilote de guerre. André avait 19 ans, il sera hospitalisé durant deux ans et demi à l'hôpital militaire de Rabat où il subit plus de 20 opérations.
Etienne Menjoulet aimait son métier de charpentier, il passait beaucoup de temps dans son bureau au Maroc, à sa table de dessin. Et n'hésitait pas à montrer aux architectes, calculs à l'appui, les erreurs qu'ils commettaient et qui compromettaient la stabilité des constructions si les plans n'étaient pas modifiés.
Etienne avait appris à parler très bien l'arabe. Leurs amis marocains du bled (avec qui ils faisaient notamment beaucoup de parties de chasse, lui et son frère André) ne parlaient pas français. Par ailleurs, dans son travail, avec sa dizaine d'ouvriers, il était nécessaire de savoir parler la langue du pays. Ses fils nés au Maroc parlaient couramment arabe (André et Georges, les deux aînés), ou avaient un niveau plus moyen pour le plus jeune (Jean).
Etienne avait par ailleurs refusé, au lendemain de la guerre, suite à l'arrivée des Américains au Maroc de signer des contrats avec eux, jugeant que ces constructions auraient dénaturé son métier : les américains apportaient des techniques de construction industrielles, clef en main, où la compétence du métier ne comptait plus. Etienne fit donc un choix, il renonça à la fortune que lui auraient apportée ces contrats en or avec les Américains, en disant aux américains d'aller voir ailleurs. Mais il garda ce qui était sa valeur réelle, le métier en lui-même.
Etienne pouvait aussi être teigneux ou coléreux, que ce soit, anecdotiquement, vis à vis de rats qui pouvaient s'introduire dans son bureau (qu'il tuait alors à coups de pieds) ou de gens, s'il y avait conflit.
Au niveau de son métier de charpentier, l'œuvre d'Etienne Menjoulet est très diversifiée : clochers d'Eglise, charpentes de maisons, charpente d’usines, charpentes de grands entrepôts.... (liste à faire). Il procédait aussi à des rénovations d’ailleurs.
Au niveau loisirs, les photos de cette collection attestent qu'Etienne aimait beaucoup la chasse, jusqu'à la fin de sa vie. Et que ce goût était partagé par son frère André qui était aussi un grand chasseur. Ces chasses se faisaient au cours de longues marches au Maroc, dans le bled, par une chaleur écrasante. Le gibier, lièvres, perdreaux, cailles, pigeons ramiers (palombes) était ensuite partagé. La compagne d’Edgard, le père d’Etienne et André, fut une fois amenée à partager la chasse ramenée par André à leur père. Elle garda pour eux les meilleurs morceaux et transmis à André les moins bons morceaux pour Etienne, en lui disant « c’est pour Etienne, il aime les têtes ! ». Ce qui ne la rendit pas du tout sympathique à Etienne, qui par ailleurs, anticlérical, n’avait pas d’atomes crochus avec les croyances juives de la compagne de son père.
En France, dans les années 1910, puis dans les années 1960, Etienne pratiquait aussi la chasse au filet (ortolans) répandue dans le sud-ouest.
Etienne aimait par ailleurs les chiens. Il y en avait toujours plusieurs à la maison, et qui n’étaient pas que des chiens de chasse, mais aussi de compagnie. Au Maroc, Etienne et son frère André pouvaient être un peu durs avec leurs chiens, ils leur tiraient par exemple du petits plombs dans l’arrière train (sans trop les blesser apparemment), si les chiens n’obéissaient pas durant la chasse. Mais Etienne portait aussi secours à ses chiens si nécessaire. Son fils Jean se rappelle de l’un d’eux , un petit épagneul breton nommé Kiss, qui se fit un jour éventrer de bas en haut du corps par un molosse du voisinage (en un coup de croc). Alors que les boyaux du chien lui sortaient du ventre, Etienne demanda du gros fil et une grosse aiguille. Il remit à pleine main les boyaux dans le ventre de Kiss sous le regard horrifié de son fils Jean, et recousit le ventre du malheureux épagneul. Et le chien guérit et vécut normalement ensuite.
Au Maroc, les parties de chasse d’André et Etienne étaient pratiquées avec des amis français ou marocains. Les noms de ces amis qui sont restés en mémoire sont ceux de deux frères (des marocains de Casablanca), les Djilali (dont l’un, le plus proche d’eux, est mort brutalement en 1941 d'une crise cardiaque).
Peu de temps avant le déclenchement de la guerre en 1940, ces parties de chasse donnèrent lieu à un grave accident dont fut victime le frère d'Etienne, André, lors d'une partie de chasse commune. André s'était sans doute avancé brusquement dans la zone de tir d'Etienne sans être vu par ce dernier qui le blessa à la tête dans un tir le rendant presque aveugle pendant de nombreuses années. Les deux frères restèrent proches en dépit de cet accident. André ne se fit opérer que lorsqu’il fut vieux, l’opération risquant de le rendre complètement aveugle, alors qu’il voyait encore des ombres. L’opération réussit.
Etienne déménagea en 1946 avec sa famille, ils quittèrent le centre (européen) de Casablanca pour rejoindre un quartier de la périphérie/banlieue de Casablanca (à un kilomètre de la gare), quartier mixte, un peu industriel mais aussi résidentiel, avec certaines maisons élégantes. Cela permit à Etienne d'avoir un hangar de bonne taille pour son travail.
Etienne Menjoulet avait de nombreuses relations amicales françaises et marocaines. Son fils Jean, qui dormait dans le salon, se rappelle qu'il y avait très souvent du monde le soir chez eux, dans les années 1950, mais que cela ne l'empêchait pas de dormir, dans la même pièce.
Marie-Louise, la première femme d'Etienne Menjoulet, mourut en 1949 des suites d'une longue maladie qui dura des années et la paralysa progressivement jusqu'à l'étouffement. Le mal s'était déclenché à la suite d'une blessure avec un objet métallique, une pédale de vélo. Son fils Jean se souvient encore, près de 70 ans après, des longs moments qu’il passait dans la chambre de sa mère alitée, alors qu’il avait 7 ou 8 ans. Pour distraire sa mère immobilisée, il lui passait, en 78 tours, les disques qu’elle aimait, les valses viennoises, Berthe Sylva (les roses blanches…), Tino Rossi, et bien d’autres. A sa mort, bien qu'anticlérical, Etienne fit venir dans leur maison un curé pour l'extrême-onction de sa femme qui était catholique (il était bien-sûr hors de question pour Etienne d'aller à une messe). Lorsque le curé demanda de "l'eau bénite", Etienne lui dit de prendre l'eau du robinet. Marie-Louise fut enterrée à Casablanca. Son petit garçon, Jean, demanda à son père Etienne ce qu’il était advenu de sa mère qui avait disparu, Etienne lui répondit « Ta mère, elle pourrit sous terre ! » (réponse qui a de quoi traumatiser un enfant, mais des paroles sans doute plus dues à la tristesse qu’à la méchanceté).
Après le départ de la famille Menjoulet en 1962, la tombe de Marie-Louise fut préservée (son fils Jean avait donné de l’argent à un Marocain pour qu’il garde un œil dessus...). La tombe était encore en place dans les années 1980.
A propos de l'eau, pour la vie quotidienne, dans les années 1940-1950, l'eau courante était froide, la baignoire était chauffée au bois, cette charge de chauffer la baignoire pour des bains une fois par semaine était assignée au plus jeune fils, Jean. Ce bois que se procurait facilement Etienne, par son travail, était aussi utilisé en hiver pour l'unique cheminée qui se situait dans le salon/salle à manger).
Les Menjoulet étaient aussi équipés d’un téléphone, dès les années 1940. Téléphone nécessaire au travail d’Etienne, téléphone dont son fils Jean se rappelle encore le numéro, 70 ans après.
Suite au - long - décès de Marie-Louise, le petit Jean, âgé de 9 ans, alla vivre un an chez ses oncle/tante André et Julienne Menjoulet, à Casablanca (qui avaient deux enfants, Andrée 15 ans, et Jean-Louis 5 ans).
C’est au cours de cette période que Jean se rappelle d’une visite du boxeur Marcel Cerdan chez son oncle André (qui était président du club de football de Casablanca, un club de foot mixte, composé de Marocains et d’Européens). Jean ne se rappelle plus des détails du repas, simplement que sa cousine l’a appelé alors qu’il jouait dehors, en lui disant que Marcel Cerdan était chez eux. Cette visite de Marcel Cerdan aux Menjoulet eu d’ailleurs lieu peu de temps avant la mort du boxeur dans son accident d’avion.
Etienne Menjoulet quant à lui se remaria au Maroc avec Jeanne Sansot, une femme originaire de la même région du Lot-et-Garonne que lui, qu'il connaissait depuis l'enfance (même école à Barbaste) et qui avait déjà vécu en Algérie. Elle était veuve après que son mari et son fils se soient suicidés (pour une même femme). Elle laissa alors à sa fille Linette le café-restaurant dont elle était la patronne, en France dans la région de Nérac pour venir vivre au Maroc. Elle embarqua avec elle sa « marraine » (une grand-mère de sa famille, qui vécut donc ensuite plus de 10 ans chez Etienne et Jeanne). Sa fille Linette (avec son mari Gérard) hébergeât quant à elle son autre grand-mère, pendant plus de 10 ans également. Au Maroc, Jeanne s'occupa aussi, et très bien, comme si elle était sa mère, du dernier fils d'Etienne, Jean, qui la considérait comme sa (seconde) mère et l’appelait « Tante Jeanne ».
En France, le café de Jeanne fut donc repris par sa fille, Linette, qui avait vécu quant à elle auparavant en Tunisie. Linette abandonna l’activité de restauration pour se consacrer avec ce café à l’organisation de bals qui connurent un grand succès qui dura. Les gens de toute la région y venaient, et des chanteurs de variétés y furent invités pour des concerts alors qu’ils étaient inconnus et à leurs débuts (Francis Cabrel par exemple).
Au Maroc, les affaires professionnelles d'Etienne Menjoulet, à Casablanca, furent impactées par la situation du pays. Les années précédant la fin du protectorat s'étant traduites, au niveau contrats de construction par une chute des commandes. En revanche, pour la vie quotidienne, les marocains de son entourage (ses ouvriers…) lui avaient assuré qu'il ne courait aucun risque, qu'il pouvait garer sa camionnette dans la médina, que l'on reconnaîtrait sa plaque d'immatriculation et que l'on ne ferait pas sauter son véhicule.
Les deux fils aînés d’Etienne s’étaient mariés : André, se maria deux fois, d’abord avec Claudette, puis avec Lore, une Autrichienne de Salzbourg qui travaillait dans le tourisme, il se sépara d’ailleurs ensuite à nouveau, mais beaucoup plus tard. Georges quant à lui se maria avec Lydia, ce qui le brouilla avec son frère André, Lydia étant précédemment en couple avec André. Les deux frères ne se reparlèrent plus.
Jean, le plus jeune fils d’Etienne se rappelle d’une réception donnée par l’entreprise pour laquelle travaillait sa belle-sœur […laquelle ?]. Il s’agissait d’une entreprise (française) qui soutenait l’indépendance. Le futur roi du Maroc (Hassan II alors prince héritier), était invité à cette réception. Jean fut frappé par l’élégance (élégance vestimentaire et verbale) de Moulay Hassan qu’il vit à quelques mètres de lui.
Etienne Menjoulet n'était pas engagé politiquement, ce qui ne l'empêchait pas d'avoir des jugements critiques, que ce soit vis à vis "des gros" (comme on disait à l'époque pour décrire les gros capitalistes), ou inversement vis à vis des partis de gauche ou des syndicalistes (surtout du fait que, à ses yeux, ces derniers n'avaient pas de légitimité, ils ne travaillaient pas).
Etienne Menjoulet a quitté le Maroc en 1962 pour s'installer dans le sud-ouest de la France (Barbaste/Durance/Nerac), avec sa seconde femme, Jeanne qui est morte 4 ans plus tard, en 1966, d'un cancer foudroyant.
Entre 1958 et 1962, les 3 fils d'Etienne ont aussi quitté le Maroc.
Le plus jeune, Jean, sera d'abord hébergé chez son frère aîné Georges, et sa femme Lydia, à Lyon où ils s'étaient installés dans un petit appartement, Georges et sa femme décidèrent ensuite d'émigrer en Australie, un pays de cocagne à cette époque. Leur installation et vie se passa très bien là-bas, mais malheureusement ils moururent assez jeunes, quand ils eurent la cinquantaine, au début des années 1980, suite à des accidents cardio-vasculaires.
André (l’aîné des 3 fils d'Etienne et Marie-Louis) ira quant à lui d'abord travailler à Lyon en France comme cadre dans une brasserie avant de tout plaquer pour se consacrer à sa passion, la voile (avec peu d'argent de côté, mais il touchait aussi une petite pension militaire parce que grièvement blessé en 1944). André fera le tour du monde en solitaire à 58 ans, il vivra le reste du temps dans le sud de la France avec ses compagnes successives, et mourra en 1996 en regrettant de ne pas atteindre l’an 2000.
Le frère d'Etienne, André et sa femme Julienne, sont également allés vivre en France, ainsi que leur fils Jean-Louis, à Nîmes. Seule leur fille Andrée (et Tony son mari espagnol, un franc-maçon communiste) est restée vivre au Maroc où elle a pu négocier, en tant qu'institutrice, de travailler pour l'éducation marocaine (et d'être payée par eux) et non plus l'éducation nationale française. Elle devint ensuite inspectrice d'écoles et resta au Maroc au moins jusqu’à la retraite.
Hostile à l'influence toujours envahissante des croyances catholiques dans la société, Etienne Menjoulet fit bon accueil (ainsi que son épouse Jeanne) à Nellie Granade, future épouse de son fils Jean lorsqu'elle vint passer des vacances chez eux. De culture protestante, Nellie partageait avec Etienne certains points de vue sur le catholicisme (d'autant que Nellie n'a jamais été étouffée par les croyances religieuses, Protestantisme signifiant pour elle surtout liberté de penser, appartenance à une minorité et Résistance). Alors qu'Etienne refusait d'assister à toute cérémonie religieuse dans une église catholique, il assista au mariage religieux protestant de son fils Jean qui fut célébré au Temple du change, à Lyon le 31 octobre 1963.
La maison d'Etienne à Barbaste en France était assez sobre. Les toilettes étaient dans le jardin, et il n'y avait par exemple pas de douche, ce qui occasionnait une sortie aux bains-douches de Barbaste une fois par semaine.
Etienne s'est suicidé en 1971, en se tirant une balle de pistolet dans la bouche. Il supportait mal de vivre seul, après avoir enterré ses deux femmes. Après la mort de Jeanne en 1966, Il avait essayé de vivre avec une autre femme avec qui cela n'avait pas fonctionné. Il n'avait par ailleurs pas pu rentrer en contact avec une femme marocaine (une ancienne « Fatma » de leur maison de Casablanca) avec qui il avait eu une liaison, cette dernière avait émigré en France. La femme d'Etienne (Jeanne) avait pu intercepter son adresse et avait fait jurer, sur son lit de mort, à son fils Jean, qu'il ne donnerait pas à son père l'adresse en France de cette femme marocaine. Un an après la mort de Jeanne, Nellie, la femme de Jean, qui était enceinte de leur premier enfant, proposa à Jean d’appeler leur bébé Jeanne, si c’était une fille, en mémoire de cette (seconde) mère, dont la mort avait causé beaucoup de peine à Jean.
Redevenu veuf, Etienne n’était pas vraiment seul à Barbaste, outre les visites épisodiques de son fils Jean, il voyait du monde (notamment le jeune Guy, le petit neveux de sa femme Jeanne défunte, qu’il emmenait chasser).
Par ailleurs (et peut-être surtout) Etienne endurait des problèmes de santé (la goutte) qui lui donnaient envie d'en finir avec "cette chienne de vie" (comme il qualifiait la vie dans ses lettres) surtout après une opération de la hanche qui s'était très mal passée. Peut-être que le fait d'avoir dû quitter le pays où il avait vécu pendant 40 ans, le Maroc, a aussi joué sur cette volonté d'en finir, à cela s’ajoutait le point de vue financier, puisqu'il avait très peu d'argent, alors qu'il avait travaillé toute sa vie.
Pour son suicide, Etienne n’eut pas de chance, la balle de pistolet, passa, par un hasard incroyable, juste entre les deux lobes du cerveau. Et Etienne vécu encore 6 mois, principalement à l’hôpital de Nérac, avant que son cerveau ne « s’effondre » brutalement, suite à son tir de pistolet.