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Le Château d'Auzers édifié en 1364, en pleine guerre de Cent Ans. Et ce, comme bon nombre de places fortes que l'on peut encore découvrir dans cette région. Il était alors le Château fort tel que les enfants se l'imaginent. Ce monument subit des Jacqueries du début du XVème , cependant, en épousant Alix de Bompar en 1470 qui lui apporta les terres d'Auzers en dot, Antoine de Douhet décida de s'installer pour toujours à Auzers et de restaurer cette demeure désormais familiale. Leur nom deviendra alors Douhet d'Auzers. Nom que continue de porter les propriétaires actuels, descendants directs de cette union et en fait l'une des plus anciennes familles de France.
Ainsi la vision que l'on peut avoir du Château d'Auzers est à peu de choses près celle qui existait au début du XVIème Siècle.
Un ruisseau sort d'une falaise avec grotte aménagée avec un bassin en pierre où Saint-Louis se serait baigné avant la bataille de Taillebourg contre Henri III en 1242. Le ruisseau parcourt à l'air libre une section d'une centaine de mètres avec un lavoir aménagé en 1854, et disparaît dans une cavité exploitée par un ancien moulin à eau construit au xviie siècle, où l'eau s'enfonçait dans un aqueduc rejoignant celui du Douhet.
La façade est intéressante avec son portail en plein cintre encadré de deux portes aveugles donnant une impression d’arc de triomphe.
Ces fontaines gallo-romaines sont situées en contrebas du bourg. Ce sont des sources alimentant par un embranchement particulier l'aqueduc de Saintes, aqueduc romain passant au Douhet et à Fontcouverte. Cet aqueduc long de 17 km alimentait Mediolanum Santonum (Saintes) et fournissait jusqu'à 12 000 m3 par jour. Elles sont au nombre de deux :
La fontaine de la Roche : celle plus en amont des deux, elle est souvent à sec en été. Un lavoir a été aménagé en 1872, à la suite de la fermeture du lavoir du Moulin.
La fontaine du Moulin. C'est la plus spectaculaire. Un ruisseau sort d'une falaise avec grotte aménagée avec un bassin en pierre où Saint-Louis se serait baigné avant la bataille de Taillebourg contre Henri III en 1242. Le ruisseau parcourt à l'air libre une section d'une centaine de mètres avec un lavoir aménagé en 1854, et disparaît dans une cavité exploitée par un ancien moulin à eau construit au xviie siècle, où l'eau s'enfonçait dans un aqueduc rejoignant celui du Douhet. Actuellement, l'eau y est déviée pour alimenter une troisième fontaine datant du xxe siècle, celle des Fontenelles.
L'entrée se fait par un porche dans le mur et donne sur une avant-cour bordée des deux côtés de dépendances à un étage couvertes de longs toits de tuiles. L'allée centrale passe une balustrade pour arriver au logis en U autour de la cour. Le pavillon central couvert d'ardoise est prolongé par deux ailes à toiture basse limitées à leur extrémité par deux pavillons à haute toiture d'ardoise. L'autre façade, côté jardin est marquée en son centre par un escalier à double révolution. Sous la cour des caves voutées viennent d'un château antérieur. Le pigeonnier, une fuie cylindrique du XVIe siècle, comporte 1800 boulins (les nichoirs) mais il a perdu son toit
Cet aqueduc romain principalement souterrain alimentait Mediolanum Santonum (Saintes) en eau. L'entrée est taillée dans le roc. L'aqueduc date du Haut Empire romain 2e moitié du ier siècle
Les voussures du portail sont ornées d’anges puis de palmettes, enfin de saints avec un christ à la clef de voûte. Les frises des chapiteaux sont très ouvragées : à gauche un gros serpent et une femme, un démon, un homme tenant la mâchoire d’un lion, des têtes humaines : à droite, un christ entouré de deux anges, un serpent, un homme et une femme menacée par un homme armé d’un bâton. Au-dessus des trois arcs, on trouve la classique corniche soutenue par des mordillons représentent des têtes de démon, une figure de reine, une femme et un chevalier. Le sommet de la façade est occupé par cinq arcs. Le clocher, certainement reconstruit au XVe siècle, est carré, chaque angle portant un petit clocheton. Le toit est pyramidal à six pans de pierre.
Voilà quelle était la nouvelle énigme du jeu "Quel est ce lieu?" www.flickr.com/groups/2062971@N24/.
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El Monumento Nacional a Víctor Manuel II, también conocido como el Altar de la Patria o simplemente Il Vittoriano, es un inmenso monumento conmemorativo ubicado en Roma, Italia, erigido en honor al primer rey de la Italia unificada, Víctor Manuel II.
Este monumental tributo se encuentra entre la Plaza de Venecia (Piazza Venezia) y la Colina Capitolina. Su diseño se debe a Giuseppe Sacconi en 1885, aunque su inauguración tuvo lugar en 1911, y la finalización de las obras se extendió hasta entre 1924 y 1927.
El monumento se erige majestuosamente con mármol blanco extraído de las canteras de Botticino, cerca de la ciudad de Brescia. Este mármol se aprecia en las grandiosas escaleras y en las columnas corintias que adornan la estructura. Además, cuenta con numerosas fuentes y esculturas que representan al propio rey Víctor Manuel, así como dos estatuas de la diosa Victoria con sus respectivos carros. Las dimensiones de la estructura abarcan 35 metros de ancho y 40 metros de altura, y cuando se incluyen la cuadriga y las alas de las diosas, alcanza una altura total de 61 metros.
En la base del monumento se halla el museo dedicado a la unificación de Italia, que conmemora este histórico proceso.
Dentro del Monumento a Víctor Manuel II se encuentra también un mausoleo que alberga al soldado desconocido, acompañado de una "llama eterna", establecido tras la Primera Guerra Mundial siguiendo la visión del general Giulio Douhet. El cuerpo del soldado desconocido fue seleccionado por María Bergamas en el pueblo austro-húngaro de Gradisca d'Isonzo, proveniente de un joven que desertó del ejército austro-húngaro para unirse al Regio Esercito (ejército italiano) y que desapareció en acción durante la Primera Guerra Mundial. Fue elegido entre 11 cuerpos no identificados de soldados y marineros de las fuerzas armadas del Reino de Italia (1861-1946). El cuerpo fue transportado desde Aquilea, donde se llevó a cabo la ceremonia con Bergamas, hasta Roma, entre los meses de octubre y noviembre de 1921. (Wikipedia)-
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The Altare della Patria (English: "Altar of the Fatherland"), also known as the Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II, is a monument built in honour of Victor Emmanuel, the first king of a unified Italy, located in Rome, Italy. It occupies a site between the Piazza Venezia and the Capitoline Hill.
The eclectic structure was designed by Giuseppe Sacconi in 1885; sculpture for it was parceled out to established sculptors all over Italy, such as Leonardo Bistolfi and Angelo Zanelli. It was inaugurated in 1911 and completed in 1925.
The monument holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of goddess Roma after World War I following an idea of General Giulio Douhet.
The flags of disbanded units of the Italian Armed Forces, as well as the flags of ships stricken from the naval register of the Italian Navy are stored at the Vittoriano in the so-called Shrine of the Flags (Sacrario delle Bandiere). The oldest flag on display is the flag of the 19th-century frigate Giuseppe Garibaldi.
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In the center of Le Douhet, a village just 12 kms north east of Saintes, is Saint Martial, a 12th century structure, that had to be stabilized by buttresses within the 15th century, when a steeple was built.
The western facade is richly decorated with friezes and archivolts over the portal and the flanking blind arches. There are as well some remarkable corbels. Here is a mouth puller, presenting his ivories.
Phare des baleines.
"Le Grand Phare des Baleines
Construit en 1854 par l'architecte Léonce REYNAUD
Le premier phare des Baleines n'étant plus suffisamment efficace, et de portée trop limitée, on décida la construction d'une tour beaucoup plus haute, soit à proximité de la Vieille tour, soit en mer, sur la pointe rocheuse des Baleines.
Le grand phare des Baleines a été construit dans le cadre du grand programme de 1825 établi par le Service des Phares et Balises sous l'impulsion de Léonce Reynaud. Ce programme prévoyait, entre autres, la construction de grands phares d'atterrissage qui permettraient à tous les marins abordant les côtes françaises de voir une lumière où qu'ils se trouvent.
Dès 1849, on commença simultanément la construction du grand phare actuel et celle d'un phare de troisième ordre en mer, le phare du Haut Banc du Nord, appelé aussi phare des Baleineaux.
Allumé en 1854, le phare des Baleines a fonctionné au pétrole jusqu'en 1882. Il a ensuite été doté d'une centrale de production d'énergie électrique à vapeur vers 1904. Enfin, il a été raccordé au réseau électrique après la seconde guerre mondiale.
Le grand phare des Baleines est un phare de premier ordre, dit aussi phare d'atterrissage. Il est équipé d'optiques de Fresnel, toujours en service, dont la taille permet d'éclairer le plus loin possible.
Le bâtiment est une tour octogonale en pierres apparentes (calcaire de Crazannes, de Saint-Vaize et du Douhet). Le soubassement a été réalisé en granit bleu de Kersanton.