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Rolleiflex 2.8F Xenotar, Fuji Velvia 50
This sub-terranean section of a 1st century Roman Aqueduct originally 10 kilometers in length was a masterpiece of civil engineering. It supplied water to the public baths and distribution points in Saintes, then the capital of Western Gaul. The precision of the construction is evidenced by the constant gradient achieved; one millimeter per meter over the ten kilometers.
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
The Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II (National Monument to Victor Emmanuel II) or Altare della Patria (Altar of the Fatherland) or "Il Vittoriano" is a monument built in honour of Victor Emmanuel, the first king of a unified Italy, located in Rome, Italy. It occupies a site between the Piazza Venezia and the Capitoline Hill. The monument was designed by Giuseppe Sacconi in 1885; sculpture for it was parceled out to established sculptors all over Italy, such as Leonardo Bistolfi and Angelo Zanelli. It was inaugurated in 1911 and completed in 1925.
The monument is built of white marble from Botticino, Brescia, and features stairways, Corinthian columns, fountains, an equestrian sculpture of Victor Emmanuel and two statues of the goddess Victoria riding on quadrigas. The structure is 135 m (443 ft) wide and 70 m (230 ft) high. If the quadrigae and winged victories are included, the height is to 81 m (266 ft).
The monument holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of Italy after World War I following an idea of General Giulio Douhet. The body of the unknown soldier was chosen on 26 October 1921 from among 11 unknown remains by Maria Bergamas, a woman from Gradisca d'Isonzo whose only child was killed during World War I. Her son's body was never recovered. The selected unknown was transferred from Aquileia, where the ceremony with Bergamas had taken place to Rome and buried in a state funeral on 4 November 1921.
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
III Settore (Eccellenze e specificità - Presente e Futuro) - I Sottosettore Istituti di Formazione :
Compagnie Interforze - Scuole Militari Nunziatella - Teuliè (EI) Morosini (MM) Douhet (AM)
Personal Photograph: Great- Grandfathers scrapbook. Photographer: Unknown.
In this was photograph is planes of my great-grandfathers fighter group dropping bombs to the grounds below. Bombings during World War II were very Strategic especially when it came to the aircraft. Kenneth P. Werress said “the bomber will always get through.” Guilio Douhet, Hugh Trenchard, and William Mitchell were three guys who helped develop a revolutionary doctrine of strategic bombing. These guys came up with bombers going to cities with devastating attacks of bombs full of gas and high explosives. The only bad thing was that technology was not near as high tech as it is today and so when the bombardier's were dropping bombs during World War II they never knew exactly when to drop them. It was very rare that the bomb would hit and go off on the exact spot that they wanted it to due to poor technology.
Major General Haywood S. Hansell, Jr. wrote about the Strategic Purposes, Plans and Preparations for the Air Offensive against Japan. He quotes, “The attack of Pearl Harbor roused an apathetic American into a fury of resentment and produced a tidal wave of emotion that swept over the carefully reasoned plans which had been prepared to meet a war emergency.” Once this war began there were tons of angry Americans. But America could not just go in a just start attacking they had to be calm and make up plans and prepare for what was about to happen. With everyone’s emotions flying since the Pearl Harbor attack everyone had a mindset strategy of “Japan first”. Hansell says that everyone was so angry with the Japanese that no one cared about Hitler and his Nazis at the time because everyone just wanted to kill all the Japanese for what they had just done to America.
Strategies during war are one of the most important things. If everyone just went running in like crazy to attack then the war would go crazy which means a lot more people would die. With a strategy everyone knows their plan and what they are to go in and do. It gets the job done a lot faster and smoother. During World War II, Americans became in control of the air. In January, Americans dropped approximately 3,190 high-explosive bombs. The bombs were mainly around 500-pround bombs. Americans dominated pretty much the whole war with their fighter jets and dropping bombs down on the enemies below.
Kenneth P. Werress, __The Strategic Bombing of Germany in World War II__, The Journal of American History 73 (Dec. 1986) 702.
Haywood S. Hansell, "Strategic Air War Against Japan" , (U.S. Government Printing office, 1983): 9.
Jesoph E. Loftus, __Strategy, Economics, and the Bomb__, The Scientific Monthly 68 (May 1949) 311.
For more information go to: en.wikipedia.org/wiki/Strategic_bombing_during_World_War_II
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
In the center of Le Douhet, a village just 12 kms north east of Saintes, is Saint Martial, a 12th century structure, that had to be stabilized by buttresses within the 15th century, when a steeple was built.
The western facade is richly decorated with friezes and archivolts over the portal and the flanking blind arches. Here is the frieze near the wooden door. On the right side is a lion tamer, the left person seems to play with a large snake.
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
The Monument of Victor Emmanuel II (Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II) is a monument to honour Victor Emmanuel, the first king of a unified Italy. It occupies a site between the Piazza Venezia and the Capitoline Hill. The monument was designed by Giuseppe Sacconi in 1885; sculpture for it was parceled out to established sculptors all over Italy, such as Angelo Zanelli. It was inaugurated in 1911 and completed in 1935.
The monument is built of pure white marble, and features majestic stairways, tall Corinthian columns, fountains, a huge equestrian sculpture of Victor Emmanuel and two statues of the goddess Victoria riding on quadrigas. The structure is 135 m (443 ft) wide and 70 m (230 ft) high. If the quadrigae and winged victories are included, the height is to 81 m (266 ft).
The monument holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of Italy after World War I following an idea of General Giulio Douhet.
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Monument to Vittorio Emanuele II
The Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II (National Monument of Victor Emmanuel II) or Altare della Patria (Altar of the Fatherland) or "Il Vittoriano" is a monument to honour Victor Emmanuel, the first king of a unified Italy, located in Rome, Italy. It occupies a site between the Piazza Venezia and the Capitoline Hill. The monument was designed by Giuseppe Sacconi in 1885; sculpture for it was parceled out to established sculptors all over Italy, such as Angelo Zanelli.[1] It was inaugurated in 1911 and completed in 1935.[2]
The monument, "chopped with terrible brutality into the immensely complicated fabric of the hill",[3] is built of pure white marble from Botticino, Brescia, and features majestic stairways, tall Corinthian columns, fountains, a huge equestrian sculpture of Victor Emmanuel and two statues of the goddess Victoria riding on quadrigas. The structure is 135 m (443 ft) wide and 70 m (230 ft) high. If the quadrigae and winged victories are included, the height is to 81 m (266 ft).[2]
The base of the structure houses the museum of Italian Reunification.[2][4] In 2007, a panoramic elevator was added to the structure, allowing visitors to ride up to the roof for 360 degree views of Rome.
The monument holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of Italy after World War I following an idea of General Giulio Douhet. The body of the unknown soldier was chosen on October 26, 1921 from amongst 11 unknown remains by Maria Bergamas, a woman from Gradisca d'Isonzo whose only child was killed during World War I. Her son's body was never recovered. The selected unknown was transferred from Aquileia, where the ceremony with Bergamas had taken place to Rome and buried in a state funeral on November 4, 1921.
The monument was controversial since its construction destroyed a large area of the Capitoline Hill with a Medieval neighbourhood for its sake. The monument itself is often regarded as pompous and too large.[4][6][7] It is clearly visible to most of the city of Rome despite being boxy in general shape and lacking a dome or a tower.[2] The monument is also glaringly white, making it highly conspicuous amidst the generally brownish buildings surrounding it, and its stacked, crowded nature has lent it several nicknames. Foreign people sometimes refer to the structure by a variety of nickname, such as "the wedding cake" and Romans as "the typewriter".[8] Despite all this criticism, the monument still attracts a large number of visitors. Former President of the Republic Carlo Azeglio Ciampi fostered the opening of the Vittoriano as a public forum and viewpoint over the City core. This new accessibility allowed visitors to become familiar with the landmark, enabling it to grow in popular, if not critical, reputation.
t was featured in the 2003 movie The Core where it collapses due to being struck by huge bolts of lightning. It was also featured in the 1987 movie The Belly of an Architect by Peter Greenaway.
O Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II (Monumento Nacional de Vitório Emanuel II) ou Altare della Patria (Altar da Pátria) ou "Il Vittoriano" é um monumento no centro de Roma em honra a Vitório Emanuel, o primeiro rei da Itália unificada. O monumento está entre a Piazza Venezia e o Monte Capitolino. "Il Vittoriano" foi projeto por Giuseppe Sacconi em 1885; suas esculturas foram feitas pelos melhores escultores da Itália, entre eles Angelo Zanelli. O monumento foi inaugurado em 1911 e completado em 1935.
O monumento "esculpido com terrível brutalidade no imensamente complicado tecido da montanha" foi construído de marmore branco puro de Botticino, Brescia e possui magníficas escadarías, altas colunas Coríntias, fontes, uma escultura gigantesca de Vitório Emanuel e duas estátuas da deusa Vitória manejando uma quadriga. A estrutura possui 135m de largura e 70m de altura. Incluindo as quadridas e vitórias com asas a estrutura totaliza 81m.
Na base do monumento está localizada o museu da Reunificação Italiana. Em 2007 um elevador panorâmico foi acrescentado à estrutura, permitindo que visitantes subam ao topo para uma visão de 360 graus de Roma. (tradução do texto em inglês da Wikipedia)
O Monumento a Vittorio Emanuele II também chamado por Il Vittoriano situa-se em plena Piazza Venezia na cidade de Roma. O monumento homenageia Vittorio Emanuele II, primeiro Rei de Itália Unificada. O mármore branco com que foi construído fá-lo destoar do resto da cidade sendo por isso alvo de chacota pelo romanos que lhe chamam "Bolo de Casamento" e "Máquina de Escrever".
Este monumento foi erigido entre 1885 e 1911 para honrar a memória do primeiro rei de Itália - recordemos que até ao século XIX, Itália não era um país como tal. Foi objecto de numerosos debates: A sua brancura foi criticada, Mussolini inicialmente quis mesmo destruí-lo e mais tarde usou-o como ponto de partida dos seus desfiles...
Chamaram-lhe de "máquina de escrever", "mijadeiro de Itália"... Agora mesmo foi "absolvido" por ser considerado um monumento histórico testemunho fundamental de uma época da história italiana. Os melhores artistas da época trabalharam neste monumento.
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)