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Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Llamado también en italiano Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II, es un enorme monumento conmemorativo de la ciudad de Roma, Italia, realizado en honor del primer rey de la Italia unificada, Víctor Manuel II. Se sitúa entre la Piazza Venezia (Plaza de Venecia) y la Colina Capitolina. Fue diseñado por Giuseppe Sacconi en 1895; fue inaugurado en 1911, pero los trabajos terminaron mucho después, entre 1924 y 1927.
El monumento está construido con mármol blanco, mostrado por ejemplo en las majestuosas escaleras o las columnas corintias. También dispone de varias fuentes y esculturas del propio rey Victor Manuel y dos estatuas de la diosa Victoria con sendas cuadrigas. La estructura mide 135 metros de ancho y 70 metros de altura (incluyendo la cuadriga y las alas de las diosas llega a 81 metros). En la base del monumento se encuentra el museo de la unificación de Italia.
En el monumento a Victor Manuel II se encuentra también la tumba al soldado desconocido con una llama eterna construida tras la Primera Guerra Mundial, conforme a la idea del general Giulio Douhet. El cuerpo del soldado desconocido fue escogido por Maria Bergamas, en el pueblo austro-húngaro de Grandisca D'Isonzo, de un joven desertor del ejército austro-húngaro que pasó al Regio Esercito (ejército italiano) y resultó desaparecido en combate durante la Primera Guerra Mundial. Fue elegido entre otros 11 cuerpos de soldados o marineros sin identificar de las fuerzas armadas del Reino de Italia (1861-1946). El cuerpo fue transportado desde Aquilea (donde se realizó la ceremonia con Bergamas) hasta Roma, entre octubre y noviembre de 1921.
El monumento ha sufrido críticas desde que su construcción supuso la destrucción de un gran área de la Colina Capitolina, una de las colinas históricas de Roma, y donde se encontraba un barrio medieval. Para algunos, dicho monumento era demasiado grande y pomposo.1 2 En días soleados, este edificio puede llegar a ser muy brillante, pudiendo incluso ser molesto para la vista si se está cerca o dentro del recinto, dado su impoluto color blanco y su entorno urbano más oscuro. Al ser una construcción tan destacada en el panorama de Roma, ha recibido otras numerosas denominaciones. Desde su origen, los romanos lo llamaban la Zuppa Inglese (una especie de pastel), la tarta de bodas o la falsa boca. Cuando los soldados aliados llegaron a Roma en 1944 lo llamaron también la máquina de escribir, apodo que luego adoptarían los propios italianos. Ello se debe a que la fachada con las columnas no es recta, sino que adopta cierta forma en arco.
A pesar de todas las críticas que ha recibido a lo largo de su historia, el monumento a Victor Manuel II atrae cada año a un gran número de visitantes. La apertura como foro público y lugar panorámico sobre el centro de Roma fue acogido por el antiguo presidente de la República Italiana, Carlo Azeglio Ciampi, permitiendo a la gente acercarse a dicha construcción y dándole así una mejor reputación.
(Fuente: Wikipedia)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
The Altare della Patria ("Altar of the Fatherland"), also known as the Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II ("National Monument to Victor Emmanuel II") or Il Vittoriano, is a monument built in honor of Victor Emmanuel, the first king of a unified Italy. It occupies a site between the Piazza Venezia and the Capitoline Hill.
The eclectic structure was designed by Giuseppe Sacconi in 1885; sculpture for it was parceled out to established sculptors all over Italy. It was inaugurated in 1911 and completed in 1925.
The monument holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of goddess Roma after World War I following an idea of General Giulio Douhet. The body of the unknown soldier was chosen on 26 October 1921 from among 11 unknown remains by Maria Bergamas, a woman from Gradisca d'Isonzo whose only child was killed during World War I. Her son's body was never recovered.
The monument, the largest in Rome, was controversial since its construction destroyed a large area of the Capitoline Hill with a Medieval neighborhood for its sake. The monument itself is often regarded by Italians as conspicuous, pompous and too large.
It is clearly visible to most of the city of Rome despite being boxy in general shape and lacking a dome or a tower. The monument is also glaringly white, built from "corpse-white marble" imported from Botticino in Brescia, making it highly conspicuous amidst the generally brownish buildings surrounding it. For its shape and conspicuous nature, Romans have given it a number of humorous and somewhat uncomplimentary nicknames, including la torta nuziale ("the wedding cake"), la dentiera ("the set of false teeth") and la zuppa inglese ("English soup" dessert).
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
In the center of Le Douhet, a village just 12 kms north east of Saintes, is Saint Martial, a 12th century structure, that had to be stabilized by buttresses within the 15th century, when a steeple was built.
The portal is richly decorated. Here are the archivolts over the entrance. The inner archivolt is centered by the Lamb, enframed by adoring angels. The outer archivolt has a Majestic Christ vertically in the center - and the apostles by the sides.
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Also known as the "wedding cake".
The Altare della Patria (Altar of the Fatherland) also known as the Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II (National Monument to Victor Emmanuel II) or "Il Vittoriano" is a monument built in honour of Victor Emmanuel, the first king of a unified Italy, located in Rome, Italy. It occupies a site between the Piazza Venezia and the Capitoline Hill. The monument was designed by Giuseppe Sacconi in 1885; sculpture for it was parceled out to established sculptors all over Italy, such as Leonardo Bistolfi and Angelo Zanelli.It was inaugurated in 1911 and completed in 1925.
The monument is built of white marble from Botticino, Brescia, and features stairways, Corinthian columns, fountains, an equestrian sculpture of Victor Emmanuel and two statues of the goddess Victoria riding on quadrigas. The structure is 135 m (443 ft) wide and 70 m (230 ft) high. If the quadrigae and winged victories are included, the height is to 81 m (266 ft).
The base of the structure houses the museum of Italian Unification. In 2007, a panoramic elevator was added to the structure, allowing visitors to ride up to the roof for 360 degree views of Rome.
The monument holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of Italy after World War I following an idea of General Giulio Douhet. The body of the unknown soldier was chosen on 26 October 1921 from among 11 unknown remains by Maria Bergamas, a woman from Gradisca d'Isonzo whose only child was killed during World War I. Her son's body was never recovered. The selected unknown was transferred from Aquileia, where the ceremony with Bergamas had taken place to Rome and buried in a state funeral on 4 November 1921.
[wikipedia]
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
The Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II (National Monument to Victor Emmanuel II) or Altare della Patria (Altar of the Motherland) or "Il Vittoriano" is a monument built to honour Victor Emmanuel, the first king of a unified Italy, located in Rome, Italy. It occupies a site between the Piazza Venezia and the Capitoline Hill. The monument was designed by Giuseppe Sacconi in 1885; sculpture for it was parceled out to established sculptors all over Italy, such as Leonardo Bistolfi and Angelo Zanelli. It was inaugurated in 1911 and completed in 1935.
The monument is built of white marble from Botticino, Brescia, and features stairways, Corinthian columns, fountains, an equestrian sculpture of Victor Emmanuel and two statues of the goddess Victoria riding on quadrigas. The structure is 135 m wide and 70 m high. If the quadrigae and winged victories are included, the height is to 81 m.
The base of the structure houses the museum of Italian Reunification. In 2007, a panoramic elevator was added to the structure, allowing visitors to ride up to the roof for 360 degree views of Rome.
The monument holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of Italy after World War I following an idea of General Giulio Douhet. The body of the unknown soldier was chosen on October 26, 1921 from among 11 unknown remains by Maria Bergamas, a woman from Gradisca d'Isonzo whose only child was killed during World War I. Her son's body was never recovered.
The Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II (National Monument of Victor Emmanuel II) or Altare della Patria (Altar of the Fatherland) or "Il Vittoriano" is a monument to honour Victor Emmanuel, the first king of a unified Italy, located in Rome, Italy. It occupies a site between the Piazza Venezia and the Capitoline Hill. The monument was designed by Giuseppe Sacconi in 1895; sculpture for it was parceled out to established sculptors all over Italy. It was inaugurated in 1911 and completed in 1935.
The monument, "chopped with terrible brutality into the immensely complicated fabric of the hill", is built of pure white marble from Botticino, Brescia, and features majestic stairways, tall Corinthian columns, fountains, a huge equestrian sculpture of Victor Emmanuel and two statues of the goddess Victoria riding on quadrigas. The structure is 135 m (443 ft) wide and 70 m (230 ft) high. If the quadrigae and winged victories are included, the height is to 81 m (266 ft). The base of the structure houses the museum of Italian Reunification.
The monument also holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of Italy after World War I following an idea of General Giulio Douhet. The body of the unknown soldier was chosen on October 26, 1921 from amongst 11 unknown remains by Maria Bergamas, a woman from Gradisca d'Isonzo whose only child was killed during World War I. The child's body was never recovered. The selected unknown was transferred from Aquileia, where the ceremony with Bergamas had taken place to Rome and buried in a state funeral on November 4, 1921.
Eglise romane Saint-Martial ; commune du Douhet, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France
L'église du Douhet, dédiée à Saint Martial, est inscrite aux Monuments Historiques depuis le 1er Septembre 1915.
Sa façade et sa nef sont du XIe siècle. Son clocher est du début du XVe. Cet édifice intéressant malgré une certaine lourdeur d'ensemble, n'est pas aussi connu qu'il mériterait de l'être car sa façade est une des plus ornée de la Saintonge. Le clocher, massive construction carrée, a sa plateforme couronnée d'une courte pyramide de pierre, encadrée aux angles de quatre pyramidons à crochets. La nef est abondamment étayée sur son coté Nord par de gros contreforts qui témoignent des inquiétudes inspirées par l'édifice au cours des siècles passés. La façade, à deux étages terminée par un pignon obtus, présente un vaste portail en plein-cintre encadré de deux baies aveugles. Les voussures de ces trois baies portées par des colonnes (quelques-unes baguées) à chapiteaux très historiés, sont ornées d'une riche décoration. Un bandeau réunit tous les chapiteaux et va d'une extrémité à l'autre. On y peut admirer de nombreuses scènes bibliques et des feuillages d'une belle exécution. Parmi les divers sujets représentés il y a lieu de remarquer le Christ et ses Apôtres, un Agneau pascal dans une gloire ronde et peut-être un Péché Originel.
Cette dernière scène est très curieuse. Une femme debout, à laquelle un énorme serpent parle à l'oreille, semble tenir par les cheveux un homme agenouillé à sa droite qui, de la main gauche, lui relève la robe jusqu'au dessus du genou. D'un côté Dieu le père accompagné d'un ange ailé, croise bizarrement les jambes et paraît exécuter un pas de danse. De l'autre un personnage, armé d'un bâton ou d'une épée, en menace la femme.
Au-dessus du rez-de-chaussée et appuyées sur une corniche à modifions se développent trois grandes baies dont deux aveugle: portées par des groupes de colonnes à chapiteaux. L'intérieur de l'édifice est particulièrement sombre du fait des fenêtres rares et très étroites. Les quatre travées de la nef séparées par des colonnes demi-engagées à chapiteaux nus sont recouvertes d'une voûte de pierre en berceau.
Le choeur compte deux travées, dont l'une très courte et ses colonnes sont surmontées de chapiteaux à dragons. L'abside demi-circulaire a sa voûte en cul-de-four ornée d'une gloire en grisaille du XVIIIe siècle avec nuages, triangle, rayons etc. Cette décoration était fréquente autrefois. Ellle a presque complètement disparu. Le chevet, sobrement éclairé par des petites fenêtres romanes, est coupé entre le choeur et l'abside par un mur percé d'un arc en plein-cintre qui porte le clocher.
(extrait de : chapiteaux.free.fr/TXT_le-douhet.html ; auteur : Charles Connoué)
Sfilata militare Festa della Repubblica 2 giugno 2018 Roma.
III SETTORE Marina Militare
IV SETTORE Aeronautica Militare
From right to left, from up to down
Banda musicale della Marina Militare
Allievi della scuola navale militare Morosini e scuola sottoufficiali di Taranto Accademia navale di Livorno
Compagnia rappresentativa di specialità della FFAA con stendardi delle unità navali e sommergibili, palombari e incursori, piloti, brigata San Marco e unità cinofile 3° Reggimento San Marco
Compagnia Brigata Marina "San Marco"
Compagnia allievi Scuola Militare Aeronautica "Giulio Douhet" di Firenze
Accademia Aeronautica di Pozzuoli
Compagnia d'Onore Aeronautica Militare
Republic Day military parade June 2, 2018 Rome.
III SECTOR Marina Militare
IV SECTOR Aeronautica Militare
From right to left, from up to down
Musical band of the Navy
Students of the Morosini military naval school and non-commissioned school of Taranto Naval Academy of Livorno
Representative FFAA specialty company with banners of naval and submersible units, divers and raiders, pilots, San Marco brigade and dog unit 3rd San Marco Regiment
"San Marco" Marine Brigade Company
Company students of the "Giulio Douhet" Military Aeronautical School of Florence
Pozzuoli Aeronautical Academy
Military Aviation Company of Honor
The Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II (National Monument of Victor Emmanuel II) or Altare della Patria (Altar of the Fatherland) or "Il Vittoriano" is a monument to honour Victor Emmanuel, the first king of a unified Italy, located in Rome, Italy. It occupies a site between the Piazza Venezia and the Capitoline Hill. The monument was designed by Giuseppe Sacconi in 1895; sculpture for it was parceled out to established sculptors all over Italy. It was inaugurated in 1911 and completed in 1935.
The monument, "chopped with terrible brutality into the immensely complicated fabric of the hill", is built of pure white marble from Botticino, Brescia, and features majestic stairways, tall Corinthian columns, fountains, a huge equestrian sculpture of Victor Emmanuel and two statues of the goddess Victoria riding on quadrigas. The structure is 135 m (443 ft) wide and 70 m (230 ft) high. If the quadrigae and winged victories are included, the height is to 81 m (266 ft). The base of the structure houses the museum of Italian Reunification.
The monument also holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of Italy after World War I following an idea of General Giulio Douhet. The body of the unknown soldier was chosen on October 26, 1921 from amongst 11 unknown remains by Maria Bergamas, a woman from Gradisca d'Isonzo whose only child was killed during World War I. The child's body was never recovered. The selected unknown was transferred from Aquileia, where the ceremony with Bergamas had taken place to Rome and buried in a state funeral on November 4, 1921.
The Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II (National Monument of Victor Emmanuel II) or Altare della Patria (Altar of the Fatherland) or "II Vittoriano" is a monument to honour Victor Emmanuel, the first king of a unified Italy, located in Rome, Italy. It occupies a site between the Piazza Venezia and the Capitoline Hill. The monument was designed by Giuseppe Sacconi in 1895; sculpture for it was parceled out to established sculptors all over Italy. It was inaugurated in 1911 and completed in 1935.
The monument, "chopped with terrible brutality into the immensely complicated fabric of the hill", is built of pure white marble from Botticino, Brescia, and features majestic stairways, tall Corinthian columns, fountains, a huge equestrian sculpture of Victor Emmanuel and two statues of the goddess Victoria riding on quadrigas. The structure is 135 m (443 ft) wide and 70 m (230 ft) high. If the quadrigae and winged victories are included, the height is to 81 m (266 ft). The base of the structure houses the museum of Italian Reunification.
The monument holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of Italy after World War I following an idea of General Giulio Douhet. The body of the unknown soldier was chosen on October 26, 1921 from amongst 11 unknown remains by Maria Bergamas, a woman from Gradisca d'Isonzo whose only child was killed during World War I. The son's body was never recovered. The selected unknown was transferred from Aquileia, where the ceremony with Bergamas had taken place to Rome and buried in a state funeral on November 4, 1921.
San Martial, parish church of Le Douhet is a 12th century structure, that had to be stabilized by buttresses within the 15th century, when a steeple was built and the building got unbalanced and unstable.
The portal, erected in the typical Saintonge-style, is richly decorated. Here is a corbel, depicting the "Descent from the Cross".
John 19:38
"After these things Joseph of Arimathea, who was a disciple of Jesus, but secretly for fear of the Jews, asked Pilate that he might take away the body of Jesus, and Pilate gave him permission. So he came and took away his body."
The stones, used in medieval times all over the Saintonge, were very soft and so ideal for complex carvings. Unfortunately they weathered over the centuries.
Y aquí estamos, en el Vittoriano en todo su glorioso esplendor!
"Llamado también en italiano Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II, es un enorme monumento de la ciudad de Roma, Italia, realizado en honor del primer rey de la Italia unificada, Víctor Manuel II. Se sitúa entre la Piazza Venezia (Plaza de Venecia) y la Colina Capitolina. Fue diseñado por Giuseppe Sacconi en 1885, inaugurado en 1911 y completado en 1925.
El monumento está construido con mármol blanco, mostrado por ejemplo en las majestuosas escaleras o las columnas corintias. También dispone de varias fuentes y esculturas del propio rey Víctor Manuel y dos estatuas de la diosa Victoria alada con sendas cuadrigas. La estructura mide 135 metros de ancho y 70 metros de altura (incluyendo la cuadriga y las alas de las diosas llega a 81 metros). Fueron realizadas en 1908 por Carlo Fontana y Paolo Bartolini. En el centro está el Altar de la Patria sobre el que se levanta la estatua de Roma, a cuyos pies se colocó la Tumba al Soldado Desconocido. En la base del monumento se encuentra el museo de la unificación de Italia.
La Tumba al Soldado Desconocido cuenta con una llama eterna construida tras la Segunda Guerra Mundial, conforme a la idea del general Giulio Douhet. El cuerpo del soldado desconocido fue escogido por María Bergamas, en el pueblo austro-húngaro de Grandisca D'Isonzo, de un joven desertor del ejército austro-húngaro que pasó al Regio Esercito (ejército italiano) y resultó desaparecido en combate durante la Primera Guerra Mundial. Fue elegido entre otros 11 cuerpos de soldados o marineros sin identificar de las fuerzas armadas del Reino de Italia (1861-1946). El cuerpo fue transportado desde Aquilea (donde se realizó la ceremonia con Bergamas) hasta Roma, entre octubre y noviembre de 1921."
( es.wikipedia.org/wiki/Monumento_a_V%c3%adctor_Manuel_II ).
El escultor veneciano Chiarada trabajó durante 20 años en la estatua ecuestre del rey, que fue terminada, después de su muerte, por Gallon (1901).
Como mencioné en otra fotografía, éste es otro monumento donde avisos escritos así como guardias se encargan de mantener el orden y respeto a la majestad del lugar al que tratan con carácter de "suelo sagrado".
The monument holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of goddess Roma after World War I following an idea of General Giulio Douhet. The body of the unknown soldier was chosen on 26 October 1921 from among 11 unknown remains by Maria Bergamas, a woman from Gradisca d'Isonzo whose only child was killed during World War I. Her son's body was never recovered. The selected unknown was transferred from Aquileia, where the ceremony with Bergamas had taken place, to Rome and buried in a state funeral on 4 November 1921.
The Monumento Nazionale a Vittorio Emanuele II (National Monument to Victor Emmanuel II) or Altare della Patria (Altar of the Motherland) or "Il Vittoriano" was built between 1885 and 1935 to honor Victor Emmanuel, the first king of a unified Italy. It occupies a site between the Piazza Venezia and the Capitoline Hill. The structure is 443 feet wide, 427 feet deep, and 230 feet high. The monument also holds the Tomb of the Unknown Soldier with an eternal flame, built under the statue of Italy after World War I following an idea of General Giulio Douhet. The body of the unknown soldier was chosen on Oct. 26, 1921, from among 11 unknown remains by Maria Bergamas, a woman from Gradisca d'Isonzo whose only child was killed during World War I. Her son's body was never recovered. The selected unknown was transferred from Aquileia, where the ceremony with Bergamas had taken place to Rome and buried in a state funeral on Nov. 4, 1921. This photo was made during a taxi strike in Rome. Rome, Italy. 10 February 1979