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J'ai demandé à la lune
Si tu voulais encore de moi
Elle m'a dit "j'ai pas l'habitude
De m'occuper des cas comme ça"
Et toi et moi
On était tellement sûr
Et on se disait quelquefois
Que c'était juste une aventure
Et que ça ne durerait pas
The Salzspeicher (salt storehouses) of Lübeck, Germany, are six historic brick buildings on the Upper Trave River next to the Holstentor (the western city gate).
Built in the 16th–18th centuries, the houses stored salt that was mined near Lüneburg and brought to Lübeck over the Stecknitz Canal. The salt was then shipped to several ports in the Baltic region, where the commodity was relatively rare, but was in high demand for the preservation of food. The salt trade from the late Middle Ages onward was a major reason for the power of Lübeck and the Hanseatic League
storehouses 1 build 1579
storehouses 2 build 1599
storehouses 3 bulid 1600
storehouses 4 build 1594
storehouses 5 build 1743–1745
storehouses 6 build 1743–1745.
In the course of the centuries, the houses were adapted for the storage of different goods, such as cloth, grain and wood.
Part of the complex was used as the residence of Count Orlok in the classic horror movie Nosferatu, eine Symphonie des Grauens.
Ne me demandez pas pourquoi ces chevaux se sont regroupés de cette façon, je n'en sais rien. Un secret bien gardé ?
"Pourtant" by Vanessa Paradis <3<3<3
"Tu demandais hier
Mon avis sur le bonheur
L'air de rien voilà que tu t'inquiètes
La paix te ferait donc peur
Je l'attise cet amour
Les brindilles volètent
Tu n'y vois que du feu
C'est sa vie secrète
Pourtant... pourtant... pourtant
Les mots sont, les mots font, le mots disent
Les mots coulent, les mots roulent sur un fil
Moi, je laisse ces microbes, ces missiles
Aux bavards, aux poètes si possible
Oh... comme je t'aime quand tu t'expliques
C'est drôle mais...
J'ai rangé les modes et les recettes
Incendié la boîte, mon coeur
De ce petit sacrifice me reste
Un vertige, une chaleur
Je l'attise cet amour
Les brindilles volètent
Tu n'y vois que du feu
C'est sa vie secrète
Pourtant... pourtant... pourtant
Tu sais, tu me demandais hier
Ma vision du bonheur
Eh bien, chaque jour elle est plus nette
Il ne nous fera plus peur
Je l'attise cet amour
Les brindilles volètent
Tu n'y vois que du feu
C'est sa vision secrète
Pourtant... pourtant... pourtant..."
The Queen of Spring is also the Queen of legends
La pivoine chez les Grecs
Dans leur culture, la pivoine est bien plus qu’une jolie fleur des beaux jours, elle est d’abord considérée comme une plante médicinale. Cette faculté a par ailleurs nourri un mythe grec, où se mêlent colère des dieux et guérison. Son nom d’après les rumeurs, lui viendrait du médecin Péon, disciple d’Asclépios, dieu de la médecine. Ce dernier aurait trouvé un remède à la douleur des femmes durant leur accouchement. Son maître jaloux de son talent, se dit que finalement, il mériterait bien de mourir celui-ci. Fort heureusement pour Péon et pour nous, Zeus proposa une punition moins dramatique et changea le jeune médecin en la fleur qu’il avait découverte : une pivoine. Aussi réputée pour ses couleurs vives, ses teintes et nuances ont également inspiré une légende qui continue d’exister dans notre monde moderne, à travers l’expression : “rougir comme une pivoine”.
L’histoire parle ici de la nymphe Péone, qui comme la plupart des naïades était d’une incroyable beauté. Courtisée par tous les dieux, elle eut la mauvaise idée d’en faire un peu trop et d’enfreindre le code divin de la pudeur. Un faux pas, provoquant l’indignation des tout-puissants, qui décidèrent alors de la changer en une fleur extraordinaire : une pivoine. Quant à son erreur de jugement, pour l’inscrire à jamais dans l’histoire, ils donnèrent à ses pétales la couleur de la honte, le rouge. D’où l’expression…
La pivoine au pays du Soleil Levant
L’ Asie regorge de mythes et légendes, qui nous en apprennent un peu plus sur notre fleur préférée. La première, raconte en partie pourquoi le printemps est la saison favorite des pivoines. En Chine durant la dynastie Tang, un jour de grand froid d’hiver, l’impératrice Wu Zetian après avoir bu un peu trop de vin, exigea des fleurs de son jardin qu’elles fleurissent pendant la nuit, pour la satisfaire au petit matin. Le calendrier des fleurs était apparemment le cadet de ses soucis...
Son nom signifiant “celle qui discipline le ciel”, cette dernière était persuadée qu’aucune variété fleurie n'oserait lui désobéir. Le lendemain, seule la pivoine avait décidé de n’en faire qu’à sa tête et d’attendre le printemps. La reine de la saison apparaît alors pour la première fois, comme une fleur au caractère bien trempé. Folle de rage, l’impératrice exila toutes les pivoines du pays à Luoyang, où finalement, elles s’épanouirent fièrement, donnant lieu à un merveilleux spectacle fleuri. La ville est depuis la capitale de la pivoine, et organise chaque année un festival qui lui est dédié.
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The peony among the Greeks
In their culture, the peony is much more than a pretty flower for sunny days, it is first and foremost considered a medicinal plant. This faculty also nourished a Greek myth, where anger of the gods and healing mingle. Its name, according to rumors, comes from the doctor Péon, disciple of Asclepius, god of medicine. The latter would have found a remedy for the pain of women during childbirth. His master, jealous of his talent, said to himself that in the end, he deserved to die this one. Fortunately for Peon and for us, Zeus proposed a less dramatic punishment and changed the young doctor into the flower he had discovered: a peony. Also famous for its bright colors, its shades and shades have also inspired a legend that continues to exist in our modern world, through the expression: “blush like a peony”.
The story here is about the nymph Péone, who like most naiads was incredibly beautiful. Courted by all the gods, she had the bad idea to do a little too much and break the divine code of modesty. A false step, provoking the indignation of the all-powerful, who then decided to change it into an extraordinary flower: a peony. As for its error of judgment, to inscribe it forever in history, they gave its petals the color of shame, red. Hence the term...
Peony in the Land of the Rising Sun
Asia is full of myths and legends, which teach us a little more about our favorite flower. The first, partly tells why spring is the favorite season for peonies. In China during the Tang Dynasty, on a very cold winter day, Empress Wu Zetian after drinking a little too much wine, demanded flowers from her garden to bloom during the night, to satisfy her in the early morning. . The flower calendar was apparently the least of his worries...
Her name meaning "she who disciplines the sky", the latter was convinced that no flowering variety would dare to disobey her. The next day, only the peony had decided to do as it pleased and to wait for spring. The queen of the season then appears for the first time, like a flower with a strong character. Mad with rage, the Empress exiled all the peonies in the country to Luoyang, where they finally blossomed proudly, giving rise to a marvelous flowery spectacle. The city has since been the capital of the peony, and organizes a festival dedicated to it every year.
"Trumpeter Swans demand superlatives: they’re our biggest native waterfowl, stretching to 6 feet in length and weighing more than 25 pounds - almost twice as massive as a Tundra Swan. Getting airborne requires a lumbering takeoff along a 100-yard runway. They breed on wetlands in remote Alaska, Canada, and the northwestern U.S., and winter on ice-free coastal and inland waters.
Measurements: Both Sexes
Length: 54.3-62.2 in (138-158 cm)
Weight: 271.6-448.0 oz (7700-12700 g)
Wingspan: 79.9 in (203 cm)"
The Cornell Lab of Ornithology
Photographed in the wild, Lasalle Park, Burlington, Ontario, Canada. Dec 28, 2019.
Cette chapelle funéraire fut érigée à Beuvry au lieu dit Le Quesnoy à la demande de Henri Joseph Aimé Gosse de Gorre ( 1760- 1851). Il y sera inhumé, avec deux de ses épouses et son gendre. Ces corps ont été exhumés, il y a quelques années et enterrés au cimetière de Beuvry. Alors abandonnée, la chapelle subit les pillages, le vandalisme et les injures du temps qui en ont fait une ruine envahie par la végétation.
La chapelle a été rachetée en 2012 par la Municipalité de Beuvry.
En mai 2013, M. Claude Jouet et Edouard Musial ont entrepris la restauration de ce monument bénévolement.
texture de Lenabem avec mes remerciements : www.flickr.com/photos/lenabem-anna/12276160823/in/photoli...
Une rareté au Québec
Information: oiseaux.net www.oiseaux.net/oiseaux/chardonneret.elegant.html
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(Woliwon)
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où tu iras, j'irai,
où tu demeureras, je demeurerai,
ton peuple sera mon peuple
et ton Dieu sera mon Dieu.
Là où tu mourras, je mourrai
et là je serai ensevelie.
Que l'Éternel me traite durement
si ce n'est pas la mort qui nous séparer !" ...
Le livre de Ruth, 1, 16
*
Ruth entonces contestó: "No me obligues a abandonarte,
no me pidas que de ti me aleje, pues
adonde tu vayas, iré,
done mores, moraré,
tu pueblo será mi pueblo
y tu Dios mi Dios será.
Donde murieres moririré
y allí seré sepultada.
Haga el Padre eterno que solo nos separe la muerte
o me castigue duramente si así no fuere"...
El libro de Ruth, 1, 16
*
Foto: Rural Castilla...
*
Photo : Des terres et des cultures dans la Castille rurale...
'Putin, stop the war against Ukraine immediately!'
Nelli protesting on the roof of our garden shed - Frankfurt-Nordend
for a peaceful Caturday!
Demande à l'obscur
quelle fleur s'éclaire
La première
(Haiku , type de poésie courte originaire du Japon)
Rencontre entre une barge pensive et une échasse blanche juvénile... "Eh petite, là tu me pose vraiment un problème, va demander à ta mère"
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Un gros merci à ceux qui partagent leur découverte.
De retour, avec pas mal de photos à traiter. Malheureusement pas de chouettes ni de hiboux cette année (ça ne peut pas non plus marcher tous les ans sinon les rencontres ne seraient pas aussi intenses), mais pas mal de belles rencontres tout de même. La plus marquante sera je pense celle avec un ours brun, dans le nord de la Suède, traversant la route devant nous. Pas le temps de faire quoi que ce soit, il n'a pas demandé son reste et a vite disparu dans la forêt !
Lors de notre montée, nous nous sommes arrêtés pour la nuit au bord d'un lac, avec un ponton en bois, une table de pique-nique et... une famille de cygnes chanteurs ! Nous avons pu les photographier le soir (dans des conditions de prise de vue un peu difficiles) depuis le ponton sur fond de cris de grues et de pics noirs. Il y avait aussi deux garrots à œil d'or sur ce lac. Et un guignette qui appréciait le ponton (quand on y était pas) !
His hackles up, Gary the green heron stomped his foot in frustration. “Why don’t they understand?!?” The heron world can be so cruel!
Still Photography an excellent way to combine the need to stay at home, as these troubled times demand, and to keep the pleasure of photographing
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J'avais repéré au passage, avant de garer la voiture à quelques centaines de mètres d'ici près de l'usine électrique qui nous vaut le joli lac de Lazer, ce champ d'orge au vert tendre constellé d'une multitude de coquelicots qui campaient effrontément autour d'un arbre solitaire. Je ne voulais pas manquer d'en restituer l'image.
Depuis la petite route paresseuse qui arrive avec nonchalance jusqu'au lac, l'angle de vue vraiment ne me convenait pas : l'arbre restait trop à distance, et la lisière des bois au fond du champ en mangeait les contours : approcher eût été possible, mais je ne souhaitais pas traverser les herbes particulièrement hautes en cette saison de la prairie bordant la route ; la trace de mon passage aurait été telle que le paysan se serait demandé si le réchauffement climatique n'avait pas permis le retour des éléphants dans les environs...
Le champ d'orge était bordé de deux fossés profonds, et celui qui partait de la route, habité d'épineux prunelliers et de ronces cramponnes, était longé par un petit chemin à peine distinct. Arrivé face à l'extrémité de mon champ, il me fallait trouver un passage pour franchir l'obstacle du fossé, boueux après les dernières pluies, et envahi d'une jungle malveillante. Quelques mètres plus loin, une minuscule sente, peut-être tracée par des animaux, me permit de me hisser du bon côté de la mission que je m'étais fixée. Restait à remonter le champ sur une bonne partie de sa longueur en empruntant les sous-bois en pente parfois raide qui s'élevaient depuis sa lisière.
Un itinéraire sans grande difficulté, et particulièrement agréable car de petites clairières s'ouvraient ici et là, permettant aux minuscules lumières bleues des aphyllanthes de Montpellier groupées en touffes épaisses de s'épanouir en un superbe tapis (Voir : www.flickr.com/photos/145414276@N08/49908711793 ). Ces plantes qui apprécient le soleil colonisent les pentes où se mélangent pierres, gravier et argile, contribuant à les stabiliser de leur solide enracinement. Un régal pour les yeux au printemps, où leur bleu clair se marie très esthétiquement avec par exemple le jaune vif des genêts et le blanc rosé ou pourpre des touffes de thym.
Un peu plus loin, je me dis que je ne tarderai pas à arriver en face de mon fier noyer solitaire : je descends quelques mètres pour rejoindre un autre ruisseau, à sec celui-ci, qui forme une gouttière au fond assez large et suit les courbes du champ sur toute sa longueur -- pardon, la nature semble reine encore ici : il convient de reconnaître que ce serait plutôt le champ qui suit avec application ses longues courbes tapissées de roches schisteuses. Du fond de ma gouttière, poussant le nez au-dessus du talus, je peux constater qu'il me faut encore progresser d'une bonne centaine de mètres pour espérer un angle de prise de vue intéressant. Ce ruisseau sans eau m'offre, lui, une trace bien dégagée, et me permet de progresser rapidement, jusqu'à ce que je me heurte à la coalition de gros buissons d'églantiers magnifiquement fleuris de bouquets offrant toutes les nuances du rose, mais bien décidés à me barrer la route de leurs longues tiges tentaculaires qui montrent leurs épines prêtes à harponner les imprudents.
Trois pas à droite, et je suis dans le champ. Les travaux qui ont occupé mes étés autrefois m'ont appris à suivre les rangs plantés de céréales sans écraser la moindre tige : juste la largeur d'une chaussure, les tiges en fleurs de l'orge glissent entre mes jambes, derrière moi, nulle trace !
L'arbre apparaît, je m'approche, les jambes dégoulinantes de l'eau capturée par les épis en formation. Au sortir de cette opération, mon pantalon me collera aux jambes, des cuisses aux chaussures, mais peu importe. Me voici enfin face au tronc bien fier entouré de sa cour en jupes couleur de sang, et je découvre avec intérêt que de cet endroit on distingue, cerise sur le vaste gâteau, le lac de Lazer comme une flaque d'azur au pied des collines boisées...
Quelques clics avant de repartir dans les bois, faire un large détour sous les pins et les chênes, traverser le vastes prairies aux parterres immodérément fleuris, (Voir : www.flickr.com/photos/145414276@N08/49912479937 ) et plus loin redescendre jusqu'au lac afin d'en faire le tour. La randonnée terminée, ma lessive a pu sécher au grand air ! Seules quelques taches vaguement terreuses marquent le tissu de coton...
Alby Manor with a history going back almost to the time of the Vikings is today an art Museum that also have a fine Cafe to stop by for people out at this Island in the Oslofjord for a walk.
In front of the Manor it is popular in the summer to relax on the fine green grass - while in the winter there is a more modest demand for the deck chairs ment for a good time in the sun.
A la demande du Service Public de Wallonie (DGO1), Ney & Partners, en association momentanée avec l'Atelier d'Architecture du Sart Tilman, a réalisé la conception de ce pont routier avec une passerelle piétonne inférieure enjambant l'Ourthe et les voies de chemin de fer, accompagné d’espaces publics paysagers (places, parkings, promenades le long des berges). Le projet a débuté en 2014, mais a connu de nombreux recours, demandes de permis et modifications de tracé. La pose de l'étanchéité et du revêtement routier a permis au trafic automobile de reprendre son cours.
« Le souci d'inscrire avec justesse le nouvel ouvrage d'art dans son paysage est concrétisé dans chacun des aménagements prévus », explique-t-on chez AAST. Les grands arbres existants sont conservés au maximum et la flore en place renforcée. Une attention particulière est accordée au bien-être de la faune. Les déchets pierreux provenant du taillage de la colline sont récupérés afin d’aménager des milieux secs pour les reptiles. Les matériaux nobles rencontrés sont réintégrés dans le projet sous une forme nouvelle (briques, moellons, pavés). Les solutions sont une réelle innovation dans la conception et la réalisation par phases du pont et de sa passerelle. Le tablier en béton de très fine épaisseur a été agencé sur berge et poussé au-dessus de l'Ourthe par sections, sur des appuis provisoires fixés dans l'eau. La passerelle suspendue, les matériaux utilisés, l'éclairage public, sont exploités contextuellement de façon innovante. Le passage piéton sous les voies de chemin de fer est réalisé par poussage en se servant de la colline comme contre butée. »
At the request of the Public Service of Wallonia (DGO1), Ney & Partners, in temporary association with the Atelier d'Architecture du Sart Tilman, designed this road bridge with a lower pedestrian footbridge spanning the Ourthe and the tracks railroad, accompanied by landscaped public spaces (squares, car parks, promenades along the banks). The project began in 2014, but has experienced numerous appeals, permit applications and route changes. The installation of waterproofing and road surfacing has allowed automobile traffic to resume its course.
"The desire to correctly register the new work of art in its landscape is concretized in each of the planned developments", explains one at AAST. The large existing trees are preserved as much as possible and the flora in place reinforced. Particular attention is paid to the welfare of wildlife. Stone waste from the cutting of the hill is recovered in order to create dry environments for reptiles. The noble materials encountered are reintegrated into the project in a new form (bricks, rubble, cobblestones). The solutions are a real innovation in the design and phased construction of the bridge and its walkway. The very thin concrete deck was laid on the bank and pushed above the Ourthe in sections, on temporary supports fixed in the water. The suspended footbridge, the materials used, the public lighting, are contextually exploited in an innovative way. The pedestrian crossing under the railway tracks is carried out by pushing, using the hill as a counter stop. »
A journey on the Cambrian Coast railway between Pwllheli and Dovey Junction, 9 September 2022. A view of the great castle at Harlech on the edge of Snowdonia in North Wales.
This spectacularly sited fortress was one of four great defences erected in North Wales in the late 13th century at the demand of Edward I of England. Constructed between 1282 and 1289, it stands on a natural rock crag that at the time rose straight from the sea, although the shoreline is around a mile away now.
Plante désuète et pleine de charme, le pois de senteur est une annuelle qui fleurit durant l’été, offrant de délicates fleurs papilionacées aux teintes douces et très parfumées. Facile à cultiver, il peut orner rapidement n’importe quel support et ne demande que des arrosages pour abreuver ses belles fleurs.
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(Woliwon)
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Solía Diógenes algunas veces irse a las estatuas y demandarles alguna cosa. Y como se maravillasen de esto los que lo veían, dijo: Hago esto para acostumbrarme a no moverme ni perturbarme si alguna vez demandare algo a los hombres y no lo alcanzare.
Erasmo De Rotterdam
Gracias por vuestra visita.
Cet oiseau à tout pour plaire ! Peu farouche, on peut s'asseoir à distance respectable alors qu'il regarde son domaine sur un petit monticule dans la toundra. Parfois, sa tête tombe en avant, ses yeux se ferment... Il pique littéralement du bec et est parti pour la sieste. Ce n'est que lorsqu'il aura décidé d'aller voir ailleurs ou qu'une buse pattue passe en vol qu'il décolle.
Contrairement à son cousin le labbe parasite, le cleptoparasitisme en été est plutôt rare chez cette espèce. Il préfère chasser les rongeurs. On le voit d'ailleurs souvent faire du vol stationnaire au-dessus de la toundra, à la manière d'un faucon crécerelle.
Celui-ci était accompagné d'un jeune (volant). On a passé un moment à les observer, et le jeune semblait avoir quelque chose de coincé dans la gorge. Il a fini par régurgiter une masse noire peu ragoutante. Il l'a trifouillée un moment, se demandant s'il devait la manger à nouveau ou la laisser là. Quand ils sont partis, on est allé voir. C'était des restes de rongeur, on voyait très bien l'une des pattes !
Norvège
LA ST HUBERT A MERCKEGHEM :
La cornemuse se joue généralement debout car elle demande la pleine capacité des poumons, sauf les modèles à soufflet, qui se jouent assis. S'il suffit d'insuffler le sac pour qu'un son sorte aussitôt par les tuyaux sonnants, il est absolument nécessaire, pour des raisons de stabilité et de tenue de la tonalité, que la poche soit mise à pleine pression afin de procéder à l'accord de l'instrument. Une fois la poche gonflée on peut reprendre une inspiration (parfois certains chantent) car c'est le bras qui sert de régulateur de pression (on souffle donc par alternance), cela permet donc d'avoir un son continu et puissant, le processus de fonctionnement est le même sur un instrument alimenté au moyen d'un soufflet (Northumbrian pipes, uilleann pipes, cabrette, etc.). La poche permet aussi d'augmenter la pression en cas de passage à l'octave supérieure si le type de cornemuse le permet (par exemple: Uilleann pipe, Cabrette, Musette du centre France, Gaïtas, etc.).
Elle se joue en solo, en couple avec une bombarde, une clarinette, une vielle ou un accordéon (Centre de la France, Cabrette) en formation de cornemuses, en pipe band (Écosse) ou encore en bagad (Bretagne) accompagnée de bombardes. On y joue tout autant des danses que de la musique militaire ou religieuse, etc. D'autres cornemuses moins puissantes, telles que la musette de cour ou les uilleann pipes se jouent comme un autre instrument, en solo ou en groupe.
Suivant les cornemuses, le jeu est dit "ouvert" (on lève un doigt de plus pour chaque nouvelle note supérieure), "semi-ouvert" comme sur la cornemuse écossaise-(on lève des doigts et on en abaisse d'autres pour obtenir la note juste), "fermé" comme sur le Northumbrian Small Pipes (tous les doigts restent posés, on lève le doigt correspondant à la note voulue).
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