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CE-02 Embraer ERJ-135-LR Belgian Air Component @ RIAT 2018, RAF Fairford 13/07/2018

French postcard by CE - Cinémagazine Selection, Paris, no. 2040. Photo: Les Films Paramount.

 

Jeanne Boitel (1904-1987) was a French film actress, who was a star in the 1930s. She refused to act in films during the Occupation and distinguished herself in the Resistance during World War II, using the surname of Mozart. She met Jacques Jaujard during her resistance activities in the war and married him.

 

Jeanne Marie Andrée Boitel was born in Paris in 1904. Boitel had a passion for the theatre - she was on stage from the age of 19 - and studied at the Paris Conservatoire, graduating in 1924. After a fine start in her career as a stage actress, her beauty and singing talent were discovered by film directors. She made her first film in Berlin, Le petit écart/The small gap (1932), co-directed by Henri Chomette, René Clair's older brother, and the German actor and filmmaker Reinhold Schünzel. Her partner was Pierre Richard-Willm, whom she reunited with in Un soir au front/One Evening at the Front (Alexandre Ryder, 1931) based on the play by Belgian playwright Henri Kistemaeckers. She played a young woman in Alsace, still annexed to the German Empire, who saves and loves a French officer but remains faithful to her German husband. That same year, she starred opposite Victor Francen, the loyal servant of the Duke of Reichstadt, in L'aiglon/The Eagle (Victor Tourjansky, 1931) written by Edmond Rostand. She ended the year with boulevard comedies, including L'amoureuse aventure/Amorous Adventure (Wilhelm Thiele, 1931) starring Albert Préjean. The year 1932 remained just as active with Chotard et Cie/Chotard and Company (Jean Renoir', 1934), in which Fernand Charpin prevents his daughter's marriage to a budding writer, and Trois pour cent/Three per cent (Jean Dréville, 1934), in which the parents of a poor young man prevent his marriage to a rich girl! She reunited with Reinhold Schünzel in Berlin for Les dieux s'amusent/The gods at play (Reinhold Schünzel, Albert Valentin, 1934), a musical based on Greek mythology, in which Jeanne was a very pretty Alcmène, wife of Amphitryon, alias Henri Garat. She was also very convincing as Madame de Pompadour in Sacha Guitry's Remontons les Champs-Élysées/Let's Go Up the Champs-Élysées (1938). During the 1930s, she made around thirty films and worked with some of the biggest names in French cinema. Her natural distinction destined her - and confined her - to the role of a refined grande dame.

 

After the Occupation, Jeanne Boitel refused to compromise with the Germans, who controlled all cinema from 1940 to 1944, and returned to her original passion for theatre while working for the Resistance. Through her involvement in the Resistance, she met Jacques Jaujard, curator of the Louvre Museum. Under the code name of "Mozart", she was sent to him to inventory and discuss the fate of the works he had hidden. They fell in love and married after the war, following Jaujard's divorce. After the war, Jeanne Boitel became a Sociétaire of the Comédie-Française. She considered herself too old to resume her film career where she had left off. She remained at the Comédie Française from 1948 to 1973. In 1954, she made a modest return to the cinema for Sacha Guitry. He had directed her in Remontons les Champs-Élysées before the war and had fond memories of her. He courted her and finally persuaded her to take the part of Madame de Sévigné in the film Si Versailles m'était conté (Sacha Guitry, 1953), followed by roles as the Duchesse de Dino in Napoléon (Sacha Guitry, 1954) with Raymond Pellegrin in the title role, before playing Sarah Bernhardt in Si Paris m'était conté (Sacha Guitry, 1955). Her last screen appearance was as Madame Maigre in Maigret Tend un piège (Jean Delannoy, 1957), alongside Jean Gabin as George Simenon's famous police detective. This role brought her lasting fame, as for a long time she was the only Madame Maigret in cinema. After one last small role in the television series Le neveu d'Amérique (1973), she retired from acting at the age of 70. Her courage during the Resistance earned her the Croix de Guerre, the Rosette de la Résistance and the Légion d'Honneur. Jeanne Boitel passed away in 1987 in her hometown Paris at the age of 83. She had a son with Jacques Jaujard, François-Xavier Jaujard (1946-1996), a translator and publisher.

 

Sources - French), Wikipedia (French and English) and IMDb.

 

And, please check out our blog European Film Star Postcards.

Embraer ERJ-145LR msn145526 de 2001

Belgian Air Force (12/2001 - 11/2020)

aéroport de Nice Côte d'Azur

02/11/2011

PT-STR, CE-03, F-HYOG.

Zoom sur les silhouettes des arbres aperçues sur la photo précédente.

 

Ravie de vous retrouver après 5 jours sans ordi (porté en boutique pour cause de passage en Windows10).

Cela commençait à me manquer, surtout que j'ai continué à faire des photos et je ne pouvais pas les voir en grand.

2007 IC CE Bus 99 Maxxforce 7

A bunch of side shots on dear princess hime Dekoooobi//,.!asd~~~~

Gravação do curta metragem sobre a historia de Aiuaba/CE da diretora Benilda Calixto, uma das selecionadas do projeto Revelando os Brasis, edição ANO V.

Embraer EMB135LR

Belgian Air Force

Arrecife 28/1/2017

survolée au Ponts-de-Cé avec ses bancs de sable magiques.

Embraer ERJ-145LR msn145526 de 2001

Belgian Air Force (12/2001 - 11/2020)

aéroport de Nice Côte d'Azur

02/11/2011

PT-STR, CE-03, F-HYOG.

former Farley Elementary School - Paducah, KY. Bus is retired.

2023 IC CE with Cummins ISB

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Le château de Trévarez est situé dans la commune de Saint-Goazec, dans le Finistère, en Bretagne. Construit à la fin du xixe siècle par James de Kerjégu, président du conseil général du Finistère pour accueillir ses relations mondaines, c'est, avec son parc ouvert au public, un important monument du Finistère.

 

Le château est à la fois un exemple du style éclectique, alliant les styles victorien et néogothique aux éléments de décor breton, et un prototype de la demeure équipée des plus récentes avancées technologiques de l'époque : ascenseur, chauffage central, eau courante, électricité... Sa porte en fer forgé, d'Achille Busson, fut en outre exposée et primée en 1903 au Grand Palais de Paris avant d'être installée au château.

 

Très endommagé en 1944 par un bombardement allié, il a depuis été racheté et mis en valeur par le conseil général du Finistère.

 

L'ensemble du domaine est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 4 juin 20093. Il a également reçu le label « Patrimoine du XXe siècle »3, ainsi que la distinction Jardin remarquable.

 

Depuis le 1er janvier 2006, cinq domaines patrimoniaux du Finistère - l’Abbaye de Daoulas, l’Abbaye du Relec, le Manoir de Kernault, le Château de Kerjean et le Domaine de Trévarez - sont réunis au sein de l’établissement public de coopération culturelle « Chemins du patrimoine en Finistère ». Pour l’année 2009, ces 5 équipements ont accueilli 173 555 visiteurs, soit un peu de 10 % de la fréquentation totale des structures du Finistère.

  

Sommaire

1Historique du site

2Historique du Château

3Construction

4Architecture

5Parc et jardins

6Notes et références

7Bibliographie

8Voir aussi

9Liens externes

Historique du site

Le nom de Trévarez est d'origine bretonne. Il viendrait de "Trev", qui signifie quartier (ou lieu habité anciennement), "are" désignant un relief ou une échine montagneuse. De nombreuses familles de la noblesse bretonne se succèderont dans ce manoir de la baronnie de Laz, dénommé aussi manoir de Trévaré2. Les terres qui en dépendent sont très vastes et sont composées de 5 paroisses : Saint-Goazec, Laz, Spézet, mais aussi Roudouallec et Guiscriff, dans le Morbihan.

  

Portrait de James de Kerjégu en 1893

En 1567, la baronnie est érigée en marquisat de la Roche par Henri III, au profit du chevalier Troilus de Mesgouez, qui fut page à la cour de Catherine de Médicis avant d'en être l'amant. Gouverneur de la ville de Morlaix, puis vice-roi de Nouvelle-France en 1578. Ce fut sa nièce, Anne de Coëtanezre4, marquise de la Roche et Laz, et épouse de Charles de Kernezne5, qui fit du manoir de Trévarez leur résidence ordinaire. Le manoir fut totalement reconstruit durant le xviie siècle.

 

Article détaillé : Saint-Thois#La seigneurie de La Roche-Helgomarc'h et le marquisat de La Roche-Laz.

Peu avant la Révolution française, les 2 600 hectares de Trévarez (dont 1200 ha cultivables, 700 étant des landes, et 700 autres étant des bois), le manoir familial et la chapelle, parviennent par héritage à Louise du Bot de Grégo6, fille unique de Charles-François Jules du Bot, marquis du Grégo7, épouse du vicomte Antoine-Henry d'Amphernet de Pontbellanger, qui fut chouan et qu'elle dénonça aux troupes de Hoche, lequel était son amant. Louise de Grégo réussira, grâce à ses relations, à épargner Trévarez des pillages révolutionnaires. Veuve, elle épousera alors le Général Bonté dans la chapelle de Trévarez.

 

Du passé seigneurial du site, il reste aujourd'hui le manoir, entièrement modifié puis modernisé en 1860 par François de Kerjégu, la chapelle Saint-Hubert, autrefois dédiée à Notre-Dame, puis reconstruite en 1699 et placée sous le vocable de saint Hubert, patron des chasseurs, et la Fontaine Saint-Hubert, datée de 1700, nichée au pied de l'actuel Château.

 

Statuaire de l'ancienne chapelle

 

Sainte Anne, la Vierge et l'Enfant Jésus (groupe statuaire en bois peint daté XIIIème ou XIVème siècles)

   

Vierge de pitié priant devant le corps du Christ, accompagnée de saint Jean l'Apôtre (bois peint, xve siècle)

 

Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.

  

Les trois frères Monjaret de Kerjegu (de gauche à droite Louis, François et Jules)

Le 25 juillet 1845, François et Louis Monjaret de Kerjégu, issus de la noblesse de robe de Moncontour et Lanvollon, venus des Côtes-du-Nord, qui avaient acquis nombre de biens nationaux et s'étaient enrichis dans la banque, la fabrication de papier et l'armement naval à Brest, rachètent les terres, alors constituées de 2022 ha, pour la somme de 600 000 francs au fils de Louise de Grégo, le vicomte de Pontbellanger. Louis inaugurera en 1847 une ferme expérimentale à Trévarez, qui sera en 1865 transférée au Château de Kervoazec, dont il est le bâtisseur.

 

Plus tard, le domaine de Trévarez reviendra en héritage à James de Kerjégu, dont le beau-père n'est nul-autre que le Baron Samuel de Haber, richissime financier d’origine allemande à qui appartient le château de Courances. De son mariage avec Laure de Haber, veuve du Comte de Bèhague et mère de deux filles (Berthe de Ganay et Martine de Béarn) James aura une fille en 1885, Françoise, tandis que Laure meurt en couches. Le beau-père décèdera en 1898, laissant sa fortune à ses petites-filles. C’est à cette époque que James de Kerjegu décide d'offrir à Françoise une riche demeure et jette son dévolu sur Trévarez dans les Montagnes Noires.

 

Historique du Château

Au pied du Roc'h An Aotroù, James fit construire un vaste château, dernière folie architecturale de l'époque en France, et y intégra tous les conforts de l'époque : deux ascenseurs, eau chaude à tous les étages, sanitaires, chauffage central.... Profondément humaniste, James de Kerjégu fit profiter de ce confort ses domestiques, ce qui était fort inhabituel pour l'époque. Ils disposaient en effet d'un ascenseur spécial pouvant également leur servir de monte-charge.

 

Afin que les invités de prestige puissent avoir constamment des fruits et légumes frais, il fit également construire de vastes serres, dotées de chauffage, à eau modulable. La présence d'une glacière électrique était également connue dans les cuisines, ainsi qu'une rôtissoire et un superbe piano à quatre fours, un four à pâtisserie, deux étuveuses, deux bains-marie et ses plaques de cuisson.

 

Il mourut, peu après l'achèvement des travaux et ce fut sa fille, Françoise, accompagnée de son mari, le marquis Henri de La Ferronnays, qui logea au château, souvent accompagnées par ses demi-sœurs, devenues par mariage marquise de Ganay et comtesse de Béarn. Durant la Belle Époque de Trevarez, on compte jusqu'à 80 domestiques ayant travaillé au Château. On y donnait de fastueuses réceptions, pour la noblesse venue de France, voire du monde entier. Idéalement placé pour cela, le Domaine était très apprécié pour les parties de chasse-à-courre qui y étaient organisées par Henri de la Ferronnays jusqu'en 1939.

 

Lors de la Seconde Guerre mondiale, Trévarez servira, dès octobre 1939, pour y recevoir les objets classés et les collections des musées, du Pas-de-Calais.

 

En juillet 1940, le château sera réquisitionné par les forces d'occupation allemandes et sert de lieu de repos aux sous-mariniers de la kriegsmarine postés au port de Brest entre deux missions en mer et aux sous-mariniers japonais postés au port de Lorient. Il fut bombardé par les Mosquitos de la Royal Air Force le 30 juillet 1944 sur les renseignements de la résistance française. Le château était pourtant inoccupé lors de l'assaut aérien. Le bombardement a atteint toute l'aile ouest du toit aux sous-sols, sur cinq niveaux, ainsi que les cuisines à l'est. Le salon d'apparat et les appartements de réception partiront en fumée.

 

Henri de la Ferronays meurt en 1946. Le château est laissé à l'abandon, en triste état. Le montant des dommages de guerre accordés à sa veuve, Françoise, sans enfants, n'est pas suffisant pour réparer les dégâts. Jusqu'en 1968, le Château sera laissé pour compte. Les tracés des jardins disparaîtront sous la friche, et le château éventré sera la cible de nombreux pillages. Les cheminées, carrelages et tuyauteries de cuivre seront pour la plupart arrachés. La végétation sauvage recouvrira une bonne partie du château.

 

C'est dans ce triste état que Paul et Octave de Ganay, derniers héritiers, neveux de Françoise, mettront en vente le Domaine de Trévarez, avec ses 181 hectares restants, en 1968. Il sera racheté par le Conseil général du Finistère, qui entamera une rénovation progressive, en commençant par l'extérieur du château et les jardins. La toiture du château sera restaurée en 1993, révélant sa structure métallique. Il manquera cependant une cheminée sur le nouveau toit, celle-ci ayant disparu lors du bombardement. Rouvert en 1971, le jardin, aujourd'hui de 85 hectares, est labellisé « Jardin remarquable »8. On y trouva une impressionnante colonie de chauves-souris, espèces protégées, dans les combles ou les sous-sols. Huit espèces différentes cohabitaient dans le château abandonné. Elles ont aujourd'hui un endroit spécial à l'entrée des combles.

 

Construction

D'importants travaux de terrassement seront nécessaires pour ouvrir la montagne et pour réaliser, à mi-pente des Montagnes Noires, la plate-forme qui servira de base.

 

James de Kerjégu redessinera également tout le paysage environnant, important de nombreuses variétés d'arbres et de plantes de plusieurs endroits du monde. Il fera creuser un étang près de l'ancien manoir, et composera un véritable parc forestier à l'anglaise.

 

Les travaux démarrent en 1893. Ce chantier de 14 ans coûtera presque 5 millions de francs-or de l'époque — soit environ 15 millions d'euros. 50 artisans et ouvriers de toutes professions et conditions s'activeront sans relâche sur le chantier et seront logés dans les fermes environnantes.

 

James de Kerjégu fera appel à l'architecte Walter-André Destailleur pour son château. Destailleur ne boude pas les nouveautés de son époque, aussi une grande partie de la charpente sera réalisée en fer recouverte d'un revêtement en maçonnerie. Le Canal de Nantes à Brest, qui passe près de là, servira pour le transport des matériaux venus de toute la pointe bretonne.

 

Certains clichés nous indiquent qu'en 1903 tous les travaux extérieurs étaient finis et que les artisans continuaient de s'affairer à l'intérieur.

 

À l'entrée du parc, deux maisons de fonction seront ajoutées, ainsi que des serres dotées de chauffage à eau modulable, une maison de jardinier et des écuries, dotées d'une grande verrière et d'une cour pavée intérieure.

 

Architecture

 

Vue d'ensemble du château

Le château est édifié en kersantite (ou pierre de Kersanton) et en brique, sa charpente métallique était innovatrice sur un tel bâtiment, et il a été sélectionné pour son architecture à l'Exposition universelle de Saint-Louis de 1904. Le domaine dans sa totalité est inscrit au titre des monuments historiques le 6 avril 2009, incluant le manoir, la ferme expérimentale, les communs ainsi que les stalles conservées des écuries, le logis, la chapelle des deux maisons de fonction, les chenils ainsi que le pavillon de garde de Cavarno3. La grille en fer forgé de la porte d'honneur fut exposée et primée au Grand Palais à Paris en 1903.

  

Façade Nord du château.

L'architecte a fortement travaillé sur les volumes et les différents styles architecturaux, conférant à la bâtisse cette forte allure néogothique, à la fois château fort et château fantastique de contes de fées. Les faux mâchicoulis, pinacles et autres gravures sur l'extérieur du château, soignées au détail et propres au style néogothique, font référence à la Bretagne, à la chasse, ou aux symboles nobles de tous les temps : feuilles de chênes et glands gravés sur les gouttières, fleur de lys, les parements de brique sont de style Louis XIII... Le château est considéré comme un des sommets de l'« historicisme », courant architectural qui prétend réutiliser les formes du passé9.

 

Les ouvertures pratiquées sont bien souvent différentes sur les trois ailes du château, et l'abondance des motifs décoratifs démontre la richesse des maîtres de maison. Les 4 tours sont toutes dissemblables. Certains éléments du palais servent à donner une impression d'unité, comme les hautes cheminées ou les bandeaux de pierre sur la façade.

 

Il est à noter que la construction du château a débuté l'année de l'achèvement de la construction du château de Vouzeron, dans le département du Cher, réalisé par le père de Walter-André Destailleur, Gabriel-Hippolyte Destailleur. Les deux châteaux présentent de très nombreuses similitudes, tant dans les volumes et le style que dans les aménagements de grand luxe déployés.

  

Une des salles restaurées du château de Trévarez

On peut distinguer 3 parties autonomes dans le bâtiment. À l'est, le logement du maître de maison et de sa famille se détache du corps central, étagé sur six niveaux plus un entresol, avec une entrée indépendante en forme de tourelle afin d'adoucir le changement de niveau. Au centre se trouvent les espaces de réception et les chambres des invités de passage. Pour finir, à l'ouest se trouve le salon d'apparat et les appartements d'honneur.

 

Tout le sous-sol sur 920 mètres carrés, visible sur la façade nord du château, dans les contreforts de la plate-forme, est occupé par les cuisines entièrement carrelées et autres pièces telles que les deux chaufferies, boucherie, glacière, blanchisserie, salle de venaison salles à poissons, produits fermiers et à légumes, caves à charbon... Il y avait également trois caves à vins pouvant accueillir 6000 bouteilles. Un monte-plats, dans l'office central, permettait le transfert des repas sans laisser deviner l'intense activité qui régnait au sous-sol.

  

Le château de Trévarez vu du parc

Ce château comporte une centaine de pièces et trente chambres, chacune équipée d'une salle de bains et de chauffe-serviettes. On compte également 20 baignoires, 14 cabinets de toilette et 3 piscines d'agrément. On note la présence des escaliers de service qui permettaient aux domestiques de ne jamais croiser leurs maîtres. Au summum de la modernité, téléphone et lumière électriques sont alimentés par une centrale indépendante située près des écuries.

 

C'était un château de grand luxe pour l'époque, comme en témoigne l'eau chaude courante à tous les étages. Pour ce faire, la bâtisse dispose d'un réservoir de 9 000 mètres cubes d'eau sous les combles de la tour Nord. Au total, on compte une capacité de stockage d'eau de 1 880 mètres cubes. La présence d'un dédale de tuyauterie et d'un aqueduc souterrain de 100 mètres de long qui longe la façade du château montre la volonté de James de Kerjégu de faire dans le luxe et la perfection : En effet, les sanitaires, l'eau chaude courante et les ascenseurs étaient des luxes rares pour l'époque, surtout en plein cœur de la Bretagne. Les robinets d'eau chaude ou froide indiquent une nouvelle fois ce soin dans l'absolu confort.

 

Un wagonnet sur rails de 100 mètres de long dessert également les caves de stockage et les cuisines souterraines jusqu'à l'extrémité ouest, afin d'organiser les livraisons dans la plus grande discrétion et facilité.

 

À la suite du bombardement, seul le rez-de-chaussée et une partie du premier étage du château sont aujourd'hui visitables, le coût des travaux étant bien trop élevé pour pouvoir le restaurer entièrement.

 

Le souterrain, ou égout pluvial, long de 150 mètres, abrite en hiver de nombreuses chauve-souris, dont plusieurs centaines de grands rhinolophes, la colonie de reproduction se déplaçant sous les toits durant l'été.

 

Parc et jardins

Cet ensemble de 85 hectares, parsemé de clairières ornementales et d'allées empierrées, comprend le parc paysager et les jardins ainsi que leurs fabriques : le bassin de la Chasse et les fontaines du jardin Renaissance, en face de la façade Ouest, les deux vasques et le cadran solaire du jardin régulier, les deux statues des enfants maîtres-chiens, les grilles et les piliers des portails d'accès.

 

Il comprend aussi la fontaine du Lion et la fontaine Saint-Hubert, la terrasse sud, les anciens jardins en terrasses, la maison du jardinier, la serre attenante, le verger et le potager et leurs serres (autrefois équipées de chauffages à eau modulables) avec leurs murs de clôture et le bassin central du potager, la cressonnière, le vivier, l'étang artificiel, ainsi que les infrastructures hydrauliques (le réservoir, les canalisations, les vannes)3.

 

Le parc abrite aussi la chapelle Saint-Hubert et, à proximité, un cimetière préhistorique.

 

Ce parc, en tant que jardin mixte, est un jardin remarquable8,10. Il s'agit à l'origine d'un vaste parc à l'anglaise de 85 ha, planté de nombreux arbustes ornementaux (par exemple, on y trouve encore aujourd'hui 160 camélias centenaires), au sein duquel se nichent plusieurs jardins : la carrière romantique, le "jardin japonais", le jardin italien, le jardin régulier… La mise en scène des points de vue vers et depuis le château à l'aide des structures végétales (arbres portes, plantes de terre de bruyère, etc.) caractérise l'architecture du parc originel.

 

En 2014, l'ancien potager clos a également été ouvert aux visiteurs. Avec le Labotanique, installé dans la grande serre en 2015, il complète la réouverture des anciens jardins vivriers, où est implantée une bonne partie des collections.

 

À l'abandon de 1939 à 1968, le parc a été continuellement réaménagé de 1968 à nos jours. Depuis cette date, il est organisé en quadrants, correspondant aux quatre saisons, avec un genre emblématique pour chacune d'elles : le Camélia pour l'hiver, les rhododendrons (et azalées) pour le printemps, l'hydrangéa pour l'été, et les érables et autres feuillages colorés à l'automne. Après l'ouragan dévastateur de 1987, ont été créés par le paysagiste François Brun de nouvelles allées de promenade dans le bois, un ruisseau artificiel en contrebas de la cascade et des fontaines contemporaines11

 

Il abrite aujourd'hui la Collection Nationale des cultivars du genre Rhododendron, avec environ 700 variétés, les Collections Agréées des cultivars ainsi que des espèces botaniques du genre Camellia, dont certaines extrêmement rares, ainsi que de vastes collections de plantes de terre de bruyère (Camellia, Hydrangea, Pieris...), ainsi que d'arbres divers, tels que les érables japonais, chênes, tulipiers de Virginie, tilleuls argentés, ainsi que plusieurs espèces de conifères centenaires (pins de Monterey, pins sylvestre, Sequoia, Sequoiadendron, Sciadopitys, Thujopsis, Thuja plicata 'Aurea').

Wikipédia

Categoría. Sorosilicatos

Clase.9.BG.05b (Strunz)

Fórmula química.Ca(Ce,La,Y)(Al2Fe2+)(O/OH/SiO4/Si2O7)

Propiedades físicas:

Color.Marrón, negro

Raya.Gris-Verde, marrón

Transparencia.Translúcido

Brillo. Vitreo

Sistema cristalino. Monoclínico

Exfoliación.{001}y{100} muy imperfecta

Fractura.Desigual, concoidal

Dureza.5,5

Densidad.3,3 a 4,2 g/cm3

Radioactividad.Radiactividad variable

Variedades principales:

Allanita-(Ce)Posee cerio

Allanita-(La)Posee lantano

Allanita-(Y)Posee itrio

Dans un jardin d'hiver enchanteur,

Où les guirlandes lumineuses dansent parmi le feuillage,

Une bicyclette menthe à l'eau se repose,

Témoin silencieux des confidences partagées.

 

Les chaises en rotin, parées de motifs géométriques,

Accueillent des plaids bleu ciel comme des nuages tombés du ciel,

Tandis que les parasols abaissés, tels des voiles de navire affalées,

Se dressent, majestueux, dans ce havre de paix.

 

Un cercle lumineux, couronne céleste,

Illumine la scène de sa douce auréole,

Pendant que les plantes grimpantes tissent

Une tapisserie vivante sur les murs anciens.

 

Dans ce décor digne d'un conte parisien,

Deux silhouettes esquissent une conversation,

Sous la lueur dorée d'un soir qui s'attarde,

Dans ce jardin où le temps semble suspendu.

 

Les pavés luisants reflètent la magie des lieux,

Comme un miroir d'eau figé dans la pierre,

Où se mêlent les reflets des lumières

Et les promesses d'une soirée enchantée.​​​​​​​​​​​​​​​​

 

CE - Celje

 

Slovenian cars are something of an in-betweener for me: In pre-Covid times, they were not so rare that I would feel any particular joy at a sighting. But nevertheless I am still missing 2 of the actually quite few area codes - SG and PO just don't show up. In the meantime, of course, Slovenian visitors have also become rarer here. The chances of finding the two codes in question are, of course, even lower.

Fala galera, Jati/CE é a paisagem do momento em da um talento na viatura por aqui mais tarde botar na avenida pra finalizar mais um contrato positivo..

#GRCA32AM

seen 02/06/14 on Victoria st in London

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