View allAll Photos Tagged Berthelet

Meyzieu, Lyon, 3 February 2024.

Bonhams Grand Palais Paris

 

1935 Mercedes-Benz 500 K Cabriolet A

Carrosserie Sindelfingen

Vendue neuve à Henri Garat, même propriétaire depuis 1969 Un des 31 exemplaires de cabriolet A produits

Châssis n° 205 178

Carrosserie n° 817607

 

Clou du Salon de l'Automobile de Berlin 1934, la légendaire 500 K de Mercedes-Benz qui coûtait neuve une petite fortune vaut aujourd'hui l'équivalent d'une rançon royale tant elle est rare. La décennie des années 1930 fut une période d'une fertilité sans précédent en matière de style automobile et la 500 K fut un sommet d'excellence. Son charme intemporel n'a jamais été remis en question.

 

La 500 K qui bénéficiait d'une ingénieuse suspension arrière indépendante à essieu brisé fut une création de l'ingénieur Hans Nibel qui avait débuté chez Benz au début du XXe siècle et qui succéda à Marius Barbarou au poste d'ingénieur en chef en 1904, conçut (et pilota) les énormes Benz construites à l'époque qui culminèrent avec la Blitzen Benz (l'éclair Benz) de 200 ch. Après la fusion avec Mercedes, il remplaça Ferdinand Porsche et créa les châssis les plus raffinés de l'époque tant pour les routières que pour les voitures de course dont celui de la première des 'flèches d'argent' de Grand Prix. Les Mercedes de route à compresseur des années 1930 sont un splendide hommage à sa créativité technique.

 

Comme sa remplaçante, la 540 K, la superbe 500 K fut probablement le modèle de production le plus remarquable jamais produit par Stuttgart au cours des années 1930. La 500 K était propulsée par un moteur à huit cylindres en ligne de 5 018 cm3 qui se distinguait par le système de suralimentation par compresseur type Roots caractéristique de la marque selon lequel, en enfonçant l'accélérateur au maximum, la pédale permettait à la fois d'embrayer le compresseur et de couper l'alimentation atmosphérique du carburateur. Ce système avait été expérimenté avec succès sur les séries précédentes des voitures Type S du Dr Ferdinand Porsche et, de fait, les 500/540K furent les dernières Mercedes de production suralimentées jusqu'à une époque assez récente.

Sous un capot interminable, le moteur à huit cylindres de la 500 K développait 100 ch avec alimentation atmosphérique et 160 avec le compresseur engagé. La boîte était à quatre rapports dont le quatrième surmultiplié. Compresseur embrayé, la 500 K frôlait 177 km/h, vitesse compensée par des freins hydrauliques assistés. Son potentiel de performances était tel que Mercedes-Benz au Royaume-Uni retint les services du pilote Goffredo 'Freddy' Zehender comme conseiller technique et démonstrateur car la Mercedes à compresseur était une des rares voitures des années 1930 capable d'atteindre 100 miles à l'heure (160 km/h).

 

Si les châssis 500/540 K retinrent l'attention des meilleurs carrossiers de l'époque, les propres ateliers de carrosserie de l'usine de Sindelfingen ne leur permirent guère de faire mieux. Le cabriolet se présenta sous une grande variété de styles, l'exemplaire proposé ici étant du type Cabriolet A à deux portes et conduite à gauche. Åuvre du talentueux Hermann Ahrens, directeur du style de la carrosserie Mercedes-Benz de Sindelfingen, le Cabriolet A offrait une carrosserie à deux places combinée à de performances époustouflantes. Après avoir essayé un cabriolet 500 K en 1936, le magazine The Autocar écrivit : 'C'est une maîtresse automobile et pour une petite élite. La seule insolence de sa formidable puissance est déjà une expérience en soi.'

 

Les statistiques de production de la 500 K révèlent son caractère exclusif : 105 unités en 1934, 190 en 1935 et 59 en 1936 pour un total de 354 voitures seulement dont 31 cabriolets A. Récemment, la rareté, le style et la performance de ces grandes Mercedes à compresseur en ont fait une des plus recherchées de toutes les automobiles classiques lors des rares fois où elles sont apparues en vente publique.

 

Le Cabriolet 500 K au caractère imposant et à l'élégance suprême que nous proposons ici fut livré neuf à Berlin (Allemagne) le 15 juin 1935 à son premier propriétaire, le célèbre acteur français Henri Garat. Né Emile Henri Garascu le 3 avril 1902 à Paris, Garat tourna dans plus de 40 films presque tous réalisés dans les années 1930. La 500 K de Garat est illustrée dans l'ouvrage de Jan Melin 'Mercedes-Benz â The Supercharged 8-Cylinder Cars of the 1930s' avec son heureux premier propriétaire (Volume 1) et à Paris au Concours d'élégance de juin 1936 en compagnie de deux élégantes jeunes femmes (Volume 2).

 

Le propriétaire actuel acheta la 500 K en décembre 1969. Totalement restaurée entre 2001 et 2007, la voiture est accompagnée d'un dossier de factures émises par Nusbaumer SA de Delémont en Suisse (travaux mécaniques), du spécialiste de la marque Reifen-Wagner Mercedes-Benz Kompressorwagen Restaurierung de Landshut, Allemagne (pièces) et de Mercedes-Benz, Stuttgart (pièces). La Carrosserie Berthelet de Genève (Suisse) a réalisé les travaux de carrosserie.

 

Le dossier historique contient aussi la correspondance avec Mercedes-Benz Stuttgart concernant cette voiture, des copies des extraits du livre des commandes de l'usine, un catalogue de 500 K, un catalogue des Cabriolets Mercedes-Benz, deux affiches de films d'Henri Garat , un lot de photos de la restauration et le 'permis de circulation' suisse en cours de validité. Un cric et les manuels de l'utilisateur et des pièces détachées sont joints à la voiture. Parfaite représentante de ce que la grande fortune pouvait offrir de mieux au milieu des années 1930, cette automobile est un excellent exemple d'une grande classique allemande et un testimonial du goût et du raffinement de son propriétaire.

Bonhams Grand Palais Paris

 

1935 Mercedes-Benz 500 K Cabriolet A

Carrosserie Sindelfingen

Vendue neuve à Henri Garat, même propriétaire depuis 1969 Un des 31 exemplaires de cabriolet A produits

Châssis n° 205 178

Carrosserie n° 817607

 

Clou du Salon de l'Automobile de Berlin 1934, la légendaire 500 K de Mercedes-Benz qui coûtait neuve une petite fortune vaut aujourd'hui l'équivalent d'une rançon royale tant elle est rare. La décennie des années 1930 fut une période d'une fertilité sans précédent en matière de style automobile et la 500 K fut un sommet d'excellence. Son charme intemporel n'a jamais été remis en question.

 

La 500 K qui bénéficiait d'une ingénieuse suspension arrière indépendante à essieu brisé fut une création de l'ingénieur Hans Nibel qui avait débuté chez Benz au début du XXe siècle et qui succéda à Marius Barbarou au poste d'ingénieur en chef en 1904, conçut (et pilota) les énormes Benz construites à l'époque qui culminèrent avec la Blitzen Benz (l'éclair Benz) de 200 ch. Après la fusion avec Mercedes, il remplaça Ferdinand Porsche et créa les châssis les plus raffinés de l'époque tant pour les routières que pour les voitures de course dont celui de la première des 'flèches d'argent' de Grand Prix. Les Mercedes de route à compresseur des années 1930 sont un splendide hommage à sa créativité technique.

 

Comme sa remplaçante, la 540 K, la superbe 500 K fut probablement le modèle de production le plus remarquable jamais produit par Stuttgart au cours des années 1930. La 500 K était propulsée par un moteur à huit cylindres en ligne de 5 018 cm3 qui se distinguait par le système de suralimentation par compresseur type Roots caractéristique de la marque selon lequel, en enfonçant l'accélérateur au maximum, la pédale permettait à la fois d'embrayer le compresseur et de couper l'alimentation atmosphérique du carburateur. Ce système avait été expérimenté avec succès sur les séries précédentes des voitures Type S du Dr Ferdinand Porsche et, de fait, les 500/540K furent les dernières Mercedes de production suralimentées jusqu'à une époque assez récente.

Sous un capot interminable, le moteur à huit cylindres de la 500 K développait 100 ch avec alimentation atmosphérique et 160 avec le compresseur engagé. La boîte était à quatre rapports dont le quatrième surmultiplié. Compresseur embrayé, la 500 K frôlait 177 km/h, vitesse compensée par des freins hydrauliques assistés. Son potentiel de performances était tel que Mercedes-Benz au Royaume-Uni retint les services du pilote Goffredo 'Freddy' Zehender comme conseiller technique et démonstrateur car la Mercedes à compresseur était une des rares voitures des années 1930 capable d'atteindre 100 miles à l'heure (160 km/h).

 

Si les châssis 500/540 K retinrent l'attention des meilleurs carrossiers de l'époque, les propres ateliers de carrosserie de l'usine de Sindelfingen ne leur permirent guère de faire mieux. Le cabriolet se présenta sous une grande variété de styles, l'exemplaire proposé ici étant du type Cabriolet A à deux portes et conduite à gauche. Åuvre du talentueux Hermann Ahrens, directeur du style de la carrosserie Mercedes-Benz de Sindelfingen, le Cabriolet A offrait une carrosserie à deux places combinée à de performances époustouflantes. Après avoir essayé un cabriolet 500 K en 1936, le magazine The Autocar écrivit : 'C'est une maîtresse automobile et pour une petite élite. La seule insolence de sa formidable puissance est déjà une expérience en soi.'

 

Les statistiques de production de la 500 K révèlent son caractère exclusif : 105 unités en 1934, 190 en 1935 et 59 en 1936 pour un total de 354 voitures seulement dont 31 cabriolets A. Récemment, la rareté, le style et la performance de ces grandes Mercedes à compresseur en ont fait une des plus recherchées de toutes les automobiles classiques lors des rares fois où elles sont apparues en vente publique.

 

Le Cabriolet 500 K au caractère imposant et à l'élégance suprême que nous proposons ici fut livré neuf à Berlin (Allemagne) le 15 juin 1935 à son premier propriétaire, le célèbre acteur français Henri Garat. Né Emile Henri Garascu le 3 avril 1902 à Paris, Garat tourna dans plus de 40 films presque tous réalisés dans les années 1930. La 500 K de Garat est illustrée dans l'ouvrage de Jan Melin 'Mercedes-Benz â The Supercharged 8-Cylinder Cars of the 1930s' avec son heureux premier propriétaire (Volume 1) et à Paris au Concours d'élégance de juin 1936 en compagnie de deux élégantes jeunes femmes (Volume 2).

 

Le propriétaire actuel acheta la 500 K en décembre 1969. Totalement restaurée entre 2001 et 2007, la voiture est accompagnée d'un dossier de factures émises par Nusbaumer SA de Delémont en Suisse (travaux mécaniques), du spécialiste de la marque Reifen-Wagner Mercedes-Benz Kompressorwagen Restaurierung de Landshut, Allemagne (pièces) et de Mercedes-Benz, Stuttgart (pièces). La Carrosserie Berthelet de Genève (Suisse) a réalisé les travaux de carrosserie.

 

Le dossier historique contient aussi la correspondance avec Mercedes-Benz Stuttgart concernant cette voiture, des copies des extraits du livre des commandes de l'usine, un catalogue de 500 K, un catalogue des Cabriolets Mercedes-Benz, deux affiches de films d'Henri Garat , un lot de photos de la restauration et le 'permis de circulation' suisse en cours de validité. Un cric et les manuels de l'utilisateur et des pièces détachées sont joints à la voiture. Parfaite représentante de ce que la grande fortune pouvait offrir de mieux au milieu des années 1930, cette automobile est un excellent exemple d'une grande classique allemande et un testimonial du goût et du raffinement de son propriétaire.

La maison Pierre-Berthelet est située dans le Vieux-Montréal. Elle a été construite entre 1805 et 1809.

Bonhams Grand Palais Paris

 

1935 Mercedes-Benz 500 K Cabriolet A

Carrosserie Sindelfingen

Vendue neuve à Henri Garat, même propriétaire depuis 1969 Un des 31 exemplaires de cabriolet A produits

Châssis n° 205 178

Carrosserie n° 817607

 

Clou du Salon de l'Automobile de Berlin 1934, la légendaire 500 K de Mercedes-Benz qui coûtait neuve une petite fortune vaut aujourd'hui l'équivalent d'une rançon royale tant elle est rare. La décennie des années 1930 fut une période d'une fertilité sans précédent en matière de style automobile et la 500 K fut un sommet d'excellence. Son charme intemporel n'a jamais été remis en question.

 

La 500 K qui bénéficiait d'une ingénieuse suspension arrière indépendante à essieu brisé fut une création de l'ingénieur Hans Nibel qui avait débuté chez Benz au début du XXe siècle et qui succéda à Marius Barbarou au poste d'ingénieur en chef en 1904, conçut (et pilota) les énormes Benz construites à l'époque qui culminèrent avec la Blitzen Benz (l'éclair Benz) de 200 ch. Après la fusion avec Mercedes, il remplaça Ferdinand Porsche et créa les châssis les plus raffinés de l'époque tant pour les routières que pour les voitures de course dont celui de la première des 'flèches d'argent' de Grand Prix. Les Mercedes de route à compresseur des années 1930 sont un splendide hommage à sa créativité technique.

 

Comme sa remplaçante, la 540 K, la superbe 500 K fut probablement le modèle de production le plus remarquable jamais produit par Stuttgart au cours des années 1930. La 500 K était propulsée par un moteur à huit cylindres en ligne de 5 018 cm3 qui se distinguait par le système de suralimentation par compresseur type Roots caractéristique de la marque selon lequel, en enfonçant l'accélérateur au maximum, la pédale permettait à la fois d'embrayer le compresseur et de couper l'alimentation atmosphérique du carburateur. Ce système avait été expérimenté avec succès sur les séries précédentes des voitures Type S du Dr Ferdinand Porsche et, de fait, les 500/540K furent les dernières Mercedes de production suralimentées jusqu'à une époque assez récente.

Sous un capot interminable, le moteur à huit cylindres de la 500 K développait 100 ch avec alimentation atmosphérique et 160 avec le compresseur engagé. La boîte était à quatre rapports dont le quatrième surmultiplié. Compresseur embrayé, la 500 K frôlait 177 km/h, vitesse compensée par des freins hydrauliques assistés. Son potentiel de performances était tel que Mercedes-Benz au Royaume-Uni retint les services du pilote Goffredo 'Freddy' Zehender comme conseiller technique et démonstrateur car la Mercedes à compresseur était une des rares voitures des années 1930 capable d'atteindre 100 miles à l'heure (160 km/h).

 

Si les châssis 500/540 K retinrent l'attention des meilleurs carrossiers de l'époque, les propres ateliers de carrosserie de l'usine de Sindelfingen ne leur permirent guère de faire mieux. Le cabriolet se présenta sous une grande variété de styles, l'exemplaire proposé ici étant du type Cabriolet A à deux portes et conduite à gauche. Åuvre du talentueux Hermann Ahrens, directeur du style de la carrosserie Mercedes-Benz de Sindelfingen, le Cabriolet A offrait une carrosserie à deux places combinée à de performances époustouflantes. Après avoir essayé un cabriolet 500 K en 1936, le magazine The Autocar écrivit : 'C'est une maîtresse automobile et pour une petite élite. La seule insolence de sa formidable puissance est déjà une expérience en soi.'

 

Les statistiques de production de la 500 K révèlent son caractère exclusif : 105 unités en 1934, 190 en 1935 et 59 en 1936 pour un total de 354 voitures seulement dont 31 cabriolets A. Récemment, la rareté, le style et la performance de ces grandes Mercedes à compresseur en ont fait une des plus recherchées de toutes les automobiles classiques lors des rares fois où elles sont apparues en vente publique.

 

Le Cabriolet 500 K au caractère imposant et à l'élégance suprême que nous proposons ici fut livré neuf à Berlin (Allemagne) le 15 juin 1935 à son premier propriétaire, le célèbre acteur français Henri Garat. Né Emile Henri Garascu le 3 avril 1902 à Paris, Garat tourna dans plus de 40 films presque tous réalisés dans les années 1930. La 500 K de Garat est illustrée dans l'ouvrage de Jan Melin 'Mercedes-Benz â The Supercharged 8-Cylinder Cars of the 1930s' avec son heureux premier propriétaire (Volume 1) et à Paris au Concours d'élégance de juin 1936 en compagnie de deux élégantes jeunes femmes (Volume 2).

 

Le propriétaire actuel acheta la 500 K en décembre 1969. Totalement restaurée entre 2001 et 2007, la voiture est accompagnée d'un dossier de factures émises par Nusbaumer SA de Delémont en Suisse (travaux mécaniques), du spécialiste de la marque Reifen-Wagner Mercedes-Benz Kompressorwagen Restaurierung de Landshut, Allemagne (pièces) et de Mercedes-Benz, Stuttgart (pièces). La Carrosserie Berthelet de Genève (Suisse) a réalisé les travaux de carrosserie.

 

Le dossier historique contient aussi la correspondance avec Mercedes-Benz Stuttgart concernant cette voiture, des copies des extraits du livre des commandes de l'usine, un catalogue de 500 K, un catalogue des Cabriolets Mercedes-Benz, deux affiches de films d'Henri Garat , un lot de photos de la restauration et le 'permis de circulation' suisse en cours de validité. Un cric et les manuels de l'utilisateur et des pièces détachées sont joints à la voiture. Parfaite représentante de ce que la grande fortune pouvait offrir de mieux au milieu des années 1930, cette automobile est un excellent exemple d'une grande classique allemande et un testimonial du goût et du raffinement de son propriétaire.

Autoroute A43-Aire du Granier-Myans (Savoie)

Bonhams Grand Palais Paris

 

1935 Mercedes-Benz 500 K Cabriolet A

Carrosserie Sindelfingen

Vendue neuve à Henri Garat, même propriétaire depuis 1969 Un des 31 exemplaires de cabriolet A produits

Châssis n° 205 178

Carrosserie n° 817607

 

Clou du Salon de l'Automobile de Berlin 1934, la légendaire 500 K de Mercedes-Benz qui coûtait neuve une petite fortune vaut aujourd'hui l'équivalent d'une rançon royale tant elle est rare. La décennie des années 1930 fut une période d'une fertilité sans précédent en matière de style automobile et la 500 K fut un sommet d'excellence. Son charme intemporel n'a jamais été remis en question.

 

La 500 K qui bénéficiait d'une ingénieuse suspension arrière indépendante à essieu brisé fut une création de l'ingénieur Hans Nibel qui avait débuté chez Benz au début du XXe siècle et qui succéda à Marius Barbarou au poste d'ingénieur en chef en 1904, conçut (et pilota) les énormes Benz construites à l'époque qui culminèrent avec la Blitzen Benz (l'éclair Benz) de 200 ch. Après la fusion avec Mercedes, il remplaça Ferdinand Porsche et créa les châssis les plus raffinés de l'époque tant pour les routières que pour les voitures de course dont celui de la première des 'flèches d'argent' de Grand Prix. Les Mercedes de route à compresseur des années 1930 sont un splendide hommage à sa créativité technique.

 

Comme sa remplaçante, la 540 K, la superbe 500 K fut probablement le modèle de production le plus remarquable jamais produit par Stuttgart au cours des années 1930. La 500 K était propulsée par un moteur à huit cylindres en ligne de 5 018 cm3 qui se distinguait par le système de suralimentation par compresseur type Roots caractéristique de la marque selon lequel, en enfonçant l'accélérateur au maximum, la pédale permettait à la fois d'embrayer le compresseur et de couper l'alimentation atmosphérique du carburateur. Ce système avait été expérimenté avec succès sur les séries précédentes des voitures Type S du Dr Ferdinand Porsche et, de fait, les 500/540K furent les dernières Mercedes de production suralimentées jusqu'à une époque assez récente.

Sous un capot interminable, le moteur à huit cylindres de la 500 K développait 100 ch avec alimentation atmosphérique et 160 avec le compresseur engagé. La boîte était à quatre rapports dont le quatrième surmultiplié. Compresseur embrayé, la 500 K frôlait 177 km/h, vitesse compensée par des freins hydrauliques assistés. Son potentiel de performances était tel que Mercedes-Benz au Royaume-Uni retint les services du pilote Goffredo 'Freddy' Zehender comme conseiller technique et démonstrateur car la Mercedes à compresseur était une des rares voitures des années 1930 capable d'atteindre 100 miles à l'heure (160 km/h).

 

Si les châssis 500/540 K retinrent l'attention des meilleurs carrossiers de l'époque, les propres ateliers de carrosserie de l'usine de Sindelfingen ne leur permirent guère de faire mieux. Le cabriolet se présenta sous une grande variété de styles, l'exemplaire proposé ici étant du type Cabriolet A à deux portes et conduite à gauche. Åuvre du talentueux Hermann Ahrens, directeur du style de la carrosserie Mercedes-Benz de Sindelfingen, le Cabriolet A offrait une carrosserie à deux places combinée à de performances époustouflantes. Après avoir essayé un cabriolet 500 K en 1936, le magazine The Autocar écrivit : 'C'est une maîtresse automobile et pour une petite élite. La seule insolence de sa formidable puissance est déjà une expérience en soi.'

 

Les statistiques de production de la 500 K révèlent son caractère exclusif : 105 unités en 1934, 190 en 1935 et 59 en 1936 pour un total de 354 voitures seulement dont 31 cabriolets A. Récemment, la rareté, le style et la performance de ces grandes Mercedes à compresseur en ont fait une des plus recherchées de toutes les automobiles classiques lors des rares fois où elles sont apparues en vente publique.

 

Le Cabriolet 500 K au caractère imposant et à l'élégance suprême que nous proposons ici fut livré neuf à Berlin (Allemagne) le 15 juin 1935 à son premier propriétaire, le célèbre acteur français Henri Garat. Né Emile Henri Garascu le 3 avril 1902 à Paris, Garat tourna dans plus de 40 films presque tous réalisés dans les années 1930. La 500 K de Garat est illustrée dans l'ouvrage de Jan Melin 'Mercedes-Benz â The Supercharged 8-Cylinder Cars of the 1930s' avec son heureux premier propriétaire (Volume 1) et à Paris au Concours d'élégance de juin 1936 en compagnie de deux élégantes jeunes femmes (Volume 2).

 

Le propriétaire actuel acheta la 500 K en décembre 1969. Totalement restaurée entre 2001 et 2007, la voiture est accompagnée d'un dossier de factures émises par Nusbaumer SA de Delémont en Suisse (travaux mécaniques), du spécialiste de la marque Reifen-Wagner Mercedes-Benz Kompressorwagen Restaurierung de Landshut, Allemagne (pièces) et de Mercedes-Benz, Stuttgart (pièces). La Carrosserie Berthelet de Genève (Suisse) a réalisé les travaux de carrosserie.

 

Le dossier historique contient aussi la correspondance avec Mercedes-Benz Stuttgart concernant cette voiture, des copies des extraits du livre des commandes de l'usine, un catalogue de 500 K, un catalogue des Cabriolets Mercedes-Benz, deux affiches de films d'Henri Garat , un lot de photos de la restauration et le 'permis de circulation' suisse en cours de validité. Un cric et les manuels de l'utilisateur et des pièces détachées sont joints à la voiture. Parfaite représentante de ce que la grande fortune pouvait offrir de mieux au milieu des années 1930, cette automobile est un excellent exemple d'une grande classique allemande et un testimonial du goût et du raffinement de son propriétaire.

Bonhams Grand Palais Paris

 

1935 Mercedes-Benz 500 K Cabriolet A

Carrosserie Sindelfingen

Vendue neuve à Henri Garat, même propriétaire depuis 1969 Un des 31 exemplaires de cabriolet A produits

Châssis n° 205 178

Carrosserie n° 817607

 

Clou du Salon de l'Automobile de Berlin 1934, la légendaire 500 K de Mercedes-Benz qui coûtait neuve une petite fortune vaut aujourd'hui l'équivalent d'une rançon royale tant elle est rare. La décennie des années 1930 fut une période d'une fertilité sans précédent en matière de style automobile et la 500 K fut un sommet d'excellence. Son charme intemporel n'a jamais été remis en question.

 

La 500 K qui bénéficiait d'une ingénieuse suspension arrière indépendante à essieu brisé fut une création de l'ingénieur Hans Nibel qui avait débuté chez Benz au début du XXe siècle et qui succéda à Marius Barbarou au poste d'ingénieur en chef en 1904, conçut (et pilota) les énormes Benz construites à l'époque qui culminèrent avec la Blitzen Benz (l'éclair Benz) de 200 ch. Après la fusion avec Mercedes, il remplaça Ferdinand Porsche et créa les châssis les plus raffinés de l'époque tant pour les routières que pour les voitures de course dont celui de la première des 'flèches d'argent' de Grand Prix. Les Mercedes de route à compresseur des années 1930 sont un splendide hommage à sa créativité technique.

 

Comme sa remplaçante, la 540 K, la superbe 500 K fut probablement le modèle de production le plus remarquable jamais produit par Stuttgart au cours des années 1930. La 500 K était propulsée par un moteur à huit cylindres en ligne de 5 018 cm3 qui se distinguait par le système de suralimentation par compresseur type Roots caractéristique de la marque selon lequel, en enfonçant l'accélérateur au maximum, la pédale permettait à la fois d'embrayer le compresseur et de couper l'alimentation atmosphérique du carburateur. Ce système avait été expérimenté avec succès sur les séries précédentes des voitures Type S du Dr Ferdinand Porsche et, de fait, les 500/540K furent les dernières Mercedes de production suralimentées jusqu'à une époque assez récente.

Sous un capot interminable, le moteur à huit cylindres de la 500 K développait 100 ch avec alimentation atmosphérique et 160 avec le compresseur engagé. La boîte était à quatre rapports dont le quatrième surmultiplié. Compresseur embrayé, la 500 K frôlait 177 km/h, vitesse compensée par des freins hydrauliques assistés. Son potentiel de performances était tel que Mercedes-Benz au Royaume-Uni retint les services du pilote Goffredo 'Freddy' Zehender comme conseiller technique et démonstrateur car la Mercedes à compresseur était une des rares voitures des années 1930 capable d'atteindre 100 miles à l'heure (160 km/h).

 

Si les châssis 500/540 K retinrent l'attention des meilleurs carrossiers de l'époque, les propres ateliers de carrosserie de l'usine de Sindelfingen ne leur permirent guère de faire mieux. Le cabriolet se présenta sous une grande variété de styles, l'exemplaire proposé ici étant du type Cabriolet A à deux portes et conduite à gauche. Åuvre du talentueux Hermann Ahrens, directeur du style de la carrosserie Mercedes-Benz de Sindelfingen, le Cabriolet A offrait une carrosserie à deux places combinée à de performances époustouflantes. Après avoir essayé un cabriolet 500 K en 1936, le magazine The Autocar écrivit : 'C'est une maîtresse automobile et pour une petite élite. La seule insolence de sa formidable puissance est déjà une expérience en soi.'

 

Les statistiques de production de la 500 K révèlent son caractère exclusif : 105 unités en 1934, 190 en 1935 et 59 en 1936 pour un total de 354 voitures seulement dont 31 cabriolets A. Récemment, la rareté, le style et la performance de ces grandes Mercedes à compresseur en ont fait une des plus recherchées de toutes les automobiles classiques lors des rares fois où elles sont apparues en vente publique.

 

Le Cabriolet 500 K au caractère imposant et à l'élégance suprême que nous proposons ici fut livré neuf à Berlin (Allemagne) le 15 juin 1935 à son premier propriétaire, le célèbre acteur français Henri Garat. Né Emile Henri Garascu le 3 avril 1902 à Paris, Garat tourna dans plus de 40 films presque tous réalisés dans les années 1930. La 500 K de Garat est illustrée dans l'ouvrage de Jan Melin 'Mercedes-Benz â The Supercharged 8-Cylinder Cars of the 1930s' avec son heureux premier propriétaire (Volume 1) et à Paris au Concours d'élégance de juin 1936 en compagnie de deux élégantes jeunes femmes (Volume 2).

 

Le propriétaire actuel acheta la 500 K en décembre 1969. Totalement restaurée entre 2001 et 2007, la voiture est accompagnée d'un dossier de factures émises par Nusbaumer SA de Delémont en Suisse (travaux mécaniques), du spécialiste de la marque Reifen-Wagner Mercedes-Benz Kompressorwagen Restaurierung de Landshut, Allemagne (pièces) et de Mercedes-Benz, Stuttgart (pièces). La Carrosserie Berthelet de Genève (Suisse) a réalisé les travaux de carrosserie.

 

Le dossier historique contient aussi la correspondance avec Mercedes-Benz Stuttgart concernant cette voiture, des copies des extraits du livre des commandes de l'usine, un catalogue de 500 K, un catalogue des Cabriolets Mercedes-Benz, deux affiches de films d'Henri Garat , un lot de photos de la restauration et le 'permis de circulation' suisse en cours de validité. Un cric et les manuels de l'utilisateur et des pièces détachées sont joints à la voiture. Parfaite représentante de ce que la grande fortune pouvait offrir de mieux au milieu des années 1930, cette automobile est un excellent exemple d'une grande classique allemande et un testimonial du goût et du raffinement de son propriétaire.

FN-346-MP - 3875

 

Mise en circulation: 02/2020

Autoroute A43-Aire du Granier

Construite entre 1805-1809 pour Pierre Berthelet qui l'utilise comme résidence.

Cette maison aurait donc été construite dans le feu de l'action du démantèlement des Fortifications de l'Ancien Montréal, situées à proximité de cet emplacement. Certains bâtiments ont été construits à même les pierres des anciens murs.

DY-627-EB / 7308

 

Mercedes Citaro C2 de chez Guillermin affrété sur les navettes Meribus (Meribel) de décembre 2015 à l’été 2022

 

Mise en circulation: 12/2015

Cote : P0058-1FP06753

Fonds : Fonds Louis-François-George Baby – P0058

Mesures et médium : 1 photographie : albumine, 8,8 x 5,6 cm

Description : Olivier Berthelet (1798-1872), homme d'affaires, il fonde en 1859 le refuge Saint-Antoine pour les personnes âgées et les orphelins.

FC-799-MQ - 7344

 

Mise en circulation: 12/2018

Maison Saint-Joseph - Collège Mont-Saint-Louis - Maison Saint-Joseph-du-Sault-au-Récollet - Noviciat Saint-Joseph - 1700-1750, boulevard Henri-Bourassa Est, Ahuntsic-Cartierville, Montréal, construction de 1852 à 1853.

 

«Évolution du bâtiment

 

L’homme d’affaires Olivier Berthelet et le curé Jacques-Janvier Vinet font don en 1852 au père Félix Martin, alors procureur des jésuites, de terrains situés au Sault-au-Récollet afin d’y établir un noviciat. Le corps de bâtiment central dessiné par le père Félix Martin est complété en 1853. L’aile située à l’est du corps central puis l’aile ouest sont respectivement construites en 1870 et en 1890 et composent un ensemble symétrique. L’aile du juvénat est érigée en 1920. Le noviciat quitte la maison Saint-Joseph en 1960, et les édifices conventuels sont vendus en 1962 au collège Saint-Ignace, une institution fondée par les jésuites et qui dispense le cours classique. L’aile ouest construite en 1890 est alors démolie, et l’année suivante, une nouvelle entrée centrale et une aile sud sont construites. En 1969, le collège Mont-Saint-Louis emménage dans les bâtiments du collège Saint-Ignace. Le gymnase est construit en 1974 et au cours des années 1981 et 1982, la maison Saint-Joseph est restaurée.

 

Lecture architecturale

 

La composition et les proportions de la maison Saint-Joseph sont d’inspiration classique. Le corps de bâtiment principal est symétrique et comprend un avant-corps central en légère saillie surmonté d’un fronton triangulaire. Le centre de la composition est accentué par une double lucarne placée au-dessus du fronton et par le clocheton qui chevauche le faîte du toit. L’influence classique se retrouve aussi dans la division tripartite de la façade, qui comporte un soubassement, un étage noble et un attique. Ici, l’adoption d’un langage classique ne se manifeste pas par l’utilisation d’éléments architecturaux tels que des colonnes ou des entablements (qui en sont l’expression la plus explicite), mais uniquement par la forme et la composition de l’édifice. Les façades en pierre calcaire grise sont dépouillées, et la décoration se limite aux chaînages d’angle et aux pourtours des fenêtres en pierre de taille.

 

La maison Saint-Joseph avec ses murs de pierres, son lanterneau ainsi que son toit à pignons percé de lucarnes est également un bon exemple de la persistance de la tradition architecturale développée sous le Régime français dans les édifices conventuels montréalais jusqu’au milieu du XIXe siècle.

 

patrimoine.ville.montreal.qc.ca/inventaire/fiche_bat.php?...

 

DY-646-AS / 7307

 

Mercedes Citaro C2 de chez Guillermin affrété sur les navettes Meribus (Meribel) de décembre 2015 à l’été 2022

 

Mise en circulation: 12/2015

Fast Concept Car Starter LE n°6927 de Berthelet du réseau TCL sur la ligne 1EX au terminus "Grange Blanche".

1 3 5 6 7 8