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Junagah (Inde) - On ne va pas se raconter d’histoires, ce n’est pas du tout la photo que je voulais. En 2008, je venais de faire l’acquisition de mon premier appareil numérique et j’étais loin de le maîtriser.
Pour cette photo d’un tailleur qui attend le client, je voulais faire un portrait classique, mais assez large pour intégrer la machine à coudre. Elément qui à lui seul informe sur le métier de l’artisan. Une photo à priori facile à faire.
L’homme avait une bonne tête. Je me suis accoudé sur le comptoir de son échoppe ouverte sur la rue pour le photographier en légère contre plongée.
`J’ai fait - enfin, c’est ce que je croyais -, la mise au point sur le visage et j’ai déclenché.
De retour à l’hôtel, j’ai réalisé que ma photo était ratée. Comme les capteurs de l’autofocus étaient réglés, par défaut, en « multi-zones », l’automatisme a choisi de faire le point sur la partie de la photo qui lui semblait la plus importante. Ici, c’est la main. Résultat, comme j’avais une ouverture relativement élevée limitant la profondeur de champ, le visage qui était le plus important se retrouve… flou. Alors que dans mon esprit c’est la main qui aurait dû être floue pour mettre en valeur le visage.
Coup de chance, je trouve que cette photo fonctionne malgré tout. Je n’ai aucun mérite. C’est le hasard de l’électronique embarquée qui a fait le boulot.
En photo, il faut pourtant limiter les effets du hasard technique. Encore moins laisser l’appareil faire la photo à votre place. Si cette fois, ça a fonctionné, dans 99 % des cas la photo sera véritablement ratée.
Junagah (India) - We're not going to tell each other stories, this isn't the photo I wanted at all. In 2008, I had just purchased my first digital device and was far from mastering it.
For this photo of a couturier waiting for a client, I wanted to do a classic portrait, but with the sewing machine included. Element which in itself informs about the craft of the craftsman. A photo a priori rather easy to take.
The man had a good head. I leaned on the counter of his shop open to the street to photograph him in slight low angle. I did - well, that's what I thought - the focus on the face and triggered.
When I got back to the hotel, I realized my photo had failed. As the autofocus sensors were set by default to "multi-zones", the automation chose to focus on the part of the photo that seemed to be the most important. Here is the hand. As a result, since I had a relatively high aperture, limiting the depth of field, the face was found… blurry. Whereas in my mind it is the hand that should have been blurred to highlight the face.
Luckily, I find that finally this photo works anyway. But I have no merit. The on-board electronics did the job.
In photos, however, we must limit the effects of technical chance. Even less let the camera take the photo for you. If this time it worked, in 99% of cases the photo will really be a failure.
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La sorcière maléfique qui a maltraité l'enfant. Le clou et le pied.
Des légendes populaires de l'intérieur de certains pays racontent qu'une très méchante sorcière trouva un jour un enfant sans surveillance dans une cabane en bois au fond de la forêt.
Comme l'enfant ne pouvait pas indiquer où se trouvaient les trésors de la famille, la sorcière furieuse punit l'enfant a fixé son pied gauche avec un énorme clou sur le parquet du salon de la cabane.
Désespéré, l'enfant a pleuré et souffert en essayant de s'échapper. Mais le pied était là fixé au parquet et l'enfant désespéré tournait, tournait, tournait sur son pied coincé. Et cette horrible condition de souffrance se répétait sans cesse et l'enfant tournait, souffrait, tournait et souffrait et rien n'a changé.
Une légende aussi triste est une métaphore de la condition provoquée dans l'esprit humain par la névrose. L'esprit perçoit la souffrance et en souffre beaucoup, mais la souffrance se répète, se répète, se répète, un automatisme sans fin. La condition de névrose emprisonnant tourne en rond.
La réalité déformée qui entretient la névrose est comme le plancher en bois de la cabane au fond de la forêt.
La réalité, comme le plancher en bois qui ne devrait que soutenir et sécuriser pour se tenir debout et marcher, mais emprisonne et amplifie la souffrance causée par l'énorme clou qui a fixé le pied.
L'clou, la métaphore de la condition de fonctionnement spécifique de la neurotransmission du réseau de neurones que l'on pourrait penser dans le Trouble Obsessionnel Compulsif, le Trouble Anxieux Général, le Trouble de l'humeur Bipolaire, le Trouble de Stress Post Traumatique. Il se répète, il se répète, il se répète, et l'esprit ne peut pas s'échapper.
L'enfant, l'enfant est la métaphore de l'Ego, Notre Centre Opérationnel qui travaille au centre du champ de notre conscience, notre mémoire RAM, qui traite tout ce qui provient du HD de notre esprit, le fond de la forêt, d'où provient l'origine de tout. Nos possibilités génomiques, stockées dans notre ADN, comme les programmes stockés dans la HD.
La tâche sans fin du Ego, métaphore du héros qui lutte pour surmonter le doute angoissant, l'anxiété, l'impulsion, la souffrance et la peur.
Comprendre cet automatisme est très important pour trouver un moyen d'interrompre le schéma répétitif de la névrose, pour enfin se débarrasser de l'énorme clou qui retient le pied.
A l'interieur RAM Notre Centre Opérationnel l'Ego et dedans la mémoire du HD notre Génome, où sont les programmes.
Ivan
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The evil witch who mistreated the child. The nail and the foot.
Folk legends from the interior of some countries say that a very wicked witch once found a child unattended in a wooden hut deep in the forest.
Since the child could not point out where the family treasures were, the enraged witch punished the child by nailing her left foot with a huge nail to the wooden floor of the cabin's living room.
Desperate, the child cried and suffered as she tried to escape. But the foot was there nailed to the floor and the desperate child turned, turned, turned on his stuck foot. And this horrible condition of suffering repeated itself over and over again and the child was spinning and hurting and spinning and hurting and nothing changed.
Such a sad legend is a metaphor for the condition caused in the human mind by neurosis. The mind perceives suffering and suffers greatly from it, but the suffering repeats, repeats, repeats, an endless automatism. The condition of imprisoning neurosis turns in circles.
The distorted reality that sustains neurosis is like the wooden floor of the cabin deep in the woods. Reality, like the wooden floor that should only support and secure for standing and walking, but traps and amplifies the pain caused by the huge nail that grips the foot.
The fingernail, metaphor for the specific functioning condition of neural network neurotransmission that one might think of in Obsessive Compulsive Disorder, General Anxiety Disorder, Bipolar Mood Disorder, Post Traumatic Stress Disorder . It repeats, it repeats, it repeats, and the mind cannot escape.
The child, the child is the metaphor of the Ego, Our Operational Center that works in the center of our consciousness field, our RAM memory, which processes everything that comes from the HD of our mind, the bottom of the forest, from where everything originated. Our genomic possibilities, stored in our ADN, like the programs stored in HD.
The endless task of the Ego, a metaphor for the hero who struggles to overcome agonizing doubt, anxiety, impulse, suffering and fear.
Understanding this automatism is very important to find a way to interrupt the repetitive pattern of neurosis, to finally get rid of the huge nail that holds the foot.
Inside RAM Our Operational Center the Ego and inside the memory of the HD our Genome, where the programs are.
Ivan
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Je peux à nouveau faire des balades dans la forêt d'environ 4 à 5 km et j'ai récupéré environ 80% de la souplesse de la cheville.
Je ne m'étais pas rendu compte à quel point le cheville est "la cheville ouvrière" de la station debout, de l'équilibre et de la marche. Je ne m'était pas attendue à un retour à la vie normale aussi difficile, car l’automatisme de la marche fait oublier que le pied, avec tous ces petit os et tendons, porte le poids du corps des milliers de fois par jour et à chaque pas que je faisais, j'avais l'impression qu'on me broyait le pied.
On oublie aussi que la marche est un savant équilibre du système articulaire et musculaire des genoux, hanches et dos et que quand on boîte (beaucoup au début de la rééducation) on déséquilibre ces systèmes et on leur fait du mal. Ainsi, j'ai eu plus mal au dos et au pied, aux genoux et hanches qu'à la cheville.
Bref, il reste encore un effort à faire pour descendre les escaliers et pour muscler et assouplir les muscles des mes jambes.
Et je vous remercie chaleureusement de vos questions sur ma santé, en vous souhaitant bon dimanche
ENGLISH :
A brief interruption of the series to give news of my ankle, because today marks exactly 12 weeks that it is the main "ball and chain" of my daily life. Since six weeks that I can "walk" again, I make steady progress
I can again go for a walk in the forest of approximately 4-5 km and I recovered about 80% of the flexibility of the ankle.
I did not realize how much the ankle is "the kingpin" of standing, balance and walking. I did not expect the return to normal life as difficult, for the automation of walking make forget that the foot, with all its little bones and tendons, carries the weight of the body thousands of times per day. At every step I made, I had the impression one crushed my foot.
We also forget that walking is a fine balance of the articular and muscular system of the knees, hips and back and that when one limps (many at the beginning of reeducation) one unbalances these systems and one hurts them. So I got more back and foot, knees and hips ache, than pain at the ankle.
In short, there is still an effort to do to go downstairs and to muscle and supple my legs.
And thank you very much for your questions about my health, wishing you good Sunday
IN ENGLISH BELOW THE LINE
Molt probablement, si pregunteu quina càmera reflex purament analogica excel·leix per sobre de la resta, en surti guanyadora la Nikon FM2.
Situada al final de una inmensa familia de les reflex Nikon, que començà amb la iconica Nikon F (o F1), es tracta de la darrera SLR purament mecanica que fabricà Nikon. I fou un gran exit de vendes, produint-se entre el 1983 i el 2001. Quan dic purament mecànica, vull dir que no té cap sistema de automatisme com prioritat de velocitat, apertura, etc... Només té electrònica (i piles) per al fotometre, que si no funciona no passa res, la càmera continua funcionant, però sense lectura de llum.
A això cal sumar-hi que fou la primera càmera en arribar a oferir velocitats de 1/4000 i que te fama per la seva robustesa en condicions extremes. Per això fou una favoritat dels fotoperiodistes, especialment per a zones de conflicte. La famosa foto de la nena afganesa? Feta amb una FM2.
De fet, aquesta és una FM2n, el model millorat fabricat a partir de 1984, que incrementà la velocitat de flaix fins a 1/250. També, a partir de 1989 la cortina del obturador passà de titani a alumini, essent més barat i resistent.
Aquesta FM2n en concret, pel nº de serie, sembla fabricada entre 1989 i 1991, i és una de les càmeres analogiques més modernes que tinc. La vaig comprar sense objectiu (el Sigma Mini-Wide f2.8 28mm el vaig comprar després a Barcelona) i força bé de preu. Tenia un defecte en el rebobinador, però amb un lleuger manteniment i loctite ja està arreglat. El propietari original la comprà a Colorado Springs (Estats Units), i té marques d'extens ús, com la pintura del darrera rascada o la marca FM2 pintada en negre per a ser més discreta. Em pregunto per quina experiencia passà?
es.wikipedia.org/wiki/Nikon_FM2
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Most likely, if you ask which purely analog SLR camera excels above the rest, the Nikon FM2 will be the winner.
Located at the end of an immense family of Nikon SLRs, which began with the iconic Nikon F (or F1), it is the latest purely mechanical SLR manufactured by Nikon. A queen of the SLRs. And it was a great sales success, being produced from 1983 to 2001. When I say purely mechanical, I mean it has no automation system such as speed priority, aperture, etc ... It only has electronics (and batteries) for the light meter, that if it doesn’t work nothing happens, the camera still works, but with no light reading.
To this must be added that it was the first camera to offer speeds of 1/4000 and is famous for its robustness in extreme conditions. That is why it was a favorite of photojournalists, especially for conflict zones. The famous photo of the Afghan girl? Made with an FM2.
In fact, this is an FM2n, the improved model manufactured from 1984, which increased the flash speed to 1/250. Also, from 1989 the shutter curtain blades went from titanium to aluminum, being cheaper and more durable.
This FM2n in particular, for the serial number, seems to have been manufactured between 1989 and 1991, and is one of the most modern analog cameras I have. I bought it without lens (the Sigma Mini-Wide f2.8 28mm I bough it latter in Barcelona) and quite cheap for this model. It had an issue in the rewind lever, but with a slight disassembly and a bit of contact glue is already fixed. It was bought originally in "Cameraworks", Colorado Springs (USA), and has widely used marks, such as the scratched paint in the corners, or the FM2 name painted black to be more discreet. I wonder what experience you went through?
en.wikipedia.org/wiki/Nikon_FM2
www.mir.com.my/rb/photography/hardwares/classics/nikonfms...
Dream Caused by the Feverish Flight of a Concupiscent Pigeon Around a Daliesque Girona's place One Second Before the Nightmare of Awakening.
(a 3D dream . . inspired by the Dali's sleep (YouTube))
(an animation created by CJP . . inspired by the Dali's sleep (YouTube))
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Outlining a Theory of General Creativity . .
. . on a 'Pataphysical projectory
Entropy ≥ Memory ● Creativity ²
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Study of the day:
[...] Quel est le type de contrôle qui convient à l’expression des mécanismes inconscients de la pensée dans l'écriture automatique ? .. Je dis seulement qu'il ne faut pas y voir une écriture incontrôlée. Ces artistes, de la création automatique, se réclament tous d’un contrôle, à commencer par Dali, puisqu’il ne fait pas de la paranoïa, mais il fait de la paranoïa un usage critique, la paranoïa devient une méthode de critique du monde et de ses apparences.
( Gilles Deleuze - Pensée et automatisme - Cours de l'Université Paris 8 )
[...] What kind of control fits to the expression of unconscious mechanisms of thought in the automatic writing ? .. I just say that we have not to see here an uncontrolled writing. These artists, of automatic creation, claim all the practice of a control, starting with Dali, he doesn't make some paranoia, but he makes an active practice of the paranoia, the paranoia becomes a method of the world critic and of its appearances.
( Gilles Deleuze - Thought and automation - Paris 8 University courses )
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rectO-persO | E ≥ m.C² | co~errAnce | TiLt
[EN below]
J’ai démarré ce canevas comme mon « Finger exercise » du jour …
Je souhaitais me pencher sur les photos urbaines que j’avais prises mardi matin en allant travailler.
La ville me donne toujours une sensation d’enfermement ; d’une masse de personne grouillante, qui font des choses plus par automatisme que par envie.
Très content du premier jet (oui je sais un peu d’auto satisfaction).
Je me permets de ne donner que peu de détail et aucun titre afin de laisser libre cours à votre imaginaire.
A bientôt.
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I started this canvas as my "Finger Exercise" of the day ...
I wanted to look into urban photos I had taken Tuesday morning going to work.
The city still gives me a feeling of confinement; a mass of seething person who do things by more automation than envy.
Very happy with the first draft (yes I know a little self satisfaction).
Let me give little detail and no title to give free rein to your imagination.
See you soon.
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© Didier Hannot - #DH593 08.02.2015
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René Magritte (1898-1967) Originaire du Hainaut, Magritte s'établit à dix-sept ans à Bruxelles pour y entreprendre une formation artistique à l'Académie des Beaux-Arts. Après avoir touché au futurisme et au cubisme, il s'oriente vers le mouvement Dada, puis vers le surréalisme en 1926. L'impact produit par la vue d'une reproduction du Chant d'amour de Giorgio De Chirico a contribué grandement à ce changement de cap. Il décide de délaisser les recherches formelles pour se concentrer sur le sujet. Il use à présent d'une facture léchée au service d'un rendu illusionniste pour donner au « surréel » l'apparence de la normalité. En cela, il se distancie de l'automatisme prôné par André Breton qui, au départ, se montre réticent envers toute référence au réel. Magritte est méthodique et réfléchi. Sa situation géographique décentrée par rapport à Paris lui accordera cette liberté. Les relations avec Paris furent de tout temps difficiles. Ce n'est qu'à presque cinquante ans qu’il y aura une première exposition personnelle. Heureusement, à la même époque, les États-Unis qui regorgent de nouveaux collectionneurs lui ouvrent les bras. C'est le début, enfin, de la notoriété.
Salvador Dalí (1904-1989)Né à Figueras en 1904, Dalí peint avec une remarquable précocité des tableaux de style impressionniste à partir de ses six ans. Plus tard, à l'Académie des Beaux-Arts de Madrid, il s'initie à tous les « ismes ». Il commence à développer un style personnel à partir de 1927 et en 1929, est introduit auprès du groupe surréaliste à Paris par Joan Miró. Il y côtoie, entre autres, René Magritte dont la peinture le convainc que le surréalisme est possible sans passer par l'automatisme. Car Dalí aussi s'attache au rendu précis et réaliste de ses visions fantasques, mais pour d'autres raisons : il acquiesce entièrement à la thèse de De Chirico valorisant « il ritorno al mestiere ». Dalí, qui ambitionne de sauver l'art moderne du chaos et de la paresse, nourrit une profonde vénération pour les maîtres anciens. 1929 est aussi l'année où il développe sa méthode « paranoïaque-critique » devant permettre d'accéder à l'inconscient par l'analyse des images que nous projetons dans les formes. Lorsqu'il part avec Gala aux États-Unis en 1940, il est déjà un artiste reconnu. Sa gloire et sa fortune n'auront de cesse de croître, au point de lui valoir le sobriquet-anagramme « Avida Dollars » inventé par André Breton.
René Magritte (1898-1967) Originally from Hainaut, Magritte settled at the age of seventeen in Brussels to undertake artistic training there at the Academy of Fine Arts. After having touched on futurism and cubism, he turned to the Dada movement, then to surrealism in 1926. The impact produced by the sight of a reproduction of Giorgio De Chirico's Love Song contributed greatly to this Change of direction. He decides to abandon formal research to focus on the subject. He now uses a licked bill in the service of an illusionist rendering to give the "surreal" the appearance of normality. In this, he distances himself from the automatism advocated by André Breton who, at the outset, was reluctant to any reference to reality. Magritte is methodical and thoughtful. Its off-center geographic location compared to Paris will grant it this freedom. Relations with Paris have always been difficult. It will not be until almost fifty years that there will be a first solo exhibition. Fortunately, at the same time, the United States which abounds in new collectors open their arms to him. It is the beginning, finally, of notoriety.
Salvador Dalí (1904-1989) Born in Figueres in 1904, Dalí paints impressionist style paintings with remarkable precocity from the age of six. Later, at the Academy of Fine Arts in Madrid, he was introduced to all "isms". He began to develop a personal style from 1927 and in 1929 was introduced to the surrealist group in Paris by Joan Miró. He rubbed shoulders with, among others, René Magritte whose painting convinced him that surrealism is possible without going through automatism. Because Dalí too is attached to the precise and realistic rendering of his whimsical visions, but for other reasons: he fully agrees with De Chirico's thesis valuing "il ritorno al mestiere". Dalí, who aims to save modern art from chaos and laziness, nurtures deep veneration for the old masters. 1929 was also the year in which he developed his “paranoid-critical” method, which should allow access to the unconscious through the analysis of the images that we project into forms. When he left with Gala in the United States in 1940, he was already a recognized artist. His fame and fortune will continue to grow, to the point of earning him the nickname-anagram "Avida Dollars" invented by André Breton.
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Molt probablement, si pregunteu quina càmera reflex purament analogica excel·leix per sobre de la resta, en surti guanyadora la Nikon FM2.
Situada al final de una inmensa familia de les reflex Nikon, que començà amb la iconica Nikon F (o F1), es tracta de la darrera SLR purament mecanica que fabricà Nikon. I fou un gran exit de vendes, produint-se entre el 1983 i el 2001. Quan dic purament mecànica, vull dir que no té cap sistema de automatisme com prioritat de velocitat, apertura, etc... Només té electrònica (i piles) per al fotometre, que si no funciona no passa res, la càmera continua funcionant, però sense lectura de llum.
A això cal sumar-hi que fou la primera càmera en arribar a oferir velocitats de 1/4000 i que te fama per la seva robustesa en condicions extremes. Per això fou una favoritat dels fotoperiodistes, especialment per a zones de conflicte. La famosa foto de la nena afganesa? Feta amb una FM2.
De fet, aquesta és una FM2n, el model millorat fabricat a partir de 1984, que incrementà la velocitat de flaix fins a 1/250. També, a partir de 1989 la cortina del obturador passà de titani a alumini, essent més barat i resistent.
Aquesta FM2n en concret, pel nº de serie, sembla fabricada entre 1989 i 1991, i és una de les càmeres analogiques més modernes que tinc. La vaig comprar sense objectiu (el Sigma Mini-Wide f2.8 28mm el vaig comprar després a Barcelona) i força bé de preu. Tenia un defecte en el rebobinador, però amb un lleuger manteniment i loctite ja està arreglat. El propietari original la comprà a Colorado Springs (Estats Units), i té marques d'extens ús, com la pintura del darrera rascada o la marca FM2 pintada en negre per a ser més discreta. Em pregunto per quina experiencia passà?
es.wikipedia.org/wiki/Nikon_FM2
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Most likely, if you ask which purely analog SLR camera excels above the rest, the Nikon FM2 will be the winner.
Located at the end of an immense family of Nikon SLRs, which began with the iconic Nikon F (or F1), it is the latest purely mechanical SLR manufactured by Nikon. A queen of the SLRs. And it was a great sales success, being produced from 1983 to 2001. When I say purely mechanical, I mean it has no automation system such as speed priority, aperture, etc ... It only has electronics (and batteries) for the light meter, that if it doesn’t work nothing happens, the camera still works, but with no light reading.
To this must be added that it was the first camera to offer speeds of 1/4000 and is famous for its robustness in extreme conditions. That is why it was a favorite of photojournalists, especially for conflict zones. The famous photo of the Afghan girl? Made with an FM2.
In fact, this is an FM2n, the improved model manufactured from 1984, which increased the flash speed to 1/250. Also, from 1989 the shutter curtain blades went from titanium to aluminum, being cheaper and more durable.
This FM2n in particular, for the serial number, seems to have been manufactured between 1989 and 1991, and is one of the most modern analog cameras I have. I bought it without lens (the Sigma Mini-Wide f2.8 28mm I bough it latter in Barcelona) and quite cheap for this model. It had an issue in the rewind lever, but with a slight disassembly and a bit of contact glue is already fixed. It was bought originally in "Cameraworks", Colorado Springs (USA), and has widely used marks, such as the scratched paint in the corners, or the FM2 name painted black to be more discreet. I wonder what experience you went through?
en.wikipedia.org/wiki/Nikon_FM2
www.mir.com.my/rb/photography/hardwares/classics/nikonfms...
Masson was born in Balagny-sur-Thérain, Oise, but was brought up in Belgium. He studied art in Brussels and Paris. He fought for France in World War I and was seriously injured. His early works display an interest in cubism. He later became associated with surrealism, and he was one of the most enthusiastic employers of automatic drawing, making a number of automatic works in pen and ink. Masson would often force himself to work under strict conditions, for example, after long periods of time without food or sleep, or under the influence of drugs. He believed forcing himself into a reduced state of consciousness would help his art be free from rational control, and hence get closer to the workings of his subconscious mind.
From around 1926 he experimented by throwing sand and glue onto canvas and making oil paintings based around the shapes that formed. By the end of the 1920s, however, he was finding automatism rather restricting, and he left the surrealist movement and turned instead to a more structured style, often producing works with a violent or erotic theme, and making a number of paintings in reaction to the Spanish Civil War (he associated once more with the surrealists at the end of the 1930s).
Under the German occupation of France during World War II, his work was condemned by the Nazis as degenerate. With the assistance of Varian Fry in Marseille, Masson escaped the Nazi regime on a ship to the French island of Martinique from where he went on to the United States. Upon arrival in New York City, U.S. customs officials inspecting Masson's luggage found a cache of his erotic drawings. Denouncing them as pornographic, they ripped them up before the artist's eyes. Living in New Preston, Connecticut his work became an important influence on American abstract expressionists, such as Jackson Pollock. Following the war, he returned to France and settled in Aix-en-Provence where he painted a number of landscapes.
Masson drew the cover of the first issue of Georges Bataille's review, Acéphale, in 1936, and participated in all its issues until 1939. His stepbrother, the psychoanalyst Jacques Lacan, was the last private owner of Gustave Courbet's provocative painting L'Origine du monde (The Origin of the World); Lacan asked Masson to paint a surrealist variant.
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, rechercher Le surréalisme est un mouvement artistique qu'André Breton définit dans le premier Manifeste du Surréalisme comme « automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale ».
« Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations négligées jusqu'à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie [...] »[1].
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le « supernaturalisme » de Gérard de Nerval, le « surnaturalisme » d'Emmanuel Swedenborg et aussi le symbolisme de Charles Baudelaire et de Stéphane Mallarmé et, enfin surtout, le romantisme allemand de Jean Paul (dont les rêves annoncent l'écriture automatique) et d'Hoffmann peuvent être considérés comme des mouvements précurseurs du surréalisme. Plus sûrement, les œuvres littéraires d'Alfred Jarry, d'Arthur Rimbaud et de Lautréamont, et picturales de Gustave Moreau et Odilon Redon sont les sources séminales dans lesquelles puiseront les premiers surréalistes (Louis Aragon, Breton, Paul Éluard, Philippe Soupault, Pierre Reverdy). Quant aux premières œuvres plastiques, elles poursuivent les inventions du cubisme. Cette aventure (« une attitude inexorable de sédition et de défi ») passe par l'appropriation de la pensée du poète Arthur Rimbaud (« changer la vie »), de celle du philosophe Karl Marx (« transformer le monde ») et des recherches de Sigmund Freud[2] : Breton s'est passionné pour les idées de Freud[3]qu'il a découvertes dans les ouvrages des français Emmanuel Régis et Angelo Hesnard en 1917[4]. Il en a retiré la conviction du lien profond unissant le monde réel et le monde sensible des rêves, et d'une forme de continuité entre l'état de veille et l'état de sommeil (voir en particulier l'écriture automatique). Dans l'esprit de Breton, l'analogie entre le rêveur et le poète, présente chez Baudelaire, est dépassée. Il considère le surréalisme comme une recherche de l'union du réel et l'imaginaire : « Je crois à la résolution future de ces deux états, en apparence si contradictoires, que sont le rêve et la réalité, en une sorte de réalité absolue. »[5]
Sommaire [masquer]
1 Origine du mot
2 Évolution
3 Une aventure internationale
3.1 Le surréalisme au Japon [9]
4 L'écriture automatique
5 Changer l'homme
6 En conclusion
7 Personnalités liées au mouvement surréaliste
8 Bibliographie
9 Notes et références
10 Articles connexes
11 Liens externes
Origine du mot [modifier]
Sculpture de Giorgio de Chirico, Ettore e AndoromacaC'est dans une lettre de Guillaume Apollinaire à Paul Dermée, de mars 1917, qu'apparaît pour la première fois le substantif « surréalisme » : « Tout bien examiné, je crois en effet qu'il vaut mieux adopter surréalisme que surnaturalisme que j'avais d'abord employé. Surréalisme n'existe pas encore dans les dictionnaires, et il sera plus commode à manier que surnaturalisme déjà employé par MM. les Philosophes. »
En mai 1917, dans une chronique consacrée au ballet « Parade », Apollinaire, admiratif des décors créés par Picasso, évoque « [...] une sorte de sur-réalisme où [il] voit le point de départ d'une série de manifestations de cet esprit nouveau qui [...] se promet de modifier de fond en comble les arts et les moeurs [...] Cette tâche surréaliste que Picasso a accomplie en peinture, [...] je m'efforce [de l']accomplir dans les lettres et dans les âmes [...] »[6]
Pour Jean-Paul Clébert, c'est le poète Pierre Albert-Birot qui suggéra à Apollinaire de sous-titrer sa pièce « Les Mamelles de Tirésias », "drame surréaliste" plutôt que "surnaturaliste".[7]
Ce mot apparaît dès le 16 juin 1917 dans une lettre de Jacques Vaché à Théodore Fraenkel : « … et j'espère être à Paris […] pour la représentation surréaliste de Guillaume Apollinaire. »[8]
Évolution [modifier]
Le surréalisme explore de nouvelles techniques de création qui laissent le champ libre à l'inconscient et force la désinhibition des conditionnements : écriture automatique, récits dictés pendant le sommeil forcé, cadavres exquis, sollicitation du hasard objectif.
Une aventure internationale [modifier]
Le surréalisme connaît une fortune particulière dans la littérature francophone belge. Paul Nougé, dont la poésie présente un aspect ludique très marqué, fonde en 1924 un centre surréaliste à Bruxelles avec les poètes Camille Goemans, Marcel Lecomte… Un autre groupe important, « Rupture », se crée en 1932, à La Louvière, autour de la personnalité d'Achille Chavée.
Le surréalisme belge prend ses distances à l'égard de l'écriture automatique et de l'engagement politique du groupe parisien. L'écrivain et collagiste E. L. T. Mesens fut l'ami de René Magritte, les poètes Paul Colinet, Louis Scutenaire et André Souris et plus tard Marcel Mariën appartiennent également au courant.
Le surréalisme exercera une action stimulante sur le développement de la poésie espagnole, mais à la fin des années 1920 seulement et en dépit de la méfiance suscitée par l'irrationalisme inhérent à la notion d'écriture automatique. Ramón Gómez de la Serna définit ses rapprochements insolites, « greguerias », comme « humour + métaphore ». Le courant « ultraïste » déterminera un changement de ton chez les poètes de la « Génération de 27 », Federico García Lorca, Rafael Alberti, Vicente Aleixandre et Luis Cernuda.
Les principes surréalistes se retrouvent en Scandinavie et en URSS. Le « poétisme » tchèque peut être considéré comme une première phase du surréalisme. Il s'affirme dès 1924 avec un manifeste publié par Karel Teige, qui conçoit la poésie comme une création intégrale, donnant libre cours à l'imagination et au sens ludique. Ses représentants les plus éminents furent Jaroslav Seifert et surtout Vítězslav Nezval, dont Soupault souligna l'audace des images et symboles. Le mouvement surréaliste yougoslave entretient d'étroits contacts avec le courant français grâce à Marko Ristić.
En dépit d'une perte de prestige à partir de 1940, le surréalisme a existé comme groupe jusqu'aux années 1960, en se renouvelant au fur et à mesure des départs et des exclusions.
Le surréalisme fut également revendiqué comme source d'inspiration par l'Alternative orange, un groupe artistique d'opposition polonais, dont le fondateur Major (Commandant) Waldemar Fydrych avait proclamé Le Manifeste du Surréalisme Socialiste. Ce groupe, qui organisait des happenings, peignait des graffiti absurdes en forme de lutins sur les murs des villes et était un des éléments les plus pittoresques de l’opposition polonaise contre le communisme, utilisait largement l’esthétique surréaliste dans sa terminologie et dans la place donnée à l’acte spontané.
Le surréalisme au Japon [9] [modifier]
Parmi les grands noms du surréalisme japonais, nous trouvons entre autres Harue Koga (1895 - 1933), Ichirô Fukuzawa (1898 - 1992), Noboru Kitawaki (1901 - 1951)...
Parmi les poètes peuvent être cités Katsue Kitazono, Masato Tomobe, Kazuki Tomokawa... Quant aux écrivains, les oeuvres les plus marquantes nous ont été laissées par Kôbô Abe.
Concernant les mangas, une brèche fut ouverte à la possibilité d'emploi de tournures surréalistes avec l'oeuvre Nejishiki(ねじ式) de Yoshiharu Tsuge (publié dans le numéro de juin du magazine Garo en 1968) puis le secteur put obtenir un appui écrasant de la génération du Zenkyôtô (équivalent de notre mai 68) sous l'influence considérable d'artistes et de nombreux intellectuels non initié à ce type d'oeuvre.
Le surréalisme japonais ne s'inscrit pas dans la continuité du dadaïsme. Au Japon, la quasi-totalité des écrivains appartenant au mouvement dadaïste (groupe d'écrivains faisant parti du MAVO) ne sont pas devenu surréalistes, et inversement, la plupart des surréalistes japonais n'oeuvrent pas en tant que dadaïstes.
L'écriture automatique [modifier]
Par l'écriture automatique, les surréalistes ont voulu donner une voix aux désirs profonds, refoulés par celle de la société, cette « violente et traîtresse maîtresse d'école », selon le mot de Michel de Montaigne. L'objet surréaliste ainsi obtenu a d'abord pour effet de déconcerter l'esprit, donc de « le mettre en son tort ». Peut se produire alors la résurgence des forces profondes, l'esprit « revit avec exaltation la meilleure part de son enfance ». On saisit de tout son être la liaison qui unit les objets les plus opposés, l'image surréaliste authentiquement est un symbole. Approfondissant la pensée de Baudelaire, André Breton compare, dans Arcane 17, la démarche du surréalisme et celle de l'ésotérisme : elle offre « l'immense intérêt de maintenir à l'état dynamique le système de comparaison, ce champ illimité, dont dispose l'homme, qui lui livre les rapports susceptibles de relier les objets en apparence les plus éloignés et lui découvre partiellement le symbolisme universel. »
Le peintre Max Ernst, de son côté, découvre pour son art une méthode analogue à l'écriture automatique, méthode que déjà Léonard de Vinci avait esquissée. Frappé par un plancher d'auberge dont les lavages avaient accentué les rainures, il pose sur elles au hasard une feuille et frotte à la mine de plomb. « En regardant attentivement les dessins ainsi obtenus, les parties sombres et les autres plus claires, je fus surpris de l'intensification subite de mes facultés visionnaires et de la succession hallucinante d'images contradictoires. »
Au Québec, dans les années 1940, naitra un groupe d'artistes qui se qualifie d'« automatistes ». Ils feront grands bruits dans la société québécoise avec la sortie en 1948 du Refus Global qui s'oppose à toute l'idéologie des autorités au pouvoir, qu'elles soient politiques ou religieuses. Les automatistes se regroupent autour du peintre Paul-Émile Borduas et sont de toutes les formes artistiques. Dû à leur position à contre-courant et très avant-gardistes, plusieurs devront s'exiler en France ou ailleurs. Ils sont aujourd'hui reconnus pour leur vision qui a participé à une transformation fondamentale de la société québécoise.
Changer l'homme [modifier]
Le mouvement Dada était antibourgeois, antinationaliste et provocateur. Les surréalistes continuèrent sur cette lancée subversive. « Nous n'acceptons pas les lois de l'Économie ou de l'Échange, nous n'acceptons pas l'esclavage du Travail, et dans un domaine encore plus large nous nous déclarons en insurrection contre l'Histoire. » (tract La Révolution d'abord et toujours). Ces principes débouchent sur l'engagement politique : certains écrivains surréalistes adhèrent, temporairement, au Parti communiste français .
Aucun parti, cependant, ne répondait exactement aux aspirations des surréalistes, ce qui fut à l'origine des tensions avec le Parti communiste français. André Breton n'a pas de mots assez forts pour flétrir « l'ignoble mot d'engagement qui sue une servilité dont la poésie et l'art ont horreur. » Dès 1930, pourtant, Louis Aragon acceptait de soumettre son activité littéraire « à la discipline et au contrôle du parti communiste ». La guerre fit que Tristan Tzara et Paul Eluard le suivirent dans cette voie. Condamnation de l'exploitation de l'Homme par l'Homme, du militarisme, de l'oppression coloniale, des prêtres pour leur œuvre qu'ils jugent obscurantiste, et bientôt du nazisme, volonté d'une révolution sociale ; et plus tard, enfin, dénonciation du totalitarisme de l'Union Soviétique, tels sont les thèmes d'une lutte que, de la guerre du Maroc à la guerre d'Algérie, les surréalistes ont menée inlassablement. Ils ont tenté la synthèse du matérialisme historique et de l'occultisme, en se situant au carrefour de l'anarchisme, et du marxisme, fermement opposés à tous les fascismes et aux religions.
En conclusion [modifier]
« Surréalisme : le mot est désormais victime de sa fausse popularité : on n'hésite pas à qualifier de surréaliste le premier fait un peu bizarre ou inhabituel, sans davantage se soucier de rigueur. Le surréalisme [...] est pourtant exemplaire par sa cohérence et la constance de ses exigences. »[10]
Coup d'état.
Υπερβολικά επιβλητική πλησιάζει βίαια ανεξέλεγκτες ιδιοσυγκρασίες,
contradictoriness affectu irae incontinens sui temperat wild,
Nachteile Angst Gewalt Verfassungsräumt Bewusstsein Rache,
siomedigaethau drooping gwarediadau teimladwy yn agored i niwed Pierce,
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intensificarea obișnuit gusturile tendințe distrugerea civilizației studiate,
fealsúnacht indulgent antagonism paisin éad bunúsach dominating mór,
idealistyczne instynkty wdziera się przemocą istotne założenia pozostają,
désintègre les scrupules de conscience dicter automatisme souverain appauvrissement,
予想外の評価は心理的な控除が深い条件を改ざん.
Steve.D.Hammond.
[EN below]
J’ai démarré ce canevas comme mon « Finger exercise » du jour …
Je souhaitais me pencher sur les photos urbaines que j’avais prises mardi matin en allant travailler.
La ville me donne toujours une sensation d’enfermement ; d’une masse de personne grouillante, qui font des choses plus par automatisme que par envie.
Très content du premier jet (oui je sais un peu d’auto satisfaction).
Je me permets de ne donner que peu de détail et aucun titre afin de laisser libre cours à votre imaginaire.
A bientôt.
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I started this canvas as my "Finger Exercise" of the day ...
I wanted to look into urban photos I had taken Tuesday morning going to work.
The city still gives me a feeling of confinement; a mass of seething person who do things by more automation than envy.
Very happy with the first draft (yes I know a little self satisfaction).
Let me give little detail and no title to give free rein to your imagination.
See you soon.
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© Didier Hannot - #DH593 08.02.2015
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