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Ministère de la Culture, rue de Valois, Paris
Antichambre, décor Pierre Alechinsky (1985)
Journées européenne du patrimoine
www.louvrepourtous.fr/Ministere-de-la-Culture-aux,600.html
19.09.10 © Bernard Hasquenoph
2012.03.09
Visiting Fondation Maeght
First feeling of spring and summer this year
Amazing experience.
Designed by the Catalan architect Josep Lluís Sert
More info:
As a tribute to one of Belgium's greatest living artists, an exhibition featuring a selection of Alechinsky's works on paper was mounted in 2022, featuring some 270 works donated to the Royal Museums in the past, as well as a number of works from more recent exceptional donations.
The exhibition reveals how Alechinsky, with a keen sense of technical experimentation, explores his own imagination. In this way, he elevates the act of drawing - and thus the drawing itself - to the core of his rich and multifaceted oeuvre.
Pierre ALECHINSKY was born on October 19, 1927 in Brussels to doctor parents (Russian father and Walloon mother). He is a painter, engraver and designer. Founding member of the CoBrA group (Copenhagen / Brussels / Amsterdam), his work combines expressionism with surrealism.
Ministère de la Culture, rue de Valois, Paris
Antichambre, décor Pierre Alechinsky (1985), fauteuils Le Corbusier
Journées européenne du patrimoine
19.09.10 © Bernard Hasquenoph
Inspiré du Grand Trianon et des palais italiens, le Palais Bourbon fut édifié entre 1722 et 1728 par la duchesse Louise-Françoise de Bourbon, fille légitimée de Louis XIV et de Madame de Montespan. La duchesse a également fait construire juste à côté de cet édifice, situé face à la Concorde sur le quai d’Orsay dans le 7ème arrondissent de Paris, une résidence pour son amant. Aujourd’hui, l’ancien hôtel particulier du comte de Lassay accueille le président de l’Assemblée nationale.
Considéré au XVIII siècle comme « le plus grand ornement de la ville après les maisons royales », l’édifice fut construit par quatre architectes qui se succédèrent : Giardini, Pierre Cailleteau, Jean Aubert puis Jacques Gabriel. Peu de temps après la mort de la duchesse en 1743, le palais tomba entre les mains de Louis XV qui le céda au prince de Condé en 1764. Réquisitionné à la Révolution, l'édifice accueillera la représentation nationale dès 1795 avec le Conseil des Cinq cents. Jacques-Pierre Gisors et Emmanuel-Chérubin Leconte y aménagèrent un hémicycle, inauguré en 1798. Ce n'est qu'entre 1827 et 1832, sous la direction de l’architecte Jules de Joly que le palais prend, dans son organisation intérieure, sa forme actuelle.
Aujourd’hui haut lieu de la République et de la démocratie française, cette construction qui fêtera bientôt ses 300 ans, regorge d’endroits chargés d’histoire, également reflets de l’art à la française. Sa bibliothèque, par exemple, décorée par le peintre Eugène Delacroix entre 1838 et 1847 est considérée comme étant l'une des plus belles au monde. Elle abrite près de 60 000 ouvrages, et ses archives en sous-sol contiennent d’immenses richesses historiques, telles que le texte du serment du jeu de Paume, du jugement de Louis XVI, les 23 volumes réalisés durant la campagne d’Égypte de Napoléon, les œuvres originales manuscrites de Jean-Jacques Rousseau, la Marseillaise écrite de la main de Rouget de Lisle ou la retranscription du procès de Jeanne d’Arc. Le palais abrite également les fresques de la rotonde, reliant le Palais Bourbon et la Galerie des Fêtes, signées Pierre Alechinsky.
Nadia Vadori-Gauthier • Le Corps collectif
· 22.09.2018 ·
Avec Jeanne Alechinsky, Margaux Amoros, Isabelle Chemin, Stéphanie Dufour, Christophe Gaussent, Gaël Giraud, Lucas Hérault, David di Paolo, Damien Dos Santos, Nadia Vadori-Gauthier.
© Tadzio Photovideo
legenerateur.com/spectacle/thats-all-right-mama-equinoxe-...
Pierre Alechinsky (né en 1927)
Le Monde perdu, 1959
Huile sur toile, 204 × 308 cm
Membre actif du mouvement CoBrA (acronyme de Copenhague, Bruxelles, Amsterdam) entre 1949 et 1951, Pierre Alechinsky s’initie par la suite à l’art chinois de la peinture. Abandonnant son chevalet, l’artiste pose la toile à plat, à même le sol. Sa position nouvelle, en surplomb, invite son corps à se déployer, libérant le pinceau. Lors de son unique voyage au Japon en 1955, Alechinsky découvre la philosophie Zen et la discipline calligraphique. Dès lors, il transpose cette maîtrise picturale dans ses travaux à l’encre de Chine comme à l’acrylique, d’éclaboussures en traits cursifs. La technique employée dans cette huile sur toile, dont la texture rappelle la finesse du papier, adopte la souplesse, l’amplitude et la rapidité du geste propres à la calligraphie. Des arabesques peuplent ainsi la composition, construite autour de la fenêtre centrale. Enfin, l’influence littéraire de ce « peintre écrivant » est illustrée par le choix du titre de l’oeuvre, inspiré du célèbre roman d’aventures d’Arthur Conan Doyle Le Monde perdu.
(Source : www.centrepompidou-metz.fr/phares#onglet-1)
Reinhoud d'Haese ( Geeraardsbergen 1928 - Paris 2007 ) was a Flemish sculptor, draughtsman and graphic artist. For a while he was a member of the Cobra-group. It was only in 1958, when he was working with Alechinsky, that he found his own artistic direction. Originally, he started out by copper welding insects enlarged into monsters. From 1960 onwards, his creations took on vegetable and human appearances. Later, he often created grotesque hybrid creatures, immersing himself in the originality of fantastic realism. He mainly used yellow and red copper, lead and tin, because with these materials he could more easily give form to his imaginative creations.
Title of the work: Only in memory does reality take shape
This work can be admired at the Middelheim campus of the University of Antwerp.
Reinhoud d’Haese ( Geeraardsbergen 1928 – Parijs 2007 ) was een Vlaams beeldhouwer, tekenaar en graficus. Hij was een tijd land lid van de Cobra-groep. Pas in 1958, op het moment dat hij veel samenwerkte met Alechinsky, vond hij zijn eigen artistieke richting. Oorspronkelijk begon hij met het koperlassen van tot monsters vergrote insecten. Vanaf 1960 kregen zijn creaties plantaardige en menselijke allures. Later creëerde hij vaak groteske hybridische wezens, waarbij hij zich onderdompelt in de originaliteit van het fantastische realisme. Hierbij gebruikte hij in hoofdzaak geel en rood koper, lood en tin, omdat hij met deze materialen gemakkelijker kon vorm geven aan zijn fantasierijke creaties.
Dit werk kan bewonderd worden op de campus Middelheim van de Universeit van Antwerpen
Reinhoud d'Haese (Geeraardsbergen 1928 - Paris 2007) était un sculpteur, dessinateur et graphiste flamand. Pendant un moment, il a été membre du groupe Cobra. Ce n'est qu'en 1958, lorsqu'il a beaucoup travaillé avec Alechinsky, qu'il a trouvé sa propre direction artistique. À l'origine, il a commencé par souder des insectes en cuivre qui se sont transformés en monstres. A partir de 1960, ses créations prennent des apparences végétales et humaines. Plus tard, il a souvent créé des créatures hybrides grotesques, se plongeant dans l'originalité du réalisme fantastique. Il utilisait principalement du cuivre jaune et rouge, du plomb et de l'étain, car avec ces matériaux, il pouvait plus facilement donner forme à ses créations imaginatives.
Titre de l’oeuvre: Ce n'est que dans la mémoire que la réalité prend forme.
Cette œuvre peut être admirée au Campus Middelheim de l'Université d'Anvers.
As a tribute to one of Belgium's greatest living artists, an exhibition featuring a selection of Alechinsky's works on paper was mounted in 2022, featuring some 270 works donated to the Royal Museums in the past, as well as a number of works from more recent exceptional donations.
The exhibition reveals how Alechinsky, with a keen sense of technical experimentation, explores his own imagination. In this way, he elevates the act of drawing - and thus the drawing itself - to the core of his rich and multifaceted oeuvre.
Pierre Alechinsky (né en 1927)
Le Monde perdu, 1959
Huile sur toile, 204 × 308 cm
Membre actif du mouvement CoBrA (acronyme de Copenhague, Bruxelles, Amsterdam) entre 1949 et 1951, Pierre Alechinsky s’initie par la suite à l’art chinois de la peinture. Abandonnant son chevalet, l’artiste pose la toile à plat, à même le sol. Sa position nouvelle, en surplomb, invite son corps à se déployer, libérant le pinceau. Lors de son unique voyage au Japon en 1955, Alechinsky découvre la philosophie Zen et la discipline calligraphique. Dès lors, il transpose cette maîtrise picturale dans ses travaux à l’encre de Chine comme à l’acrylique, d’éclaboussures en traits cursifs. La technique employée dans cette huile sur toile, dont la texture rappelle la finesse du papier, adopte la souplesse, l’amplitude et la rapidité du geste propres à la calligraphie. Des arabesques peuplent ainsi la composition, construite autour de la fenêtre centrale. Enfin, l’influence littéraire de ce « peintre écrivant » est illustrée par le choix du titre de l’oeuvre, inspiré du célèbre roman d’aventures d’Arthur Conan Doyle Le Monde perdu.
(Source : www.centrepompidou-metz.fr/phares#onglet-1)
clarinettes, guitare et cornemuse et atelier peinture pour les 8-11ans mediathequequimperle.blogspot.fr/2016/03/ponctuation-musi...