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Un cortile in zona navigli. Uno dei pochi in cui gli atelier dei pittori resistono ancora. In tutti gli altri oramai si sono installati bar, pizzerie e tutti quegli esercizi che attirano folle di adoratori dell'happy-hour. L'atmosfera bohemienne della zona è finita da un pezzo ... peccato!
Doel is a little village.
This village will be erase of the world with the extention of the Schelde river.
Some artists paint the houses to show on the world this uncredible fact.
Doel never die.
Doel est un petit village qui va être rasée de la carte du monde par l'extension de l'Escaut
Doel
Belgium location map.svg
Doel
Administration
Pays Belgique Belgique
Région Flandre Région flamande
Communauté Flandre Communauté flamande
Province Drapeau de la province de Flandre-Occidentale Province de Flandre-Orientale
Arrondissement Saint-Nicolas
Commune Beveren
Géographie
Coordonnées 51°18′″N 04°15′″E / Erreur d’expression : opérateur / inattendu, Erreur d’expression : opérateur / inattendu
Superficie 25,61 km²
Population 359 hab. (31/12/2007)
Densité 14 hab./km²
Autres informations
Gentilé
Code postal 9130
Zone téléphonique 03
Localisation de Doel au sein de Beveren
Localisation de Doel au sein de Beveren
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Doel (appelé Den Doel dans le parler local) est un village situé dans l’extrême nord-est de la province belge de Flandre-Orientale, dans les marais du pays de Waas, sur la rive gauche de l’Escaut, large en cet endroit de quelque 1500 mètres par marée haute, en face de Lillo-Fort. Aujourd’hui intégré dans l’entité de Beveren, Doel était jusqu’en 1977 une commune autonome, d’une superficie de 25,61 km², et d’une population de quelque 1300 habitants (1972). Outre le village lui-même, l’ancienne commune de Doel comprend les hameaux de Rapenburg, Saftinge et Ouden Doel, et bien sûr, une vaste étendue de marais asséchés.
Depuis quelques décennies, le village se retrouve régulièrement projeté au centre de l’actualité belge, à double titre.
D’abord, il a été choisi, comme le village de Tihange dans la province de Liège, comme lieu d’implantation d’une des deux centrales nucléaires que compte la Belgique.
Ensuite, et plus récemment, il semble bien établi à présent que Doel doive s’ajouter à la liste des villages poldériens (si l’on nous permet ce néologisme) sacrifiés à l’expansion du port d’Anvers. En effet, l’évacuation totale de la bourgade, après expropriation de ses habitants, a été décidée en 1999 par l’autorité régionale flamande, pour faire place à de nouvelles installations portuaires. En dépit des résistances, et de la bataille juridique engagée par le comité d’action Doel 2020 (saisines du Conseil d’État, etc.), le sort de Doel paraît aujourd’hui scellé, et il faut craindre que les recours n’aient d’autre effet que d’en prolonger l’agonie. L’évacuation suit son cours, et à la date du 31 décembre 2006, Doel ne comptait déjà plus que 388 habitants.
Le nom de Doel (la combinaison oe se prononce comme un ou bref, API: /dul/) est attesté pour la première fois en 1267, sous la forme « De Doolen ». La signification précise demeure obscure; le terme pourrait être une référence à «dalen», vallées, au sens d’amas de sable creusés. Au Moyen Âge, les Doolen ont pu être des îlots au milieu de l’Escaut. Pour d’autres, Doel signifierait ‘digue, remblai, levée’. ‘Doel’ devint, après la domination française, la dénomination officielle.
La zone autour de Doel était à l’origine constituée de terres marécageuses et faisait partie d’une vaste étendue tourbeuse s’étirant d’est en ouest sur toute la Flandre zélandaise et le nord de la Flandre-Orientale. Au nord de Doel plus spécialement, dans ce qui est aujourd’hui le Verdronken Land van Saeftinghe, la couche de tourbe était particulièrement épaisse. À partir du XIIIe siècle, l’on procéda dans cette zone, qui au XIIIe siècle avait deux fois plus d’habitants que Doel, et qui hébergeait une abbaye cistercienne, à une exploitation intensive de la tourbe. Cette activité, fort lucrative, a induit une certaine prospérité dans la région.
L’extraction de tourbe dans la zone marécageuse eut pour effet d’abaisser le niveau du sol en de nombreux endroits et de rendre la zone vulnérable aux inondations. Dans le même temps, à partir du XIIe siècle, l’Escaut subissait de plus en plus l’emprise de la mer du Nord. Pour ces raisons, il advenait régulièrement à partir du XIVe siècle que Doel et les parties nord du Pays de Beveren fussent totalement inondées, déterminant la nécessité d’édifier des digues et d’aménager ainsi des polders.
Cependant, tout ce système, conjuguant poldérisation et extraction de tourbe, progressivement mis en place dans la région au cours du Moyen Âge, fut peu à peu anéanti, d’abord par une série d’inondations catastrophiques au XVIe siècle (dont la plus grave, en l’an 1570, connue sous le nom de Allerheiligenvloed, «marée de Toussaint», submergea entièrement, et à titre définitif, le marais de Saeftinghe), ensuite par les submersions, cette fois délibérément provoquées pour motifs stratégiques, durant la guerre de Quatre-Vingts Ans, notamment lors du siège d’Anvers par Alexandre Farnèse. La région était en effet alors le théâtre de combats dont l’enjeu était la maîtrise d’Anvers et de l’estuaire de l’Escaut. À cette même époque, elle fut pillée par deux fois, par des gueux (protestants) de Malines et par la soldatesque catholique royale. Les submersions volontaires ne purent empêcher Farnèse de prendre Anvers en 1585, mais les forces des États-généraux ayant réussi à s’emparer du fort de Liefkenshoek, sis au sud de Doel (et existant encore aujourd’hui), le village et le marais de Doel furent à partir de 1585 sous domination des États-généraux.
Le Hooghuis (1614).
Hooghuis : portique.
Lorsqu’arriva l’intermède de paix correspondant à la Trève de douze ans (1609-1621), la région entière n’était qu’une zone de désolation où marées et inondations de l’Escaut avaient libre carrière; tout était à refaire. Doel servait de point d’appui dans les opérations de guerre, et à la hauteur de l’actuel moulin se trouvait un fort abritant une garnison hollandaise. En 1614 fut accordée, par les États-Généraux de la République des Provinces-Unies, l’autorisation d’endiguer et d’assécher toute l’étendue autour de Doel. Cette décision signe l’acte de naissance de la bourgade de Doel sous sa forme actuelle, car, outre l’aménagement du marais, fut aussi commencé la construction, planifiée sur carte, du village. La disposition en damier des rues détermina une urbanisation géométrique, fort rare en ces latitudes. Les parcelles carrées ainsi formées furent ensuite bâties systématiquement, de telle façon qu’aucun jardin ne fût visible depuis la rue; ces jardins étaient (et sont encore) accessibles par d’étroits corridors aménagés entre les maisons et clos par des portillons, qu’autrefois on verrouillait pour la nuit.
Doel et le marais de Doel ont longtemps formé, de fait, une façon d’île, délimitée par l’Escaut d’une part, par des criques et des vasières d’autre part. Le marais de Doel s’étendait sur 1090 ha. La digue nord du marais de Doel, digue subsistant encore aujourd’hui, est la limite qui sépare le marais initial d’avec les marais aménagés ultérieurement, et permet de situer en partie les contours de cette ancienne île. Jusqu’au XVIIe siècle, Doel n’était en pratique guère accessible autrement qu’en bateau. Quant au marais de Saeftinghe, on renonça à l’endiguer, ce marais demeurant ainsi un verdronken land, une zone inondable au gré des marées; à l’heure actuelle, c’est une réserve ornithologique.
Au plan ecclésiastique, Doel dépendait de la paroisse de Kieldrecht et ne devint une paroisse autonome qu’en 1792. Cette même année, Doel fut attribué à l’empereur d’Autriche et vint à faire partie définitivement des Pays-Bas du Sud.
Lors des événements qui entourèrent l’indépendance belge en 1830, Doel subit le contrecoup de la bataille d’Anvers. En décembre 1832, les Belges, aidés de troupes françaises, réussirent à contraindre les Hollandais à céder Anvers, mais, après avoir investi le polder de Doel, ne purent cependant déloger les troupes hollandaises des forts de Liefkenshoek et de Lillo. Une garnison hollandaise continua donc d’occuper le fort de Liefkenshoek, et cela jusqu’à la signature d’un traité en 1839. Doel devint ensuite une commune autonome.
À partir de 1843 et jusqu’en 1945, Doel fut le siège du service de quarantaine chargé de contrôler les navires se rendant à Anvers. Le marais s’agrandit du polder Prosper (Prosperpolder, 1051 ha de terres arables), et, quelques décennies plus tard, du polder Hedwige (300 ha). À la fin du XIXe siècle, les deux tiers environ de la population doeloise vivaient de l’agriculture, et un tiers avait la pêche pour moyen de subsistance ; d’autre part, une sucrerie occupait une quarantaine de travailleurs.
Doel fut libérée en 1944 par des soldats britanniques et polonais. Le village eut cependant encore à souffrir des meurtrières bombes volantes V1, dont 68 tombèrent sur son territoire — 59 V1 et 9 V2 —, faisant 13 morts et détruisant totalement ou partiellement 35 maisons.
En 1975, Doel fusionna avec quelques communes environnantes pour constituer l’entité de Beveren.
Dans la bourgade, les rues sont disposées en damier, phénomène à peu près unique en Belgique : le plan se compose de trois rues parallèles à la digue, et de quatre autres rues qui les croisent à la perpendiculaire. Cette disposition remonte à la décision, prise au début du XVIIe siècle après les inondations stratégiques, de procéder à une poldérisation et un remembrement des terres autour de Doel, et est demeurée inchangée depuis.
* L’agglomération comprend plusieurs fermes et maisons bourgeoises. L’immeuble le plus ancien est le Hooghuis (litt. maison haute, classé monument historique), achevé de bâtir en 1614, dans le style renaissance flamand, avec monumental encadrement de porte en style baroque. L’intérieur n’est pas sans intérêt, avec ses plafonds en chêne et deux monumentales cheminées baroques du XVIIe siècle. L’édifice était au XVIIe siècle le siège de l’administration du polder, mais a aussi été le manoir appartenant à de riches bourgeois anversois; le Hooghuis est ainsi associé au nom de Rubens, cette demeure ayant été probablement la propriété de Jan Brandt, père d’Isabelle Brandt, la première épouse du peintre, et, ultérieurement, de Jan Van Broeckhoven de Bergeyck, qu’Hélène Fourment épousa en secondes noces, après le décès de Rubens.
* Le moulin, classé monument historique depuis 1946, est encastré dans la digue de l’Escaut. Il date du milieu du XVIIe siècle et figure parmi les plus anciens moulins en brique que compte la Flandre. Hors d’usage depuis 1927, le moulin est aujourd’hui aménagé en café-restaurant.
* L’église paroissiale, dédiée à Notre-Dame de l’Assomption, fut édifiée en style néoclassique entre 1851 et 1854 selon les plans de Lodewijk Roelandt, architecte municipal de Gand. Le mobilier cependant comprend des œuvres d’art plus anciennes, telles que des statues du sculpteur anversois H. F. Verbruggen (XVIIe siècle) et de E. A. Nijs (XVIIIe siècle). L’orgue est classé monument depuis 1980. L’église, endommagée suite à affaissements, fut entièrement restaurée entre 1996 et 1998. Les couches solides du sous-sol se situent à Doel à environ 11 mètres de profondeur, alors que les palées destinées à soutenir l’édifice ne s’enfoncent en terre que de 7 mètres. Cela explique pourquoi l’église penche assez fortement aujourd'hui, son clocher en particulier.
* Au nord du village, au-delà de la centrale nucléaire, à la hauteur du hameau Ouden Doel, se situent le long de l’Escaut les dernières vasières saumâtres que compte la Belgique. Ces vasières abritent le petit port de Prosperpolder et la réserve naturelle Schor Ouden Doel (51 ha).
* Doel possède un port de plaisance, constitué d’un unique bassin à marée, et un embarcadère où vient accoster le bac de Lillo-Fort, lequel effectue la traversée de l’Escaut tous les week-ends de mars à septembre.
* Doel attire de nombreux excursionnistes, en particulier pendant la période estivale. Un événement singulier est la Scheldewijding (bénédiction rituelle de l’Escaut), qui a lieu début août chaque année depuis 1975. Les festivités commencent par une messe célébrée en plein air. Ensuite, le collège des échevins (=adjoints au maire) se rend conjointement avec les conseillers communaux à un bateau amarré, en vue de la mise à l’eau d’une couronne de fleurs en commémoration des victimes de la mer et du fleuve. L’après-midi, après un spectacle naval sur l’Escaut, un cortège folklorique se met en branle, réunissant, en provenance des villages environnants, nombre de groupes et d’associations avec leurs géants et leurs sociétés musicales. Une marche aux flambeaux clôture la journée.
* En l’an 2000, une cogue (type de navire de commerce hauturier, naviguant au Moyen Âge entre les différents ports de la ligue hanséatique, en mer du Nord et en mer Baltique) a été mise au jour lors des travaux de terrassement en vue de la construction du bassin Deurganckdok. L’épave trouvée à Doel était enfouie à une profondeur entre -7 et -5m sous le niveau de la mer, dans un ancien bras ensablé de l’Escaut, connu sous le nom de Deurganck (= passage, cf. allem. Durchgang), qui autrefois communiquait directement avec le fleuve ; pour des raisons inconnues, la cogue vint échouer dans ce bras en 1404. La cogue de Doel (ainsi qu’il est désormais convenu de l’appeler) mesure environ 21m de long et 7m de large; sa hauteur conservée est de 2,5m environ. L’analyse dendrochronologique a permis d’établir que le chêne qui a fourni le bois du vaisseau a été abattu en Westphalie pendant l’hiver 1325-1326, ce qui fait de cette cogue une des plus grandes, des mieux préservées et des plus anciennes d’Europe. Une fois terminés les travaux de remise en état, la cogue sera (probablement) exposée dans le musée de la navigation de Baasrode, non loin de la ville de Termonde ; mais une maquette est d'ores et déjà visible au bezoekerscentrum (sorte d'écomusée), ouvert depuis septembre 2007 au fort de Liefkenshoek. Une deuxième cogue découverte au même endroit, mais moins bien conservée, date de 1328.
Les premiers projets d’expansion du port d’Anvers sur la rive gauche de l’Escaut datent de 1963 et prévoyaient que l’ensemble des polders du pays de Waas ainsi que Doel disparussent pour faire place à des bassins et à des terrains industriels. En 1968, une interdiction de construire entra en vigueur dans le village. Suite à la récession économique des années 70, ces plans d’expansion furent revus à la baisse, et l’on vit apparaître sur le plan de secteur (=plan d’occupation du sol) de 1978 la ligne dite De Bondtlijn (d’après le sénateur Ferdinand De Bondt), ligne qui allait d’est en ouest, et qui, passant tout juste au sud de Doel, limitait la zone d’extension portuaire à la partie sud des polders. L’interdiction de construire fut donc levée cette même année. Dans la première moitié des années 80 fut réalisé, au sud de Doel, le bassin Doeldok, lequel cependant n'a jamais été utilisé.
L’implantation industrielle moderne la plus ancienne à Doel fut la centrale nucléaire, à 1 km au nord du village, dont la construction fut entamée en 1969. Elle héberge quatre réacteurs (Doel I, mis en service en 1974, Doel II en 1975, Doel III en 1982, et Doel IV en 1985), ainsi que deux tours de refroidissement d’environ 170 mètres de hauteur.
En 1995 furent rendus publics les projets d’extension de l’Administration des voies navigables et des affaires maritimes (Administratie Waterwegen en Zeewezen) de l’autorité flamande, lesquels projets prévoyaient l’aménagement, un peu au sud de Doel, d’un nouveau bassin pour conteneurs, dénommé Deurganckdok. Dans la perspective de la réalisation de ce bassin, l’on se mit à s’interroger sur la vivabilité de Doel, et dans les années qui suivirent une lutte acharnée s’engagea avec comme enjeu la survie du village. En 1997 fut constitué le comité d’action Doel 2020, et des personnalités connues en Flandre, telles que l’ancien sénateur Ferdinand De Bondt, le cinéaste Frank Van Passel, et les trois prêtres Luc Versteylen (fondateur du parti vert flamand Agalev), Phil Bosmans (écrivain) et Karel Van Isacker (historien) s’associèrent au mouvement de protestation. Une prise de décision opaque et des bévues juridiques donnèrent lieu à de grands retards dans la construction du Deurganckdok et entretinrent pendant de longues années un état d’incertitude quant à l’avenir de Doel. Les habitants étaient divisés en, d’une part, ceux qui souhaitaient y rester et, d’autre part, ceux qui au contraire avaient fait choix de lutter pour obtenir un règlement d’expropriation clair et équitable. Le 1er juin 1999, le gouvernement flamand décida, après une modification provisoire du plan de secteur intervenue en 1998, que Doel devait disparaître de ce plan de secteur au titre de zone de résidence, toujours au motif de l’invivabilité du village, qualificatif récusé par les opposants.
Après le changement de gouvernement de la région flamande en 1999, une étude fut effectuée, sur insistance du parti vert Agalev, concernant la vivabilité de Doel après l’achèvement du nouveau bassin Deurganckdok. Cette étude cependant ne remit pas en cause la modification du plan de secteur, ni la décision déjà prise de faire disparaître Doel à terme.
Le 30 juillet 2002, le Conseil d’État suspendit la mise à exécution du plan de secteur tel que modifié, c'est-à-dire comportant notamment la requalification de Doel comme zone industrielle. C’est donc le plan de secteur de 1978, qui classe Doel comme zone résidentielle, qui garde force de droit. Toutefois, en vertu du Décret d’urgence (Nooddecreet) ou Décret de validation, adopté le 14 décembre 2001 au parlement flamand, le gouvernement flamand est habilité à délivrer, en vue de la construction du Deurganckdok, des permis de bâtir et à les faire sanctionner par le parlement. L’on escomptait pouvoir par cette voie contourner le plan de secteur. Le Nooddecreet était la réaction du gouvernement flamand face à la suspension des travaux du Deurganckdok imposé par un arrêté du Conseil d’État ; des comités d’action avaient en effet mis au jour des vices de procédure entachant les modifications apportées au plan de secteur. Le Nooddecreet, compte tenu qu’il interférait dans les procédures en cours, et tendait à contourner partiellement la protection juridique des citoyens, est considéré par beaucoup comme contraire aux principes de l’État de droit.
En octobre 1999 fut néanmoins engagée la construction du Deurganckdok, lequel fut inauguré en juillet 2005. Dès le printemps 1999 étaient venus à être connus d’autres projets encore, prévoyant notamment un deuxième grand bassin à conteneurs, le controversé Saeftinghedok (cf. ci-dessous), qui serait creusé à l’emplacement même de la petite agglomération. La mise en œuvre de ces projets reste cependant incertaine. Une décision à ce sujet est attendue au plus tôt en 2007.
Un nouveau « plan stratégique », que la Région flamande et les autorités portuaires anversoises ont achevé de mettre au point en 2007, devrait être approuvé bientôt. Le plan prévoit de requalifier en zone portuaire toute la zone située au nord d’une ligne Kieldrecht-Kallo (et donc englobant Doel), jusqu’à la frontière néerlandaise. La construction d’un nouveau bassin à marée, le Saeftinghedok, serait alors possible, moyennant la poursuite des expropriations.
Partisans et détracteurs s’opposent à propos de l’opportunité de ce bassin. Celui-ci a un fervent défenseur en la personne de Marc Van Peel, depuis fin 2006 échevin (=adjoint au maire) aux affaires portuaires de la municipalité d’Anvers. Selon M. Van Peel, l’extension du port d’Anvers est une nécessité, compte tenu, d’une part, de la croissance prévisible du trafic de conteneurs, lequel est passé, en 2007, de 7 à 8 millions d’ÉVP, et d’autre part, de ce que le port d’Anvers sera apte, dès 2008, grâce aux travaux d’approfondissement de l’estuaire qui ont été réalisés, à accueillir des porte-conteneurs d’une capacité jusqu’à 12.500 ÉVP. Si cette croissance se poursuit à ce même rythme, on peut prévoir que le Deurganckdok sera parvenu à saturation aux alentours de 2012. Or, les seules possibilités d’expansion se trouvent sur la rive gauche, dans les marais de Doel.
Les opposants au projet vont valoir, étude récente de la Ocean Shipping Consultants à l’appui, que la conteneurisation des marchandises pourrait atteindre bientôt son plafond, et que la croissance prévisible du trafic pourrait être moindre dans les dix années à venir que dans les années récentes. Par ailleurs, à l’heure actuelle, le Deurganckdok est loin d’avoir épuisé toute sa capacité, et il apparaît de surcroît que le rendement, exprimé en ÉVP par hectare, se situe, au port d’Anvers, avec un chiffre de 18.000 seulement, très en deçà de ce qu’il est à Rotterdam ou à Hambourg, où l’on atteint les 30.000 ÉVP par hectare. Dès lors, au lieu d’un supposé manque de capacité, ce serait plutôt d’une grande réserve de capacité (resp. d'une surcapacité, si le Saeftinghedok devait être construit) qu’il pourrait être question, de sorte que moyennant certaines améliorations techniques, et éventuellement un allongement du Deurganckdok, il devrait être possible de faire face à l’augmentation du trafic conteneurs, et ce, selon les calculs du parti écologiste Groen!, au moins jusqu'en 2027.
Dès 1999, les habitants qui le désiraient pouvaient se faire exproprier. Les maisons expropriées passaient aux mains de la Maatschappij voor Grond- en Industrialisatiebeleid van het Linkerscheldeoevergebied (Société de gestion foncière et d’industrialisation de la Rive gauche de l’Escaut, en abrégé Maatschappij Linkeroever), cependant les habitants expropriés bénéficiaient d’un droit d’habitation, garanti initialement jusqu’au 1er janvier 2007. Fin 2006, l’administration fit savoir aux habitants que le droit d’habitation serait prorogé de manière provisoire.
En même temps fut nommé en 1999 un médiateur social, chargé de mettre à exécution le plan d’accompagnement social et d’assister les habitants qui quittent le village volontairement. Le 31 décembre 2003, ce plan social vint à son terme. Cette manière de procéder a permis de rendre exsangue, en seulement quelques années et sans coup férir, une grande partie du village: le 1er mai 2003 ne vivaient plus dans le centre de Doel que 214 des 645 habitants qui étaient inscrits au 20 janvier 1998. Le chiffre de population réel dans le centre s’élevait toutefois, au 1er mai 2003, à 301. Le 1er septembre 2003, l’école communale fut fermée après constatation que seuls 8 élèves s’y étaient inscrits.
Depuis lors, si le nombre d’habitants officiel a poursuivi sa baisse (plus que 202 en mars 2006), le nombre réel s’est progressivement accru. Cela s’explique, pour petite partie, par l’arrivée de nouveaux locataires dans certaines maisons expropriées, et pour majeure partie par le fait que des squatteurs avaient occupé les immeubles vacants (les estimations se situent entre 150 et 200). Cet état de choses fut longtemps toléré par la Société propriétaire des maisons vacantes et par la municipalité de Beveren.
Début 2006, les médias se sont de nouveau intéressés à Doel en raison du grand nombre de squatteurs. Cela concourut à répandre dans le public l’idée que Doel s’était dans une certaine mesure muée en une zone de non-droit, où l’on pouvait sans problème s’approprier un logement vacant, ce qui, à son tour, eut pour effet d’attirer de nouveaux squatteurs et de provoquer une vague de cambriolages. Le 22 mars 2006, le bourgmestre (=maire) de Beveren annonça que les contrôles de police seraient intensifiés à Doel et que la tolérance zéro serait dorénavant en vigueur et toute activité illégale réprimée. Certains squatteurs cependant demandent à régulariser leur situation.
Début septembre 2007, le tribunal des référés de Termonde a interdit la démolition de logements à Doel. La Maatschappij Linkeroever avait demandé quarante permis de démolition, dont une vingtaine avaient été accordés entre-temps. Le gouvernement flamand souhaite que 125 immeubles au total — soit environ une moitié des maisons du village —, déjà acquis par l’autorité flamande, aient disparu d’ici fin 2007 ; cela du reste rejoint sa décision de mettre un terme final au droit d’habitation (woonrecht) en 2009 : toutes les maisons qui viendraient ainsi à se trouver vacantes seraient ensuite démolies. Cependant, quelques habitants de Doel, soutenus en cela par le comité d’action Doel 2020, avaient saisi le tribunal de Termonde afin d’empêcher les démolitions. Sur le plan d’occupation du sol, Doel reste classé en zone d’habitation, le nouveau plan de secteur qui requalifiait Doel en zone industrielle ayant en effet quelques années auparavant été suspendu par le Conseil d’État. Le président du tribunal a jugé que les travaux de démolition seraient dommageables aux habitants restés sur place et dépasseraient les limites de la simple incommodation.
Par ailleurs, et dans le même temps, une délégation des habitants de Doel s’est rendue au Parlement européen à Bruxelles pour protester contre la démolition programmée de 125 logements. La délégation a remis une requête à la Commission des pétitions du Parlement européen.
Source wikipédia
Saepta Iulia
I Saepta Iulia (o Julia), noti in seguito come Septa e in greco come τὰ Σέπτα, erano un edificio costruito a Roma nel Campo Marzio. Sono citati nell'epigramma 21 di Marziale. Tutta la zona è stata riedificata nei secoli successivi, ma gli studi di Guglielmo Gatti (1905-1981) hanno definitivamente fissato la posizione dei Saepta fra via del Seminario, via di S. Ignazio, via del Plebiscito, via dei Cestari e via della Minerva.
Storia
Gaio Giulio Cesare aveva intenzione di costruire i Saepta con la funzione di recinto elettorale al Campo Marzio, in sostituzione del più antico Ovile; avrebbe dovuto essere in marmo e circondato da un portico lungo un miglio. Non è noto se poi Cesare diede o meno inizio ai lavori: si sa che il triumviro Marco Emilio Lepido contribuì alla costruzione, ma che fu Marco Vipsanio Agrippa a completare e a dedicare i Saepta nel 26 a.C., con il denaro proveniente dalle campagne militari in Illirico. Dopo un incendio, Domiziano li restaurò (80).
Agrippa volle che il complesso prendesse il nome di Iulia in onore della gens Iulia cui appartenevano sia Cesare che Augusto; malgrado ciò, il complesso veniva comunemente chiamato Saepta, anche se le denominazioni alternative di porticus saeptorum e saepta Agrippiniana, sono attestate, come pure la conservazione dell'uso del nome di ovile
Struttura e Decorazioni
I Saepta Iulia dividevano il complesso composto dal Pantheon, dalla basilica di Nettuno e dalle terme di Agrippa, dal tempio di Iside al Campo Marzio. Lungo il portico meridionale confinavano con il Diribitorium.
Si trattava di un quadriportico: i due portici principali erano la porticus Argonautarum e la porticus Meleagri.
Marco Vipsanio Agrippa li fece decorare con lastre di pietra, dipinti e altre opere d'arte, che Plinio il Vecchio loda
Uso
La destinazione principale dell'edificio era quella di recinto per le votazioni, ma mano a mano che il ricorso al voto popolare perse di importanza, i Saepta iniziarono ad essere sempre più usati per altri scopi, finché, quando Tiberio sostituì il voto del popolo con quello del Senato, l'edificio smise di svolgere funzioni politiche e divenne uno spazio culturale. Venivano utilizzati per il passeggio, ma vi si tenevano dei giochi ed altre attività. Nel 17 a.C. vi si tenne un'assemblea del Senato romano, mentre Tiberio, di ritorno dalla campagna illirica, parlò al popolo da una tribuna eretta in questo luogo. Nel 7 a.C. Augusto finanziò alcuni combattimenti gladiatorii in commemorazione di Agrippa, mentre il 1º agosto 2 a.C. vi si tennero delle venationes, cui parteciparono probabilmente anche rinoceronti ed ippopotami, per la dedica del tempio di Marte Ultore. Anche Caligola e Claudio vi organizzarono giochi gladiatorii, Augusto e Caligola li destinarono ad ospitare naumachie,] mentre Nerone adibì la struttura alle esibizioni di ginnastica.
Dopo l'istituzione delle feste dette Sigillaria, ad esempio, i Saepta erano anche sede di una sorta di mercato temporaneo dove si esponevano, in stand a forma di piccole capanne, doni da offrire in occasione delle feste:
« In occasione delle feste Sigillarie, aggiunte, dopo Caligola, ai quattro giorni dei Saturnali, si innalzavano delle impalcature di legno dinanzi alle pareti dei Saepta e vi si esponevano delle piccole capanne, veri e propri presepi, dentro le quali si collocavano le immagini degli dei Lari, protettori della Famiglia, insieme con altre statuette (sigilla) di cera, gesso o argilla, che i Romani si offrivano in dono scambievolmente durante la festività, accompagnandole con libri, vasi di vetro, coppe di argento, gemme incise, perle, monili, scatole di avorio, ecc.
Se si pensa che ancor oggi il grande mercato temporaneo di Roma per le feste natalizie (che sono notoriamente la prosecuzione cristiana dei Saturnali), si svolge a Piazza Navona, che si trova a due passi, sembra di poter notare qui un altro dei numerosi fenomeni di persistenza nell'uso del territorio che caratterizzano la città: caserme al Castro Pretorio, strutture sanitarie all'Isola Tiberina, chiese cristiane sui templi romani, e così via.
Da Wikipedia, l'enciclopedia libera.
di P. Scenck;
Raccolta Foto de Alvariis;
Des soldats de la Wehrmacht se rendent les mains en l'air.
Référence : page 505 de Overlord, Heimdal
" le 9 juin 1944, des soldats allemands sont ramenés vers l'arrière, cette photo a été prise dans le secteur du Taret de Ravenoville. La zone côtière entre Utah et Quinéville fut nettoyée du 7 au 13 juin par les hommes des 22è et 39è régiments. "
L'appartenance des ces régiments est la suivante :
22nd IR de la 4th US ID
39th IR de la 9th US ID
séquence filmée ici:
www.flickr.com/photos/mlq/4034520458
Scène filmée film NARA 111-ADC-1436 en 1 :29
www.youtube.com/watch?v=GQN7VxSt3VQ
Quant au Taret :
Un taret est un dispositif pour drainer les marais, un réseau d'étiers avec une porte écluse ouverte à marée basse.
Jamais la mer ne rentre dans les étiers à marée haute, l'écluse est fermée.
Le taret de Ravenoville qui n'est pas indiqué sur les cartes IGN est dans le hameau de Ravenoville Plage. En 2007 les tarets sont toujours en service. (Source : Mairie de Ravenoville, le 22 octobre 2007)
Le taret de Ravenoville appartient au réseau hydrographique des marais littoraux de la côte est cotentin. Les différents tarets de cette côte sont équipés à l'exutoire, de portes à flot ou de vannes destinées au maintien du niveau d'eau permettant notamment une valorisation agricole de la zone humide par la fauche et le pâturage. En période de basses eaux ce rejet semble véhiculer des eaux assez saumâtres. Une auto épuration s'effectue dans le marais où le fonctionnement hydraulique des cours d'eau est difficile (Source : Service Santé/Environnement DDASS de la Manche)
Photo publiée dans :
"Spokane Daily Chronicle" du 12 juin 1944, page 3
news.google.com/newspapers?nid=ddB7do2jUx8C&dat=19440...
"The Telegraph-Herald" du 12 juin 1944, page 3
news.google.com/newspapers?nid=aEyKTaVlRPYC&dat=19440...
"The Robesonian" du 13 juin 1944, page 7
news.google.com/newspapers?nid=ypzvKOdbExQC&dat=19440...
"The Painesville Telegraph" du 13 juin 1944
news.google.com/newspapers?nid=7GbmjkRdlf4C&dat=19440...
" St. Joseph News-Press " du 16 juin 1944, page 8
Door Piet Grim, `s-Heerenhoek
Nisse 6-1-2017 09.00 uur opkomende zon sluierbewolking en vliegtuigstrepen -3 gr C
Door Mike Weststrate., Kruiningen.
Ondergaande zon boven de Westerschelde, met mooie weerspiegeling op het strand en water. op de achtergrond vaart een schip. De foto is genomen op het strand van Westkapelle.
Door Piet Grim, `s-Heerenhoek
`s-Heerenhoek 23-9-2016 07.48 uur opkomende zon morgenrood en bewolking vanmorgen over het weiland
Door Piet Grim, `s-Heerenhoek
`s-Heerenhoek 25-11-201608.26 uur opkomende zon vrij helder met sluier bewolking koude N-O wind
Muurschildering van Klaas Lageweg op het pand Rademarkt 10, hoek Kostersgang in Groningen, in 1832 Kad. H 566, art. 1306, met het huis van verwer Bernardus Josephus Kloosterhuis, ovl. Groningen 25-11-1887, oud 91 jaar, zoon van huisschilder Gerhardus Kloosterhuis.
Bron: www.hisgis.nl
Klaas Lageweg:
Aan de zuidzijde had Bernardus Kloosterhuis als buren: koopman Hinderk Hinderks Groeneveld, geb. Thesinge (Ten Boer), ovl. Groningen 13-12-1843, oud 68 jaar, in 1832 Kad. H 535 art. 825, later nr. 12, en schipper en koopman Berend Aikes de Haan, geb. Nieuwe Pekela, ovl. Groningen 7-10-1853, oud 69 jaar, echtgenoot van Jantje Jans Huls, zoon van timmerman Aike de Haikes en Ettje, op het perceel Kad. H 534, art. 908, later nr. 14
Deze twee panden aan de Rademarkt 12 en 14 zijn gesloopt.
Er is meer gesloopt, nl. om de bouw van het Politiebureau mogelijk te maken. Nieuwsblad van het Noorden van
13-7-1966: resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010869457:mpeg21:a0186
Het Politiebureau aan de Rademarkt is in 1964/70 ontworpen door gemeente-architect Ele de Haas (1921-2010) van de Dienst Stadsontwikkeling en Volkshuisvesting, waarvan ir. Herman Jan Dix (1916-2005) de directeur was:
hdl.handle.net/21.12105/d9dbcea2-a804-efe2-b712-e0501f859109
Het politiebureau is in 1995/96 ingrijpend gerenoveerd onder architectuur van Karelse van der Meer Architecten in Groningen (opgegaan in het Architectenbureau De Zwarte Hond):
www.staatingroningen.nl/bedrijf/3/karelse-van-der-meer-ar...
www.staatingroningen.nl/bedrijf/273/de-zwarte-hond
Bernardus Kloosterhuis' buren aan de noordzijde waren koopman Derk Piërius Sijbolts, op het perceel Kad. G 567, art. 2365, thans Rademarkt 8, en Jan Severin Winter, met een Molen-IJzersmederij op het perceel Kad. G 569, art. 2686, en Kad. H 570, art. 2686, thans Rademarkt 6 en 4, in het tweede en derde pand vanaf de Steentilstraat. Tussen de panden 4 en 6 liep en loopt een steegje.
Op 21-2-1891 vroeg H.J. Kloosterhuis vergunning voor het bouwen van een winkelpui op adres Rademarkt R 74. Hij is huisschilder Harmannus Johannes Kloosterhuis, ovl. Groningen 16-5-1895, oud 66 jaar, zoon van huisschilder Bernardus Josephus Kloosterhuis: www.groningerarchieven.nl/zoeken/mais/archief/?mivast=5&a...
Hij vertegenwoordigde de Rederijkerskamer Handwerkslieden. Nieuwsblad van het Noorden van 26-10-1894: resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010895496:mpeg21:a0051
Magazijn van Galanterieën en Kinderspeelgoederen Jos. Geubels, Rademarkt 10. Nieuwsblad van het Noorden van 14-2-1900: resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010894223:mpeg21:a0073
Vleeschhouwer Israel Goslinski (1840-1922) viert zijn 70e verjaardag, Rademarkt 10. Nieuw Israelietisch Weekblad van 1-6-1911:
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010872734:mpeg21:a0060
Tuinema's Taai Taai, Rademarkt 10. Nieuwsblad van het Noorden van 25-11-1920:
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010668209:mpeg21:a0054
"Moeder en Dochter koopen hun hoed bij Van Dijk-Olieslagers", Rademarkt 10, reeds vanaf f. 1,99. Nieuwsblad van het Noorden van 6-9-1924, 8-5-1933:
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010884139:mpeg21:a0087
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010673995:mpeg21:a0149
Wetenschappelijke en Algemene Boekhandel Vos B.V., Rademarkt 10: hdl.handle.net/21.12105/913c2d78-cd41-9a96-70b5-1bd80f5416fc
Nieuwsblad van het Noorden van 2-3-1973:
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:011016588:mpeg21:a0253
In 1832 stond aan de Rademarkt 4 en 6 (Kad. G 569, art. 2686, en Kad. H 570 art 2686), bij de steeg tussen Rademarkt 6 en 8, de Molen-IJzersmederij van Jan Severin Winter, geb. Neermoer, Oost-Friesland ca. 1787, ovl. Groningen 23-8-1848.
Op nr. 8 (Kad. G 567, art. 2365) stond het huis van koopman Derk Piërius Sijbolts, geb. Bierum, ovl. Groningen 16-9-1845, 75 jaar, echtgenoot van Fenna Hindriks Monkhorst, geb. Jongum, ovl. Groningen 10-9-1843, oud 83 jaar, dochter van schoenmaker Hindrik Harms Monkhorst:
D. Sijbolts, Rademarkt. Groninger Courant van 29-1-1830: resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010773493:mpeg21:a0003
Kinderrijwielen bij F. Groeneveld, Rademarkt 8. Nieuwsblad van het Noorden
van 6-7-1968: resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:011015328:mpeg21:a0180
hdl.handle.net/21.12105/913c2d78-cd41-9a96-70b5-1bd80f5416fc
Te Koop: "eene ruime, net doortimmerde Behuizing, met eenen Mandeeligen Zijgang en Opene Plaats, staande en gelegen Oostzijde aan de Rademarkt, letter Q no. 2 V, te Groningen, zijnde eene van ouds gerenomeerde en zeer beklante Molen-IJzersmederij, waarin sedert eene reeks van 200 jaren deze Affaire met het beste succes is en nog heden wordt uitgeoefend, wordende in eigendom bewoond door Mejuffrouw de Wedw. J.S. Winter en hare Kinderen....."
Groninger Courant van 19-12-1848: resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010772361:mpeg21:a0007
Leeuwarder Courant van 23-1-1849:
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010583680:mpeg21:a0004
Groninger Courant van 16-4-1852:
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010773621:mpeg21:a0010
Groninger Courant van 23-4-1852:
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010773623:mpeg21:a0007
Groninger Courant van 8-10-1852:
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010773671:mpeg21:a0003
De smederij van Jan Winter was een voortzetting van de smederij van Willem Viennen, geb. Leer (Dld), ovl. Groningen 31-8-1811, oud 44 jaar, zoon van Jan Viennen en Elisabeth Warners Bierling, echtgenoot van Fennegien Hindriks.
De executeur-testamentair was hun buurman Derk Sijbolts.
Feuille d'affiches, annonces et avis divers de Groningue = Advertentieblad, bekendmakingen en onderscheidene berigten van Groningen van 9-7-1813, 9-11-1813 en 1-2-1814:
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De smederij van Willem Viennen lijkt een voortzetting van de smederij van Jurjen Menseboer, smid op de Rademarkt, geb. in de Steentilstraat in Groningen, ged. in de Grote Kerk 1-12-1741, begr. Groningen 14-11-1786, zoon van Meester Smid Jurrien Menseboer, ovl. Groningen 14-10-1758, en Jantien Ovingh, ovl. Groningen 12-5-1764.
Jurjen Menseboer, Meester Smid, was in 1751 gevestigd "omtrent Ooster-Poorten Booge, aan het Rade-Merkt".
Hans Pieters Menseboer, Meester Smid, was in 1790 gevestigd "by de Ooster Poort op 't Rademarkt in de Swaa".
Op de kadastrale kaart van 1832 is te zien dat de Rademarkt begint bij het Sint Anthonie Gasthuis, Kad. H 822, art 855:
hdl.handle.net/21.12105/0d4090df-bc5d-cdee-ea47-47191a6f2da3
hdl.handle.net/21.12105/3e77c5fe-0ecc-b0d0-c6e8-0db9c4d41398
hdl.handle.net/21.12105/b32e4168-77f6-a66e-b0ad-3ebf4031ab3a
Opregte Groninger Courant van 29-7-1746, 5-8-1746 (E. Menseboer), 1-11-1748, 7-9-1751 en 9-4-1790:
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Claas Neeringh, echtgenoot van Aaltje Hulsebosch (dochter van Jantien Ovingh, stiefdochter van Jurrien Menseboer) was belast met de afwikkeling van zijn nalatenschap.
De smederij van Hans Pieter Menseboer droeg de naam "de Swaa" en lag aan de westzijde van de Rademarkt.
Hans Pieters Menseboer, tr. Groningen 23-7-1784 Anna van der Aa, weduwe van Willem Smeding, vroedvrouw, geb. Ter Aa (Dld), ovl. Groningen 2-11-1821, oud 76 jaar.
In 1788 woonde hij in het huis van wijlen Willem Smedingh.
In 1792 woonde hij naast Schrijver Thomas Eppo Leinenga, ovl. Rademarkt, huis Q 48, op 20-1-1821.
Successie: www.allegroningers.nl/personen/weergave/akte/layout/defau...
Thomas Leinenga komt voor in het testament van Beerta van Veenkamp:
www.groningerarchieven.nl/zoeken/mais/archief/?mivast=5&a...
Jan Backer wegens belediging van de pandkamerdienaar Thomas Leinenga, 1762 :
www.groningerarchieven.nl/zoeken/mais/archief/?mivast=5&a...
Hans Pieter Menseboer bood het pand te koop of te huur aan in de Groninger Courant van 21-12-1792. In juli 1793 was hij gevestigd in de Heere Straat, naast de Heer Raadsheer, Smid, alwaar de Swaa en Kraanzaag uithangt. Later in 1793 woonde hij gescheiden van zijn vrouw in de Kerkstraat, bij het "Blauwe Peert", ten huize van Meester Smid C. Wolthekker. Op 14-9-1799 werd de huisraad, nieuw en oud ijzer en gereedschappen van wijlen smid H.P. Menseboer in zijn huis in de Breede Gang verkocht. De Breede Gang is de Haddingedwarsstraat:
hdl.handle.net/21.12105/9f32853a-ac96-561f-9ef5-1ce9b781bd97
Groninger Courant van 1-12-1786, 16-10-1787, 18-4-1788, 9-11-1792, 21-12-1792, 5-2-1793, 5-7-1793, 30-7-1793, 1-1-1799, 2-8-1799, 10-9-1799 en 13-9-1799: resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010107534:mpeg21:a0006
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In 1794 bood de vrouw van smid Menseboer winkelruimte te koop aan, zynde zo goed als nieuw, zeer geschikt als Yzer en Kruideniers Winkel. Te bevragen bij de Vrouw van de Smid Menseboer, in de Steentilstraat, boven de Vleeshouwer Sluiter. Groninger Courant van 22-8-1794:
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010157117:mpeg21:a0010
Nalatenschap van H.P. Menseboer, 1799:
www.archieven.nl/nl/zoeken?mivast=0&mizig=210&mia...
"Heelkundige instrumenten door Mensenboer gemaakt", in de "Catalogus van heel- en ontleed-kunstige instrumenten door de beste meesters gemaakt. By een verzaameld door den Heer Ludolphus Stenhuys". Amsterdan by Petrus Schouten, Boekverkooper in de Kalverstraat, 1763. Ludolphus Stenhuys was medicus en Lector in Groningen.
Koninklijke Bibliotheek Den Haag/Universiteitsbibliotheek Amsterdam: opc4.kb.nl/DB=1/XMLPRS=Y/PPN?PPN=401859061
Gedigitaliseerd door Google Books:
books.google.nl/books?id=zLRlAAAAcAAJ&pg=PA15&lpg...
Roelf Cornelis Kremer, ijzersmid, schipper, geb. Delfzijl ca. 1800, ovl. Groningen 31-7-1884, zoon van scheepsbouw-meester Kornelis Jans Kremer, had de Smederij van de Wed. Winter overgenomen. Groninger Courant 4-5-1852, 4-8-1854 en 1-2-1856:
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Zijn zoon Joannes Jacobus Kremer, geb. Delfzijl 15-7-1844, ovl. Groningen 30-11-1908, en Kleinzoon Henricus Josephus Kremer, geb. Groningen 16-12-1878, ovl. Groningen 27-10-1954, waren ook smid.
J.J. Kremer vroeg in de periode 1872-1899 diverse malen vergunning voor aanpassingen aan het pand Rademarkt R 278:
www.groningerarchieven.nl/zoeken/mais/archief/?mivast=5&a...
Nieuwsblad van het Noorden van 8-12-1888, 9-6-1895, 14-8-1898, 21-8-1904 en 18-12-1918:
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H.J. Kremer vroeg op 24-2-1912 vergunning voor het vergroten van het gebouw op adres Rademarkt 25 (Kad. H 721), onder architectuur van Adrianus Leonardus van Wissen (1878-1955).
Op 27-12-1918 bood H.J. Kremer de panden Rademarkt 23, 23a, 25 en 25 a te koop aan.
Het pand Rademarkt 25 is gesloopt om de bouw van de Parkeergarage Rademarkt mogelijk te maken.
Afbeeldingen pand Rademarkt 25:
hdl.handle.net/21.12105/350e2954-b31e-b8e5-ad41-1a1c72366c91
hdl.handle.net/21.12105/d8c11871-5fbe-e9f1-2866-f7f20e74df5d
Historische afbeeldingen:
hdl.handle.net/21.12105/5eb50a2d-83af-beca-bac5-26a5b3351e5f
hdl.handle.net/21.12105/64ca430a-e70c-c31f-7289-41b27a326009
hdl.handle.net/21.12105/7a445f80-0bf5-5b39-d1b6-d04dc413b2eb
hdl.handle.net/21.12105/7e6f77dc-f828-116a-dfab-8b20b341973f
hdl.handle.net/21.12105/87f46d5f-c0fd-41f0-b68e-42b073495620
hdl.handle.net/21.12105/4e6f5d5f-eead-1144-2bb9-078bb582c424
Te Koop: Koopmans Behuizing get. Q 5 V met Pakhuis get. P 75 V, aan de Rademarkt, hoek Kostersgang, van Jacob Smeenk Nuiver, koster, koopman, ovl. Groningen 19-3-1882, oud 63 jaar, zoon van schoenmaker Jacob Snuiver.
Groninger Courant van 11-2-1851 en 8-4-1851:
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Dameshoedenmagazijn Kosman, Rademarkt 12 (gesloopt): hdl.handle.net/21.12105/93dff723-687d-599f-5f0b-a03fb0c89004
Zuivel en Fijne Vleeswaren, Jan Postema, Rademarkt 12 (gesloopt). Nieuwsblad van het Noorden van 11-3-1959:
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Te Koop; het Koopmanshuis Rademarkt R 72 (nr. 6), met vrij bovenhuis en mandeeligen zijgang, waarin Calmer Polak Gzn, geb. Wildervank 3-9-1840, ovl. Groningen 17-1-1922, meer dan 20 jaar een handel in gedistilleerd heeft, een nabijgelegen Pakhuis en Stalling, en de Winkelbehuizing Rademarkt R 71, met bovenhuis en vrije opgang, waarin voorheen een Vleeschhouwerij was gevestigd en thans de Hoeden- en Pettenaffaire van H. Visser. Algemeen Handelsblad van 1-12-1889:
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Aanbesteding verbouw pand Rademarkt R 72 (nr. 6) tot winkel, door architect W.P. Bos i.o.v. Hero Regnerus Alma, geb. Uithuizen 9-11-1863, ovl. Groningen 26-3-1934:
www.groningerarchieven.nl/zoeken/mais/archief/?mivast=5&a...
Nieuwsblad van het Noorden van 21-2-1894 en 18-5-1900:
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Het Witte Wijnhuis, Rademarkt 6. Nieuwsblad van het Noorden van 28-12-1934:
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Te Koop: Koopmans Behuizing met Pakhuis en Bleekveld aan de Rademarkt R 73 (nr. 8) van Hinderk Harms Monkhorst, Koopman, geb. Jengum, Duitsland, ovl. Groningen 16-6-1871, 67 jaar, zoon van leerlooijer Harm Hinderks Monkhorst.
Groninger Courant van 11-1-1857:
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010772622:mpeg21:a0007
Op 31-8-1861 vroeg H. Behrens vergunning voor het stucadoren van de gevel, etc. op adres Rademarkt R 73.
Op 9-9-1878 vroeg hij vergunning voor het vergroten van het huis op adres Rademarkt R 73:
www.groningerarchieven.nl/zoeken/mais/archief/?mivast=5&a...
Op 12-2-1903 vroeg de Heerenkleedingfabriek Firma Wed. N.A. van Dam & Zn. vergunning voor de afbraak van een pakhuis, staande achter een behuizing aan de Rademarkt R 73 (nr. 8), en het bouwen van een gebouw bevattende magazijnen, op adres Rademarkt 6 en 8 (Kad. H 1286), onder architectuur van Ytzen van der Veen (1857-1942).
Op 1-9-1915 werd vergunning gevraagd voor het maken van een verbindingsbrug:
www.groningerarchieven.nl/zoeken/mais/archief/?mivast=5&a...
Op 14-7-1916 vroeg hij vergunning voor het vergroten van het gebouw op adres Rademarkt 8 (Kad. H 1283):
www.groningerarchieven.nl/zoeken/mais/archief/?mivast=5&a...
www.groningerarchieven.nl/zoeken/mais/archief/?mivast=5&a...
Aanbesteding. Nieuwsblad van het Noorden van 15-2-1903:
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010890742:mpeg21:a0079
Hij werkte samen met architect Tjeerd Kuipers (1857-1942) aan de Zuiderkerk in de Stationsstraat en de Synagoge in de Folkingestraat in Groningen:
web.archive.org/web/20161017141819/http://www.panoramio.c...
www.staatingroningen.nl/bedrijf/104/veen-y-van-der
Ytzen van der Veen is ook de architect van het hoekpand Paterswoldseweg en de Witte de Withstraat, en van "Twee magazijnen elk met eene bovenwoning" aan de Eendrachtskade 28-29 in Groningen:
web.archive.org/web/20161031090603/http://www.panoramio.c...
web.archive.org/web/20161103021707/http://www.panoramio.c...
web.archive.org/web/20161031111439/http://www.panoramio.c...
Architect Tjeerd Kuipers:
resources.huygens.knaw.nl/bwn1880-2000/lemmata/bwn3/kuipers
zoeken.hetnieuweinstituut.nl/nl/personen/detail/0f196946-...
www.archimon.nl/architects/tjkuipers.html
Het pand op de hoek van de Steentilstraat en de Rademarkt, Kad. H 441, art. 2515, was in 1832 eigendom van de wed. van koekbakker Siemon Johannes Visser (www.hisgis.nl).
Hij had er in 1824 de Deventer Koekbakkerij overgenomen van wijlen de heer Rrinder van Ravenstein, geb. Emden, ovl. Groningen 6-10-1823, oud 63 jaar, zoon van grutter Eildert Jan van Ravenstein. Groninger Courant van 4-5-1824 en 14-5-1824: resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010774331:mpeg21:p002
resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010774334:mpeg21:a0009
Het huidige pand is in 1890/91 gebouwd als twee winkels, in opdracht van koekbakker Aaldrik Ebbens Nienhuis, geb. Groningen 4-2-1850, ovl. Sneek 11-9-1927, zoon van koekbakker Evert Edses Nienhuis en Martha Wendelina Sissingh, kleinzoon van grutter Lambertus Nienhuis en gruttersche Hillechien Freerks Rijtema: www.flickr.com/photos/148859204@N07/26367237809/
Het pand op de hoek van de Rademarkt en het Gedempte Zuiderdiep R 482, Kad. H 571, art. 2586, was in 1832 het huis met blaauwverwerij van Wilhelmus Wandele(e), ook Wanderlei, geb. Groningen, ovl. Groningen 28-1-1847, oud 57 jaar, zoon van kastelein Hinderikus Wandele.
Groninger Courant van 9-8-1836: resolver.kb.nl/resolve?urn=ddd:010772219:mpeg21:a0005
Vis- en fruithandel L. Havinga: hdl.handle.net/21.12105/09d67ae3-e373-642d-38a0-8c515e36f460
hdl.handle.net/21.12105/7e6f77dc-f828-116a-dfab-8b20b341973f
hdl.handle.net/21.12105/fd64089d-6488-4f11-d28d-ec0bc069f3b7
hdl.handle.net/21.12105/e63c6569-9b89-43d5-eaa8-d908c86356b3
Veranderen gevel in 1885 door L. Havinga:
www.groningerarchieven.nl/zoeken/mais/archief/?mivast=5&a...
hdl.handle.net/21.12105/7a0dc1a2-5962-6b9e-0242-ad2fad60ce3e
Het naastgelegen pand aan de Rademarkt 3 was het huis van broodbakker Roelf Perzes Wolthekker, geb. Groningen, ovl. Groningen 25-2-1870, oud 78 jaar, zoon van vleeshouwer
Klaas Wolthekker, kleinzoon van grutter Stoffer Wolthekker:
www.panoramio.com/photo/42531867
web.archive.org/web/20161016124349/http://www.panoramio.c...
one foggy night in the heart of the southern city of Rio de Janeiro.
Lagoa Rodrigo de Freitas-
uma noite nublada no coração da zona sul da cidade do Rio de Janeiro.
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www.twitter.com/Memoire2cite Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.. Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. Jérôme (Mémoire2Ville) #chercheur #archiviste #maquettiste dans l #histoire des #logementssociaux #logement #HLM #logementsocial #Patrimoine @ Les films du MRU -Industrialiser la construction, par le biais de la préfabrication.Cette industrialisation a abouti, dans les années 1950, à un choix politique de l'Etat, la construction massive de G.E. pour résoudre la très forte crise du logement dont souffrait la France www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... … Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije Noisy-le-Sec le laboratoire de la reconstruction, 1948 L'album cinématographique de la reconstruction maison préfabriquée production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, 1948 L'album cinématographique içi www.dailymotion.com/video/xwytke archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... -Créteil.un couple à la niaiserie béate exalte les multiples bonheurs de la vie dans les new G.E. www.youtube.com/watch?v=FT1_abIteFE … La Ville bidon était un téléfilm d'1 heure intitulé La Décharge.Mais la censure de ces temps de présidence Pompidou en a interdit la diffusion télévisuelle - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - Hansjörg Schneider BAUNETZWOCHE 87 über Papiermoderne www.baunetz.de/meldungen/Meldungen_BAUNETZWOCHE_87_ueber_... … - ARCHITECTURE le blog de Claude LOTHIER içi leblogdeclaudelothier.blogspot.com/2006/ - - Le balnéaire en cartes postales autour de la collection de David Liaudet, et ses excellents commentaires.. www.dailymotion.com/video/x57d3b8 -Restaurants Jacques BOREL, Autoroute A 6, 1972 Canton d'AUXERRE youtu.be/LRNhNzgkUcY munchies.vice.com/fr/article/43a4kp/jacques-borel-lhomme-... … Celui qu'on appellera le « Napoléon du prêt-à-manger » se détourne d'ailleurs peu à peu des Wimpy, s'engueule avec la maison mère et fait péricliter la franchise ... museedelacartepostale.fr/blog/ -'être agent de gestion locative pour une office H.L.M. en 1958' , les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée- les films du MRU içi www.dailymotion.com/video/xgj74q présente les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,www.dailymotion.com/playlist/x34ije_territoiresgouv_cinem... - mémoire2cité - le monde de l'Architecture locative collective et bien plus encore - mémoire2cité - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
Le Joli Mai (Restauré) - Les grands ensembles BOBIGNY l Abreuvoir www.youtube.com/watch?v=eUY9XzjvWHE … et la www.youtube.com/watch?v=hK26k72xIkU … www.youtube.com/watch?v=xCKF0HEsWWo …
Genève Le Grand Saconnex & la Bulle Pirate - architecte Marçel Lachat -
Un film de Julien Donada içi www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4E723uQcpnU … … .Genève en 1970. pic.twitter.com/1dbtkAooLM è St-Etienne - La muraille de Chine, en 1973 ce grand immeuble du quartier de Montchovet, existait encore photos la Tribune/Progres.
www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48 …, - la tour 80 HLM située au 1 rue Proudhon à Valentigney dans le quartier des Buis Cette tour emblématique du quartier avec ces 15 étages a été abattu par FERRARI DEMOLITION (68). VALENTIGNEY (25700) 1961 - Ville nouvelle-les Buis 3,11 mn www.youtube.com/watch?v=C_GvwSpQUMY … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline Montreynaud la ZUP de Raymond Martin l'architecte & Alexandre Chemetoff pour les paysages de St-Saens.. la vidéo içi * Réalisation : Dominique Bauguil www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo … … - www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije l'industrie dla Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye 1975 Réalisateur : Sydney Jézéquel, Karenty la construction des Autoroutes en France - Les liaisons moins dangereuses 1972 www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije Cardem les 60 ans de l'entreprise de démolition française tres prisée des bailleurs pour les 80, 90's (1956 - 2019) toute l'Histoire de l'entreprise içi www.youtube.com/watch?v=Yyf1XGvTZYs - 69 LYON & la Cardem pour la démolition de la barre 230 Quartier la Duchère le 2 juillet 2015, youtu.be/BSwidwLw0NA pic.twitter.com/5XgR8LY7At -34 Béziers - C'était Capendeguy le 27 janv 2008 En quelques secondes, 450 kg d'explosifs ont soufflé la barre HLM de 492 lgts, de 480 m, qui laissera derrière elle 65.000 tonnes de gravas. www.youtube.com/watch?v=rydT54QYX50 … … Les usines Peugeot - Sochaux Montbéliard. 100 ans d'histoire en video www.youtube.com/watch?v=X4w3CxXVAyY … - 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
Villeneuve-la-Garenne, La Caravelle est à mettre au crédit de Jean Dubuisson, l’un des architectes les plus en vue des années 1960, www.dailymotion.com/video/x1re3h5 via @Dailymotion - AMIENS les HLM C'était le 29 juillet 2010, à 11h02. En quelques secondes, cette tour d'habitation s'est effondrée, détruite par implosion. Construite en 1961, la tour avait été vidée de ses habitants quelques années auparavant. www.youtube.com/watch?v=ajz2xk5KBNo … … - Les habitants de Montreynaud parlent de leur quartier et de cette destruction entre nostalgie et soulagement içi en video www.dailymotion.com/video/xmiwfk - Les bâtiments de la région parisienne - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/CAF96034508/les-batiments-de-la-region-p... … via @Inafr_officiel - Daprinski - George Michael (Plaisir de France remix) www.youtube.com/watch?v=sJeH-nzlj3I
Ministère de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire - Dotation par la France d'autoroutes modernes "nécessité vitale" pour palier à l'inadaptation du réseau routier de l'époque voué à la paralysie : le reportage nous montre des images d'embouteillages. Le ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du Territoire dans les deux gouvernements de Pierre Messmer, de 1972 à 1974, Olivier Guichard explique les ambitions du programme de construction qui doit atteindre 800 km par ans en 1978. L'ouverture de section nouvelles va bon train : Nancy / Metz par exemple. Le reportage nous montre l'intérieur des bureaux d'études qui conçoivent ces autoroute dont la conception est assistée par ordinateurs dont le projet d'ensemble en 3D est visualisé sur un écran. La voix off nous informe sur le financement de ces équipements. Puis on peut voir des images de la construction du pont sur la Seine à Saint Cloud reliant l'autoroute de Normandie au périphérique, de l'échangeur de Palaiseau sur 4 niveau : record d'Europe précise le commentaire. Le reportage nous informe que des sociétés d'économies mixtes ont étés crées pour les tronçons : Paris / Lille, Paris / Marseille, Paris / Normandie. Pour accélérer la construction l’État a eu recours à des concessions privées par exemple pour le tronçon Paris / Chartres. "Les autoroutes changent le visage de la France : artères économiques favorisant le développement industriel elles permettent de revitaliser des régions en perte de vitesse et de l'intégrer dans le mouvement général de l'expansion" Sur le plan européen elles vont combler le retard de la France et réaliser son insertion. Images de l'inauguration de l'autoroute entre Paris et Bruxelles par le président Georges Pompidou. Le reportage rappel que l'autre fonction capitale des autoroute est de favoriser la sécurité. La question de la limitation de vitesse est posée au ministre de l’Équipement, qui n'y est favorable que sur certains tronçons. Un des facteur de sécurité selon le commentaire est l'humanisation des autoroutes : aires de repos, restaurants, signalisation touristiques... "Rien n'est impossible aux techniques modernes" nous apprend la voix off qui prend comme exemple le déplacement sur rail de 65 mètres d'un château classé afin de faire passer l'autoroute Lille / Dunkerque.Durée : 4 minutes 30 secondes Sur les routes de France les ponts renaissent 1945 reconstruction de la France après la Seconde Guerre mondiale www.dailymotion.com/video/xuxrii?playlist=x34ije Lyon, Tournon, Caen - Le Bosquel, un village renait 1947 l'album cinématographique de la reconstruction, réalisation Paul de Roubaix production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, village prototype, architecte Paul Dufournet, www.dailymotion.com/video/xx5tx8?playlist=x34ije - Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc 1956 en FRANCE - "Un jour on te demanda de servir de guide, à un architecte en voyage d etudes, ensemble vous parcourez la Françe visitant cité jardins, gratte ciel & pavillons d'HLM..." @ les archives filmées du MRU www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... … Villages de la Françe cité du Soleil
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document Gwenaëlle Le Goullon (LAHRA), auteur du livre "la genèse des grands ensembles",& Danièle Voldman (CHS, Centre d'Histoire Sociale), expliquent le processus qui a conduit l'Etat, et le ministère de l'urbanisme &de la reconstruction à mener des chantiers exp www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... mémoire2cité & l'A.U.A. - Jacques Simon (1929 - 26 septembre 2015) est un architecte paysagiste formé à l'École des beaux-arts de Montréal et à l'École nationale supérieure du paysage de Versailles. Fasciné par la campagne qui témoigne d'une histoire de labeur, celle des agriculteurs "ses amis", "les génies de la terre", Jacques SIMON, paysagiste dplg, Premier Grand Prix du Paysage en 1990*, réalise avec eux des installations paysagères éphémères principalement dans des champs et visibles du ciel. Avec sa palette d'artiste, Jacques SIMON réinvente des paysages comme les agriculteurs eux-aussi à leur façon les créent et les entretiennent. Le CAUE du Rhône vous invite à venir découvrir ses travaux au travers d'un kaléidoscope de photographies empreintes de spontanéité, de fraîcheur et d'humour. Cette exposition nous interpelle sur le caractère essentiel d'une nature changeante, fragile, sur l'importance d'une activité agricole diversifiée et sur la nécessaire évolution du métier de paysan. Elle nous amène aussi à voir et à interpréter ce que l'on voit, elle éveille en nous le sens de la beauté du paysage en conjuguant les différentes échelles de perception et de lecture; à pied et à vol d'oiseau, à la fois l'échelle humaine, terrestre, géologique, forestière, hydrologique, biologique mais aussi esthétique et symbolique. Jacques Simon, paysagiste cosmopolite est l'un des principaux acteurs du renouveau de la pensée paysagère en France dans les années 60 et 70 conjuguant avec cohérence sa pratique de paysagiste, de voyageur, d'éditeur, d'enseignant avec son approche plus artistique du paysage, subtile, sensible et humaine de la nature avec la réalisation de "performances". Ses projets paysagers comme ses interventions paysagères éphémères sont marqués par la mobilité, la fragilité, une empathie avec le lieu, par la dualité même du voyage : découverte / évanouissement, création / disparition. Jacques Simon dessine, écrit sur le paysage, "une surface", un peu à la manière du land'art avec les techniques et les outils du jardinier, du cultivateur. Il ne s'agit plus de représenter la nature mais de l'utiliser en créant avec et dans le paysage. L'intention de Jacques Simon n'est pas d'apposer sa marque sur le paysage mais de travailler instinctivement avec lui afin que ses travaux-installations manifestent même brièvement un contact en harmonie avec le monde naturel. "On dit qu'il a bouleversé l'esprit du paysage, il a remis les choses essentielles à leur place. Il rit de l'importance qu'on veut bien lui donner, fils de l'air, il ne veut rien de plus que passer dans les cerveaux pour les ventiler, les rafraîchir et non pour les modeler; son "importance", il l'a ailleurs et autrement; il est historique parce que dans son temps, dans celui qui s'écoule et non dans celui qui passe". Extrait de "Jacques Simon, tous azimuts", Jeanne-Marie Sens et Hubert Tonka, Pandora Editions, 1991. Il a introduit une nouvelle conception de l'art du paysage proche du Land art, Jacques Simon est l'auteur d'une série d'ouvrages sur différents aspects du paysage et abordés d'un point de vue technique. Il a travaillé de 1964 à 1966 en collaboration avec Michel Corajoud. Il a conçu le Parc de la Deûle (qui lui a valu le Grand Prix national du Paysage en 2006, après l'avoir reçu une première fois en 19901).
Il est mort le 29 septembre 20151 et a été incinéré à Auxerre Le paysagiste Jacques Simon s'est éteint le 26 septembre dernier à l'âge de 86 ans. Diplômé de Versailles en 1959, il fut sans doute l'une des figures les plus emblématiques, les plus géniales et les plus originales du paysagisme contemporain. Premier grand prix du paysage et prix du Conseil de l'Europe pour le parc de la Deule, on lui doit des principes de compositions très forts, autour du nivellement, du traitement du végétal ou de la place laissée au vide. Ses intuitions comme ses travaux ont inspiré tous les paysagistes avec lesquels il a travaillé, à commencer par Michel Corajoud ou Gilles Vexlard. On lui doit un profond renouvellement dans la composition des grands ensembles, ses réalisations -comme le parc Saint-John Perse à Reims- restant des modèles pour tous les professionnels. Jacques Simon développa également une production d'œuvres plus éphémères, attentif aux mouvements et aux transformations. Pédagogue talentueux et généreux, il le fut autant par les documents techniques et la revue qu'il publia, que par ses interventions en atelier devant plusieurs générations d'étudiants de l'école. Les paysagistes perdent un de leurs plus féconds inspirateurs. L'ENSP s'associe au deuil de sa famille et de ses proches. Témoignages à la mémoire de Jacques Simon
Dans les années 1990 à l'école du Paysage de Versailles, lorsque nous entrions en première année, la première satisfaction était d'acquérir du nouveau matériel d'expression plastique. Encre, feutres, supports en grand format et sur papier calque...mais aussi découvrir des livres de notre professeur Jacques Simon : des carnets de dessins et de croquis, des photomontages découpés aux ciseaux.
En amphithéâtre lors de conférences et séances de projections de diapositives, Jacques Simon évoquait surtout sa capacité à piloter un hélicoptère. Je viens de retrouver un extrait d'un article à ce sujet..« (...) Car depuis une dizaine d'années, le Bourguignon a trouvé une solution à son imagination en bourgeonnement permanent. Jacques Simon crée ‘pour lui tout seul'. Ni commande ni concours. Mais des messages géants écrits dans les champs et seulement visibles d'avion ou d'hélicoptère. Un art éphémère et privé dont il s'amuse, les veilles de moissons, tout autour de sa ferme de Turny, dans l'Yonne.Et là, plus rien ne l'arrête. Les agriculteurs du coin ont pris l'habitude de le voir faucher des allées entières de luzerne. De l'apercevoir écraser d'interminables chemins de phacelia, un graminé californien qui existe en trois couleurs (blanc, bleu, rouge). De l'observer dans son hélicoptère photographiant le résultat. Ses messages sont des hommages ou des avertissements. L'un prévient : ‘Hé, si tu n'as plus de forêt t'es foutu.' Un autre : 'Sans les paysans, je m'emmerde. Signé : la Terre.' Même l'hiver, Jacques Simon s'adonne à cette calligraphie paysagère. (...) ».
Extrait paru dans La Croix l'événement du dimanche 11 et lundi 12 juin 1995, par Frédéric Potet, rubrique Culture.
son site simonpaysage.free.fr/
file:///C:/Users/user/Downloads/B_Blanchon_AUA.pdf Interview to Jacques Simon incleded on the dvd that accompanies book "Metropoles en Europe", from the exhibition "Lille - Metropoles en Europe". The French landscape architect Jacques Simon's love for nature first developed on his father's tree farm and then deepened when he traveled as a young man to Sweden and then Canada, where he attended art school in Montreal while working as a lumberjack. Between 1957 and 1959, Simon studied at the École Nationale de Horticulture. He has since become an important link in the renewal of French landscape architecture, combining the Anglo-Saxon and Scandinavian garden cultures he absorbed in his travels with classic Latin structures. He works as often as possible in situ, and does not shy away from driving the tractor himself.
www.youtube.com/watch?v=OyBnqrUlK9U turny.chez.com/A0archives/jSIMMON.htm Jacques Simon, Il crée la revue Espaces verts en 1968, l’anime jusqu’en 1982, publie des cahiers spéciaux dédiés à « l’Aménagement des espaces libres ». Même l'hiver, il s'adonne à cette calligraphie paysagère».La Croix dimanche 11 et lundi 12 juin 1995, simonpaysage.free.fr/ Jacques Simon écrit ses premiers articles dès la fin des années 1950 pour des revues comme Maison et Jardin et Urbanisme. En 1965, il signe l’un de ses premiers livres, L’Art de connaître les arbres. strabic.fr/Jacques-Simon-Gilles-Vexlard … jacques simon & Le parc des Coudrays - Élancourt-Maurepas, 1970 strabic.fr/Jacques-Simon-Gilles-Vexlard … simonpaysage.free.fr/ Jacques Simon - Espaces verts n° 27, avril-mai-juin 1971, p. 44-45 Fasciné par la campagne qui témoigne d'une histoire de labeur, celle des agriculteurs "ses amis", "les génies de la terre" paysagiste dplg, Premier Grand Prix du Paysage en 1990*, www.youtube.com/watch?v=OyBnqrUlK9U …ici es EDITIONS DU CABRI PRESENTE PARIS LA BANLIEUE 1960-1980 -La video Içi www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg ,
A partir des années 1950, le trafic de la banlieue parisienne suit l’urbanisation galopante et les dessertes ferroviaires doivent s’adapter et se moderniser.Quelques amateurs ont su immortaliser un monde ferroviaire qui était alors en voie de disparition. Dans ce film, nous retrouvons les dessertes 750 volts par troisième rail en rames « Standard » sur les lignes de Versailles-RD, sur la ligne d’Auteuil et entre Puteaux et Issy-Plaine mais aussi les derniers trains à vapeur à St Lazare, à La Bastille et sur le Nord et quelques ultimes voyages sur les lignes de Ceinture.
The American Zonophone Records 1898–1905:
American Zonophone records have their roots in Frank Seaman’s National Gramophone Company, the exclusive sales agent for Emile Berliner’s Gramophone products. By the late 1890s, Seaman was becoming increasingly dissatisfied with Berliner’s commissions and pricing structure, as well as the company’s inability to make timely deliveries, produce a workable coin-operated disc phonograph, and develop overseas markets. In 1897 he opened a recording studio in New York, with the knowledge and consent of the Berliner company, ostensibly to demonstrate the recording process to the public. No masters from Seaman’s studio are known to have found their way into commercial production.
On October 1, 1897, Seaman resigned as president of National Gramophone and was replaced by Orville La Dow. Following Seaman’s departure, National Gramophone’s already strained relations with the Berliner company were largely severed. In December 1897, National Gramophone advertised a competing disc machine, the Vo-Co-Phone,1 for export to Europe. In the same month, Seaman reportedly hired former Edison engineer Theo A. Wangamann to undertake some experimental recording. It was reported that Rhinebeck & Sons (New York) plated and processed the masters, but as with the earlier demonstration recordings, no evidence has been found that any of these were produced or marketed commercially.
Seaman and La Dow launched the Universal Talking Machine Company on January 26, 1898.2 The company was organized to “manufacture, buy, own and sell, coin actuating and other automatic devices, and also machines for reproducing musical and other sounds…,” according to its incorporation papers. La Dow was elected president of the new company, while retaining his position as secretary and manager of National Gramophone, which would act as Universal Talking Machine’s sales agent. Seaman justified creation of the new company based on a clause in his 1896 contract with Berliner that allowed him to obtain machines and records from other sources should Berliner fail to deliver satisfactory goods in a timely manner, as was the case.
Wynwood es un area que podemos definir como el lugar donde se concentraba el Arte Moderno y diseño. Hoy es el sitio donde se nuclean los principales nombres internacionales:
•Cartier
•Rolex
•Cristian Loboutin
•Fendi
•Chanel
•Burberrys
•Tom Ford
•y otros tienen su lugar en el centro mas "cool" de Miami, donde se realiza en los últimos años el Art Basel, donde convergen artistas, y diseñadores que en sus nuevos locales albergan las marcas mundiales top.
Un lugar donde podemos disfrutar de excelentes restaurants de comida al aire libre o cafes enmarcados por sus muros, pintados por importantes artistas. Es un lugar llamado a ser uno de los principales centros de atraccion y polo de entrenimientos, un lugar top que auna lujo y distincion y que merece ser visitado.
Se encuentra localizado en la ciudad de Miami al norte de la NW 20th Street, donde verán muchas obras en construcción y nuevos malls.
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Door Piet Grim, `s-Heerenhoek
`s-Heerenhoek 10-4-2016 07.49 uur volop zon en blauwe atmosfeer rustig lente weer
Dopo aver ripreso la zona www.flickr.com/photos/rocco_parisi/5908324061/ , ho puntato la Via Lattea intorno a Messier 24 (M24).
L'astronomo C. Messier l'ha catalogata come un oggetto del profondo cielo, ma in realtà si tratta di una vasta nube stellare facilmente visibile ad occhio sotto un cielo non inquinato nella costellazione del Sagittario ed è nota anche come "Nube delle Caustiche".
Le sue dimensioni reali sono notevoli, circa 600 a.l., e dista circa 10-16.000 a.l.
Il campo inquadrato contiene innumerevoli altri oggetti del profondo cielo, tra cui la nebulosa M17 e gli ammassi aperti M18, m23 e M25 oltre ad altri innumerevoli oggetti minori. E' presente persino il pianeta Plutone.
Magnitudine limite: circa +14.5m.
Lens: Zenit Giove-11A 135mm f/4 (ЗЕНИТ ЮПИТЕР-11A) flic.kr/p/8AZNWo
Camera Canon EOS 350D DIGITAL(Rebel XT) mod. Baader ACF
34x80s 1600iso / 21 dark /21 flat / 21 bias
date 29/06/2011
Location Monti Nebrodi (Sicily-Italy) 37°55'50.27"N , 14°38'12.31"E, 1442m slm
Seeing 2-3 (scala Antoniadi inversa)
Meteo: sereno, trasparenza quasi discreta, vento leggero da N-NW, 14-13°C.
Elaborazione DSS+ PS CS3
Door Piet Grim, `s-Heerenhoek
`s-Heerenhoek 16-8-2016 06.47 uur opkomende zon sluierbewolking en vliegtuigstrepen weerspiegelen in de Westeindseweel vanmorgen vroeg
Freitag der 18.05.2018, Offener Tavernenabend
Mittelalterlicher Markt
Hofhund, stürzt sich auf jeden Unbefugten ... und lässt sich kuscheln ;-)
Door Piet Grim, `s-Heerenhoek
`s-Heerenhoek 15-12-2015 09.10 uur veel nevel de zon breekt door de bewolking een morgen met veel gezichten