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Dr. Rajendra Pachauri, Leder av FNs klimapanel (IPCC). ZERO- konferansen arrangeres av den norske miljøstiftelsen Zero Emission Resource Organization (ZERO).
Zero mile marker and dp0 Quattro.
At Shiodome, Tokyo, Japan.
I participated in SIGMA's 'Sigbura Photowalk in Ginza'.
Dr. Rajendra Pachauri og Hilde Frafjord Johnson.(IPCC).ZERO- konferansen arrangeres av den norske miljøstiftelsen Zero Emission Resource Organization (ZERO).
I e-mailed the FHC Curator Cory Graff and heard back:
Yeah, it’s fuel. The tanks are filled (usually) before every flight. Add a hot day and a few extra Gs during the turn and the fuel vents out ports in the wings. It’s much more dramatic looking than it is. Mechanics figure they had about a half gallon on each side come out during the test flights.
Yup, it was quite exciting to see that. Made me think there was smoke canisters being tested not a fuel dump...
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To see my other Zero photos, please go here. Thanks!
It was a filthy day today in Norwich, so I sheltered in this passageway after lunch and spent some quality time with the Zero. Talking of filthy, I really need to properly clean the glass of my scanner...apologies for the dust and general crud.
Zero Image 2000 loaded with Fuji Pro 400H. Exposure approximately 3 minutes.
The Mitsubishi Zero was the primary Japanese Naval fighter in World War II. It was used in the attack on Pearl Harbor and in Kamikaze attacks near the end of the war. Allied pilots were astounded by its maneuverability, and it was very successful in combat until the Allies devised tactics to utilize their advantage in firepower and diving speed.
The A6M was given the Allied code name "Zeke," but was generally called Zero. Allied pilots referred to all Japanese fighters as Zeros, but the term is correctly applied only to the Mitsubishi A6M. The marking on this Zero are of the 261st Naval Air Corps, which operated in Saipan.
ZËRO
Le premier album « Joke box » est né des cendres de Bästard et Narcophony, deux anciens groupes dont faisaient partie ¾ des membres de Zëro. Le EP vinyle « Bobby Fischer » l'annonçait, « Diesel dead machine », second albu...m du groupe le confirme : Zëro accélère le rythme sans rien perdre de ses capacités à le perturber et à développer des arrangements d'une richesse rare. On sent que le groupe a tourné, l’énergie brute des concerts est ici restituée avec ferveur. Le son Zëro s’affirme.
Pas besoin de haute technologie pour bien faire. Ici, tout est fait comme il l’a toujours été, live et en groupe, entre rigueur et totale décontraction, le son étant leur seul motif de perfectionnisme et d’obstination. Il suffit de les voir en concert pour le comprendre. C’est sans doute là que le message de Zëro se révèle, approchant avec une totale liberté d’expression ce que le rock représente à leurs yeux: un métissage de cultures et d’influences où le punk des premiers Devo, le jazz d’un Sun Ra et le blues d’un Captain Beefheart ne sont pas étrangers mais complètement assimilés.
Il est clair que la musique de Zëro s’aventure plus dans des contrées inventives que dansles sentiers battus du rock à identité fixe. On y croise autant Jack Berrocal et Gene Vincent en « Drag Queen blues » sous extasy, que le krautrock de Can et Kraftwerk dans un « Luna Park » ludique où psychédelisme et harmoniques offrent un roller coaster cérébral et addictif. On y croisera également des Cramps ressuscités le temps d’un « Sick to the bones » écorché, des Battles en pleine poussée pour un « Viandox » improbable, tout comme un paquet d’autres freaks qui en marge de tout courant auront constamment réécrit avec singularité et intelligence le langage du rock.
Chaque titre s’évade du précédent, fuyant la routine et l’étiquette comme la peste, un sourire au coin des lèvres, une bonne boite à blague sous le bras. Les disques se dévoilent avec la malice d’une boite d’illusionniste, d’un vice sans fin où le plaisir et la surprise sont sans cesse renouvelés.
Force Béton // 2 avril 2010 // BITCHE, NANTES
The support cars for the Tour of Britain roar past the Swanton Morley waterfalls.
Zero Image 6x9 MF loaded with Fuji Reala 100, exposure time about 3 secs.
Participants at the session Zero Days VR at the Annual Meeting 2018 of the World Economic Forum in Davos, January 23, 2018. Copyright by World Economic Forum / Ciaran McCrickard
ZËRO
Le premier album « Joke box » est né des cendres de Bästard et Narcophony, deux anciens groupes dont faisaient partie ¾ des membres de Zëro. Le EP vinyle « Bobby Fischer » l'annonçait, « Diesel dead machine », second albu...m du groupe le confirme : Zëro accélère le rythme sans rien perdre de ses capacités à le perturber et à développer des arrangements d'une richesse rare. On sent que le groupe a tourné, l’énergie brute des concerts est ici restituée avec ferveur. Le son Zëro s’affirme.
Pas besoin de haute technologie pour bien faire. Ici, tout est fait comme il l’a toujours été, live et en groupe, entre rigueur et totale décontraction, le son étant leur seul motif de perfectionnisme et d’obstination. Il suffit de les voir en concert pour le comprendre. C’est sans doute là que le message de Zëro se révèle, approchant avec une totale liberté d’expression ce que le rock représente à leurs yeux: un métissage de cultures et d’influences où le punk des premiers Devo, le jazz d’un Sun Ra et le blues d’un Captain Beefheart ne sont pas étrangers mais complètement assimilés.
Il est clair que la musique de Zëro s’aventure plus dans des contrées inventives que dansles sentiers battus du rock à identité fixe. On y croise autant Jack Berrocal et Gene Vincent en « Drag Queen blues » sous extasy, que le krautrock de Can et Kraftwerk dans un « Luna Park » ludique où psychédelisme et harmoniques offrent un roller coaster cérébral et addictif. On y croisera également des Cramps ressuscités le temps d’un « Sick to the bones » écorché, des Battles en pleine poussée pour un « Viandox » improbable, tout comme un paquet d’autres freaks qui en marge de tout courant auront constamment réécrit avec singularité et intelligence le langage du rock.
Chaque titre s’évade du précédent, fuyant la routine et l’étiquette comme la peste, un sourire au coin des lèvres, une bonne boite à blague sous le bras. Les disques se dévoilent avec la malice d’une boite d’illusionniste, d’un vice sans fin où le plaisir et la surprise sont sans cesse renouvelés.
Force Béton // 2 avril 2010 // BITCHE, NANTES
Origen del Nombre
En la epoca en que se estaba desarrollando el tercer prototipo del caza japones, a los modelos producidos para la aviacion naval se les asignaba los números de tipo basados en el último número del año japones corriente, y como 1940 era el año 2600 en el calendario japonés, la serie A6M fue conocida como Zero .
La Invencibilidad Japonesa
Para los Japoneses el Zero era todo lo que el Spitfire representó para la nación Britanica. Simbolizaba la conducta de la guerra de Japon. El caza Zero marcó el inicio de una nueva época en la aviación naval de guerra. Fue el primer caza basado en un portaaviones capaz de vencer a sus oponentes basados en tierra. Creó un mito, el mito de la invencibilidad japonesa en el aire. Mito bajo el cual los propios Japoneses caerían víctimas como resultado de la casi total destrucción del poder aereo aliado en los primordios de la guerra del Pacifico. En su época el Zero era el mejor caza de combate basado en portaaviones, y su aparición sobre Pearl Harbor vino como una completa sorpresa para las fuerzas americanas.
Diseño
El zero fue originalmente concebido como reemplazo del caza Mitsubishi tipo 96 (A5M), el primer monoplano de la marina japonesa. En Octubre 5 de 1937, la marina japonesa entregó sus requerimientos a las compañías Mitsubishi y Nakajima para un nuevo caza con una velocidad máxima de 310 m.p.h, la habilidad de subir a 9,840 pies en 3.5 minutos, maniorabilidad y autonomía excediendo cualquier caza existente y un armamento de dos cañones y dos ametralladoras. Estas demandas estabas por lejos en exceso de cualquier pedido solicitado a la industria aerea japonesa, y considerando estos pedidos poco realistas, la compañía Nakajima se retiró del proyecto luego después de una reunión de diseñollevada a cabo en la ciudad de Yokosuka el 17 de Enero de 1938. La Mitsubishi sola aceptó la tarea de cumplir con los requerimientos del "12-Shi" (doceavo año del reinado Showa) como era conocido el proyecto, y el trabajo de diseño inició bajo la dirección de Jiro Horikoshi, jefe de diseño de la Mitsubishi Jukogyo K.K.
El motor escogido fue el Mitsubishi MK2 Zuisei 13, un motor radial de 14 cilindros con 780 HP, mas tarde conocido dentro del sistema unificado de designacón JNAF/JAAF como el Ha.31/13. Este motor fue escogido debido a su poco peso y pequeño diámetro, y se le colocó una hélice de velocidad constante de dos aspas. Extremo cuidado se le dió al peso estructural debido a que la maniobrabilidad estaba diractamente relacionada al peso de las alas, y se hizo extensivo uso del Duraluminio Extra Super, una resistente y leve aleación desarrolada para aviones por la Sumitoma Metal Industry Company. El trabajo con el prototipo progresó rápidamente, y los cambios solicitados despues de las inspecciones del diseño 12-shi el 17 de Abril y 11 de Julio de 1938 fueron progresivamente incorporados.
Prueba del Primer Prototipo
El 16 de Marzo de 1939, en la planta Mitsubishi de Nagoya, el primer prototipo fue terminado. Pruebas del motor fueron conducidas en Marzo 18, y la aeronave fue transferida a la base aeronaval de Kasumigaura para la prueba de vuelo. Aquí, el 1ro de Abril de 1939, uno de los pilotos de prueba de la Mitsubishi, Katsuzo shima, voló el nuevo caza por la primera vez. El vuelo fue un inmediato suceso, siendo el único problema que se presentó el de los frenos de las ruedas, el sistema de aceite, y una tendencia pequeña a vibrar. Las pruebas siguientes indicaron que la vibración podía ser controlada mediante el uso de una hélice de mayor tamaño del tipo de tres aspas. El prototipo fue aceptado por la marina el 14 de Septiembre de 1939, como el Caza de Portaaviones A6M1, y mientrastanto, un segundo prototipo se había terminado, pasando las pruebas de vuelo del fabricante el 18 de Octubre de 1939, aceptándose por la marina una semana despues. Ambos prototipos A6M1 cargaban dos cañones de 20mm en las alas y dos ametralladoras de 7.7mm en la parte superior del fuselaje.
Mientras las pruebas del A6M1 continuaban, un nuevo motor pasó las pruebas de la marina, el Nakajima NK1C Sakae 12 de 925 HP, que era ligeramente mayor y mas pesado que el Zuisei. La marina decidió instalar este motor en el tercer prototipo que sería conocido como A6M2.
for 7DoS: part of a wall display for an exhibition called ZERO. The walls were covered in them, but I managed to isolate 3 - phew ;)
Panel, "El-bilder: State of the art."ZERO- konferansen arrangeres av den norske miljøstiftelsen Zero Emission Resource Organization (ZERO). Foto: Eirik Helland Urke
Vote Earth! Switch Off Your Lights For Earth Hour by Shepard Fairey iPhone Wallpaper.
Just spreading the word. For more information on what you can do, please visit or join the Earth Hour Group... and help spread the word!
- billy
www.flickr.com/groups/earthhour/
this year it is expected that half a billion people will participate throughout the world, in addition to, eight flagship cities including, our City of Angels. A total of 800 cities in 80 countries will be officially participating.
by this symbolic act, spread across the world, millions of tons of CO2 will be prevented from entering our atmosphere - proving, that collectively we can make a big difference!
Zero (ゼロ) es un personaje de ficción perteneciente al universo de Megaman, siendo uno de los tres protagonistas de Megaman X y el protagonista de Megaman Zero. En las series Megaman X es uno de los Maverick Hunters con mayor rango (siendo estos A y S, siendo la última la mayor) junto con Megaman X y Axl para detener a los reploides malvados conocidos como Mavericks, la mayoría, liderados por Sigma, el villano recurrente. Se debe hacer énfasis en que él no es un reploid, ya que estos son los robots diseñados en base a X y el es un modelo original al igual que X, así que es un Androide.
Hanging overhead near the Atrium is the Museum's A6M2 Zero. Certainly one of the top World War II fighters, Jiro Horikoshi's Mitsubishi design exceeded the Imperial Japanese Navy's requirements for performance with the prototype A6M1 in April 1939. The production A6M2, introduced to fleet service in July 1940, was highly maneuverable, with an excellent rate of climb and outstanding range, and became the IJN's primary fighter throughout the war with only slight modification. In all, 10,400 were produced.
In May 1937, the innovative Mitsubishi design team led by Chief Engineer Jiro Horikoshi was tasked to produce a carrier fighter. The new aircraft was to replace the Imperial Navy's Mitsubishi A5M (Type 96) fighter, also a Horikoshi design, that had served well in China. Requirements for the new fighter included a top speed of 311 mph at 13,125 ft., climb to 9,000 ft. in 9 minutes and 30 seconds, 1.5 to 2.0 hours endurance at normal rated power, or six to eight hours at economical cruise with drop tank. Armament was to be two 20mm cannons and two 7.7mm machine guns. Other requirements included accommodation for communication/navigation equipment, under-wing bomb racks, a short take-off run, and maneuverability at least equal to the Type 96 fighter. The last requirement was flavored by an ingrained samurai ethos among Japanese military; Japanese pilots sought individual combat against one or more enemies, were excellent dogfighters, but were short on team tactics as practiced by most Western nations. As a result, Horikoshi's design stressed lightness and great climb performance in a high-speed monoplane that retained the agility of a biplane.
The prototype A6M1, first flown in April 1939, failed only to meet top-speed specifications. The power plant was replaced by the Nakajima Sakae 12 engine and equipped with a three-blade propeller. Flight trials of the A6M2 in December 1939 exceed wildest expectations. In July 1940, 15 A6M2s were sent to China for evaluation, entering combat in September, along with a number of production models as reinforcement. In short order, the Type 0 fighter (the "0" indicates the Japanese year of production, from whence the name Zero) destroyed 99 Chinese aircraft with a loss of but two of their own to ground fire in the course of two weeks. Just prior to December 1941, the A6M2 was modified with folding wingtips to accommodate carrier elevators, a reinforced rear wing spar, and incorporation of aileron balance tabs. It was redesignated Navy Type 0 Carrier Fighter Model 21. From that point, various models, culminating with the A6M8, served throughout the war. American team tactics, however, combined with more rugged aircraft equipped with self-sealing tanks, heavier armament and pilot armor, rendered the Grumman Wildcat a match for the enemy through 1942. Later, its successor, the superior F6F Hellcat, achieved a 19:1 kill ratio, clearly outperforming the agile Zero.
www.navalaviationmuseum.org/attractions/aircraft-exhibits...