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la tour sourde (der taube Turm)
Sous la houlette de Corinne BÉGUÉ du collège Lou Castellas de Marguerittes, Amar ABDELGHEFFAR de l'école élémentaire Peyrouse de Marguerittes, Isabelle MAS & Patrick ASCIAK de l'école élémentaire De Marcieu de Marguerittes, Stéphanie MORATA du collège Jean Vilar de St-Gilles, Mireille PHILIPPE (CHANSIGNÉ) du collège Claudie-Haigneré de Rochefort-du-Gard , les 150 choristes accompagnés par 4 musiciens dont Axel BERGEAL, Alain CECCOTTI, Patrice GRÉGEOIS, et Patrick RIOU, ainsi que l’intervention des élèves de l’atelier Langue des Signes du collège de Rochefort-du-Gard, mercredi 26 mai 2015 à 20 h, dans la salle des Fêtes de Milhaud
Ce spectacle, intitulé : « Un voyage, des rencontres » évoque les rencontres diverses, qui font et forgent les êtres que nous sommes, à travers un répertoire éclectique de 15 chansons (dont 6 exprimées en langue des signes) Il est organisé en partenariat avec l’ARECOS, Association Régionale pour l’Expansion des Chorales et Orchestre Scolaires.
Des Sourds étaient présents (la veille il y en avait 3), et à la fin du spectacle, une rencontre a eu lieu entre les élèves de l'atelier et les Sourds, pour un échange en langue des signes !
Un moment d'émotion, autant du côté des élèves, que des parents et des Sourds ... BRAVO !!!!
Sous la houlette de Corinne BÉGUÉ du collège Lou Castellas de Marguerittes, Amar ABDELGHEFFAR de l'école élémentaire Peyrouse de Marguerittes, Isabelle MAS & Patrick ASCIAK de l'école élémentaire De Marcieu de Marguerittes, Stéphanie MORATA du collège Jean Vilar de St-Gilles, Mireille PHILIPPE (CHANSIGNÉ) du collège Claudie-Haigneré de Rochefort-du-Gard , les 150 choristes accompagnés par 4 musiciens dont Axel BERGEAL, Alain CECCOTTI, Patrice GRÉGEOIS, et Patrick RIOU, ainsi que l’intervention des élèves de l’atelier Langue des Signes du collège de Rochefort-du-Gard, mercredi 26 mai 2015 à 20 h, dans la salle des Fêtes de Milhaud
Ce spectacle, intitulé : « Un voyage, des rencontres » évoque les rencontres diverses, qui font et forgent les êtres que nous sommes, à travers un répertoire éclectique de 15 chansons (dont 6 exprimées en langue des signes) Il est organisé en partenariat avec l’ARECOS, Association Régionale pour l’Expansion des Chorales et Orchestre Scolaires.
Des Sourds étaient présents (la veille il y en avait 3), et à la fin du spectacle, une rencontre a eu lieu entre les élèves de l'atelier et les Sourds, pour un échange en langue des signes !
Un moment d'émotion, autant du côté des élèves, que des parents et des Sourds ... BRAVO !!!!
Sous la houlette de Corinne BÉGUÉ du collège Lou Castellas de Marguerittes, Amar ABDELGHEFFAR de l'école élémentaire Peyrouse de Marguerittes, Isabelle MAS & Patrick ASCIAK de l'école élémentaire De Marcieu de Marguerittes, Stéphanie MORATA du collège Jean Vilar de St-Gilles, Mireille PHILIPPE (CHANSIGNÉ) du collège Claudie-Haigneré de Rochefort-du-Gard , les 150 choristes accompagnés par 4 musiciens dont Axel BERGEAL, Alain CECCOTTI, Patrice GRÉGEOIS, et Patrick RIOU, ainsi que l’intervention des élèves de l’atelier Langue des Signes du collège de Rochefort-du-Gard, mercredi 26 mai 2015 à 20 h, dans la salle des Fêtes de Milhaud
Ce spectacle, intitulé : « Un voyage, des rencontres » évoque les rencontres diverses, qui font et forgent les êtres que nous sommes, à travers un répertoire éclectique de 15 chansons (dont 6 exprimées en langue des signes) Il est organisé en partenariat avec l’ARECOS, Association Régionale pour l’Expansion des Chorales et Orchestre Scolaires.
Des Sourds étaient présents (la veille il y en avait 3), et à la fin du spectacle, une rencontre a eu lieu entre les élèves de l'atelier et les Sourds, pour un échange en langue des signes !
Un moment d'émotion, autant du côté des élèves, que des parents et des Sourds ... BRAVO !!!!
Marche trans 2015
«Des trans disent non à la violence
Des centaines de personnes transsexuelles ont marché hier à Montréal pour faire entendre leur voix
C’est pour dénoncer la violence qu’elle subit jour après jour qu’une jeune femme noire transsexuelle a marché hier aux côtés de centaines d’autres trans dans les rues de Montréal.
«C’est dangereux, sortir de chez moi. Je me fais constamment agresser, physiquement ou verbalement. Mais aujourd’hui, je trouvais que ça valait la peine de sortir», a confié Kama Lamackerel, une trentenaire née homme qui a entamé un processus pour changer de sexe.
La jeune femme a livré un témoignage poignant juste avant que s’amorce la Marche pour les droits des personnes trans, qui donnait le coup d’envoi du festival Fierté Montréal.
Victimes trans
«Combien de femmes trans de couleur sont tuées chaque année dans le monde, dans l’ignorance la plus complète? Combien de gens préfèrent tourner la tête lorsqu’une personne trans se fait agresser? Nous ne sommes pas des êtres humains à jeter à la poubelle», a martelé celle qui se dit victime d’une double stigmatisation à cause de la couleur de sa peau.
Les manifestants ont profité de la marche pour exhorter Québec à modifier l’article 71 du Code civil, qui empêche les personnes trans de changer la mention de sexe sur leurs documents si elles n’ont pas subi d’intervention chirurgicale.
Détresse
En décembre 2013, Québec a adopté le projet de loi 35, qui promettait de retirer l’obligation de subir des chirurgies avant d’effectuer un changement légal.
«Ça va faire deux ans et la nouvelle loi n’a toujours pas été adoptée», déplore Caroline Trottier-Gascon, porte-parole du Groupe d’action trans de l’Université de Montréal.
Cette dernière estime que «la situation est urgente» et presse le gouvernement d’agir.
«Pendant qu’on tarde à changer la loi, des gens meurent», insiste Mme Trottier-Gascon, qui rappelle que la détresse de la communauté transsexuelle est bien réelle.
«Encore la semaine dernière, une femme trans s’est suicidée à Lévis, insiste Marie-Ève Baron, membre du conseil d’administration de Fierté Montréal. Près des trois quarts des personnes trans ont fait une tentative une fois dans leur vie.»
Un jeune trentenaire raconte être devenu, il y a deux ans, le premier sourd au Québec à entreprendre un changement de sexe. «Je sentais que j’étais né dans le mauvais corps», confie Trevor Morin, 35 ans, qui a compris vers la fin de la vingtaine qu’il devait devenir un homme.
Le jeune barbu marchait tout sourire aux côtés de sa nouvelle copine, hier, à l’occasion de la Marche pour les droits des personnes trans, à Montréal. Pourtant, il a connu son lot de difficultés ces dernières années.
«J’ai commencé à prendre des hormones il y a deux ans et j’ai subi l’ablation des seins. Comme sourd, on vit déjà de la discrimination. C’est encore plus présent lorsqu’on devient trans», raconte celui qui s’exprime dans la langue des signes. Une amie agissait comme interprète, hier, pour traduire son témoignage.
La prochaine étape pour Trevor Morin, c’est l’opération qui lui permettra d’avoir un sexe masculin. «Ça fait trois mois qu’il attend ça impatiemment», souligne sa compagne, Julie Surprenant.
Coup de foudre
Trevor Morin et elle se sont rencontrés il y a quelques mois à peine. Depuis, c’est l’amour fou.
«Je le connaissais quand il était une femme, mais je n’osais pas lui parler, avoue Mme Surprenant, les yeux pétillants. C’est sa différence qui m’a attirée vers lui.»
Comme transsexuel, l’avantage d’être sourd, «c’est qu’on n’entend pas les gens qui parlent dans notre dos», admet Trevor Morin avec une pointe d’humour.»
Judith Plamondon - Journal de Montréal - 9 août 2015 - 20:17
www.journaldemontreal.com/2015/08/09/des-trans-marchent-p...
Je me réjouis de savoir que je vis à une époque où l’autoportrait a été largement favorisé. Au point de pouvoir équiper nos appareils connectés d’une camera en avant. Histoire de ne plus rater nos selfie. Très sympa! D’ailleurs, à ce niveau, je souligne qu’il y a bien eu du progrès, dans la manière de percevoir ce que c’est qu’un autoportrait. Car, les premières impressions évoquées, dans l’histoire de l’autoportrait en photographie, ne sont pas, du tout, élogieuses.
Ici, il est question de vous partager ce que la vie a bien pu m’enseigner, concernant la manipulation de nos différents sens que nous connaissons bien: l’ouïe, l’odorat, la vue, le goûté et le touché. Mais, en ce qui me concerne, je m’appuierai plus sur: l’ouïe, la vue et le goûté, comme on peut le constater, sur l’image même. Une fois de plus, j’ai encore solliciter la technique qui permet d’augmenter le temps d’exposition, du capteur, à la lumière, pour obtenir certains effets spéciaux. Ça a été vraiment volontaire. Faut dire que j’ai puisé mon inspiration, dans la manière de faire de la photographie surréaliste. A travers l’effet obtenu, sur l’image, je souhaite juste montrer que, c’est le même corps ( la même personne ) qui subit les trois conséquences, en même temps. A savoir: le fait d’être sourde, aveugle et muette.
Avant, je n’y prêtais pas attention. Je choisissais d’écouter et voir tout ce qui se trouvait à ma portée. Puis, je parlais, dès qu’il le fallait. Mais, le temps et les circonstances m’ont appris qu’il fallait, bien des fois, savoir jouer les sourds, aveugles et muets, si l’on voulait avancer. L’avantage c’est qu’en jouant les sourds, on choisit de ne pas se laisser atteindre par des paroles venimeuses; qu’en jouant les aveugles, on choisit ne pas voir les obstacles qui peuvent bien se dresser à nous, pour nous intimider et qu’en jouant les muets, on choisit de passer pour un sage, quand même des fois on peut être un insensé. Forcement, on y trouve à gagner. N’empêche que ça demande beaucoup d’entrainements et un cœur à la fois humble et fort.
En observant attentivement l’image, on constate que, c’est à peine qu’on peut voir mes mains qui étaient posées, sur mes oreilles. Le mouvement capturé consistait à ramener ma main droite vers ma bouche et la gauche vers mes yeux. Le tout en 2 secondes. C’est vraiment à peine que l’on voit ma main droite posée sur mon oreille. Heureusement qu’il y a bien mes bouts de doigts, dans mes cheveux, en guise de témoignage de sa présence, à ce niveau! Mes yeux qui transparaissent clairement, sur ma main gauche. Ma bouche, confondue avec les lignes des doigts de ma main droite qu’on arrive à peine à voir. Je conclue, par ce résultat obtenu que, jouer les sourds, aveugles et muets n’est vraiment pas une chose évidente. Surtout, quand il s’agit de ne pas boucher les oreilles en permanence ou de ne certainement pas fermer les yeux en vrai. Mais, plutôt de trier les informations qui y rentrent. Quant à la bouche, deux options sont possibles: soit réellement la fermer, afin passer pour un sage; soit l’ouvrir, nécessairement, avec beaucoup de sagesse et d’intelligence dans les propos tenus. Là est tout un savoir vivre qui, est une école d’ailleurs!
BOUKAKA M'BALOULA Chancelvie R.
Sous la houlette de Corinne BÉGUÉ du collège Lou Castellas de Marguerittes, Amar ABDELGHEFFAR de l'école élémentaire Peyrouse de Marguerittes, Isabelle MAS & Patrick ASCIAK de l'école élémentaire De Marcieu de Marguerittes, Stéphanie MORATA du collège Jean Vilar de St-Gilles, Mireille PHILIPPE (CHANSIGNÉ) du collège Claudie-Haigneré de Rochefort-du-Gard , les 150 choristes accompagnés par 4 musiciens dont Axel BERGEAL, Alain CECCOTTI, Patrice GRÉGEOIS, et Patrick RIOU, ainsi que l’intervention des élèves de l’atelier Langue des Signes du collège de Rochefort-du-Gard, mercredi 26 mai 2015 à 20 h, dans la salle des Fêtes de Milhaud
Ce spectacle, intitulé : « Un voyage, des rencontres » évoque les rencontres diverses, qui font et forgent les êtres que nous sommes, à travers un répertoire éclectique de 15 chansons (dont 6 exprimées en langue des signes) Il est organisé en partenariat avec l’ARECOS, Association Régionale pour l’Expansion des Chorales et Orchestre Scolaires.
Des Sourds étaient présents (la veille il y en avait 3), et à la fin du spectacle, une rencontre a eu lieu entre les élèves de l'atelier et les Sourds, pour un échange en langue des signes !
Un moment d'émotion, autant du côté des élèves, que des parents et des Sourds ... BRAVO !!!!