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Emna Mnif participe au Meeting organisé par Afek Tounes et l'Association d'Animation Culturelle Pour les Sourds, accessible aux sourds et malentendants, à Sousse le 25 juin 2011.
Toute reproduction sur un support imprimé ou publication sur internet devra faire l'objet d'une demande expresse auprès du service communication de la Fédération Française Handisport.
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Toute utilisation ainsi autorisée devra mentionner le crédit photo (voir nom du fichier ci-dessus : “©…” ou métadonnées de la photo dans sa taille originale).
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Contact : photos [at] handisport.org
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L'Institution nationale des sourdes et muettes (ou aujourd'hui Castéja) est une ancienne école d'enseignement spécialisé pour jeunes sourdes et malentendantes, située à Bordeaux.
Elle est installée depuis les années 1870 jusqu'à la Seconde Guerre mondiale dans ces bâtiments.
Après la fin de la guerre, ces bâtiments deviennent le commissariat central jusqu'à leur déménagement en 2003 dans le quartier Mériadeck, puis les services de Préfecture jusqu'en 2010.
Le site de "Castéja" est resté ensuite à l’abandon. A la suite d’un appel à projet de l’État, l’îlot Castéja retrouve un souffle nouveau. L’acquisition du site par Gironde Habitat offre la perspective d’une réhabilitation.
Ce projet, appelé (Ré)public, permettra la création de logements, d’équipements et services de proximité.
Édifice classique et homogène, celui-ci a puisé ses sources d’inspiration dans les modèles architecturaux des grands maîtres de la renaissance italienne.
Sa régularité, qui peut paraître austère et monotone avec ses jeux de lignes verticales et horizontales, est adoucie par le soin porté au traitement des motifs décoratifs.
Une statue de l’abbé de l’Épée surmonte le porche.
fr.wikipedia.org/wiki/Institution_nationale_des_sourdes-m...
Extérieur sourd. Une scène du film d'Eric Lartiguau.
Clara rentre chez elle, à la ferme de ses parents, située à neuf parsecs, à rôle d'oiselle, des environs de Lassay-les Grenouilles, entre Tuboeuf et Clermont, dans l'Auvergne des Pouilles, en compagnie du disque Live vinyle de Murat, le Babel confié par Spectral Spark, sa prof de musique du lycée d'état, pour répéter Noyade au Chambon avec le fils d'un notable vivant dans le château en roche de porphyre d'un village tout proche perché sur l'éperon sud d'une falaise rongée par les sillons du saphir de la rivière dont les tourbillons rendaient invisibles et sourds des barques les sillages.
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Pendant longtemps, les sourds, isolés, n’ont pu enrichir leurs langues signées et ont dû se contenter d’une gestuelle simpliste ; de ce fait, ne disposant pas d’une langue élaborée, leur esprit ne pouvait se structurer et il leur était donc impossible de développer des capacités intellectuelles égales à celles de leur entourage entendant[réf. nécessaire] (d’où l’idée répandue qu’un sourd était idiot). C’est dans les familles de sourds qu’ont pu s’élaborer les premiers fondements de la LSF, et c’est en se regroupant que les sourds ont pu enrichir leur langue.
L’abbé Charles Michel de l’Épée fut, en 1760, le premier entendant connu à s’intéresser aux modes de communication des « sourds-muets » en observant un couple de jumelles sourdes communiquer entre elles par gestes ; il découvre l’existence d’une langue des signes. Il décide alors de regrouper les enfants sourds pour les instruire. Il apprend lui-même la langue des signes grâce à ses élèves et démontre les progrès obtenus jusque devant la Cour de France. C’est ainsi qu’il peut ouvrir une véritable école pour sourds qui deviendra l’Institut national des jeunes sourds, aujourd’hui Institut Saint-Jacques, à Paris. À la mort de l’abbé de l’Épée en [1789], l’abbé Sicard lui succède et tente d’imposer un langage gestuel conventionné et agrémenté d’une grammaire de « signes méthodiques » qui sera abandonné par la suite.
Cependant, les oralistes considèrent que les sourds doivent apprendre à parler pour s’intégrer dans la société. Le congrès de Milan en 1880 — où l’immense majorité des participants est entendante — décrète l’abandon de la langue des signes dans l’enseignement. Trois raisons sont invoquées : la LSF n’est pas une vraie langue, elle ne permet pas de parler de Dieu, et les signes empêchent les sourds de bien respirer, ce qui favorise la tuberculose. Cette interdiction dure près de cent ans, pendant lesquels les professeurs sont entendants et utilisent exclusivement la méthode oraliste. Cependant, malgré l’interdiction de signer en classe, la LSF ne disparaît pas, les sourds se la transmettant de génération en génération, la plupart du temps pendant la récréation.
En [1991], la loi Fabius favorise le choix d’une éducation bilingue pour les sourds : LSF et le français écrit et oral. En février 2005, une loi institue la LSF comme langue officielle en France.
Aujourd’hui, des instituts — certains privés — ou des associations ont de nouveau intégré la LSF dans leur enseignement. Les professeurs sourds ne sont pas reconnus de façon officielle par l’Éducation nationale : les professeurs entendants signent, aidés par des éducateurs sourds.
La langue des signes française (LSF) est une langue visuelle qui est la langue des signes utilisée par les sourds et muets français (attention aux termes employés, la plupart des sourds ne sont pas muets au sens clinique du terme) et certains malentendants pour traduire leur pensée. La LSF est une langue à part entière et un des piliers de l’identité de la culture sourde.
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Open as part of the Journees de Patrimoine. I first read about it in my 1898 Baedeker, fascinated by old tree as tourist attraction. Alas that tree was cut down in 1904 but am so glad we visited it. Could have stayed in that garden all day.
Jack Snipe - Bécassine sourde - Lymnocryptes minimus
Photo prise à la gravière de Pagney (Jura, France).
Picture taken at Pagney gravel pit (Jura, France).
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POUR UN OUI POUR UN NON
Auteur : SARRAUTE Nathalie
Mise en scene : CARBONNEAUX Philippe
Avec :
LABADIE Jean-Philippe
LABORIT Emmanuelle
LEGRAND Aristide
LIENNEL Chantal
Lieu : International Visual Theatre
Ville : Paris
Le : 06 01 2008
© Laurent Paillier - www.laurentpaillier.net
Emna Mnif participe au Meeting organisé par Afek Tounes et l'Association d'Animation Culturelle Pour les Sourds, accessible aux sourds et malentendants, à Sousse le 25 juin 2011.