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words come and go.
pain comes and goes.
oxygen comes and goes.
but there's always that feeling.
that feeling of helplessness, anxiety, weakness. a part of me is screaming to be let out of the black hole it's stuck in. another part wants to remain hidden in the cold darkness.
every breath i take scars my heart. it tells me that there is still a reason worth living.
well, is there?
i guess we'll never know.
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Oxygen is essential for life. But many of us may be oxygen-deprived. In part that's because the air we breathe is polluted, but also because many of today's foods are low in oxygen content and high in toxic preservatives. To be metabolized they steal the oxygen you need for the body to function. OE Max was created to distribute oxygen to the cells, increase blood flow, and neutralize free radicals.
Title: The McCarthy Chemical Co. Winnie, Texas, Oxygen Plant
Creator: Robert Yarnall Richie
Date: February 7, 1949
Place: Winnie, Texas
Part Of: Robert Yarnall Richie Photograph Collection
Physical Description: 1 negative: film, black and white; 12.7 x 17.7 cm.
File: ag1982_0234_3090_06_mccarthyco_sm_opt.jpg
Rights: Please cite DeGolyer Library, Southern Methodist University when using this file. A high-resolution version of this file may be obtained for a fee. For details see the sites.smu.edu/cul/degolyer/research/permissions/ web page. For other information, contact degolyer@smu.edu.
For more information, see: digitalcollections.smu.edu/cdm/ref/collection/ryr/id/938
View the Robert Yarnall Richie Photograph Collection digitalcollections.smu.edu/all/cul/ryr/
16p-006
March 1, 2016
Leco CS744 - Oxygen/Nitrogen by Inert Gas Fusion Infrared and Thermal Conductivity Detection
The Leco CS744 is designed for routine measurement of carbon and sulfur in primary steels, ores, finished metals, and other inorganic materials. Additional features—such as a high-frequency combustion furnace, improved IR cell design, rugged design, and available automation assists in acquiring an accurate analysis of carbon and/or sulfur.
Request by Peter Hsieh
National Energy Technology Laboratory - NETL-Albany, 1450 Queen Ave. SW, Albany, Oregon.
Reference by Peter Hsieh
Trace amounts of carbon, sulfur, nitrogen, and oxygen can make a big difference in the structure and properties of many alloys. Combustion analysis can be used to measure the concentration of carbon and sulfur in a number of different ores and metals. A small amount of the sample is first combusted in oxygen. The amount of carbon
dioxide and sulfur dioxide produced from the reaction is then measured with an infrared detector.
A similar approach is applied to measure the amount of nitrogen and oxygen present in each sample. The sample is placed inside a graphite crucible and heated rapidly. Oxygen present in the molten sample reacts readily with the graphite crucible, and the amount of carbon dioxide formed from the combustion reaction is measured with an infrared detector and used to calculate the amount of oxygen originally present in the sample. Nitrogen gas escaping from the molten sample is measured with a separate thermal conductivity detector, as it is invisible to the infrared detector.
By measuring the composition of alloys down to parts-per-million levels, it is possible to work out how changes to ingredients and processing conditions affect their composition.
Tuo prigioniero babe
O della tua essenza
Per il mio sangue è già
Già dipendenza
In or out baby
Vedo quello che poi non sento
In or out baby
Vedo, ma poi ti accarezzo dentro
Il tuo odore è ossigeno
Il tuo odore è ossigeno
Così dolce e fortemente
Chiavo la mia mente
E' una cosa così sporca
Che la farei per niente
In or out baby
Vedo quello che poi non sento
In or out baby
Vedo, ma poi ti accarezzo dentro
Il tuo odore è ossigeno
Il tuo odore è ossigeno
E' così insano
Dentro i miei occhi
Chi ami è un angelo
Che uccide se lo tocchi
In or out baby
Vedo quello che poi non sento
In or out baby
Vedo, ma poi ti accarezzo dentro
Il tuo odore è ossigeno
Il tuo odore è ossigeno
tribute to: "Ossigeno"- Afterhours
Vue générale du rein. Le rein des poissons ne présente pas de structure organisée en cortex et médullaire comme chez les mammifères. C'est un organe complexe fait de portions osmorégulatrices, excrétrices, hématopoïétiques, endocrines et phagocytaires. Les reins sont allongés et situés entre la colonne vertébrale et la vessie gazeuse. Cette coupe transversale montre du parenchyme comportant des tubules rénaux (cercles) et du tissu hématopoïétique entre ces tubes. L'organe est irrigué par les artères rénales et le sang appauvri en oxygène retourne au coeur par les imposantes veines cardinales postérieures (X) dans lesquelles se drainent les veines rénales (xx). Du tissu osseux vertébral (en rouge) occupe le haut de l'image.
- Pour plus de détails ou précisions, voir « Atlas of Fish Histology » CRC Press, ou « Histologie illustrée du poisson » (QUAE) ou s'adresser à Franck Genten (fgenten@gmail.com)
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General view. Fish kidneys are complex organs comprising hematopoietic, endocrine, excretory, osmoregulatory and phagocytic elements. They are elongated structures lying between the gas bladder and the vertebral column. In
this transverse section most of the parenchyma is filled with tubules (circles) and hematopoietic tissue in between. Renal arteries from the dorsal aorta supply the kidney and blood is carried away by two posterior cardinal veins. "xx" indicates the place where a renal vein drains into the large cardinal vein (X). At the top of the picture vertebral bone tissue (red) is found.
- For more information or details, see « Atlas of Fish Histology » CRC Press, or « Histologie illustrée du poisson » (QUAE) or contact Franck Genten (fgenten@gmail.com)
Also called as the 'lungs of the world', western ghats are responsible for refreshing the atmosphere and producing a large share of oxygen. The peaks intercept the south-western monsoon winds, that bring a double dose of rain between June and August.
Plusieurs concepts furent proposés pour le déploiement des A4 ou V2 en mars 1943 par Walter Dornberger, le directeur du centre balistique de Peenemünde. Il suggéra la construction de sites très fortifiés similaires aux bases sous-marines construites en France et en Norvège, où les fusées pourraient être entreposées, armées et ravitaillées avec une usine de production d'oxygène liquide présente sur place. Les avantages étaient significatifs car les pertes en oxygène liquide pourraient être réduites au minimum et cela faciliterait la réalisation des nombreux tests nécessaires avant le lancement. Il serait également possible de lancer les fusées à un rythme élevé car le site fonctionnerait comme une ligne de production envoyant un flux rapide de missiles sur les pas de tirs.
Les bases sous-marines et les autres fortifications du mur de l'Atlantique avaient cependant été construites en 1940 et 1941 lorsque les Allemands disposaient de la supériorité aérienne et pouvaient empêcher les attaques aériennes alliées. À partir de 1942, cet avantage avait été acquis par l’United States Army Air Forces dont le déploiement en Angleterre avait commencé en mai 1942 et par la Royal Air Force. L'armée allemande privilégiait donc une approche alternative consistant à utiliser des plates-formes de lancement mobiles appelées Meillerwagens pouvant être accompagnés par les équipements de test et d'approvisionnement montés sur camion ou sur train. Cette proposition bien moins efficace obligeait à un rythme de tir très inférieur, mais avait l'immense avantage d'être plus difficile à cibler par l'aviation alliée.
Mais les chefs de l'armée n'étaient pas convaincus de la résistance des bunkers à des attaques aériennes répétées et s'inquiétaient particulièrement de la vulnérabilité des routes et des voies ferrées menant aux sites. En novembre 1942, Adolf Hitler et le ministre de l'armement, Albert Speer, examinèrent les différentes propositions et les plans des bunkers et des lanceurs mobiles. Hitler opta finalement pour la construction de bunkers, mais accepta également la production de lanceurs mobiles. Deux concepts avaient été proposés : la préparation du missile dans le bunker puis son transport à l'extérieur sur un pas de tir ou le transport du missile par ascenseur depuis l'intérieur du bunker jusque sur un pas de tir sur le toit. Albert Speer ordonna à l'Organisation Todt de construire deux bunkers avec un toit en béton armé de 5 m d'épaisseur et des murs de 3,5 m de large, le premier sur la Côte d'Opale près de Boulogne-sur-Mer et le second dans le Cotentin près de Cherbourg. Les deux seraient capables de lancer 36 missiles par jour, abriteraient suffisamment de missiles et de carburant pour tirer pendant trois jours et seraient exploités par 250 hommes (cf. wikipédia).