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Swedish recording artist Lykke Li performing live at the Vogue Theatre in Vancouver, Canada on May 27th, 2011.

   

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OST LIVE AND LET DIE PAUL McCARTNEY & WINGS:LIVE AND LET DIE / I LIE AROUND Printed in JAPAN

Russia Krasnoyarsk city

2013

Wonderful karst scenery on a flat quite section of the Li River.

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Video on Vimeo

Lykke Li @ Theatre at Ace Hotel DTLA 09/30/2022

shot for Pass The Aux

Vincent Li, an integrated BS/MS scholar in the UC Davis electrical and computer engineering graduate program, was drawn to this campus because of its verdant setting and collaborative atmosphere, along with the youthful element in the surrounding city of Davis.

     

His research focuses on luminescent materials and heterojunction bipolar transistors, and he hopes to develop a zinc selenide/gallium arsenide (ZnSe)x(GaAs)1-x material system for optoelectronics at true green emission.

        

For more information about graduate study at the UC Davis College of Engineering, please visit: engineering.ucdavis.edu/graduate/

     

Photos by Sean Michael Ayres/UC Davis Engineering

Li Na beat Laura Robson, 6-2, 7-5, on Day 5 of the 2013 US Open.

Eglise romane Saint-Pierre-de-la-Tour ; commune d'Aulnay, Charente-Maritime 17, Poitou-Charentes, France

 

Plan et structure intérieure

 

Nef de cinq travées carrées, flanquée de collatéraux, transept fortement saillant sur chaque croisillon duquel s'ouvre, à l'Est, une absidiole en hémi­cycle que précède une courte partie droite et chœur d'une travée, profonde et close par une abside semi-circulaire un peu plus étroite. La nef, couverte d'un berceau brisé sur doubleaux simples, dont un fort cordon horizontal souligne les naissances, ne reçoit selon la tradition poitevine son éclairage que des collatéraux voûtés de même, qui ne lui assurent qu'une contre-butée imparfaite, et marquée par un assez fort dévers. Les supports sont des piles de section quadrilobée, relativement basses, qui reçoivent les grandes arcades doublées et larges ; les arcs-doubleaux de la nef et des bas-côtés retombent, eux, sur des demi-colonnes jumelles qui, sous un unique tailloir, prennent à leur tour appui sur les têtes des chapiteaux couronnant uniformément les piles quadrifoliées, à la hauteur des sommiers des arcades; ce sont des demi-colonnes de même type, mais montant de fond, qui supportent dans les murs goutterots les arcs-doubleaux des bas-côtés. Fenêtres en plein cintre percées dans chaque travée collatérale, au Nord comme au Sud.

Une coupole hémisphérique, nervée de huit branches toriques divergeant d'un oculus sommital, coiffe la croisée du transept; un bandeau ouvragé de deux rangs de demi-disques opposés en ceint la base, rappelant le motif identique qui, dans la nef, décore les bases des piles. Par l'intermédiaire de quatre pendentifs courbes, arrêtés à leurs pointes inférieures sur les petites figures sculptées des quatre symboles évangéliques, elle repose sur quatre arcades en tiers-point, doublées, que supportent des piles complexes, constituées de quatre demi-colonnes principales entre lesquelles sont insérées des colonnettes plus petites : chaque membre reçoit ainsi, logiquement, le rouleau correspondant des arcs, doubleaux et grandes arcades, et l'ensemble engendre un rétrécissement de la perspective de la nef, auquel répondent, dans les bas-côtés, les arcades de communication avec les croisillons; celles-ci sont basses, de sorte qu'un haut mur nu de raccord s'interpose entre elles et la section des voûtes collatérales. Cet artifice, combiné à la hauteur de la coupole, accuse l'autonomie du vaisseau transversal, voûté, sur ses croisillons de berceaux en tiers-point soulignés de bandeaux, et dont le mur de fond méridional, à la différence de celui du Nord, est ajouré d'un oculus circulaire, recoupé d'un remplage cruciforme.

Les absidioles, dont de courts berceaux en tiers-point couvrent les parties droites, sont quant à elles voûtées de culs-de-four un peu plus étroits, des colonnettes d'angle s'insérant dans les redents de leur arc d'entrée; les tailloirs de celles-ci, ornés de damiers, soulignent tout le pourtour inférieur des voûtes et se profilent, latéralement, jusqu'à la butée des piles de la croisée. Le chœur et l'abside principale ont été volontairement construits selon un parti de dépouillement total, d'une nudité sévère. Un berceau brisé couvre le chœur, et l'abside moins large est voûtée d'un cul-de-four de même profil. Unique agré­ment de la structure, deux colonnes retraitées se logent, de chaque côté, dans les redents de l'arc triomphal à double ressaut. Un léger bandeau court à la base des voûtes, mais les hautes fenêtres en plein cintre, aux appuis très pentus sur lesquels ruisselle la lumière du matin, sont d'une simplicité linéaire absolue.

 

Chapiteaux

 

Dans la nef et les bas-côtés, de belles corbeilles de feuillages plantureux, et des répertoires d'oiseaux affrontés, d'animaux fabuleux, de chimères, de disputes, de masques caricaturaux communs à la sculpture ornementale du Poitou et de la Saintonge; quelques-unes seulement, signe peut-être d'une construction hâtive, ne sont qu'épannelées, ou à peine dégrossies, avec, ici ou là, telle figure taillée à coups de serpe, et qui semble inachevée. Mais, sur un chapiteau du bas-côté méridional proche du transept apparaît, voisinant avec des aigles qui, les cols croisés en x, picorent des feuilles frisées, le motif insolite d'éléphants affrontés, au rendu magnifique. Les plus beaux morceaux sont au transept ou à ses approches : en face des éléphants, soit sur la pile Sud-Ouest, le sacrifice d'Abel agenouillé, que Caïn s'apprête à tuer d'un coup de masse; à la croisée, sur la pile Sud-Est, la scène bizarre et morbide d'une file d'hommes à genoux sur l'astragale, et engoulés par des fauves affreux, tigres ou lions; au Nord-Ouest, la Tentation d'Adam et d'Eve, un cen­taure au lion (Samson ?), et, lui faisant suite sur l'une des grosses colonnes de la même pile (à la retombée occidentale de l'arcade Nord), l'anecdote édifiante pour l'orgueil masculin de Dalila coupant la chevelure de Samson endormi, dont par surcroît de précaution, une suivante au beau visage s'affaire à lier les mains d'une grosse tresse. A la base du tailloir court l'inscription prétendument expli­cative : samsonem vincit coma, v(i)nc(tu)s crine moratur, dont l'amphigouri peut se traduire ainsi : « La chevelure vainc (la force de) Samson; il gît lié par les crins ».

 

Extérieur. Chevet et clocher

 

Le chevet, à commencer par lui, n'est, dans la simplicité de son plan, que rondeurs grasses et fermes. Les absidioles, dont le pourtour, creusé d'une baie étroite sans décor ni ébrasement, est soutenu par de minces contreforts-colonnes venant porter sur leur tête le gracieux feston des corniches à modillons sculptés, s'effacent devant l'ampleur, la dimension, le traitement somptueux de l'abside principale. Celle-ci jaillit littéralement du faisceau de colonnes retraitées qui, à la façon des tuyaux de montre d'un grand orgue, coffrent chaque extrémité. Deux autres massifs - un gros fût entre deux plus petits - épaulent l'hémicycle; les colonnettes latérales en reçoivent la triple arcade de décharge moulurée qui enveloppe les fenêtres, et dont le motif, inlassablement répété, se développera ensuite sur la totalité du périmètre de l'église. Sous l'appui des baies court un bandeau richement sculpté; les voussures d'encadrement, ornées de pointes de diamant, reposent sur des colonnettes dont les chapiteaux sont sculptés de tout un bestiaire mythologique contre lequel des chasseurs s'acharnent. Les montants de la fenêtre axiale sont en outre décorés, en relief léger et fluide, de rinceaux de lianes dans lesquelles des hommes passent. La hauteur du clocher carré de croisée, accosté au Sud-Est d'une tourelle d'escalier octogonale, adjointe après coup, double cette élévation de ses trois étages composites : soubassement creusé, sur chaque face, de trois arcatures aveugles en cintre légèrement brisé; haut étage moyen, aux fenêtres longues et étroites insérées entre des colonnes; couronnement gothique, un peu étriqué. La perspective latérale, que sa masse rompt à peine, est une merveille d'agencement rationnel. Entre le fronton de façade et le pignon secondaire interposé entre la travée de chœur et l'abside, la ligne faîtière du toit de la nef, puis de cette travée, glisse d'une extrémité à l'autre à la même hauteur, et l'écrasement de pente de la toiture de la nef porte pareillement au même niveau, d'un bout à l'autre, et abside y comprise, la ligne guillochée des corniches, sous-tendue par le rythme insistant des arcs de décharge que séparent des contreforts-colonnes, et à l'intérieur desquels les fenêtres sont curieuse­ment décentrées de l'Est à l'Ouest.

 

Frontispice méridional

 

Tandis que le pignon septentrional du transept, ajouré seulement d'une fenêtre en plein cintre, demeure d'une totale nudité, son symé­trique du Midi, sous lequel défile la grande route, est conçu comme un front de façade véritable, accrochant et retenant la lumière dans les creux de ses voussures ciselées, modèles de composition organique et diversifiée. Il s'inscrit à l'intérieur d'un vaste arc de décharge en cintre brisé, très légèrement écrasé, reçu à l'une et l'autre extrémité sur des contreforts-colonnes en faisceaux. A mi-hauteur, une corniche hori­zontale, soutenue par des modillons abondamment sculptés de masques, de sujets humains, d'animaux, délimite deux niveaux bien tranchés. L'étage supérieur est creusé d'une arcature médiane à triple voussure en cintre brisé, encadrant l'oculus, et flanquée de deux arcs plus petits, laissés, eux, en plein cintre. Les chapiteaux sont sculptés en reliefs profonds, forés de trous d'ombre comme les tailloirs et la voussure interne de l'arcade principale; celle-ci s'orne sur sa tranche antérieure d'une guirlande florale très proche de l'art islamique, cependant que, sur la voussure médiane, se superposent dans le sens de la courbe quatre vertus guerrières de style figé, abritées par de grands boucliers oblongs qui leur masquent le corps.

Au rez-de-chaussée, le portail en plein cintre, un des sommets de la sculpture ornementale du Haut-Poitou, déploie à l'aise sa quadruple voussure portée, de chaque côté, sur trois colonnes : l'une lisse, la deuxième striée de zigzags, la troisième, a l'extérieur, torsadée. Un unique bandeau, sculpté, à gauche, de quadrupèdes qui se poursuivent en une course folle, à droite de rinceaux à bonshommes passant, sert à la fois de corbeau à la voussure interne, de tailloir aux chapiteaux, de cordon horizontal profilé sur la largeur du pignon. L'ornement des voussures dissimule sous sa verve « fantastique » une composition iconographique d'une extraordinaire maîtrise et sûreté. Sous un larmier sculpté, par exception, d'animaux disposés le long de la circonférence, tous les sujets s'y pressent en rangs serrés selon les axes rayonnants, à raison d'un par claveau, et ce sont bien les rayons d'une roue mobile que leur concentration suggère, illusion renforcée encore par l'artifice des arêtes laissées volontairement vives, sans aucune recherche d'amortissement.

Un invraisemblable bestiaire, associant les animaux fabuleux aux réels et marqué, parfois, d'une impertinente ironie (tel ce mouton drapé dans une chasuble ecclésiastique, et qui lit, mains jointes, le rouleau qu'un autre lui présente !), occupe la voussure externe. A la médiane, les Vieillards de l'Apocalypse tenant coupes - ou plutôt des sortes de carafes - et cithares sont mêlés à d'autres pareillement couronnés, mais auxquels semble manquer l'attribut musical : en tout, non moins de 31 personnages, auxquels font suite, sur la troisième voussure, 24 saints auréolés, certains tenant les mêmes aiguières, d'autres croisant les jambes en x à la façon languedocienne. Des bonshommes pittoresques, main levée, se cachent dans la tranche horizontale, mal visible, de chacun des arcs. La voussure interne, enfin, est ornée de rinceaux plats, avec animaux fabuleux passant, qui sont presque cer­tainement de la même main que les montants de la baie d'axe de l'abside.

 

Frontispice de la façade

 

Le frontispice occidental n'est pas de moindre venue, mais de ton et de facture tout différents, et d'une autre gravité encore. A travers les cyprès du cimetière, brandis devant lui comme des hallebardes, il laisse voir qu'entre les deux lanternons cylindriques d'angle, tout le pignon a dû être refait, et fort appauvri à l'époque gothique, la façade épaulée par de disgracieux contreforts, qui écrasent de leur masse le portail et les arcades sculptés. Le programme iconogra­phique y a même convié, par une exception très significative, l'espace des tympans latéraux sous arcature, que le Poitou laisse le plus géné­ralement nus. Ils ont reçu, à droite le Christ en gloire entouré de deux saints, à gauche la crucifixion de l'apôtre Pierre, patron de l'église. Les décors des trois voussures d'encadrement, qui enserrent d'un épais corset les deux scènes figurées comme pour les isoler de toute souillure, sont presque uniquement ornementaux; profus, ils laissent intacte, sous la virtuosité de leur taille en réserve, la découpe orthogonale de chaque claveau et son arête vive. Et, dans une alternance mystérieuse, ils abandonnent à la voussure du portail principal, vide de tympan, la fonction de parachever leur catéchèse. La figure clé de l'Agneau trône, non pas au faîte de la composition, mais à la clé de la voussure la plus profonde, juste au-dessus de la zone d'ombre de la porte. Cependant, on constate que la Sainte Vierge manque à la série d'Aulnay, et cette absence constitue sans doute l'indice d'une chronologie un peu plus reculée, que confirme la stylistique toute romane encore en ses groupements, ses équilibres de masses, sa fougue ardente, ses graphismes d'enluminure : pour tout dire, sa force.

Le larmier n'est qu'un rang de feuillages. Travaux des mois et signes du Zodiaque, petits sujets disposés transversalement à la circon­férence, se partagent la voussure externe. Vers l'Époux montent à la deuxième, dans une irresistible ascension, les cinq vierges sages et leurs pauvres soeurs imprévoyantes, qui, elles, vont trouver porte close. A la troisième, six Vertus armées foulent aux pieds les vices antithétiques dont elles ont triomphé; des inscriptions alternées les accom­pagnent, plus explicites en leur opposition que tout commentaire : humilitas (Humilité), superbia (Orgueil), castitas (Chasteté), luxuria (Luxure), paciencia (Patience), ira (Colère), largitas (Générosité), avaricia (Avarice), fides (Foi), idolatria (Idolâtrie), Concordia (Concorde), discordia (Discorde).

 

(extrait de : "Haut-Poitou roman" ; Raymond Oursel ; Coll. Nuit des Temps, Ed. du Zodiaque, pp. 305-351)

Li Feng at NUS Medical Society's Public Health Screening 2007.

Best viewed large on black

 

This actually is a waterjuffer (don't know the English name) but as a title I prefer Li Belle ;-)

Captain Li Shang at Disney’s Hollywood Studios in the Walt Disney World Resort in Orlando, Florida, USA 2000

(Chinese) 隊長栗莎嗯在迪士尼好萊塢影城在沃爾特迪斯尼世界度假區在奧蘭多,佛羅里達州,美國 2000年

HA-LIX. The last operational Li-2.

Catalog #: 15_000648

Title: Lisunov Li-2 Cab

Date: May 1997

ADDITIONAL INFORMATION: Lisunov Li-2 Cab, closeup of the left engine.

Collection: Charles M. Daniels Collection Photo

Album Name: Cracow Museum '97

Page #: 42

Tags: Lisunov Li-2 Cab

PUBLIC COMMONS.SOURCE INSTITUTION: San Diego Air and Space Museum Archive

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