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De retour au Mémorial aux Juifs assassinés d'Europe, 20 jours après. L’image de ces stèles anonymes me hante et je ne concevais pas l’idée de ne pas les revoir et d’essayer d’en faire quelque chose, avec mes humbles moyens photographiques.
J’arrive sur le site en fin d’après-midi alors que le soleil commence à descendre et qu’il entre profondément dans les travées orientées ouest-est. J’installe mon appareil sur le pied et choisis un angle et un cadre qui me conviennent. Mon idée est de prendre les visiteurs en pause longue afin de gommer leur individualité pour ne retenir d’eux qu’une forme évanescente, brumeuse, ectoplasmique. Je voudrais voir surgir d’entre les pierres dressées les fantômes des personnes qu’elles représentent.
Je vais rester près de trois heures sur le site et prendre des centaines de clichés que je trierai par la suite. Les ectoplasmes défilent devant moi. J’évite de shooter ceux qui sont trop loin, trop petits sur l’image. Je privilégie les couleurs vives, qui tranchent sur le gris du béton. Je préfère les vêtements blancs.
Très rapidement, un premier gardien vient à ma rencontre. Il veut savoir si je suis un professionnel. Je comprends vite que ceux-ci ne sont pas les bienvenus et que la consigne est de les chasser. Je le rassure facilement et le voilà qui repart faire sa ronde. Ce ne sera pas aussi simple avec le deuxième. Il prend un masque de sévérité pour m’aborder. Il est convaincu que je suis un journaliste et en veut pour preuve la qualité de mon équipement. Pas de chance, la marque de mon pied photo ne plaide pas en ma faveur : « Fotopro » ! Cela constitue pour lui une preuve irréfutable. Au bout d’un quart d’heure de palabres, je parviens à le convaincre du contraire. Détendu, il se montre alors très agréable et répond avec beaucoup d’application à mes questions portant sur son métier et sur l’utilisation du site. J’apprends ainsi que les stèles se dégradent très rapidement bien qu’elles n’aient que 20 ans d’âge. Lézardes, tâches suspectes, infiltrations d’eau… Il s’en désole chaque jour. S’ajoute à cela le vandalisme touristique. Sa tâche est d’empêcher toute utilisation non conforme non seulement à la préservation du monument mais également au respect de ce qu’il représente. Aussi doit-il faire la chasse aux personnes qui viennent là pour pique-niquer ou boire, pour y laisser une inscription quelconque (cœurs, date de leur passage, noms…). S’appuyer sur les stèles n’est pas bien vu non plus au vu de la rapidité avec laquelle le revêtement se détériore. Il y a même régulièrement des gens qui, m’assure-t-il, s’amusent à sauter de bloc en bloc en franchissant les travées par le dessus.
Après son départ, je reprends ma veille. Mais du temps de lumière précieuse s’est écoulée. Le soleil, trop bas, ne souligne plus les arêtes des stèles. Tout n’est plus que nuances de gris. Finies les ombres étirées des visiteurs sur le sol qui m’annonçaient leur arrivée imminente.
Une silhouette apparaît à quelques mètres devant moi et se fige. Cheveux noirs de jais sur une veste blanche, je ne la vois que de dos. Je rectifie rapidement mon réglage de manière à l’avoir nette. Estimant que la photographie pourrait l’intéresser, je vais à sa rencontre. Elle s’appelle Bee, comme l’abeille ai-je besoin de préciser un peu maladroitement. Elle est laotienne, 32 ans, venue seule en Europe. Au Laos, elle travaille pour EDF dans une équipe comprenant beaucoup de personnes françaises. La semaine prochaine, elle visitera Rouen. Elle souhaite que je fasse une série de photos comme celle que je viens de lui montrer mais avec son téléphone, afin de pouvoir les emporter avec elle. Le souvenir, toujours. La crainte de l’oubli, ou le besoin d’une preuve tangible au fait d’avoir été là à tel moment... Nous sommes quelque part dans ce labyrinthe de mémoire minérale, à une croisée particulière, mais parmi des centaines d’autres possibles. Tout autour de nous, ces morts immobiles et sans nom. Et nous qui parlons et rions au milieu d’eux. La vie est toujours plus forte pensé-je. Et la vie sans les rencontres ne vaut pas grand-chose.
© id-iom 2023
Photograph of Guildhall in London taken on the Astral Plane using a Nikon Ectoplasm V7. The giant celestial forms of GogMagog & Corineus are clearly visible in the background. The effigies of Gogmagog and Corineus, used in English pageantry and later instituted as guardian statues at Guildhall eventually earned the familiar names 'Gog and Magog'.
Leroy, one of last season's kittens, has grown into a hyperkinetic cat - never motionless! His "blur" reminds me of either an aura or ectoplasm...Happy Spooky Halloween!!
Photo by MWozniak
Members of the New Adult Services Planning Team participated in the Science on the Rocks October event at Discovery Place. The team created "ectoplasm," talked about the library's electronic resources and showed the film, Ghostbusters .
Dam House Astley Lancashire England The Long Gallery.
While taking photographs on a visit to Dam House I found these light anomalies on downloading the photographs, one the green light could be lens flare, but I did,nt see the bright light at the top of the old window when I took the photograph, so what are they?
This particular Ectoplasmic mass has been photographed on many occasions, in basically the same form in the same place, under ancient oaks at the site of the plantation's greathouse.
Photo by Dr. Pyatt, 2007
Among all of the slow-shutter images taken at a recent party, this is by far the weirdest. It's really just dancers illuminated by disco lights and strobes who barely register on the camera because they're gyrating to the music. Instead this looks like a paranormal manifestation ... or maybe E.T. It's posted here without any edits, except for minor cropping.
En Biodiversidad virtual y también en Instagram como @proyectoagua.
Sigue la línea sin fin del horizonte en una noche estrellada, donde el cielo se pierde en el mar, y sumergido, deja sus galaxias de vida en agudos rayos de luz de arcoiris, que se anclan en gotas saladas, como las estrellas en su constelación, aquí, en el mar del Cabo de Gata, acunadas por brisas y olas.
Es el tiempo de magia y de luz de los acantarios, estrellas efímeras que tejen su vida de grumos en tramas de agujas, hilos de cristal que son rayos de otro universo cercano, hijos diminutos e infinitos del sol y la mar.
Los acantarios son organismos unicelulares, emparentados con los radiolarios, los únicos en la naturaleza que presentan un pesado esqueleto de afiladas espinas moldeadas con cristales de sulfato de estroncio (celestina).
El corazón de astro efímero de Acanthoplegma brillará mientras su vida dure para disolverse después, irremisiblemente, como sal entre las olas, y es que su armazón estrellado no fosiliza ni deja rastro de su huella,y pesar de su elevada densidad, flotará como una burbuja en el agua mientras todo lo que sustenta viva.
La clase Acantharia está representada por unos 50 géneros y cerca de unas 150 especies de protistas planctónicos y marinos caracterizados por presentar ese único esqueleto interno formado por cristales de celestina.
Además de ser predadores activos como las amebas sol, que capturan a sus presas ayudadas por sus finos brazos (axopodios), establecen también frecuentemente relaciones de simbiosis con pequeñas algas que viven en su interior que le proporcionan nutrientes a cambio de protección.
Los acantarios son marinos y planctónicos y con frecuencia en ciertos ecosistemas son los rizarios más numerosos, que sobrepasan con creces la densidad de radiolarios.
Todos ellos pueden hallarse a cualquier profundidad desde la superficie, hasta los abismos más oscuros y cerrados del océano.
El esqueleto de los acantarios está compuesto por veinte espículas radiales (diez diametrales), más o menos unidas en el centro de la célula de muy diversos modos. La disposición de las espículas es muy precisa y está determinada por patrones constantes de simetría en este grupo.
La forma en que las espículas se unen entre sí en el centro de la célula varía según las especies y ésta es una de las características primarias utilizadas en la taxonomía del grupo. En algunas especies las espículas tan solo se cruzan en el centro de la célula, mientras que en otras se fusionan en él dando lugar a formas de estrella como las de hoy.
El citoplasma en estos organismos está organizado en dos porciones bien diferenciadas, un endoplasma más denso en la parte central y una zona periférica de ectoplasma separado por la cápsula central. En el endoplasma están contenidos los núcleos y otra gran cantidad de orgánulos celulares: aparato de Golgi, retículo endoplasmático, mitocondrias, ribosomas y otros.
La cápsula central que contiene al endoplasma se compone de microfibrillas organizadas en veinte placas, cada una de las cuales presenta un orificio a través del cual se proyecta una espícula mientras que el ectoplasma periferérico contiene las vacuolas digestivas y a menudo presenta zooxantelas u algas simbióticas.
Rodeando al ectoplasma se encuentra una corteza de fibras microscópicas ligada a las espículas por unas fibras denominadas mionemas. Estas ayudan a la flotación, junto con las vacuolas del ectoplasma.
El número de axopodios es fijo en cada una de las especies, en ellas los individuos adultos son casi siempre multinucleados. La reproducción se realiza mediante la formación de células nadadoras que pueden ser flageladas. No se han observado todas las etapas del ciclo vital de estos organismos, y su estudio se ve obstaculizado por la imposibilidad de mantener a estos organismos en cultivo.
Acanthoplegma parece ser un género cosmopolita, y al igual que otros acantarios de morfología similar, puede verse afectado por perturbaciones causadas por el viento o la lluvia, que hace que descienden rápidamente a las zonas más profundas, desde donde regresan a la superficie una vez que se han restablecido las condiciones adecuadas.
Casi todas las especies de este grupo, tienen una distribución tropical y / o subtropical, mientras que el número de las que habitan en aguas templadas-frías es comparativamente bajo, probablemente alrededor de 10-20 % del total, aunque la mayoría de sus registros en aguas más frías están asociados con la influencia de las corrientes de aguas cálidas.
El acantario que mostramos aquí, posiblemente Acanthoplegma , ha sido fotografiado en vivo a 200 y 400 aumentos con las técnicas de campo oscuro y contraste de interferencia y procede de unas muestras recogidas a dos metros de profundidad en las aguas de los Genoveses día 22 de septiembre de 2023 brillando con otras estrellas del alba.
Más información en:
www.researchgate.net/publication/285537041_Acantharia
tolweb.org/Acantharia/2385/2010.09.28
www.zin.ru/journals/protistology/num13_4/fokin_protistolo...
Friendly tuskless mammoth-type creature who seems very close & obviously is because part of him is sitting on the roof. He`s also made up of many tiny figures, some with Plymouth Brethren black hats
Created using Stephen Bions free evpmaker software these short evp are the clearest I have received,almost too good to be true.
Ghosts or aerial ectoplasm ????? Our cul de sac was a hotbed of activity last night. This tops the cake. Nearly missed it! I see a bunch of faces seemingly army battledress. What is it? someone`s playing leapfrog.
My photographs and videos and any derivative works are my private property and are copyright © by me, John Russell (aka “Zoom Lens”) and ALL my rights, including my exclusive rights, are reserved. ANY use without my permission in writing is forbidden by law.
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From my set, "Cold Press:"
www.flickr.com/photos/motorpsiclist/sets/72157631942231008/
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A Still from my latest film Vintage Seance: a stop animated short film inspired by the spiritualism movement during and after the turn of the century.
View the short film here: www.youtube.com/watch?v=T3mEQSq2fdo
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From my set, "Cold Press:"
www.flickr.com/photos/motorpsiclist/sets/72157631942231008/
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Added a layer to the ectoplasm recipe, using Caliban Green as a buffer between the blue-black shading and the mid tones. I also tweaked the final highlight by mixing white ink and Pallid Wych Flesh to get sharper lines. They still spread and I spent a while on the cleaning up.
The robes are just blocked in with Mechanicus Standard Grey, and the trim is Khorne Red.
Either that's ectoplasm or some kind of sentient energy being. Either way, I preferred the old kettle :(