View allAll Photos Tagged conquer_la
L'homme de Cromagnon
C'était au temps d'la préhistoire,
Il y a deux ou trois cent mille ans,
Vint au monde un être bizarre,
Proche parent d'l'orang-outan:
Debout sur ses pattes de derrière,
Vêtu d'un slip en peau d'bison,
Il allait conquérir la Terre,
C'était l'homme de Cromagnon.
refrain
L'homme de CRO, l'homme de MA, l'homme de GNON
L'homme de CROMAGNON;
Ce n'est pas du bidon,
L'homme de CROMAGNON, pam, pam
Lhomme de CRO, de MAGNON
Ce n'est pas du bidon ,
L'homme de CROMAGNON.
- Il était poète à ses heures,
Disant à sa belle femme en émoi
Tu es belle comme un dinoseure,
Tu r'ssembles à Lollobrigida;
Si tu veux voir des cartes postales,
Viens dans ma caverne tout là-haut.
J'te ferai voir mes peintures murales,
On dirait du vrai Picasso.
- Armé de sa hache de pierre,
De son couteau de pierre itou,
Il chassait l'ours et la panthère,
En serrant les fesses malgré tout.
D'vant un Diplocus en rage,
Il s'faisait tout de même un peu p'tit
En murmurant dans son langage:
Vivement qu'on invente le fusil!
- Deux cent mille ans après sur Terre,
Comme nos ancêtre nous admirons
Les bois, les champs et les rivières,
Mais s'ils rev'naient, quelle déception!
D'nous voir suer six jour sur sept
Il dirait, sans faire de détails:
Faut-y qu'mes héritiers soient bêtes
Pour avoir inventer l'travail!
Montauban is the second oldest bastide in southern France. Its foundation dates from 1144 when Count Alphonse Jourdain of Toulouse, granted it a liberal charter. The inhabitants were drawn chiefly from Montauriol, a village that had grown up around the neighboring monastery of St Théodard.
In the 13th century, the town suffered much from the ravages of the Albingensian War. In 1317 it became the head of a diocese. In 1360, it was ceded to the English, but they were expelled by the inhabitants in 1414. In 1560 the bishops and magistrates embraced Calvinistic Protestantism. They expelled the monks, and in 1561, crowds broke down the cathedral doors, looted the church and set it on fire. In the Edict of Nantes in 1598, Montauban, like La Rochelle, became a "safe place" (place de sûreté). The city became a small Huguenot republic with 15,000 inhabitants. It was the headquarters of the Huguenot Rebellion of 1621 and successfully withstood an 86-day siege by Louis XIII. The city was still destroyed and impoverished. Richelieu conquered La Rochelle and also conquered Montauban in 1629.
Because Montauban was a Protestant town, it resisted and held its position against the royal power, refusing to give allegiance to the Catholic King. Montauban did not submit to royal authority until after the fall of La Rochelle in 1629. The same year Richelieu conquered Montauban and the fortifications were destroyed. The Protestants again suffered persecution later in the century, as Louis XIV began to persecute Protestants by sending troops to their homes (dragonnades) and then in 1685 revoked the Edict of Nantes, which had granted the community tolerance.
-
This Lourdes grotto is located in the large and well-kept garden of the "Chapelle de l'Immaculée conception".
by dynamic_galaxy ift.tt/1UVjuEo #litetones #nikonworld_ #urbanandstreet #weekly_feature #illgrammers #conquer_la #usaprimeshot #imaginatones #streetleaks #bindebros #nikon_photography #rsa_night #photosoftheground #photographystateofmind #mastershotsla #rsa_streetview #tokillallmydarlings #exploreshootconquer @photographystateofmind #photosoftheground #awakenfeautre #cleancaptures #tokillallmydarlings #streetphotography @streetphotograpgers #photographysouls #soliddreams #folkcreative #soliddreams #leavingusbreathless @bindebros #shotaward #instaaaaah #livefolk #wanderfolk @awakenfeautre @photosoftheground #igmasters #shotaward
Some random captures taken during last Saturday's Conquer LA photo meet.
Been almost two years since the last Conquer LA meet, but it was a joy to come back to see old friends and meet some new people too.
Some random captures taken during last Saturday's Conquer LA photo meet.
Been almost two years since the last Conquer LA meet, but it was a joy to come back to see old friends and meet some new people too.
Vimy, Mémorial Canadien, Pas-de-Calais, France
extrait de Wikipédia :
Le Mémorial de Vimy, le plus important monument canadien aux victimes de la Première Guerre mondiale. Il rend hommage au rôle des Canadiens lors de ce conflit, au moyen de figures de pierre symbolisant les valeurs défendues et les sacrifices faits. Érigée entre 1925 et 1936 sur le site de la bataille de la crête de Vimy, cette œuvre d'art est le fruit du travail d'artistes canadiens. Les deux pylônes, représentant le Canada et la France, culminent 27 mètres au-dessus de la base du monument. En raison de l'altitude du site, la figure le plus élevée - l'allégorie de la paix - domine la plaine de Lens d'environ 110 mètres.
Le terrain d'assise du mémorial ainsi que la centaine d'hectares qui l'entoure ont été donnés au Canada par la France en 1922. Cela en signe de gratitude pour les sacrifices faits par plus de 66 000 Canadiens au cours de la Grande Guerre et notamment pour la victoire remportée par les troupes canadiennes en conquérant la crête de Vimy au cours du mois d'avril 1917.
En s'avançant à l'avant du monument, on peut remarquer une statue de femme voilée, tournée vers l'est, vers l'aube d'un nouveau jour. Elle représente le Canada, une jeune nation, pleurant ses fils tombés au combat. L'arête de Vimy est aujourd'hui boisée, chaque arbre a été planté par un Canadien et symbolise le sacrifice d'un soldat.
Les pierres calcaires choisies par Walter Allward viennent de Croatie. Elles sont montées sur une structure en béton.
The Battle of Vimy Ridge took place southeast of Vimy and was an important battle of the First World War for Canadian military history.
Plus d'infos ici :
C'est principalement sur le territoire de Givenchy-en-Gohelle et pour partie sur celui des communes voisines de Neuville-Saint-Vaast et Vimy, au sommet de la cote 145, que se trouve le plus important monument canadien aux victimes de la Première Guerre mondiale. Il rend hommage au rôle des Canadiens lors de ce conflit, au moyen de figures de pierre symbolisant les valeurs défendues et les sacrifices faits. Érigée entre 1925 et 1936 sur le site de la bataille de la crête de Vimy, cette œuvre d'art est le fruit du travail d'artistes canadiens, notamment Walter Allward3. Le mémorial est inauguré le 26 juillet 1936 par le roi Édouard VIII et le président français Albert Lebrun en présence de ministres canadiens et de 30 000 personnes dont six mille anciens combattants canadiens coiffés du béret réséda à feuille d'érable, symbolique de leur nation.
L'éclatante victoire canadienne à la bataille de la crête de Vimy est un événement fondateur de la Nation canadienne. Le terrain d'assise du mémorial ainsi que la centaine d'hectares qui l'entoure ont été donnés au Canada par la France en 1922, en signe de gratitude pour les sacrifices faits par plus de 66 000 Canadiens au cours de la Grande Guerre et notamment pour la victoire remportée par les troupes canadiennes en conquérant la crête de Vimy au cours du mois d'avril 1917 : le gouvernement français a accordé « au Gouvernement du Canada, gracieusement et pour toujours, le libre usage de la terre, exempte de toute forme de taxe »6. C'est le ministère canadien des Anciens Combattants qui est chargé de la gestion du monument. Le mémorial de Vimy a été rénové entre 2005 et 20077. Sa réouverture, par la reine Élisabeth II du Canada, a eu lieu deux jours avant le 90e anniversaire de la bataille, le 7 avril 2007.
En 2002, la Monnaie royale canadienne émit une pièce de 5 cents en argent pour célébrer le 85e anniversaire de la bataille. Le roman The Stone Carvers (2001), traduit en français sous le titre Les Amants de pierre (2005), de l'auteure canadienne Jane Urquhart, a pour thème la construction du mémorial de Vimy. En 2012, la Banque du Canada met en circulation un nouveau billet de polymère de 20 dollars à l'effigie du monument.
De nos jours, le mémorial est un des sites les plus fréquentés du Pas-de-Calais dans le cadre du tourisme de mémoire
www.veterans.gc.ca/fra/remembrance/memorials/overseas/fir...
#beautiful #model #lamodel #ocphotographer #socalshooters #socal #hrphotos #summer #outdoors #beauty #portraitkillers #portraitmood #portraitpage #illestgrammers #conquer_la #conquer_model #conquer_oc #instadaily #darkelefantmagazine #arsenicmagazine #agameofportraits #modelgram #naturallight #summer2k16
2012, juin & juillet : Javea (Espagne), Saint-Esteve (Langudoc-Roussillon), Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône), Château de Chambord (Loir-et-Cher), le Tramway de Brest, les Tonnerres de Brest 2012 et la régate BREST - DOUARNENEZ
24 juin 2012 : les reines de Javea. Javea / Xabia est une commune de la Communauté Autonome de Valence, située sur la côte nord de la province d’Alicante, dans la région de la Marina Alta, dénomination touristique Costa Blanca. C'est une localité touristique et de pêche de la Costa Blanca, située entre les Caps de San Antonio et La Nao, protégée par l'impressionnant massif du Montgo.
Javea possède 20 kilomètres de littoral de plages et de cales reliées par un réseau de miradors. Javea regorge de fêtes avec ses Hogueras de San Juan (Feux de la Saint-Jean), ses Moros y Cristianos, ses taureaux « Bous a la Mar », la Procession de Pêcheurs en l’honneur de la Virgen del Carmen et son Échiquier Vivant, déclaré d’Intérêt Touristique National. Golf, tennis, plongée, club nautique, randonnée pédestre, tir, et de nombreux autres sports. C'est une enclave touristique très prisée et emplie de charmes.
L’Histoire de Javea, comme tant d’autres communes de la Costa Blanca, passe par les tours qui protégeaient jadis des attaques venues de la mer. Une histoire qui lui a légué une grande richesse monumentale, essentiellement palpable dans son noyau urbain.
Les fréquentes attaques de pirates incitèrent les habitants de Javea à s’introduire à 2 km de la côte et à fortifier la localité dans une enceinte conservée jusqu’en 1877. Cette enceinte constitue actuellement le centre historique de la commune. Son soutien aux Bourbons durant la Guerre de Succession lui valut l’octroi d’une concession d’exportations de marchandises et de fruits. Cette concession dota le port d’une grande activité et devint le moteur de l’activité économique de la ville, d’abord avec l’importation de blé, et postérieurement avec la commercialisation du raisin sec. Le blé, l’amandier, la vigne, le caroubier et l’olivier étaient les principaux produits de son agriculture.
À l’heure actuelle, le tourisme constitue le moteur de l’économie de Javea, comme dans la plupart des villes de la Costa Blanca. L’activité touristique à Javea démarre en 1969, avec la construction du Parador National de Javea, le seul Parador National de la Costa Blanca, situé à l’extrémité de la plage de l’Arenal.
Les fêtes des Moros y Cristianos (Maures et Chrétiens) qui se déroulent du 12 au 20 juillet, sont des fêtes inoubliables. Elles s’ouvrent avec le débarquement des maures sur la côte de Javea dans le but de conquérir la commune, un dessein qui échoue grâce à la reconquête chrétienne. Pendant cette période, l’odeur de poudre, les couleurs, les défilés et leurs élégants atours envahissent la commune pour le plus grand plaisirs des touristes et vacanciers, et de la population locale. Des fêtes comme on aimerait en voir chez nous.
Some random captures taken during last Saturday's Conquer LA photo meet.
Been almost two years since the last Conquer LA meet, but it was a joy to come back to see old friends and meet some new people too.
Ancien port et ville cosmopolite dont la prospérité est basée sur le commerce du sel, Brouage devient pendant les guerres de Religion le théâtre de conflits entre catholiques et protestants qui se disputent la ville jusqu’en 1578, année à laquelle le roi Henri III proclame la cité ville royale.
Sous Louis XIII, Brouage devient le cœur logistique de la machine de guerre royale pour conquérir La Rochelle. Entre 1630 et 1640, elle est transformée en place forte par le Cardinal de Richelieu alors gouverneur de la ville.
Réputée imprenable, la cité abritait 4000 habitants civils défendus par 500 à 2000 soldats en garnison.
Brouage est l'un des rares exemple subsistant de ville forte de plaine du XVIIe siècle antérieure à Vauban, bien que ce dernier ait renforcé les fortifications en 1689.
www.guide-charente-maritime.com/fr/selon-mes-envies/cultu...
Le château de Caen est un ensemble fortifié du centre-ville ancien de Caen. Fondé vers 1060 par Guillaume le Conquérant, il connait de nombreux aménagements au fil des siècles. Avec 5,5 hectares, c’est l’un des plus grands châteaux d’Europe1.
Son enceinte contient aujourd’hui :
les vestiges du donjon, non ouverts au public ;
le logis du gouverneur (actuel musée de Normandie) ;
le cavalier d'artillerie et les salles du Rempart (salles d'exposition du musée de Normandie) ;
le musée des Beaux-Arts de Caen ;
l’église Saint-Georges ;
la salle de l'Échiquier en référence à l'Échiquier de Normandie (salle d’exposition temporaire pour le musée de Normandie) ;
le jardin des simples, reconstitution d'un jardin médicinal du Moyen Âge.
La totalité des constructions et vestiges du château, à l'exclusion des fossés, du musée des Beaux-Arts et de l'aile en retour nord du musée de Normandie, fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 10 avril 1997.
Les origines du château
À partir du xe siècle, la croissance agricole caractéristique de cette période entraîne la création de nombreux marchés locaux. Les seigneurs, désireux de contrôler le développement des villes et villages, érigent des châteaux et souvent accompagnent ces établissements par la fondation d'un établissement religieux. Caen est un bon exemple de ce qu'on peut appeler un « bourg castral ». Situé dans une riche plaine agricole, Caen n'échappe en effet pas à la règle et connaît un rapide développement le long de la rive gauche de l'Odon7. Il est donc possible qu'un premier élément fortifié ait existé vers 1025, date à laquelle Caen est qualifié de burgus (bourg) dans une charte de Richard II8 ; aucun élément archéologique ne vient toutefois accréditer cette théorie. Quoi qu'il en soit, c'est Guillaume le Conquérant qui met en place une véritable citadelle à partir de 1060 sur un éperon rocheux dominant la basse vallée de l'Orne. Il s'agit sûrement d'un moyen de contrôler cette agglomération qui prend de l'ampleur ; l'absence de lien entre le château et la ville à cette époque – la seule porte étant alors au nord – semble confirmer cette thèse. Mais le duc mûrit un plus grand dessein. Marqué par la rébellion des barons du Cotentin pendant sa jeunesse, il souhaite disposer d'un point d'appui sûr en Basse-Normandie8. Le site de Caen, à proximité de la mer et à équidistance de Rouen et du Cotentin, est donc choisi par Guillaume le Conquérant afin d'y construire sa forteresse. La construction du château, au même titre que la fondation des deux abbayes, montre la volonté du souverain d'établir une deuxième capitale dans la partie occidentale du duché.
Salle de l’Échiquier (xiie siècle)
Une résidence princière
Toutefois, dès ses origines, le château de Caen semble être davantage une résidence princière où le duc-roi exprime sa puissance et son prestige qu'une forteresse au rôle militaire affirmé. L'élément le plus important du château est en effet le palais constitué d'appartements privés destinés à la famille princière (les camerae), d'une chapelle (la capella) et surtout d'une salle d'apparat (l’aula). Certes, le château est protégé par les fossés et par l'escarpement rocheux, retaillé pour être plus abrupte, et dès la fin du règne de Guillaume le Conquérant, la simple palissade qui devait ceinturer le plateau a été remplacée par une muraille de pierre. Mais le château souffre déjà de son archaïsme d'un point de vue militaire. La présence des civils, un village regroupé autour de l'église Saint-Georges étant incorporé à l'enceinte, peut constituer une gêne ; toutefois le château assurera un rôle de refuge tout au long du Moyen Âge. Plus grave, sa localisation à mi-pente le rend très vulnérable : il surplombe la ville qui se développe à ses pieds au sud, mais il est lui-même dominé au nord par les coteaux où s'élève aujourd'hui le campus 1. De plus, son emprise est beaucoup trop vaste (5 hectares) et il n'est protégé que par une simple tour-porte située au nord de l'enceinte,
Les murs de l'enceinte
Lors de la première construction du château, les remparts sont constitués de simples palissades de bois53. Le tracé de ces premiers remparts n'a guère évolué à travers les années sauf sur la partie nord avec la construction du donjon ; l'enceinte d'origine correspond toutefois au mur nord de la chemise du donjon40. Au xvie siècle, d'importants remblais sont placés contre les murs afin d’éviter la destruction par les tirs d'artillerie40.
À compter de mars 2004, la municipalité de Caen, aidée par les subventions du FEDER, a entrepris la restauration des remparts (consolidation, dégagement des meurtrières fermées au xixe siècle). Après qu'on a constaté une augmentation constante du volume de pierres éboulées côté rue de Geôle, le remplacement de pierres et la consolidation ont été achevés en 2008 pour un coût d'1,15 million d’euros. Cette première tranche de travaux doit se terminer en 2013. La deuxième tranche de travaux (consolidation et restauration des remparts Est et Sud, ainsi que des passerelles de la porte Saint-Pierre et de la porte des Champs) doit s’étaler jusqu'en 2016 et devrait coûter 4,3 millions d'euros.
Le château de Caen est un ensemble fortifié du centre-ville ancien de Caen. Fondé vers 1060 par Guillaume le Conquérant, il connait de nombreux aménagements au fil des siècles. Avec 5,5 hectares, c’est l’un des plus grands châteaux d’Europe1.
Son enceinte contient aujourd’hui :
les vestiges du donjon, non ouverts au public ;
le logis du gouverneur (actuel musée de Normandie) ;
le cavalier d'artillerie et les salles du Rempart (salles d'exposition du musée de Normandie) ;
le musée des Beaux-Arts de Caen ;
l’église Saint-Georges ;
la salle de l'Échiquier en référence à l'Échiquier de Normandie (salle d’exposition temporaire pour le musée de Normandie) ;
le jardin des simples, reconstitution d'un jardin médicinal du Moyen Âge.
La totalité des constructions et vestiges du château, à l'exclusion des fossés, du musée des Beaux-Arts et de l'aile en retour nord du musée de Normandie, fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 10 avril 1997.
Les origines du château
À partir du xe siècle, la croissance agricole caractéristique de cette période entraîne la création de nombreux marchés locaux. Les seigneurs, désireux de contrôler le développement des villes et villages, érigent des châteaux et souvent accompagnent ces établissements par la fondation d'un établissement religieux. Caen est un bon exemple de ce qu'on peut appeler un « bourg castral ». Situé dans une riche plaine agricole, Caen n'échappe en effet pas à la règle et connaît un rapide développement le long de la rive gauche de l'Odon7. Il est donc possible qu'un premier élément fortifié ait existé vers 1025, date à laquelle Caen est qualifié de burgus (bourg) dans une charte de Richard II8 ; aucun élément archéologique ne vient toutefois accréditer cette théorie. Quoi qu'il en soit, c'est Guillaume le Conquérant qui met en place une véritable citadelle à partir de 1060 sur un éperon rocheux dominant la basse vallée de l'Orne. Il s'agit sûrement d'un moyen de contrôler cette agglomération qui prend de l'ampleur ; l'absence de lien entre le château et la ville à cette époque – la seule porte étant alors au nord – semble confirmer cette thèse. Mais le duc mûrit un plus grand dessein. Marqué par la rébellion des barons du Cotentin pendant sa jeunesse, il souhaite disposer d'un point d'appui sûr en Basse-Normandie8. Le site de Caen, à proximité de la mer et à équidistance de Rouen et du Cotentin, est donc choisi par Guillaume le Conquérant afin d'y construire sa forteresse. La construction du château, au même titre que la fondation des deux abbayes, montre la volonté du souverain d'établir une deuxième capitale dans la partie occidentale du duché.
Salle de l’Échiquier (xiie siècle)
Une résidence princière
Toutefois, dès ses origines, le château de Caen semble être davantage une résidence princière où le duc-roi exprime sa puissance et son prestige qu'une forteresse au rôle militaire affirmé. L'élément le plus important du château est en effet le palais constitué d'appartements privés destinés à la famille princière (les camerae), d'une chapelle (la capella) et surtout d'une salle d'apparat (l’aula). Certes, le château est protégé par les fossés et par l'escarpement rocheux, retaillé pour être plus abrupte, et dès la fin du règne de Guillaume le Conquérant, la simple palissade qui devait ceinturer le plateau a été remplacée par une muraille de pierre. Mais le château souffre déjà de son archaïsme d'un point de vue militaire. La présence des civils, un village regroupé autour de l'église Saint-Georges étant incorporé à l'enceinte, peut constituer une gêne ; toutefois le château assurera un rôle de refuge tout au long du Moyen Âge. Plus grave, sa localisation à mi-pente le rend très vulnérable : il surplombe la ville qui se développe à ses pieds au sud, mais il est lui-même dominé au nord par les coteaux où s'élève aujourd'hui le campus 1. De plus, son emprise est beaucoup trop vaste (5 hectares) et il n'est protégé que par une simple tour-porte située au nord de l'enceinte,
Les murs de l'enceinte
Lors de la première construction du château, les remparts sont constitués de simples palissades de bois53. Le tracé de ces premiers remparts n'a guère évolué à travers les années sauf sur la partie nord avec la construction du donjon ; l'enceinte d'origine correspond toutefois au mur nord de la chemise du donjon40. Au xvie siècle, d'importants remblais sont placés contre les murs afin d’éviter la destruction par les tirs d'artillerie40.
À compter de mars 2004, la municipalité de Caen, aidée par les subventions du FEDER, a entrepris la restauration des remparts (consolidation, dégagement des meurtrières fermées au xixe siècle). Après qu'on a constaté une augmentation constante du volume de pierres éboulées côté rue de Geôle, le remplacement de pierres et la consolidation ont été achevés en 2008 pour un coût d'1,15 million d’euros. Cette première tranche de travaux doit se terminer en 2013. La deuxième tranche de travaux (consolidation et restauration des remparts Est et Sud, ainsi que des passerelles de la porte Saint-Pierre et de la porte des Champs) doit s’étaler jusqu'en 2016 et devrait coûter 4,3 millions d'euros.
2012, juin & juillet : Javea (Espagne), Saint-Esteve (Langudoc-Roussillon), Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône), Château de Chambord (Loir-et-Cher), le Tramway de Brest, les Tonnerres de Brest 2012 et la régate BREST - DOUARNENEZ
24 juin 2012 : les reines de Javea. Javea / Xabia est une commune de la Communauté Autonome de Valence, située sur la côte nord de la province d’Alicante, dans la région de la Marina Alta, dénomination touristique Costa Blanca. C'est une localité touristique et de pêche de la Costa Blanca, située entre les Caps de San Antonio et La Nao, protégée par l'impressionnant massif du Montgo.
Javea possède 20 kilomètres de littoral de plages et de cales reliées par un réseau de miradors. Javea regorge de fêtes avec ses Hogueras de San Juan (Feux de la Saint-Jean), ses Moros y Cristianos, ses taureaux « Bous a la Mar », la Procession de Pêcheurs en l’honneur de la Virgen del Carmen et son Échiquier Vivant, déclaré d’Intérêt Touristique National. Golf, tennis, plongée, club nautique, randonnée pédestre, tir, et de nombreux autres sports. C'est une enclave touristique très prisée et emplie de charmes.
L’Histoire de Javea, comme tant d’autres communes de la Costa Blanca, passe par les tours qui protégeaient jadis des attaques venues de la mer. Une histoire qui lui a légué une grande richesse monumentale, essentiellement palpable dans son noyau urbain.
Les fréquentes attaques de pirates incitèrent les habitants de Javea à s’introduire à 2 km de la côte et à fortifier la localité dans une enceinte conservée jusqu’en 1877. Cette enceinte constitue actuellement le centre historique de la commune. Son soutien aux Bourbons durant la Guerre de Succession lui valut l’octroi d’une concession d’exportations de marchandises et de fruits. Cette concession dota le port d’une grande activité et devint le moteur de l’activité économique de la ville, d’abord avec l’importation de blé, et postérieurement avec la commercialisation du raisin sec. Le blé, l’amandier, la vigne, le caroubier et l’olivier étaient les principaux produits de son agriculture.
À l’heure actuelle, le tourisme constitue le moteur de l’économie de Javea, comme dans la plupart des villes de la Costa Blanca. L’activité touristique à Javea démarre en 1969, avec la construction du Parador National de Javea, le seul Parador National de la Costa Blanca, situé à l’extrémité de la plage de l’Arenal.
Les fêtes des Moros y Cristianos (Maures et Chrétiens) qui se déroulent du 12 au 20 juillet, sont des fêtes inoubliables. Elles s’ouvrent avec le débarquement des maures sur la côte de Javea dans le but de conquérir la commune, un dessein qui échoue grâce à la reconquête chrétienne. Pendant cette période, l’odeur de poudre, les couleurs, les défilés et leurs élégants atours envahissent la commune pour le plus grand plaisirs des touristes et vacanciers, et de la population locale. Des fêtes comme on aimerait en voir chez nous.
C'est sur le territoire de la commune voisine de Givenchy-en-Gohelle que se trouve le Mémorial de Vimy, le plus important monument canadien aux victimes de la Première Guerre mondiale. Le monument s'élève au sommet de la cote 145 pour laquelle se sont battus les soldats canadiens en avril 1917. Il rend hommage au rôle des Canadiens lors de ce conflit, au moyen de figures de pierre symbolisant les valeurs défendues et les sacrifices faits. Érigée entre 1925 et 1936 sur le site de la bataille de la crête de Vimy, cette œuvre d'art est le fruit du travail d'artistes canadiens. Les deux pylônes, représentant le Canada et la France, culminent 40 mètres au-dessus de la base du monument. En raison de l'altitude du site, la figure le plus élevée - l'allégorie de la paix - domine la plaine de Lens d'environ 110 mètres.
Le terrain d'assise du mémorial ainsi que la centaine d'hectares qui l'entoure ont été donnés au peuple canadien par la France en 1922. Cela en signe de gratitude pour les sacrifices faits par plus de 66 000 Canadiens au cours de la Grande Guerre et notamment pour la victoire remportée par les troupes canadiennes en conquérant la crête de Vimy au cours du mois d'avril 1917.
En s'avançant à l'avant du monument, on peut remarquer une statue de femme voilée, tournée vers l'est, vers l'aube d'un nouveau jour. Elle représente le Canada, une jeune nation, pleurant ses fils tombés au combat. L'arête de Vimy est aujourd'hui boisée, chaque arbre a été planté par un Canadien et symbolise le sacrifice d'un soldat.
Les pierres calcaires choisies par Walter Allward viennent de Croatie. Elles sont montées sur une structure en béton. Les pierres d'origine s'étant abimées avec le temps, des travaux de restauration ont été entrepris en 2005 et se sont achevés en 2007. La reine Elisabeth II a participé à l'inauguration le 7 avril 2007.
Source : Wikipédia
Some random captures taken during last Saturday's Conquer LA photo meet.
Been almost two years since the last Conquer LA meet, but it was a joy to come back to see old friends and meet some new people too.
C'est principalement sur le territoire de Givenchy-en-Gohelle et pour partie sur celui des communes voisines de Neuville-Saint-Vaast et Vimy, au sommet de la cote 145, que se trouve le plus important monument canadien aux victimes de la Première Guerre mondiale. Il rend hommage au rôle des Canadiens lors de ce conflit, au moyen de figures de pierre symbolisant les valeurs défendues et les sacrifices faits. Érigée entre 1925 et 1936 sur le site de la bataille de la crête de Vimy, cette œuvre d'art est le fruit du travail d'artistes canadiens, notamment Walter Allward3. Le mémorial est inauguré le 26 juillet 1936 par le roi Édouard VIII et le président français Albert Lebrun en présence de ministres canadiens et de 30 000 personnes dont six mille anciens combattants canadiens coiffés du béret réséda à feuille d'érable, symbolique de leur nation.
L'éclatante victoire canadienne à la bataille de la crête de Vimy est un événement fondateur de la Nation canadienne. Le terrain d'assise du mémorial ainsi que la centaine d'hectares qui l'entoure ont été donnés au Canada par la France en 1922, en signe de gratitude pour les sacrifices faits par plus de 66 000 Canadiens au cours de la Grande Guerre et notamment pour la victoire remportée par les troupes canadiennes en conquérant la crête de Vimy au cours du mois d'avril 1917 : le gouvernement français a accordé « au Gouvernement du Canada, gracieusement et pour toujours, le libre usage de la terre, exempte de toute forme de taxe »6. C'est le ministère canadien des Anciens Combattants qui est chargé de la gestion du monument. Le mémorial de Vimy a été rénové entre 2005 et 20077. Sa réouverture, par la reine Élisabeth II du Canada, a eu lieu deux jours avant le 90e anniversaire de la bataille, le 7 avril 2007.
En 2002, la Monnaie royale canadienne émit une pièce de 5 cents en argent pour célébrer le 85e anniversaire de la bataille. Le roman The Stone Carvers (2001), traduit en français sous le titre Les Amants de pierre (2005), de l'auteure canadienne Jane Urquhart, a pour thème la construction du mémorial de Vimy. En 2012, la Banque du Canada met en circulation un nouveau billet de polymère de 20 dollars à l'effigie du monument.
De nos jours, le mémorial est un des sites les plus fréquentés du Pas-de-Calais dans le cadre du tourisme de mémoire
www.veterans.gc.ca/fra/remembrance/memorials/overseas/fir...