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Einkaufswagen, shopping carts at Cold Storage Mont Kiara Solaris, Malaysia.
more info about Malaysia at:
sites.google.com/site/malaysiaauswandern/
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A shopping cart (trolley, carriage, trundler, wagon, basket, buggy) is a cart supplied by a shop, especially supermarkets, for use by customers inside the shop for transport of merchandise to the check-out counter during shopping. Customers can then also use the cart to transport their purchased goods to their cars.
In many places in the United States, customers are allowed to leave the carts in the parking lot, and store personnel will return the carts to the storage area. In many European premises however, coin (or token) operated locking mechanisms are provided to encourage shoppers to return the carts to the correct location after use. ~ Wikipedia®
"Carts have been mentioned in literature as far back as the second millennium B.C. The Indian sacred book Rigveda states that men and women are as equal as two wheels of a cart. Hand-carts pushed by humans have been used around the world. In the 19th century, for instance, some Mormons travelling across the plains of the United States between 1856 and 1860 used handcarts.
The history of the cart is closely tied to the history of the wheel.
Carts were often used for judicial punishments, both to transport the condemned – a public humiliation in itself (in Ancient Rome defeated leaders were often carried in the victorious general's triumph) – and even, in England until its substitution by the whipping post under Queen Elizabeth I, to tie the condemned to the cart-tail and administer him or her a public whipping." en.wikipedia.org/wiki/Cart
Shopping carts waiting for the Saturday rush at Costco. And of course each one is as big as the bed of a pick-up truck.
Melrose Park.
le vocabulaire de la maison (pièces, objets, verbes) en français, anglais, arabe, espagnol et catalan.
This cart is at a business in downtown Orlando. Possibly a misplaced Republic cart.
If you want to use this image, ask permission PRIOR to use. Don't be a thief - under most circumstances, I'm quite reasonable.
Copyright 2010 - Alan B.
View of a woman and several children sitting on an ox-drawn cart, showing a log cabin
behind the cart.
Digital Collection:
North Carolina Postcards
Publisher:
Tourist Print;
Date:
1908
Location:
Manly (N.C.); Moore County (N.C.);
Collection in Repository
Durwood Barbour Collection of North Carolina Postcards (P077); collection guide available
online at www.lib.unc.edu/ncc/pcoll/77barbour/77barbour.html
www.twitter.com/Memoire2cite Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.. Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain. 69 BRON PARILLY LA VILLE NOUVELLE LES UC, UNE CITÉ DU FUTUR @ UN TOUR DE VILLE AUTOUR DU TEMPS Le préfabriqué @ Invention capitaliste française de l’après guerre, devenue symbole du socialisme triomphant dans les années 60, le panneau en béton lie le destin des peules. Un film historique sur une réalité partagée racontée par des habitants et par des archives inédites. www.dailymotion.com/video/x413amo Dans l’Est de l’Europe, un élément répétitif marque les villes et standardise le paysage. C’est un panneau en béton préfabriqué qui s’expose inlassablement sur des kilomètres de barres d’habitation. Des millions de personnes vivent dans des logements identiques de Paris à Moscou. www.dailymotion.com/video/x413amo Apres la guerre les Français n ont plu de toit...le gouvernement lançe alors 1 vaste progr de constr de lgts.. les Cités Modernes @ Il faut batir à échelle industrielle, il faut penser à l echelle des Villes L'invention du préfabriqué desormais le permet. dailymotion.com/video/x413amo Le bonheur est dans le béton ... Le logement préfabriqué, victime de son succès en France, fut exporté en Europe de l'Est. Qui se souvient de tout ça .. Il y avait l idee de construire massivement au plus vite ds un temps record et le moins cher possible @ Le quartier des UC à Parilly, a été la première des grandes cités construites en France, au milieu du 20e siècle, et fut en son temps un modèle. 1950. La Seconde guerre mondiale a laissé derrière elle un champ de ruines. En France, plus de 800.000 habitations ont été détruites. Partout on manque de logements : sur la côte atlantique, où des villes entières ont été rasées, mais aussi à Paris et en région lyonnaise. Pour couronner le tout, les Français se mettent à faire des bébés à tour de berceaux - le baby boom commence ! Du coup, les jeunes mariés ne peuvent dénicher un toit et restent chez leurs parents. Les mieux lotis s’entassent à 4 ou 5 dans une seule pièce, avec WC à l’étage et un évier en guise de salle de bains. Les personnes sans le sou, elles, peuplent les bidonvilles qui cernent Lyon comme à Bombay ou à Rio. Souvenez-vous de l’abbé Pierre, et de son appel de l’hiver 1954. Reloger la population constitue pourtant une priorité du gouvernement. On a nommé ministre de la Reconstruction et de l’Urbanisme un héros de la Libération, pétri des idéaux sociaux de la Résistance : le député de la Loire, Eugène Claudius-Petit (1907-1989). Monsieur le Ministre veut non seulement redonner un toit aux Français, mais les doter du nec plus ultra en matière de logement, une architecture moderne et colorée, entourée de verdure et d’espace. Dès 1951, Claudius-Petit programme la construction de six grands ensembles : à Angers (677 logements), Boulogne-Billancourt (800), Le Havre (1400), Pantin (800), Saint-Etienne (1262) et enfin à Bron, où doit naître la plus imposante de toutes ces cités, avec 2608 logements. Il en confie la réalisation à l’Office des HLM du Rhône, alors dirigé par Laurent Bonnevay, tandis que sa conception revient à de jeunes architectes Lyonnais disciples de Le Corbusier, dont René Gagès et Franck Grimal. L’emplacement de la future cité est vite trouvé : dans la partie nord du parc de Parilly, sur 27 hectares de terrains appartenant au Conseil général. Ainsi, les immeubles se glisseront entre les arbres et les pelouses, en un mariage heureux de la nature et du béton. La desserte du quartier sera assurée par le boulevard de Ceinture et par l’avenue Jean-Mermoz, deux belles avenues où il fait bon se promener, à pieds ou à vélo, au milieu de quelques autos - l'une et l'autre n'ont pas encore été transformées en voies autoroutières… Cinq ans à peine, de 1951 à 1956, suffisent pour faire sortir de terre une douzaine de grands immeubles, l’équivalent d’une ville : les quatre tours et les deux barres en S des "Unités de Construction" (UC) 5 et 7 le long du boulevard Laurent-Bonnevay ; l’UC 1 à l’angle du boulevard et de l’autoroute A43 ; enfin les quatre immeubles en L des UC 2 à 5, le long de l’A43, à l'endroit où vous vous trouvez. Leur construction utilise des procédés révolutionnaires pour l’époque : chaque appartement, qu’il s’agisse d’un T2 ou d’un T6 en duplex, reproduit un plan type aux dimensions standardisées de 5 mètres de large, 11 mètres de long et 2,5 mètres de haut, dont les éléments sont fabriqués en usine et seulement assemblés sur le chantier, ce qui permet d’énormes gains de temps. Les premiers habitants découvrent leurs appartements, ébahis. Un F3 par exemple, leur offre une salle de séjour de 18 m2, deux chambres de 10 m2, une cuisine équipée de placards et plans de travail, des WC, une salle de bains, d’immenses baies vitrées et, luxe inouï, un grand balcon peint en jaune, en rouge ou en bleu vif, transformant leur immeuble en une mosaïque multicolore. Les Brondillants passent d’un coup du taudis à l’Amérique, et de Zola au 20e siècle. Telles étaient les UC, il y a une soixantaine d'années. Une cité modèle, dont les photos couvraient les cartes-postales locales, et les magazines du monde entier. Après les UC, d'autres grands ensembles voient le jour à Bron au cours des années 1950 à 1970 : les immeubles du quartier des Essarts, près des Galeries Lafayette ; les copropriétés de la route de Genas, à côté de l'ancienne caserne Raby, et surtout les immeubles du quartier du Terraillon, au nord-est de Bron. Ces nouveaux logements, tous très prisés au moment de leur construction, font bondir la population de Bron de 12.500 habitants en 1946, à 42.000 habitants en 1968. Les experts de l'époque prédisent même que le seuil des 100.000 habitants serait atteint vers l'an 2000 ! Le temps du village était révolu. Bron devenait une ville importante de la banlieue lyonnaise.
@ LES GRANDS ENSEMBLES @ Bien qu’ils échappent à une définition unique, les grands ensembles sont ty-piquement des ensembles de logement collectif, souvent en nombre impor-tant (plusieurs centaines à plusieurs milliers de logements), construits entre le milieu des années 1950 et le milieu des années 1970, marqués par un urba-nisme de barres et de tours inspiré des préceptes de l’architecture moderne.
Ces grands ensembles, dont plusieurs centaines ont été construits en France, ont permis un large accès au confort moderne (eau courante chaude et froide, chauffage central, équipements sanitaires, ascenseur…) pour les ouvriers des banlieues ouvrières, les habitants des habitats insalubres, les rapatriés d’Algérie et la main-d’oeuvre des grandes industries.
Ils se retrouvent fréquemment en crise sociale profonde à partir des années 1980, et sont, en France, l’une des raisons de la mise en place de ce qu’on appelle la politique de la Ville. Définition Il n’y a pas de consensus pour définir un grand ensemble.On peut toutefois en distinguer deux :
• Selon le service de l’Inventaire du ministère de la Culture français, un grand ensemble est un «aménagement urbain comportant plusieurs bâtiments isolés pouvant être sous la forme de barres et de tours, construit sur un plan masse constituant une unité de conception. Il peut être à l’usage d’activité et d’habitation et, dans ce cas, comporter plusieurs centaines ou milliers de logements. Son foncier ne fait pas nécessairement l’objet d’un remembrement, il n’est pas divisé par lots ce qui le différencie du lotissement concerté».
• Selon le «géopolitologue» Yves Lacoste, un grand ensemble est une «masse de logements organisée en un ensemble. Cette organisation n’est pas seulement la conséquence d’un plan masse; elle repose sur la présence d’équipement collectifs (écoles, commerces, centre social, etc.) […]. Le grand ensemble apparaît donc comme une unité d’habitat relativement autonome formée de bâtiments collectifs, édifiée en un assez bref laps de temps, en fonction d’un plan global qui comprend plus de 1000 logements».Le géographe Hervé Vieillard-Baron apporte des précisions : c’est, selon lui, un aménagement en rupture avec le tissu urbain existant, sous la forme de barres et de tours, conçu de manière globale et introduisant des équipements règlementaires, comportant un financement de l’État et/ou des établissements publics. Toujours selon lui, un grand ensemble comporte un minimum de 500 logements (limite fixée pour les Zone à urbaniser en priorité (ZUP) en 1959). Enfin, un grand ensemble n’est pas nécessairement situé en périphérie d’une ag-glomération.
Comme on le voit ci-dessus, la détermination d’un seuil de logements peut être débattue. Les formes du grand ensemble sont assez récurrentes, inspirées (ou légitimées) par des préceptes de l’architecture moderne et en particulier des CIAM : ils se veulent une application de la Charte d’Athènes4. Pour autant, on ne peut pas dire qu’il s’agisse d’une application directe des principes de Le Corbusier. Ils sont aussi le fruit d’une industriali-sation progressive du secteur du bâtiment et, notamment en France, des procédés de préfabrication en béton.Histoire La Cité de la Muette à Drancy, construite par Eugène Beaudouin, Marcel Lods et Jean Prouvé entre 1931 et 1934 pour l’Office public HBM de la Seine, est traditionnellement considérée comme le premier grand en-semble en France. Elle est même à l’origine du terme de «grand ensemble» puisque c’est ainsi que la désigne pour la première fois Marcel Rotival dans un article de l’époque6. Cette cité, initialement conçue comme une cité-jardin, se transforme en cours d’étude en un projet totalement inédit en France, avec ses 5 tours de 15 étages et son habitat totalement collectif. Cependant, cette initiative reste sans lendemain du moins dans l’immédiat.Après la Seconde Guerre mondiale, le temps est à la reconstruction et la priorité n’est pas donnée à l’habitat. Le premier plan quinquennal de Jean Monnet (1947-1952) a avant tout pour objectif la reconstruction des infrastructures de transport et le recouvrement des moyens de production. Par ailleurs, le secteur du bâtiment en France est alors incapable de construire des logements en grande quantité et rapidement : ce sont encore de petites entreprises artisanales aux méthodes de constructions traditionnelles.
Les besoins sont pourtant considérables : sur 14,5 millions de logements, la moitié n’a pas l’eau courante, les 3/4 n’ont pas de WC, 90 % pas de salle de bain. On dénombre 350 000 taudis, 3 millions de logements surpeu-plés et un déficit constaté de 3 millions d’habitations. Le blocage des loyers depuis 19147, très partiellement atténué par la Loi de 1948, ne favorise pas les investissements privés.
L’État tente de changer la situation en impulsant à l’industrialisation des entreprises du bâtiment : en 1950, Eugène Claudius-Petit, ministre de la reconstruction, lance le concours de la Cité Rotterdam à Strasbourg. Ce programme doit comporter 800 logements, mais le concours, ouvert à un architecte associé à une entreprise de BTP, prend en compte des critères de coût et de rapidité d’exécution. Le projet est gagné par Eugène Beau-douin qui réalise un des premiers grands ensembles d’après guerre en 1953. En 1953 toujours, Pierre Courant, Ministre de la Reconstruction et du Logement, fait voter une loi qui met en place une série d’interventions (appelée «Plan Courant») facilitant la construction de logements tant du point de vue foncier que du point de vue du financement (primes à la construction, prêts à taux réduit, etc.) : la priorité est donnée clairement par le ministère aux logements collectifs et à la solution des grands ensembles.
La même année, la création de la contribution obligatoire des entreprises à l’effort de construction (1 % de la masse des salaires pour les entreprises de plus de 10 salariés) introduit des ressources supplémentaires pour la réalisation de logements sociaux : c’est le fameux «1 % patronal». Ces fonds sont réunis par l’Office Central Interprofessionnel du Logement (OCIL), à l’origine de la construction d’un certain nombre de grands ensembles.
Mais le véritable choc psychologique intervient en 1954 : le terrible hiver et l’action de l’Abbé Pierre engage le gouvernement à lancer une politique de logement volontariste. Un programme de «Logements économiques de première nécessité» (LEPN) est lancé en juillet 1955 : il s’agit de petites cités d’urgence sous la forme de pavillons en bandes. En réalité, ces réalisations précaires s’avèrent catastrophiques et se transforment en tau-dis insalubres dès l’année suivante. La priorité est donnée alors résolument à l’habitat collectif de grande taille et à la préfabrication en béton, comme seule solution au manque de logements en France.Une multitude de procédures administratives
Grands ensembles du quartier Villejean à Rennes par l’architecte Louis Arretche.Il n’existe pas une procédure type de construction d’un grand ensemble pendant cette période. En effet, de très nombreuses procédures techniques ou financières sont utilisées. Elles servent souvent d’ailleurs à désigner les bâtiments ou quartiers construits à l’époque : Secteur industrialisé, LOPOFA (LOgements POpulaires FAmiliaux), Logecos (LOGements ÉCOnomiques et familiaux), LEN (Logements économiques normalisés), l’opération Million, l’opération «Économie de main d’oeuvre». L’unique objectif de toutes ces procédures est de construire vite et en très grande quantité. Le cadre de la Zone à urbaniser en priorité intervient en 1959, avec des constructions qui ne commencent réellement qu’en 1961-1962.Les contextes de constructions Le quartier de La Rouvière (9ème arrondissement) à Marseille construit par Xavier Arsène-Henry.On peut distinguer 3 contextes de construction de ces grands ensembles à la fin des années 1950 et début des années 1960 :
• de nouveaux quartiers périphériques de villes anciennes ayant pour objectif de reloger des populations ins-tallées dans des logements insalubres en centre-ville ou pour accueillir des populations venues des campagnes environnantes (cas les plus fréquents).
• des villes nouvelles liées à l’implantation d’industries nouvelles ou à la politique d’aménagement du ter-ritoire : c’est le cas de Mourenx (avec le Gaz de Lacq), Bagnols-sur-Cèze ou Pierrelatte (liées à l’industrie nucléaire). On voit aussi des cas hybrides avec la première situation, avec des implantations proches de villes satellites de Paris, dans le but de contrebalancer l’influence de cette dernière : c’est le cas de la politique des «3M» dans le département de Seine-et-Marne avec la construction de grands ensembles liés à des zones in-dustrielles à Meaux, Melun, Montereau-Fault-Yonne.
• des opérations de rénovation de quartiers anciens : le quartier de la Porte de Bâle à Mulhouse, l’îlot Bièvre dans le 13e arrondissement de Paris, le centre-ville ancien de Chelles.
Il est à noter qu’un grand ensemble n’est pas forcément un ensemble de logements sociaux : il peut s’agir aussi de logements de standing, comme le quartier de la Rouvière à Marseille. Les modes de constructions
Le Haut du Lièvre (3000 logements, construits à partir de 1954), deux des plus longues barres de France, construite par Bernard Zehrfuss sur une crête surplombant Nancy.
Tout est mis en oeuvre pour qu’un maximum d’économies soient réalisées sur le chantier :
• la préfabrication : de nombreux procédés de préfabrications sont mis en oeuvre sur les chantiers permettant un gain de temps et d’argent. Expérimentés au cours des chantiers de la Reconstruction après la Seconde Guerre mondiale, ces procédés permettent la construction en série de panneaux de bétons, d’escaliers, d’huisseries mais aussi d’éléments de salles de bains à l’intérieur même du logements. Ces procédés ont pour nom : Camus (expérimenté au Havre et exporté jusqu’en URSS), Estiot (au Haut-du-Lièvre à Nancy) ou Tracoba (à la Pierre Collinet à Meaux). Les formes simples (barres, tours) sont privilégiées le long du chemin de grue (grue posée sur des rails) avec des usines à béton installées à proximité du chantier, toujours dans une recherche de gain de temps.
• une économie de main d’oeuvre : la préfabrication permet de faire appel à une main d’oeuvre peu qualifiée, souvent d’origine immigrée. De grands groupes de BTP bénéficient de contrats pour des chantiers de construc-tion gigantesques, favorisés par l’État.
• les maîtres d’ouvrages sont eux aussi très concentrés et favorise les grandes opérations. La Caisse des dépôts et consignations est ainsi l’un des financeurs incontournables de ce mouvement de construction avec notam-ment sa filiale, la SCIC (Société Civile immobilière de la Caisse des dépôts et consignations), créée en 1954. Elle fait appel à des architectes majeurs des années 1950 et 1960, tels que Jean Dubuisson, Marcel Lods, Jacques Henri Labourdette, Bernard Zehrfuss, Raymond Lopez, Charles-Gustave Stoskopf et elle est à l’ori-gine de nombreux grands ensembles situés en région parisienne, tels que Sarcelles (le plus grand programme en France avec 10 000 logements), Créteil, Massy-Antony.
Les désignations de ces grands ensembles sont à cette époque très diverses : unité de voisinage, unité d’habitation, ville nouvelle (sans aucun rapport avec les villes nouvelles de Paul Delouvrier), villes satellites, ou encore cités nouvelles, etc.Pendant 20 ans, on estime à 300 000 le nombre de logements construits ainsi par an, alors qu’au début des années 1950, on ne produisait que 10 000 logements chaque année. 6 millions de logements sont ainsi construits au total. 90 % de ces constructions sont aidées par l’État.
En 1965, le programme des villes nouvelles est lancé, se voulant en rupture avec l’urbanisme des grands ensembles. En 1969, les zones à urbaniser en priorité sont abandonnées au profit des zones d’aménagement concerté, créées deux ans auparavant. Enfin, le 21 mars 1973, une circulaire ministérielle signée par Olivier Guichard, ministre de l’Équipement, du Logement et des Transports, «visant à prévenir la réalisation des formes d’urbanisation dites « grands ensembles » et à lutter contre la ségrégation sociale par l’habitat», interdit toute construction d’ensembles de logements de plus de 500 unités. La construction des grands ensembles est définitivement abandonnée. La loi Barre de 1977 fait passer la priorité de l’aide gouvernementale de la construction collective à l’aide aux ménages : c’est le retour du pavillonnaire et du logement. Les banlieues populaires apparaissent dans les médias à travers le prisme de la délinquance et des émeutes. Pourtant, leur histoire doit s’analyser dans la moyenne durée des deux siècles d’urbanisation et d’industrialisation, puis de disparition de la société industrielle. Les banlieues françaises, à la différence des suburbs anglo-saxonnes qui logent les classes moyennes blanches, ont été créées dès la fin du XIX e siècle pour loger les classes populaires. Les besoins de logement expliquent les strates des paysages urbains : petits immeubles de rapport de la Belle Époque, pavillons des lotissements défectueux de l’entre-deux-guerres, barres et tours de logement social et villes nouvelles des Trente Glorieuses. Trois moments de la constitution des banlieues populaires se superposent, encore visibles dans les paysages-palimpsestes : l’âge des faubourgs industriels, devenus peu à peu friches avec la désindustrialisation qui débute dans les années 50 ; le temps des banlieues rouges et du socialisme municipal ; la construction des grands ensembles et l’entrée en crise du modèle à partir de 1970. Des faubourgs industriels à la désindustrialisation La banlieue contemporaine naît de l’entreprise de modernisation de la capitale et des grandes métropoles sous le Second Empire. Le modèle haussmannien, bien connu, régularise la ville ancienne par l’imposition de percées dans le tissu urbain existant, l’équipement en réseaux divers, la construction d’immeubles neufs le long des nouvelles percées et l’exode partiel des anciens habitants du centre vers les arrondissements annexés ou vers les faubourgs. L’agrandissement de Paris complète les ambitions d’Haussmann et de Napoléon III : au premier janvier 1860, en application de la loi du 3 novembre 1859, 5100 hectares sont ajoutés aux 3402 hectares de la capitale, qui trouve ainsi sa taille définitive et passe de 12 à 20 arrondissements. L’annexion des communes suburbaines s’accompagne d’une vision, en creux, de la nouvelle banlieue au-delà des murailles. Le projet est d’homogénéiser la nouvelle ville-capitale en généralisant les équipements urbains, notamment le métro à partir de 1900, de desserrer la pression démographique du centre vers l’extérieur, de transférer l’industrie au-delà des Fortifications. Dans ces « cayennes », les salaires sont plus bas qu’à Paris, la discipline plus rude, la taylorisation plus précoce que dans les ateliers parisiens ou lyonnais. La banlieue est livrée à elle-même, ignorée par la puissance publique. Ses espaces libres accueillent les entrepôts, la grande industrie et les fonctions que la ville transformée rejette : cimetières, hôpitaux, champs d’épandage, logements sociaux 1. Les décrets sur les établissements classés, datant du Premier Empire et repris sous la Restauration, sont à l’origine des zones d’industries polluantes en proche banlieue, notamment autour de la chimie organique. Aubervilliers est célèbre par la concentration d’industries chimiques (Saint-Gobain…). Les derniers de ces établissements classés ont cessé leur activité il y a peu de temps, sous l’impact des revendications des associations écologistes : à Saint-Denis, la Saria, entreprise d’incinération de carcasses animales, a dû fermer. L’industrialisation, comme l’avait envisagé Haussmann, se fait par le transfert des grandes usines de la capitale vers la périphérie. Après la crise économique de la fin du XIXe siècle, l’implantation de nouvelles technologies – automobile, aviation, constructions électriques – transforme des communes (Boulogne-Billancourt, Puteaux, Suresnes, Vénissieux) en technopoles de pointe. Dans ces « cayennes », les salaires sont plus bas qu’à Paris, la discipline plus rude, la taylorisation plus précoce que dans les ateliers parisiens ou lyonnais. Sans unité administrative, la banlieue constitue un domaine fragmenté en espaces socialement très différenciés : villégiature et résidence bourgeoise souvent à l’Ouest, banlieue « noire », celle des faubourgs industriels limitrophes, friches dues à la déprise agricole et maraîchère, que lotissent de petits spéculateurs. La Première Guerre mondiale renforce l’industrialisation des métropoles situées loin du front, Paris, Lyon ou Toulouse. Puis une volonté de décentralisation transfère les usines en grande banlieue : Simca glisse de Nanterre à Poissy au milieu des années 50 ; une usine Citroën de 6500 salariés, dont 4300 OS, s’ouvre à Aulnay-sous-bois en 1973. Cependant, en région parisienne, cette politique précoce et continue de désindustrialisation conduit à une diminution des emplois industriels dès les années 60, avec la politique de délocalisation menée à partir de 1955, amplifiée par la Datar. En Plaine Saint-Denis, en 1960, le secteur industriel représente 46 % des emplois contre 44 % au tertiaire ; en 1990, le secteur industriel représente 21 % des emplois et le tertiaire 72 %. Des secteurs entiers disparaissent – métallurgie, machine-outil, chimie – dont la présence structurait les sociétés ouvrières. La crise économique qui commence à partir de 1973, la division planétaire du travail et un demi-siècle de volonté décentralisatrice entraînent la disparition des banlieues industrielles, malgré des combats défensifs : l’usine Chaix de Saint-Ouen ferme après cinq ans d’occupation et de luttes à contre-courant. L’invention politique socialisme municipal et banlieue rouge Dans l’entre-deux-guerres, les banlieues populaires se couvrent d’une marée pavillonnaire de lotissements médiocres 2. La crise du logement en région parisienne conduit 450 000 nouveaux banlieusards, Parisiens et provinciaux, à s’installer dans 16 000 hectares de nouveaux quartiers pavillonnaires. Ces petits accédants à la propriété – les « mal-lotis » des années 20 – payent à crédit leur parcelle et s’installent sur des terrains dépourvus de tout équipement. Le scandale de ces petits propriétaires méritants qui campent dans la boue des banlieues, sans routes ni lumière, devient public au milieu des années 20. La loi Sarraut votée en 1928 met l’État à contribution avec les intéressés, ce qui permet de financer les aménagements indispensables, en premier lieu le réseau de voirie. Les lotissements, ces quartiers de pavillons, improvisés à partir des années 20 sur des terrains bon marché découpés au hasard de la spéculation et des opportunités foncières, incarnent le rêve populaire d’accès à la propriété. Le mal-loti devient la figure emblématique de l’exclusion banlieusarde : trompé par les lotisseurs, il se retrouve privé des éléments élémentaires de l’urbanité, aux portes de la capitale illuminée où « les rupins font la noce ». Le jeune PC (Section française de l’Internationale communiste) prend en charge les revendications de ces parias, fournit une analyse de leurs difficultés en termes de classe et s’implante dans les communes ainsi bouleversées à partir des élections municipales de 1925. Il s’appuie aussi sur le nouveau prolétariat des grandes usines. Dans le contexte du Front populaire, 1935 marque un tournant dans l’histoire de la banlieue parisienne. Les 5 et 12 mai, les Français sont appelés à élire leurs conseillers municipaux et cantonaux. Dans les 80 communes suburbaines du département de la Seine, au lendemain du second tour, 26 municipalités sont dirigées par un maire communiste. Elles n’étaient que onze au sortir du scrutin municipal de 1929. Sept autres municipalités comptent aussi en leur sein une minorité communiste. Aux législatives du printemps 1936, l’essai se confirme lors de l’élection de 27 députés communistes en banlieue parisienne sur les 72 que compte le groupe parlementaire. Le pacte germano-soviétique, la guerre, la guerre froide puis le gaullisme n’affaiblissent que temporairement la ceinture rouge, construction socio-politique qui perdure jusqu’aux années 80. Bastions rouges et cités socialistes offrent un cadre durable à l’expression des cultures populaires urbaines. La densité d’un réseau d’organisations militantes, la fréquence des fêtes locales, la politisation de l’espace quotidien grâce à la toponymie, ont créé, autour des maires, un patriotisme local à base de classe, culture du pauvre capable de retourner la stigmatisation attachée aux banlieues ouvrières. Modèle d’encadrement plus paternaliste, le socialisme municipal construit des cités-jardins, dont Suresnes, Châtenay-Malabry et Villeurbanne sont les fleurons ; elles sont pensées par des maires visionnaires, Henri Sellier ou André Morizet, comme des prototypes permettant, si elles étaient généralisées, de résoudre la question du logement populaire et en même temps la question sociale. Bastions rouges et cités socialistes offrent un cadre durable à l’expression des cultures populaires urbaines. Les grands ensembles de l’Abbé Pierre à la circulaire Guichard Dans le contexte du baby-boom, du début de la croissance économique et de la reprise de l’immigration provinciale et étrangère, la population urbaine augmente. Cet afflux aggrave le déficit séculaire de logements populaires et la fin de la Reconstruction n’y met pas fin. La crise du logement devient intolérable. Rares, surpeuplés, les logements anciens sont sous-équipés, comme le montre le recensement de 1954 : ni sanitaires, ni w-c intérieurs dans la plupart des cas, et l’eau courante dans à peine la moitié des logements. La crise du logement devient une affaire d’État. Sa médiatisation par l’Abbé Pierre aidant, l’idée du droit à un logement décent pour tous émerge de la misère urbaine des années 50. Avec la construction des grands ensembles, les anciens objectifs des réformateurs sociaux deviennent une politique publique nationale : sortir les classes populaires des taudis, faire bénéficier l’ensemble des salariés des bienfaits de l’hygiène et de la modernité, contrôler l’usage prévisionnel du sol urbain, donner à tous les enfants air, lumière et soleil. Après les tâtonnements du Plan Courant (1953), la maîtrise technique et financière de la production de masse est acquise au début de la Cinquième République (décret du 31 décembre 1958 sur les Zup). De 1946 à 1975, le parc immobilier français passe de 12,7 millions de logements à 21 millions. Pour ces 8,3 millions de logements neufs – dont 8 millions entre 1953 et 1975 –, l’engagement de l’État a été important puisque près de 80 % des logements construits durant cette période le sont grâce à une aide publique. Le nombre de logements sociaux passe de moins de 500000 à près de 3 millions, dont un tiers sous forme de grands ensembles : environ 350 sur l’ensemble du territoire, dont 43 % en région parisienne, où la demande est la plus forte. Sans débat public sur la forme urbaine, le consensus pour une production massive de logements s’établit autour de quelques représentations partagées : la ville ancienne et dense n’est plus réformable – les îlots insalubres, délimités à la fin du XIXe siècle ne sont toujours pas éradiqués ; l’hygiénisme exige de séparer l’habitat des usines ; la hantise du taudis fait accepter l’édification de logements seuls, sans équipements, où les classes populaires accèdent pour la première fois à du neuf. Les banlieues françaises se couvrent de cités nouvelles, édifiées rapidement, d’au moins 1000 logements, voire de plus de 10000 aux Minguettes (Vénissieux) ou à Sarcelles. L’industrialisation du bâtiment, l’avance de l’industrie française du béton armé, l’imposition de normes et de plans types pour les appartements conduisent à privilégier des formes simples, des barres et des tours sur des grandes parcelles de terrain. Cités dortoirs, elles sont en général construites sur des terrains agricoles ou maraîchers, en périphérie, faute de réserves foncières ; la rapidité de leur édification et la complexité des modes de financement expliquent l’absence d’équipements collectifs, à l’exception des écoles primaires ; ceux-ci suivent tardivement, ainsi que les moyens de transports en commun, ce dont se plaignent les banlieusards. Les populations logées varient évidemment suivant les cités : ce sont des familles françaises chargées d’enfants du baby-boom, souvent migrants provinciaux ; les populations de rapatriés de la décolonisation de l’Empire français les rejoignent ; pas de personnes âgées, ni d’adolescents au début du peuplement. Ces familles de salariés sont sélectionnées par les gestionnaires des cités de logement social, et non par le libre jeu du marché immobilier : autour d’une majorité d’employés et d’ouvriers, on trouve des cadres moyens et supérieurs en nombre variable suivant la politique du gestionnaire. Le logement des étrangers est conçu alors sur le mode de la différenciation : soit ils se logent par eux-mêmes dans le parc ancien, soit la puissance publique contribue à leur fournir des logements à part, aux normes de confort inférieures. Mais les plus pauvres, les familles très nombreuses, les populations étrangères et immigrées sont logés ailleurs : taudis des villes anciennes, bidonvilles, foyers pour célibataires immigrés, hôtels meublés, cités de transit ou d’urgence. Ces logements spécifiques, avec parfois un fort encadrement de travailleuses sociales, sont explicitement destinés aux « inadaptés sociaux », qu’il faut éduquer avant de les loger dans les cités nouvelles construites pour les salariés français, suivant des méthodes expérimentées dans l’entre-deux-guerres dans les cités-jardins. Le logement des étrangers est conçu alors sur le mode de la différenciation : soit ils se logent par eux-mêmes dans le parc ancien, soit la puissance publique contribue à leur fournir des logements à part, aux normes de confort inférieures. Mutations et crises, de Giscard à Mitterrand Dans la décennie 1970-1980, une série de décisions conjoncturelles et sectorielles ouvre, à terme, une ère de crise pour les banlieues populaires. La critique des grands ensembles, chronique depuis les années 60 avec l’émergence du thème de la « sarcellite » ou maladie des grands ensembles, qui générerait ennui, suicide, délinquance et toucherait en particulier les femmes et les jeunes, s’amplifie après mai 1968. Les responsables politiques s’interrogent sur le type de société urbaine qui s’édifie dans les périphéries : comment donner une âme à ces nouveaux ensembles et recréer une communauté entre des habitants venus de partout ? La dégradation de bâtiments conçus comme provisoires s’ajoute aux critiques. Olivier Guichard, ministre de l’Équipement, arrête la construction des grands ensembles par la circulaire du 21 mars 1973, qui interdit les opérations les plus massives et tente de mieux insérer les nouvelles constructions dans les villes existantes. À partir de 1965-1970, les investissements publics privilégiaient d’ailleurs les villes nouvelles, imaginées par Paul Delouvrier comme l’antithèse des grands ensembles. L’État réoriente sa politique et ses crédits vers l’aide aux ménages qui veulent accéder à la propriété individuelle de leur pavillon : les banques rentrent sur le marché immobilier et la promotion publique s’effondre à partir de 1976. La loi Barre (1977) privilégie l’aide sélective aux ménages au détriment de l’aide à la pierre, afin de rendre le marché plus fluide et de résoudre la crise naissante des grands ensembles, dont témoigne l’invention des procédures Habitat et Vie Sociale (1973-1977) qui financent les premières réhabilitations. La conséquence est que les classes moyennes quittent les logements sociaux pour les pavillons en accession à la propriété des communes alentour, comme les Minguettes à Vénissieux, abandonnées pour les pavillons de Corbas, Solaize ou Saint-Laurent-de-Mure. Sous l’effet des chocs pétroliers et de l’entrée dans la crise économique, le gouvernement met en œuvre une nouvelle politique d’immigration : fermeture des frontières, aide au retour pour les étrangers jugés responsables de la crise, maintien en l’état du nombre d’étrangers et autorisation du regroupement familial. Cette politique, lancée par Lionel Stoleru, aboutit au décret du 29 avril 1976 relatif aux conditions d’entrée et de séjour des membres des familles des étrangers autorisés à résider en France. L’intégration des familles passe par des conditions de logement semblables à celles des travailleurs français. Les mouvements de mobilité résidentielle, comme les règles d’attribution des logements HLM, qui jusqu’alors ignoraient les travailleurs étrangers, allaient faciliter leur installation 3. Il en résulte d’importantes modifications du paysage des banlieues populaires : les 255 bidonvilles de métropole, dont 120 en région parisienne, qui logeaient 50000 immigrés, sont résorbés et leur population relogée dans des grands ensembles sociaux ; le logement social s’ouvre de façon très volontariste aux familles étrangères, qu’on espère ainsi conduire aux normes de vie urbaine de la société française. Les employeurs payent, à partir de 1975, une taxe sur les salaires de leurs travailleurs étrangers pour construire de nouveaux logements, mais les fonds seront surtout utilisés pour rentabiliser ou construire de nouveaux foyers et très peu pour accroître l’offre locative sociale. C’est par le jeu des départs que se fera l’entrée des familles d’ouvriers issues de l’immigration dans le parc social. Les organismes qui gèrent les cités d’habitat social accueillent ces nouveaux locataires, d’autant que la loi Barre rend solvables les familles les plus modestes. L’idée est de répartir les familles immigrées au milieu des ménages français, suivant des quotas d’environ 15 %. Mais le souci d’intégrer les immigrés dans le logement social conduit à des logiques territoriales de regroupement communautaire qui n’ont été ni pensées, ni anticipées : les familles maghrébines deviennent majoritaires aux Minguettes au cours des années 1970. En Seine-Saint-Denis, la population scolaire étrangère passe de 17 % à 30 % entre 1975 et 1983. En 1992, 74 % des ménages maghrébins sont locataires d’une HLM. Les premières violences imputables aux jeunes sont minimisées et incomprises. Après les élections municipales de 1977, le communisme municipal se délite et la banlieue rouge disparaît, sur fond de crise généralisée des encadrements partisans. En Seine-Saint-Denis en 2001, on compte encore quinze municipalités rouges sur quarante, dont douze ont un maire communiste depuis 1945 4. Le déclin du magistère communiste s’explique certes par l’effondrement du bloc socialiste, mais aussi par l’incompréhension des phénomènes qui s’accélèrent à partir des années de crise. Les municipalités ouvrières refusent la désindustrialisation et la mixité sociale, évitent de construire de l’accession à la propriété et s’opposent aux premières procédures de la politique de la ville. Ces conceptions strictement défensives, fondées sur une vision des territoires communaux comme bastions, n’évoluent qu’à partir des années 90. Les premières violences imputables aux jeunes sont minimisées et incomprises. À La Courneuve, en 1971, un jeune est tué au café Le Nerval ; dans la même cité, en juillet 1983, un enfant algérien de dix ans est tué d’un coup de fusil par un habitant, et le quartier s’embrase ; en banlieue lyonnaise, premiers incidents en 1971, à Vaulx-en-Velin, dans une cité construite pour accueillir des harkis ; 1975, premières mises à sac de locaux scolaires ; en 1978, premiers « rodéos », généralisés aux Minguettes en 1981, où la presse nationale rend compte du phénomène pour la première fois, avec des reportages télévisés qui montrent les voitures qui brûlent au pied des tours, laissant « hébétés » habitants et élus. La gauche, arrivée au pouvoir en 1981, institutionnalise la politique de la ville, en gestation dans la décennie précédente. Décentralisation, interministérialité, zonage des quartiers en difficulté sont les principes, alors nouveaux, de cette politique, que l’alternance maintient. En 2000, en Seine-Saint-Denis, 24 communes sont classées en politique de la ville dans le cadre du contrat de Plan État région. En 1996-1997, l’Union européenne choisit Aulnay-sous-Bois et Clichy-sous-Bois comme éligibles aux fonds structurels européens. Dans les quartiers, les professionnels de la politique de la ville remplacent les militants politiques, et l’État décentralisé se substitue à l’encadrement partisan ; en Seine-Saint-Denis, les effectifs des services de l’État restent stables, passant de 45000 en 1982 à 44836 en 1999. Ainsi, replacée en moyenne durée, la crise des banlieues populaires s’explique par la désindustrialisation et la disparition des sociétés ouvrières à base partisane – ce qui ne signifie pas que les ouvriers aient disparu des banlieues –, la mutation non maîtrisée des fonctions du logement social et la crise du communisme municipal, sur fond de chômage structurel. L’amnésie qui affecte cette histoire récente, comme les décisions de politiques publiques prises alors, ne peut qu’ajouter au déficit de sens et favoriser les analyses incomplètes. le temps des barres et des tours..Certes, ces quartiers de grands ensembles, de barres et de tours, emblématiques de l'urbanisation fonctionnaliste des décennies 1950, 1960 et 1970, de FRANCE ...Le tourisme a toujours fonctionné par extension : les lisières d’hier sont aujourd’hui des hauts lieux touristiques, que l’on pense par exemple au bord de la mer, longtemps déprécié. Sur le terrain contemporain de la ville, ce sont les quartiers populaires péricentraux qui sont à présent saisis par un engouement et une économie touristiques ; plus inédite encore, la découverte par les touristes des quartiers populaires nettement périphériques. C’est le cas à Marseille, dont les quartiers nord, espaces emblématiques de la « crise des banlieues », sont désormais l’objet d’un « front » touristique et patrimonial, animé par une coopérative d’habitants particulièrement active. Cette problématique de l’émergence d’un nouveau lieu d’intérêt touristique se fait particulièrement saillante en ce qui concerne des quartiers d’habitat social en hauteur, nombreux dans ces quartiers nord. Les grands ensembles, en effet, symboles de l’urbanisme moderne honnis des décennies 1950, 1960 et 1970, mobilisent eux aussi de nouvelles pratiques. Tantôt touristiques, tantôt artistiques, elles se combinent parfois : l’article présente ces pratiques « récréa(r)tistes » d’un nouveau genre. Plus largement, il s’agit de rendre compte et d’analyser le statut, la fonction et les enjeux de pratiques réputées à l’ombre du tourisme urbain institué. Les mutations touristiques contemporaines font valoir une mobilisation de nouveaux espaces (les quartiers populaires) et de nouvelles pratiques (participatives). À cet égard, le quartier de Belleville à Paris est un laboratoire exemplaire (Chapuis, 2009). Ces nouvelles modalités touristiques traduisent une évolution culturelle conjointe à certaines dynamiques propres de l’offre touristique. Si ces espaces d’habitat populaire ont longtemps fait partie du négatif urbain mis en tourisme (qu’aller faire dans ces quartiers ?), ils sont aujourd’hui l’objet de « fronts » touristiques, qui en manifestent l’annexion spatiale et sociale aux offres urbaines traditionnelles, voire patrimonialement labellisées. Cette ligne de front se déplace, à présent, des quartiers populaires péricentraux aux quartiers nettement périphériques de banlieue. Certes, ces quartiers de grands ensembles, de barres et de tours, emblématiques de l’urbanisation fonctionnaliste des décennies 1950, 1960 et 1970, souffrent depuis longtemps d’une situation critique (pauvreté économique et sociale, relégation territoriale) et de représentations elles-mêmes péjorées et péjoratives. Or, dans certains de ces mêmes espaces se développent aujourd’hui des pratiques de découverte, de visite et de valorisation s’inscrivant dans un processus de connaissance et donc de reconnaissance de leurs identités architecturale, sociale et culturelle (Vayssière, 2002 ; Pouvreau, 2011 ; Veschambre, 2013).Cette trajectoire fait émerger et mobilise de nouvelles pratiques, tantôt touristiques, tantôt artistiques, qui se combinent parfois : nous présenterons ici ces pratiques « récréa(r)tistes » d’un nouveau genre. Toutefois, mise en scène et parcours ont de quoi surprendre, tant le décalage est effectivement grand entre un imaginaire touristique dominant – sites plaisants et accueillants (Amirou, 1995) – et ces espaces, objets d’une imagerie urbano-pathogène (Avenel, 2004). Dans l’imaginaire collectif, ces quartiers sont, au mieux, sans intérêt, au pire, synonymes de menaces. Tout concourt à associer ces territoires à une banlieue hors des sentiers de l’intéressant. Nous explorons ici les acteurs concernés (visiteurs, « guides », hébergeurs, artistes) et les mises en œuvre dans les quartiers nord de Marseille, qui élaborent et proposent ces offres d’un nouveau genre pour rendre compte et analyser le statut, la fonction et les enjeux de ces pratiques. Ces dernières, en procédant à des mélanges de genres (lieux touristiques estampillés par opposition à marges de découvertes, hébergement en cité opposé à bastides provençales, tourisme ou projet politique) ne manquent évidemment pas d’interroger les catégories d’approche et d’analyse longtemps usuelles de l’objet « tourisme ».La carte touristique de la ville de Marseillemontre combien l’offre touristique marseillaise des acteurs territoriaux promeut essentiellement les lieux, les sites et les déambulations dans les centres de la cité. Le pluriel ici s’impose dans la mesure où à la ville et ses hauts lieux traditionnels (Roncayolo, 1990) (Vieux-Port, Notre-Dame de la Garde, cité radieuse de Le Corbusier, palais Longchamp) se sont récemment ajoutés les quartiers réhabilités et gentrifiés (le Panier, les docks de La Joliette). Ce faisant, la carte de la ville distribuée par l’Office de tourisme ignore un pan entier de son territoire et des ressources qu’il abrite. Sauf un encart pour l’Estaque (non reproduit ici), les quartiers nord de Marseille n’ont pas droit à la représentation officielle et promotionnelle, soit une exclusion de près de 8000 hectares et d’environ 250 000 habitants. Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, le secteur du bâtiment connait un bouleversement sans précédent. Les besoins en termes de reconstruction sont tellement immenses qu’il faut penser une nouvelle façon de construire. C’est là qu’entre en scène Raymond Camus qui invente un système de préfabrication à échelle industrielle. Avec ses panneaux en béton préfabriqué,Le logement préfabriqué, victime de son succès en France, fut exporté en Europe de l’Est. Qui se souvient aujourd’hui que ces logements symboles de progrès devinrent, en pleine guerre froide, la marque de fabrique du collectivisme ? Jacqueline a 50 ans et vit à la cité des Courtillières à Pantin. Elle se souvient lorsque, enfant, elle quitta avec ses parents le « une pièce parisien » sans commodités pour un appartement spacieux et moderne dans cette cité. La cité des Courtillières est alors une cité pilote, censée réaliser le rêve d’une vie nouvelle dans une France qui manquait à la Libération cruellement de logements.Comme tant d’autres Jacqueline enfant ignorait qu’elle devait à Raymond Camus architecte génial, créateur du panneau en béton préfabriqué, cette invention qui promettait un futur radieux pour tous. Sydney, voisin de Jacqueline, se remémore lui, les bus remplis d’architectes venus d’Union soviétique pour visiter sa cité…La marque de fabrique du collectivisme Le logement préfabriqué victime de son succès en France est exporté en Europe de l’Est. Qui se souvient aujourd’hui que ces logements symboles de progrès devinrent en pleine guerre froide, la marque de fabrique du collectivisme ? Pour Julie, à Prague, ou Susanna à Berlin Est, l’arrivée du préfabriqué dans leur vie revêt une toute autre signification. Utopies sociales, idéologies politiques et avant-garde architecturale commencent à se mélanger. Le rêve du bonheur tourne vite au cauchemar…En République tchèque, l’antique ville de Most est détruite pour des raisons économiques pour être reconstruite grâce au panneau de béton. Au travers d’archives inédites et de témoignages des habitants, l’histoire incroyable de panneau en béton se raconte pour la première fois de Paris à Moscou, de 1950 à nos jours.@ Les films du MRU -Industrialiser la construction, par le biais de la préfabrication.Cette industrialisation a abouti, dans les années 1950, à un choix politique de l'Etat, la construction massive de G.E. pour résoudre la très forte crise du logement dont souffrait la France C’est là qu’entre en scène Raymond Camus qui invente un système de préfabrication à échelle industrielle. Avec ses panneaux en béton préfabriqué, il va inonder la France entière, permettant ainsi de créer des villes nouvelles et notamment, les innombrables cités dortoirs qui pullulent en périphérie des grandes villes. Un succès grandissant qui rencontrera une renommée à l’internationale, puisque le procédé sera repris en Europe de l’Est. Les villes socialistes qui se ressemblent toutes les unes aux autres, de la France en passant par la République Tchèque jusqu’en Allemagne. Lorenz Findeisen nous invite à un voyage architectural à travers ces trois pays où grâce aux images d’archives et aux témoignages des habitants, on redécouvre ce qu’était l’utopie du collectivisme et l’émergence du béton préfabriqué. Révolutionnaire pour l’époque, plébiscités par certains, décriés par d’autres, aujourd’hui ces cités s’apparentent plus à des verrues qu’autre chose. Ces grands ensembles d’immeubles souvent mal pensé, sont très souvent excentrés des centres-villes et donc des commerces. Ce documentaire retrace la vie d’une cité pilote, La Cité des Courtillières à Pantin. Cette cité était censée réaliser le rêve d’une vie nouvelle dans une France qui manquait, à la Libération cruellement de logements. Comme tant d’autres Jacqueline enfant ignorait qu’elle devait à Raymond Camus architecte génial, créateur du panneau en béton préfabriqué, cette invention qui promettait un futur radieux pour tous.France 3 Paris Île-de-France avait mis en place, à l’occasion des 60 ans de la création des « grands ensembles » et des villes nouvelles, une programmation exceptionnelle de documentaires inédits de 52 minutes autour de la thématique «Octobre des Cités, le mois des grands ensembles » Composition et production de la musique originale du film de Lorenz Findeisen « Concrete Stories » (52/120 mn). Documentaire primé « étoiles de la SCAM », diffusion France Television et festivals internationaux. (Co production franco-germano-tchèque) Béton et musique synthétique Au cours de l’été 2015 le réalisateur Lorenz Findeisen commande à Etienne de la Sayette une musique originale pour son film Le bonheur est dans le béton (diffusé sur France 3 et dans divers festivals de film documentaire internationaux). Le réalisateur, qui connaissait bien le travail d’Etienne de la Sayette, principalement basé sur des instruments acoustiques, le prend à contrepied en lui demandant une musique synthétique minimaliste “à la Kraftwerk”, pour accompagner les vues de paysage bétonnés des années 70, s’étendant à l’infini depuis les abords des villes. Le jour même où Etienne de la Sayette accepte la proposition, il tombe par hasard sur un Roland SH 2000 poussiéreux dans un marché aux puces de Seoul. Il y voit un signe du destin et effectue des razzia dans les vides greniers et magasins d’occasions de Seoul afin de se procurer en quelques jours un tas de vieux synthés analogiques, boites à rythme et pédales d’effets… Pas de séquenceur, pas de programmation, rien de numérique, tout l’intérêt est de se salir les mains et de jouer ces machines comme de n’importe quel autre instrument acoustique. Au final, pas moins de 30mn de musique ont été produites sur mesure, une musique qui joue le rôle de narrateur dans un film dépourvu de voix off.
Production les Films du Tambour de Soie www.dailymotion.com/video/x413amo
www.youtube.com/watch?v=zR_jxCANYac&fbclid=IwAR2IzWlM... … Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije Noisy-le-Sec le laboratoire de la reconstruction, 1948 L'album cinématographique de la reconstruction maison préfabriquée production ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, 1948 L'album cinématographique içi www.dailymotion.com/video/xwytke
archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... -Créteil.un couple à la niaiserie béate exalte les multiples bonheurs de la vie dans les new G.E. www.youtube.com/watch?v=FT1_abIteFE … La Ville bidon était un téléfilm d'1 heure intitulé La Décharge.Mais la censure de ces temps de présidence Pompidou en a interdit la diffusion télévisuelle - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - Hansjörg Schneider BAUNETZWOCHE 87 über Papiermoderne www.baunetz.de/meldungen/Meldungen_BAUNETZWOCHE_87_ueber_... … - ARCHITECTURE le blog de Claude LOTHIER içi leblogdeclaudelothier.blogspot.com/2006/ - - Le balnéaire en cartes postales autour de la collection de David Liaudet, et ses excellents commentaires.. www.dailymotion.com/video/x57d3b8 -Restaurants Jacques BOREL, Autoroute A 6, 1972 Canton d'AUXERRE youtu.be/LRNhNzgkUcY munchies.vice.com/fr/article/43a4kp/jacques-borel-lhomme-... … Celui qu'on appellera le « Napoléon du prêt-à-manger » se détourne d'ailleurs peu à peu des Wimpy, s'engueule avec la maison mère et fait péricliter la franchise ...
museedelacartepostale.fr/blog/ -'être agent de gestion locative pour une office H.L.M. en 1958' , les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée- les films du MRU içi www.dailymotion.com/video/xgj74q présente les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive Le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije
Le reportage se penche ensuite sur la préfabrication en usine. Ces procédés de préfabrication en usine selon le commentaire sont bien adaptés aux pays en voie de développement, cela est illustré dans le reportage par une réalisation en Libye à Benghazi. Dans la course à l'allégement des matériaux un procédé l'isola béton est présenté. Un chapitre sur la construction métallique explique les avantage de ce procédé. La fabrication de composants ouvre de nouvelles perspectives à l'industrie du bâtiment.
Lieux géographiques : la Grande Borne 91, le Vaudreuil 27, Avoriaz, Avenue de Flandres à Paris, tours Picasso à Nanterre, vues de la défense, Benghazi Libye www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije : mécanisation, rationalisation et élaboration industrielle de la production. Des exemples concrets sont présentés afin d'illustrer l'utilisation des différentes innovations : les coffrages outils, coffrage glissant, le tunnel, des procédés pour accélérer le durcissement du béton. Le procédé dit de coffrage glissant est illustré sur le chantier des tours Pablo Picasso à Nanterre. Le principe est de s'affranchir des échafaudages : le coffrage épouse le contour du bâtiment, il s'élève avec la construction et permet de réaliser simultanément l'ensemble des murs verticaux. Au centre du plancher de travail, une grue distribue en continu le ferraillage et le béton. Sur un tel chantier les ouvriers se relaient 24h / 24 , www.dailymotion.com/video/xwytke?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/x1bci6m?playlist=x34ije Demain Paris 1959 dessin animé présentant l'aménagement de la capitale dans les années 60, Animation, dessin animé à vocation pédagogique visant à promouvoir la politique d’aménagement suivie dans les années 60 à Paris. Un raccourci historique sur l’extension de Paris du Moyen Âge au XIXe siècle (Lutèce, œuvres de Turgot, Napoléon, Haussmann), ce dessin animé retrace la naissance de la banlieue et de ses avatars au XXe siècle. Il annonce les grands principes d’aménagement des villes nouvelles et la restructuration du centre de Paris (référence implicite à la charte d’Athènes). Le texte est travaillé en rimes et vers. Une chanson du vieux Paris conclut poétiquement cette vision du futur. Thèmes principaux : Aménagement urbain / planification-aménagement régional Mots-clés : Banlieue, extension spatiale, histoire, quartier, ville, ville nouvelle Lieu géographique : Paris 75 Architectes ou personnalités : Eugène Haussmann, Napoléon, Turgot Réalisateurs : André Martin, Michel Boschet Production : les films Roger Leenhardt www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au f
Foto taken for Active Assignment Weekly: April 2-9: Out of Place
I'm sure that in the course of your weekly activities you have come across something that made you think "that doesn't seem to belong there". Your assignment for this week is to find a situation with an out-of-place subject and creatively document the scene. If needed you can set up the scene.
Dare: Find the scene with an out of place subject rather than setting it up.
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What it took: Took a walk at the river Rhine. Wanted to climb down into the riverbed (water level is low at the moment) which I cannot do pushing a pram. So in the few minutes I had between putting the kids to bed and the sun going down, I left hubby with babies and almost ran down to the river.
Shot fotos of a couple of things, like rope and other flotsome that looked nice and weathered but wouldn't do for the assignment. - And then I spotted the shopping cart and knew that this was it for me for this week.
Whether it got washed up there and someone erected it, or if someone transported it there - it must have cost some muscle: the riverbed is deep down and the bank rather steep there, I had to climb some steep stairs and then walk over heavy stones to get there. There are other views of it in my photostream if you are interested, one showing more ambient landscape and one of the cart from close.
The fair in the background is on the other side of the river on the "schäl sick" (ie the wrong side) as it is called in regional dialect.
Adjusted curves in GIMP, exif data is intact.
These carts were used by the Metis to carry their canoes over land in the Canadian Prairies during the fur trade centuries ago.
This is my 20,000th photo on flikr.
Es war unser zweiter Besuch des Hotels, es war in jeglicher Sicht eine Überraschung
Allgemein das Hotel Aydinbey King´s Palace in Evrenseki bei Side:
Vielen Danke an alle Servicekräfte im Hotel mit unsrer einmaligen persönlichen Betreuung, sie haben uns einen wunderbaren und unvergesslichen Urlaub bereitet.
Das Hotel hat uns einerseits sehr beeindruckt, sehr positiv, aber am Empfangstag gab es zunächst eine negative Überraschung für uns mit unsrer letzten Beurteilung in Holiday Check. Wir wurden zunächst einmal mit einer anderen Bewerter verwechselt und dann kam noch hinzu, dass unsere Bewertung nicht richtig gelesen und verstanden wurde. Achtung: wer ein Hotel negativ in der Türkei bewertet, kommt auf die schwarze Liste, so die Aussage der Gästemanagerin und darf das Hotel nicht noch einmal betreten. Ja, hat man da dann nun bei uns eine Ausnahme gemacht?
Überrascht hat uns auch das TEZ, Pegas und Coral Reisen drei große russische Reisegesellschaften jetzt hier im Hotel vertreten sind. Die Essgewohnheiten und besonders die Manieren unterscheiden sich sehr von den unsrigen und sind für uns indiskutabel, da wir nicht nur auf den Geschmack, sondern auch mit den Augen essen und auf das Ambiente einen sehr großen Wert legen. Die ruhige Zeit dürfte damit vorbei sein, was wir leider auch erlebt haben. Der Umgang mit Lebensmittel als gäbe es alles in Hülle und Fülle und man kann es ja einfach wegschmeißen, man pulte nur das Beste heraus. Auch der Geräuschpegel ist um einiges höher und der Umgang mit Mitmenschen sehr rau und teilweise bei den jungen Menschen auch noch sehr arrogant und egoistisch. Mit Strandbekleidung zum Abendessen ins à la carte Restaurant war der Gipfel und keiner Schritt ein und wies sie zurecht!
Was war so positiv:
Der Service war einfach für diese Hotelklasse äußerst gut, wenn es auch Sprachprobleme gab, wurde sich dennoch irgendwie verständigt, zumindest häufig.
Der Geschmack vom Buffet und den à la carte Restaurants war gut, aber nicht so gut wie im Jahr zuvor. Fehler gibt es immer wieder, aber hier waren sie sehr selten und nebensächlich. Aber das Angebot der á la carte Restaurants war bis auf immer nur ein Restaurant täglich gegenüber dem Vorjahr bis zu drei sehr beschränkt.
Uneingeschränkt kann man alle à la carte Restaurants besuchen und bekommet in einem wunderbaren Ambiente sehr und schön dekoriert hervorragende 5 Gänge Menüs serviert.
Genauso mit dem Büffet, sehr schön dekoriert und die Speisen besonders gut präsentiert. Die Speisen fallen jedem sofort ins Auge und das Auge isst nachweislich mit und auch die Qualität vom Geschmack ist hervorragend. Aber jetzt kommt die Einschränkung man darf nicht drüber hinwegschauen das mit Sahne, Lebensmittelfarbstoffe und Geschmacksverstärker ganz kräftig nachgeholfen wird. Wer auf gesundes Essen und Kalorien achtet, hat bis auf die vier Diätschalen (alle nur in warmen Wasser gedunstet bzw. gekocht) kaum ein großes Angebot, abgesehen natürlich bis auf die Salatauswahl.
Der Zimmerservice sehr sauber und hat sich stets auf unsere Wünsche der Reinigung eingestellt, aber leider nicht immer gründlich dafür aber die Toilette.
Die Wäscherei kann man nur eingeschränkt empfehlen, meine Hemden waren nach dem ersten Hemd und dem Hinweis meist akkurat und korrekt gebügelt. Anders war es bei der fremd vergebenen chemischen Reinigung, dort mussten wir mehrfach reklamieren.
Das Hotelmanagement ist in allen Dingen rund um die Leistung und Service immer präsent und auch zugegen, besonders zu erwähnen ist die Autorität des Managers für den Service, vor dem das Personal zu jeder Zeit Respekt zeugte. Das Management hat sich auch von der Leistung selber überzeugt und mit am Büffet seine Malzeiten eingenommen. Dies zeugt von Respekt vor den Mitarbeitern und Kollegen. Ausnahme war nur der Hotelmanager selber, obwohl er sich im Hotel von einer Servicekraft zu dieser Position hochgearbeitet hat. Mit dem Award von Holiday Check 2013 hat wohl nur er profitiert von seinem alten Firmenwagen Audi A4 hat er jetzt auf einen 7er BMW 740LD gewechselt.
Das Management dieses Hotels versucht dem Gast das besondere Gefühl zu geben in einem 5 Sterne Hotel Gast zu sein! Was andere Hoteliers aus Gewinnsucht nicht verstehen sich so einfach aber erfolgreich dem Gast in positiver Erinnerung zu bringen. Aber war uns im vorigem Jahr so gut in Erinnerung geblieben ist, war aber teilweise dieses Jahr nicht mehr zu spüren. Man merkte, dass das Personal demotiviert war und untertönig wurde der Manager mit dem 7er BWM heftig kritisiert, insbesondere weil er wohl vergessen hat, dass er auch mal zu ihnen gehörte.
Was war negativ:
Erst einmal die Preiserhöhung zum letzten Jahr von 33€ um 30% auf 43€/Tag bei uns. Das Hotel Side Crown Palace 5 Sterne 96% / 5,5 Holiday Check Award 2013 kostet im Preisvergleich am 18.4.2013 nur 28€/Tag bei DerTour und diese Hotel 52€/Tag bei HCX. Das Hotel ist auch nicht so besetzt wie letztes Jahr. Die Preiserhöhung ist aber nicht beim Einkauf von Lebensmittel als auch beim Personal mit Lohnerhöhung so adäquat weitergegeben worden, Hilfskraft mit 350€ und Kellner z Bsp. mit 500€ Monatsgehalt. Das Personal bekommt mehr oder weniger nur den Inflationsausgleich. In der Türkei klafft die soziale Gerechtigkeit noch weit mehr als in Deutschland auseinander.
Leider wird wie wo anders dem Gast nur noch der Wein im Glas gereicht. Im letzten Jahr war das noch anders, da bekam hier der Gast eine eigen Flasche Wein im Eiskübel bei Weiß- und Roséwein und im Ständer beim Rotwein an den Tisch serviert und für die Damen gab es sogar Sekt, was ich nur hier gesehen hatte, es sei denn man hat extra bestellt und bezahlt. Aber im Gegensatz zum letzten Jahr war der Sekt zu Anfang nur alkoholfrei und hat bei weitem nicht den Geschmack wie zuvor. In der Mitte unseres Urlaubs wurde dann aber wieder auf Sekt mit Alkohol wohl nach vielen Protesten der Gäste umgestellt.
Dieses Hotel ist insgesamt mit seiner Ausstattung keine 5 oder 4,5 Sterne wert, das wäre überbewertet, aber der Service und auch die Qualität der Küche dafür mit Sicherheit 5 Sterne für die Türkei. Allerdings die Einschränkung oft wurde bereits nicht mehr frische Lebensmittel im Büffet serviert, was auch das Management uns gegenüber eingeräumt hat.
Natürlich kann der Gast bei diesem Preis nicht täglich Rumpsteak oder Filet erwarten, aber Hähnchen, Truthahn und Pute waren doch schon sehr dominierend auf dem Speiseplan, aber als Entschädigung sehr gute Saucen. Aber es dürfte bestimmt auch mal etwas hochwertiges Fleisch ab und zu im Speiseplan sein, denn bei 8€ Kalkulation pro Gast und Tag ist das schon möglich.
Auch die Gartenpflege der Anlage hat nachgelassen. Es herrsche eine riesige Schneckenplage aber dagegen wurde nichts in unsrer Zeit unternommen. Ebenso war der Rasen nicht mehr so gepflegt.
Es beliebt beim Gast das Gefühl, dass das Management meint überall sparen zu können und sich auf die Gäste über den Holiday Check Award 2013 verlässt. Wenn das nicht ein fataler Fehler ist! Es ist nur schon merklich spürbar, dass weniger Gäste im Hotel sind und Gäste vor Ort in unsrer Gegenwart sich beschweren und sich nicht mehr so wohl fühlen wie im letzten Jahr. Leider äußern sich älter Menschen dazu nicht öffentlich, da sie gut Erzogen der Meinung sind, es seinen unhöflich zu beschweren.
Die neuen Gäste von TEZ, Pegas und Coral Reisen aus Ost-Europa, Russland und GUS Staaten, sie werden leider nicht in die allgemeinen Geflogenheiten die im Hotel Standard sind in die Schranken zurückverwiesen und abgemahnt. Sie fallen einfach immer wieder unangenehm auf. Besonders hat mich geärgert, nicht nur einen Teller voll gemacht sondern gleich zwei oder sogar drei Teller und nur herumgestochert wenig davon gegessen. Wir zahlen dafür mit und das ärgert uns ganz besonders!
Lage:
Das Hotel Aydinbey King´s Palace in Evrenseki ist 6 km von der Altstadt Side entfernt, mitten in einer großen Reihe von nebeneinander liegenden Hotels mit direktem eigenem Zugang zum Stand. Auf der Strandpromenade gibt es sowohl rechts als auch links vom Hotel zwei deutsche Restaurants / Bars mit SKY Sport TV und Bundesliga wobei beim einen die üblichen Getränke 1,00 € bis 1,50 € und beim anderen ab 1,50 € kosten. Diese beiden Bars sind viel günstiger als im Zentrum von dem Ortsteil Evrenseki ca. 400 Meter vom Hotel, wo die Türken um die 2,50€ bereits für einen Kaffee verlangen. Die Geschäfte und Händler sind zahlreich aber verkaufen wie schon lange nicht mehr einheimische Produkte sondern billigen Import ohne Qualität aus China. Auch die kleinen Supermärkte sind überteuert. Besser fahren sie für 1,50€ oder 3TL mit dem Minibus nach Manavgat ins Zentrum. Übrigens auch eine schöne alte Stadt. Dort gibt es zwei Migros Supermärkte im Zentrum und einem am Stadteingang. Die Preise sind weitaus günstiger als nahe bei den Hotels. Der gleiche Wein der in Deutschland 2,99€ kostet ein Sauvignons Blanc aus Chile, der auch in Weißrussland Minsk im Hippo Tochterunternehmen von Migros knapp für 7€ angeboten wird, kostet hier im Migros Manavgat 13€. Ja richtig teuer, hier verdienen eine wenige sehr viel Geld. Es ist leider so. Aber im mini Supermarkt in Evrenseki kostet der türkische Sauvignon viel schlechtere Qualität sogar 15€. Dafür sind aber die Lebensmittel und Obst sehr viel günstiger. Auch beim Kauf einer Brille unbedingt in die Stadt fahren und dort eine Brille kaufen, wo auch Türken im Geschäft sind. Es wird viel versprochen und je mehr sie handeln desto schlechter wird die Qualität ihrer Brillengläser. Ein türkischer Optiker (wenn er es überhaupt ist, weil nur der Inhaber muss Optiker sein) will seinen Gewinn haben und den lässt er sich auch beim Handel nicht nehmen. Stattdessen spart er beim Einkauf der Gläser. Zeiss Individual II EasyFit- oder Optiswiss Be4ty HD0 Gleitsichtgläser in der Türkei produziert kosten so um die 330€. Alles was billiger ist, bedeutet auch schlechter Qualität oder ältere Gläsertypen.
Noch ein wichtiger Tipp nehmen Sie cash € mit, abgerechnet wird alles in € und türkisch Lira werden nur zu einem sehr schlechten Kurs verrechnet. Ebenso Achtung auf Geldautomaten nur bei einer namhaften Bank für 3,5% Geld ziehen wie am Flughafen, viele kleinere Banken sind nur Wechselstuben mit einem Bankautomat und sehr teuer bis zu 17% Gebühren, ja richtig gelesen! Ebenso Achtung bei Automaten die frei herumstehen, denn bei diesen lassen sich die EC-Karten leicht kopieren und dann auch dann mit der EC-Kartendublette an anderen Automaten Geld abheben. Der Sicherheitsstandard wie in der EU ist nicht vorhanden. Ich habe selber die Erfahrung machen müssen! Zum Glück nur 100€ und die habe ich auch von meiner Hausbank rückerstattet bekommen.
Ausstattung:
Ein Hotel mit 360 Zimmer und einer gepflegten schönen Anlage aber nicht sehr groß und dafür überschaubar. Es gibt 4 Bars eine am Pool, eine Bar am Strand, zwei im Haupthaus Lounge Bar mit Live Musik an machen Abenden, sowie ein 24 Stunden Irisch Bar und insgesamt 7 verschiedene Themenrestaurants, wobei der BBQ Grill und das mediterrane im Freien sind bzw. die Beach Bar ist. Aber das Hotel wird jeder Altergruppe gerecht von jung bis alt. Der Innenhof ist leider mit seinen Plastikpflanzen und dem grünen Teppich als Gartenersatz nicht mehr zeitgerecht und wirkt einfach billig. Hier meine Empfehlung an die Hotelleitung doch diesen Schandfleck umgehend neu zu gestalten. Statt in die sehr teure LED-Außenbeleuchtung zu investieren, hätte man wohl besser im Hotelinneren investiert. Auch die Tischpflanzen sind alle aus Plastik. Passt eigentlich nicht zu dem ansonsten perfekten Managementkonzept. Das Hotel ist ein bisschen in die Jahre gekommen, könnte etwas neuen Glanz gebrauchen. Hier denke ich, es wird im Augenblick nichts in die Erneuerung oder Modernisierung investiert, Bsp. Fassade zum Meer nur sehr oberflächlich überstrichen nicht saniert. Ein fataler Fehler, der sich böse rechen könnte, denn die Klientel die das Hotel hat, ist zwar einfach aber dafür treu. Bitte schauen Sie in den Beurteilungen nach, wie viele Gäste mehrmals dort schon ihren Urlaub verbracht haben. Nur wer kontinuierlich erneuert hält auf Dauer seine Gäste. Aber es sind schon bereits weniger Gäste im Vergleich zum Vorjahr.
Zimmer:
Zimmer mit seitlichem Meerblick, das war einmal. Auf beiden Seiten ist der Blick durch neu gebaute Hotels verbaut worden. Es lohnt sich nicht hierfür zusätzliches Geld auszugeben, dafür haben die Frontfassadenzimmer einen wunderbaren Blick auf das Mittelmeer und den Garten mit Poolanlage. Es war uns eine Freude in einem solchen Zimmer übernachtet zu haben.
Sauber sind die Zimmer, hier ist das Reinigungspersonal gründlich aber nicht sehr gründlich was die Achtung auf die Wäsche betrifft. Aber auch hier wird gespart, denn die Handtücher werden so lange genutzt bis es wirklich nichts mehr geht und die Badezimmerreinigung ist an machen Tagen sehr oberflächlich bis auf die Toilette die fast jeden Tag geputzt wurde. Auch die Gründlichkeit der Wäschereinigung lässt manchmal zu Wünschen übrig, es waren nicht selten Rückstände vom vorhergehenden Gebrauch auf dem Handtuch oder auch auf der Serviette zu finden. Auch die Tischdecken und die Bettwäsche sind teilweise nicht besonders gut gemangelt.
Gastronomie:
Es werden für den bezahlten Preis ein hervorragendes Essen sowohl beim Büffet als auch bei den à la carte Restaurants geboten. Man muss sich aber darüber im klarem sein, ein Rindersteak oder allgemein Rindfleisch oder teures Lamm ist sehr rar. Aber das Essen ist sehr schmackhaft auch wenn Sahne, Lebensmittelfarbstoffe und Geschmacksverstärker gebraucht werden. Für Kalorienzähler ist dies absolut nicht geeignet und wer auch Naturkost achtet, ist hier falsch. Es wird in der Küche alles soweit und so lange verwerte bis es nicht mehr geht, besonders beim Fleisch zu sehen, am Schluss wird es zu Pressfleisch in Panade u.a. im asiatischem Themenrestaurant serviert. Das Brot ist reichhaltig aber jedes Brot auch die Brötchen oder das Graubrot sind weich wie Weißbrot, Ausnahme sind die Baguettebrötchen. Die Getränke sind ok auch die Cocktails und für die Damen sogar Sekt, aber leider im Geschmack etwas verfälscht, da alkoholfrei. Was uns beim ersten Besuch sehr beeindruckt hat, war das man ohne Aufforderung registriert hat, das wir sehr gerne kühlen Roséwein und Sekt trinken und man uns dann eignes Abends an der Bar eine kalt Flasche Roséwein wie auch Sekt im Eiskübel servierte. So etwas habe ich bei all meinen vielen Hotelbesuchen auch von 5 Sterne Hotels zugebender Weise noch nie erlebt, aber leider gab es diesen Service jetzt nicht mehr von Seiten des Hotels, aber dafür für unseren selbst mitgebrachten Wein von Migros Supermarkt in Manavgat. Es war sehr schade mit dem Hotelwein, hat uns sehr gefehlt und war mit ein Grund für den erneuten Besuch des Hotels. Aber zum Abschied hat der Büffetmanager uns einen guten türkischen Sauvignon Blanc von 2008 zum Abendessen gereicht, danke für diese Aufmerksamkeit.
Service:
Auch hier gilt natürlich gutes Personal mit Sprachkenntnissen kostet Geld. Man gibt sich hier überall sehr große Mühe den Gast zu verstehen. Die Dame die, die Reservierungen für die à la carte Restaurants vornimmt, die Gästemanagerin spricht hervorragend deutsch. Aber an der Rezeption wie auch beim Gastronomie-Service kann man sich nur mit einfachen Worten verständigen. Besonders die jungen Kellner haben Verständigungsprobleme. Leider mussten wir auch mehrmals miterleben, wie das Personal einfach lustlos bei der Arbeit war. Die Autorität des Barmangers wurde untergraben und die Anweisung nur so lange wie er anwesend war ausgeführt, besonders bei den jungen Kellners zu sehen. Ja der Alleingang des Hotelmanagers mit dem 7er BMW bleibt nicht ohne Folgen. Aber freundlich waren die Mitarbeiter immer stets zu uns.
Etwas problematisch ist das WIFI/WLAN im Hotel extrem langsam (bytes up/down 26.9 KB / 53.4 KB) mit vielen Unterbrechungen aber dafür zeitgemäß kostenlos.
Was wir besonders erwähnen müssen, der Service der uns zu Teil wurde mit den vielen positiven Überraschungen mit Dekorationen am Tisch, mit Früchteteller und Rotwein auf dem Zimmer oder nur die einfache Aufmerksamkeit mit einem Glas frisch gepressten Orangensaft zum Frühstück. Dafür möchten wir uns ganz herzlich nochmals auch hier bedanken.
Sport, Unterhaltung und Pool
Es wird ein reihhaltige Programm von Morgens 10:00 bis Abends 22:00 angeboten. Allerdings war es das gleiche Programm wie im letzten Jahr und wiederholt sich jede Woche. Dabei ist für jeden etwas dabei für die Erwachsenen Sport, Gymnastik, Unterhaltungsspiele und für die Kinder eine Kinderbetreuung bis hin zu Aufführungen am Abend im Theater. Die Kinder wurden hier rührend betreut und waren von großer Freude am Abend im Theater sich großartig zu präsentieren.
Resumé:
Um zunächst mal die eigenen Worte des Hotel Managers zu benutzen, das Hotel ist nicht wie ein Lamborghini oder Ferrari mit einem Preis für einen Fiat. Aber das Preis- / Leistungs- Verhältnis für „all inclusive“ ist nicht so günstig wie der türkische Fiat, sondern um bei den Worten des Hotel Managers zu bleiben, etwa wie bei einem gehobenen VW Golf. In diesem Hotel bekommt man sehr viel für sein Geld keine Frage, es ist aber auch keine gehobene Klasse und man darf nicht außer acht lassen, die Betreiber verschenken hier kein Geld, sie haben ihren Gewinn indem sie billiger Einkaufen oder weniger Ausgaben für Reinigung oder Erneuerungen haben. Mit billiger Einkaufen ist nicht die Qualität gemeint, sondern anstelle von Rinderfleisch z. Bsp. Truthahn oder im Eintopf mit Hühnchen ist viel mehr Fleisch enthalten, wie beim Eintopf mit Kalbsfleisch. Die Kosten für die Lebensmittel sind etwa 100% günstiger als in Deutschland, während Importware unseren Preisen entsprach. Die Eigentümer haben legendlich in eine Außenbeleuchtung investiert, damit die neuen Gästen aus Ost Europa Russland von TEZ; Pegas und Coral Reisen angezogen werden. Aber diese Beleuchtungsanlage dringt auch in die Zimmer und ist nicht vom Show Effekt mit dem Hotel Crown Palace vergleichbar.
Aber mit den Kleinigkeiten wie mit dem Wein oder dem Reichen von Sekt, hatten die Manger des Hotels sich zu Recht eine hervorragende Bewertung verdient, es gilt mein Respekt ohne viel Geld vom Gast zu verlangen eine hervorragende Leistungen zu bieten, wenn auch jetzt mit Abstrichen. Dies ist nach wie vor einzigartig an dem sich andere Hoteliers ein Beispiele nehmen sollten.
Auch werden die Lebensmittel bis zum Ende verarbeitet bis es nichts mehr geht. Aber meine Hochachtung an die Köche, sie haben immer wieder ein hervorragendes Essen gezaubert. Es bleibt mir aber die Erkenntnis, wenn billiger dann wird auch gespart oder es gibt Einschränkungen, das muss man beim Übernachtungspreis einfach wissen und beachten. Jedenfalls dieses Hotel ist gute 3 Sterne Superior Wert und steht dabei in vorderster Reihe, aber dieses Hotel ist nicht annähernd mit einen richtigen 5 Sterne Hotel vergleichbar. Hier zitiere ich wieder einmal den Hotel Manger, der sagte, in Deutschland bekommt man für diesen Übernachtungspreis von 43€ nur ein Abendessen in einem guten Restaurant. Recht hat er, aber genauso gut bekomme ich ein hervorragendes Abendessen für unter 20€ in einer Gaststätte und diese hat auch keine fünf Sterne vom ADAC zum Beispiel. Auch die Gäste sind nicht für ein solches 5 Sterne Hotel gekleidet bis auf einige Ausnahmen. Die Bewertungen sind zu recht sehr positiv, aber nicht mit den Bewertungen wie für ein 5 Sterne Hotel wie das Hotel Susesi in Belek vergleichbar, es wäre ungerecht. Aber mit den Kleinigkeiten wie mit dem Wein oder dem Reichen von Sekt, haben die Manger des Hotels sich zu Recht eine hervorragende Bewertung verdient, es gilt mein Respekt ohne viel Geld vom Gast zu verlangen eine hervorragende Leistungen zu bieten, wenn auch mit abstrichen. Dies ist einzigartig an dem sich andere Hoteliers ein Beispiele nehmen sollten. Für einem Menschen wie mich, der eigentlich einen gehobeneren Anspruch hat und der am Sonntag mit Sicherheit bei Fernseh nicht für das Umschalten von Formel Eins auf Fußball mit Schalke diskutiert, muss zugeben, die Führung von diesem Hotel bietet den Menschen, die hart für ihr Geld für einen Urlaub arbeiten eine mehr als adäquate faire Leistung. Dies ist leider heute sehr selten auf der Welt, je ärmer die Kunden oder die Gäste sind, je respektloser werden sie behandelt und ausgenommen. Aber in diesem Hotel ganz und gar nicht und dies muss man auch einfach mal loben. Das Hotel ist nicht zu Unrecht ausgezeichnet worden. Leider profitieren nicht alle Angestellten im Hotel davon. Dadurch haben auch Leistungen im Vergleich zum Vorjahr nachgelassen. Das, warum wir uns wieder an das Hotel erinnert haben, der gute freundliche Service mit den zufriedenen Mitarbeitern sowie der Wein und Sekt im Kübel mit Eis, war leider nicht mehr. Man merkt schon, dass die Besucherzahl im von deutschen Gästen im Vergleich zum Vorjahr sehr nachgelassen hat und durch Gäste von TEZ, Pegas und Coral Reisen ausgeglichen werden soll. Ich denke, das ist ein fataler Fehler. Die Manieren der Ost-Europäer unterscheiden sich erheblich zu uns besonders beim Essen und der Freundlichkeit.
Mein großer Dank geht an alle im Hotel, Manger gleich auch wie Mitarbeiter und Servicekräfte, wir haben uns bei dieser persönlichen Betreuung sehr wohl gefühlt und kommen bestimmt wieder, nur wir hoffen, dass das Management ein Einsehen für die Mitarbeiter hat und das alle wieder mit Freude an der Arbeit sind. Wir werden es über das Holiday Check Forum genauestens beobachten.
Every visiting school had its own photo with the animals.
1952 De Krekels.
A colourised B&W photo using a newer automatic programme, when the image is poor, the enhancer in the programme tries to add information, thus giving a face an odd look..
This map was removed from this book: 970.02 C34.004 \B BR The map is located in the drawer of maps removed from books. Map originally printed 1632. Transcription of text: Carte de la nouvelle france, augmentée depuis la derniere, servant a la nauigation faicte en son vray Meridien, par le Sr de Champlain Capitaine pour le Roy en la Marine; leguel depuis l'an 1603 jusques en l'année 1629; a descouvert plusieurs costes, terres, lacs, rivieres, et Nations de sauuages, par cy deuant incognuës, comme il se voit en ses relations quil a faict Imprimmer en 1632, ou il se voit cette marque [drapeau avec croix] ce sont habitations qu'ont faict les françois.
Creator: Champlain, Samuel de, 1574-1635
Date: 1640
Identifier: 970.02 C34.004 (Map taken from BR book)
Format: Map
Rights: Public domain
Courtesy: Toronto Public Library.
More information: (view details and larger image)
These three beautiful dogs sat patiently in the golf cart waiting for their master. Lamplight Equestrian Center, Wayne, Illinois.
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Portland may be the food cart capital of the world. This series is one block in downtown Portland that is home to a large number of food carts serving a variety of ethnic dishes. There are similar "food cart pods" sprinkled throughout the city along with many individual or small groups of food carts. This series was taken late in the evening so a number of carts were closed.