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L'Europoussins s'est terminé ce dimanche après-midi, avec la joie des petits suisses, qui ont battu l'AS Roma en finale (2-1).
Un temps radieux, un plateau exceptionnel, des participants ravis par l'organisation... que demander de mieux ? L'Europoussins s'est terminé, une nouvelle fois, sur un succès.
Mais la fête était tout de même exceptionnelle.
Avec les plus grandes écoles françaises et de prestigieuses équipes européennes, l'EuroPoussins est le plus grand événement U10 d’Europe.
Sur 2 jours, les meilleures écoles de football françaises se confrontent à de grandes équipes européennes. Un Tournoi National Qualificatif de sélection permet d'y associer des clubs amateurs disposant d'une « génération exceptionnelle ».
Au-delà de la compétition internationale, l'EuroPoussins c'est l'occasion de découvrir les futurs talents de demain et d'admirer le formidable travail des éducateurs.
C'est aussi un magnifique lieu d'échange, de diversité et d'ouverture. 2 jours de fête chaleureuse dans une ambiance conviviale.
EuroPoussins is the biggest U-10 event of its category in Europe with all the best clubs academies participating year after year making it a can't miss event for teams from over 10 countries.
During 2 days, the most prestigious European and French clubs are competing for the trophy. Amateur clubs with an exceptional generation of players are also taking part, earning their entries via 2 national qualifying tournaments, totaling 96 teams from all over France.
Apart from the results, EuroPoussins is a unique place to discover tomorrows great football talents and the fantastic work put into it by all staff members.
Last, but definitely not least, EuroPoussins is a great place for sharing, exchanging openly with a great diversity of cultures. 2 days of fun and friendship !
Comme chaque année à l'EuroPoussins, une dizaine de nations sont représentées par de nombreuses équipes parmi les meilleures d’Europe et de France.
À partir de décembre, nous avons eu le plaisir de vous annoncer tous les jours le nom d'un club de Football inscrit dans la liste des équipes participant à l'événement 2016.
Sans oublier le nom des 6 autres clubs "Bretagne" et "Hors Bretagne" que l'on connait désormais, à la suite des sessions du TNQ 2016,des 16 et 17 avril derniers.
Avec 15 000 spectateurs, l'Europoussins de Pleudihen a encore une fois été un grand succès populaire. Avec une augmentation du nombre de clubs et spectateurs étrangers
Tout le week-end, on a entendu parler anglais, espagnol ou italien comme jamais auparavant autour des terrains de l'Europoussins de Pleudihen. « On note une réelle émergence des clubs étrangers. Et ils viennent avec leurs fans », remarque David Bouxière le président de l'Europoussins.
Rajoutez à ça un public costarmoricain et bretillien de plus en plus nombreux « et on est bien à nos prévisions de 15 000 spectateurs en deux jours ».
Sur le terrain, la lutte a fait rage, avec fair-play. Le trophée du meilleur esprit sportif a d’ailleurs été décerné aux petits Néerlandais du PSV Eindhoven. Côté compétition, le Sporting Portugal de Lisbonne, dont est issu un certain Cristiano Ronaldo, l’a amplement remporté 4-0 contre le petit club de région parisienne l’US Torcy, gagnant de l’édition 2014. En deux jours 641 buts ont été marqués.
Les joueurs de Lisbonne avaient physique, technicité et schéma de jeu. Et si le prochain Cristiano Ronaldo venait de gagner son premier grand trophée ?
Tout le monde sait, dans le milieu du foot, que les clubs portugais sont pillés tous les ans à l’intersaison par les grands d’Europe.
Peu savent par contre que le seul club au monde a avoir formé deux Ballons d’Or est le Sporting de Lisbonne. En effet Luis Figo puis plus récemment Cristiano Ronaldo sont des purs produits de l’école lisboète. En ce moment on pourrait même ajouter le redoutable Nani à une liste trop longue à égrainer de stars en activité.
Surprenante Torcy
Les U10 de ce club auront donc fort logiquement démontré tout leur talent des phases de poules aux matchs à élimination directes. En huitième en se défaisant de Lille, en quart en faisant chuter une belle équipe de Montpellier. Puis vint la demifinale et une victoire face à un ancien vainqueur le Borussia Dortmund. La finale, contre un autre ancien vainqueur, la toujours aussi surprenante équipe de Torcy, sera une formalité.
Avec un bon gros 4 à 0 à la clef.
Le moins que l’on puisse dire c’est que les dirigeants portugais étaient aux anges pour ce qui n’était que la première participation de leur formation à l’Euro-Poussins. Manuel Fontinha, l’un des coachs qui est également physiothérapeute car on ne se refuse rien à ce niveau, raconte son bonheur : « Nous sommes particulièrement heureux car la France a certainement les meilleures écoles de foot en Europe. Après viennent l’Espagne et le Portugal. Je pense que nous avons bien représenté notre football. Être ici a été un plaisir énorme. À l’apprentissage des mélanges d’écoles nous avons découvert une belle région et une organisation d’excellence ».
A l’année prochaine
Et « O doctor » de s’enflammer encore quand on lui dit qu’il faudra, par contrat, venir défendre son titre l’année prochaine : « Si le public a été enchanté avec nous, nous l’avons aussi été par lui. Alors nous reviendrons avec un grand plaisir ».
Malaga a pris la troisième place de cette 21e édition qui aura vu une affluence record.
Les clubs locaux ont eu du mal mais cela reste logique. Le FC Dinan-Léhon, trentième, fut le meilleur d’entre eux.
Hors Torcy la meilleure équipe française d’un club pro est Montpellier cinquième.
twitter.com/Memoire2cite #chercheur #archiviste #maquettiste dans l #histoire des #logementssociaux #logement #HLM #logementsocial #Patrimoine @ Les 30 Glorieuses . com et la carte postale.l'UNION SOCIALE POUR L HABITAT fete ses 90 ans "TOUT savoir tout voir, tout connaitre, sur le LOGEMENT SOCIAL des HLM aux HBM avec le Musée HLM" en ligne sur le WEB içi www.banquedesterritoires.fr/lunion-sociale-pour-lhabitat-... … De grandes barres d’immeubles, appelées les grands ensembles, sont le symbole de nos banlieues. Entrée Libre revient sur le phénomène de destruction de ces bâtiments qui reflètent aujourd’hui la misere www.youtube.com/watch?v=mCqHBP5SBiM twitter.com/Memoire2cite/status/1121877386491043840/photo... Beaulieu par son constructeur la Cimaise :" Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.
------------------ Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq --------------
BEAULIEU une barre d’habitation innovante
a l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.
mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons. Conception et réalisation d’un quartier entier. Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine la plus grande barre d'Europe avec 540 appartements à sa livraison mi 1964, les chantiers de l'OPAC devenu Métropole-Habitat, www.ina.fr/video/LY00001263522 », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période. Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.
Un projet pharaonique
Le centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville. L’avis de l’architecte De toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. www.cimaise-architectes.com/realisations/divers/construct... cité HLM labellisée Patrimoine du XXeme siecle -"Il faut bien le dire, avant même d’être livré, Beaulieu est l' un des grands-ensembles, parmis 6 autres qui fasçinait en 1954..En effet c'etait le début de la longue & grande histoire des chantiers de l'Office Public de l'Aménagement et de la Construction* içi, ou à Montreynaud, Solaure, Monthieu etc Bref, les habituels promeneurs du coin genre les "Bois du Four (la Metare, le nom ançien, qui par ailleurs appartenait a Mme de Métarie une veuve riche qui légua son domaine soit "la Métare" à la ville, pour un Franc symbolique à l'epoque et aux CHU anciennement les HCL Hospiçes Civils de la Ville comme à Lyon... (on notera qu il y a des tas de logements en centre ville propriété du CHU)..se rendant le dimanche
dans le Pilat ou à Rochetaillée et sur les collines* alentours (on en a 7 comme a Rome) font un léger détour par le chantier. Ils constatent
alors de visu cet avancement des travaux que la presse qualifie de « belle prouesse ». Le rythme est en effet rapide : « un étage par semaine » pour certaines barres, comme le raconte un témoin. Les « grandes maisons », soient les immeubles de hauteur et nombre de logements importants (IGH), étant alors encore rares dans la
ville, les Stéphanois n’y sont pas habitués@ les H.L.M. Beaulieu est la 1ere cité Stéphanoise de toutes,. Les barres de dix-sept et quatorze niveaux gises respectivement rues Gomy Herriot et de Vlaminck, ainsi que la tour de 22 niveaux au 33 rue Le-Corbusier,
surprennent donc encore pire pour la plus grande barre d'Europe qui arrvera 7 ans plus tard, la Muraille qui mettront certains certaines à la renverse , le gigantisme à l'état brut, du lourd.... La référence qui vient à l’esprit de beaucoup ajoute à la fascination : l’Amérique. « C’est New-York ! c'est tres joile, tres vert... », se rappelle avoir pensé un habitant de la première harre...Mais plus que les immeubles, ce sont surtout les logements qui emportent l’adhésion des « heureux locataires », comme aime à les appeler la presse tout court. La satisfaction procurée aux habitants par l’hygiène et le confort des logements des Grands-Ensembles soit les quartiers NEUF est une information connue, les études de sciences humaines sur le sujet abondent. Aussi, pour le cas de Beaulieu devenu un cas d'Ecole idem pour Montchovet (Beaulieu3) et les transformations de la Marandiniere (Beaulieu2)...
Les entretiens réalisés avec des locataires n’apportent pas sur ce point-ci d’éléments nouveaux :kes premiers motifs de satisfaction invoqués sont, comme pour bien d’autres Grands-Ensembles Français,
l’eau courante, le chauffage central dont sont pourvus les immeubles les plus hauts, les WC intérieurs et salles de bain, l’ensoleillement et la luminosité permis par l’orientation, la hauteur et la disposition des immeubles, les placards et les tout aussi pratiques balcons à parois séchoirs permettant de faire sécher le linge, hiver compris.
Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»
Quelle est l'ampleur des destructions provoquées par la Seconde Guerre mondiale à Saint-Etienne?
La ville subit un important bombardement des Alliés le 26 mai 1944. Celui-ci vise les usines qu'utilisaient les Allemands dans la région pour leur effort de guerre et les noeuds de communication ferroviaire. Comme prévu, la gare de Châteaucreux, les usines de Marais et le tunnel de Tardy sont touchés. Mais les bombes, larguées trop rapidement, atteignent aussi les quartiers du Soleil et de Tardy - notamment les écoles - ainsi que l'église Saint-François, emplie de fidèles. Au total, le bilan est lourd: un millier de morts, 1 500 blessés, 22 000 sinistrés; 800 immeubles ont été plus ou moins détruits. Que prévoit-on pour la reconstruction Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.
Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?
C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée. C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.
Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on passe de 114 logements construits en 1948 à 531 en 1951, 1 085 en 1954, 1 694 en 1957 et même 2 932 en 1959! L'effort est gigantesque. Mais le changement est aussi qualitatif. A la fin des années 1940 et au début des années 1950, la France va connaître une rupture architecturale avec l'apparition des premiers grands ensembles. Saint-Etienne sera l'une des villes symboles de cette rupture.
Comment cette nouvelle architecture est-elle accueillie?
Très favorablement par les classes moyennes, beaucoup moins par les classes populaires.
Cela paraît paradoxal, pour du logement social!
Le paradoxe n'est qu'apparent. On l'a oublié aujourd'hui, mais les premiers grands ensembles sont réservés aux familles de moins de trois enfants ayant des revenus corrects, autrement dit aux classes moyennes. Alors que, depuis la guerre, celles-ci devaient se contenter d'une ou de deux pièces mal équipées, elles se voient soudain proposer des logements spacieux, avec de la verdure, de la lumière, une salle d'eau, des WC, le chauffage central. Cela leur paraît merveilleux! Les pauvres, eux, continuent de s'entasser dans de petits appartements sans confort, quand ce ne sont pas des taudis, en particulier à Tarentaize et à Beaubrun, ou des bidonvilles, du côté de Méons, près des puits de mine et des usines sidérurgiques. Ce n'est que plus tard, à partir des années 1970, que les grands ensembles seront prioritairement réservés aux pauvres et aux familles immigrées. Mais, dans les années 1950, les grands ensembles sont encore synonymes de progrès social. Et même au-delà. On est persuadé que ce nouvel habitat va entraîner le recul de la maladie, de la délinquance, voire de la mésentente entre les époux! Il existe ainsi une «commission du bonheur ou des grands ensembles»! On croit rêver...
C'était l'ambiance de l'époque, avec ses utopies et ses excès. Pour les architectes, si l'un des repoussoirs est le taudis de centre-ville, l'autre est le petit pavillon de banlieue, symbole à leurs yeux de l'individualisme petit-bourgeois, avec ses gaspillages de terrain, son absence d'horizon et son coût pour la communauté...
Quels sont les quartiers typiques de cette période, à Saint-Etienne?
Le premier est constitué par le très bel ensemble de la place du Maréchal-Foch. Il s'agit d'une étape intermédiaire entre l'îlot traditionnel (des immeubles accolés, formant un pâté de maisons) et sa suppression totale. Du côté de la Grand-Rue, plusieurs immeubles constituent encore des semi-îlots. Mais, à l'ouest, deux immeubles sont déjà totalement indépendants: ils sont construits au milieu de la verdure. Et cela, c'est très nouveau. Jusqu'à présent, tous les immeubles érigés à Saint-Etienne, y compris les plus hauts, étaient accolés à d'autres édifices. Cela reste encore, cinquante ans plus tard, l'un des quartiers chics de Saint-Etienne.
L'autre grande opération de l'époque, c'est Beaulieu I.
Evidemment. On est, cette fois, face à un grand ensemble «pur». Le chantier commence en 1953 - il y a juste cinquante ans - et s'achève en 1955. Ce nouveau quartier de 1 264 logements est remarquablement conçu. Non seulement il respecte la topographie des lieux, mais aussi il joue avec elle: les bâtiments sont implantés soit parallèlement, soit perpendiculairement aux courbes de niveau, ce qui met en valeur la colline tout en préservant son sommet. Pour rompre l'anonymat, les entrées, les façades et les balcons sont individualisés. Les logements sont de qualité, et les espaces verts, confiés aux services de la ville, tout simplement magnifiques. Beaulieu produit d'ailleurs un effet prodigieux sur ses premiers habitants.
Son implantation n'est pas non plus le fait du hasard...
En effet. Compte tenu des préoccupations hygiénistes de l'époque, le conseil municipal a choisi ce site «loin des zones minières et industrielles, à l'abri des poussières et des fumées, au climat salubre». Il souligne qu'il ne sera «jamais exploité par les houillères, car son sous-sol est stérile» et qu'il est également «bien relié à Saint-Etienne par le cours Fauriel, la seule avenue large de la ville». C'est véritablement le contre-modèle du taudis. Il a d'ailleurs, lui également, remarquablement bien vieilli.
Etes-vous aussi enthousiaste pour les projets qui ont suivi Beaulieu I?
Hélas!... Beaulieu II-La Marandinière (1957-1959), Beaulieu III-Montchovet (1962-1964), avec la fameuse «muraille de Chine», Beaulieu IV-la Palle (1967-1970) et la Métare (1962-1974), représentant à eux tous quelque 6 000 logements, constituent - à l'exception de la Métare, qui ne comprend que des appartements en copropriété - des échecs complets. Et tragiques. Pourquoi cette différence?
Beaulieu I a bénéficié d'une accumulation de partis pris judicieux qui n'ont pas été appliqués par la suite. Outre la qualité de son architecture et de ses espaces verts, on a évité le zonage bête et méchant, qui allait s'imposer plus tard: les zones commerciales, d'un côté; les tours et les barres d'habitation, d'un deuxième; les emplois, d'un troisième. Enfin, Beaulieu I, réservé presque exclusivement aux classes moyennes, n'a pas connu le processus de dégradation que l'on constatera ailleurs, et dont la destruction de la «muraille de Chine» constituera le symbole.
Qui ont été les grands aménageurs de cette époque?
Parmi les politiques: le maire, Alexandre de Fraissinette (modéré), et son premier adjoint, qui lui succédera à sa mort, le radical Michel Durafour. Parmi les architectes: Edouard Hur et Henri Gouyon, concepteurs de Beaulieu I. Et, bien sûr, l'Etat, qui reste très présent. C'est lui qui, de manière générale, garde la haute main sur l'urbanisme. Beaulieu constitue une opération nationale, décidée de Paris. Cependant, ce qui est remarquable, c'est que, pour Beaulieu I, l'Etat va accepter de composer. Dans quels domaines?
Le ministère de la Reconstruction souhaitait, ici comme ailleurs, que l'opération fût entièrement industrialisée. Autrement dit, que l'on adaptât au bâtiment les méthodes de l'automobile. Les constructions devaient se faire en préfabriqué, et l'on devait se contenter de les monter sur place. Mais, à Saint-Etienne, les architectes, soutenus par le maire, s'opposent à cette directive. Parce qu'ils sont expérimentés, et reconnus, ils vont obtenir gain de cause. Et heureusement.
Y a-t-il eu des projets, conçus à cette époque, qui n'ont pas vu le jour?
A la fin des années 1950, l'Etat fait appel à de grands architectes pour remodeler les villes. A Saint-Etienne, c'est Dufau, distingué par le prix de Rome, qui est choisi. Il présente un projet radical: raser les 70 îlots qui se trouvent à l'est de la Grand-Rue, entre la place du Peuple et Bellevue, et les remplacer par autant de tours et de barres! Son projet, finalement, ne sera appliqué qu'en partie. Au sud, jusqu'à Bellevue, presque tout est démoli, beaucoup de tours et de barres sont construites. Au nord, les démolitions sont également presque systématiques, mais, cette fois, les nouveaux immeubles reproduisent la forme traditionnelle de l'îlot. On détruit également une partie du quartier derrière la grande poste, ainsi que l'ancienne caserne de Tréfilerie et la prison de Bizillon. Le futur Centre-Deux...
C'est cela. Au départ, l'opération se nomme «prison-Tréfilerie», mais les promoteurs, qui ont le sens du commerce, préfèrent la rebaptiser. Ce quartier est conçu comme un centre d'affaires à l'américaine, type la Défense, à Paris, ou la Part-Dieu, à Lyon. On explique aux élus que, s'ils veulent que Saint-Etienne devienne une grande ville, ils doivent la doter d'un centre d'affaires, avec des immeubles atteignant 100 ou 150 mètres de hauteur, comme aux Etats-Unis! Le projet est lancé (en 1969), mais il sera peu à peu amendé, pour tenir compte de la réalité économique, de la montée des oppositions et de l'évolution des mentalités.
Comment l'économie stéphanoise se porte-t-elle alors?
La ville croit encore à l'avenir de la mine et des industries traditionnelles. Cela se comprend: le plan Monnet pour la relance de l'économie française s'appuie sur l'énergie, les transports, les industries lourdes... Bref, tous les points forts de Saint-Etienne, mais ce sera un cadeau empoisonné, car, bercée par cette illusion, la cité s'endort. Quand elle se décidera à moderniser ses structures industrielles, ce sera toujours avec quelques années de retard. Au fond, c'est dans les années 1950 que l'on commet les erreurs qui conduiront, plus tard, au démantèlement des industries locales.
Le secteur tertiaire a-t-il déjà commencé son essor?
Pas encore. Dans les années 1950, Saint-Etienne reste une ville très fortement industrielle. La tertiarisation, avec l'enseignement supérieur, la transformation de l'hôpital en centre hospitalier régional et universitaire et l'essor de Casino, avec les supermarchés et les hypermarchés, ne commencera véritablement que dans les années 1960.
Culturellement, la ville est aussi très active...
Elle est même, à ce moment-là, l'un des hauts lieux de la création culturelle en France, notamment dans les domaines théâtral et artistique. Maurice Allemand fait du musée de Saint-Etienne l'un des plus grands musées d'art moderne en France. Et Jean Dasté propose au public le théâtre moderne. Ce bouillonnement est dû, notamment, à Alexandre de Fraissinette. Comme, après lui, Michel Durafour, il est persuadé que l'avenir de la cité est dans la modernité. Il considère donc qu'elle doit être déclinée dans tous ses aspects: économique, urbanistique et culturel.
La population comprend-elle cette volonté?
Oui et non. Dans les années 1950, il existe un certain consensus, car tout le monde partage la vision d'un avenir meilleur. Mais, en réalité, Fraissinette, et surtout Durafour, sont très décalés. Dans leur obsession d'une ville «blanche», ils refusent en bloc le passé, dont on a heureusement découvert depuis lors les richesses. Ils rêvent d'une ville qui n'existe pas, peuplée d'habitants qui ne ressemblent pas aux Stéphanois réels... C'est d'ailleurs ce qui, plus tard, provoquera la chute de Michel Durafour. --------------
Pour une architecture différente 1975 Réalisation : ministère de l'Équipement , www.dailymotion.com/video/xgj3ex ---
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www.youtube.com/watch?v=lDEQOsdGjsg … Içi la DATAR en 1000 clichés missionphotodatar.cget.gouv.fr/accueil - Notre Paris, 1961, Réalisation : André Fontaine, Henri Gruel Les archives filmées de la cinémathèque du ministère de 1945 à nos jours içi www.dailymotion.com/video/xgis6v?playlist=x34ije
31 TOULOUSE - le Mirail 1962 réalisation : Mario Marret construction de la ville nouvelle Toulouse le Mirail, commentée par l'architecte urbaniste Georges Candilis le film www.dailymotion.com/video/xn4t4q?playlist=x34ije Il existe de nos jours, de nombreux photographes qui privilégient la qualité artistique de leurs travaux cartophiles. A vous de découvrir ces artistes inconnus aujourd’hui, mais qui seront peut-être les grands noms de demain.Les films du MRU - Le temps de l'urbanisme, 1962, Réalisation : Philippe Brunet www.dailymotion.com/video/xgj2zz?playlist=x34ije … … … … -Les grands ensembles en images Les ministères en charge du logement et leur production audiovisuelle (1944-1966) MASSY - Les films du MRU - La Cité des hommes, 1966, Réalisation : Fréderic Rossif, Albert Knobler www.dailymotion.com/video/xgiqzr?playlist=x34i - Les films du MRU @ les AUTOROUTES - Les liaisons moins dangereuses 1972 la construction des autoroutes en France - Le réseau autoroutier 1960 Histoire de France Transports et Communications - www.dailymotion.com/video/xxi0ae?playlist=x34ije … - A quoi servaient les films produits par le MRU ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme ? la réponse de Danielle Voldman historienne spécialiste de la reconstruction www.dailymotion.com/video/x148qu4?playlist=x34ije … -les films du MRU - Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije … - TOUT SUR LA CONSTRUCTION DE NOTRE DAME LA CATHEDRALE DE PARIS Içi www.notredamedeparis.fr/la-cathedrale/histoire/historique... -MRU Les films - Le Bonheur est dans le béton - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie içi www.dailymotion.com/video/x413amo?playlist=x34ije …
archipostcard.blogspot.com/search?updated-max=2009-02-13T... -Créteil.un couple à la niaiserie béate exalte les multiples bonheurs de la vie dans les new G.E. www.youtube.com/watch?v=FT1_abIteFE … La Ville bidon était un téléfilm d'1 heure intitulé La Décharge.Mais la censure de ces temps de présidence Pompidou en a interdit la diffusion télévisuelle - museedelacartepostale.fr/periode-semi-moderne/ - archipostalecarte.blogspot.com/ - Hansjörg Schneider BAUNETZWOCHE 87 über Papiermoderne www.baunetz.de/meldungen/Meldungen_BAUNETZWOCHE_87_ueber_... … - ARCHITECTURE le blog de Claude LOTHIER içi leblogdeclaudelothier.blogspot.com/2006/ - - Le balnéaire en cartes postales autour de la collection de David Liaudet, et ses excellents commentaires.. www.dailymotion.com/video/x57d3b8 -Restaurants Jacques BOREL, Autoroute A 6, 1972 Canton d'AUXERRE youtu.be/LRNhNzgkUcY munchies.vice.com/fr/article/43a4kp/jacques-borel-lhomme-... … Celui qu'on appellera le « Napoléon du prêt-à-manger » se détourne d'ailleurs peu à peu des Wimpy, s'engueule avec la maison mère et fait péricliter la franchise ...
museedelacartepostale.fr/blog/ - museedelacartepostale.fr/exposition-permanente/ - www.queenslandplaces.com.au/category/headwords/brisbane-c... - collection-jfm.fr/t/cartes-postales-anciennes/france#.XGe... - www.cparama.com/forum/la-collection-de-cpa-f1.html - www.dauphinomaniac.org/Cartespostales/Francaises/Cartes_F... - furtho.tumblr.com/archive
le Logement Collectif* 50,60,70's, dans tous ses états..Histoire & Mémoire d'H.L.M. de Copropriété Renouvellement Urbain-Réha-NPNRU., twitter.com/Memoire2cite tout içi sig.ville.gouv.fr/atlas/ZUS/ - media/InaEdu01827/la-creatio" rel="noreferrer nofollow">fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu01827/la-creatio Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : www.dailymotion.com/video/xyjudq?playlist=x34ije la préfabrication en usine www.dailymotion.com/video/xx6ob5?playlist=x34ije , le coffrage glissant www.dailymotion.com/video/x19lwab?playlist=x34ije ... De nouvelles perspectives sont nées dans l'industrie du bâtiment avec les principes de bases de l'industrialisation du bâtiment www.dailymotion.com/video/x1a98iz?playlist=x34ije ,
www.dailymotion.com/video/xk6xui?playlist=x34ije , www.dailymotion.com/video/xk1dh2?playlist=x34ije :- que dire de RICARDO BOFFIL Les meilleures balades que j’ai fait autour de Paris je les ai faites dans l’application Plans. Je ne minore pas le rôle de Google Maps, révolution cartographique sans précédent et sans égale, qui aura réalisé nos fantasmes d’Aleph borgesien — l’idée d’un point d’où le monde serait visible en totalité — parachevé Mercator et permis d’explorer des parties du globe inconnues de Cook, Bougainville et Amundsen. Je n’oublie pas non plus cet exercice de cartographie au collège, qui nous avait démontré que nous étions à 3 cartes IGN de la capitale, et que le tissu urbain était de plus en plus serré à mesure que nous avancions vers le nord. Mais Plan possédait une fonctionnalité inédite, le Flyover, technologie à l’origine destinée aux pilotes de chasse, et qui fournissait des rendus 3D spectaculaire des bâtiments survolés — ainsi que des arbres et des déclivités du sol.
On quittait enfin les champs asphyxiants de la photographie aérienne pour des vues à l’oblique des villes visitées : après un siècle d’écrasement — la photographie aérienne est étroitement contemporaine du bombardement aérien — les villes reprenaient enfin de la vigueur et remontaient vers le ciel. J’avais d’ailleurs effectué moi-même une manœuvre de redressement similaire le jour où j’étais parti, à pied depuis Paris, visiter à Nanterre une exposition sur la photographie aérienne. J’étais à la quête des premières vues de Paris qu’avait prises Nadar depuis un ballon captif. À défaut de ces images, définitivement manquantes, j’avais parcouru, après la Grande Arche, les derniers kilomètres de la Voie Royale, cette prodigieuse perspective historique partie du Louvre — rare exemple de frise chronologique implémentée dans une structure urbanistique.
J’avais en réalité un peu dévié de la ligne droite pour aller voir les tours Nuages d’Emile Aillaud, le Facteur Cheval du modernisme, dont je connaissais déjà les autres chefs d’œuvres d'architecture naïve, les nouilles chinoises de Grigny et le spaghetti de Pantin.
C’était précisément l’usage que j’avais fait de l’application Plans : j’étais parti à la recherche de tous les groupements de tour qu’elle m’avait permis d’identifier, sur mon iPad. Je les faisais tourner avec deux doigts, comme un éclaireur qui marcherait autour d’un donjon, avant de les immortaliser, sous leur plus bel angle, par une capture d’écran.Un éclaireur autour d’un donjon : c’était exactement cela, qui m’avait fasciné. Les guerres territoriales entre Les Tarterêts de Corbeil et les Pyramides d’Evry avaient marqué mon enfance. La notion de cité, telle qu’elle avait été définie, à partir des années 80, dans le second âge des grands ensembles, l’âge du déclin, avait conservé un cachet médiéval. Ici, vivaient guetteurs et trafiquants, condottieres à la tête d’une écurie de go-fast et entretenant des chenils remplis de mâtins rares et dangereux. Ici, l’État central ne remplissait plus ses tâches régaliennes, ici la modernité laïque était entrée en crise. Mais ce que j’avais découvert, en collectionnant ces captures d’écran, c’était à quel point l’urbanisme de la banlieue parisienne était, strictement, d’obédience médiévale. On était passé, d’un seul mouvement et sans même s’en rendre compte de Château-Gaillard à la Cité 4000, du Donjon de Vincennes aux tours de Sarcelles, du château de Gisors aux choux fleurs de Créteil.J’ai même retrouvé la colonne détruite du désert de Retz dans le babylonien château d’eau de Noisiel.
Des hauteurs de Rosny à celle de Chanteloup, du plateau de Clichy à la dalle d’Argenteuil, on avait bizarrement livré des pastiches inconscients de la grande architecture militaire médiévales : les environs de Paris s’étaient retrouvés à nouveau fortifiés, la vieille tour de Montlhéry n’était plus solitaire, et même les immeubles de briques rouges qui avaient succédé à l’enceinte de Thiers évoquaient des murailles.
Et ce que j’avais initialement pris pour des anomalies, des accidents malheureux du post-modernisme, les grand ensembles voûtés et cannelés de Ricardo Boffil, étaient peut-être ce qui exprimait le mieux tout cela — ou du moins qui clôturaient avec le génie le plus clair cet âge des grands ensembles.
Car c’était cela, ces Carcassonnes, ces Acropoles, ces Atlandides qui surnageaient avec le plus de conviction au milieu des captures d’écrans de ruines médiévales qui s’accumulaient sur mon bureau.
Si décriées, dès leur construction, pour leur kitch intolérable ces mégastructures me sont soudain apparues comme absolument nécessaires.
Si les Villes Nouvelles n’ont jamais existé, et persisteront dans la mémoire des hommes, elles le doivent à ces rêveries bizarres et grandioses, à ces hybridations impossibles entre les cités idéales de Ledoux et les utopies corbuséennes.
L’Aqueduc de Saint-Quentin-en-Yvelines, les Espaces d’Abraxas à Marne-la-Vallée, les Colonnes de Saint-Christophe à Cergy-Pontoise sont les plus belles ruines du Grand Paris.
www.franceculture.fr/emissions/la-conclusion/ricardo-bofill immerssion dans le monde du logement social, l'univers des logements sociaux, des H.B.M au H.L.M - Retour sur l'histoire du logement collectif d'apres guerre - En Françe, sur l’ensemble du territoire avant, 4 millions d’immeubles étaient vétustes, dont 500.000 à démolir; au total 10% des logements étaient considérés comme insalubres et 40% réputés d’une qualité médiocre, et surpeuplés. C’est pour ces raisons que, à partir de 1954, le Ministre à la Reconstruction et au Logement évalue le besoin en logements à 2.000.660, devenant ainsi une priorité nationale. Quelques années plus tard à l’appel de l’Abbé Pierre, le journaliste Gilbert Mathieu, en avril 1957 publiait dans le quotidien Le Monde une série d’articles sur la situation dramatique du logement : Logement, notre honte et dénonçant le nombre réduit de logements et leur impitoyable état. Robert Doisneau, Banlieue après-guerre, 1943-1949 /Le mandat se veut triple : reconstruire le parc immobilier détruit durant les bombardements essentiellement du printemps/été 1944, faire face à l’essor démographique et enfin résorber l’habitat insalubre notamment les bidonvilles et les cités de transit. Une ambition qui paraît, dès le début, très élevée, associée à l’industrialisation progressive de la nation entre autre celle du secteur de la construction (voir le vidéo de l’INA du 17 juillet 1957 intitulée La crise du logement, un problème national. Cela dit, l’effort pour l’État français était d’une ampleur jamais vue ailleurs. La double nécessité de construire davantage et vite, est en partie la cause de la forme architecturale excentrique qui constituera les Grands Ensembles dans les banlieues françaises. Cinq caractéristiques permettent de mieux comprendre ce terme : la rupture avec le tissu urbain ancien, un minimum de mille logements, une forme collective (tours, barres) de quatre jusqu’à vingt niveaux, la conception d’appartements aménagés et équipés et enfin une gestion destinée pour la plupart à des bailleurs de logement social.
Pour la banlieue parisienne leur localisation s’est opérée majoritairement dans la périphérie, tandis que dans les autres cas, plus de la moitié a été construite dans le centre ville, le plus souvent à la limite des anciens faubourgs.
Architecture d’Aujourd’hui n° 46, 1953 p. 58-55
C’est le triomphe de l’urbanisme fonctionnel et rationaliste cher à Le Corbusier. Entre 1958 et 1973, cent quatre-vingt-quinze Zones à Urbaniser en Priorité (ZUP) sont créées, comprenant deux millions de logements, essentiellement de type populaire en Habitations à Loyer Modéré (HLM), mais pas exclusivement, remplaçant ainsi les anciennes Habitations à Bon Marché (HBM) crées en 1894. Selon le décret du 27 mars 1954 qui en fixe les conditions d’attribution, les bénéficiaires de la législation n’ont pas changé, ce sont toujours des « personnes peu fortunées vivant principalement de leur salaire », selon la loi Strauss de 1906. En 1953, tous les HLM voient leur surface maximale se réduire, en passant de 71 à 65 mètres carrés pour un quatre pièces. L’accès au logement des familles modestes se fera donc au détriment de la qualité et quantité de l’espace habité pour des familles nombreuses. À ce propos, le sociologue Thierry Oblet a bien montré comment se sont articulées les pensées des architectes et des ingénieurs modernistes, avec leur souci planificateur d’un État interventionniste[8] grâce à l’hégémonie du béton, de la ligne droite et de la standardisation de la construction.
Les exemples de cette architecture restent nombreux : de la Cité de 4000 (pour 4000 logements) à la Courneuve en Seine-Saint-Denis (93) aux logements de 15 étages aux balcons pétales, appelés « Chou-fleur » à Créteil en Val-de Marne (94) dessinés au début des années 70 par l’architecte Gérard Grandval. De la Cité des nuages à Nanterre dans les Hauts-de-Seine (92) à la Grande borne construite entre 1967 et 1971 sur le territoire des communes de Grigny et Viry-Châtillon, dans l’Essonne (91) en passant par la Noé à Chanteloup-les-Vignes dans le département des Yvelines (78) scénario du célèbre film La Haine[9] de Kassovits.
Récemment, plusieurs expositions photographiques se sont
concentrées sur cette nouvelle figure de l’urbanisme fonctionnaliste français de l’après-guerre. Par exemple Toit&Moi, 100 ans de logement social (2012), Les Grands ensembles 1960-2010 (2012) produite par l’école supérieure d’arts & médias de Caen/Cherbourg, selon un projet du Ministère de la Culture et de la Communication. Enfin l’exposition Photographie à l’œuvre, (2011-2012) d’Henri Salesse, photographe du service de l’inventaire du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme et Voyage en périphérie (2012) de Cyrus Cornut.
Il s’agissait là non seulement d’un progrès matériel, mais aussi démocratique, donnant ainsi à chaque citoyen, la possibilité d’accéder à son petit appartement doté de tous les conforts de l’époque. La recherche d’économie et de rapidité dans la conduite des chantiers portent à l’utilisation du béton comme matériel privilégié et à des plans architecturaux aussi simples que possible avec la réalisation de logements standardisés, dont les barres et les tours deviennent les figures principales : Au mitan des années cinquante, apparurent d’étranges formes urbaines. Des immeubles d’habitation de plus en plus longs et de plus en plus hauts, assemblés en blocs qui ne s’intégraient pas aux villes existantes. Ces blocs s’en différenciaient ostensiblement et parfois comme systématiquement, s’en isolaient. Ils semblaient faire ville à part. Surtout ils ne ressemblaient pas à ce qu’on avait l’habitude d’appeler ville. Et leur architecture aussi, qui était tellement déroutante. On les a nommés » grands ensembles. Cité de l’Abreuvoir, Bobigny (93), 2003 (Inventaire général du Patrimoine, Région Ile de France / Stéphane Asseline)
Bref, entre 1946 et 1975 le parc immobilier français passe de 12,7 millions à 21 millions de logements. Environ 8 millions de ceux-ci sont neufs, construits entre 1953-1975 – dont la moitié sous forme de grands ensembles – et près de 80 % des logements grâce à une aide de l’État avec des crédits publics. Le nombre de logements sociaux passe de moins de 500.000 à près de 3 millions, dont 43 % en région parisienne, où la demande est la plus forte[11]. Ce qui témoigne d’un effort énorme. Secrétariat d’État à la Reconstruction et au Logement, Supplément du logement en 1954, cité par Bachmann, C. Le Guennec, N., Violences urbaines…Op.cit, p.24. Alors que l’hiver 1954 est particulièrement rigoureux, l’abbé Pierre lance un appel en faveur des sans-logis et déshérités et organise des collectes de vêtements et de nourriture pour les plus démunis. Cela nous rappelle également que les inégalités sociales restaient particulièrement importantes à l’époque, malgré les débuts de la croissance économique, et que la crise du logement n’était pas encore complètement résolue. Danièle Voldman, La reconstruction des villes françaises de 1940 à 1954 : histoire d’une politique, Paris, L’Harmattan, 1997. Les Actualités françaises, La crise du logement, un problème national, 17 juillet, 1957, in fresques.ina.fr/…/la-crise-du-logement-un-probleme-n…, consulté le 20/02/2014. C’est l’urbaniste Marcel Rotival dans un numéro d’Architecture d’Aujourd’hui de juin 1935 (vol.1, n°6, juin 1935, p.57) qui propose pour la première fois cette terminologie pour désigner les Habitations à Bon Marché (HBM) et leur transformation en Habitations à Loyer Modéré (HLM), par la loi du 21 juillet 1951: « Nous espérons, un jour, sortir des villes comme Paris, non seulement par l’avenue des Champs Elysées, la seule réalisation de tenue sans laquelle Paris n’existerait pas, mais sortir par Belleville, par Charonne, par Bobigny, etc., et trouver harmonieusement disposés le long de larges autostrades, au milieu de grands espaces boisés, de parcs, de stades, de grandes cités claires, bien orientées, lumineusement éclairées par le soleil. » Largement reprise depuis les années 1950 dans le jargon administratif et public, elle apparaît pour la première fois dans un texte officiel qu’en 1973 avec la Circulaire Guichard, alors Ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Equipement, du Logement et du tourisme. Celui-ci met un terme à la politique initiée après-guerre afin « d’empêcher la réalisation des formes d’urbanisation désignées généralement sous le nom de “grands ensembles”, peu conforme aux aspirations des habitants et sans justification économique sérieuse ». Paradoxalement, le terme de grands ensembles s’officialise donc au moment même où ils son mis en question. ZUP est un acronyme qui signifie Zone à Urbaniser en Priorité. Elles ont été créées par le décret N°58-1464 du 31 décembre 1958, afin de planifier et d’encadrer sur le territoire national, le développement urbain pour répondre à la carence de logements face à l’accroissement démographique et favoriser enfin la résorption de l’habitat insalubre. Oblet, Thierry, Gouverner la ville. Les voies urbaines de la démocratie moderne, Paris, PUF, 2003. En particulier par l’intermédiaire de la Société centrale de construction et de la Société centrale pour l’équipement du territoire, créées au milieu des années 1950 en tant que filiales de la Caisse des dépôts et consignations.
Kassovitz, Mathieu, La Haine, France, 1995.
Cornu, Marcel, Libérer la ville, Bruxelles, Casterman, 1977, p.60. Annie Fourcaut « Les banlieues populaires ont aussi une histoire », Projet 4/2007 (n° 299), pp. 7-15.
www.dailymotion.com/video/xw6lak?playlist=x34ije - Rue neuve 1956 la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, villes, villages, grands ensembles réalisation : Jack Pinoteau , Panorama de la reconstruction de la France dix ans après la fin de la seconde guerre mondiale, ce film de commande évoque les villes et villages français détruits puis reconstruits dans un style respectant la tradition : Saint-Malo, Gien, Thionville, Ammerschwihr, etc. ainsi que la reconstruction en rupture avec l'architecture traditionnelle à Châtenay-Malabry, Arles, Saint Étienne, Évreux, Chambéry, Villeneuve-Saint-Georges, Abbeville, Le Havre, Marseille, Boulogne-sur-Mer, Dunkerque. Le documentaire explique par exemple la manière dont a été réalisée la reconstruction de Saint-Malo à l'intérieur des rempart de la vieille ville : "c'est la fidélité à l'histoire et la force du souvenir qui a guidé l'architecte". Dans le même esprit à Gien, au trois quart détruite en 1940, seul le château construit en 1494 pour Anne de Beaujeu, fille aînée de Louis XI, fut épargné par les bombardements. La ville fut reconstruite dans le style des rares immeubles restant. Gien est relevé de ses ruines et le nouvel ensemble harmonieux est appelé « Joyau de la Reconstruction française ». Dans un deuxième temps est abordé le chapitre de la construction des cités et des grands ensembles, de l’architecture du renouveau qualifiée de "grandiose incontestablement". S’il est précisé "on peut aimer ou de ne pas aimer ce style", l’emporte au final l’argument suivant : les grands ensembles, c'est la campagne à la ville, un urbanisme plus aéré, plus vert." les films caravelles 1956, Réalisateur : Jack Pinoteau (connu pour être le metteur en scène du film Le Triporteur 1957 qui fit découvrir Darry Cowl) www.dailymotion.com/video/xuz3o8?playlist=x34ije - www.dailymotion.com/video/xk1g5j?playlist=x34ije Brigitte Gros - Urbanisme - Filmer les grands ensembles 2016 - par Camille Canteux chercheuse au CHS -Centre d'Histoire Sociale - Jeanne Menjoulet - Ce film du CHS daté de 2014 www.youtube.com/watch?v=VDUBwVPNh0s … L'UNION SOCIALE POUR L'HABITAT le Musée des H.L.M. musee-hlm.fr/ union-habitat.org/ - EXPOSITION :LES 50 ANS DE LA RESIDENCe SALMSON POINT-Du JOUR www.salmsonlepointdujour.fr/pdf/Exposition_50_ans.pdf - Sotteville Construction de l’Anjou, le premier immeuble de la Zone Verte sottevilleaufildutemps.fr/2017/05/04/construction-de-limm... - www.20minutes.fr/paris/diaporama-7346-photo-854066-100-an... - www.ladepeche.fr/article/2010/11/02/940025-140-ans-en-arc... dreux-par-pierlouim.over-blog.com/article-chamards-1962-9... missionphoto.datar.gouv.fr/fr/photographe/7639/serie/7695...
Official Trailer - the Pruitt-Igoe Myth: an Urban History
www.youtube.com/watch?v=g7RwwkNzF68 - la dérive des continents youtu.be/kEeo8muZYJU Et la disparition des Mammouths - RILLIEUX LA PAPE & Dynacité - Le 23 février 2017, à 11h30, les tours Lyautey étaient foudroyées. www.youtube.com/watch?v=W---rnYoiQc …
Ginger CEBTP Démolition, filiale déconstruction du Groupe Ginger, a réalisé la maîtrise d'oeuvre de l'opération et produit les études d'exécution. L'emblématique ZUP Pruitt Igoe. vaste quartier HLM (33 barres de 11 étages) de Saint-Louis (Missouri) USA. démoli en 1972 www.youtube.com/watch?v=nq_SpRBXRmE … "Life is complicated, i killed people, smuggled people, sold people, but perhaps in here.. things will be different." ~ Niko Bellic - cité Balzac, à Vitry-sur-Seine (23 juin 2010).13H & Boom, quelques secondes plus tard, la barre «GHJ», 14 étages et 168 lgts, s’effondrait comme un château de cartes sous les applaudissements et les sifflets, bientôt enveloppés dans un nuage de poussière. www.youtube.com/watch?v=d9nBMHS7mzY … - "La Chapelle" Réhabilitation thermique de 667 logements à Andrézieux-Bou... youtu.be/0tswIPdoVCE - 11 octobre 1984 www.youtube.com/watch?v=Xk-Je1eQ5po …
DESTRUCTION par explosifs de 10 tours du QUARTIER DES MINGUETTES, à LYON. les tours des Minguettes ; VG des tours explosant et s'affaissant sur le côté dans un nuage de fumée blanche ; à 13H15, nous assistons à l'explosion de 4 autres tours - St-Etienne Métropole & Montchovet - la célèbre Muraille de Chine ( 540 lgts 270m de long 15 allees) qui était à l'époque en 1964 la plus grande barre HLM jamais construit en Europe. Après des phases de rénovation, cet immeuble a été dynamité en mai 2000 www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc … - PRESQU'ILE DE GENNEVILLIERS...AUJOURD'HUI...DEMAIN... (LA video içi parcours.cinearchives.org/Les-films-PRESQU-ILE-DE-GENNEVI... … ) Ce film de la municipalité de Gennevilliers explique la démarche et les objectifs de l’exposition communale consacrée à la presqu’île, exposition qui se tint en déc 1972 et janvier 1973 - le mythe de Pruitt-Igoe en video içi nextcity.org/daily/entry/watch-the-trailer-for-the-pruitt... … - 1964, quand les loisirs n’avaient (deja) pas le droit de cité poke @Memoire2cite youtu.be/Oj64jFKIcAE - Devenir de la ZUP de La Paillade youtu.be/1qxAhsqsV8M v - Regard sur les barres Zum' youtu.be/Eow6sODGct8 v - MONTCHOVET EN CONSTRUCTION Saint Etienne, ses travaux - Vidéo Ina.fr www.ina.fr/video/LXF99004401 … via - La construction de la Grande Borne à Grigny en 1969 Archive INA www.youtube.com/watch?time_continue=12&v=t843Ny2p7Ww (discours excellent en seconde partie) -David Liaudet : l'image absolue, c'est la carte postale" phothistory.wordpress.com/2016/04/27/david-liaudet-limage... … l'architecture sanatoriale Histoire des sanatoriums en France (1915-1945). Une architecture en quête de rendement thérapeutique..
passy-culture.com/wp-content/uploads/2009/10/Les-15-Glori... … … & hal.archives-ouvertes.fr/tel-01935993/document … explosion des tours Gauguin Destruction par implosion des Tours Gauguin (quartier de La Bastide) de Limoges le dimanche 28 novembre 2010 à 11 heures. Limoges 28/11/2010 youtu.be/cd0ln4Nqqbs … 42 Roanne - c'etait le 11 novembre 2013 - Souvenirs des HLM quartier du Parc... Après presque 45 minutes de retard, les trois dernières tours Chanteclair sont tombées. Le tir prévu etait à 11h14 La vidéo içi www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-les-3-dernieres-... … … www.leprogres.fr/loire/2013/11/01/roanne-une-vingtaine-de... …Besançon (25) - la Nouvelle cité d'HLM La Planoise en 1960 avec la video des premiers habitants de Planoise en juin 1968 www.youtube.com/watch?v=LVKAkJSsCGk … … … archive INA … BEGIN Japanology - les utopies de l'extreme et Kenzo Tange l'architecte japonnais - la video içi www.youtube.com/watch?v=ZlAOtYFE4GM … 71 les Prés Saint-Jean a Chalon-sur-Saône - L'Implosion des 3 tours HLM de 15 etages le 5 décembre 2009 par FERRARI DEMOLITION içi www.youtube.com/watch?v=oDsqOjQJS8E … … … & là www.youtube.com/watch?v=ARQYQLORBBE … 21 DIJON Cité des Grésilles - c'etait l'implosion de la residençe HLM Paul Bur le 19 02 2010 www.youtube.com/watch?v=fAEuaq5mivM … … & la www.youtube.com/watch?v=mTUm-mky-sw … 59 - la technique dite du basculement - Destruction de l'immeuble Rhone a Lille avec pleins de ralentit içi video-streaming.orange.fr/actu-politique/destruction-de-l... … 21 Chenôve (le GRAND DIJON) - Implosion de la barre François RUDE le 3 nov 2010 (top video !!) www.youtube.com/watch?v=ClmeXzo3r5A … …Quand l histoire çe repete et çe repetera autant de fois que nesçessaire quand on voie la quantitée de barres 60 70's...dans le collimateur de l'ANRU2.. 77 MEAUX 3 grandes tours..& puis s'en vont.. Démolition Pierre Collinet Batiment Genêt, Hortensia et Iris - Reportage Journal le 26 juin 2011 youtu.be/fpPcaC2wRIc 71 CHALON SUR SAONE C'etait les Prés Saint Jean le 05 décembre 2009 , pour une implosion hlm hors du commun !!! Caméra mise à même le sol , à une vingtaine de mètres de la première tour .... www.youtube.com/watch?v=kVlC9rYU-gs … 78 les MUREAUX le 3 octobre 2010 ,Les dernières minutes de la Tour Molière aux Mureaux (Yvelines) et sa démolition par semi-foudroyage, filmés du quartier de la Vigne Blanche. www.youtube.com/watch?v=u2FDMxrLHcw …71 MACON LES GRANDES PERRIERES C'etait un 30 juin 2013, avec l'implosion de la barre HLM des Perrières par GINGER www.youtube.com/watch?v=EzYwTcCGUGA … … une video exceptionnelle ! c'etait Le Norfolk Court un ensemble résidentiel, le Norfolk Court, construit dans les années 1970, a été démoli à Glasgow en Ecosse le 9 mai 2016 . Il rate la démolition d'un immeuble au tout dernier moment LES PASSAGERS DU BUS EN PROFITE A SA PLAçE lol www.20minutes.fr/tv/t-as-vu/237077-il-rate-la-demolition-... … 69 LYON Quand La Duchère disait adieu à sa barre 230 le jeudi 2 juillet 2015
www.youtube.com/watch?v=BSwidwLw0NA … www.youtube.com/watch?v=BdLjUAK1oUk … www.youtube.com/watch?v=-DZ5RSLpYrM …Avenir Deconstruction : Foudroyage de 3 barres HLM - VAULX-EN-VELIN (69) www.youtube.com/watch?v=-E02NUMqDno Démolition du quartier Bachelard à Vaulx-en-Velin www.youtube.com/watch?v=DSAEBIYYpXY Démolition des tours du Pré de l'Herpe (Vaulx-en-Velin)
www.youtube.com/watch?v=fG5sD1G-QgU REPORTAGE - En sept secondes, un ensemble de 407 appartements à Vaulx-en-Velin a été détruit à l'explosif dans le cadre du renouvellement urbain... www.youtube.com/watch?v=Js6w9bnUuRM www.youtube.com/watch?v=MCj5D1NhxhI - St-QUENTIN LA ZUP (scic)- NOUMEA - NOUVELLE CALEDONIE historique de la cité Saint-Quentin içi www.agence-concept.com/savoir-faire/sic/
www.youtube.com/watch?v=_Gt6STiH_pM …[VIDEOS] Trois tours de la cité des Indes de Sartrouville ont été démolies dans le cadre du plan de rénovation urbaine du quartier Mille quatre cent soixante-deux détonateurs, 312 kilos le 06/06/2010 à 11 heures. la belle video içi www.youtube.com/watch?v=fY1B07GWyDE VIGNEUX-SUR-SEINE, VOTRE HISTOIRE, VOS SOUVENIRS. içi www.youtube.com/watch?v=8o_Ke26mB48 … , Film des Tours et du quartier de la Croix Blanche, de 1966 à 1968. Les Tours en train de finir de se construire, ainsi que le centre commerciale. Destruction de la Tour 21, pour construire de nouveaux HLM...
42 LOIRE ST-ETIENNE MONTREYNAUD tout une histoire youtu.be/ietu6yPB5KQ - Mascovich & la tour de Montreynaud www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE … -Travaux dalle du Forum à Montreynaud Saint-Etienne www.youtube.com/watch?v=0WaFbrBEfU4 … & içi www.youtube.com/watch?v=aHnT_I5dEyI … - et fr3 là www.youtube.com/watch?v=hCsXNOMRWW4 … - Au nord-Est de St-Etienne, aux confins de la ville, se dresse une colline et sur les pentes de cette colline s’accroche une petite ville, un quartier, un peu à part. Cet endroit niché au milieu de la verdure, c’est le quartier de Montreynaud. www.youtube.com/watch?v=Sqfb27hXMDo&fbclid=IwAR2ALN4d... …Et sinon, avez-vous remarqué au dessus du P de AGIP ? On voit, dans le film, la Tour Réservoir Plein Ciel du quartier de Montreynaud, détruite 3 ans plus tard par foudroyage ! Sûr que @Memoire2cite a des photos du quartier et de la tout à l'époque ! ;-) 42 LOIRE SAINT-ETIENNE MONTREYNAUD LA ZUP Souvenirs avec Mascovich & son clip "la tour de Montreynaud" www.youtube.com/watch?v=p7Zmwn224XE …
- Que de chemin parcouru, Muraille de Chine La Palle Beaulieu jusqu'aux années 90. L habitat se transforme et s adapte aux nouveaux besoins. Autre temps, période d'essor économique et du "vivre ensemble". Merci à @Memoire2cite pour cette introspection du passé! -
Augmented reality @ festival panorama 2012 ... Use your smart phones to discover geolocated videos of the performances with the dancetrchtvARapp on the facades of the theaters ...
Panorama Aumentado!
Concept and development marlon barrios solano
www.dance-tech.net/profiles/blogs/augmented-reality-app-f...
Joshua Li, a software engineer at Space and Naval Warfare Systems Center Pacific, shows off some of the commercially available technology being utilized in the Office of Naval Research (ONR)-sponsored Battlespace Exploitation of Mixed Reality (BEMR) lab located in San Diego, Calif. BEMR is designed to showcase and demonstrate cutting edge low cost commercial mixed reality, virtual reality and augmented reality technologies and to provide a facility where warfighters, researchers, government, industry and academia can collaborate. (U.S. Navy photo by John F. Williams/Released)
Seek XR allows anyone to create, publish, and discover content all in one social location. By publishing content to Seek, you can instantly access the largest AR audience in the world. seek is the world's first and biggest augmented reality community. We empower creators to easily share and engage with their audience. Our goal is to create a central location where anyone can find, create, and explore the infinite possibilities of augmented reality. For more information about augmented reality platforms call @ 866-646-7335.
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The Bayon (Khmer: ប្រាសាទបាយ័ន, Prasat Bayon) is a well-known and richly decorated Khmer temple at Angkor in Cambodia. Built in the late 12th or early 13th century as the official state temple of the Mahayana Buddhist King Jayavarman VII, the Bayon stands at the centre of Jayavarman's capital, Angkor Thom. Following Jayavarman's death, it was modified and augmented by later Hindu and Theravada Buddhist kings in accordance with their own religious preferences.
The Bayon's most distinctive feature is the multitude of serene and massive stone faces on the many towers which jut out from the upper terrace and cluster around its central peak. The temple is known also for two impressive sets of bas-reliefs, which present an unusual combination of mythological, historical, and mundane scenes. The current main conservatory body, the Japanese Government Team for the Safeguarding of Angkor (the JSA) has described the temple as "the most striking expression of the baroque style" of Khmer architecture, as contrasted with the classical style of Angkor Wat.
BUDDHIST SYMBOLISM
The Bayon was the last state temple to be built at Angkor, and the only Angkorian state temple to be built primarily as a Mahayana Buddhist shrine dedicated to the Buddha, though a great number of minor and local deities were also encompassed as representatives of the various districts and cities of the realm. It was the centrepiece of Jayavarman VII's massive program of monumental construction and public works, which was also responsible for the walls and nāga-bridges of Angkor Thom and the temples of Preah Khan, Ta Prohm and Banteay Kdei.
The similarity of the 216 gigantic faces on the temple's towers to other statues of the king has led many scholars to the conclusion that the faces are representations of Jayavarman VII himself. Others have said that the faces belong to the bodhisattva of compassion called Avalokitesvara or Lokesvara. The two hypotheses need not be regarded as mutually exclusive. Angkor scholar George Coedès has theorized that Jayavarman stood squarely in the tradition of the Khmer monarchs in thinking of himself as a "devaraja" (god-king), the salient difference being that while his predecessors were Hindus and regarded themselves as consubstantial with Shiva and his symbol the lingam, Jayavarman as a Buddhist identified himself with the Buddha and the bodhisattva.
ALTERATIONS FOLLOWING THE DEATH OF JAYAVARMAN VII
Since the time of Jayavarman VII, the Bayon has suffered numerous additions and alterations at the hands of subsequent monarchs. During the reign of Jayavarman VIII in the mid-13th century, the Khmer empire reverted to Hinduism and its state temple was altered accordingly. In later centuries, Theravada Buddhism became the dominant religion, leading to still further changes, before the temple was eventually abandoned to the jungle. Current features which were not part of the original plan include the terrace to the east of the temple, the libraries, the square corners of the inner gallery, and parts of the upper terrace.
MODERN RESTAURATION
In the first part of the 20th century, the École Française d'Extrême Orient took the lead in the conservation of the temple, restoring it in accordance with the technique of anastylosis. Since 1995 the Japanese Government team for the Safeguarding of Angkor (the JSA) has been the main conservatory body, and has held annual symposia.
THE SITE
The temple is oriented towards the east, and so its buildings are set back to the west inside enclosures elongated along the east-west axis. Because the temple sits at the exact centre of Angkor Thom, roads lead to it directly from the gates at each of the city's cardinal points. The temple itself has no wall or moats, these being replaced by those of the city itself: the city-temple arrangement, with an area of 9 square kilometres, is much larger than that of Angkor Wat to the south (2 km²). Within the temple itself, there are two galleried enclosures (the third and second enclosures) and an upper terrace (the first enclosure). All of these elements are crowded against each other with little space between. Unlike Angkor Wat, which impresses with the grand scale of its architecture and open spaces, the Bayon gives the impression of being compressed within a frame which is too tight for it.
THE OUTER GALLERY, HISTORICAL EVENTS & EVERYDAY LIFE
The outer wall of the outer gallery features a series of bas-reliefs depicting historical events and scenes from the everyday life of the Angkorian Khmer. Though highly detailed and informative in themselves, the bas-reliefs are not accompanied by any sort of epigraphic text, and for that reason considerable uncertainty remains as to which historical events are portrayed and how, if at all, the different reliefs are related. From the east gopura clockwise, the subjects are:
- in the southern part of the eastern gallery a marching Khmer army (including some Chinese soldiers), with musicians, horsemen, and officers mounted on elephants, followed by wagons of provisions;
- still in the eastern gallery, on the other side of the doorway leading into the courtyard, another procession followed by domestic scenes depicting Angkorian houses, some of the occupants of which appear to be Chinese merchants;
- in the southeast corner pavilion, an unfinished temple scene with towers, apsaras, and a lingam;
- in the eastern part of the southern gallery, a naval battle on the Tonle Sap between Khmer and Cham forces, underneath which are more scenes from civilian life depicting a market, open-air cooking, hunters, and women tending to children and an invalid;
- still in the southern gallery, past the doorway leading to the courtyard, a scene with boats and fisherman, including a Chinese junk, below which is a depiction of a cockfight; then some palace scenes with princesses, servants, people engaged in conversations and games, wrestlers, and a wild boar fight; then a battle scene with Cham warriors disembarking from boats and engaging Khmer warriors whose bodies are protected by coiled ropes, followed by a scene in which the Khmer dominate the combat, followed by a scene in which the Khmer king celebrates a victory feast with his subjects;
- in the western part of the southern gallery, a military procession including both Khmers and Chams, elephants, war machines such as a large crossbow and a catapult;
- in the southern part of the western gallery, unfinished reliefs show an army marching through the forest, then arguments and fighting between groups of Khmers;
- in the western gallery, past the doorway to the courtyard, a scene depicting a melee between Khmer warriors, then a scene in which warriors pursue others past a pool in which an enormous fish swallows a small deer; then a royal procession, with the king standing on an elephant, preceded by the ark of the sacred flame;
- in the western part of the northern gallery, again unfinished, a scene of royal entertainment including athletes, jugglers and acrobats, a procession of animals, ascetics sitting in a forest, and more battles between Khmer and Cham forces;
- in the northern gallery, past the doorway to the courtyard, a scene in which the Khmer flee from Cham soldiers advancing in tight ranks;
- in the northeast corner pavilion, another marching Khmer army;
- in the eastern gallery, a land battle between Khmer and Cham forces, both of which are supported by elephants: the Khmer appear to be winning.
The outer gallery encloses a courtyard in which there are two libraries (one on either side of the east entrance). Originally the courtyard contained 16 chapels, but these were subsequently demolished by the Hindu restorationist Jayavarman VIII.
THE INNER GALLERY
The inner gallery is raised above ground level and has doubled corners, with the original redented cross-shape later filled out to a square. Its bas-reliefs, later additions of Jayavarman VIII, are in stark contrast to those of the outer: rather than set-piece battles and processions, the smaller canvases offered by the inner gallery are decorated for the most part with scenes from Hindu mythology. Some of the figures depicted are Siva, Vishnu, and Brahma, the members of the trimurti or threefold godhead of Hinduism, Apsaras or celestial dancers, Ravana and Garuda. There is however no certainty as to what some of the panels depict, or as to their relationship with one another. One gallery just north of the eastern gopura, for example, shows two linked scenes which have been explained as the freeing of a goddess from inside a mountain, or as an act of iconoclasm by Cham invaders. Another series of panels shows a king fighting a gigantic serpent with his bare hands, then having his hands examined by women, and finally lying ill in bed; these images have been connected with the legend of the Leper King, who contracted leprosy from the venom of a serpent with whom he had done battle. Less obscure are depictions of the construction of a Vishnuite temple (south of the western gopura) and the Churning of the Sea of Milk (north of the western gopura).
THE UPPER TERRACE: & THE 200 FACES OF LOKESVARA
The inner gallery is nearly filled by the upper terrace, raised one level higher again. The lack of space between the inner gallery and the upper terrace has led scholars to conclude that the upper terrace did not figure in the original plan for the temple, but that it was added shortly thereafter following a change in design. Originally, it is believed, the Bayon had been designed as a single-level structure, similar in that respect to the roughly contemporaneous foundations at Ta Prohm and Banteay Kdei.
The upper terrace is home to the famous "face towers" of the Bayon, each of which supports two, three or (most commonly) four gigantic smiling faces. In addition to the mass of the central tower, smaller towers are located along the inner gallery (at the corners and entrances), and on chapels on the upper terrace. "Wherever one wanders," writes Maurice Glaize, the faces of Lokesvara follow and dominate with their multiple presence."
Efforts to read some significance into the numbers of towers and faces have run up against the circumstance that these numbers have not remained constant over time, as towers have been added through construction and lost to attrition. At one point, the temple was host to 49 such towers; now only 37 remain. The number of faces is approximately 200, but since some are only partially preserved there can be no definitive count.
THE CENTRAL TOWER & SANCTUARY
Like the inner gallery, the central tower was originally cruciform but was later filled out and made circular. It rises 43 metres above the ground. At the time of the temple's foundation, the principal religious image was a statue of the Buddha, 3.6 m tall, located in the sanctuary at the heart of the central tower. The statue depicted the Buddha seated in meditation, shielded from the elements by the flared hood of the serpent king Mucalinda. During the reign of Hindu restorationist monarch Jayavarman VIII, the figure was removed from the sanctuary and smashed to pieces. After being recovered in 1933 from the bottom of a well, it was pieced back together, and is now on display in a small pavilion at Angkor.
WIKIPEDIA
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Le marché international de Rungis est un marché d'intérêt national (MIN) situé sur les communes franciliennes de Rungis et de Chevilly-Larue, dans le département du Val-de-Marne.
Il constitue le marché central de Paris, destiné à alimenter les professionnels de toute la région. C'est aussi le plus grand marché de produits frais au monde.
Un pavillon du secteur des fruits et légumes du MIN de Rungis.
Auparavant situées au centre de Paris, dans les anciennes halles centrales construites par Baltard, celles-ci sont devenues trop exiguës du fait de leur activité croissante (augmentation des besoins venant d’une population francilienne qui a considérablement augmenté depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale) et d’une certaine diversification de la demande. De plus, leur situation au cœur de la capitale aurait rendu dans ce cas leur accès problématique.
Rungis, situé à 7 km de Paris, au carrefour de nombreuses voies de communication et possédant de vastes terrains constructibles, correspondait parfaitement aux exigences pour l’établissement d’un marché d’intérêt national (MIN) moderne et fonctionnel.
Ainsi, leurs transferts vers Rungis et La Villette a été décidé dès le 14 mars 1960. Celui-ci fut effectuée entre le 27 février et le 1er mars 1969. Cette opération, considérée à l'époque comme étant le « déménagement du siècle », concerna 20 000 personnes, 1 000 entreprises de gros, 10 000 m3 de matériel, 5 000 tonnes de marchandises et 1 500 camions1. Ce nouveau site ouvre officiellement ses portes les 3 et 4 mars 1969, après 5 ans de travaux.
Il comportait alors :
1 pavillon de la Marée
9 pavillons fruits et légumes
4 pavillons pour les B.O.F (Beurre – Œuf - Fromage)
1 pavillon des fleurs coupées
Le centre administratif
En 1973, le marché de la viande, installé avec les abattoirs de La Villette depuis 1950, rejoint Rungis. En effet, avec le développement du transport frigorifique et la modernisation des abattoirs de province, ces installations sont rapidement devenues inadaptées. Il a été décidé de regrouper tous les produits frais sur Rungis ; les chevillards de la Villette rejoignaient donc le site.
Depuis, de nombreux bâtiments ont été réaménagés, restructurés, modernisés, afin de s’adapter aux évolutions de la consommation, aux besoins des clients et aux nouvelles normes d’hygiène et de sécurité alimentaire. Ainsi, depuis le début du xxie siècle, le pavillon des viandes a été entièrement réhabilité, le nouveau Pavillon de la Marée a été mis en service, le Carreau des producteurs d’Ile-de-France en fruits et légumes a été créé et une nouvelle zone logistique pour les entrepôts, Euro Delta, a vu le jour.
Description[modifier | modifier le code]
Viande au marché de Rungis.
Le marché de Rungis est propriété de l'État, mais géré par une société d'économie mixte, la Semmaris (Société anonyme d'économie mixte d'aménagement et de gestion du marché d’intérêt national de Rungis). La concurrence y est particulièrement forte, en raison du grand nombre de grossistes qui sont au nombre de 1 400.
D’une superficie de 232 ha avec plus de 727 000 m² couverts (dont 470 000 m² de bâtiments à usage commercial), il est approvisionné par camions, trains et avions (qui arrivent par l'aéroport d'Orly situé à proximité) en provenance de toute l'Europe.
Le marché est particulièrement alimenté en légumes, marée, boucherie, etc. Il fonctionne essentiellement tard dans la nuit, vers 3-4 heures ; à 7 heures le matin, tous les rayons sont vides. Avec onze bâtiments, répartis sur 66 hectares, le secteur des fruits et légumes est, de très loin, le plus important. Chaque année, 10 000 prélèvements sont analysés par le laboratoire des services vétérinaires, qui dispose d'appareils sophistiqués pour détecter les hormones dans le veau, les parasites dans le gibier, les toxines et les germes dans le poisson frais ou les conserves.
Quand la fièvre des fêtes de fin d'année s'empare du marché de Rungis, les nuits deviennent frénétiques : dix-huit mille personnes s'agitent pour échanger en quelques semaines des centaines de milliers de tonnes de denrées contre des milliards d'euros.
Pavillon de la marée[modifier | modifier le code]
Le pavillon de la marée du MIN de Rungis.
215 mètres de long
25 entreprises
Les services vétérinaires font des contrôles chaque nuit. Ils émettent des recommandations sur la fraîcheur du poisson. Ils vérifient l'absence de produits non liés à la marée (cigarette, sandwiches).
The Bayon (Khmer: ប្រាសាទបាយ័ន, Prasat Bayon) is a well-known and richly decorated Khmer temple at Angkor in Cambodia. Built in the late 12th or early 13th century as the official state temple of the Mahayana Buddhist King Jayavarman VII, the Bayon stands at the centre of Jayavarman's capital, Angkor Thom. Following Jayavarman's death, it was modified and augmented by later Hindu and Theravada Buddhist kings in accordance with their own religious preferences.
The Bayon's most distinctive feature is the multitude of serene and massive stone faces on the many towers which jut out from the upper terrace and cluster around its central peak. The temple is known also for two impressive sets of bas-reliefs, which present an unusual combination of mythological, historical, and mundane scenes. The current main conservatory body, the Japanese Government Team for the Safeguarding of Angkor (the JSA) has described the temple as "the most striking expression of the baroque style" of Khmer architecture, as contrasted with the classical style of Angkor Wat.
BUDDHIST SYMBOLISM
The Bayon was the last state temple to be built at Angkor, and the only Angkorian state temple to be built primarily as a Mahayana Buddhist shrine dedicated to the Buddha, though a great number of minor and local deities were also encompassed as representatives of the various districts and cities of the realm. It was the centrepiece of Jayavarman VII's massive program of monumental construction and public works, which was also responsible for the walls and nāga-bridges of Angkor Thom and the temples of Preah Khan, Ta Prohm and Banteay Kdei.
The similarity of the 216 gigantic faces on the temple's towers to other statues of the king has led many scholars to the conclusion that the faces are representations of Jayavarman VII himself. Others have said that the faces belong to the bodhisattva of compassion called Avalokitesvara or Lokesvara. The two hypotheses need not be regarded as mutually exclusive. Angkor scholar George Coedès has theorized that Jayavarman stood squarely in the tradition of the Khmer monarchs in thinking of himself as a "devaraja" (god-king), the salient difference being that while his predecessors were Hindus and regarded themselves as consubstantial with Shiva and his symbol the lingam, Jayavarman as a Buddhist identified himself with the Buddha and the bodhisattva.
ALTERATIONS FOLLOWING THE DEATH OF JAYAVARMAN VII
Since the time of Jayavarman VII, the Bayon has suffered numerous additions and alterations at the hands of subsequent monarchs. During the reign of Jayavarman VIII in the mid-13th century, the Khmer empire reverted to Hinduism and its state temple was altered accordingly. In later centuries, Theravada Buddhism became the dominant religion, leading to still further changes, before the temple was eventually abandoned to the jungle. Current features which were not part of the original plan include the terrace to the east of the temple, the libraries, the square corners of the inner gallery, and parts of the upper terrace.
MODERN RESTAURATION
In the first part of the 20th century, the École Française d'Extrême Orient took the lead in the conservation of the temple, restoring it in accordance with the technique of anastylosis. Since 1995 the Japanese Government team for the Safeguarding of Angkor (the JSA) has been the main conservatory body, and has held annual symposia.
THE SITE
The temple is oriented towards the east, and so its buildings are set back to the west inside enclosures elongated along the east-west axis. Because the temple sits at the exact centre of Angkor Thom, roads lead to it directly from the gates at each of the city's cardinal points. The temple itself has no wall or moats, these being replaced by those of the city itself: the city-temple arrangement, with an area of 9 square kilometres, is much larger than that of Angkor Wat to the south (2 km²). Within the temple itself, there are two galleried enclosures (the third and second enclosures) and an upper terrace (the first enclosure). All of these elements are crowded against each other with little space between. Unlike Angkor Wat, which impresses with the grand scale of its architecture and open spaces, the Bayon gives the impression of being compressed within a frame which is too tight for it.
THE OUTER GALLERY, HISTORICAL EVENTS & EVERYDAY LIFE
The outer wall of the outer gallery features a series of bas-reliefs depicting historical events and scenes from the everyday life of the Angkorian Khmer. Though highly detailed and informative in themselves, the bas-reliefs are not accompanied by any sort of epigraphic text, and for that reason considerable uncertainty remains as to which historical events are portrayed and how, if at all, the different reliefs are related. From the east gopura clockwise, the subjects are:
- in the southern part of the eastern gallery a marching Khmer army (including some Chinese soldiers), with musicians, horsemen, and officers mounted on elephants, followed by wagons of provisions;
- still in the eastern gallery, on the other side of the doorway leading into the courtyard, another procession followed by domestic scenes depicting Angkorian houses, some of the occupants of which appear to be Chinese merchants;
- in the southeast corner pavilion, an unfinished temple scene with towers, apsaras, and a lingam;
- in the eastern part of the southern gallery, a naval battle on the Tonle Sap between Khmer and Cham forces, underneath which are more scenes from civilian life depicting a market, open-air cooking, hunters, and women tending to children and an invalid;
- still in the southern gallery, past the doorway leading to the courtyard, a scene with boats and fisherman, including a Chinese junk, below which is a depiction of a cockfight; then some palace scenes with princesses, servants, people engaged in conversations and games, wrestlers, and a wild boar fight; then a battle scene with Cham warriors disembarking from boats and engaging Khmer warriors whose bodies are protected by coiled ropes, followed by a scene in which the Khmer dominate the combat, followed by a scene in which the Khmer king celebrates a victory feast with his subjects;
- in the western part of the southern gallery, a military procession including both Khmers and Chams, elephants, war machines such as a large crossbow and a catapult;
- in the southern part of the western gallery, unfinished reliefs show an army marching through the forest, then arguments and fighting between groups of Khmers;
- in the western gallery, past the doorway to the courtyard, a scene depicting a melee between Khmer warriors, then a scene in which warriors pursue others past a pool in which an enormous fish swallows a small deer; then a royal procession, with the king standing on an elephant, preceded by the ark of the sacred flame;
- in the western part of the northern gallery, again unfinished, a scene of royal entertainment including athletes, jugglers and acrobats, a procession of animals, ascetics sitting in a forest, and more battles between Khmer and Cham forces;
- in the northern gallery, past the doorway to the courtyard, a scene in which the Khmer flee from Cham soldiers advancing in tight ranks;
- in the northeast corner pavilion, another marching Khmer army;
- in the eastern gallery, a land battle between Khmer and Cham forces, both of which are supported by elephants: the Khmer appear to be winning.
The outer gallery encloses a courtyard in which there are two libraries (one on either side of the east entrance). Originally the courtyard contained 16 chapels, but these were subsequently demolished by the Hindu restorationist Jayavarman VIII.
THE INNER GALLERY
The inner gallery is raised above ground level and has doubled corners, with the original redented cross-shape later filled out to a square. Its bas-reliefs, later additions of Jayavarman VIII, are in stark contrast to those of the outer: rather than set-piece battles and processions, the smaller canvases offered by the inner gallery are decorated for the most part with scenes from Hindu mythology. Some of the figures depicted are Siva, Vishnu, and Brahma, the members of the trimurti or threefold godhead of Hinduism, Apsaras or celestial dancers, Ravana and Garuda. There is however no certainty as to what some of the panels depict, or as to their relationship with one another. One gallery just north of the eastern gopura, for example, shows two linked scenes which have been explained as the freeing of a goddess from inside a mountain, or as an act of iconoclasm by Cham invaders. Another series of panels shows a king fighting a gigantic serpent with his bare hands, then having his hands examined by women, and finally lying ill in bed; these images have been connected with the legend of the Leper King, who contracted leprosy from the venom of a serpent with whom he had done battle. Less obscure are depictions of the construction of a Vishnuite temple (south of the western gopura) and the Churning of the Sea of Milk (north of the western gopura).
THE UPPER TERRACE: & THE 200 FACES OF LOKESVARA
The inner gallery is nearly filled by the upper terrace, raised one level higher again. The lack of space between the inner gallery and the upper terrace has led scholars to conclude that the upper terrace did not figure in the original plan for the temple, but that it was added shortly thereafter following a change in design. Originally, it is believed, the Bayon had been designed as a single-level structure, similar in that respect to the roughly contemporaneous foundations at Ta Prohm and Banteay Kdei.
The upper terrace is home to the famous "face towers" of the Bayon, each of which supports two, three or (most commonly) four gigantic smiling faces. In addition to the mass of the central tower, smaller towers are located along the inner gallery (at the corners and entrances), and on chapels on the upper terrace. "Wherever one wanders," writes Maurice Glaize, the faces of Lokesvara follow and dominate with their multiple presence."
Efforts to read some significance into the numbers of towers and faces have run up against the circumstance that these numbers have not remained constant over time, as towers have been added through construction and lost to attrition. At one point, the temple was host to 49 such towers; now only 37 remain. The number of faces is approximately 200, but since some are only partially preserved there can be no definitive count.
THE CENTRAL TOWER & SANCTUARY
Like the inner gallery, the central tower was originally cruciform but was later filled out and made circular. It rises 43 metres above the ground. At the time of the temple's foundation, the principal religious image was a statue of the Buddha, 3.6 m tall, located in the sanctuary at the heart of the central tower. The statue depicted the Buddha seated in meditation, shielded from the elements by the flared hood of the serpent king Mucalinda. During the reign of Hindu restorationist monarch Jayavarman VIII, the figure was removed from the sanctuary and smashed to pieces. After being recovered in 1933 from the bottom of a well, it was pieced back together, and is now on display in a small pavilion at Angkor.
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2 - Time Treasure - www.youtube.com/watch?v=NMQ5DFkU794
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Game, film & music created by GaryPHayes. Some placeholder animations World of Warcraft © Blizzard Entertainment. Tablet featured is the Samsung Galaxy
AUGMENTED BUSINESS RECOGNITION
Accompanying post www.personalizemedia.com/augmented-worlds-video-part-1-re...
Part One of my series of AR future videos 'AUGMENTED WORLDS' looking specifically at the Business Opportunities around type 3 of my AR types - Recognition (Outline). An 'iPad 4.0 - like prototype' stroll around an augmented Sydney. Video, music devised & created by GARY HAYES of MUVEDesign.com
The small and great stellated dodecahedron rendered in Geomag.
To escape the steric problems that occur with the regular sized balls, I've used 5.8" balls for the center vertices (which are false vertices mathematically) and 3/4" balls for the tips of the pentagrams.
Each solid takes 150 bars, and either 12 or 20 inner 5/8" balls and 12 or 20 outer 3/4" balls.
Augmented reality @ festival panorama 2012 ... Use your smart phones to discover geolocated videos of the performances with the dancetrchtvARapp on the facades of the theaters ...
Panorama Aumentado!
Concept and development marlon barrios solano
www.dance-tech.net/profiles/blogs/augmented-reality-app-f...
We create a real-life picture-in-picture feature while capturing the performance in video. Location: Goodfellas in Pekin, IL. Photo: Rob Morrow, Feb 5 2010. Image is © Jury's Out 2010. Unauthorized reproduction is prohibited.
Mosaic Augmented Reality Display
Mosaic, 2010 HD Radical Innovation in Hospitality Competition Winner
Marines train with the Augmented Immersive Team Trainer (AITT) from the Office of Naval Research (ONR) during on-going testing at Quantico, Va. The AITT allows them to transform any location into a dynamic training ground by injecting virtual images, indirect fire effects, aircraft, vehicles, simulated people, etc. onto a real-world view of one's surroundings. (U.S. Navy photo by John F. Williams/Released)
REFF was exhibited at the "Centro Trevi" in Bozen for the first edition of Impronta (del) Digitale 2.0, experimental laboratory on digital cultur of Classe dell'Arte curated by Paolo Fenu and Nicola Mittemphergher.
For the exhibit we created together with Paolo and Nicola a wonderful installation showing the evolution of the REFF initiative, including:
1. the world interactive map showing all the initiatives performed by the REFF fake institution
2. the REFF AR Drug. Presented as a box of medicine, each box contains: 1) a handmade packaging, 2) an information sheet describing the effects of the drug and the ways to use it, 3) 33 different designer AR drugs, created by artists, architects, hackers, activists worldwide, 4) the links to the open source software tools that can be used to create your own drug
3. the Book. A collaborative effort among FakePress Publishing, DeriveApprodi, Art is Open Source, and 60 authors, academics, artists, hackers, journalists, lawyers, activists, designers, performers, architects. The book describes through theory and practices the possibilities, technologies, methodologies and opportunity for critical reinvention of reality
4. The Augmented Nature: the plant of REFF AR Drugs. This augmented reality drugs grows on a plant: an hybrid mutated nature as a signal of the radical mutation we are immersed in (1).
More info on REFF:
Note:
(1) REFF AR Plant was first exposed at Centro Trevi
L'augmentation brusque du volume d'un fluide (eau ou lave) est à l'origine de son expulsion violente. Dans la cheminée d'un geyser, l'eau profonde étant à 128° C (la température est de 200 ° C à 1 000 m) et sous forte pression n'entre pas de suite en ébullition, 135° C étant nécessaires dans ces conditions de pression.
Plus chaude et donc moins dense que l'eau qui la surmonte, cette eau profonde monte graduellement dans la cheminée, mais du coup ses pression et température d'ébullition s'abaissent. Au dessus du niveau où elle bout, elle se vaporise et provoque l'éjection de la colonne d'eau toujours liquide qui la surmonte.
L’éruption du Strokkur s’étalonne sur 5 à 8 minutes : vidange de la colonne d’eau avec sommet en "cuvette" puis remplissage ; l’eau profonde remontant dans le conduit et commençant à se vaporiser, des bulles de gaz apparaissent ; une sorte de dôme d'eau se forme enfin juste avant que l'eau soit expulsée très rapidement en un jet puissant de 20-30 m de hauteur (cf. G Bordin et alii).
The Bayon (Khmer: ប្រាសាទបាយ័ន, Prasat Bayon) is a well-known and richly decorated Khmer temple at Angkor in Cambodia. Built in the late 12th or early 13th century as the official state temple of the Mahayana Buddhist King Jayavarman VII, the Bayon stands at the centre of Jayavarman's capital, Angkor Thom. Following Jayavarman's death, it was modified and augmented by later Hindu and Theravada Buddhist kings in accordance with their own religious preferences.
The Bayon's most distinctive feature is the multitude of serene and massive stone faces on the many towers which jut out from the upper terrace and cluster around its central peak. The temple is known also for two impressive sets of bas-reliefs, which present an unusual combination of mythological, historical, and mundane scenes. The current main conservatory body, the Japanese Government Team for the Safeguarding of Angkor (the JSA) has described the temple as "the most striking expression of the baroque style" of Khmer architecture, as contrasted with the classical style of Angkor Wat.
BUDDHIST SYMBOLISM
The Bayon was the last state temple to be built at Angkor, and the only Angkorian state temple to be built primarily as a Mahayana Buddhist shrine dedicated to the Buddha, though a great number of minor and local deities were also encompassed as representatives of the various districts and cities of the realm. It was the centrepiece of Jayavarman VII's massive program of monumental construction and public works, which was also responsible for the walls and nāga-bridges of Angkor Thom and the temples of Preah Khan, Ta Prohm and Banteay Kdei.
The similarity of the 216 gigantic faces on the temple's towers to other statues of the king has led many scholars to the conclusion that the faces are representations of Jayavarman VII himself. Others have said that the faces belong to the bodhisattva of compassion called Avalokitesvara or Lokesvara. The two hypotheses need not be regarded as mutually exclusive. Angkor scholar George Coedès has theorized that Jayavarman stood squarely in the tradition of the Khmer monarchs in thinking of himself as a "devaraja" (god-king), the salient difference being that while his predecessors were Hindus and regarded themselves as consubstantial with Shiva and his symbol the lingam, Jayavarman as a Buddhist identified himself with the Buddha and the bodhisattva.
ALTERATIONS FOLLOWING THE DEATH OF JAYAVARMAN VII
Since the time of Jayavarman VII, the Bayon has suffered numerous additions and alterations at the hands of subsequent monarchs. During the reign of Jayavarman VIII in the mid-13th century, the Khmer empire reverted to Hinduism and its state temple was altered accordingly. In later centuries, Theravada Buddhism became the dominant religion, leading to still further changes, before the temple was eventually abandoned to the jungle. Current features which were not part of the original plan include the terrace to the east of the temple, the libraries, the square corners of the inner gallery, and parts of the upper terrace.
MODERN RESTAURATION
In the first part of the 20th century, the École Française d'Extrême Orient took the lead in the conservation of the temple, restoring it in accordance with the technique of anastylosis. Since 1995 the Japanese Government team for the Safeguarding of Angkor (the JSA) has been the main conservatory body, and has held annual symposia.
THE SITE
The temple is oriented towards the east, and so its buildings are set back to the west inside enclosures elongated along the east-west axis. Because the temple sits at the exact centre of Angkor Thom, roads lead to it directly from the gates at each of the city's cardinal points. The temple itself has no wall or moats, these being replaced by those of the city itself: the city-temple arrangement, with an area of 9 square kilometres, is much larger than that of Angkor Wat to the south (2 km²). Within the temple itself, there are two galleried enclosures (the third and second enclosures) and an upper terrace (the first enclosure). All of these elements are crowded against each other with little space between. Unlike Angkor Wat, which impresses with the grand scale of its architecture and open spaces, the Bayon gives the impression of being compressed within a frame which is too tight for it.
THE OUTER GALLERY, HISTORICAL EVENTS & EVERYDAY LIFE
The outer wall of the outer gallery features a series of bas-reliefs depicting historical events and scenes from the everyday life of the Angkorian Khmer. Though highly detailed and informative in themselves, the bas-reliefs are not accompanied by any sort of epigraphic text, and for that reason considerable uncertainty remains as to which historical events are portrayed and how, if at all, the different reliefs are related. From the east gopura clockwise, the subjects are:
- in the southern part of the eastern gallery a marching Khmer army (including some Chinese soldiers), with musicians, horsemen, and officers mounted on elephants, followed by wagons of provisions;
- still in the eastern gallery, on the other side of the doorway leading into the courtyard, another procession followed by domestic scenes depicting Angkorian houses, some of the occupants of which appear to be Chinese merchants;
- in the southeast corner pavilion, an unfinished temple scene with towers, apsaras, and a lingam;
- in the eastern part of the southern gallery, a naval battle on the Tonle Sap between Khmer and Cham forces, underneath which are more scenes from civilian life depicting a market, open-air cooking, hunters, and women tending to children and an invalid;
- still in the southern gallery, past the doorway leading to the courtyard, a scene with boats and fisherman, including a Chinese junk, below which is a depiction of a cockfight; then some palace scenes with princesses, servants, people engaged in conversations and games, wrestlers, and a wild boar fight; then a battle scene with Cham warriors disembarking from boats and engaging Khmer warriors whose bodies are protected by coiled ropes, followed by a scene in which the Khmer dominate the combat, followed by a scene in which the Khmer king celebrates a victory feast with his subjects;
- in the western part of the southern gallery, a military procession including both Khmers and Chams, elephants, war machines such as a large crossbow and a catapult;
- in the southern part of the western gallery, unfinished reliefs show an army marching through the forest, then arguments and fighting between groups of Khmers;
- in the western gallery, past the doorway to the courtyard, a scene depicting a melee between Khmer warriors, then a scene in which warriors pursue others past a pool in which an enormous fish swallows a small deer; then a royal procession, with the king standing on an elephant, preceded by the ark of the sacred flame;
- in the western part of the northern gallery, again unfinished, a scene of royal entertainment including athletes, jugglers and acrobats, a procession of animals, ascetics sitting in a forest, and more battles between Khmer and Cham forces;
- in the northern gallery, past the doorway to the courtyard, a scene in which the Khmer flee from Cham soldiers advancing in tight ranks;
- in the northeast corner pavilion, another marching Khmer army;
- in the eastern gallery, a land battle between Khmer and Cham forces, both of which are supported by elephants: the Khmer appear to be winning.
The outer gallery encloses a courtyard in which there are two libraries (one on either side of the east entrance). Originally the courtyard contained 16 chapels, but these were subsequently demolished by the Hindu restorationist Jayavarman VIII.
THE INNER GALLERY
The inner gallery is raised above ground level and has doubled corners, with the original redented cross-shape later filled out to a square. Its bas-reliefs, later additions of Jayavarman VIII, are in stark contrast to those of the outer: rather than set-piece battles and processions, the smaller canvases offered by the inner gallery are decorated for the most part with scenes from Hindu mythology. Some of the figures depicted are Siva, Vishnu, and Brahma, the members of the trimurti or threefold godhead of Hinduism, Apsaras or celestial dancers, Ravana and Garuda. There is however no certainty as to what some of the panels depict, or as to their relationship with one another. One gallery just north of the eastern gopura, for example, shows two linked scenes which have been explained as the freeing of a goddess from inside a mountain, or as an act of iconoclasm by Cham invaders. Another series of panels shows a king fighting a gigantic serpent with his bare hands, then having his hands examined by women, and finally lying ill in bed; these images have been connected with the legend of the Leper King, who contracted leprosy from the venom of a serpent with whom he had done battle. Less obscure are depictions of the construction of a Vishnuite temple (south of the western gopura) and the Churning of the Sea of Milk (north of the western gopura).
THE UPPER TERRACE: & THE 200 FACES OF LOKESVARA
The inner gallery is nearly filled by the upper terrace, raised one level higher again. The lack of space between the inner gallery and the upper terrace has led scholars to conclude that the upper terrace did not figure in the original plan for the temple, but that it was added shortly thereafter following a change in design. Originally, it is believed, the Bayon had been designed as a single-level structure, similar in that respect to the roughly contemporaneous foundations at Ta Prohm and Banteay Kdei.
The upper terrace is home to the famous "face towers" of the Bayon, each of which supports two, three or (most commonly) four gigantic smiling faces. In addition to the mass of the central tower, smaller towers are located along the inner gallery (at the corners and entrances), and on chapels on the upper terrace. "Wherever one wanders," writes Maurice Glaize, the faces of Lokesvara follow and dominate with their multiple presence."
Efforts to read some significance into the numbers of towers and faces have run up against the circumstance that these numbers have not remained constant over time, as towers have been added through construction and lost to attrition. At one point, the temple was host to 49 such towers; now only 37 remain. The number of faces is approximately 200, but since some are only partially preserved there can be no definitive count.
THE CENTRAL TOWER & SANCTUARY
Like the inner gallery, the central tower was originally cruciform but was later filled out and made circular. It rises 43 metres above the ground. At the time of the temple's foundation, the principal religious image was a statue of the Buddha, 3.6 m tall, located in the sanctuary at the heart of the central tower. The statue depicted the Buddha seated in meditation, shielded from the elements by the flared hood of the serpent king Mucalinda. During the reign of Hindu restorationist monarch Jayavarman VIII, the figure was removed from the sanctuary and smashed to pieces. After being recovered in 1933 from the bottom of a well, it was pieced back together, and is now on display in a small pavilion at Angkor.
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FinalProject :: Computers for the Rest of You (ROY)
FinalProject :: Materials Class
Scale model of the augmented massage table
FinalProject :: Computers for the Rest of You (ROY)
FinalProject :: Materials Class
Scale model of the augmented massage table
The floor contained an interactive projected screen containing a variety of 3D animated fish. According to your movements the fishes behaviour would change.
It was simple but brilliant!
… some things may be seemingly transient, but the stories they tell, last forever …
This pair of mixed media earrings is made out of resin-ed paper in the form of old mail, 12/16 gauge brass wires augmented by fire and Pink Tourmaline beads.
* the earrings are approx 3.25 inches in length (including earwires)
* the earwires are 18 gauge brass wires handformed and also augmented by fire
FinalProject :: Computers for the Rest of You (ROY)
FinalProject :: Materials Class
Scale model of the augmented massage table
Under the direction of Dr. Vineet Kamat, University of Michigan Civil and Environmental Engineering students develop software and hardware used in Visualization of Engineering Graphics in Augmented Reality for Integrated and Automated Project Processes.
Dr. Hyounseok Moon, Alireza Golabchi, Sanat Talmaki, Dr. Vineet Kamat, Armaan Kamat, Suyang Dong, Manu Akula
June 21, 2012
Image by Laura Rudich | Michigan Engineering
Augmented Reality Sandbox!
MAKE.PLAY.READ.LEARN. Summer @ the Library has been a huge success! To celebrate, the Downtown Library threw a party for teens , tweens and kiddos on Saturday, July 19th.
Teens and Tweens joined us for a Microcon afternoon filled with Disney, Tim Burton, My Little Pony, and Comics/Anime/Manga!
Cosplayers galore for photo opps! Terrific teens came in Costume and enjoyed Free Food, Prizes, Crafts and Activities all afternoon!
Asami, the Japanese Outreach Coordinator from UTC taught an E-tagami Class.
The littlest makers/readers/learners/players enjoyed special story times, a magic show form a real magician, lots of hands-on science experiments and art projects, and the debut of our new augmented reality sandbox!