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A lo lejos y hacia las nubes del amancer.....

Source:

www.pressegauche.org/Trump-et-le-Moyen-Orient-que-nous-re...

 

Trump et le Moyen-Orient : que nous réserve l’avenir ?

 

mardi 19 novembre 2024 / DE : Gilbert Achcar

 

Benjamin Netanyahu espérait la victoire de Trump avec impatience et a fait tout ce qu’il pouvait pour y contribuer. Alors, qu’est-ce qui nous attend maintenant que le retour de Trump à la Maison Blanche est confirmé ?

 

13 novembre 2024

Gilbert Achcar

Professeur, SOAS, Université de Londres

tiré de Mediapart

blogs.mediapart.fr/gilbert-achcar/blog/131124/trump-et-le...

 

photo Serge d’Ignazio

 

La victoire de Trump dans la course à la présidence des États-Unis est une catastrophe majeure pour les peuples de la région, en plus de l’énorme Nakba qui fait rage depuis le « déluge d’Al-Aqsa » dirigé par le Hamas. Benjamin Netanyahu espérait cette victoire avec impatience et a fait tout ce qu’il pouvait pour y contribuer, que ce soit en incitant ses alliés de droite aux États-Unis ou en refusant d’accorder à Joe Biden et à la campagne présidentielle démocrate la trêve à Gaza qu’ils espéraient afin de leur fournir un argument électoral dont ils avaient désespérément besoin. Alors, qu’est-ce qui nous attend maintenant que le retour de Trump à la Maison Blanche est confirmé ?

 

Les informations disponibles – compte tenu du comportement de Trump au cours de son premier mandat présidentiel, des positions qu’il a exprimées lors de sa récente campagne et de ce qui a fuité dans ses cercles – indiquent qu’il est désireux d’apparaître comme un leader qui réalise la « paix », contrairement à Biden décrit comme un perpétuateur de guerre, incapable de résoudre les conflits. Alors que Trump cherche à mettre fin aux guerres dans lesquelles il ne voit pas l’intérêt de l’Amérique, il reste désireux d’atteindre ses objectifs dans les cas où il voit un intérêt certain. Ainsi, alors qu’il négociait avec les talibans au cours de son précédent mandat en vue du retrait des forces américaines d’Afghanistan et qu’il souhaitait retirer la couverture militaire américaine pour les Kurdes en Syrie à la demande du président turc Erdogan, il soutenait la présence continue des forces de son pays en Irak, exprimant effrontément son intérêt pour la richesse pétrolière de ce pays.

 

Et bien qu’il ait exprimé son ambition de conclure « l’accord du siècle » sur la Palestine, la « paix » qu’il a proposée était si inique que Mahmoud Abbas lui-même l’a rejetée, tandis que Netanyahou l’a chaleureusement approuvée, étant convaincu qu’aucune partie palestinienne ne pourrait accepter les termes d’un tel « accord ». Netanyahou espérait ainsi que le rejet palestinien de cette offre « généreuse » légitimerait l’accaparement par l’État sioniste de la terre de Palestine à l’ouest du Jourdain. Cela s’ajoutait au fait que Trump a abandonné en faveur d’Israël les positions politiques officielles qui ont longtemps été celles des États-Unis au sujet du conflit régional, que ce soit par son approbation officielle de l’annexion par Israël du plateau du Golan syrien occupé ou par le transfert de l’ambassade des États-Unis à Jérusalem et la fermeture du consulat américain pour les territoires occupés de 1967, le tout indiquant un soutien à l’expansionnisme sioniste. Sans oublier l’adhésion de Trump à la position d’Israël envers l’Iran, son retrait de l’accord nucléaire que l’administration de son prédécesseur Barack Obama avait conclu avec Téhéran après de longues et difficiles négociations, et son escalade de la provocation militaire en assassinant le commandant de la Force Al-Qods des Gardiens de la révolution iraniens, Qassem Soleimani, etc.

 

Trump n’a aucun intérêt à soutenir l’Ukraine et préférerait parvenir à un accord avec Vladimir Poutine qui satisferait le président russe, qu’il admire pour sa personnalité réactionnaire tout en désirant investir dans son pays. Il ne voit pas d’intérêt à l’alliance avec les pays européens à moins qu’ils ne fassent plus de concessions économiques aux États-Unis et n’augmentent leurs efforts militaires pour s’impliquer de plus en plus dans la confrontation américaine avec la Chine, que Trump considère comme le principal concurrent de l’Amérique (alors que l’hostilité envers la Chine est un pilier fondamental de l’idéologie de la droite impérialiste américaine qu’il dirige). En même temps, ce n’est un secret pour personne que Trump considère le pétrole et l’argent du pétrole des monarchies arabes du Golfe comme un intérêt suprême des États-Unis et l’État sioniste comme un allié inestimable pour son rôle de chien de garde de cet intérêt suprême. C’est parce que l’intérêt dans son sens le plus grossier – dans lequel l’intérêt personnel et familial prévaut sur toute autre considération, et dans lequel « l’intérêt de l’Amérique » est conçu dans son sens le plus étroit et le plus immédiat, en sus du désir de flatter les instincts les plus primitifs du public (un comportement généralement qualifié de « populiste » ou de « démagogique ») – cet intérêt est ce qui régit le comportement de Donald Trump, et rien d’autre.

 

On peut donc s’attendre que, sur le Liban, il adopte la position de l’administration Biden cherchant à mettre fin à la guerre en cours à des conditions qui satisfassent Israël, sur la base du retrait des forces du Hezbollah au nord de la zone stipulée dans la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l’ONU de 2006, et du remplacement progressif des forces du parti dans cette zone ainsi que des forces d’occupation israéliennes par l’armée régulière libanaise, à condition que des garanties soient fournies sous supervision des États-Unis quant au non-retour du parti dans la zone susmentionnée et le non-réapprovisionnement de son arsenal de missiles par l’Iran à travers le territoire syrien. Cela s’accompagnerait d’un renforcement de l’armée libanaise tel que l’équilibre des forces au Liban puisse changer, de façon à permettre à l’État dominé par les États-Unis de l’emporter sur le parti dominé par l’Iran. Toutefois, la conclusion de cet accord est actuellement soumise à l’approbation de l’Iran, qui le refuse toujours, car Téhéran préfère que le Hezbollah reste dans la mêlée plutôt que de le laisser en sortir et être ainsi empêché de prendre part à la confrontation à venir entre l’Iran et l’alliance américano-israélienne.

 

Netanyahu est convaincu que Trump sera plus disposé que Biden à s’engager dans cette confrontation. Il a déjà envoyé un représentant pour négocier avec le président élu sur les prochaines mesures envers l’Iran. Trump consultera également ses amis du Golfe, qui espèrent que l’Iran recevra un coup décisif, en dépit de la bienveillance envers Téhéran et de l’empathie pour le peuple de Gaza qu’ils expriment. Par de telles positions, ils essaient de contrer la surenchère iranienne concernant la Palestine et de convaincre Téhéran d’épargner leurs installations pétrolières, que Téhéran a menacé de frapper si ses installations nucléaires étaient attaquées. La probabilité d’une attaque conjointe américano-israélienne contre l’Iran est devenue très élevée avec le retour de Trump à la Maison Blanche. Il cherchera certainement à rétablir l’hégémonie ferme des États-Unis sur la région du Golfe, affaiblie pendant les ères Obama et Biden.

 

En ce qui concerne la Palestine, Trump est susceptible de soutenir l’annexion officielle par Israël d’une partie importante de la Cisjordanie et de Gaza (la partie nord de la bande de Gaza en particulier, où un « nettoyage ethnique » est actuellement mené par l’armée sioniste) en vue de l’expansion de ses colonies en Cisjordanie et la reprise de leur établissement à Gaza. Israël gardera aussi les couloirs stratégiques qui lui permettent de contrôler les concentrations restantes de population palestinienne dans les deux territoires occupés. Comme dans « l’accord du siècle » élaboré par le gendre de Trump, Jared Kushner, et annoncé au début de 2020, la transaction comprendra probablement une « compensation » offerte aux Palestiniens en échange de ce qui leur est pris et officiellement annexé au territoire israélien, consistant en des zones dans le désert du Néguev. Il y a huit mois, Kushner exprimait l’opinion qu’Israël devrait s’emparer de la partie nord de la bande de Gaza et investir dans le développement de son « front de mer », tout en transférant ses résidents palestiniens dans le désert du Néguev. Une fois de plus, cet « accord » qui prend le peuple palestinien pour des imbéciles ne trouvera aucun acteur palestinien, ayant la moindre crédibilité, prêt à l’accepter. Israël se sentira ainsi autorisé à l’imposer unilatéralement par la force, tandis que l’extrême droite sioniste continuera d’accentuer sa pression pour l’achèvement de la Nakba de 1948 par l’annexion de tout le territoire palestinien entre le fleuve et la mer et le déracinement de la plupart de ses habitants.

 

Traduction de ma tribune hebdomadaire dans le quotidien de langue arabe, Al-Quds al-Arabi, basé à Londres. Cet article est paru le 12 novembre en ligne et dans le numéro imprimé du 13 novembre. Vous pouvez librement le reproduire en indiquant la source avec le lien correspondant.

 

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Lucky to get a clear shot of the floor

2015.10.25 - НЕЛЛИ БЕН ХАЮН: ИГРА В КАТАСТРОФЫ Q&A

Downtown Chicago

A newly born Emperor Tamarin in the Clore Tainforest Lookout at ZSL London Zoo.

A view of the water front and downtown SF from the island.

Chasing a Dream

9 May 2019, Venice (Italy)

©Copyright for the photos: UNESCO Venice Office

Just one of Sandy's many orange cats. There is also a tortoiseshell cat who is 18 years old named Dude, short for Little Dude because she was only 4lbs when they got her at the shelter. It's just a coincidence that they are all orange, and none of them are related. Sandy and her husband just love cats and are always giving needy ones a home. Sandy thinks that I went to her apartment to help her start up her new sewing machine, but I really went to take pictures of her cats.

Friday, November 27, 2015 EDUCATION Minister Ronald Thwaites has praised the Education System Transformation Programme (ESTP), which he said is progressing well. “…Every index of progress that we want to measure is going in the right direction. We have a long way to go, but we are on the correct path,” Thwaites told a signing […]

  

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Sweden a team sport.

 

Election year in Sweden. More info here.

A dog eats the goat guts of a slaughtered goat out of a wheel barrel.

Members of the 348th Engineer Company identify, inspect and tie knots used in sapper operations during the 2014 Sapper Stakes that pit engineer unit teams against each other as they vie to win the inaugural competition.

Abstract LabRat cuts it close.

Macro of a carnation in a beautiful bunch of flowers.

Old art work from when I was a teenager

After a tidy up session up the loft I uncovered a load of old drawings, sketches, finished and half finished work

For a car park, this was a pretty little spot.

 

Seka Kostrzewa heads to the finish as our 4th scorer. He has really come through for us today.

Beetle baked the brownie herself

Title courtesy: Virginia Woolf. 'A room of one's own' is an essay by Virginia Woolf

 

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Carrick-a-Rede rope bridge across to Carrick Island (on the right-side of the picture), near the small town of Ballintoy, Co. Antrim, Northern Ireland.

Son plumage varie en fonction de la saison et du sexe. En plumage hivernal, les mâles et femelles sont gris chamois avec des stries sombres sur la poitrine et le dos alors qu’en plumage d’été le mâle se distingue nettement par son plumage de couleur rouge brique flamboyant alors que celui de la femelle est beaucoup plus pâle.

 

Cet oiseau est un très grand migrateur comme l’atteste un individu bagué qui a parcouru 11800 km en 8 jours, ou un jeune âgé de 5 mois vient de battre le record du monde de la migration sans escale en réalisant la bagatelle de 13 560 km en 11 jours de vol non-stop entre l’Alaska et la Tasmanie.

 

La barge rousse niche dans la toundra et les tourbières du nord de la taïga. Elle hiverne en Europe et en Afrique occidentale le long des côtes : estuaires sablonneux, baies peu profondes.

 

La Barge rousse se nourrit dans les eaux peu profondes de vers marins, moules, escargots, larves, coléoptères qu’elle trouve en enfonçant son long bec sensible dans la boue ou le sable.

A Mauá participou, de 24 a 27 de novembro de 2022, do “Congresso SAE Brasil 2022 - O Movimento é Inerente à Vida”, no Pavilhão da Bienal no Ibirapuera.

Os participantes puderam conferir o trabalho do nosso time de Design na construção de um veículo, desde a concepção 2D até a construção do protótipo em Clay. Houve, também, exposição de projetos dos alunos do 3.° ano de Design e dos veículos das entidades acadêmicas, como Baja Mauá, AeroDesign Mauá, Mauá Racing e Mauá Racing H2.

Ainda ocorreram palestras com o Reitor do IMT e professores da casa.

Our Model shoot during Studio B61's Mix and Mingle Event. Do check them out, very talented and friendly team!

 

Also Check out ArohaOra who is a very talented model

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