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La place des Arcades, vue depuis le passage situé sous la maison dite "du Prince Noir", où celui-ci (Édouard de Woodstock, fils du roi Edouard III d'Angleterre, est supposé avoir séjourné pendant la guerre de cent ans)
Comme dans de nombreuses bastides, vous la trouverez à l’angle nord-est de la place centrale entourée de « cornières » (ce sont les couverts en Guyenne).
Ce qui reste de l’église originelle bâtie en 1250, la base de ses murs et le portail typique du gothique agenais. Il faut dire que sa situation intégrée à l'enceinte de la ville lui créa quelques désagréments lors des différents conflits et en particulier des guerres de religion. Puis, le manque d’entretien du aux difficultés économiques du XVIIe siècle firent que les voûtes de la nef s’effondrèrent ! L'église n’est restaurée qu’en 1715. Le clocher prend son aspect de postiche de fortification en 1923. Ca ne l’empêche pas d’être foudroyé à peine reconstruit ! . Le chevet est ajouré pour y placer des vitraux. le vitrail du haut – est l’œuvre d'un maître verrier de Bordeaux -et les trois du bas en dalle de verre réalisés par les Pères Bénédictins d'Encalcat dans le Tarn.
30ème Fêtes Médiévales de Monflanquin – 13-15 août 2022
Y’a du « beau » monde sur les balcons….de la Place des Arcades
On découvrira 22 personnages historiques et fantastiques peints à la main et avec le cœur…sur bois chantourné (de 170 à 200 cm de hauteur.)
Installation et peintures de CAROLUS (Carol GERTSCH ), bâtisseur d’images qui avait peint en 1985 le grand trompe-l’œil à l’entrée de la bastide ( Aliénor et le Prince Noir) – www.carolus52.com
On y reconnaitra : Saint-André, Alphonse de Poitiers, Aliénor d’Aquitaine, le Prince Noir, 4 chevaliers Templier et quelques autres illustres personnages, Léonard et Mona, Nostradamus, Gandalf le magicien, un pèlerin de St-Jacques, une fileuse (Dame Blanche ou Reine Berthe) sans oublier un gueux à la jambe de bois, un pauvre sans dent et une mendiante……un bonhomme de Noël et un personnage vivant, Janouille … et en clin d’œil à son travail sur la Pomme, le célèbre fruit défendu…des moines à tête de pomme! Un fou de la Reine ou la folle du Roi….
Comme dans de nombreuses bastides, vous la trouverez à l’angle nord-est de la place centrale entourée de « cornières » (ce sont les couverts en Guyenne).
Ce qui reste de l’église originelle bâtie en 1250, la base de ses murs et le portail typique du gothique agenais. Il faut dire que sa situation intégrée à l'enceinte de la ville lui créa quelques désagréments lors des différents conflits et en particulier des guerres de religion. Puis, le manque d’entretien du aux difficultés économiques du XVIIe siècle firent que les voûtes de la nef s’effondrèrent ! L'église n’est restaurée qu’en 1715. Le clocher prend son aspect de postiche de fortification en 1923. Ca ne l’empêche pas d’être foudroyé à peine reconstruit ! . Le chevet est ajouré pour y placer des vitraux. le vitrail du haut – est l’œuvre d'un maître verrier de Bordeaux -et les trois du bas en dalle de verre réalisés par les Pères Bénédictins d'Encalcat dans le Tarn.