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This is in Bremen in the. Church „ Unser Lieben Frauen“ where the light is filtert by marvellous glas stained windows by Alfred Manessier
Excerpt from fribourgtourisme.ch:
According to legend, if its 74 m tower is unfinished it is because there was no money left. A jewel of Gothic architecture, the Cathedral of St-Nicholas was built between 1283 and 1490.
It is possible to climb the 365 steps to the top of the 74 m high tower and discover the entire town. St Nicholas Cathedral Fribourg has a rich architectural setting. The main portal is adorned with a low relief depicting the Last Judgement.
The stained-glass windows, created by the Polish painter Jozef Mehoffer between 1896 and 1936, constitutes one of the most important collections on the European continent in the field of religious Art Nouveau stained-glass windows. The series was completed in the 1970s by the works of the French painter Alfred Manessier.
The organs, built between 1824 and 1834, bring together classic and romantic features. They are the work of a local organ-maker, Aloys Mooser. His instruments very quickly acquired international repute and attracted famous musicians such as Franz Liszt and Anton Bruckner.
Excerpt from fribourgtourisme.ch:
According to legend, if its 74 m tower is unfinished it is because there was no money left. A jewel of Gothic architecture, the Cathedral of St-Nicholas was built between 1283 and 1490.
It is possible to climb the 365 steps to the top of the 74 m high tower and discover the entire town. St Nicholas Cathedral Fribourg has a rich architectural setting. The main portal is adorned with a low relief depicting the Last Judgement.
The stained-glass windows, created by the Polish painter Jozef Mehoffer between 1896 and 1936, constitutes one of the most important collections on the European continent in the field of religious Art Nouveau stained-glass windows. The series was completed in the 1970s by the works of the French painter Alfred Manessier.
The organs, built between 1824 and 1834, bring together classic and romantic features. They are the work of a local organ-maker, Aloys Mooser. His instruments very quickly acquired international repute and attracted famous musicians such as Franz Liszt and Anton Bruckner.
Excerpt from fribourgtourisme.ch:
According to legend, if its 74 m tower is unfinished it is because there was no money left. A jewel of Gothic architecture, the Cathedral of St-Nicholas was built between 1283 and 1490.
It is possible to climb the 365 steps to the top of the 74 m high tower and discover the entire town. St Nicholas Cathedral Fribourg has a rich architectural setting. The main portal is adorned with a low relief depicting the Last Judgement.
The stained-glass windows, created by the Polish painter Jozef Mehoffer between 1896 and 1936, constitutes one of the most important collections on the European continent in the field of religious Art Nouveau stained-glass windows. The series was completed in the 1970s by the works of the French painter Alfred Manessier.
The organs, built between 1824 and 1834, bring together classic and romantic features. They are the work of a local organ-maker, Aloys Mooser. His instruments very quickly acquired international repute and attracted famous musicians such as Franz Liszt and Anton Bruckner.
Le bâtiment conçu par Jean Willerval présente une forme singulière, dont l'enveloppe couverte de céramique blanche tranche avec son environnement paysage :
« Le plan est carré, coupé selon les médianes et les diagonales par les brèches des vitrages et prolongé par "huit alcôves" en croix grecque. Mais c'est moins qu'un tracé : les traces de la lumière se répondant d'une ouverture à l'autre, selon une géométrie qui change avec les heures du jour. La symétrie qui est évidente - et nécessaire - est toujours niée quelque part, selon la règle subtile qui est celle des modernes. »
Au cœur d’un jardin de sculptures, d’eau, de pierre et de vent, à proximité immédiate de la plage, le LAAC défie le ciel avec son architecture étonnante. Pétillant et joyeux comme les années pop, il conserve une très riche collection, miroir des années 1945 à 1980. Celle-ci, riche de plus de 1 500 pièces, peintures, sculptures, dessins, estampes, photographies, est présentée de façon cyclique en fonction de la programmation des expositions.
Le LAAC conserve, autour de Circus de Karel Appel, l’un des plus riches ensembles d’œuvres d’artistes de CoBrA en France. Il réunit par ailleurs de très nombreuses œuvres d’abstraction lyrique et informelle (Hugh Weiss, Pierre Soulages, Hans Hartung, Alfred Manessier, Joan Mitchell…), quinze sculptures des Nouveaux Réalistes Arman, César ou Niki de Saint Phalle, une pièce majeure d’Andy Warhol, Car Crash, et plusieurs œuvres importantes d’artistes de la Figuration narrative, tels Bernard Rancillac, Hervé Télémaque ou Peter Klasen…
The building designed by Jean Willerval has a unique shape, whose envelope covered in white ceramic contrasts with its landscape environment:
“The plan is square, cut along the medians and diagonals by the gaps in the glazing and extended by “eight alcoves” in a Greek cross. But it's less than a line: the traces of light responding from one opening to another, according to a geometry that changes with the hours of the day. The symmetry which is obvious - and necessary - is always denied somewhere, according to the subtle rule which is that of the moderns. »
In the heart of a garden of sculptures, water, stone and wind, in the immediate vicinity of the beach, the LAAC defies the sky with its astonishing architecture. Sparkling and joyful like the pop years, it retains a very rich collection, mirroring the years 1945 to 1980. This one, rich in more than 1,500 pieces, paintings, sculptures, drawings, prints, photographs, is presented cyclically in depending on the exhibition schedule.
The LAAC preserves, around Circus by Karel Appel, one of the richest collections of works by CoBrA artists in France. It also brings together numerous works of lyrical and informal abstraction (Hugh Weiss, Pierre Soulages, Hans Hartung, Alfred Manessier, Joan Mitchell, etc.), fifteen sculptures by New Realists Arman, César or Niki de Saint Phalle, a major piece of 'Andy Warhol, Car Crash, and several important works by Narrative Figuration artists, such as Bernard Rancillac, Hervé Télémaque or Peter Klasen...
Vitrail de la façade est du chœur, 1966-1979, église protestante Unser Lieben Frauen, Brême (Allemagne).
La grande fenêtre du chœur est basée sur l'histoire biblique de la Pentecôte comme point de départ méditatif. De la hauteur incandescente jaune-rouge, un mouvement de balancement unifié, bien que compliqué, tombe sur des structures horizontales au bord inférieur, qui sont déchirées. Les formes présentent de fortes déformations, renforcées par le graphisme des veines de plomb de différentes épaisseurs. Les couleurs et les formes sont parfois emportées dans des mouvements individuels explosifs. Malgré ce dynamisme formel, la lumière dans son ensemble reste plutôt froide.
Merci Roman Mensing pour la photo.
Colmar (Haut-Rhin) - Musée Unterlinden - "L'Homme à la branche" (Alfred Manessier, 1911-1993)
Huile sur toile marouflée sur carton, 1942
fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_Unterlinden
fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Manessier
Autres oeuvres de Manessier (vitraux, tapisseries, ...) :
Lavis d'encre de Chine sur papier, 159 x 110 cm, 1983, centre Pompidou, Paris.
Tenant, avec Jean Bazaine et Jean Le Moal, d’une transcription abstraite de la nature dans le respect d’une certaine "tradition française", Alfred Manessier apparaît au début des années 1950 comme l’une des figures marquantes de la scène artistique parisienne qui s’est révélée sous l’Occupation. Après qu’il ait retrouvé la foi en 1943, lors d’une retraite à la Grande trappe de Soligny, l'artiste contribue notamment au renouvellement de l’iconographie religieuse en l’adaptant au vocabulaire de l’abstraction. En atteste l’austère série de ses Litanies, comprenant huit fusains entrepris peu après un flamboyant Album de 7 lithographies sur le thème de Pâques, édité en 1949.
Jouant sur de subtiles variations de gris, ces Litanies recourent le plus souvent à des formes ovoïdes et serpentines, empruntées au règne naturel, ou dentelées comme des épines, formes schématiques sérielles qui tendent à se substituer au thème plastique de la grille caractérisant l’œuvre de l’artiste depuis quelques années. Témoignage d’une quête personnelle d’un ordre spirituel, ce dessin noir et blanc à l’épaisse matière de fusain, dont le velouté sensuel adoucit la lumière et les formes, exprime une exigence d’intériorisation mystique.
L’attrait de la lumière, et de toutes ses apparitions et modulations, devient bientôt déterminant pour l’artiste, qui en interroge les reflets par un travail à l’encre ou au pastel, devant le paysage marin. La baie de Somme, en Picardie, où Manessier a passé ses premières années, constitue ainsi dès la fin des années 1940 une source d’inspiration déterminante. Baie de Somme, la nuit, apparaît caractéristique de ce paysagisme abstrait élaboré par lui au début des années 1950. Manessier y traduit un effet lumineux propre à la baie, provoqué par le reflet de la lune dans les circonvolutions des chenaux à marée basse.
Plus encore que dans une version diurne du même thème, Manessier rend cet effet en une vision à la fois intimiste et cosmique. L’œuvre, qui enserre les zones plus lumineuses par des cernes noirs, à la façon d’un vitrail miniature, traduit aussi l’attrait de Manessier pour le thème nocturne, qui revient régulièrement dans son œuvre, depuis les peintures faites au Bignon dans les années 1940 jusqu’aux Favellas de 1979 et aux ultimes Tours (1988-1990).
Au début des années 1960, l’invitation qui est faite à Manessier de représenter la France à la Biennale de Venise l’incite notamment à donner une ampleur inédite à ses peintures en investissant des formats plus grands, sous l’influence aussi de nouveaux paysages. En juillet 1967, il entreprend ainsi son premier voyage au Canada. À la fin de son séjour, ses hôtes lui font visiter un impressionnant site lacustre sur une île du lac Rideau, près d’Ottawa. De retour à Paris, Manessier mentionne dans son journal "cette promenade culminante en bateau à voile dans le Fishes’ Sanctuary (Sanctuaire des poissons), en des termes qui traduisent sa fascination : "impression d’être le premier homme à pénétrer cette forêt vierge, thème violent de la mort et la vie entremêlées, avec des arbres blancs comme des ossements, en couches, les uns sur les autres, dans l’eau, sur la terre, et la vie victorieuse traversant ces couches et ressurgissant en verticales vertes ! Beau thème à creuser avec ces mystérieux poissons" (carnet inédit, 1er août 1967). Inspiré par ce spectacle, l’artiste entreprend une petite étude au pastel qui donnera lieu à une peinture monumentale, Fishes’ Sanctuary, achevée deux ans plus tard. En cette fin des années 1960, cette étude manifeste le goût nouveau de Manessier pour une répartition non centrée des éléments picturaux sur la totalité de la surface picturale, laquelle semble se prolonger au-delà des bords de la toile.
Largement indépendante, le plus souvent, de l’œuvre picturale, la production graphique de Manessier, tout en restant d’une grande fidélité à ses sujets d’inspiration privilégiés, aborde régulièrement des thèmes qui ne seront pas développés en peinture. Ainsi, dans l’hiver 1983-1984, Manessier présente-t-il à la galerie de France une série de dix lavis de grand format, qui témoignent de sa capacité de renouvellement à la fois thématique et technique. Exploitant avec bonheur la fluidité de l’encre diluée, en parfaite adéquation avec son sujet, il traduit les mouvements du sable humide sur lequel la mer, en se retirant, a formé de légers monticules. Sables manifeste une nouvelle fois son intérêt pour le thème du sol, dont les linéaments constituent pour lui une source très concrète et inépuisable de motifs abstraits. Une importante série de peintures inspirées par les affleurements pierreux de Haute-Provence en témoignait déjà en 1958-1959, tout comme de remarquables "portraits" aquarellés de galets de la baie de Somme en 1977. La frontalité parfaite de la représentation, saisie ici à la stricte verticale, ajoute au caractère radical des Sables, série qui restera unique dans l’œuvre de Manessier (cf. Christian Briend, centre Pompidou).
Vitrail du bas-côté nord, 1966-1979, église protestante Unser Lieben Frauen, Brême (Allemagne).
Le vitrail du bas-côté nord, dit de Noël, a un lien avec l'Incarnation de la parole de Dieu. Sa structure formelle est simple : un milieu à dominante rouge et en mouvement descendant, sépare deux franges froides dominées par le gris. Si l'impression générale est constituée de structures individuelles compliquées, le bleu, reconnaissable comme couleur symbolique de la Trinité, se retrouve partout. La substance incandescente se déverse dans une forme froide, la pénétrant et la transformant. Cet ancien symbole visuel issu de l'enseignement des deux natures (divine et humaine) acquiert ici une actualité artistique moderne.
Merci Tristan Vankann pour la photo.
Vitrail du bas-côté sud, 1966-1979, église protestante Unser Lieben Frauen, Brême (Allemagne).
La proximité de la chaire détermine ici le thème de la parole prêchée, dominé par des structures diagonales. Vers le bord gauche, vers la chaire, les couleurs s'intensifient de plus en plus dans la partie nord, tandis que la zone droite reprend la palette de la fenêtre de la Pentecôte. Ce n'est pas tant la parole humaine qui s'affirme, que celle qui y est esprit et vie. La diagonale presque accidentée est graphiquement soulignée par des linéaments en forme de losange à l'intérieur.
Merci Tristan Vankann pour la photo.
Huile sur toile, 162 x 162 cm, 1979, musée de Picardie, Amiens.
Alfred Manessier, renommé dès 1948 pour ses vitraux non figuratifs, symboles du renouveau de l’art sacré en France, est communément considéré comme l’un des maîtres de la lumière au XXe siècle. C’est enfant qu’il forme son regard au gré de la lumière changeante des paysages picards, marais et bords de mer, traversés en compagnie de son grand-père. Il écrit dans ses carnets, en mai 1980 : "La vocation d’un homme est liée, bien plus qu’on ne le croit, à la qualité de la lumière du lieu dans laquelle s’est baigné l’oeil ébloui de l’enfant". Grand voyageur, il parcourt la Hollande, l’Espagne ou le Canada, tout en restant très attaché à sa région natale. Célèbre pour ses nombreuses compositions inspirées par la baie de Somme : aquarelles, galets, toiles ou encore lavis, il redécouvre les hortillonnages d’Amiens après le décès de sa mère en 1977.
La désignation de ces jardins flottants au milieu d’un dédale de canaux l’amène à s’interroger à l’été 1982 sur le titre donné à son tableau : "On t’a rappelé avec raison que le nom d’hortillon fut donné par les soldats romains aux jardiniers de ces lieux et que ces lieux se nomment les hortillonnages. Dans ta jeunesse on disait déjà indifféremment les hortillons ou les hortillonnages, et le titre de la toile de 1979 intitulée Les Hortillons au printemps est donc incorrect. L’incorrection restera hélas ! […] Avec excuses aux puristes picards et aux braves hortillons de ton enfance que tu as confondus avec leurs jardins". Il ajoute en octobre 1983 : “Hortillons” ou “Hortillonnages” peuvent se dire indifféremment pour le lieu des jardins […].Les Hortillons au printemps est donc un titre correct".
Ce souci d’exactitude témoigne de l’importance prêtée par l’artiste à ces lieux parcourus autrefois, désormais du domaine de l’intime. Incarnant un "paysage de mémoire", les paysages picards, hortillons et marais apparaissant sous son pinceau telles des réminiscences des jours heureux de son enfance. Utilisant des teintes originales et des effets inédits sur des toiles de grand format, Manessier transfigure la réalité du paysage représenté pour en offrir une image à la fois abstraite et sensible (cf. C R, musée de Picardie).
Huile sur toile, 50 x 73 cm, 1955, musée d'Art et d'Industrie, Roubaix.
Inspirée par les paysages de la baie de Somme natale à laquelle Manessier attribuait sa vocation de peintre, cette toile illustre parfaitement la sensibilité de l’artiste dans les années 1953-1955, que Bernard Dorival décrit ainsi : "Dans la lumière aux nuances tempérées, dans l’étendue de la mer, du ciel, de la plage, là où les choses perdent leur substance et ne gardent que la valeur d’accents rythmiques, [Manessier] trouve sa nourriture spirituelle et picturale" (cf. musée d'Art et d'Industrie de Roubaix).
Rosace ouest, 1966-1979, église protestante Unser Lieben Frauen, Brême (Allemagne).
La rosace ouest (dans la zone de la musique sacrée) était à l'origine destinée à faire le lien avec le chant de louange de Marie, le Magnificat, mais la forme ronde résistait à cette idée. A sa place est venu le texte marial du conte de Noël, méditatif, de la parole de Dieu, dont l'extérieur est le chant de louange. Le bleu foncé et le rouge sont concentrés au milieu, transformant les couleurs en quelque chose de mystique, tandis que les plus claires (rappelant la fenêtre de la Pentecôte) s'élargissent sur les bords. La concentration sur l'intime et l'explosion au-delà du cercle, appuient ici la méditation et le magnificat qui s'interpénètrent, donnant une âme à cet oculus néo-roman.
Merci Tristan Vankann pour la photo.
Kirche zu Unserer Lieben Frau, iglesia a la Bienaventurada Virgen María, church to the Blessed Virgin Mary, chiesa alla Benedetta Vergine Maria, église à la Bénie Vierge Marie, Najświętsza Maryja Panna (Unser-Lieben-Frauen-Kirchhof)
The church congregation of Our Lady has a nearly 1,000-year history and the Church of Our Lady is after Bremer St. Petri Cathedral the oldest church of Bremen. "Our Lady" is the old town hall and market church of Bremen and is located in the heart of the city right next to the Town Hall. The first predecessor building was in 1020 of the wood of Saxonian "sacred groves" as the first church of Bremen outside the walled cathedral area erected and received the rights of a parish church. It was initially dedicated to Saint Vitus. A new building mid-12th century of stone of which, inter alia, still the charnel cellar of the former Our Lady cemetery with medieval frescoes and the old (smaller) Romanesque south tower is preserved then was put unter the protection of the Virgin Mary "Our Lady". However, this construction also soon became too small to meet the fast-growing town population.
The hitherto only parish of the city was divided into four new districts and from 1229 built a new church, today's early Gothic church with three naves. To it was around 1300 in the south added a fourth nave which was connected with the church by open arcades. On the decorated with front gables south side towards the market was until the early 19th century the Council portal, because until the construction of the town hall the church also served as a meeting room of the aldermen. Still until 1910, all Council documents were kept here in the so-called Tresekammer (treasure trove) in the north tower. The rich interior of the Middle Ages in the church went lost in the iconoclasm end of the 16th century. Early 18th century the carved pulpit was donated. In the 19th century, the southern fourth nave was walled off from the interior in order to set up there a parish school and meeting rooms. Into the aisles wooden galleries were built-in. Furthermore followed a transformation of the west side (tower side) of the church after designs of Max Salzmann. In the process, the previous main entrance through the south tower was moved in a new porch between the two towers and created a Westwerk in historic style with round windows and gallery.
In the Second World War for fire protection pulpit and benches were outsourced and the side balconies dismounted. In December 1943, the church was badly damaged in an air raid and was from now on only partially usable. Beginning of October 1944, the north tower after a bomb hit burned down completely. Burning debris fell into a part of the church and destroyed the organ, however, could be extinguished. After the end of the war in 1945 the church only temporarily could be repaired. The galleries whose material had been burned in the fuel-lean postwar period were not renewed again. The burned out north tower received a temporary roof.
According to plans of Hanoverian architect Prof. Dieter Oesterlen the interior of the church from 1958 to 1965 has been completely redesigned. Due to acoustic and aesthetic reasons the plaster on all interior walls has been beaten off and the architectural history of 9 centuries in the dark brick-red of masonry was readable. The in earlier epochs partly walled-up windows in the choir and the south aisle were reopened. The organ was moved from the nave to the south aisle, making the round window completely visible. A new sacristy on the north side of the choir replaced an annex of 1914. The northern tower was given back its pointed spire. From 1964 to 1979, the French painter Alfred Manessier and his glassmakers François Lorin and Gérard Hermet from Chartres installed the new stained glass windows. The eastern three front windows and the western oculus emphasize several aspects of the proclamation of the Word. All other windows subordinate themselves as colored light curtains these 4 main windows. 1992, also the former charnel cellar by a direct access to the church room as St. Vitus crypt was again opened to the public. In 2011, the beginning of the 20th century in the former treasure trove installed memorial chapel for the fallen soldiers of World War 1 was transformed into a memory and prayer room for the deaths of all wars.
Die Gemeinde von Unser Lieben Frauen hat eine fast 1000-jährige Geschichte und die Liebfrauenkirche ist nach dem Bremer St.-Petri-Dom der älteste Kirchenbau Bremens. "Unser Lieben Frauen" ist die alte Rats- und Marktkirche Bremens und steht mitten im Herzen der Stadt direkt neben dem Rathaus. Der erste Vorgängerbau wurde 1020 aus dem Holz sächsischer "heiliger Haine" als erste Kirche Bremens außerhalb des umfriedeten Dombezirks errichtet und erhielt die Rechte einer Pfarrkirche. Sie war zunächst dem heiligen St. Vitus geweiht. Ein Neubau Mitte des 12. Jh. aus Stein, von dem u.a. noch der Beinkeller des ehemaligen Liebfrauenkirchhofs mit mittelalterlichen Fresken und der alte (kleinere) romanische Südturm erhalten ist, wurde dann unter den Schutz der Jungfrau Maria "Unser Lieben Frauen" gestellt. Auch dieser Bau wurde jedoch bald zu klein, um der schnell anwachsenden Stadtbevölkerung genügen zu können.
Der bis dahin einzige Pfarrsprengel der Stadt wurde in vier neue Kirchenbezirke aufgeteilt und ab 1229 ein neues Gotteshaus, die heutige frühgotische Hallenkirche mit drei Schiffen errichtet. Ihr wurde um 1300 im Süden noch ein viertes Schiff angefügt, welches durch offene Arkaden mit dem Kirchenraum verbunden war. Auf der mit Schaugiebeln geschmückten Südseite zum Markt befand sich bis Anfang des 19. Jh. das Ratsportal, denn bis zur Errichtung des Rathauses diente die Kirche auch als Versammlungsraum der Ratsherren. Noch bis 1910 wurden hier alle Dokumente des Rates in der so genannten Tresekammer im Nordturm aufbewahrt. Die reiche Innenausstattung des Mittelalters in der Kirche ging im Bildersturm Ende des 16. Jh. verloren. Anfang des 18. Jh. wurde die geschnitzte Predigtkanzel gestiftet. Im 19. Jh. wurde das südliche vierte Kirchenschiff vom Innenraum abgemauert, um dort eine Gemeindeschule und Versammlungsräume einzurichten. In die Seitenschiffe wurden hölzerne Emporen eingebaut. Außerdem erfolgte eine Umgestaltung der Westseite (Turmseite) der Kirche nach dem Entwurf von Max Salzmann. Dabei wurde der bisherige Haupteingang durch den Südturm in eine neue Vorhalle zwischen die beiden Türmen verlegt und ein Westwerk im historisierenden Stil mit Rundfenster und Galerie geschaffen.
Im Zweiten Weltkieg waren zum Brandschutz Kanzel und Bänke ausgelagert und die Seitenemporen ausgebaut worden. Im Dezember 1943 wurde die Kirche durch einen Luftangriff schwer beschädigt und war nur noch eingeschränkt nutzbar. Anfang Oktober 1944 brannte der Nordturm nach einem Bombentreffer vollständig aus. Trümmer fielen brennend in einen Teil der Kirche, zerstörten die Orgel, konnten jedoch gelöscht werden. Nach Ende des Krieges 1945 konnte man die Kirche nur notdürftig wieder instand setzen. Die Emporen, deren Material in der brennstoffarmen Nachkriegszeit verheizt worden war, wurden nicht wieder erneuert. Der ausgebrannte Nordturm erhielt ein Notdach.
Nach Plänen des Hannoveraner Architekten Prof. Dieter Oesterlen wurde von 1958 bis 1965 der Innenraum der Kirche völlig neu gestaltet. Aus akustischen und ästhetischen Gründen schlug man den Putz von allen Innenwänden ab und die Baugeschichte aus 9 Jahrhunderten wurde im dunklen Ziegelrot des Mauerwerks ablesbar. Die in früheren Epochen teilweise zugemauerten Fenster im Chor und zum Südschiff wurden wieder geöffnet. Man versetzte die Orgel vom Mittelschiff in das Südschiff, wodurch das Rundfenster vollständig sichtbar wurde. Eine neue Sakristei an der Nordseite des Chores ersetzte einen Anbau von 1914. Der nördliche Turm erhielt seinen spitzen Turmhelm zurück. Von 1964 bis 1979 setzten der französische Maler Alfred Manessier und seine Glasmeister François Lorin und Gérard Hermet aus Chartres die neuen Glasfenster ein. Die östlichen drei Stirnfenster und das westliche Rundfenster thematisieren verschiedene Aspekte der Verkündigung des Wortes Gottes. Alle anderen Fenster ordnen sich als farbige Lichtvorhänge diesen 4 Hauptfenstern unter. 1992 wurde auch der ehemalige Beinkeller durch einen direkten Zugang zum Kirchenraum als St.-Veits-Krypta wieder öffentlich zugänglich gemacht. 2011 wurde die Anfang des 20. Jh. in der ehemaligen Tresekammer eingerichtete Gedächtniskapelle für die Gefallenen des 1. Weltkrieges umgestaltet zu einem Gedächtnis- und Gebetsraum für die Getöteten aller Kriege.
www.kirche-bremen.de/gemeinden/31_unser_lieben_frauen/kir...