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InTouch Weekly's Icons & Idols Red Carpet following the 2013 MTV Video Music Awards.
(Photo by Evan K. Schmidt/BSD Media)
Here's another layout about me. Again, it's one of my goals for 2011 to include myself more in my scrapping. Katie the Scrapbook Lady does a monthly roundup on her blog (www.scrapbookladypages.com), which is where I got the idea to "wrap up" my January. The photo is my week 4 self-portrait for the 52 Week Project.
1. What books and/or magazines did I read this month?
Safe Haven by Nicholas Sparks (the first full book read on my iPad)
Real Simple magazine
My guilty pleasure: People Magazine, US Weekly, InTouch ... I only read these when I travel and am stuck on planes and in airports.
2. What movies, television shows, plays, etc. did I watch this month?
The Fighter
The King's Speech
True Grit
Country Strong
The Social Network
The Romantics
Love and Other Drugs
Season 1 and 2 of Parenthood
My guilty pleasure: the current season of the Bachelor (it's a train wreck!)
3. What special or unusual purchases did I make?
A new little pouch and ruffled scarf from The Pleated Poppy, to make my time on the road easier (and more stylish).
4. What illnesses or health concerns did I have?
Headaches
Cut my forehead on the chair rail in Cooper's room and had to get stitches
A cold
Tight, tight neck and back muscles..
5. What were my accomplishments this month?
I art journaled nearly every day (only missed two days) and did so even when in was traveling.
6. What were my disappointments this month?
I traveled way too much and didn’t have as much time at home (with my family) as I’d like
7. Anything else noteworthy to include? Spent 21 nights of the month in a hotel room (all at Hilton properties)
Anton Witkowsky n’aspire qu’à une chose : gagner suffisamment de fric pour mettre ses parents à l’abri et sortir de sa banlieue-dortoir, ces blocs où s’entassent des destins gâchés et des rêves d’ailleurs. Tout est échec dans sa vie : l’école, où rien de ce qui se dit ne fait sens, un seul ami au compteur et l’incompréhension des parents devant la révolte de leur fils. Sa seule chance, il le sait, ce sont ses poings.
Baru retrace le destin d’un boxeur d’exception, qui, de l’ascension à la chute, restera ce gamin entier, excessif et incompris. A travers le prisme du monde de la boxe, c’est surtout un magnifique regard sur l’adolescence et son mal-être, cette rage viscérale qui pousse à fuir ceux que l’on admire.
Le scénario, classique dans son déroulement (mais les vies de boxeurs ne le sont-elles pas toutes ?), est saisissant de maîtrise et d’une écriture magistrale. La langue vit et percute tant dans les cris de « Witko » que dans les silences du père. Ce père, parlons-en. Dans ce qui semble être un des plus beaux incipit de la bande dessinée, alors que nous découvrons Anton Witkowsky dans le box des accusés, un homme dans l’assistance reste stoïque, la tête haute et le regard fixe. On ne connaît pas encore les chefs d’accusation mais on comprend que tout tournera autour de cette figure paternelle, secrète et sensible.
Le dessin suit la même trajectoire, vif, parfois violent, rendant toujours au plus juste la fébrilité des personnages. Les scènes de combats sont particulièrement réussies et ne donnent jamais dans la surenchère, chose assez rare. Witko n’est pas un surhomme, pas intouchable non plus, en réalité bien plus proche de Prince Naseem Hamed que de Rocky. A noter également que les incrustations dans les cases d’articles de journaux ne sont pour une fois pas un simple artifice mais apportent beaucoup à la narration.
Le Grand prix d’Angoulême 2010 décerné à Baru aura probablement encouragé cette réédition en intégrale d’une œuvre majeure (deux tomes avaient initialement paru dans la collection Aire Libre). Un récit brut, riche, troublant jusque dans son titre et sa couverture où Anton Witkowsky se tient devant le lecteur, dans une posture de défi, prêt à bondir.
bulles-et-onomatopees.blogspot.com
L'enragé, de Baru (Ed. Dupuis); 136 pages; 24 euros.
Honneur. CJF Saint Malo - RC Quimper : 58-10. Les Finistériens ont offert des boulevards aux attaquants locaux très entreprenants.
Même en infériorité numérique, le quinze corsaire n'a pas tremblé, envoyant du jeu dès que cela était possible. Le premier acte avait été pourtant assez équilibré puisque les Cerclistes ne menaient que 11-3 aux citrons, grâce à deux pénalités de Coupeau (4', 17') et à un essai de Cédric Morvan (8'). Malgré quelques indisciplines Malouines (deux exclusions temporaires), on sentait que les trois-quarts, emmenés par un excellent Cédric Morvan, avaient des fourmis dans les jambes.
Les visiteurs jouaient crânement leurs chances et semaient le désordre près de l'en but des Corsaires, mais sans concrétiser au tableau d'affichage. La deuxième mi-temps allait sonner le glas des Quimpérois qui encaissaient deux essais dès la reprise. La faute aux attaquants locaux Videau (41') et Thibault Morvan (45') qui s'engouffraient dans les intervalles offerts par les défenseurs Finistériens. Profitant d'un carton rouge attribué à Georgelin, la réaction visiteuse se concrétisait par un essai de pénalité accordé suite à une belle charge du deuxième ligne Viegas (25 - 10 à la 60').
À l'heure de jeu, les Corsaires passaient la vitesse supérieure et franchissaient à cinq reprises la ligne de Quimper. Le remplaçant Brisou s'offrait un beau cadeau de Noël en inscrivant la bagatelle de quatre essais (65', 68', 75', 78') tandis que le troisième ligne Mariot prenait part également à la boulimie offensive locale (73').
« On avait un effectif réduit consécutif à de nombreuses blessures. Notre équipe était déstabilisée et on n'avait plus les moyens de défendre. Un match à oublier » constatait le président du RC Quimper, Patrick Donnart.
P. Le Guern (Entraîneur du CJF) : « On valide notre plan de jeu. C'est le fruit d'un gros travail physique, technique et mental entrepris depuis quelques mois qui nous fait accéder à la deuxième place du groupe. Bravo les garçons ! »
SAINT MALO - QUIMPER : 58-10 (11-3).
Arbitre : M. Bohec.
SAINT-MALO. Huit essais : Cédric Morvan, Videau, Thibault Morvan, Mariot, Brisou (4). Deux pénalités et six transformations de Coupeau.
RC QUIMPER. Un essai de pénalité (60'). Une pénalité (11'), une transformation de Ressant.
Suite à sa large victoire, face à Saint-Brieuc le week-end dernier, le XV Corsaire n'est plus qu'à quatre points de la seconde place du classement. La victoire s'impose donc pour les Corsaires, afin d'achever cette première phase du championnat dans une belle dynamique. Le match se déroulera cet après-midi, à 15 h, face au RC Quimpérois sur le terrain de l'Hippodrome. À 13 h 30, Esperanza - RC Quimpérois B.
XV Corsaire solidaire
Après avoir offert, la semaine dernière, un jeu de maillots et de shorts à l'association Village pilote qui oeuvre pour les enfants des rues au Sénégal, le XV Corsaire poursuit son engagement social et solidaire. Pour le Samu social de Saint-Malo, Wendy Titchmarsh, membre du XV Corsaire, remettra les vêtements dont elle a organisé les collectes aux responsables du Samu. Enfin, c'est cet après-midi à 15 h que se déroule le Noël de l'école de rugby à l'Hippodrome : animations, élection du meilleur déguisement de corsaire et goûter.
Dimanche 11 décembre 2016, le CJF Saint-Malo Rugby accueille Quimper, pour le compte du championnat Honneur en Bretagne. Un match qui s’annonce serré entre deux équipes ambitieuses et qui se suivent au classement.
Ce n’est pas un mince exploit qu’ont accompli les joueurs du CJF Saint-Malo Rugby en allant s’imposer dimanche 4 décembre à Saint Brieuc, deuxième du classement, sur un score sans appel (35-14).
Après un début de saison en demi-teinte, les Corsaires semblent avoir trouvé le rythme et se posent désormais comme de très sérieux prétendants à la place de dauphin derrière l’intouchable Grandchamp, auteur d’un sans-faute dans cette première partie de saison.
Cette deuxième place tend les bras aux Malouins qui disputent leur rencontre en retard face à Quimper ce dimanche 11 décembre sur leur pelouse de l’hippodrome.
En cas de succès, ils monteraient donc sur la deuxième marche du podium à l’issue de la phase aller avec un point d’avance sur Saint Brieuc. Deux points si le Père-Noël ajoute un bonus offensif dans sa hotte. Mais attention tout de même, Quimper est aussi une grosse écurie de ce championnat et ne fera aucun cadeau aux Malouins. Cette dernière victoire de l’année, il va falloir aller la chercher…
la laverie central ou tous les hôtels donnent leurs linges et celui des clients à laver. Tout est fait à la main: lavage- essorage et repassage effectué pour la plupart par des gens de la caste des intouchables.
PROLOGUE
On sonne à la porte. Un livreur Darty essoufflé vient de monter seul une machine à laver sur trois étages. Il est en retard, mais de peu. L’installation se déroule sans encombre. Au moment de la signature du bon de réception, il sort, un peu gêné, une tablette de son sac.
« Il faut noter le service Darty. Pouvez-vous me mettre une bonne note ? » tente-t-il. Pas de problème, tout s’est bien passé.
« Si je vous mets 8 sur 10, c’est bon pour vous ?
— Au-dessous de 9, c’est une mauvaise note.
— Ah ! Et c’est le service qu’on note ou c’est vous ?
— Le service ! Mais au-dessous de 9, je perds ma prime… »
C’est de cette scène vécue, et a priori anodine, que l’idée de cette enquête est née. Avec un pressentiment, qui s’est confirmé de jour en jour : l’extension sans limites de la notation. Les notes ont déjà envahi des pans entiers de notre quotidien. Combien de fois avez-vous rencontré des étoiles cette semaine ? Pensez à la note que vous avez dû attribuer à votre garage Citroën lors du dernier contrôle technique. À celle que vous avez donnée à un chauffeur Uber en rentrant de soirée. À vos derniers achats sur Amazon. À votre ophtalmo sur Google.
Les scores sont partout et font désormais partie du décor.
Nous ne sommes pas encore arrivés à rattraper la série d’anticipation de Netflix, Black Mirror, et son génial épisode « Chute libre » où une jeune femme voit sa note passer de 4,2 à 2,8 à la suite d’une série de malchances qui lui fait perdre son statut social et la conduit en prison. Il y a peu de risques que la notation s’empare de notre vie par le biais d’un seul et unique réseau social, comme c’est le cas dans cette fiction. Les tentatives, à ce niveau-là, sont pour l’instant restées sans lendemain, ou peinent à fédérer des communautés suffisantes. Aux États-Unis, l’application Peeple, lancée en 2015, qui permettait de noter aussi bien son voisin que son boulanger, a subi une pluie de critiques et de moqueries la forçant à abandonner son système d’étoiles avant de sombrer dans l’oubli.
Parfois, les notes se font plus discrètes, plus insidieuses, mais non moins redoutables. Aux marques apparentes d’une société imprégnée par l’évaluation s’ajoutent des notes invisibles, attribuées sans notre consentement. Cette invasion silencieuse pose une série de questions.
Pourquoi note-t-on ? D’où vient ce mouvement de fond ? Quelles sont les véritables conséquences pour les notés et pour les noteurs ? Les notes sont-elles aussi neutres et objectives qu’elles le paraissent ? En tant que citoyen, peut-on s’opposer à un tel système ?
Il ne s’agit pas ici de remettre en cause l’aspect pratique de la note lorsqu’il s’agit de choisir un hôtel ou un restaurant. En tant que consommateurs, nous utilisons cet outil simple et ludique. Même si certains n’y voient qu’une dictature des ploucs, la notation par le grand public a permis, à première vue, une démocratisation de la critique, jusqu’ici réservée à une aristocratie culturelle, en s’attaquant à des domaines où les monopoles étaient présumés intouchables. Le milieu du cinéma et plus encore celui de la restauration en sont les meilleurs exemples. Mais cette transformation profonde de notre société a été jusqu’à aujourd’hui peu questionnée. Elle n’est quasiment jamais évoquée dans le débat politique, trop peu couverte par les médias. Sans doute parce que cette transformation a été trop « silencieuse », pour emprunter le concept du philosophe François Jullien1 : une mutation « globale et continue » à laquelle on ne prête pas forcément attention puisqu’elle « ne se démarque jamais suffisamment pour qu’on la remarque ». La notation, en s’installant par petites touches en France, n’a jamais bouleversé nos esprits au point de nous alerter.
En commençant nos recherches, nous avons été systématiquement confrontés à de nouvelles illustrations de cette généralisation de la note. Souvent, les exemples se sont imposés à nous. Pas une semaine ne s’est écoulée sans qu’un proche nous envoie un nouveau questionnaire de satisfaction reçu par mail. Pas une semaine sans qu’une application nous réclame de la noter, comme ce jour où l’application de messagerie WhatsApp nous a demandé d’évaluer la qualité de notre appel durant lequel nous discutions justement de la notation.
Durant ces deux années d’enquête, nous avons rencontré des économistes, des historiens, des sociologues. Nous avons obtenu des documents internes à de grandes entreprises et nous avons même infiltré un réseau d’achat de faux commentaires en ligne. Ce travail nous a menés des centres d’appel de grands opérateurs télécom aux coulisses de restaurants, d’agences Pôle Emploi, en passant par les couloirs d’hôpitaux, jusqu’aux bureaux des services de Matignon. Ce livre nous a également conduits en Chine, où un système de notation en particulier suscite tous les fantasmes : le crédit social. C’est là que débute notre récit. Dans une ville portuaire, au sud de Pékin, le gouvernement local teste un score de bonne conduite pour ses citoyens.
la laverie central ou tous les hôtels donnent leurs linges et celui des clients à laver. Tout est fait à la main: lavage- essorage et repassage effectué pour la plupart par des gens de la caste des intouchables.
Maserati in Intouchables (2011, Gaumont, screen capture)
You can read more about product placement: www.brandsandfilms.com
«Je ne veux pas que mes amis viennent me voir au cimetière en
m'imaginant baignant dans mon jus.» Pourrir, se décomposer à petit feu, finir en gueuleton pour les vers, Jean-Louis Sacchet, la quasi-cinquantaine bien portante, pharmacien, ne veut même pas en entendre parler. Pour juguler cette phobie, il décide il y a quelques années de se faire embaumer, selon le rituel des morts de l'Ancienne Egypte. Il prend quatre années pour construire sa pyramide en marbre, au coeur du Père-Lachaise. Puis il en peint l'intérieur de fresques et de hiéroglyphes en attendant, le moment venu, de se faire momifier. Une façon comme une autre de prendre la mort à bras le corps. A l'entrée, l'interphone est au nom de «Ramsès».
L'homme, cheveux clairsemés, coupés court, teint hâlé par les nombreux voyages en Egypte, est volubile. Il aime le rouge, rouge vif de ses chemises, rubis de la bague qu'il porte au majeur. «Le rouge, c'est la violence, la puissance incontrôlée.» Dans son salon, lustre vénitien, petits meubles orientaux, révèlent sa passion pour les arts décoratifs. Sa peur, son hantise obsessionnelle de disparaître, il en rend responsable son éducation bourgeoise: «Je viens d'une famille de biens, j'ai toujours vu entretenir les meubles, restaurer les tableaux. La destruction, la dégradation m'ont toujours fait peur, une tasse ébréchée provoque chez moi du chagrin, je ne la jetterai pas, elle deviendra bol d'eau pour mes chats, vide-poches"» A 16 ans, les siens le rejettent. Sa famille ne supporte pas son homosexualité et demande son émancipation au général de Gaulle. Le cabinet du chef de l'Etat étant le seul habilité à l'accorder" Jean-Louis Sacchet part sans regret mais avec amertume. De son beau-père, militaire de carrière, il dit: «Ça n'a jamais marché entre nous.»
Il quitte Paris pour la Suisse et ses attraits fiscaux, nanti de l'héritage confortable de son père mort quand il avait 2 ans. «En Suisse, j'étais financièrement intouchable.» Il y passe son bac puis fait une école hôtelière, «c'était vital pour moi, de savoir comment tenir une maison, comment entretenir ce dont j'avais hérité». Déjà la volonté de sauvegarder, de préserver. La même année, au gré d'une croisière, il aboutit pour la première fois en Egypte, «j'ai découvert Abou-Simbel les pieds dans l'eau, le barrage n'existait pas». Il visite le musée du Caire, croise ses premières momies, «là, je me suis dit: "C'est peut-être une solution, un moyen de ne pas disparaître.» L'idée est encore fugace, «comme un grondement de tonnerre dans le lointain, vous vous dites i"l faut peut-être fermer les volets, et puis vous pensez à autre chose».
Rentré en France, Jean-Louis attaque des études de pharmacie, et obtient son diplôme, «un métier qui s'exerce partout, sans trop de contraintes». Son officine parisienne n'est qu'une partie accessoire et lucrative de son existence. Parallèlement, les voyages en Egypte se multiplient, il plonge avec jubilation dans les méandres de l'Antiquité, se passionne pour l'histoire de l'art et apprend, aidé de quelques amis égyptologues, à décrypter les hiéroglyphes. Les années s'écoulent. En un rien de temps, la quarantaine vient le chatouiller. Et avec elle, la camarde fait surface.
De ce qu'il a appris sur l'Egypte ancienne, l'essentiel semble lui échapper. Reste le sentiment de faire fausse route, «des clés de cette civilisation me manquaient, je tournais en rond». Là, naît la décision d'aller jusqu'au bout, d'orchestrer sa mort - tout faire pour atteindre à l'immortalité. Il s'inscrit à l'institut Khéops, suit des cours sur les rites mortuaires, et lance la construction de sa propre pyramide au cimetière du Père-Lachaise. Bientôt, les habitués le surnomment Toutankhamon. L'oeil bleu s'amuse, «certains me croient fou», dit Jean-Louis Sacchet. De son corps, il dit que c'est un support, un médium nécessaire pour passer dans l'au-delà. Les mains, très grandes, s'animent, il revient à sa hantise, la putréfaction et ses liquides. L'eau le fascine, comme celle de sa fontaine trônant au milieu du salon qui, durant tout cet entretien, gargouille joyeusement: «J'aime l'eau, dans toutes les maisons orientales il y a des fontaines.» L'eau le révulse: «Personne n'aime se baigner dans une eau putride, une eau à nénuphars.»
Puis il enchaîne sur sa momie, dit «elle», comme d'une entité extérieure, ajoute «j'aime les momies, j'aime les toucher, les sentir». Il se lève, soulève un globe de verre protégeant trois têtes de chat égyptiennes momifiées, «sentez», dit-il. On renifle l'odeur légèrement douceâtre" «Miser sur l'immortalité ça rassure», dit-il encore. La garce en devient plus supportable. Mourir «doit être extravagant» Mais sans le corps pour support, point de salut. Une momification devrait adoucir son trépas, «je serai juste un peu secoué, comme si je passais sur un nid de poule». C'est peu dire quand on connaît le traitement infligé au défunt, aiguille plantée dans le coeur pour pomper le sang, injection de produits divers et autres petites réjouissances du même acabit! Le travail divin aura lieu chez lui, accompli par son thanatopracteur, sans doute sur la grande table en verre de la pièce de séjour, «c'est pratique il y a de l'eau juste à côté, là il peut bosser». Les ongles des momies étaient recouverts d'or. Pratique trop onéreuse, même pour un pharmacien du XXe siècle. Jean-Louis Sacchet a opté pour le vernis à ongles doré, «on en trouve à 5 francs dans tous les Prisu». Riant à l'idée qu'on le confonde avec une drag queen. La formalité de l'embaumement accomplie, sa momie sera emmaillotée dans une résille de perles de verre, tissée de ses mains, symbolisant une chrysalide, suivie de trois cerceuils et d'un sarcophage en granit" «C'est fou le travail qu'il me reste à faire.» Il compte près de quatre ans pour les fresques intérieures, sans compter la peinture des cerceuils. Une tombe en guise de charnière entre le monde des vivants et des morts, «c'est là, le grand mystère, comme l'enfant dans le ventre de sa mère». Aucune conviction religieuse, «s'il avait fallu peindre ma pyramide en vert avec des éléphants roses je l'aurais fait». Pas même une conception précise de son au-delà: «Je ne sais pas, je serai dans le cosmos.» La trouille de disparaître, oui, mais pas celle de vieillir, «120 ans comme Jeanne Calmant, je trouve ça génial». Il réfute, mais trahit, une certaine mégalomanie, acceptant les interviews: «Dans quelques siècles, un type qui fera des recherches tombera peut-être sur ces papiers, c'est autant de traces"» Il préfère parler de postérité, se compare au facteur Cheval et conclut en souhaitant que cela pousse les gens à se préoccuper plus de leurs morts. «Moi, je ne sais même pas où mon père est enterré».
Jean-Louis Sacchet en 6 dates 24 février 1949. Naissance à Grenoble.
1965. Départ pour la Suisse, permier voyage en Egypte.
1967. Diplôme de l'école hôtelière de Thonon-les-Bains.
1970. Diplôme de pharmacie à Genève.
17 mai 1993. Début des travaux de la pyramide.
1997.Commence les fresques et hiéroglyphes intérieurs.
Edith PAULY
A l'occasion de la journée du 16 Mai 2012 "Intouchables, fiction ou réalité?"organisée par Simon de Cyrène et L'Arche en France au Conseil économique social et environnemental.
A l’issue de leur première journée au Paris Sevens, les Bleues terminent 1ère de leur poule après un dernier match au coude à coude contre les Etats-Unis. Elles se qualifient ainsi pour le quart de Cup contre l’Angleterre qui aura lieu demain !
Une belle entrée dans le tournoi pour les Bleues ! L’équipe de France n’a laissé aucune pitié aux Espagnoles en s’imposant 20 à 0 dès leur premier match de poule. Les Françaises ont attaqué dès le début avec un premier essai signé Chloé Pelle puis un deuxième dans la foulée par Marjorie Mayans. Une première mi-temps toute à leur avantage à l’image de la seconde avec un magnifique essai de Camille Grassineau après un long rush avant de conclure sur le quatrième essai de Lina Guérin juste avant le gong de fin. « On sent qu’on est bien que rien ne peut nous arriver si on joue ensemble. On essaye vraiment d’être concentré sur notre objectif » explique Chloé Pelle. « Contre l’Espagne, ce n’est jamais facile. Ça a été car on a attaqué vraiment la ligne, les ballons et en jouant notre jeu à fond mais on les connaît très bien et il n’y a jamais de match facile ».
Les Bleues ont poursuivi sur leur lancée en battant le Japon (26–17) pour leur deuxième match de poule. Une fois de plus, l’équipe de France a donné le ton dès la première mi-temps : le Japon n’a pas réussi à résister à l’avancée française qui a terminé les sept premières minutes du match avec trois essais signés Camille Drouin, Fanny Horta et Camille Grassineau. La seconde période a commencé par une course incroyable d’Audrey Ciofani qui est venue aplatir le ballon sans trop de pression. Mais les Japonaises n’ont pas démérité avec une remontée spectaculaire de 17 points en seconde mi-temps et un triplé signé Bativakalolo. Mais cela n’a pas suffi pour battre les Bleues.
USA VS France : l’heure de la revanche ! A Langford, les Etats-Unis avaient volé la 3ème place de la France. Ce soir, ce sont les Bleues qui les ont battues (5–14). Le match s’est joué au coude à coude : les Etats-Unis ont ouvert le score dès la première minute avec un essai signé Lauren Doyle. Mais les Françaises n’ont rien lâché avec un public en feu dans les gradins pour les soutenir et terminent ainsi première de leur poule. Objectif atteint pour le capitaine, Fanny Horta : « On savait que ça allait être un match très compliqué. Les Américaines montrent beaucoup d’agressivité mais on a su répondre présent ! »
Demain, les Bleues joueront le quart de finale de Cup contre l’Angleterre à 16h42. L’état d’esprit de l’équipe après cette première journée : « emmagasiner le positif » et « corriger quelques petites erreurs de précipitations ». « On va aborder le match de demain comme tous nos autres matchs avec l’envie de gagner ! » a conclu Marjorie Mayans.
A l’issue de leur deuxième journée au Paris Sevens, les Bleues ont gagné leur quart mais se sont inclinées en demi-finale face à l’Australie. Malgré tout, les Bleues sont assurées de finir sur le podium des Sevens World Series, une première !
Les Bleues ont commencé cette deuxième journée par un crunch inédit ! Elles ont refait une entrée spectaculaire sur la pelouse de Jean Bouin en ne laissant aucune pitié à leurs adversaires historiques de l’Angleterre (48 – 7) ! Bien que les Anglaises aient été les premières à ouvrir le score dès la première minute de jeu, les Bleues ne leur ont laissé plus aucune occasion de marquer un essai, avec notamment trois magnifiques doublés signés Fanny Horta, Marjorie Mayans et Shannon Izar. « Je pense que ce quart de final est accompli » concède François Duboisset, le manager-adjoint de l’équipe. « Très honnêtement, je pense qu’on a été porté par l’ambiance. C’est la première fois qu’on le vit, qu’on le voit. Aujourd’hui, le public parisien a répondu présent et a été formidable. »
Malgré cette magnifique performance, les Bleues se sont inclinées face aux redoutables Aussies, premières du classement mondial, en demi-finale (21 – 17). Elles n’ont pourtant pas facilité la tâche à leurs adversaires, avec une défense implacable côté français, mais également côté australien. Les Françaises ont tenu jusqu’aux dernières minutes mais les Aussies ont sonné le coup de grâce avec un essai dans les dernières secondes signé Emilee Cherry. Malgré cette défaite, les Bleues n’ont pas démérité : « On n’a pas à rougir de là où on est à l’heure actuelle : il faut se féliciter » Il y a encore un gros match demain. Avec le public, avec notre rage, on a envie de finir sur une belle note ! »
Le Paris Sevens n’est pas fini ! L’équipe peut encore prétendre à la 3ème place du podium : rendez-vous demain à 17h05 pour le match de Bronze Finale contre le Canada !
A l’issue de leur dernière journée au Paris Sevens, les Bleues se sont inclinées en Finale Bronze face aux Canadiennes (10-17). Elles terminent ainsi 4èmes du tournoi et 3èmes des Sevens World Series 2018 pour la première fois !
Elles ont tout donné jusqu’au bout mais les Canadiennes ne les ont pas laissé beaucoup avancer pour marquer. Les Bleues ont résisté en répliquant un nouvel essai à chaque nouvelle attaque de leurs adversaires mais n’ont pas réussi à percer le mur défensif canadien. « Ce sont les aléas du sport » explique Fanny Horta, la capitaine d’équipe. « On a subi une longue séquence défensive. Psychologiquement, faut arriver à reprendre le dessus quand on est sur le terrain. » « On savait que le Canada faisait partie des nations ‘intouchables’ et dans le top 3 mondial » ajoute François Duboisset, manager-adjoint de France 7 Féminines. « L’issue s’est jouée à peu. On est forcément un peu déçu mais on est très heureux de finir sur le podium mondial. C’est une belle performance pour le rugby féminin après le Grand Chelem de l’équipe à XV ! »
Les Bleues n’ont pas à rougir de leur parcours avec un groupe qui n’a cessé d’évoluer depuis le début de la compétition : « On fait un bilan positif de cette saison » s’enthousiasme Fanny Horta. « Chapeau aux jeunes qui nous ont rejoint et se sont très vite adaptées à notre jeu. Le groupe vit très bien ensemble. On se force à se surpasser et c’est ce qui nous pousse à être là où on est aujourd’hui. »
Prochaine étape : la Coupe du Monde de Rugby à 7 qui se déroulera au mois de juillet à San Francisco. L’équipe va couper un peu avant d’entamer une phase de préparation physique pour la compétition. « Notre objectif pour cette Coupe du Monde, c’est de grimper ! Chaque match est éliminatoire, donc il ne faudra pas les prendre à la légère et imposer notre jeu contre tous nos adversaires » conclu Marjorie Mayans.
Match de finale (7ème place) : Espagne 5 – 33 Angleterre
Match de finale (5ème place) : Etats-Unis 28 – 7 Fidji
Bronze Finale : Canada 17 – 10 France
Cup Finale : Nouvelle-Zélande 33 – 7 Australie
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Espagne 24-19 (mi-temps : 10-0)
France : 4 essais Pelle (2), Mayans (4), Grassineau (13), Tremoulière (15)
Espagne : -
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Izar, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (12), Torres Duxans (14), Guerin (10), Ciofani (10), Sainlo (14)
ESPAGNE : Ribera, Bravo, Martinez Garcia, Echebarria, Garcia, Pla (cap), Casado
Entrées en jeu : Bueso Gonez (7), Erbina (7), Fresneda (10)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Japon 26-17 (mi-temps : 19-0)
France : 4 essais Drouin (1), Horta (3), Grassineau (6), Ciofani (7) transformations Drouin (1, 4), Izar (7)
Japon : 3 essais Bativakalolo (11, 13, 15)
FRANCE : Izar, Mayans, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (9), Torres Duxans (11), Ciofani (6), Sainlo (8)
JAPON : Nagata, Okuroda, Tateyama, Nakamura (cap), Taniguchi, Hirano, Tanaka
Entrées en jeu : Koide (7), Bativakalolo (11), Kuwai (7), Suzuki (9), Otake (8)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat USA 14-5 (mi-temps : 0-5)
France : 2 essais Pelle (8), Grassineau (13) 2 transformations Drouin (9), Izar (14)
USA : 1 essai Doyle (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Guerin, Drouin, Bertrand
Entrées en jeu : Tremoulière (14), Izar (9), Ciofani (8)
USA : Gray, Gustaitis, Carlyle, Doyle, Heavirland (cap), Kelter, Tapper
Entrées en jeu : Thomas (9), Emba (7), Canett (15), Fa’avesi (11), Maher (11)
QUART DE FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Angleterre (48 - 7)
France : 8 essais Horta (3, 6), Mayans (7, 9), Ciofani (10), Drouin (12), Izar (13, 15), 4 transformations Drouin (6, 9, 13, 15)
Angleterre : 1 essai Fleming (1), 1 transformation McKenna (1)
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta, Drouin, Grassineau, Izar, Guerin
Entrées en jeu : Torres Duxans (11), Bertrand (6), Ciofani (7), Sainlo (13)
ANGLETERRE : Fisher, Scarratt, Matthews, McKenna, Scott, Brown (cap), Fleming
Entrées en jeu : Wilson Hardy (6), Fleetwood (11), Wood (11), Aitchison (9), Allan (9)
DEMI-FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Australie (21 - 17)
France : 3 essais Horta (8), Mayans (10), Pelle (12), 1 transformation Drouin (10)
Australie : 3 essais Du Toit (3), Cherry (6, 14), 3 transformations (3, 7, 14)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Bertrand (9), Ciofani (9)
AUSTRALIE : Hayes, Pelite, Tonegato, Cherry, Sykes, Du Toit, Caslick (cap)
Entrées en jeu : Parry (5), Meakes (12)
FINALE BRONZE - Dimanche 10 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), Canada – France 17-10 (mi-temps : 12 - 10)
France : 2 essais Guerin (6), Izar (7)
Canada : 3 essais Landry (1), Williams (4), Farella (9) 1 transformation Landry (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (13), Torres-Duxans (13), Bertrand (10), Ciofani (10), Sainlo (10)
CANADA : Crossley, Williams, Buisa, Farella, Benn, Landry, Moleschi
Entrées en jeu : Watcham-Roy (7), Nicholas (10), Darling (7)
Premier essaie à LDD, la Ford Anglia de Harry Potter, Je n’aimais pas les différentes versions vendus. En plus à l’époque c’était avant le film les animaux fantastique et donc la ressortie de sets lego. Les sets d’époques sont intouchables tellement ils sont chers. Et puis je les trouve moche pour beaucoup.
Premier essaie à LDD, la Ford Anglia de Harry Potter, Je n’aimais pas les différentes versions vendus. En plus à l’époque c’était avant le film les animaux fantastique et donc la ressortie de sets lego. Les sets d’époques sont intouchables tellement ils sont chers. Et puis je les trouve moche pour beaucoup.
Honneur. CJF Saint Malo - RC Quimper : 58-10. Les Finistériens ont offert des boulevards aux attaquants locaux très entreprenants.
Même en infériorité numérique, le quinze corsaire n'a pas tremblé, envoyant du jeu dès que cela était possible. Le premier acte avait été pourtant assez équilibré puisque les Cerclistes ne menaient que 11-3 aux citrons, grâce à deux pénalités de Coupeau (4', 17') et à un essai de Cédric Morvan (8'). Malgré quelques indisciplines Malouines (deux exclusions temporaires), on sentait que les trois-quarts, emmenés par un excellent Cédric Morvan, avaient des fourmis dans les jambes.
Les visiteurs jouaient crânement leurs chances et semaient le désordre près de l'en but des Corsaires, mais sans concrétiser au tableau d'affichage. La deuxième mi-temps allait sonner le glas des Quimpérois qui encaissaient deux essais dès la reprise. La faute aux attaquants locaux Videau (41') et Thibault Morvan (45') qui s'engouffraient dans les intervalles offerts par les défenseurs Finistériens. Profitant d'un carton rouge attribué à Georgelin, la réaction visiteuse se concrétisait par un essai de pénalité accordé suite à une belle charge du deuxième ligne Viegas (25 - 10 à la 60').
À l'heure de jeu, les Corsaires passaient la vitesse supérieure et franchissaient à cinq reprises la ligne de Quimper. Le remplaçant Brisou s'offrait un beau cadeau de Noël en inscrivant la bagatelle de quatre essais (65', 68', 75', 78') tandis que le troisième ligne Mariot prenait part également à la boulimie offensive locale (73').
« On avait un effectif réduit consécutif à de nombreuses blessures. Notre équipe était déstabilisée et on n'avait plus les moyens de défendre. Un match à oublier » constatait le président du RC Quimper, Patrick Donnart.
P. Le Guern (Entraîneur du CJF) : « On valide notre plan de jeu. C'est le fruit d'un gros travail physique, technique et mental entrepris depuis quelques mois qui nous fait accéder à la deuxième place du groupe. Bravo les garçons ! »
SAINT MALO - QUIMPER : 58-10 (11-3).
Arbitre : M. Bohec.
SAINT-MALO. Huit essais : Cédric Morvan, Videau, Thibault Morvan, Mariot, Brisou (4). Deux pénalités et six transformations de Coupeau.
RC QUIMPER. Un essai de pénalité (60'). Une pénalité (11'), une transformation de Ressant.
Suite à sa large victoire, face à Saint-Brieuc le week-end dernier, le XV Corsaire n'est plus qu'à quatre points de la seconde place du classement. La victoire s'impose donc pour les Corsaires, afin d'achever cette première phase du championnat dans une belle dynamique. Le match se déroulera cet après-midi, à 15 h, face au RC Quimpérois sur le terrain de l'Hippodrome. À 13 h 30, Esperanza - RC Quimpérois B.
XV Corsaire solidaire
Après avoir offert, la semaine dernière, un jeu de maillots et de shorts à l'association Village pilote qui oeuvre pour les enfants des rues au Sénégal, le XV Corsaire poursuit son engagement social et solidaire. Pour le Samu social de Saint-Malo, Wendy Titchmarsh, membre du XV Corsaire, remettra les vêtements dont elle a organisé les collectes aux responsables du Samu. Enfin, c'est cet après-midi à 15 h que se déroule le Noël de l'école de rugby à l'Hippodrome : animations, élection du meilleur déguisement de corsaire et goûter.
Dimanche 11 décembre 2016, le CJF Saint-Malo Rugby accueille Quimper, pour le compte du championnat Honneur en Bretagne. Un match qui s’annonce serré entre deux équipes ambitieuses et qui se suivent au classement.
Ce n’est pas un mince exploit qu’ont accompli les joueurs du CJF Saint-Malo Rugby en allant s’imposer dimanche 4 décembre à Saint Brieuc, deuxième du classement, sur un score sans appel (35-14).
Après un début de saison en demi-teinte, les Corsaires semblent avoir trouvé le rythme et se posent désormais comme de très sérieux prétendants à la place de dauphin derrière l’intouchable Grandchamp, auteur d’un sans-faute dans cette première partie de saison.
Cette deuxième place tend les bras aux Malouins qui disputent leur rencontre en retard face à Quimper ce dimanche 11 décembre sur leur pelouse de l’hippodrome.
En cas de succès, ils monteraient donc sur la deuxième marche du podium à l’issue de la phase aller avec un point d’avance sur Saint Brieuc. Deux points si le Père-Noël ajoute un bonus offensif dans sa hotte. Mais attention tout de même, Quimper est aussi une grosse écurie de ce championnat et ne fera aucun cadeau aux Malouins. Cette dernière victoire de l’année, il va falloir aller la chercher…
Honneur. CJF Saint Malo - RC Quimper : 58-10. Les Finistériens ont offert des boulevards aux attaquants locaux très entreprenants.
Même en infériorité numérique, le quinze corsaire n'a pas tremblé, envoyant du jeu dès que cela était possible. Le premier acte avait été pourtant assez équilibré puisque les Cerclistes ne menaient que 11-3 aux citrons, grâce à deux pénalités de Coupeau (4', 17') et à un essai de Cédric Morvan (8'). Malgré quelques indisciplines Malouines (deux exclusions temporaires), on sentait que les trois-quarts, emmenés par un excellent Cédric Morvan, avaient des fourmis dans les jambes.
Les visiteurs jouaient crânement leurs chances et semaient le désordre près de l'en but des Corsaires, mais sans concrétiser au tableau d'affichage. La deuxième mi-temps allait sonner le glas des Quimpérois qui encaissaient deux essais dès la reprise. La faute aux attaquants locaux Videau (41') et Thibault Morvan (45') qui s'engouffraient dans les intervalles offerts par les défenseurs Finistériens. Profitant d'un carton rouge attribué à Georgelin, la réaction visiteuse se concrétisait par un essai de pénalité accordé suite à une belle charge du deuxième ligne Viegas (25 - 10 à la 60').
À l'heure de jeu, les Corsaires passaient la vitesse supérieure et franchissaient à cinq reprises la ligne de Quimper. Le remplaçant Brisou s'offrait un beau cadeau de Noël en inscrivant la bagatelle de quatre essais (65', 68', 75', 78') tandis que le troisième ligne Mariot prenait part également à la boulimie offensive locale (73').
« On avait un effectif réduit consécutif à de nombreuses blessures. Notre équipe était déstabilisée et on n'avait plus les moyens de défendre. Un match à oublier » constatait le président du RC Quimper, Patrick Donnart.
P. Le Guern (Entraîneur du CJF) : « On valide notre plan de jeu. C'est le fruit d'un gros travail physique, technique et mental entrepris depuis quelques mois qui nous fait accéder à la deuxième place du groupe. Bravo les garçons ! »
SAINT MALO - QUIMPER : 58-10 (11-3).
Arbitre : M. Bohec.
SAINT-MALO. Huit essais : Cédric Morvan, Videau, Thibault Morvan, Mariot, Brisou (4). Deux pénalités et six transformations de Coupeau.
RC QUIMPER. Un essai de pénalité (60'). Une pénalité (11'), une transformation de Ressant.
Suite à sa large victoire, face à Saint-Brieuc le week-end dernier, le XV Corsaire n'est plus qu'à quatre points de la seconde place du classement. La victoire s'impose donc pour les Corsaires, afin d'achever cette première phase du championnat dans une belle dynamique. Le match se déroulera cet après-midi, à 15 h, face au RC Quimpérois sur le terrain de l'Hippodrome. À 13 h 30, Esperanza - RC Quimpérois B.
XV Corsaire solidaire
Après avoir offert, la semaine dernière, un jeu de maillots et de shorts à l'association Village pilote qui oeuvre pour les enfants des rues au Sénégal, le XV Corsaire poursuit son engagement social et solidaire. Pour le Samu social de Saint-Malo, Wendy Titchmarsh, membre du XV Corsaire, remettra les vêtements dont elle a organisé les collectes aux responsables du Samu. Enfin, c'est cet après-midi à 15 h que se déroule le Noël de l'école de rugby à l'Hippodrome : animations, élection du meilleur déguisement de corsaire et goûter.
Dimanche 11 décembre 2016, le CJF Saint-Malo Rugby accueille Quimper, pour le compte du championnat Honneur en Bretagne. Un match qui s’annonce serré entre deux équipes ambitieuses et qui se suivent au classement.
Ce n’est pas un mince exploit qu’ont accompli les joueurs du CJF Saint-Malo Rugby en allant s’imposer dimanche 4 décembre à Saint Brieuc, deuxième du classement, sur un score sans appel (35-14).
Après un début de saison en demi-teinte, les Corsaires semblent avoir trouvé le rythme et se posent désormais comme de très sérieux prétendants à la place de dauphin derrière l’intouchable Grandchamp, auteur d’un sans-faute dans cette première partie de saison.
Cette deuxième place tend les bras aux Malouins qui disputent leur rencontre en retard face à Quimper ce dimanche 11 décembre sur leur pelouse de l’hippodrome.
En cas de succès, ils monteraient donc sur la deuxième marche du podium à l’issue de la phase aller avec un point d’avance sur Saint Brieuc. Deux points si le Père-Noël ajoute un bonus offensif dans sa hotte. Mais attention tout de même, Quimper est aussi une grosse écurie de ce championnat et ne fera aucun cadeau aux Malouins. Cette dernière victoire de l’année, il va falloir aller la chercher…
A l’issue de leur première journée au Paris Sevens, les Bleues terminent 1ère de leur poule après un dernier match au coude à coude contre les Etats-Unis. Elles se qualifient ainsi pour le quart de Cup contre l’Angleterre qui aura lieu demain !
Une belle entrée dans le tournoi pour les Bleues ! L’équipe de France n’a laissé aucune pitié aux Espagnoles en s’imposant 20 à 0 dès leur premier match de poule. Les Françaises ont attaqué dès le début avec un premier essai signé Chloé Pelle puis un deuxième dans la foulée par Marjorie Mayans. Une première mi-temps toute à leur avantage à l’image de la seconde avec un magnifique essai de Camille Grassineau après un long rush avant de conclure sur le quatrième essai de Lina Guérin juste avant le gong de fin. « On sent qu’on est bien que rien ne peut nous arriver si on joue ensemble. On essaye vraiment d’être concentré sur notre objectif » explique Chloé Pelle. « Contre l’Espagne, ce n’est jamais facile. Ça a été car on a attaqué vraiment la ligne, les ballons et en jouant notre jeu à fond mais on les connaît très bien et il n’y a jamais de match facile ».
Les Bleues ont poursuivi sur leur lancée en battant le Japon (26–17) pour leur deuxième match de poule. Une fois de plus, l’équipe de France a donné le ton dès la première mi-temps : le Japon n’a pas réussi à résister à l’avancée française qui a terminé les sept premières minutes du match avec trois essais signés Camille Drouin, Fanny Horta et Camille Grassineau. La seconde période a commencé par une course incroyable d’Audrey Ciofani qui est venue aplatir le ballon sans trop de pression. Mais les Japonaises n’ont pas démérité avec une remontée spectaculaire de 17 points en seconde mi-temps et un triplé signé Bativakalolo. Mais cela n’a pas suffi pour battre les Bleues.
USA VS France : l’heure de la revanche ! A Langford, les Etats-Unis avaient volé la 3ème place de la France. Ce soir, ce sont les Bleues qui les ont battues (5–14). Le match s’est joué au coude à coude : les Etats-Unis ont ouvert le score dès la première minute avec un essai signé Lauren Doyle. Mais les Françaises n’ont rien lâché avec un public en feu dans les gradins pour les soutenir et terminent ainsi première de leur poule. Objectif atteint pour le capitaine, Fanny Horta : « On savait que ça allait être un match très compliqué. Les Américaines montrent beaucoup d’agressivité mais on a su répondre présent ! »
Demain, les Bleues joueront le quart de finale de Cup contre l’Angleterre à 16h42. L’état d’esprit de l’équipe après cette première journée : « emmagasiner le positif » et « corriger quelques petites erreurs de précipitations ». « On va aborder le match de demain comme tous nos autres matchs avec l’envie de gagner ! » a conclu Marjorie Mayans.
A l’issue de leur deuxième journée au Paris Sevens, les Bleues ont gagné leur quart mais se sont inclinées en demi-finale face à l’Australie. Malgré tout, les Bleues sont assurées de finir sur le podium des Sevens World Series, une première !
Les Bleues ont commencé cette deuxième journée par un crunch inédit ! Elles ont refait une entrée spectaculaire sur la pelouse de Jean Bouin en ne laissant aucune pitié à leurs adversaires historiques de l’Angleterre (48 – 7) ! Bien que les Anglaises aient été les premières à ouvrir le score dès la première minute de jeu, les Bleues ne leur ont laissé plus aucune occasion de marquer un essai, avec notamment trois magnifiques doublés signés Fanny Horta, Marjorie Mayans et Shannon Izar. « Je pense que ce quart de final est accompli » concède François Duboisset, le manager-adjoint de l’équipe. « Très honnêtement, je pense qu’on a été porté par l’ambiance. C’est la première fois qu’on le vit, qu’on le voit. Aujourd’hui, le public parisien a répondu présent et a été formidable. »
Malgré cette magnifique performance, les Bleues se sont inclinées face aux redoutables Aussies, premières du classement mondial, en demi-finale (21 – 17). Elles n’ont pourtant pas facilité la tâche à leurs adversaires, avec une défense implacable côté français, mais également côté australien. Les Françaises ont tenu jusqu’aux dernières minutes mais les Aussies ont sonné le coup de grâce avec un essai dans les dernières secondes signé Emilee Cherry. Malgré cette défaite, les Bleues n’ont pas démérité : « On n’a pas à rougir de là où on est à l’heure actuelle : il faut se féliciter » Il y a encore un gros match demain. Avec le public, avec notre rage, on a envie de finir sur une belle note ! »
Le Paris Sevens n’est pas fini ! L’équipe peut encore prétendre à la 3ème place du podium : rendez-vous demain à 17h05 pour le match de Bronze Finale contre le Canada !
A l’issue de leur dernière journée au Paris Sevens, les Bleues se sont inclinées en Finale Bronze face aux Canadiennes (10-17). Elles terminent ainsi 4èmes du tournoi et 3èmes des Sevens World Series 2018 pour la première fois !
Elles ont tout donné jusqu’au bout mais les Canadiennes ne les ont pas laissé beaucoup avancer pour marquer. Les Bleues ont résisté en répliquant un nouvel essai à chaque nouvelle attaque de leurs adversaires mais n’ont pas réussi à percer le mur défensif canadien. « Ce sont les aléas du sport » explique Fanny Horta, la capitaine d’équipe. « On a subi une longue séquence défensive. Psychologiquement, faut arriver à reprendre le dessus quand on est sur le terrain. » « On savait que le Canada faisait partie des nations ‘intouchables’ et dans le top 3 mondial » ajoute François Duboisset, manager-adjoint de France 7 Féminines. « L’issue s’est jouée à peu. On est forcément un peu déçu mais on est très heureux de finir sur le podium mondial. C’est une belle performance pour le rugby féminin après le Grand Chelem de l’équipe à XV ! »
Les Bleues n’ont pas à rougir de leur parcours avec un groupe qui n’a cessé d’évoluer depuis le début de la compétition : « On fait un bilan positif de cette saison » s’enthousiasme Fanny Horta. « Chapeau aux jeunes qui nous ont rejoint et se sont très vite adaptées à notre jeu. Le groupe vit très bien ensemble. On se force à se surpasser et c’est ce qui nous pousse à être là où on est aujourd’hui. »
Prochaine étape : la Coupe du Monde de Rugby à 7 qui se déroulera au mois de juillet à San Francisco. L’équipe va couper un peu avant d’entamer une phase de préparation physique pour la compétition. « Notre objectif pour cette Coupe du Monde, c’est de grimper ! Chaque match est éliminatoire, donc il ne faudra pas les prendre à la légère et imposer notre jeu contre tous nos adversaires » conclu Marjorie Mayans.
Match de finale (7ème place) : Espagne 5 – 33 Angleterre
Match de finale (5ème place) : Etats-Unis 28 – 7 Fidji
Bronze Finale : Canada 17 – 10 France
Cup Finale : Nouvelle-Zélande 33 – 7 Australie
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Espagne 24-19 (mi-temps : 10-0)
France : 4 essais Pelle (2), Mayans (4), Grassineau (13), Tremoulière (15)
Espagne : -
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Izar, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (12), Torres Duxans (14), Guerin (10), Ciofani (10), Sainlo (14)
ESPAGNE : Ribera, Bravo, Martinez Garcia, Echebarria, Garcia, Pla (cap), Casado
Entrées en jeu : Bueso Gonez (7), Erbina (7), Fresneda (10)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat Japon 26-17 (mi-temps : 19-0)
France : 4 essais Drouin (1), Horta (3), Grassineau (6), Ciofani (7) transformations Drouin (1, 4), Izar (7)
Japon : 3 essais Bativakalolo (11, 13, 15)
FRANCE : Izar, Mayans, Horta (cap), Bertrand, Grassineau, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (9), Torres Duxans (11), Ciofani (6), Sainlo (8)
JAPON : Nagata, Okuroda, Tateyama, Nakamura (cap), Taniguchi, Hirano, Tanaka
Entrées en jeu : Koide (7), Bativakalolo (11), Kuwai (7), Suzuki (9), Otake (8)
Vendredi 08 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France bat USA 14-5 (mi-temps : 0-5)
France : 2 essais Pelle (8), Grassineau (13) 2 transformations Drouin (9), Izar (14)
USA : 1 essai Doyle (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Guerin, Drouin, Bertrand
Entrées en jeu : Tremoulière (14), Izar (9), Ciofani (8)
USA : Gray, Gustaitis, Carlyle, Doyle, Heavirland (cap), Kelter, Tapper
Entrées en jeu : Thomas (9), Emba (7), Canett (15), Fa’avesi (11), Maher (11)
QUART DE FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Angleterre (48 - 7)
France : 8 essais Horta (3, 6), Mayans (7, 9), Ciofani (10), Drouin (12), Izar (13, 15), 4 transformations Drouin (6, 9, 13, 15)
Angleterre : 1 essai Fleming (1), 1 transformation McKenna (1)
FRANCE : Mayans, Pelle, Horta, Drouin, Grassineau, Izar, Guerin
Entrées en jeu : Torres Duxans (11), Bertrand (6), Ciofani (7), Sainlo (13)
ANGLETERRE : Fisher, Scarratt, Matthews, McKenna, Scott, Brown (cap), Fleming
Entrées en jeu : Wilson Hardy (6), Fleetwood (11), Wood (11), Aitchison (9), Allan (9)
DEMI-FINALE CUP - Samedi 09 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), France – Australie (21 - 17)
France : 3 essais Horta (8), Mayans (10), Pelle (12), 1 transformation Drouin (10)
Australie : 3 essais Du Toit (3), Cherry (6, 14), 3 transformations (3, 7, 14)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Bertrand (9), Ciofani (9)
AUSTRALIE : Hayes, Pelite, Tonegato, Cherry, Sykes, Du Toit, Caslick (cap)
Entrées en jeu : Parry (5), Meakes (12)
FINALE BRONZE - Dimanche 10 juin 2018 à Paris (Stade Jean Bouin), Canada – France 17-10 (mi-temps : 12 - 10)
France : 2 essais Guerin (6), Izar (7)
Canada : 3 essais Landry (1), Williams (4), Farella (9) 1 transformation Landry (1)
FRANCE : Horta (cap), Mayans, Pelle, Grassineau, Izar, Guerin, Drouin
Entrées en jeu : Tremoulière (13), Torres-Duxans (13), Bertrand (10), Ciofani (10), Sainlo (10)
CANADA : Crossley, Williams, Buisa, Farella, Benn, Landry, Moleschi
Entrées en jeu : Watcham-Roy (7), Nicholas (10), Darling (7)
Huile sur toile (peinte à Paris), 201 x 351 cm, 1952.
L’œuvre de Nicolas de Staël (1914-1955) contient, lorsqu’on s’attache à le lire, les battements du cœur de la forme picturale en évolution à travers sa vie. Ces battements naissent sous le choc reçu par un événement qui ouvre sa conscience en un point de vision surprenant. On pourrait dire que le pinceau s’approche à pas de velours de la conscience du regard. L’orchestration des couleurs, la palette, mettent en place une multitude de timbres pour répondre à la sonorité de la vision. Rentrer dans le champ intouché d’une toile en attente, tendue sur un châssis et apprêtée à recevoir la magistrale traduction, ici, d’un unique match de foot tient de l’exploit. Le vainqueur est le peintre, pour qui il ne s’agit pas de « gagner », de « jouer », mais bien d’attirer le match du stade dans le champ de sa toile et que « le ballon » ait trouvé son but ultime, celui qu’on ne visera pas deux fois. Le but est en fait d’avoir frappé la rétine du peintre afin de donner au match, en plus de la conjoncture précise d’un certain soir, une éternité. Et surtout de montrer combien le jeu est une boule de feu à saisir du bout des doigts, où l’humain se réalise en intensité solaire. Un désir d’horizon touché, approché de plus près entre un footballeur et un peintre.
Le 26 mars 1952, à l’aube de la seconde moitié du siècle, Staël et sa femme Françoise assistent au match France-Suède en nocturne au Parc des Princes. Match qui avait une aura particulière et se présentait comme une exception quant à l’intensité des joueurs et à l’attente qu’on en avait.
Je me rappelle de cette "sortie", où ce soir-là ils avaient mis leurs plus beaux habits pour aller voir ce qu’ils n’avaient jamais vu. Il leur arrivait de se rendre à de grands spectacles, comme à l’opéra, voir Les Indes Galantes de Rameau à partir desquels le peintre réalisait ensuite de grands événements picturaux qui semblaient vouloir rivaliser de splendeur.
L’élan, créé par la tension préliminaire à ce match, avait un tirant particulier. Ils nous confièrent à nous-mêmes, nous les enfants, en nous priant de respecter une sagesse exemplaire en restant à la maison. Ils étaient comme "appelés" d’urgence. Ils allèrent se noyer parmi les spectateurs dans la houle des gradins qui portaient les joueurs sur leur immense rumeur. À la sortie de la solitude de l’atelier, le peintre fut transporté par l’événement d’un débordement humain où ce qui se jouait était le propre cœur de chacun incarné dans le "ballon". Le peintre saisit à bras le corps cette réalité qui le prit de court, retira le ballon de la scène pour lui donner une autre chance, celle de gagner les sommets de la « métaphore » qu’on appellera "une prise".
Une lettre, adressée à son ami René Char, du 10 avril 1952 rendra compte de l’événement : "Je pense beaucoup à toi, quand tu reviendras on ira voir des matchs ensemble, c’est absolument merveilleux, personne là-bas ne joue pour gagner si ce n’est à de rares moments de nerfs où l’on se blesse. Entre ciel et terre, sur l’herbe rouge ou bleue, une tonne de muscles voltige en plein oubli de soi, avec toute la présence que cela requiert, en toute invraisemblance. Quelle joie René, quelle joie ! Alors j’ai mis en chantier toute l’équipe de France, de Suède, et cela commence à se mouvoir un tant soit peu, si je trouvais un local grand comme la rue Gauguet je mettrais deux cents petits tableaux en route pour que la couleur sonne comme les affiches sur la nationale au départ de Paris".
Ils rentrèrent après le match fort tard. Le peintre, de la même nuit qui avait vu flamber ce match, ne put aller se coucher. Il ne voulait pas qu’elle s’éteigne, il en attisait le feu pour qu’il reprenne. Il travailla à la jonction du réel et de l’imaginaire, à lever des profondeurs où il y avait de la surface. Il ébaucha immédiatement quelques esquisses sur papier pour retenir une amorce, le mouvement. Il retrouva sa solitude en foule ! Puis il prit cette même nuit une toile de petit format pour que le pigment y arrête cet essentiel qui grandirait jusqu’à son plein.
Enfin, le lendemain une série de petits formats couraient dans l’atelier dans un match de couleurs, et les jours qui suivirent ont vu grandir ce qu’on appelle un format grandeur nature. Cette toile de 2 x 3,5 m fut élaborée lentement, maintes fois reprise, mise en place aussi lentement que l’événement avait brûlé vite et chaque coup de pinceau, de large truelle, de grands aplats, l’épaisseur de la pâte, le velours de la texture, tout dans cette articulation puissamment ancrée et libre, civilisée et sauvage, la course des petits formats vers le grand, immédiatement assimilés, et comme immobilisés sur le champ dans une exclamation, telle l’expression du visage des footballeurs au paroxysme de l’effort qui suspend en l’air ce qui n’ira pas plus loin ! Le Parc des Princes, dans sa dynamique, est l’œuvre majeure de la seconde moitié du XXe siècle (cf. Anne de Staël).
Vanessa Simmons looks fierce in this hot mustard leather jacket with black lining. With her strategic layering, light accessorizing, and incredible poise, Rev Run's eldest daughter definitely showed us why she was crowned one of Maxim's "Hot 100" people.
Un vieux me tient la grappe et nous partons boire un lassi (yaourt liquide sucré) car il veut que je goûte et surtout que je l’invite. En chemin je vois un indien redoubler de violence contre un chien en le fouettant avec une lanière, j’ai l’impression qu’il jouit de son pouvoir et l’animal crie à maintes reprises sous les coups répétés du promeneur. Il aura compris la leçon, peut être. Les chiens sont cons parfois mais les humains aussi. Les gens me regardent bizarrement alors que je me promène avec mon vieux gourmand, me font des signe qu'il est repoussant. C'est sans doute un intouchable, paria au milieu des autres, hors caste héréditaire, non-vivant du système indien. Moi je n'en ai rien à secouer de tout ça et je lui offre son lassi.
Honneur. CJF Saint Malo - RC Quimper : 58-10. Les Finistériens ont offert des boulevards aux attaquants locaux très entreprenants.
Même en infériorité numérique, le quinze corsaire n'a pas tremblé, envoyant du jeu dès que cela était possible. Le premier acte avait été pourtant assez équilibré puisque les Cerclistes ne menaient que 11-3 aux citrons, grâce à deux pénalités de Coupeau (4', 17') et à un essai de Cédric Morvan (8'). Malgré quelques indisciplines Malouines (deux exclusions temporaires), on sentait que les trois-quarts, emmenés par un excellent Cédric Morvan, avaient des fourmis dans les jambes.
Les visiteurs jouaient crânement leurs chances et semaient le désordre près de l'en but des Corsaires, mais sans concrétiser au tableau d'affichage. La deuxième mi-temps allait sonner le glas des Quimpérois qui encaissaient deux essais dès la reprise. La faute aux attaquants locaux Videau (41') et Thibault Morvan (45') qui s'engouffraient dans les intervalles offerts par les défenseurs Finistériens. Profitant d'un carton rouge attribué à Georgelin, la réaction visiteuse se concrétisait par un essai de pénalité accordé suite à une belle charge du deuxième ligne Viegas (25 - 10 à la 60').
À l'heure de jeu, les Corsaires passaient la vitesse supérieure et franchissaient à cinq reprises la ligne de Quimper. Le remplaçant Brisou s'offrait un beau cadeau de Noël en inscrivant la bagatelle de quatre essais (65', 68', 75', 78') tandis que le troisième ligne Mariot prenait part également à la boulimie offensive locale (73').
« On avait un effectif réduit consécutif à de nombreuses blessures. Notre équipe était déstabilisée et on n'avait plus les moyens de défendre. Un match à oublier » constatait le président du RC Quimper, Patrick Donnart.
P. Le Guern (Entraîneur du CJF) : « On valide notre plan de jeu. C'est le fruit d'un gros travail physique, technique et mental entrepris depuis quelques mois qui nous fait accéder à la deuxième place du groupe. Bravo les garçons ! »
SAINT MALO - QUIMPER : 58-10 (11-3).
Arbitre : M. Bohec.
SAINT-MALO. Huit essais : Cédric Morvan, Videau, Thibault Morvan, Mariot, Brisou (4). Deux pénalités et six transformations de Coupeau.
RC QUIMPER. Un essai de pénalité (60'). Une pénalité (11'), une transformation de Ressant.
Suite à sa large victoire, face à Saint-Brieuc le week-end dernier, le XV Corsaire n'est plus qu'à quatre points de la seconde place du classement. La victoire s'impose donc pour les Corsaires, afin d'achever cette première phase du championnat dans une belle dynamique. Le match se déroulera cet après-midi, à 15 h, face au RC Quimpérois sur le terrain de l'Hippodrome. À 13 h 30, Esperanza - RC Quimpérois B.
XV Corsaire solidaire
Après avoir offert, la semaine dernière, un jeu de maillots et de shorts à l'association Village pilote qui oeuvre pour les enfants des rues au Sénégal, le XV Corsaire poursuit son engagement social et solidaire. Pour le Samu social de Saint-Malo, Wendy Titchmarsh, membre du XV Corsaire, remettra les vêtements dont elle a organisé les collectes aux responsables du Samu. Enfin, c'est cet après-midi à 15 h que se déroule le Noël de l'école de rugby à l'Hippodrome : animations, élection du meilleur déguisement de corsaire et goûter.
Dimanche 11 décembre 2016, le CJF Saint-Malo Rugby accueille Quimper, pour le compte du championnat Honneur en Bretagne. Un match qui s’annonce serré entre deux équipes ambitieuses et qui se suivent au classement.
Ce n’est pas un mince exploit qu’ont accompli les joueurs du CJF Saint-Malo Rugby en allant s’imposer dimanche 4 décembre à Saint Brieuc, deuxième du classement, sur un score sans appel (35-14).
Après un début de saison en demi-teinte, les Corsaires semblent avoir trouvé le rythme et se posent désormais comme de très sérieux prétendants à la place de dauphin derrière l’intouchable Grandchamp, auteur d’un sans-faute dans cette première partie de saison.
Cette deuxième place tend les bras aux Malouins qui disputent leur rencontre en retard face à Quimper ce dimanche 11 décembre sur leur pelouse de l’hippodrome.
En cas de succès, ils monteraient donc sur la deuxième marche du podium à l’issue de la phase aller avec un point d’avance sur Saint Brieuc. Deux points si le Père-Noël ajoute un bonus offensif dans sa hotte. Mais attention tout de même, Quimper est aussi une grosse écurie de ce championnat et ne fera aucun cadeau aux Malouins. Cette dernière victoire de l’année, il va falloir aller la chercher…
Nutella in Intouchables (2011, Gaumont, screen capture)
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Sex workers from one of the world’s largest brothels appealed to the Bangladesh government on Monday for emergency funding after a ban on customers to prevent the spread of coronavirus.
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Honneur. CJF Saint Malo - RC Quimper : 58-10. Les Finistériens ont offert des boulevards aux attaquants locaux très entreprenants.
Même en infériorité numérique, le quinze corsaire n'a pas tremblé, envoyant du jeu dès que cela était possible. Le premier acte avait été pourtant assez équilibré puisque les Cerclistes ne menaient que 11-3 aux citrons, grâce à deux pénalités de Coupeau (4', 17') et à un essai de Cédric Morvan (8'). Malgré quelques indisciplines Malouines (deux exclusions temporaires), on sentait que les trois-quarts, emmenés par un excellent Cédric Morvan, avaient des fourmis dans les jambes.
Les visiteurs jouaient crânement leurs chances et semaient le désordre près de l'en but des Corsaires, mais sans concrétiser au tableau d'affichage. La deuxième mi-temps allait sonner le glas des Quimpérois qui encaissaient deux essais dès la reprise. La faute aux attaquants locaux Videau (41') et Thibault Morvan (45') qui s'engouffraient dans les intervalles offerts par les défenseurs Finistériens. Profitant d'un carton rouge attribué à Georgelin, la réaction visiteuse se concrétisait par un essai de pénalité accordé suite à une belle charge du deuxième ligne Viegas (25 - 10 à la 60').
À l'heure de jeu, les Corsaires passaient la vitesse supérieure et franchissaient à cinq reprises la ligne de Quimper. Le remplaçant Brisou s'offrait un beau cadeau de Noël en inscrivant la bagatelle de quatre essais (65', 68', 75', 78') tandis que le troisième ligne Mariot prenait part également à la boulimie offensive locale (73').
« On avait un effectif réduit consécutif à de nombreuses blessures. Notre équipe était déstabilisée et on n'avait plus les moyens de défendre. Un match à oublier » constatait le président du RC Quimper, Patrick Donnart.
P. Le Guern (Entraîneur du CJF) : « On valide notre plan de jeu. C'est le fruit d'un gros travail physique, technique et mental entrepris depuis quelques mois qui nous fait accéder à la deuxième place du groupe. Bravo les garçons ! »
SAINT MALO - QUIMPER : 58-10 (11-3).
Arbitre : M. Bohec.
SAINT-MALO. Huit essais : Cédric Morvan, Videau, Thibault Morvan, Mariot, Brisou (4). Deux pénalités et six transformations de Coupeau.
RC QUIMPER. Un essai de pénalité (60'). Une pénalité (11'), une transformation de Ressant.
Suite à sa large victoire, face à Saint-Brieuc le week-end dernier, le XV Corsaire n'est plus qu'à quatre points de la seconde place du classement. La victoire s'impose donc pour les Corsaires, afin d'achever cette première phase du championnat dans une belle dynamique. Le match se déroulera cet après-midi, à 15 h, face au RC Quimpérois sur le terrain de l'Hippodrome. À 13 h 30, Esperanza - RC Quimpérois B.
XV Corsaire solidaire
Après avoir offert, la semaine dernière, un jeu de maillots et de shorts à l'association Village pilote qui oeuvre pour les enfants des rues au Sénégal, le XV Corsaire poursuit son engagement social et solidaire. Pour le Samu social de Saint-Malo, Wendy Titchmarsh, membre du XV Corsaire, remettra les vêtements dont elle a organisé les collectes aux responsables du Samu. Enfin, c'est cet après-midi à 15 h que se déroule le Noël de l'école de rugby à l'Hippodrome : animations, élection du meilleur déguisement de corsaire et goûter.
Dimanche 11 décembre 2016, le CJF Saint-Malo Rugby accueille Quimper, pour le compte du championnat Honneur en Bretagne. Un match qui s’annonce serré entre deux équipes ambitieuses et qui se suivent au classement.
Ce n’est pas un mince exploit qu’ont accompli les joueurs du CJF Saint-Malo Rugby en allant s’imposer dimanche 4 décembre à Saint Brieuc, deuxième du classement, sur un score sans appel (35-14).
Après un début de saison en demi-teinte, les Corsaires semblent avoir trouvé le rythme et se posent désormais comme de très sérieux prétendants à la place de dauphin derrière l’intouchable Grandchamp, auteur d’un sans-faute dans cette première partie de saison.
Cette deuxième place tend les bras aux Malouins qui disputent leur rencontre en retard face à Quimper ce dimanche 11 décembre sur leur pelouse de l’hippodrome.
En cas de succès, ils monteraient donc sur la deuxième marche du podium à l’issue de la phase aller avec un point d’avance sur Saint Brieuc. Deux points si le Père-Noël ajoute un bonus offensif dans sa hotte. Mais attention tout de même, Quimper est aussi une grosse écurie de ce championnat et ne fera aucun cadeau aux Malouins. Cette dernière victoire de l’année, il va falloir aller la chercher…
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Honneur. CJF Saint Malo - RC Quimper : 58-10. Les Finistériens ont offert des boulevards aux attaquants locaux très entreprenants.
Même en infériorité numérique, le quinze corsaire n'a pas tremblé, envoyant du jeu dès que cela était possible. Le premier acte avait été pourtant assez équilibré puisque les Cerclistes ne menaient que 11-3 aux citrons, grâce à deux pénalités de Coupeau (4', 17') et à un essai de Cédric Morvan (8'). Malgré quelques indisciplines Malouines (deux exclusions temporaires), on sentait que les trois-quarts, emmenés par un excellent Cédric Morvan, avaient des fourmis dans les jambes.
Les visiteurs jouaient crânement leurs chances et semaient le désordre près de l'en but des Corsaires, mais sans concrétiser au tableau d'affichage. La deuxième mi-temps allait sonner le glas des Quimpérois qui encaissaient deux essais dès la reprise. La faute aux attaquants locaux Videau (41') et Thibault Morvan (45') qui s'engouffraient dans les intervalles offerts par les défenseurs Finistériens. Profitant d'un carton rouge attribué à Georgelin, la réaction visiteuse se concrétisait par un essai de pénalité accordé suite à une belle charge du deuxième ligne Viegas (25 - 10 à la 60').
À l'heure de jeu, les Corsaires passaient la vitesse supérieure et franchissaient à cinq reprises la ligne de Quimper. Le remplaçant Brisou s'offrait un beau cadeau de Noël en inscrivant la bagatelle de quatre essais (65', 68', 75', 78') tandis que le troisième ligne Mariot prenait part également à la boulimie offensive locale (73').
« On avait un effectif réduit consécutif à de nombreuses blessures. Notre équipe était déstabilisée et on n'avait plus les moyens de défendre. Un match à oublier » constatait le président du RC Quimper, Patrick Donnart.
P. Le Guern (Entraîneur du CJF) : « On valide notre plan de jeu. C'est le fruit d'un gros travail physique, technique et mental entrepris depuis quelques mois qui nous fait accéder à la deuxième place du groupe. Bravo les garçons ! »
SAINT MALO - QUIMPER : 58-10 (11-3).
Arbitre : M. Bohec.
SAINT-MALO. Huit essais : Cédric Morvan, Videau, Thibault Morvan, Mariot, Brisou (4). Deux pénalités et six transformations de Coupeau.
RC QUIMPER. Un essai de pénalité (60'). Une pénalité (11'), une transformation de Ressant.
Suite à sa large victoire, face à Saint-Brieuc le week-end dernier, le XV Corsaire n'est plus qu'à quatre points de la seconde place du classement. La victoire s'impose donc pour les Corsaires, afin d'achever cette première phase du championnat dans une belle dynamique. Le match se déroulera cet après-midi, à 15 h, face au RC Quimpérois sur le terrain de l'Hippodrome. À 13 h 30, Esperanza - RC Quimpérois B.
XV Corsaire solidaire
Après avoir offert, la semaine dernière, un jeu de maillots et de shorts à l'association Village pilote qui oeuvre pour les enfants des rues au Sénégal, le XV Corsaire poursuit son engagement social et solidaire. Pour le Samu social de Saint-Malo, Wendy Titchmarsh, membre du XV Corsaire, remettra les vêtements dont elle a organisé les collectes aux responsables du Samu. Enfin, c'est cet après-midi à 15 h que se déroule le Noël de l'école de rugby à l'Hippodrome : animations, élection du meilleur déguisement de corsaire et goûter.
Dimanche 11 décembre 2016, le CJF Saint-Malo Rugby accueille Quimper, pour le compte du championnat Honneur en Bretagne. Un match qui s’annonce serré entre deux équipes ambitieuses et qui se suivent au classement.
Ce n’est pas un mince exploit qu’ont accompli les joueurs du CJF Saint-Malo Rugby en allant s’imposer dimanche 4 décembre à Saint Brieuc, deuxième du classement, sur un score sans appel (35-14).
Après un début de saison en demi-teinte, les Corsaires semblent avoir trouvé le rythme et se posent désormais comme de très sérieux prétendants à la place de dauphin derrière l’intouchable Grandchamp, auteur d’un sans-faute dans cette première partie de saison.
Cette deuxième place tend les bras aux Malouins qui disputent leur rencontre en retard face à Quimper ce dimanche 11 décembre sur leur pelouse de l’hippodrome.
En cas de succès, ils monteraient donc sur la deuxième marche du podium à l’issue de la phase aller avec un point d’avance sur Saint Brieuc. Deux points si le Père-Noël ajoute un bonus offensif dans sa hotte. Mais attention tout de même, Quimper est aussi une grosse écurie de ce championnat et ne fera aucun cadeau aux Malouins. Cette dernière victoire de l’année, il va falloir aller la chercher…
Nouveau festival d'Alba la Romaine - Le chapiteau des Colporteurs pour leur spectacle Le Bal des Intouchables