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Pensée du jour :
Vous êtes le pilote de votre vie et en l’explorant, vous avez le choix sur les chemins à prendre. Les personnes que vous rencontrez pendant ce voyage peuvent influencer votre vie, mais vous gardez toujours le contrôle...
You are the pilot of your life and by exploring him, you have the choice on ways to be taken. The people whom you meet during this journey can influence your life, but you always keep control.
La façade achevée vers 1630, est marquée par une double influence, celle de la Renaissance à travers les références à l'Antiquité et celle des églises contemporaines romaines.
Grâce à la mobilisation des Dieppois, plusieurs campagnes de restauration furent engagées depuis les années 1990. Celles-ci devraient permettre dans quelques temps de rendre aux visiteurs l'accès au chœur, fermé depuis de nombreuses années.
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VENTEROL :
Venterol est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence.
Le village se situe à 1 000 mètres d'altitude et bénéficie d'un climat particulier entre influences alpines et provençales. Venterol forme une pittoresque mosaïque de onze charmants hameaux disséminés sur les flancs du Montsérieux.
La photo est prise depuis la sortie nord du hameau des Marmets. On y distingue quelques unes des rares maisons d'Urtis, qui fusionne avec Venterol en 1963.
c'est le génie de la photo.
*Si certains remarquent une certaine influence AVnienne ou Jacquelinesque, celle-ci serait bien évidemment purement fortuite.
LACPIXEL - 2021
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The sublime Abbey of Sainte Foy de Conques - Aveyron - Occitanie - France - Europe
L'abbatiale Sainte-Foy de Conques est une église abbatiale située à Conques, dans le département de l'Aveyron.
En raison de sa vocation à l'accueil des pèlerins et au culte des reliques de sainte Foy, elle est qualifiée d'église de pèlerinage et constitue même le prototype d'autres grandes églises de pèlerinages, l'abbatiale Saint-Martial de Limoges, l'église Saint-Sauveur de Figeac, la basilique Saint-Sernin de Toulouse et la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle. Considérée comme un chef-d'œuvre de l'art roman du sud de la France, elle reste surtout célèbre pour son tympan et son trésor comprenant des pièces d'art uniques de l'époque carolingienne, dont la statue-reliquaire de sainte Foy.
Cette abbaye a été construite à partir de 1041 par l'abbé Odolric à l'emplacement de l'ancien ermitage de Dadon, datant de la fin du VIIIe siècle. Depuis 1994, l'intérieur est décoré avec des vitraux de Pierre Soulages, un enfant du pays.
Abbaye bénédictine jusqu'en 1537, elle fut ensuite placée sous la responsabilité de chanoines séculiers. Depuis 1873, l'abbatiale est confiée aux frères de l'ordre de Prémontré. Elle est actuellement un prieuré de l'abbaye Saint-Martin-de-Mondaye
L'abbatiale de Conques a fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840. Elle est également inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France depuis 1998.
Les origines de Conques sont relatées dans des textes qui datent, pour les plus anciens, du ixe siècle. Il s'agit des chartes de 801, de 813, de 817, accordant donations et faveurs, et surtout d'un diplôme du 8 avril 819 signé par Louis le Pieux, ou encore d'un poème d'Ermold le Noir qui a écrit une épopée en l'honneur de ce souverain. Le Livre des miracles de sainte Foy et la Chronique de Conques sont datés du xie siècle. Selon cette chronique en partie légendaire, des chrétiens se seraient réfugiés dans les montagnes rouergates pour y fonder un ermitage avant d'être massacrés par les païens en 371. Diverses communautés cénobitiques auraient suivi, mais elles sont tourmentées par les Francs au vie siècle, puis par les Sarrasins en 730.
Selon les récits magnifiés du poème d'Ermold le Noir et de la Chronique de Conques, l'ermite Dadon s'installe vers 790 dans un lieu désert et il y fonde un ermitage qui évolue en monastère en 800. La communauté monastique élève une église dédiée à Saint-Sauveur (Conques I). L'empereur Louis le Pieux, par le capitulaire de 817, impose la règle bénédictine à tous les monastères et place celui de Conques sous sa protection en 819, lui donnant une dizaine d'églises.
En ce neuvième siècle, les reliques revêtent une importance considérables dans la culture de l’Église, nécessaires à la consécration d'une église, elles garantissent une protection de la communauté et peuvent assurer sa prospérité si le culte du saint est important. Deux récits du xie siècle racontent qu'un moine de Conques, Aronisde (nommé aussi Ariviscus) passa dix ans à Agen pour endormir la méfiance de la population et, un soir d'Épiphanie, vole les restes de sainte Foy, une martyre enfant, dans l’église Sainte-Foy d'Agen dont il avait la garde (pieux larcin connu sous l'appellation pudique de « translation furtive »). Après un voyage miraculeux, il ramène les reliques, le 14 janvier entre 866 et 887, dans son abbaye de Conques où elles sont accueillies solennellement. Vers 900, l'ensemble du corps de Foy est placé dans une châsse. La partie la plus noble, le crâne, est logée dans une majesté. Les miracles obtenus à l'invocation des reliques intensifient rapidement le pèlerinage à Conques, si bien que l'abbé Étienne Ier fait construire au milieu du xe siècle une basilique plus grande à trois nefs (Conques II). Le culte de la sainte s'étend même dans toute l'Europe où des prieurés sont fondés en son nom.
L'afflux de pèlerins incite l'abbé Odolric (1039-1065) à construire l'abbatiale romane actuelle (Conques III). L'abbaye est alors un but de pèlerinage. Elle deviendra au XIIe siècle une grande étape sur la via Podiensis, route de pèlerinage du Puy-en-Velay à Saint-Jacques-de-Compostelle. L'édifice bénédictin est commencé, entre 1041 et 1052. Son chevet est certainement achevé avant le décès d'Odolric en 1065. Ensuite, les travaux traînent quelque peu et la nef n'est terminée qu'au début du xiiie siècle. Il est, en outre, possible que le monument ait été modifié en cours de chantier. Ainsi, le chevet débute-t-il par une série de quatre chapelles échelonnées pour n'adopter qu'ensuite le système à déambulatoire et chapelles rayonnantes.
Elle est construite suivant un plan en croix classique, mais à cause de la configuration du terrain (en pente) le transept est plus long que la nef. Les deux tours de façade datent du xixe siècle.
Sainte-Foy a été une des principales sources d'inspiration pour les églises romanes d'Auvergne. Par son architecture, l'église abbatiale se rattache à une série de cinq édifices dont elle constitue le prototype, Saint-Martin de Tours, Saint-Martial de Limoges, Saint-Sernin de Toulouse et Saint-Jacques-de-Compostelle, tous situés sur la route du pèlerinage de Saint-Jacques et présentant des caractéristiques communes : plan à déambulatoire et chapelles rayonnantes, transept pourvu de bas-côtés pour faciliter la circulation des pèlerins. Ces traits communs s'étendent également à l'élévation et au système de contrebutement.
Après la période des grands abbés bâtisseurs de Sainte-Foy, le déclin s'amorce pour la communauté monastique au début du xiiie siècle. La sainte passe de mode et l'abbaye, pénalisée par sa situation marginale, perd de son rayonnement. En 1537, l'abbaye connait une grave crise avec l'évêque de Rodez qui ordonne sa sécularisation. Ce sont des lors, et jusqu'à la Révolution française, des chanoines séculiers qui ont en charge l'abbatiale.
Pendant les guerres de Religion, l'édifice est pillé, endommagé par un incendie (1568). L'abbaye connaît un sursaut au xviie siècle avant qu'elle ne subisse de sérieux dommages pendant la Révolution française : les chanoines sont dispersés et l'édifice est laissé à une municipalité appauvrie, le cloître abandonné est exploité en carrière par les villageois. Prosper Mérimée, inspecteur général des Monuments historiques, impose la réhabilitation du site en 1837.
Entre 1836 et 1849, Étienne-Joseph Boissonnade a remis en état l'abbatiale Sainte-Foy de Conques en faisant les réparations les plus urgentes. Cette remise en état se limite d'abord à des opérations d'entretien : assainir l'édifice, enlever les terres accumulées au pied du mur nord, réouverture de certaines fenêtres, restauration de la couverture de la nef. À l'extérieur, il a repris la maçonnerie de la base des contreforts du côté nord et il a procédé à un rejointement général au chevet et à la façade sud du transept qui avaient souffert de l'incendie de 1568. À l'intérieur, il a fait gratter les nombreuses couches de badigeon sur les murs et les sculptures et a démoli la clôture du chœur en 1840.
L'abbatiale conquoise retrouve son statut de centre religieux et culturel actif en 1873 lorsque l'évêque de Rodez Joseph Bourret y installe les Pères prémontrés de Saint-Michel de Frigolet.
Source Wikipedia
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The Sainte-Foy de Conques abbey is an abbey church located in Conques, in the Aveyron department.
Because of its vocation to welcome pilgrims and to worship the relics of Saint Foy, it is qualified as a pilgrimage church and even constitutes the prototype of other large pilgrimage churches, the Saint-Martial Abbey of Limoges, the Saint-Sauveur church in Figeac, the Saint-Sernin basilica in Toulouse and the Saint-Jacques-de-Compostelle cathedral. Considered a masterpiece of Romanesque art from the south of France, it remains especially famous for its tympanum and its treasure including unique pieces of art from the Carolingian period, including the reliquary statue of Saint Foy .
This abbey was built from 1041 by Abbot Odolric on the site of the old hermitage of Dadon, dating from the end of the 8th century. Since 1994, the interior has been decorated with stained glass windows by Pierre Soulages, a native of the country.
Benedictine abbey until 1537, it was then placed under the responsibility of secular canons. Since 1873, the abbey church has been entrusted to the brothers of the order of Prémontré. It is currently a priory of the abbey Saint-Martin-de-Mondaye
The abbey of Conques was the subject of a classification under the historical monuments by the list of 1840. It is also registered with the world heritage of UNESCO under the ways of Saint-Jacques-de-Compostelle in France since 1998.
The origins of Conques are recounted in texts which date, for the oldest, from the ninth century. These are the charters of 801, 813, 817, granting donations and favors, and especially a diploma of April 8, 819 signed by Louis le Pieux, or a poem by Ermold the Black who wrote an epic in honor of this sovereign. The Book of Miracles of Saint Foy and the Chronicle of Conques are dated to the eleventh century. According to this partly legendary chronicle, Christians would have taken refuge in the Rouergates mountains to found a hermitage there before being massacred by the pagans in 371. Various cenobitic communities would have followed, but they were tormented by the Franks in the sixth century, then by the Saracens in 730.
According to the magnified accounts of the poem of Ermold the Black and the Chronicle of Conques, the hermit Dadon settled around 790 in a deserted place and there he founded a hermitage which became a monastery in 800. The monastic community raised a church dedicated to Saint-Sauveur (Conques I). The emperor Louis the Pious, by the capitular of 817, imposes the Benedictine rule on all the monasteries and places that of Conques under his protection in 819, giving him ten churches.
In this ninth century, relics assume considerable importance in the culture of the Church, necessary for the consecration of a church, they guarantee the protection of the community and can ensure its prosperity if the worship of the saint is important. Two accounts of the eleventh century tell that a monk of Conques, Aronisde (also called Ariviscus) spent ten years in Agen to put to sleep the mistrust of the population and, one evening of Epiphany, steals the remains of Saint Foy, a child martyr, in the Sainte-Foy d'Agen church of which he was in charge (pious theft known under the modest name of "furtive translation"). After a miraculous journey, he brought the relics back, on January 14 between 866 and 887, in his abbey of Conques where they were solemnly welcomed. Around 900, the whole of Foy's body was placed in a reliquary. The noblest part, the skull, is housed in a majesty. The miracles obtained from the invocation of the relics rapidly intensified the pilgrimage to Conques, so much so that in the middle of the tenth century Abbot Stephen I had a larger basilica with three naves (Conques II) built. The cult of the saint extends even throughout Europe where priories are founded in her name.
The influx of pilgrims encouraged Abbot Odolric (1039-1065) to build the current Romanesque abbey (Conques III). The abbey is then a goal of pilgrimage. In the 12th century, it will become a major stopover on the via Podiensis, a pilgrimage route from Puy-en-Velay to Saint-Jacques-de-Compostelle. The Benedictine building began between 1041 and 1052. Its apse was certainly completed before Odolric's death in 1065. Then, the work dragged on somewhat and the nave was not completed until the beginning of the thirteenth century. It is also possible that the monument was modified during the construction. Thus, the bedside begins with a series of four staggered chapels only to adopt the system with an ambulatory and radiating chapels.
It is built according to a classic cross plan, but because of the configuration of the land (sloping) the transept is longer than the nave. The two facade towers date from the 19th century.
Sainte-Foy was one of the main sources of inspiration for the Romanesque churches of Auvergne. By its architecture, the abbey church is linked to a series of five buildings of which it constitutes the prototype, Saint-Martin de Tours, Saint-Martial de Limoges, Saint-Sernin de Toulouse and Saint-Jacques-de-Compostelle, all located on the pilgrimage route to Saint-Jacques and presenting common characteristics: plan with ambulatory and radiating chapels, transept provided with side aisles to facilitate the movement of pilgrims. These common traits also extend to the elevation and buttress system.
After the period of the great building abbots of Sainte-Foy, the decline began for the monastic community at the beginning of the thirteenth century. The saint goes out of fashion and the abbey, penalized by its marginal situation, loses its influence. In 1537, the abbey experienced a serious crisis with the Bishop of Rodez who ordered its secularization. From then on, and until the French Revolution, secular canons were in charge of the abbey church.
During the Wars of Religion, the building was looted and damaged by fire (1568). The abbey experienced a start in the seventeenth century before it suffered serious damage during the French Revolution: the canons were dispersed and the building was left to an impoverished municipality, the abandoned cloister was quarried by the villagers. Prosper Mérimée, Inspector General of Historic Monuments, ordered the site to be rehabilitated in 1837.
Between 1836 and 1849, Étienne-Joseph Boissonnade rehabilitated the Sainte-Foy de Conques abbey church by making the most urgent repairs. This restoration was initially limited to maintenance operations: cleaning up the building, removing the soil accumulated at the foot of the north wall, reopening certain windows, restoring the covering of the nave. Outside, he took over the masonry of the base of the buttresses on the north side and he proceeded to a general repointing at the apse and the south facade of the transept which had suffered from the fire of 1568. Inside, he had the many layers of whitewash scraped off the walls and sculptures and demolished the choir fence in 1840.
The Conquois abbey church regained its status as an active religious and cultural center in 1873 when the Bishop of Rodez Joseph Bourret installed the Premonstratensian Fathers of Saint-Michel de Frigolet there.
Source Wikipedia
Ce château a été construit en 1460 avec des agrandissements sur les ailes qui datent des XVIIIe et XIXe s.
Retranscription des informations du panneau du site:
"Les premiers seigneurs connus portent le nom de Semur en XIIe s. Puis à partir de 1320, la terre de Semur passe à la famille Le Sirier pour plus de 3 siècles. A partir de 1643, différentes familles se succèdent. En 1912, le marquis de Réverseaux et Béatrix Hurault de Vibraye deviennent propriétaires du château puis par alliance, depuis 1954, la famille de Vibraye.
Remanié à plusieurs reprises au fil des siècles le château est encore caractéristique du Moyen-Âge par son implantation sur une plateforme entourée de fossés, son pavillon ancien, ses tours, ses traces de pont-levis et son pigeonnier symbole de haute-justice. Au XIXe s. dans un souci de modernisation et d'embellissement, le duc d'Aumont y fait construire à l'est, la réplique de l'aile ouest. Ses armes et celles de sa famille sont encore visibles sur le fronton de cet aménagement.
Disposant historiquement d'un rôle fondamental dans l'organisation de territoire et dans l'encadrement civil de la population, les seigneurs de Semur assurent un rôle de justice et de police (administration) jusqu'à la Révolution. Ils règlent les conflits observés sur leurs terres et perçoivent diverses taxes en échange d'obligations telles que l'entretien des chemins et des équipements communs comme le moulin.
Après la Révolution française, les propriétaires du château de Semur continuent à exercer une certaine influence au sein du village. Ils sont de grands propriétaires et bienfaiteurs de la commune contribuant à la restauration de l'église, à la mise en place du nouveau cimetière. Le marquis de Réverseaux fut également maire de Semur-en-Vallon de 1932 à 1943."
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Quand on pense à Uzès, on pense à son centre historique, parmi les premiers secteurs sauvegardés de France, offrant aux regards un délice d’architecture. Hôtels particuliers XVII et XVIII ème dotés de tourelles, de cages d’escaliers et de plafonds peints, décors et façades d’influences Renaissance qui racontent l’histoire d’une ville qui connut grâce à la soie une économie florissante.
Des pierres extraites du sous-sol même de la ville et des carrières alentour vont naître des trésors de maisons, d’édifices religieux ou civils, petits ou monumentaux qui donnent à la cité sa superbe. De la petite chapelle St Géniès dont il ne reste qu’une belle abside à l’imposant Duché, témoin millénaire de l’histoire de la seigneurie locale, la pierre est partout.
When we think of Uzès, we think of its historic center, one of the first safeguarded sectors in France, offering a delight in architecture. XVII and XVIII century mansions with turrets, staircases and painted ceilings, decorations and facades of Renaissance influences that tell the story of a city that experienced a flourishing economy thanks to silk.
Stones extracted from the very basement of the city and the surrounding quarries will give birth to treasures of houses, religious or civil buildings, small or monumental which give the city its superb. From the little St Géniès chapel of which only a beautiful apse remains to the imposing Duchy, a thousand-year-old witness to the history of the local seigneury, stone is everywhere.
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Imagen editada: imagen texturizada con texturas propias y creada la composición con 2 copias que son imagen especular una de la otra.
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de/from Wikipedia:
es.wikipedia.org/wiki/Palacio_de_Carlos_V
El palacio de Carlos V es una construcción renacentista situada en la colina de la Alhambra de la ciudad española de Granada, en Andalucía. Desde 1958, es sede del Museo de Bellas Artes de Granada y, desde 1994, también es sede del Museo de la Alhambra.
La iniciativa para la construcción del palacio partió del emperador Carlos Vnota 1 a partir de su boda con Isabel de Portugal, celebrada en Sevilla en 1526. Tras el enlace, la pareja residió varios meses en la Alhambra, quedando profundamente impresionado por los Palacios nazaríes, dejando encargada la construcción del nuevo palacio con la intención de establecer su residencia en la Alhambra granadina.1
Ya los Reyes Católicos habían habilitado salas después de 1492, pero la intención de Carlos era la de dotarse de una residencia estable a la medida de un emperador. El proyecto fue asignado a Pedro Machuca. En una España en la que el estilo imperante era el plateresco, y que no se había despegado totalmente del gótico, Machuca construyó un palacio que corresponde estilísticamente al manierismo, estilo que estaba dando sus primeros pasos en Italia. Aún aceptando las versiones que sitúan a Machuca en los talleres de Miguel Ángel, cuando comienzan las obras del Palacio en 1527 éste no había realizado todavía lo más representativo de su producción arquitectónica.
El edificio se levantó en el corazón de la Alhambra musulmana, en un extremo del patio de los Arrayanes y para su construcción fue preciso derribar un pabellón opuesto a la torre de Comares. Este hecho, que ha sido objeto de crítica y polémica, hay que entenderlo en el contexto de su época: el Palacio de Carlos I no significó tanto la destrucción de parte de la Alhambra como la garantía de supervivencia del resto. En unos tiempos en que lo más habitual era la destrucción total de palacios y templos de los pueblos sometidos, la sensibilidad de los reyes cristianos ante la belleza incontestable de la Alhambra supuso la necesidad de disfrutarla desde dentro y, por ende, de conservarla.
El dominio del lenguaje clásico que demuestra Machuca llega a subvertirlo conscientemente: esto nada tiene que ver con otras obras españolas de la época, en su mayoría fundamentadas en concepciones locales. Su influencia fue muy limitada, por incomprendida: quedarían muchos años hasta que Juan Bautista de Toledo y Juan de Herrera llegaran a las altas cotas de clasicismo del monasterio de El Escorial.
Fachada oeste
Desde 1572, con la rebelión morisca de las Alpujarras, se ralentizaron las obras que quedaron interrumpidas definitivamente en 1637, con los muros y bóvedas concluidos, a falta de cubrir aguas.
Durante la guerra de la Independencia, el ejército francés convirtió el palacio en almacén de artillería, esa misma función se mantuvo cuando las tropas españolas se hicieron con el edificio, que guardaba en su interior gran cantidad de pólvora, balas y carbón piedra. La permanencia de los explosivos suponía un grave peligro para el palacio y para toda la Alhambra. Casi veinte años después de la guerra, el viajero y escritor inglés Samuel Edward Cook escribiría hacia 1828: "El Palacio de Carlos V, aún se usa como polvorín; se encuentra sin pararrayos y la sola chispa de un rayo podría destruir los restos de este interesante edificio y probablemente toda la Alhambra". En 1832, se evacuó por fin el palacio. El estado de la construcción entonces, según relataba el gobernador, era lastimoso y consideraba un milagro que no se hubiera desplomado.
Las obras se terminaron a partir de 1930. Desde 1958, el palacio es sede del Museo de Bellas Artes de Granada, que cuenta con piezas singulares como un famoso bodegón de Juan Sánchez Cotán y varios ejemplos de Alonso Cano. La decisión de trasladar aquí el viejo museo, fundado en 1839, se adoptó en 1941 aunque ya se había acordado en 1914.Tras unas obras de reforma, en enero de 2008 se reabrió el museo. Desde 1994, también es sede del Museo de la Alhambra.
La planta del palacio la conforma un cuadrado de 63 metros de lado con un patio circular inscrito en su interior. Esta disposición, principal rasgo manierista del palacio, no tiene precedentes en la arquitectura del Renacimiento, y sitúa la construcción en lo que se considera la vanguardia artística del momento. El edificio consta de dos niveles: el bajo es de orden toscano completamente almohadillado, en cuyas pilastras se insertan grandes anillas de bronce decoradas.
El piso superior es de orden jónico y sus pilastras alternadas con vanos adintelados provistos de frontón. Las dos fachadas principales ostentan sendas portadas de piedra de Sierra Elvira. El patio circular también muestra dos pisos. El inferior está presidido por una columnata dórica de piedra pudinga con un entablamento muy ortodoxo, formado por triglifos y metopas con motivos de guirnaldas y bucráneos.
El piso superior lo forma una columnata jónica, más ligera, con entablamento liso. Esta estructura general del patio muestra un claro conocimiento de la arquitectura imperial romana, y se encuadraría en el más puro Renacimiento de no ser por su disposición curva, que provoca en el espectador desconcierto cuando se penetra por sus fachadas principales, y supedita los espacios interiores y escaleras a la idea generatriz. Más tarde, Miguel Ángel y Palladio construirán edificios con soluciones análogas, bajo la etiqueta de manierismo.
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en.wikipedia.org/wiki/Palace_of_Charles_V
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Edited image: textured image with own textures and created the composition with 2 copies that are mirror images of each other.
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The Palace of Charles V is a Renaissance building in Granada, southern Spain, located on the top of the hill of the Assabica, inside the Nasrid fortification of the Alhambra. The building has never been a home to a monarch and stood roofless until 1957.
The structure was commanded by Charles V, Holy Roman Emperor, who wished to establish his residence close to the Alhambra palaces. Although the Catholic Monarchs had already altered some rooms of the Alhambra after the conquest of the city in 1492, Charles V intended to construct a permanent residence befitting an emperor. The project was given to Pedro Machuca, an architect whose biography and influences are poorly understood. At the time, Spanish architecture was immersed in the Plateresque style, still with traces of Gothic origin. Machuca built a palace corresponding stylistically to Mannerism, a mode still in its infancy in Italy. The exterior of the building uses a typically Renaissance combination of rustication on the lower level and ashlar on the upper. Even if accounts that place Machuca in the atelier of Michelangelo are accepted, at the time of the construction of the palace in 1527, the latter had yet to design the majority of his architectural works.
The plan of the palace is a 17-metre (56 ft) high, 63-metre (207 ft) square containing an inner circular patio. This has no precedent in Renaissance architecture, and places the building in the avant-garde of its time. The palace has two floors (not counting mezzanine floors). The classical orders are in pilaster form except around the central doorways. On the exterior, the lower floor is in the Tuscan order, with the pilasters "blocked" by continuing the heavy rustication across them, while the upper storey uses the Ionic order, with elaborately pedimented lower windows below round windows. Both main façades emphasize the portals, made of stone from the Sierra Elvira.
The circular patio has also two levels. The lower consists of a Doric colonnade of conglomerate stone, with an orthodox classical entablature formed of triglyphs and metopes. The upper floor is formed by a stylized Ionic colonnade whose entablature has no decoration. This organisation of the patio shows a deep knowledge of Roman architecture, and would be framed in pure Renaissance style but for its curved shape, which surprises the visitor entering from the main façades. The interior spaces and the staircases are also governed by the combination of square and circle. Similar aesthetic devices would be developed in the following decades under the classification of Mannerism.
The palace was not completed, and remained roofless until the late twentieth century.
L’édifice relève principalement de l’architecture romane italienne avec des influences byzantines, il est construit avec un appareillage alterné de marbre clair et sombre. Son plan d’ensemble est celui d’une croix latine. Le dôme situé à la croisé du transept s’inspire de ceux de la basilique Saint-Marc de Venise.
La façade due à Rainaldo — comme l’indique l’inscription Rainaldus prudens operator au-dessus de la porte centrale — est une superposition de quatre galeries à colonnettes.
Des portes de bronze, fondues en 1602 d’après les dessins de Jean de Bologne, remplacent celles existant à l’origine et détruites dans un incendie en 1595. Les fidèles empruntent la Porta di San Ranieri, construite vers 1180 par Bonanno Pisano.
Au-dessus des portes, on retrouve quatre galeries superposées. Le sommet est couronné d’une statue de la Vierge à l’Enfant tandis que des figures des évangélistes reposent sur les coins
De morphologie spectaculaire, et de couleur rouge, les
Gorges de Daluis appelées “Colorado Niçois”, sont un haut lieu mondial de la minéralogie. Elles abritent une faune et une flores d’une grande variété en raisons des deux influences climatiques qui s’y côtoient : alpines et méditerranéennes.
Les Gorges de Daluis ce sont d’immenses parois de plus de 900 mètres de long creusées par le Var dans des roches de couleur lie de vin. Ces roches, appelées pélites, datent du Permien, et s’assimilent à des cendres volcaniques et sédiments fins déposés il y a plus de 250 millions d’années.
Château de Blois (41) - Vue de l'intérieur (revers de la façade des Loges)
Édifiée entre 1515 et 1520, l'architecture et l'ornementation y sont marquées par l'influence italienne (motifs décoratifs mais aussi agencement et forme complète de l'édifice) même si seulement douze ans séparent la construction de cette aile de l'aile Louis XII.
La haute toiture et la présence de gargouilles le long de la façade montre néanmoins un héritage du style gothique qui n'a pas encore été complètement abandonné par les architectes.
L'élément central de cette aile est l'escalier monumental, de type vis hors-œuvre, octogonal, dont trois côtés sont encastrés dans le bâtiment lui-même. Couvert de fines sculptures Renaissance, d'ornements italianisants (statues, balustres, candélabres) et d'emblèmes royaux (salamandres, couronnes, « F » pour François 1er, « C » pour Claude de France), s'ouvre sur la cour du château.
Sa voûte dallée, de forme hélicoïdale, soutenue par des contreforts rectangulaires extérieurs, en font un symbole récurrent de l'architecture française à la Renaissance et annoncent les innovations de l'époque sur l'architecture des escaliers qui deviennent, plus qu'un élément fonctionnel, un ajout esthétique majeur.
Les appartements royaux restaurés sont meublés et ornés de décors polychromes du XIXe siècle, créés par Félix Duban dans la lignée des restaurateurs contemporains de Viollet-le-Duc.
Ce Château est classé aux Monuments Historiques depuis 1840.
Marées et fort courant façonnent la rivière Saguenay (Province de Québec)
Tides & deep strong stream shape the river Saguenay (Province of Québec)
Archive 2015
Cagliari est habitée dés le XVIIIème s avant J-C.
Les Phéniciens la colonisèrent autour de -7OO, mais la ville ne se développa qu'avec l'arrivée des Carthaginois au Vème s avant J-C.
Sous l'influence de ces derniers, elle devint le centre principal de la Sardaigne.
Au cours des guerres puniques, la ville tomba aux mains des Romains en -238.
Au Moyen-âge, elle fut marquée par une forte récession et de multiples incursions sarrasines.
Cagliari passa ensuite progressivement, du XI ème au XIII ème siècle, sous la domination de Pise et de Gênes.
Au XIV ème siècle, les Espagnols la conquirent.
Au XVIII ème siècle l'ensemble de la Sardaigne fut contrôlée par les Etats de Savoie et forma le royaume de Piémont--Sardaigne.
L'âge d'or de Cagliari vint au XIX ème siècle .
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Pentacle Earrings&Top ears
Pentacle Hoop Earrings
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@ᴍᴀɪɴꜱᴛᴏʀᴇ
Huîtrier pie est un oiseau de rivage. Ce robuste échassier assez trapu est entièrement noir et blanc : tête, cou, haut de poitrine et dos noirs ; ailes et queue noir et blanc. Le bec, long et rectiligne, est rouge orangé. Les pattes sont roses. Il n'y a pas de dimorphisme sexuel, mâles et femelles sont absolument identiques.
L'Huîtrier pie montre un fort attachement aux côtes soumises à l'influence des marées pour des raisons alimentaires. Il préfère donc les côtes maritimes peu profondes et les îles, les embouchures de fleuves et de rivières. Les parties du littoral utilisées pendant la période de reproduction doivent présenter un substrat permettant de gratter la cuvette du nid. Il niche entre autres sur les plages de rochers, de galets et de sable ainsi que dans les dunes primaires et secondaires.
L'effet mer ou le combat titanesque entre les volumes et les masses........................toujours ce monde terraqué.............certainement , sûrement unique dans notre système solaire....................!
Quelle chance de côtoyer cela.
Sous l’influence de la vérité contemplée, l’homme ne perçoit plus maintenant de toutes parts que l’horrible et l’absurde de l’existence.
La naissance de la tragédie, ou, Héllénisme et pessimisme
Friedrich Nietzsche
Rue Fischart à Strasbourg
Je suis encore trop timoré pour sortir mon chevalet de campagne ainsi que la peinture à l'huile. J'accumule depuis le temps tout un savoir théorique sur la peinture à l'huile qui finit par influencer ma façon d'étaler l'aquarelle.
Juliette Roche (1884, France - 1980, France)
Sans titre, dit American picnic (détail) [1918, 217 x 374,5 cm]
Musée national d'Art moderne, Paris
fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_national_d%27Art_moderne
en.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_National_d%27Art_Moderne
Juliette Roche
fr.wikipedia.org/wiki/Juliette_Roche
en.wikipedia.org/wiki/Juliette_Roche
"Parmi les grandes œuvres de Juliette Roche, la monumentale toile Sans titre, dit American Picnic (1918) propose, malgré son inachèvement, une relecture joyeuse et inspirée de La Danse de Matisse dans laquelle se télescopent des problématiques d’une universalité confondante pour l’époque : entre âge d’or, sexualité, melting-pot ethnique et trouble dans le genre, cette composition de quatre mètres de long retraverse l’Histoire de l’Art. Vivacité des couleurs pour un espace utopique, sorte de jardin d’Éden dont le traitement d’une clarté éclatante voisinant avec l’ombre ténue rappelle un certain Paul Gauguin. L’influence des Nabis est toujours là avec ses strates de formes faisant des arbres des champignons géants parmi lesquels errent d’inoffensifs félins. Au milieu, ce qui ressemble avant l’heure à un mobile de Calder, si ce n’est un paon abstrait aux motifs tirés de céramiques navajos et hopis, en bordure d’un Déjeuner sur l’herbe, dans le plus simple appareil, pour trois femmes à la couleur de peau disparate. Quant aux danseurs androgynes, tirant de l’orange au rouge lumineux, ils virevoltent dans un mouvement fluide des plus entraînant. Pas un mâle n’y apparaît, mais la peintre, qui s’est représentée avec une amie dans le coin gauche du bas de la toile, nous regarde franchement, assumant pleinement la liberté picturale et thématique de sa rêverie primitive." www.poly.fr/avant-gardiste/
La dune du Pilat est située à l’entrée du bassin d’Arcachon sur la commune de La Teste de Buch, en Gironde.
Appartenant aux dunes côtières d’Aquitaine, elle est à ce jour, la seule dune toujours en mouvement de ce système. Entre océan et forêt, elle se déplace de 1 à 5 m par an vers l’est sous l’influence des vents dominants et des marées.
Ainsi, elle recouvre peu à peu le massif forestier attenant. Constituée d’environ 60 millions de m3 de sable, la dune du Pilat mesure 100 à 115 m de haut selon les années
Huîtrier pie est un oiseau de rivage. Ce robuste échassier assez trapu est entièrement noir et blanc : tête, cou, haut de poitrine et dos noirs ; ailes et queue noir et blanc. Le bec, long et rectiligne, est rouge orangé. Les pattes sont roses. Il n'y a pas de dimorphisme sexuel, mâles et femelles sont absolument identiques.
L'Huîtrier pie montre un fort attachement aux côtes soumises à l'influence des marées pour des raisons alimentaires. Il préfère donc les côtes maritimes peu profondes et les îles, les embouchures de fleuves et de rivières. Les parties du littoral utilisées pendant la période de reproduction doivent présenter un substrat permettant de gratter la cuvette du nid. Il niche entre autres sur les plages de rochers, de galets et de sable ainsi que dans les dunes primaires et secondaires.
... o meio virou amor!
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Minhas lindas da estante fotográfica, essas são pra vocês *-*
Ontem comemorei um ano de Flickr, um ano de alegria, conheci o Flickr graças a Melina de Souza, e vou me apaixonando cada vez mais, é tanta coisa linda, tanta gente magica que chega a emocionar. Graças a ele fiz amigas maravilhosas, amigas que vou levar pra sempre no coração.
Muito obrigada pelo amor, carinho e até paciência, vocês são um arraso.
Marquei aqui as pessoas que mais me influenciaram, inspiraram e me deixaram apaixonada por todo esse tempo. Tem gente que eu não consegui marcar e com certeza devo ter esquecido de outros, mas o que vale é a intenção!
Musée de Valence, Art et Archéologie, exposition temporaire : "L'Univers sans l'homme".
Charles Fraiçois d'AUBIGNY (1817-1878), "La veige" (1873).
Huile sur toile, Musée d'Orsay, Paris.
L'affichette précise :
Baudelaire avait un avis très partagé sur Charles d'Aubigny. Ses paysages, écrit-il en 1859, « transmettent tout de suite à l'âme du spectateur le sentiment originel dant ils sont pénétrés. Mais on dirait que catte qualité n'est obtenue par M. Daubigny qu'aux dépens du fini et de la perfection dans le détail ». Le critique Max de Montifaut dénigre la facture de cette peinture qui s'apparente à « un morceau de plâtre étalé avec un couteau à palette ». En effet, on retrouve ici l'influence de Gustave Courbet et de Claude Monet dans le traitement vigoureux de la matière. Ce paysage est surtout une expression merveilleusement aboutie d'un monde glacé et hermétique à la présence humaine.
Baucher , l'un des maîtres ayant le plus fortement influencé l'équitation Française disait "avec les Chevaux il faut aller lentement pour aller vite"... Il voulait dire par là que de précipiter les choses feront à terme perdre du temps dans l'éducation du cheval ...
Depuis deux mois et demi , je travaille à pied avec Al'Taïr . Je voulais d'abord l'acceptation du mors ,sa confiance totale , puis une certaine obéissance à la voix...
De nombreuses personnes m'ont demandé pourquoi je ne le montait pas encore , certaines devaient penser , sans méchanceté , que j'avais peur...
Hier , j'ai décidé que le moment était propice .
Je l'ai longé en carrière pour le fatiguer un peu par précaution et j'ai mis une étrivière autour de son cou au cas ou je devrais m'accrocher à quelque chose .... Et puis je suis monté dessus en lui parlant .
Il n'a pas bougé une oreille !
J'ai fait une demi heure de pas tranquille , alors qu'un cheval sautait des obstacles dans la carrière , un peu de trot , je le réconfortait en lui parlant doucement et le caressait pour chaque obéissance aux rênes , que j’accompagnait d'ordres doux de la voix : prrrrrrr (en roulant les R , c'est ce qu'on dit aux Chevaux Polonais pour les calmer ou les arrêter et j'ai gardé cette habitude , ma jument était polonaise ) , Ôoooo pas ! Ôooo trot ! ...
Tout le travail préparatoire à fonctionné à merveille... Un cavalier restant concentré (j'ai eu droit à un écart à cause d'un chat...) , mais pas crispé , et aux anges... ☺☺☺
Certains "puristes" diront "ah , ben il est enrêné , balbla bla..." , je leur répondrait que je préfère enrêner mon cheval que de le traumatiser en lui montrant "que je suis un homme et que c'est moi qui commande" en le matant ...
sudafrica, iso 500, f/8, 1/3200, canon 5d mark III, zoom 100-400mm, a mano libera
torno dopo una "bella" influenza ancora in atto... :(
I return after a "tremendous" influence still ongoing :(...
Jo Di Bona doit son succès fulgurant à sa technique unique qu'il a lui-même inventée: le Pop Graffiti, où il associe collages, diverses influences du graffiti et la culture pop, dont il s'est profondément imprégné.
Les six toiles monumentales de l’exposition ont été créées par Olivier Debré comme les composantes d’une seule et même série en 1990-1991. Le titre de l’exposition, dessinant un lien symbolique entre les Nymphéas de Claude Monet et les grands tableaux de Debré, évoque en filigrane toute l’histoire de l’abstraction du XXe siècle. Les œuvres tardives de Monet ont en effet été considérées par certains artistes – les expressionnistes abstraits, notamment – comme les premières manifestations d’une forme d’abstraction en peinture. « Les Nymphéas d’Olivier Debré » n’entend pas invoquer un rapport d’influence direct entre l’impressionniste et le peintre ligérien, mais propose de souligner la parenté conceptuelle de leurs processus de création respectifs.
L'exposition Les Nymphéas d'Olivier Debré permet de présenter au public pour la première fois et dans son intégralité, cette série déployant ses couleurs sur près de cinquante-cinq mètres. L’œuvre, supposant une dimension spatiale, réclame un accrochage singulier, permettant d’embrasser la peinture d’après plusieurs points de vue, d’une manière comparable à celle dont l’artiste percevait son travail à l’atelier. Il ne s’agit pas d’une représentation directe du fleuve, mais d’une interprétation de sa fluidité, de sa liquidité, proprement plastiques. Face à ces œuvres, le regard s’évade, s’épanouit, se promène au gré de la surface et se perd dans les jeux de transparence et de matière, tantôt sèche, tantôt humide. Car Debré ne travaille pas la matière uniquement pour frapper la vision, il donne à ses couleurs un relief tactile et une présence enveloppante qui se propage bien au-delà des limites de la toile.À la manière des Nymphéas de l’Orangerie, ces six toiles de Loire, parmi les plus grandes jamais peintes par Debré, forment une incroyable fresque presque ininterrompue de couleurs et de lumière.Juxtaposées dans la galerie blanche, elles supposent une immersion totale dans un paysage pictural mental et coloré que l’on pourrait qualifier de « wall painting »¹. Ce rapprochement inhabituel, cette suggestion sensorielle font de cet accrochage un grand spectacle.
The six monumental canvases of the exhibition were created by Olivier Debré as the components of a single series in 1990-1991. The title of the exhibition, drawing a symbolic link between Claude Monet's Nymphéas and Debré's large paintings, evokes the entire history of 20th century abstraction. The late works of Monet have indeed been considered by some artists - the abstract expressionists, in particular - as the first manifestations of a form of abstraction in painting. "The Water Lilies of Olivier Debré" does not intend to invoke a report of direct influence between the Impressionist and the painter Loire, but proposes to emphasize the conceptual relationship of their respective creative processes.
The exhibition Les Nymphéas by Olivier Debré allows to present to the public for the first time and in its entirety, this series unfolding its colors on nearly fifty-five meters. The work, assuming a spatial dimension, requires a singular clash, allowing to embrace the painting from several points of view, in a manner comparable to that of which the artist perceived his work in the workshop. It is not a direct representation of the river, but an interpretation of its fluidity, its liquidity, properly plastic. Faced with these works, the gaze escapes, blossoms, wanders at the whim of the surface and is lost in the games of transparency and matter, sometimes dry, sometimes wet. Because Debré does not work the material only to strike the vision, it gives to its colors a tactile relief and an enveloping presence which spreads well beyond the limits of the canvas. In the manner of the Nymphéas of the Orangery, these six paintings of the Loire, among the largest ever painted by Debré, form an incredible almost uninterrupted fresco of colors and light. Juxtaposed in the white gallery, they imply a total immersion in a mental and colorful pictorial landscape that could be described as "Wall painting" ¹. This unusual combination, this sensory suggestion make this hanging a great show
"Deepset offset" (pochoir et peinture) pour l'Urban week 2022 de La Défense
" Diogo Machado, alias Add Fuel, est un artiste plasticien et illustrateur portugais spécialisé en street art et en céramique. Depuis quelques années, Influencé par son héritage culturel, il réinterprète des carreaux traditionnels et l’azulejo.
Ses dessins vectoriels basés sur des pochoirs révèlent une complexité impressionnante et une attention magistrale aux détails [...] Mélangeant deux expressions visuelles à priori irréconciliables, sa pratique cherche à associer des éléments décoratifs traditionnels à des référents visuels contemporains en tentant de trouver l’équilibre parfait à partir de répétitions symétriques, une accumulation de couches et de techniques d’illusion comme le trompe-l’œil. Ses jolies compositions produisent un rythme poétique qui joue avec nos perceptions et ses (multiples) possibilités d’interprétation, racontant le dialogue entre l’ancien et le nouveau, patrimoine et modernité."
Cette exposition retrace l'évolution du travail de l'artiste sévillane sur les vingt-cinq dernières années.
L'influence du mouvement "Me Too" est très présente dans ses oeuvres récentes.
L'œuvre de Pilar Albarracín est un acte d'affirmation, un exercice d'analyse des clichés que représente l'identité andalouse. Le folklore et les traditions populaires, les rituels alimentaires, les mythes religieux, le rôle de la femme dans la distribution des pouvoirs et les fêtes collectives comme la tauromachie constituent l'essentiel de son inspiration.
Concernant la nomination de Darmanin au ministère de l'intérieur, il faut lire par exemple cet article de la journaliste Isabelle Germain (Nouvelles News) :
www.lesnouvellesnews.fr/affaire-darmanin-pourquoi-la-pres...
"L’exécutif a l’indignation sélective. Il s’est, dans le passé, séparé de responsables politiques mis en cause dans des affaires allant de la consommation de homards à des suspicions de conflit d’intérêt, sans qu’il y ait eu de condamnation pénale. Mais quand un ministre de l’Intérieur est en cause alors même qu’il a reconnu avoir obtenu des faveurs sexuelles en échange d’une promesse d’intervention dans un dossier, halte là ! Ce sont les féministes qui se trouvent mises en accusation, elles bafoueraient la « présomption d’innocence ». Pourtant, d’une part, la « présomption d’innocence » n’a pas été évoquée quand d’autres responsables ont été révoqués avant d’avoir été condamnés par la justice. Et, d’autre part, un des faits reprochés au ministre a été reconnu par lui-même, et pourrait être qualifié de « trafic d’influence » ou « d’abus de pouvoir » selon certains juristes. Est-ce acceptable juste parce qu’il s’agit de faveurs sexuelles ?"
L'architecture de cet élégant édifice fût influencé par les constructions de la Renaissance Flamande.
Aujourd'hui, il abrite l'Académie des Beaux Arts.
Dans la vieille ville, on découvre un mélange architectural de style gothique, Renaissance et baroque.
Je télécharge un peu plus rapidement pour avoir fini avant notre départ proche......Très différent: les îles grecques.....
Je serai absente jusqu'à la mi septembre.....
Merci pour vos visites et commentaires!!!!
Ceci n'est qu'un "survol" rapide de Gdansk.....!!!!
basement window.
wiki: De soupirer au sens de « exhaler » avec le suffixe -ail, sous l’influence du latin spiraculum (« soupirail, ouverture ») qui donne l’ancien occitan espiralh (« trou pratiqué dans un tonneau ») et le judéo-français sospiriel attesté au XIe siècle chez Rachi. Pluriel: soupiraux.
Cette exposition retrace l'évolution du travail de l'artiste sévillane sur les vingt-cinq dernières années.
L'influence du mouvement "Me Too" est très présente dans ses oeuvres récentes.
L'œuvre de Pilar Albarracín est un acte d'affirmation, un exercice d'analyse des clichés que représente l'identité andalouse. Le folklore et les traditions populaires, les rituels alimentaires, les mythes religieux, le rôle de la femme dans la distribution des pouvoirs et les fêtes collectives comme la tauromachie constituent l'essentiel de son inspiration.
INFLUENCE ET RIVALITÉ
Après un voyage en France, Pierre le Grand ordonna de faire élever un palais grandiose qui dépasserait en beauté le château de Versailles. Si Versailles célèbre Apollon, Peterhof se veut une évocation de Neptune. Les travaux débutèrent en 1714 sous la direction de l'architecte français Jean-Baptiste Alexandre Le Blond, dans le parc de Peterhof.
Plouzévédé [pluzevede] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Un patrimoine culturel riche, dominé par la chapelle Notre Dame de Berven (1576) dont le clocher, premier du genre, a influencé l'Art breton. Outre l'église Saint Pierre de Plouzévédé, il existe également de nombreuses croix, fontaines, manoirs et moulins, des vestiges de mottes féodales et de trois autres chapelles.
fr.wikipedia.org/wiki/Plouzévédé
À la suite d'une délibération des paroissiens de Plouzévédé, le 21 juin 1573, la construction de la chapelle est confiée à l'atelier qui a réalisé le château de Kerjean. Sous la Révolution, la chapelle n'est pas brûlée grâce à la piété des paroissiens. Son clocher, qui a influencé l'art breton. sert de tour de guet avec le clocher de Taulé. Son beffroi à deux étages de cloches et de galeries est couronné par un dôme, lui-même amorti par trois lanternes superposées. À la base du clocher, un portail à claveaux rustiques date de 1576. Il est surmonté de niches du type de Kerjean. Mais un vieux parchemin situe la fondation de la chapelle au Ve siècle et l'attribue à des disciples de saint Paul-Aurélien. Ces disciples auraient édifié la chapelle à côté d'un chêne afin de combattre les pratiques druidiques dont l'arbre faisait l'objet. Selon une autre tradition, le nom de la chapelle proviendrait du bouillonnement « bervadenn en breton » de la fontaine de Kermojean-Huella. Cette fontaine, située à l'ouest de la chapelle, se met à bouillonner lorsqu'elle est vidée de moitié. (Cl. M. H. 1909)
fr.topic-topos.com/chapelle-notre-dame-de-berven-plouzevede
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Chapel of Our Lady of Berven
Following a deliberation parishioners Plouzévédé, June 21, 1573, construction of the chapel is entrusted to the workshop who made the castle Kerjean. During the Revolution, the chapel is not burned through the piety of the parishioners. Its bell tower, which influenced Breton art. serves as a lookout tower with the tower of Taulé. Its two-storey belfry bells and galleries is crowned by a dome, itself cushioned by three superimposed lanterns. At the base of the tower, a portal rustic quoins date of 1576. It is topped niche type Kerjean. But an old parchment is the foundation of the chapel in the fifth century and attributed to disciples of Saint Paul-Aurélien. These disciples would have built the chapel next to an oak to combat druidic practices that the tree was the subject. According to another tradition, the name of the chapel would come from the bubbling "in Breton bervadenn" the fountain of Kermojean-Huella. This fountain, located west of the chapel began to bubble when emptied half. (Cl. H. 1909)
Translated from:
A basílica do Sagrado Coração (em francês, basilique du Sacré-Cœur) é um templo da Igreja Católica Romana em Paris, sendo, também, o símbolo do bairro de Monte Martre. A basílica está localizada no topo do monte Martre, o ponto mais alto da cidade. A basílica do Sagrado Coração foi construída com mármore travertino extraído da região de Seine-et-Marne, o que lhe proporciona uma tonalidade branca.
Um dos monumentos mais visitados da França, a basílica tem o formato de cruz grega adornada por quatro cúpulas, incluindo a cúpula central de oitenta metros de altura. Na abside, uma torre serve de campanário a um sino de três metros de diâmetro e de mais de 26 toneladas.
A arquitetura da basílica é inspirada na arquitetura romana e bizantina e influenciou outros edifícios religiosos do século XX.