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Center for International Forestry Research (CIFOR) study on above-ground and below-ground biomass in mangrove ecosystems, part of Sustainable Wetlands Adaptation and Mitigation Program (SWAMP). Kubu Raya, West Kalimantan, Indonesia.

 

Photo by Kate Evans/CIFOR

 

Related research publication on mangrove:

 

Mangroves among the most carbon-rich forests in the tropics

www.cifor.org/online-library/browse/view-publication/publ...

 

Carbon storage in mangrove and peatland ecosystems

www.cifor.org/online-library/browse/view-publication/publ...

 

cifor.org

 

blog.cifor.org

 

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The hustle and bustle of Melbourne coupled with Melbourne's biggest ScaleUps. Photos by Tim Carrafa.

Le 18 septembre 2019 en début de soirée, j'arrive ā Sion par un bus assurant la liaison Avignon-Lyon-Genève-Sion. Alors que je m'apprête à rejoindre mon hôte du soir je profite du paysage que je surplombe. Le coucher de soleil donne ā la ville de Sion un caractère surnaturel, les nuages changent de couleur, les lampadaires s'allument, le château de Tourbillon illumine le paysage. Après avoir fait du couchsurfing -première expérience très positive-, je débute le lendemain mon excursion de deux semaines de balade dans le Val d'Hérens au cœur du Valais. Chargé de mon paquetage d'une dizaine de kilos, j'occupe la matinée de mon premier jour d'excursion par l'achat de produits locaux. Pas question de tomber en panne sèche ā 3000 mètres d'altitudes. Un saucisson, du fromage de la région – l'Étivaz-, du chocolat noir -Ovomaltine « C'est de la dynamite ! »-, des fruits secs et c'est parti. Avant de quitter Sion je profite de l'ambiance du centre ville de bon matin. Un passant solitaire traverse la place de la Planta. Du ciel transparaissent quelques rayons du soleil. Atemporel. En début d'après-midi, l'autobus m'amène ā Thyon-les-collons. Arrivé ā environ 2000 mètres d'altitude, je débute ma marche dans un paysage grandiose. Première impression : la connexion avec le ciel, l'impression d' être au dessus de tout... ou presque. Des nuages au loin m'invitent ā monter plus haut, les cols des montagnes ā les gravir pour y découvrir ce qui s'y cache derrière. Je traverse les steppes et gazons alpins, il y a beau temps. La végétation que je croise est luxuriante, colorée et diversifiée. Je croise peu de touristes.

 

Durant les trois premiers jours, j'essaye de prendre un rythme. J'essaye d'atteindre en fin de journée les points que je me suis fixé comme but en début de journée. Je n'y parviens pas. Non pas que physiquement je sois éreinté par le dénivelé que je commence ā ressentir dans les cuisses et ischio-jambier, mais par les nombreux arrêts que je m'autorise pour faire des sessions photographiques. Poser ā terre les bâtons de marche, enlever le sac ā dos, sortir l'appareil photo, cadrer, faire la photographie, ranger l'appareil, réajuster les sangles de maintient, remettre le sac sur le dos, s'abaisser et prendre les bâtons de marche. Reprendre la marche. Toute une opération qui au bout d'un temps me fait plutôt jeter ā terre les bâtons, poser un peu ā la va vite le sac ā terre et répéter toutes ces opérations. Mais cette légère contrainte est largement compensée par l'étonnement, l'admiration, l'ébahissement que j'ai d'être face ā un tel paysage. Une faune et une flore sauvage, laissée ā l'état de liberté. C'est un paysage de caractère qui invite ā la plénitude. Quelques rares habitations qui se perdent dans un paysage montagneux. Le voisinage ne semble pas être une question contraignante. Je m'imagine alors le mode de vie que doivent avoir ces gens qui vivent dans ces habitats le temps d'une saison... peut-être ā l'année. Je prends conscience qu'en montagne, la fraîcheur se fait rapidement sentir dès que le soleil n'illumine plus le flanc de montagne sur lequel vous êtes. En septembre, selon ou l'on se trouve, 17h est l'heure à laquelle il est légitime de se soucier de l'endroit du coucher. Le premier jour, je fais l'erreur de tarder dans le choix du lieu du bivouac. À 19h je commence ma recherche. Après une heure et demie je parviens ā trouver un compromis. En sous-bois, sur le flanc d'un sol pentu, je compense alors les aléas du terrains en mettant en boule quelques habits dans la tente. Je dîne - bien grand mot quand la casserole est ā la fois l'outil de cuisson, l'assiette pour le plat principal et le contenant du thé en fin de repas. Ma première nuit est fraîche, l'idée de dormir dans un sous-bois rend l'atmosphère humide, le froid ressenti comme étant davantage prégnant.

 

Le lendemain je repars en bonne forme. Je continue de longer le fleuve de la Dixence qui se trouve en contrebas du chemin que j'empreinte. Pause ravitaillement pour récupérer ā une source de l'eau et remplir ma gourde de 2 litres. Il n'est pas rare de croiser des troupeaux sur mon chemin mené ou pas par des éleveurs. Au deuxième jour de marche, Thyon-les-collons est ā peine visible. Je croise de-ci, de-là des maisonnettes, des troupeaux sur mon chemin. Le dénivelé se fait plus marqué et le poids du sac se fait davantage sentir sur les épaules. Pause déjeuner. Le paysage se fait de plus en plus montagneux, les roches noires contrastent avec les couleurs ocres, jaunes pétantes des fourrages. Il me faudra trois jours pour arriver au niveau du Lac des Dix (2365m) et de son barrage aux dimensions impressionnantes. D'une hauteur de 235 mètres, long comme deux terrains de football mis bout ā bout, ce barrage est d'une profondeur de 200 mètres ā sa base et d'une quinzaines de mètres ā son point le plus haut. Son poids serait égal ā celui de la grande pyramide de Khéops en Egypte. De telles dimensions permettent au barrage de la Grande Dixence de contenir les 400 millions de m3 d'eau du lac, développant une puissance électrique record de 2000 MW ce qui lui permet d'être considéré comme le plus haut barrage-poids du monde. Un tel spectacle est étonnant. 15 mètres de marche permettent de constater de l'exploit de cette architecture. D'un coté distant de quelques mètres le lac de la Dixence calme et paisible, de l'autre côté la vallée qui s'étend 200 mètres plus bas. À perte de vue des vallons, montagnes, des pics. Au loin, la ville de Sion.

 

Première nuit ou les étoiles se révèlent avec une pollution lumineuse réduite. La voûte céleste se laisse prendre en photographie en pause lente. Il n'est pas rare durant les quelques nuit que je passe proche d'une forêt, d'un bois ou d'un ruisseau de me réveiller plusieurs fois la nuit, saisi par le froid. La couche supérieure de la tente gèle parfois. Par mégarde je laisse deux habits posés sur la tente pour qu'ils sèchent à l'extérieur. Durant la nuit, les cristaux de glaces se forment et les gèlent entièrement. Les débuts de journées sont fraîches et reculent mon heure de départ. La solution ā défaut d'avoir des moufles pour maintenir les mains au chaud : avoir des chaussettes aux mains. À 10h le soleil réchauffe l'atmosphère, les habits sèchent et je peux faire ma toilette et un petit bain frigorifique dans le Torrent de Chenna ā 10h du matin. La route qui mène au barrage de la Grande Dixence est tortueuse, je n'aurai pas ā l'emprunter, prenant un chemin de terre qui y mène directement. Il me fait passer par une succession de tunnel creusé dans des flancs de montagne. Le soir, sans réseau 4G, je campe ā la pointe du lac de Dix. Seul, sans pollution lumineuse, sonore, humaine. J'ai l'impression d'être en proie ā la nature, à une solitude qui ne fait pas peur, mais ou tout est possible. Le passé ou le futur lointain n'est pas dans mes pensée. Seul le présent et ses alternatives temporelles proches m'occupent l'esprit. Je trouve un lieu où dormir et installe la tente. Rapidement je me lave grâce ā l'eau d'un ruisseau qui coule. Je prépare à manger, déguste face à un paysage qui s'obscurcit. La nuit tombe, des nuages se découpent sur les pics des montagnes. Je m'endors avec le seul bruit du vent qui tapote sur la toile de tente.

 

4ème journée, je quitte le lac des Dix pour me rendre au col de Riedmatten en passant par le pas de chèvre (2919m). Je me lève ā 5h du matin. Ma première action ? Prendre un petit-déjeuner à base de chocolat, fruits secs variés, fajitas, patte d'amande avec un peu de chocolat aussi. Un petit coup de toilette puis je m'occupe de trier, ranger le matériel pour qu'il tienne dans les 50 litres du sac ā dos. Au fur et à mesure des jours qui passent je dois avouer que cette action répétitive me lasse un peu mais devient un rituel qui marque le début et la fin de la journée. Je débute la marche alors que le soleil se lève sur les pics de montagnes et la vallée au loin. La montée se fait de plus en plus pentue. Je traverse le Torrent de Cheilon. Peu ā peu, le chemin de caillou se transforme en chemin symbolique ou seul les balises en indiquent concrètement la trajectoire. La flore se fait plus rare, le paysage imposant se fait plus abrupte, le dénivelé s'affirme. Je ne m'aide plus seulement de mes jambes mais aussi de mes mains pour gravir. Je m'attarde un temps face au mont Blanc de Cheilon et ā son glacier. Observation contemplative. Arrivé au Col de Riedmatten, je laisse derrière moi les roches, pierres et une flore qui se fait rare pour y découvrir les steppes qui mènent vers le lac de Moiry. Le paysage environnant est entrecoupé de pics et de pentes dans un écrin de nature sauvage. Je vois dans le Glacier de Tsijore Nouve une tête de mort... En début d'après-midi j'entame ma descente vers Arolla (2000m) dominée par le mont Collon en arrière plan. Arrivé ā Arolla, les nuages s'obscurcissent... J'empreinte un pont de singe qui tangue ā chaque pas dans un rebond lancinant. Une sensation amusante qui donne l'impression d’être plus léger, d'avoir le pas hésitant.

 

Je campe le soir près de la Sage, dans un champs qui en apparence semble appartenir à personne. La nuit fut entrecoupée par une pluie battante et des rafales de vent. Le lendemain je me réveille avec une brume qui se dissipe. Ayant plutôt l'habitude de côtoyer des architectures de béton je quitte la Sage et ses chalets de bois qui semblent venir d'une autre époque. L'objectif que je me fixe ā la mi-journée c'est d'arriver au Lac Bleu, réputé pour se situer dans un écrin de nature sauvage, avec une eau d'une couleur bleu vive - résultant de l'action conjuguée des algues et des argiles glaciaires-. Sur le chemin qui monte au lac, en pleine forêt, alors que je remets une sangle de mon sac à dos, je me fais surprendre par le bond d'un cerf adulte qui fend les fourrages à une vitesse éclair. La scène se déroule face à moi à une trentaine de mètres. Pas un seul bâtiment aux alentours. La nature. Elle m'invite ā un imaginaire digne des films de fantasy comme le Seigneur des Anneaux ou encore à me plonger dans l'ambiance cinématographique d'une période Moyenâgeuse où les croyances et rituels étaient connectés à la nature. Une époque où la démographie humaine était moins importante, où la valeur humaine était autre. Peu de temps m'en faut pour arriver au Lac Bleu. Vu l'heure, je décide de laver et faire sécher au soleil mes vêtements sales. Je mets en place un dispositif d'étendoir assez incongru en utilisant mes bâtons de marche et la table de camping qui se trouve sur une butte en surplombant le lac. 1h. 2h. Le soleil se couvre peu ā peu, malgré des rafales de vent bien présentes, le linge ne sèche pas. 3H, je commence ā me dire que je ne pourrais pas continuer plus loin ma marche de la journée. 19h30. J'installe la tente pour me réchauffer – connaissant la fraicheur des nuits proches d'une source d'eau-. Je décide de faire du feu avec un briquet, quelques brindilles et des branches ramassées de ci de-là. Sans succès. Nuit tombante depuis le lac bleu. Cette nuit fut la plus difficile. Je me réveille plusieurs fois durant la nuit, me réchauffe les doigts en allumant un briquet, entasse mes habits les uns par dessus les autres. À quelques centaines de mètres je traverse ce qui semble être un village abandonné. Une inscription surplombe l'un des chalets : « Le petit chalet ». Le lendemain je prends la route pour les Haudères (1454m), charmant village de vallée où tous les bâtis ou presque sont en bois. Traversant les forêts Valaisannes, je prête l'oreille ā plusieurs coups de feu. En cette basse saison, les chasseurs sont plus présent dans les forêts que les randonneurs. Je fais d'ailleurs la rencontre de trois d'entres eux. Le premier est pris en photographie sur smartphone par sa femme alors qu'il porte ā bout de bras un cerf tel un trophée. Le second lorsque je croise un chasseur porter sur son dos un cerf. Cette rencontre me permets de discuter avec lui sur sa pratique. Je suis notamment étonné de le voir redescendre de si bonne heure (8h) avec déjà un cervidé mort sur le dos. Il m'explique qu'il a tué l'animal la veille, l'a vidé de ses entrailles, a dormi dans une cabane de chasseur et qu'il redescend ā son véhicule pour aller vendre la bête ce matin. Curieux de son arme, il me montre ses cartouches et son viseur d'une précision de plus de 500 mètres. Je le prends en photographie avant que chacun nous reprenions nos routes. À la mi-journée, je décide que je dormirai dans un camping avec plus de confort ā la clef. Avant d'entrer dans les Haudères, je fais la rencontre de plusieurs chalets fleuris nichés sur le flanc de la montagne. Je pourrais presque m'attendre ā ce que Bilbon Sacquet sorte avec un lot de pinte de Gandalf’s Ale, de Bilbo’s Beer ou encore de Frodo’s Lager. Ca n’arrivera pas, mais je m'amuse ā me l'imaginer. Arrivé ā Les Haudères je découvre un centre-village tout fait de bois et de pierres. Deux artères coupent le village d'Est en Ouest et du Nord au Sud. Je passe face au Garage des Alpes, atelier de réparation automobile pour me rendre jusqu’à l'auberge-camping Molignon, endroit ou je dormirai pour la nuit.

 

À minuit il se met à pleuvoir durant plusieurs heures. De bon matin je croise dans le camping un touriste qui me déconseille de randonner jusqu'au Col de Torrent avec la météo qu'il y a eu la veille. Les sommets sont enneigés. Je décide de me prendre une journée de repos et vais en direction d'Evolène (1371m) pour m'y acheter des moufles afin d'éviter le froid ressenti parfois durant la nuit ou pour éviter le frottement de la paume sur les bâtons de marche. Le lendemain en direction de La Sage je croise les dernières maisons. Alors que je continue mon ascension, derrière moi l'orage semble se profiler sur les Haudères et Evolène. Je continue la marche en espérant que la météo ne se dégrade pas trop. Arrivée dans les nuages.

  

J'expérimente ma première nuit à 0 degré à 2700 mètres d'altitude sur le flanc de montagne ā 300 mètres du Col de Torrent. Les nuage sont en formation, j'ai la tête dans les nuages. Levé ā 7h du matin je pars en direction le Col de Torrent ā 2916 mètres d'altitude. Le chemin de traverse me mène jusqu'au lac de Moiry (2249m) d'un bleu étonnant et son barrage qui surplombe la vallée. Son barrage voûte situé dans le canton du Valais en Suisse est localisé au-dessus du village de Grimentz. Il a été mis en service en 1958 après 4 ans de construction. Je m'endors près du pas de Lona (2787m) sous une nuit étoilée. Le lendemain matin, c'est la tête dans les nuages et le brouillard que je débute mon excursion matinale avec l'impression d'assister ā un spectacle, un ballet où les nuages glissent cotonneusement sur les flancs de montagne. Quelle sensation de solitude. Dans l'après-midi j'atteins la cabane des Becs de Bosson ā 2983 mètres d'altitude puis la pointe de la Tsevalire ā 3026 mètres. Je finis la journée bien fatigué proche de la Becca de Lovegno à près de 2700m ou j'y passe la nuit. 18h, le soleil se couche derrière les crêtes. Je passe ma nuit la plus fraiche, -2 degré était annoncé par la météo locale. Je ne dors pas bien, me réveille souvent. Mon pantalon, le sac ā dos et tout ce qui peut tenir chaud est empilé au dessus de moi sur le sac de couchage. Durant un court moment, je décide d'allumer le réchaud pour réchauffer mes doigts.

 

Le lendemain je me repose durant deux heures proche du lac du Louché (2567m), situé dans un écrin de nature marécageux, isolé et préservé de toute activité humaine. Cet endroit est l'un des plus silencieux de toute mon excursion. Pas de bruit. Celui du vent par intermittence. Seul les trainées de condensation d'un avion haut dans le ciel marque la réalité de notre époque et renforce mon extase sonore et visuelle face à un tel lieu. Je prends en photographie la Gentiana Verna, première de la saison qui occupe avec parcimonie les prairies subalpines. Je reprends la marche pour me rendre au Mont-Noble ā près de 2670m. Une fois franchie cette étape je ne cesse de descendre en altitude en passant par Mase (1301m) pour me rendre aux grottes de Combioula qui se trouvent dans les gorges de la Borgne. La source chaude de ces grottes permet de profiter d'une eau à une vingtaine de degrés tout en admirant le paysage environnant. La rivière Borgne qui passe ā quelques mètres est bien plus froide. Le lendemain je me rends direction Hérémence pour y découvrir les pyramides d'Euseigne qui font partie des caractéristiques géologiques impressionnantes du territoire. Je me rends ā Vex (939m). Plus tôt dans la journée j'avais passé un coup de téléphone pour y réserver une nuit en camping.

 

Arrivé lā-bas, je suis reçu par le gérant. Il a l'allure imposante d'un biker de film américain des années 80. Le bandana autour de la tête, assez petit et trapu, la bedaine en supplément. Débute alors un quiproquo où je lui annonce avoir réservé un emplacement de tente pour la nuit. Lui me dit que non. La fatigue n'aidant pas, j'affirme mon point de vue. Quiproquo qui abouti ā ce que la discussion se dégrade. Je décide de partir promptement, n'ayant pas envie d'avoir à faire à ses chiens. Je me rends compte que l'erreur venais de moi et que le camping en question où j'avais une place de réservée était ā Sion au camping Valcentre (500m). Je repense ā cet épisode ubuesque tout en marchant. En bande dessinée ça aurait fait le gag. 17h. Vite il me faut accélérer le pas pour me rendre sur place. Le coup du sort jouant en ma défaveur ou bien car j'étais désinformé, je prends un chemin balisé pour les randonneurs qui me mène à... un cul de sac ou plutôt à un chemin condamné. Du fait de la chute de pierres il y avait quelques mois de cela, la passerelle qui surplombe La Borgne n'est plus. Voyant l'heure filer, je décide tout de même de traverser la rivière le sac ā dos tenu les bras en l'air. Me croyant libéré de cette histoire d'éboulis de pierres je fais face à deux autres reprises à des culs de sac ou des portions de chemin fragilisés. Je me dépêche de les franchir en prenant un maximum conscience des points d'équilibres qui sont optimum pour ma traversée de ces obstacles. Je quitte la rivière et rejoint les champs de vigne. En fin de journée sur les coups de 19 heures j'arrive au camping de Sion fatigué mais content d'avoir réussi à atteindre mon point d'étape de la journée. Les deux jours qui suivent me permettent de faire des emplettes (surtout des plaquettes de chocolat) et de préparer mon retour en France. Je prends le bus le 4 octobre tout en me disant que je reviendrais un de ces jours parmi ces paysages Suisse afin d'en découvrir davantage.

Participants at the Mountain Ecosystem Based Adaptation side event

•Wang Shuo, Managing Editor, Caixin Media, People's Republic of China; Young Global Leader at the Annual Meeting of the New Champions 2013 in Dalian, China 11 September 2013. Photo by World Economic Forum

Human Ecosystems presents One Million Dreams, the first planetary database of dreams, as people express them through social networks. More than 2 million dreams have already been collected, in 15 languages. www.artisopensource.net/network/artisopensource/2014/03/2...

 

29 May 2018 - OECD Forum 2017 - Start-up Ecosystem. OECD, Paris, France.

 

Moderator

 

Jeanne Dussueil, Editor in Chief & Co-Founder, GLOBALIZ

 

Speakers

 

Tamas Foldi, CEO, Starschema

Scott Frisch, Executive Vice President & Chief Operating Officer, AARP

Eugene Kandel, Chief Executive Officer, Start-Up Nation Central, Israel

Marija Rucevska, Co-founder, TechChill Foundation, Latvia

 

www.oecd.org/forum

 

Photo: MarcoIlluminati/OECD

The hustle and bustle of Melbourne coupled with Melbourne's biggest ScaleUps. Photos by Tim Carrafa.

Nice view of a natural landscape

The hustle and bustle of Melbourne coupled with Melbourne's biggest ScaleUps. Photos by Tim Carrafa.

The hustle and bustle of Melbourne coupled with Melbourne's biggest ScaleUps. Photos by Tim Carrafa.

SAVANNAH, Ga. – Members of the U.S. Army Corps of Engineers Savannah District gave presentations to 120 third graders at Marshpoint Elementary about the Corps' Regulatory Program. Regulatory Specialist Brian Moore used an interactive floodplain model to demonstrate how wetlands absorb storm water and filter drinking water. He also explained the Corps of Engineers' role in issuing permits for developers or citizens who want to build projects on or near streams and wetlands. Regulatory Specialist Donald Hendrix showed the students a variety of animal items—snake skins, furs, deer antlers, and sharks teeth—to demonstrate the various animals and habitat within Georgia. The visit was part of a unit of study about Georgia's ecosystems, natural resources, and conservation efforts. USACE photo by George Jumara.

The Midewin National Tallgrass Prairie (MNTP) is a tallgrass prairie reserve operated by the United States Forest Service. The first national tallgrass prairie ever designated in the US, it is located on the site of the former Joliet Army Ammunition Plant about an hour's drive from Chicago.

 

29 May 2018 - OECD Forum 2017 - Start-up Ecosystem. OECD, Paris, France.

 

Moderator

 

Jeanne Dussueil, Editor in Chief & Co-Founder, GLOBALIZ

 

Speakers

 

Tamas Foldi, CEO, Starschema

Scott Frisch, Executive Vice President & Chief Operating Officer, AARP

Eugene Kandel, Chief Executive Officer, Start-Up Nation Central, Israel

Marija Rucevska, Co-founder, TechChill Foundation, Latvia

 

www.oecd.org/forum

 

Photo: MarcoIlluminati/OECD

22 April 2020, Rome, Italy - Virtual meeting on Healthy ecosystems for healthy life: the UN Decade on Ecosystem Restoration 2021-2030.

 

Today, more than ever, we are searching for a sustainable future, where practices towards a healthy, green+blue planet will make life and the environment more resilient and beneficial to all. Harmonizing humans and the environment is an urgent need. Restoration of all types of ecosystems can make a great contribution to it. It’s a major challenge, but also an opportunity ahead of us. Let’s discuss how we can go about it.

 

Photo credit must be given: ©FAO. Editorial use only. Copyright ©FAO.

Attendees at the Annual Meeting of the New Champions 2013 in Dalian, China 11 September 2013. Photo by World Economic Forum

Members of NASA's PACE (Plankton, Aerosol, Cloud, ocean Ecosystem) team are photographed with the spacecraft on Wednesday, Jan. 3, 2024, during a NASA-hosted media day inside a cleanroom at the Astrotech Space Operations Facility near NASA's Kennedy Space Center in Florida. PACE will collect data on how the ocean and atmosphere exchange carbon dioxide, measure key atmospheric variables associated with air quality and Earth's climate, and monitor ocean health. PACE is set to launch aboard a SpaceX Falcon 9 rocket no earlier than Tuesday, Feb. 6, 2024, from Space Launch Complex 40 at Cape Canaveral Space Force Station in Florida. Photo credit: NASA/Ben Smegelsky NASA image use policy.

ecosystem in front of a window in an abandoned old paper factory [hdr]

 

trip together with martino_

The ITU Regional Seminar for CIS & Europe was held in St. Petersburg from 6 to 8 June to discuss the latest technologies and trends in the development of modern radiocommunication ecosystems. Co-organized by ITU and Peter the Great St. Petersburg Polytechnic University (SPbPU), the seminar addressed the appropriate solutions for the sustainable use of the radio frequency spectrum as a scarce resource in enabling the development of the digital economy through mobile, transport, navigation and space systems.

Fishing production dramatically increase through the century peaking in late 1980s. At this time there were major declines in several fish populations in different areas of the world. The catch reported by governments is in some cases adjusted to correct for likely errors in data.

 

For any form of publication, please include the link to this page:

www.grida.no/resources/6070

 

This photo has been graciously provided to be used in the GRID-Arendal resources library by: Philippe Rekacewicz, Emmanuelle Bournay, UNEP/GRID-Arendal

Spotted during a surveillance flight Monday, manatees are taking refuge from the cold weather in a mitigation feature built by SFWMD just south of Port of the Islands in Collier County.

 

Completed in April 2016, the three deep pools ensure the local manatee population continues to have a warm water refuge in the Port of the Islands area that’s compatible with restoration efforts at Picayune Strand. When complete, the CERP project will re-establish a more natural flow of water to 55,000 acres of wetlands and uplands in the Western Everglades.

Ambyvalley road,Lonavala,Mah.,India

Then...taken in December when the monsoon had withdrawn and winter had set in....but clouds could be seen in the early mornings....one among the many peaks here.

Goal of this FAO-led project is to adopt an integrated ecosystems approach for the management of land resources in the Kagera Basin that will generate local, national and global benefits including: restoration of degraded lands, carbon sequestration and climate change adaptation and mitigation, protection of international waters, agro-biodiversity conservation and sustainable use and improved agricultural production, leading to increased food security and improved rural livelihoods.

 

More: www.fao.org/nr/kagera/about-kagera/en/

©FAO/Ny You

 

This poster sets out a proposed assessment framework for understanding and using ecosystem-based adaptation (EbA). It says that a common understanding among policy makers and practitioners abut what qualifies as EbA will help to avoid 'business-as-usual' approaches.

 

The poster defines EbA as the use of biodiversity and ecosystem services as part of an overall strategy to help people adapt to the adverse effects of climate change. It sets out three elements and five qualification criteria for EbA. It poster also illustrates five out of a proposed 20 quality standards and their indicators.

 

This poster is published by GIZ, IUCN and IIED on behalf of the Friends of EBA (FEBA), an informal network of organisations interested in promoting collaboration on EBA. The poster is for display at the 11th International Conference on Community-Based Adaptation (CBA10) in Kampala, Uganda from 26-29 June 2017.

 

Contact: Matthias Bertram, GIZ (Email: matthias.bertram@giz.de), Alia Raza Rizvi, IUCN (Email: ali.raza@iucn.org), Hannah Reid, IIED (Email: hannah.reid@iied.org)

Aambyvalley rd., Upper Lonavala Maharashtra India

Id.updated.

=Manoba major

The hustle and bustle of Melbourne coupled with Melbourne's biggest ScaleUps. Photos by Tim Carrafa.

08.12.2018 Action Hub. Water: Ecosystem-based Adaptation: Coming Together for Water!

29 May 2018 - OECD Forum 2017 - Start-up Ecosystem. OECD, Paris, France.

 

Moderator

 

Jeanne Dussueil, Editor in Chief & Co-Founder, GLOBALIZ

 

Speakers

 

Tamas Foldi, CEO, Starschema

Scott Frisch, Executive Vice President & Chief Operating Officer, AARP

Eugene Kandel, Chief Executive Officer, Start-Up Nation Central, Israel

Marija Rucevska, Co-founder, TechChill Foundation, Latvia

 

www.oecd.org/forum

 

Photo: MarcoIlluminati/OECD

SAVANNAH, Ga. – Members of the U.S. Army Corps of Engineers Savannah District gave presentations to 120 third graders at Marshpoint Elementary about the Corps' Regulatory Program. Regulatory Specialist Brian Moore used an interactive floodplain model to demonstrate how wetlands absorb storm water and filter drinking water. He also explained the Corps of Engineers' role in issuing permits for developers or citizens who want to build projects on or near streams and wetlands. Regulatory Specialist Donald Hendrix showed the students a variety of animal items—snake skins, furs, deer antlers, and sharks teeth—to demonstrate the various animals and habitat within Georgia. The visit was part of a unit of study about Georgia's ecosystems, natural resources, and conservation efforts. USACE photo by George Jumara.

29 May 2018 - OECD Forum 2017 - Start-up Ecosystem. OECD, Paris, France.

 

Moderator

 

Jeanne Dussueil, Editor in Chief & Co-Founder, GLOBALIZ

 

Speakers

 

Tamas Foldi, CEO, Starschema

Scott Frisch, Executive Vice President & Chief Operating Officer, AARP

Eugene Kandel, Chief Executive Officer, Start-Up Nation Central, Israel

Marija Rucevska, Co-founder, TechChill Foundation, Latvia

 

www.oecd.org/forum

 

Photo: MarcoIlluminati/OECD

Now that boulder has been there for a good long time.

 

2014 "Longest Day" Summer Solstice Photo Marathon.

 

Hour 8 (1 - 2) Lower Vasquez Creek, near Winter Park

 

To see some beautiful parts of Colorado a bit closer to Denver, please visit my Front Range Parks group:

 

www.flickr.com/groups/frontrangeparks/

 

Spent all day on a marathon photo shoot. 15 hours Sunrise to Sunset. 15 photo locations. Shot 170 images. Hauled 25 pounds of photo gear in the car, then never switched from the 18-135 Canon zoom I use 90 percent of the time.

 

Drove 320 miles in the Colorado mountains with Debbie (who painted) and Poppyseed (who slept).

 

Light overcast, great for driving. Stay tuned for the rest of the trip over the next week or so.

 

•Mariana Mazzucato, R. M. Phillips Professor in Science and Technology Policy, University of Sussex, United Kingdom at the Annual Meeting of the New Champions 2013 in Dalian, China 13 September 2013. Photo by World Economic Forum

Ambyvalley road,Lonavala,Mah.,India

a view rivalling The Three Sisters of Australia!

Aambyvalley Rd.,Off Lonavala,Mah.,India

Id. confirmed by Dr.John Grehan.

 

flew in only to land in a basket.

The hustle and bustle of Melbourne coupled with Melbourne's biggest ScaleUps. Photos by Tim Carrafa.

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