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© I m a g e D a v e F o r b e s

 

Engagement 1,700+

 

Cat fast approaches Gourock in her then AF Livery

  

Passenger twin-hulled Ali Cat seen approaching her berth at Gourock after her usual Firth of Clyde journey from Dunoon on a sublime October day. She is the twin sister to the Solent Cat which operates cruises on the South Coast.

 

CALMAC TAKE OVERALL CONTROL

She was taken under the direct control of the State-owned Caledonian MacBrayne from 21/1/19 after a Tender Contract Renewal and eventually re-liveried into the company's traditional black & white after the previous management of Argyll Ferries Ltd were dissolved from trading

 

ALI CAT has been on the Clyde since 2000

 

Pas à pas, la journée des joueurs malouins. Récit.

Reportage (OF)

8 h 45. Foyer du stade de Marville. Pierre-Yves David, l'entraîneur, est le premier à arriver pour le premier rendez-vous de la journée. Depuis quelques minutes, les bénévoles s'activent pour préparer le petit-déjeuner en commun.

10 h. Après avoir pris le temps d'un petit baby-foot avec les jeunes du club, actuellement en stage, les joueurs de l'équipe première montent dans le bus. Direction Guingamp.

11 h 45. Le bus de l'US Saint-Malo s'engouffre dans l'enceinte du Roudourou. En accord avec les dirigeants guingampais, le groupe de Pierre-Yves David vient prendre possession des lieux. Ils découvrent les vestiaires, la pelouse, les tribunes. Tous sont sous le charme.

13 h. Les joueurs découvrent leurs chambres d'hôtel, à quelques kilomètres du stade. Une poignée de minutes plus tard, avec le staff technique et plusieurs dirigeants, c'est l'heure du déjeuner.

14 h. C'est l'heure de la sieste. Rendez-vous est fixé à 17 h, pour un réveil musculaire.

17 h. Patrice Musset, l'entraîneur adjoint, prend la tête de la petite marche. Celle-ci est écourtée en raison d'une forte averse de grêle.

17 h 45. Après un petit moment de détente, où la plupart des joueurs se sont attablés pour jouer aux cartes, tout le monde se retrouve de nouveau à table. Petite collation pour avoir suffisamment d'énergie jusqu'au bout de la soirée.

18 h 15. Pierre-Yves David réunit ses hommes dans une salle de réunion de l'hôtel. Le briefing technique et tactique peut débuter. Yves Fantou, co-président de l'USSM, assiste à la causerie. Pas son homologue, Roland Beaumanoir. « Chacun son rôle, ma présence ne ferait que rajouter une forme de pression. »

Pendant son discours, le coach malouin n'en rajoute pas sur la motivation. Les consignes sont simples. Les mêmes que d'habitude. « Le plus important, c'est de privilégier notre unité collective. Pour le reste, c'est vous qui avez les clés du camion. Continuez à nous faire rêver ! »

19 h 10. Cette fois, c'est parti. Direction le Roudourou. La décontraction des joueurs est étonnante. La musique résonne. Certains chantent. D'autres passent un dernier coup de fil à la famille.

19 h 30. Le bus de l'USSM contourne le stade du Roudourou. Les premiers supporters sont là. Ils encouragent déjà. Quelques minutes plus tard, les joueurs s'installent dans le vestiaire. Il fait plus du double de celui de Saint-Malo.

20 h 15. Roland Beaumanoir et Yves Fantou font le tour du stade. La tribune familles, où sont réunis tous les licenciés et les bénévoles de l'USSM. Les salons VIP. La salle de restaurant, où près de 700 repas sont servis, entre 19 h 30 et 20 h 45. Pendant ce temps, les joueurs malouins pénètrent sur le terrain pour l'échauffement.

20 h 55. Les deux équipes font leur entrée sur le terrain. Le stade n'est pas plein, mais les tribunes sont bien garnies. Et l'ambiance Coupe de France se fait sentir.

21 h 08. Abou Maïga se présente seul face au gardien, mais celui-ci réussit une grosse parade. Gros frisson dans le stade.

21 h 33. Une passe lumineuse de Vieira lance Steven Créac'h qui trompe le gardien d'une tête malicieuse. Le Roudourou exulte. Les drapeaux corsaires fendent le ciel. « Qui ne saute pas, n'est pas Malouin ! »

21 h 45. C'est la mi-temps, les Malouins mènent toujours au score. Le Roudourou est chaud bouillant.

22 h 12. La seconde période est plus compliquée. La tension se fait sentir dans les gradins. Mais le stade s'enflamme à nouveau, lorsque Maïga se présente seul devant le gardien. Manqué. Dommage.

22 h 18. Consternation dans les tribunes, quand Mayi égalise de la tête. Mais les supporters malouins ne s'en laissent pas compter. Ils entonnent aussitôt des chants d'encouragement. « US ! US ! Tes supporters sont là ! »

22 h 33. L'Ajaccien Boutaïb récupère le ballon après une belle parade de Sail et glisse le ballon au fond des filets. Les pros ont pris l'avantage. Les affaires se corsent pour les Corsaires.

22 h 50. Grâce aux encouragements du Roudourou, Thomas Lahaye et ses partenaires jettent leurs dernières forces dans la bataille. Cela ne suffit pas. L'arbitre siffle la fin du match. L'US Saint-Malo n'ira pas en quart de finale. Mais les joueurs, les dirigeants, les bénévoles peuvent être fiers. Ils ont réussi à faire rêver des milliers de personnes pendant toute la journée. Une journée qui restera extraordinaire malgré tout.

À Saint-Malo, la pleine mer était annoncée pour 19 h 59, hier soir. À Guingamp, la marée des supporters malouins a pris de l'avance. À 18 h, on pouvait déjà croiser quelques visiteurs d'un soir dans les rues du centre-ville. « On avait peur d'arriver en retard », sourit Thierry, venu de la Cité corsaire avec ses deux fistons.

Les premiers cars arrivent vers 18 h 30 devant le stade du Roudourou. Un ballet bien ordonné, qui déverse des grappes de diablotins, en cadence. Tous sont bien décidés à faire de l'antre d'En Avant leur paradis d'un soir. « Ici c'est Saint-Malo ! » tonne un groupe d'ados, avant de scander « L'US ! L'US ! » sur le chemin du stade, en essayant de faire des émules dans la foule.

Théo, cramponné à son drapeau, regarde les lumières du stade avec de grands yeux. « Il n'a pas eu le temps de faire ses devoirs », plaisante son papa, qui oublie que le petit garçon aura toutes les vacances scolaires pour se rattraper.

« Saint-Malo, c'est quel niveau ? »

Devant les baraques à frites, ce n'est pas l'affluence des grands soirs, mais les commerçants guingampais ont le sourire. « Ils sont venus de loin, ils vont avoir faim, pronostique un vendeur. On va essayer de bien les soigner, ces Malouins. »

La conversation s'engage avec les supporters. « Saint-Malo, c'est quel niveau ? » CFA, monsieur ! « La troisième division, c'est ça ? » Non, quatrième ! « Et pourquoi être venu ici plutôt qu'à Rennes ? » s'interroge le commerçant. « Guingamp, ça nous correspond mieux, ose un supporter au bonnet noir. Le Roazhon Park aurait été trop grand pour nous », abonde son voisin.

Des grappes, encore des grappes, devant le Roudourou. Damien et ses amis, la vingtaine, marchent rapidement, leur billet dans la main. « Affronter une équipe de Ligue 1, c'est un privilège qui ne se représentera pas tous les jours. Nous ne sommes pas forcément des grands spécialistes de foot, mais en tant que Malouins, on voulait vivre ça. »

Les frissons du haut niveau, Nathalie connaît. Cette supportrice d'En Avant a gagné « deux Coupes de France » contre le Stade Rennais. Elle est venue « par curiosité » et soutient évidemment « le petit poucet breton ».

Juste avant l'entrée du stade, les bénévoles de l'USSM se sont postés avec leurs cartons d'écharpes, de bonnets et de cornes aux couleurs du club. « Une petite écharpe ! Ça vous irait bien, vous ne portez pas de jaune », lance un jeune vendeur à un spectateur pressé.

20 h 55. Les abords du stade sont quasi déserts, mais l'intérieur du Roudourou est déjà bouillant. C'est l'heure du peuple malouin...

 

Incorporation de la promotion 2019 X 2019

Crédit photographique : © École polytechnique - J.Barande

photo prise hier 24 OcTobre dans le GARD

 

1 immense champ de COSMOS

Envíanos tu propio diseño para estampado. Cotizaciones, dudas y encargos en www.asuntopolera.com contacto@asuntopolera.com Twitter: @asuntopolera

© All Rights Reserved. This image is protected by copyright. Please do not copy or reproduce this image in print or anywhere on the internet without my direct permission. If you would like to use this, or any of my photos, please just send me a Flickr email and ask.

 

"That way is south guys."

 

Directed by Victor Fleming, Based on The Wonderful Wizard of Oz by L. Frank Baum, Starring Judy Garland

Direct watercolor sketches in the dark with just a small light to@paint by.

Volunteers make personal care packs at the Direct Relief warehouse in Santa Barbara, CA in 2010. DRI "Direct Relief International" "DRI Warehouse" volunteers "personal care packs" 2010. Direct Relief has made great strides to confront the lack of medical resources available to uninsured Americans, particularly those in our own community. Direct Relief’s Personal Care Packs Program assists low-income, uninsured, disabled, and homeless individuals and families through the distribution of packs containing basic personal health and hygiene items such as dental and first-aid supplies, soaps, shampoo, feminine care articles, and infant care products.

 

Each year Direct Relief locally distributes Personal Care Packs to charitable agencies committed to serving homeless families, uninsured migrant workers, and those living in poverty in Santa Barbara County. Direct Relief has prepared thousands of Personal Care Packs to serve people in our community.

 

www.DirectRelief.org

 

www.DirectRelief.org

Photos by Emmy Snyder Photography

 

Directed by Peter Hackett++ Choreographed by Adam Cates Music Directed by Jonathan Parks

Scenic Designer: Daniel Thobias

Costume Designer: Becky Bodurtha

Lighting Designer: Jennifer Reiser+

Props Designer: Madeleine Malloy

Sound Designer: Charlie Hill

Production Stage Manager: Whitney M. Keeter*

Assistant Stage Managers: Brae Singleton* & Morgan Jordan

 

Cast of Characters:

Mama Rose: Anne Torsiglieri*

Louise: Kimberly Pine

Dainty June: Caroline Jackson

Herbie: Eric Bunge

Baby June: Margaret Finley

Young Louise: Kate Packard

Pop/Cigar: Tom DeMille

Tessie Tura: Theresa Kloos*

Electra: Heather Baisley

Mazeppa: Talia Suskauer

L.A: Morgan Blanchard

Uncle Jocko/Mr. Kringelein: Chris Cherin

Georgie/Angie: Chris Collins-Pisano Balloon Girl/Agnes: Mackenzie Dade

Tulsa: Jason Goldston

Weber/Pastey: Daniel Haywayrd

Yonkers: Matt Madden

Thelma: Abigail Reed

Mr. Goldstone/Phil: Ian Shain

Dolores/Renee: Emily Sofia Wronski Marjorie May: Lorin Zackular

Newsboys, Strong Men: Andrew Clark, Daniel Fleischer Newsboy, Cigar Man: Jakob Vedova

 

*Member, AEA

++Member, SDC

+Member, USA

Direct Relief's Senior Program Manager, Lindsey Pollaczek, sent this picture while on her trip in Somaliland:

 

Sado is overcome with emotion when she is asked what Edna means to her—“She is like my mother,” she says. The remarkable Edna Adan, a woman with over five decades of midwifery experience and a fierce passion for instilling knowledge in young people, wraps her arm around Sado's shoulder. “At my age you have to pass the torch, and I choose to pass it to them,” Edna says. “You have no idea how many lives she has saved, and this is why I continue to do what I do.”

 

Read more about Direct Relief's support for midwives here - www.directrelief.org/focus/maternal-and-child-health/midw...

How some research & a phone call saved me £48 on Direct Line Home Insurance Plus: www.helpmetosave.com/2011/08/how-to-save-on-home-insurance/

5/28/14 - Rescuer / Direct Effect / Frameworks / Lyra / Shitty Kids at Area Fifteen in Charlotte, NC

Working The 0Z20 12.27 Toton North Yard To Doncaster Up Decoy According To Realtime Trains The Route And Timings Were

Toton North Yard 12.27 . 11.22 65E

Stapleford & Sandiacre 12.32 No Report

Trowell Jn 12.38 . 11.33 65E

Ilkeston Junction 12.39 No Report

Ilkeston 12.40 No Report

Langley Mill 12.45 . 11.42 1/4 62E

Codnor Park Jn 12.50 1/2 . 12.45 1/4 5E

Ironville Junction 12.51 . 12.45 3/4 5E

Alfreton 12.57 . 12.49 1/2 7E

Blackwell South Jn (Derbs) 12.58 . 12.50 1/4 7E

Morton 13.02 . 12.53 8E

Clay Cross North Jn 13.08 . 12.56 3/4 11E

Hasland 13.10 . 12.58 1/2 11E

Chesterfield South Jn 13.11 1/2 . 12.59 3/4 11E

Chesterfield 13.13 . 13.00 3/4 12E

Tapton Jn 13.14 . 13.01 1/4 12E

Barrow Hill South Jn 13.18 . 13.03 1/2 14E

Barrow Hill North Jn 13.19 . 13.04 1/2 14E

Foxlow Jn 13.21 . 13.06 14E

Renishaw Park (Flhh) 13.22 . 13.06 1/2 15E

Beighton Jn 13.28 . 13.10 3/4 17E

Treeton Jn 13.33 . 13.14 1/2 18E

Canklow Loop 13.35 1/2 No Report

Masbro S.S. Jn 13.37 No Report

Masborough Jn 13.40 . 13.41 3/4 1L

Aldwarke Jn 13.49 . 13.51 1/4 2L

Thrybergh Jn 13.51 1/2 . 13.52 1/2 1L

Kilnhurst Up Gds Loop 13.57 No Report

Mexborough 14.09 1/2 . 14.08 3/4 RT

Conisbrough 14.13 . 14.11 3/4 1E

Hexthorpe Jn 14.17 1/2 . 14.15 1/4 2E

St James Jn 14.26 . 14.17 8E

Doncaster 14.28 1/2 . 14.19 1/2 8E

Bridge Jn 14.31 No Report

Decoy Nth Jn 14.34 No Report

Doncaster Decoy South Jcn 14.40 No Report

St Catherines Jn 14.44 To 15.04 No Report

Low Ellers Curve Jn 15.06 No Report

Potteric Carr Jn 15.10 No Report

Doncaster Up Decoy 15.13 . 15.13 RT

Synopsis: Directed by Diego Luna, "Cesar Chávez" chronicles the birth of a modern American movement led by famed civil rights leader and labor organizer, Cesar Chavez. Torn between his duties as a husband and father and his commitment to bringing dignity and justice to others, Chavez embraced non-violence as he battled greed and prejudice in his struggle for the rights of farm workers. His triumphant journey is a remarkable testament to the power of one individual's ability to change the system.

Credits:

Director: Diego Luna

Executive Producer: Emilio Azcárraga Jean, Haim Saban, Jeff Skoll, Jonathan King, Lianne Halfon, John Malkovich, Russell Smith, Gael García Bernal, Julián Levin, Rebecca O'Brien

Producer: Diego Luna, Lawrence Meli, Keir Pearson, Pablo Cruz

Screenwriter: Keir Pearson, Timothy J. Sexton

Cinematographer: Enrique Chediak

Editor: Miguel Schverdfinger, Douglas Crise

Production Designer: Ivonne Fuentes

Sound Designer: Frank Gaeta

Music: Michael Brook

Principal Cast: Michael Peña, America Ferrera, Rosario Dawson, Jacob Vargas, Yancey Arias, Wes Bentley, John Ortiz, and John Malkovich

 

SXSW Page: schedule.sxsw.com/2014/events/event_FS14952

Integrantes de Junta Directiva y Presidenta de la Comisión de Relaciones Exteriores, diputada Zury Ríos, recibe a delegación de senadores franceses.

Direct selling Flying Get Semarang [ 120414 ]

Bewerbertage der Direct Line in Zusammenarbeit mit der Agentur für Arbeit Potsdam und des Bildungsträgers "Kammer der Technik - Potsdam" am 04. & 05. August 2009, in Potsdam.

Salon Concept Cars les Invalides 2014

  

Twin'Run, le retour de la bombinette

 

Twin'Run est un véritable véhicule de course, doté d'une carrosserie en matériau composite, d'un châssis tubulaire directement issu de l'univers de la compétition et d'un moteur V6 de 320ch en position central arrière, dérivé de Mégane Trophy.

   

Digne héritier des célèbres R5 Turbo et Clio V6, le concept-car Twin’Run affiche une silhouette ramassée très dynamique. Ses roues associées à des porte-à-faux courts et sa ceinture de caisse haute participent au dynamisme de l’ensemble et suggèrent une grande agilité. Ses flancs légèrement creusés, dessinés ‘près du corps’ et surmontés d’une ligne d’épaule marquée, plus généreuse encore au niveau des passages de roue, parachèvent son tempérament sportif.

   

Sur les portières, le numéro « 5 » fait référence à la R5 Turbo, l’emblématique voiture de rallye des années 80. De nombreux détails rendent hommage à cette aînée, tels que le dessin des projecteurs avant ou les hanches généreuses à l’arrière. Les quatre projecteurs additionnels ultra-plats à technologie LED réinterprètent de façon moderne les rampes de phares utilisées dans le monde du rallye durant les spéciales nocturnes. Entièrement configurables, les séquences d’éclairage sont gérées par un système embarqué.

   

Le concept-car Twin’Run préfigure les lignes de style de la future petite citadine de Renault.

  

Twin'Run, un concept-car survitaminé

 

Twin’Run est équipé du moteur V6 3,5L de l’Alliance Renault-Nissan équipant Espace, Laguna et Latitude, et également utilisé en compétition notamment sur Mégane Trophy. Disposé longitudinalement en position centrale arrière, ce moteur de 6 cylindres en V de 3498 cm3 délivre une puissance de 320 chevaux à 6800 tours/minutes sur le train arrière et un couple de 380 Nm à 4850 tours/minutes.

   

Plein et généreux dès les bas régimes, ce V6 musical délivre des accélérations linéaires et assurant une excellente motricité en courbe ainsi que dans les phases de relance. Le V6 est secondé par une boîte de vitesses SADEV séquentielle à 6 rapports équipée d’un différentiel autobloquant à glissement limité, favorisant l’inscription et la motricité de Twin’Run en courbe.

   

L’embrayage bidisque métallique est directement issu de la compétition. Les entrées d’air d’admission sont positionnées au niveau des passages de roues arrière. Des extracteurs d’air dans les custodes arrière contribuent au bon refroidissement du moteur. Le système de refroidissement a fait l’objet d’un traitement spécifique avec des conduits en aluminium poli intégrés de manière visible dans le plancher de l’habitacle. Le moteur est séparé du poste de conduite par une vitre en plexiglas.

Something every Seattle coffeeshop should have... especially in the downtown core...

Direct Rail Services Class 88, 88010 Aurora towing the London Underground 4TC Unit into Kidderminster Town working a shuttle service from Bewdley during the Severn Valley Railway Diesel Festival, 18th May 2018

DC Direct: History of the DC Universe: Series four - (2010)

 

First Comic Book Appearance: Kobra #1

(February 1976)

 

dc.wikia.com/wiki/Kobra

 

en.wikipedia.org/wiki/Kobra_(comics)

This is a force-directed graph of the lineups used by the Columbus Crew in its inaugural season, 1996. Nodes are colored as follows:

 

Dark blue nodes are players; all other nodes are games.

Light blue nodes are games coached by Timo Liekoski (April 13 - July 31)

Orange nodes are games coached by Tom Fitzgerald (August 4 - October 2)

Dark orange nodes are regular season games

Light orange nodes are playoff games

 

Force-directed graphs are self-organizing as each node attempts to position itself according to its links with other nodes. In this case, players are linked to the games in which they appeared, with the strength of the link determined by the number of minutes played. By encouraging this self-organizing behavior, surprising patterns can emerge - which is the case here.

 

The games played have clumped into three groups - which are generally structured chronologically. Perhaps not surprisingly, the games coached by Timo Liekoski are generally separate from games coached by Tom Fitzgerald. A bigger surprise is that the "Liekoski era" is actually grouped in two periods, which are also structured chronologically. The group of games at lower left are the eight games played between July 1 and August 4. The games at right were played earlier, between April 13 and June 30.

 

It appears that the games are clumped in this fashion more because there are certain players who rose to prominence at those times. For example, the grouping of Fitzgerald games at the top are being pulled away not because of Fitz, but because on August 10th two players debuted who went on to play in every game the rest of the season: Rob Smith and Brad Friedel.

 

Other players' presences are influencing the game clumping. Mark Watson appeared in every game through June 27th, and his influence is part of what groups those games to the lower left. Other players in that position are Bo Oshoniyi, Paul Young, and Brandon Ward.

Petit chemin vers la plage avec une belle vue dégagée sur les étoiles!

 

Test de photographie des etoiles donc vos remarques et astuces sont les bienvenues pour améliorer les prochains clichés.

Images taken of the 173rd Airborne Brigade Combat Team running through STX lanes for their Full Spectrum Training Event being held at Hohenfels Germany. US Army Europe Public Affairs photo by Richard Bumgardner.

Direct scan of a car magnet that came off the Dog Lady Van.

 

Rescue. It's the right thing to do.

Press Eye - Belfast - Northern Ireland - Sunday 30th April 2023 -

General view of the 2023 Mash Direct Belfast City Marathon.

Photo by Andrew Paton / Press Eye.

 

twitter.com/Memoire2cite?fbclid=IwAR3JmEG0v02xG5uFvJNSn_x... - Après 1945, les collines agricoles du sud-est de la ville connaissent un programme d’urbanisation de grande ampleur pour répondre à la crise du logement. Près de 4600 logements sociaux vont ainsi être construits en quatre tranches successives de 1953 à 1970 : Beaulieu, la Marandinière, Montchovet, la Métare et la Palle formant aujourd’hui les quartiers sud-est. Touché par la crise économique et urbaine de dingue, le secteur sud-est apparaît à la fin des années 1990 comme un espace monofonctionnel dédié en totalité à l’habitat locatif social et porté par un seul bailleur l'OPAC devenu Métropole Habitat. Bien que bénéficiant de nombreux atouts (accessibilité et environnement agréable...), le quartier souffre du gigantisme de son urbanisation et du manque de résidentialisation des unités d’habitation. Par une action en profondeur et dans la durée, la Ville de Saint-Étienne, à travers son Programme de Rénovation Urbaine (PRU), a amorcé une transformation durable du quartier depuis 1989 avec la 1ere demolition du programme à la rue Pierre Loti le 31 janvier 1989 (BANLIEUE89), 30 ans de renouvellement urbain sur la ville.... une ville pilote en la matiere des 1990. Aujourd'hui et demain Les quartiers sud-est vont poursuivre leur mutation, avec l’appui continu de l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine et ses partenaires l'ANRU2. Développer le secteur économique

L'objectif est de dynamiser l’économie dans ce territoire en portant de nouveaux projets et en restructurant l’offre commerciale de proximité. La Ville de Saint-Étienne a prévu la création de nouvelles zones d’activités permettant l’accueil d’entreprises. Ainsi une zone d’activités économiques, rue Pierre Loti, répondra aux besoins fonciers des entreprises et des artisans locaux. Ce projet de zone économique, en visibilité directe de la RN 88, permettra l’implantation d’une cinquantaine d’entreprises et la création de 300 emplois. Un nouveau centre commercial sur le secteur de la Marandinière, couplé à la démolition des centres commerciaux de la Palle et Sembat, permettra de restructurer et moderniser l’offre commerciale de proximité. Renouveller l'offre d'habitat Une qualité résidentielle s’affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d’habitat variée qui émerge depuis plusieurs années. Les nombreuses démolitions réalisées et à venir (Boulevard des Mineurs en 2018 et immeubles Loti en 2020), ainsi que les réhabilitations d’immeubles en cours, vont permettre de diversifier l’offre de logements. L’un des objectifs du projet urbain est donc de conforter la vocation résidentielle du quartier en stimulant l’offre et en accompagnant des projets comme la construction de logements passifs sur le secteur de Beaulieu, la transformation de l’ancienne école Baptiste-Marcet et la réhabilitation de logements à Monchovet. Améliorer le cadre de vie des habitants

Les quartiers sud-est bénéficient d’un environnement naturellement riche et varié, à l’interface entre les grands parcs de la ville (jardin des Plantes, parc de l’Europe, Bois d’Avaize) et le Pilat. Le projet urbain de la Ville de Saint-Étienne prévoit de relier ces espaces naturels entre-eux avec la création d’une continuité verte, qui permettra aux marcheurs et autres randonneurs de bénéficier d’un véritable réseau de chemins autour de la commune. Le boulevard Alexandre-de-Fraissinette, véritable colonne vertébrale du quartier, et la rue Pierre-Loti seront entièrement revus pour assurer un meilleur partage de l’espace entre tous les modes de déplacements (voiture, vélo et piéton) et assurer un maillage inter-quartiers plus efficace. fr.calameo.com/read/0005441131b4119eaa674

Depuis 2014, la rénovation urbaine dans les quartiers sud-est s’est traduite par de nombreux travaux: la construction du centre commercial de la Grande Marandinière, l’aménagement d’un lotissement de treize maisons individuelles passives, impasse Clémenceau, les rénovations des écoles de Montchovet et de Beaulieu, la réhabilitation de locaux rue Henri-Dunant (pour y installer la Maison des associations), et enfin les démolitions récentes du centre commercial du boulevard de la Palle et d’un garage, au 41 rue de Terrenoire.Démolitions mais aussi constructions sont au programme. Plusieurs acteurs entrent en jeu dans le financement de ces projets, notamment l’ANRU (Agence nationale de rénovation urbaine) mais aussi la Ville, le Département et la Région. Ainsi, le contrat avec l’ANRU, signé le 14 mars, dégage une somme de 23 millions d’euros, somme à laquelle il faut ajouter 3,3 millions d’euros de la Région. Pour les années à venir, les objectifs visent à la poursuite du développement économique, de la mutation de l’habitat par des constructions individuelles ou de petits immeubles, des démolitions ponctuelles, de la valorisation des espaces publics et du renforcement des espaces du quartier. Deux secteurs sont concernés : Loti et la Grande Marandinière. Le 11 AVRIL 1964, le développement de la ville de Saint Etienne, et ses travaux ..La ville de Saint Etienne se développe tout comme l'ensemble du territoire... Pour accompagner cet accroissement de population, de nouveaux quartiers se construisent aux abords de la ville chaque jours. Et pour faire face aux problèmes de circulation, un boulevard périphérique a été aménagé. Réalisé à l'occasion de la construction de la déviation sud de l'autoroute de Saint Etienne, ce reportage témoigne de la visite du sénateur maire de la ville, Mr. Michel DURAFOUR, sur le chantier du tunnel de la déviation. Accueilli par Mr. Rocher, président de la société forêzienne de travaux publics, Michel DURAFOUR découvre avec les membres du conseil municipal l'avancée des travaux. (voir aussi le chantier de l A 47 avec la video du tunnel du rond-point içi : www.ina.fr/video/LXC9610041788 . Ce quartier est né des programmes de grands ensembles mis en œuvre à partir des années 1950 afin de réduire la pénurie de logements. La mairie choisit donc de développer un quartier moderne 4 600 logements en HLM pour pouvoir loger plus de 30 000 habitants avec des loyers modérés dans des bâtiments modernes. Ce quartier avait comme emblème un des plus grands immeubles d’Europe surnommé la Muraille de Chine qui était visible depuis l’autoroute. Ce quartier s’est construit en quatre tranches : Beaulieu I (Beaulieu) de 1953 à 1955 ; Beaulieu II (La Marandinière) en 1959 ; Beaulieu III (Montchovet) en 1964 ; Beaulieu IV (La Palle) en 1971. Il est aujourd’hui en profonde mutation avec un programme de renouvellement urbain qui prévoit la démolition de plus 1000 logements et la reconstruction de 250. Bâtiments spécifiques : CHPL (Centre Hospitalier Privé de la Loire) qui remplace la Muraille de Chine ; Ecole Nationale d'ingénieurs de Saint-Etienne Un modèle de l'urbanisme des années 1950. Beaulieu-Montchovet: La ville choisit de construire un immense quartier neuf de plus de 4.600 logements, prévu pour loger 30.000 habitants, sur les basses pentes du Pilat, à la sortie sud-est de Saint-Etienne.Entre les forêts, qui seront classées parc naturel quelques années plus tard, et les quartiers chics du cours Fauriel, c'est un des endroits les mieux situés de la ville.C'est aussi le seul grand emplacement proche du centre où il n'y aie pas eu de mines, parce que les couches de charbon s'arrêtent juste avant : le terrain est assez solide pour supporter de gros immeubles. Içi le chantier de construction de MONTCHOVET soit Beaulieu 3, la continuitée des constructions HLM de nos quartiers sud-est (les chantiers de l'OPAC) , la vidéo içi :

www.ina.fr/video/LXF99004401 .

Retour sur son historique de 1962 à aujourd'hui e n 2018.

Un grand-Ensemble qui rappelle combien la politique d'urbanisme des années 1960 et suivantes a été conduite en dépit du bon sens la video içi www.google.fr/search?q=montchovet+ina&oq=montchovet+i... et là www.ina.fr/video/CAC00029801 , mais aussi içi www.ina.fr/video/CAC00029801 - avec Claude BARTOLONE içi avec la Visite à Saint Etienne du ministre délégué à la ville le jour de la démolition de la muraille de Chine. Rencontre avec des associations pr discuter du futur du quartier Montchovet. www.ina.fr/video/LY00001263573 - fresques.ina.fr/rhone-alpes/fiche-media/Rhonal00046/demol... - et les differentes videos de la demolition la encore : La démolition de la "muraille de Chine" de Saint Etienne www.youtube.com/watch?v=aq1uOc6Gtd0, www.youtube.com/watch?v=YB3z_Z6DTdc terrible :( ^^ l interview de Michel Thiolliere Le Grisou.fr a interviewé Michel Thiollière, ancien maire de Saint-Etienne et sénateur de la Loire, membre du Parti radical et actuel vice-président de la Commission de régulation de l'énergie. Il livre son analyse sur les prochaines échéances politiques, notamment la campagne des municipales en cours à Saint-Etienne, les alliances de la droite et du centre, mais aussi le mandat de Maurice Vincent. Michel Thiollière s'attarde également sur les besoins de l'agglomération stéphanoise et évoque les enjeux énergétiques en France.(Interview : Maxime Petit -- Réalisation : Studios Bouquet) www.youtube.com/watch?v=AJAylpe8G48,"François Mitterrand, après la visite de deux quartiers -l'un à Saint Etienne et l'autre à Vénissieux, inscrits sur la liste de ceux à réhabiliter -, parle du plan de réhabilitation pour de meilleures conditions de logement.François Mitterrand / Georgina Dufoix / Gilbert Trigano / François Dubanchet / Marcel Houël Thèmes : Grands travaux et grands projets

Le Président > 1er septennat 1981-1988 > 1981-1986 Éclairage

Depuis la fin des années 1970, la région lyonnaise apparaît comme l'épicentre des violences urbaines qui se déroulent en France. Durant l'été 1981, des violences urbaines ont conduit le gouvernement à engager le plus tôt possible une nouvelle politique en faveur des quartiers dégradés. Malgré les premières opérations de réhabilitation engagées par la Commission nationale pour le développement social des quartiers, la situation demeure extrêmement tendue dans un certain nombres de quartiers populaires. L'assassinat d'un jeune de la Cité des 4 000 par un habitant en juillet 1983 a ravivé les débats autour du thème du "mal des grands ensembles" selon l'expression de l'époque. D'autre part, le contexte politique conduit également le pouvoir à s'intéresser encore davantage à la question de la dégradation urbaine dans la mesure où de très nombreux quartiers populaires n'ont pas cette fois-ci apporté leurs suffrages aux candidats de la gauche.La visite de François Mitterrand dans deux quartiers dégradés de la région lyonnaise constitue donc un signal fort à l'égard des populations qui y vivent. Ce déplacement fait également écho à celui réalisé quelques jours plus tôt au sein de la Cité des 4 000 à La Courneuve en Seine Saint Denis (voir Visite de François Mitterrand à La Courneuve). Le principe est d'ailleurs le même et il est exprimé par le président de la République : voir par lui-même l'état réel de ses quartiers. Le fait qu'il soit mentionné dans le reportage que "ces visites surprises" se soient faites dans la "plus grande discrétion" (notamment sans les élus locaux concernés) marque effectivement la volonté du président de la République d'établir une sorte de lien direct avec les habitants qui vivent dans ces quartiers. Il ne s'agit pas de faire l'annonce de nouvelles mesures mais "de voir les choses par moi-même" selon l'expression utilisée par François Mitterrand lors de son allocution à la Préfecture à Lyon. Au moment où la Commission nationale pour le développement social des quartiers établit la liste définitive des 22 quartiers qui bénéficieront d'un programme de réhabilitation, la visite du président de la République sur le terrain suggère une forme de "présidentialisation" du thème de la réhabilitation des grands ensembles.La création au même moment de Banlieue 89 suscitée par deux architectes proches de François Mitterrand, Roland Castro et Michel Cantal-Duparc, suggère également l'intérêt du président de la République pour les questions urbaines (voir Inauguration de l'exposition organisée par Banlieue 89)."http://fresques.ina.fr/mitterrand/fiche-media/Mitter00106/visite-de-francois-mitterrand-a-saint-etienne-et-aux-minguettes.html Journaliste

Visites surprises qui se sont déroulées dans la plus grande discrétion, seule Madame Georgina Dufoix, Secrétaire d’Etat à la Famille et aux Immigrés, Monsieur Gilbert Trigano, le PDG du Club Méditerranée qui participe à la Commission Dubedout, et deux collaborateurs du Chef de l’État étaient présents. Ni à Saint-Étienne, ni à Vénissieux, les autorités locales n’y ont participés. Peu avant midi, le Président est arrivé à la Préfecture du Rhône à Lyon où s’est déroulée pendant 45 minutes une séance de travail avec les élus locaux et notamment Messieurs Dubanchet, Maire de Saint-Étienne et Houël, Maire de Vénissieux. Réunion qui a donné l’occasion d’aborder les problèmes de fond, devait souligner François Mitterrand.(Bruit)François Mitterrand

Les deux quartiers que je viens de visiter, celui de Montchovet à Saint-Étienne et celui de Monmousseau à l’intérieur des Minguettes sur la commune de Vénissieux, sont inscrits sur la liste des 22 quartiers à réhabiliter, retenus, proposés par la Commission Dubedout devenue la Commission Pesce, et retenus par le Gouvernement. Et je compte appliquer nos efforts pour qu’effectivement, ces quartiers soient réhabilités, c’est-à-dire, soient habitables. Qu’on y trouve, pour ceux qui y vivent, euh, suffisamment de convivialité, de capacité de développer une famille et, euh, revenant de son travail quand on en a, de pouvoir vivre avec les autres. Les conditions de logement, la construction de ces ensembles, les liaisons avec l’extérieur, l’école, le sport, les espaces verts, bref, l’espace tout court, contribuent, vous le comprenez bien à, au futur équilibre, ou contribueront au futur équilibre de ces quartiers. Alors, je préfère voir les choses par moi-même. Il faut bien se dire que à l’origine de nombreux désordres sociaux se trouvent ces fâcheuses, ces déplorables conditions de vie. Et moi, je veux lutter contre ces désordres et pour cela, il faut que je m’attaque avec le Gouvernement et ceux qui ont la charge auprès de moi, je veux absolument m’attaquer aux sources d’un malaise et d’un déséquilibre social qui sont d’une immense ampleur. Raison de plus pour commencer par un bout avec énergie et continuité. Et de ce point de vue, je compte bien, au cours des semaines et des mois à venir, persévérer dans cette enquête personnelle qui me permet ensuite de donner des instructions précises à ceux qui participent à la gestion de l’État., à Saint-Étienne comme dans les communes de sa proche banlieue. Une sorte de grand monument à la gloire des HLM, comme si on avait fait exprès de la faire aussi énorme pour montrer comme les gens étaient fiers de ce quartier. Autour on construit tout ce qu'il faut pour les habitants : une école, Montchovet, qui donne sur le grand pré derrière, une MJC, une piscine, un centre commercial, avec la Poste, plus tard le bureau de police. En 1978, comme les enfants des habitants grandissent, on ouvre un deuxième collège dans la ZUP. Il prendra le nom de Jean Dasté, qui a créé la Comédie de Saint-Etienne, le plus grand théatre de province en France, et son école de comédiens. Après 1984 les loyers des HLM ont augmenté, beaucoup d'habitants sont partis. La population de Saint-Etienne diminue surtout dans les quartiers sud : beaucoup de gens déménagent vers la plaine du Forez, moins froide, où il y a la place de batir des maisons. On a rénové beaucoup d'appartements anciens en ville : la crise du logement est finie. On ne sait même plus qu'elle a existé. Les ZUP ont vieilli et la plupart des gens préfèrent se loger dans des appartements récents. Alors on ferme : le collège de Beaulieu, l'école de la Marandinière, la Poste. La Muraille coute très cher à entretenir : il n'y a plus asssez d'habitants pour payer les frais. Les HLM ont décidé de la détruire: c'est le plus gros projet de démolition jamais réalisé en Europe. Les familles qui restaient ont du déménager. On va faire exploser la Muraille de Chine au printemps de l'an 2000. Peut être qu'il fallait le faire, mais pour les gens du quartier c'est un gros morceau de notre Histoire qu'on nous détruit.

1954: les premiers travaux à Beaulieu : la campagne devient une ville à grands coups de bulldozer..

Le projet est de construire en grande quantité des logements de bonne qualité, avec tout le confort, des chambres pour les enfants, l'eau, le chauffage central, des sanitaires, des arbres et des pelouses, et surtout .... des loyers accessibles pour tous. Ce seront les Habitations à Loyers Modérés, les HLM.

Il faudra les construires en dehors des villes, pour en finir avec le mélange des industries et des logements, qui amène le bruit et la pollution. Y prévoir tous les équipements : commerces, écoles, collèges, lycées, transports, parcs, équipements sportifs, police, pompiers, Postes. Construire des villes entières où tout le monde aura accès à ce qui n'était encore que le luxe de quelques gens très riches.

Cinq villes sont choisies pour être prioritaires : Paris ( Pantin ) et Lyon ( Bron-Parilly) à cause de leur taille, Angers et Rouen détruites dans les bombardements de 1944, Saint-Etienne, la ville la plus sinistrée de France pour le logement. C'est là que naissent les cinq premières Zone à Urbaniser en Priorité, les ZUP, modèles de l'urbanisme pour toute une génération. Elles ne s'appellent pas encore comme ça : on les construites avant que l'expression de ZUP existe, c'est de leur réussite que naitra le modèle repris partout pour lequel on inventera le mot plus tard.

Beaulieu I: le projet d'urbanisme

Maquette de 1953 - Projet des architectes Gouyon-Clément

Une architecture géométrique, de grands espaces, des arbres, des formes qui soulignent le relief.

La ZUP de Beaulieu est construite en quatre tranches:

- Beaulieu I ( Beaulieu ) de 1953 à 1955

- Beaulieu II ( La Marandinière ) en 1959

- Beaulieu III ( Montchovet ) en 1964, dont fait partie la Muraille de Chine, le grand immeuble le long du boulevard à gauche.

- Beaulieu IV ( La Palle ) en 1971

Le quartier:

Au premier plan, en bas à droite Beaulieu, la Marandinière est à droite derrière l'autoroute, Montplaisir à gauche, Monchovet au milieu, le long du boulevard de la Palle.

A gauche des tennis, les batiments du collège de Beaulieu. C'était l'autre collège de la ZEP, le seul collège "sensible" de France a avoir été fermé, en 1995.

Nouvelles techniques, nouveaux matériaux :

Construire vite pour un prix raisonnable oblige à inventer de nouvelles techniques, d'autant que l'on manque de travailleurs qualifiés.

La construction s'industrialise: immeubles à structure porteuse ( des poteaux en béton armé tiennent les dalles, ce ne sont plus les murs qui soutiennent les immeubles ), murs rideaux ( les murs sont fait de morceaux préfabriqués accrochés aux dalles ), éléments standardisés ( les éléments: murs, tuyauterie, portes et fenêtres, sanitaires, etc... sont tous identiques, fabriqués en usine en grande série, installés de la même façon dans tous les immeubles ), nouveaux matériaux ( matières plastiques, béton armé, acier ) qui ne s'utilisaient pas dans la construction traditionnelle.

Cela permet de diminuer les prix, en automatisant les fabrications, mais aussi parce qu'on peut utiliser des ouvriers beaucoup moins qualifiés, qui ne font que du montage et que l'on paye moins cher.

Bien après les gens se plaindront de ces appartements tous identiques, de ces matériaux peu agréables, de la taille inhumaine des batiments.

Mais à l'époque il faut compter deux à trois ans d'attente pour obtenir un appartement dans le quartier. Les familles sont si contentes de leur quartier tout neuf que les collègiens qui prennent le bus emportent une paire de bottes en plus de leur chaussures pour aller des immeubles à l'arrêt de bus : pas question de ramener de la boue dans les bus ou dans les escaliers.La crise du logement:

1950 : la France connait la pire crise du logement de son Histoire. La crise économique de 1929 puis la guerre de 1939-1945 ont arrêté la construction de logements, déja insuffisante avant 1930, pendant plus de vingt ans.

La France est au maximum du "baby-boom" ( période de très forte natalité qui commence à la fin de la guerre ) : les 40 millions de français de 1950 font deux fois plus de bébés que les 60 millions d'aujourd'hui. La très forte croissance économique relance l'immigration. Plus de la moitié des familles sont mal logées alors que la France commence la plus forte croissance démographique de son Histoire.

La IV° République, héritière du programme de la Résistance donne la priorité aux besoins sociaux : école, santé, logement, sur la rentabilité financière. L'Etat, les villes, sont décidés à investir dans le logement, qui est déclaré prioritaire dans le Plan d'organisation de l'économie.

Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.

Une barre d’habitation innovante

A l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.

Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons.

Conception et réalisation d’un quartier entier

Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période.

Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.Un projet pharaonique

Le centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville.L’avis de l’architecte

De toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. St-Etienne Cimaise Architectes -

Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»Quelle est l'ampleur des destructions provoquées par la Seconde Guerre mondiale à Saint-Etienne?

La ville subit un important bombardement des Alliés le 26 mai 1944. Celui-ci vise les usines qu'utilisaient les Allemands dans la région pour leur effort de guerre et les noeuds de communication ferroviaire. Comme prévu, la gare de Châteaucreux, les usines de Marais et le tunnel de Tardy sont touchés. Mais les bombes, larguées trop rapidement, atteignent aussi les quartiers du Soleil et de Tardy - notamment les écoles - ainsi que l'église Saint-François, emplie de fidèles. Au total, le bilan est lourd: un millier de morts, 1 500 blessés, 22 000 sinistrés; 800 immeubles ont été plus ou moins détruits.Que prévoit-on pour la reconstruction?Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée.C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.

Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on passe de 114 logements construits en 1948 à 531 en 1951, 1 085 en 1954, 1 694 en 1957 et même 2 932 en 1959! L'effort est gigantesque. Mais le changement est aussi qualitatif. A la fin des années 1940 et au début des années 1950, la France va connaître une rupture architecturale avec l'apparition des premiers grands ensembles. Saint-Etienne sera l'une des villes symboles de cette rupture.Comment cette nouvelle architecture est-elle accueillie?Très favorablement par les classes moyennes, beaucoup moins par les classes populaires.Cela paraît paradoxal, pour du logement social!

Le paradoxe n'est qu'apparent. On l'a oublié aujourd'hui, mais les premiers grands ensembles sont réservés aux familles de moins de trois enfants ayant des revenus corrects, autrement dit aux classes moyennes. Alors que, depuis la guerre, celles-ci devaient se contenter d'une ou de deux pièces mal équipées, elles se voient soudain proposer des logements spacieux, avec de la verdure, de la lumière, une salle d'eau, des WC, le chauffage central. Cela leur paraît merveilleux! Les pauvres, eux, continuent de s'entasser dans de petits appartements sans confort, quand ce ne sont pas des taudis, en particulier à Tarentaize et à Beaubrun, ou des bidonvilles, du côté de Méons, près des puits de mine et des usines sidérurgiques. Ce n'est que plus tard, à partir des années 1970, que les grands ensembles seront prioritairement réservés aux pauvres et aux familles immigrées. Mais, dans les années 1950, les grands ensembles sont encore synonymes de progrès social. Et même au-delà. On est persuadé que ce nouvel habitat va entraîner le recul de la maladie, de la délinquance, voire de la mésentente entre les époux! Il existe ainsi une «commission du bonheur ou des grands ensembles»!On croit rêver...

C'était l'ambiance de l'époque, avec ses utopies et ses excès. Pour les architectes, si l'un des repoussoirs est le taudis de centre-ville, l'autre est le petit pavillon de banlieue, symbole à leurs yeux de l'individualisme petit-bourgeois, avec ses gaspillages de terrain, son absence d'horizon et son coût pour la communauté...Quels sont les quartiers typiques de cette période, à Saint-Etienne?Le premier est constitué par le très bel ensemble de la place du Maréchal-Foch. Il s'agit d'une étape intermédiaire entre l'îlot traditionnel (des immeubles accolés, formant un pâté de maisons) et sa suppression totale. Du côté de la Grand-Rue, plusieurs immeubles constituent encore des semi-îlots. Mais, à l'ouest, deux immeubles sont déjà totalement indépendants: ils sont construits au milieu de la verdure. Et cela, c'est très nouveau. Jusqu'à présent, tous les immeubles érigés à Saint-Etienne, y compris les plus hauts, étaient accolés à d'autres édifices. Cela reste encore, cinquante ans plus tard, l'un des quartiers chics de Saint-Etienne.L'autre grande opération de l'époque, c'est Beaulieu I.Evidemment. On est, cette fois, face à un grand ensemble «pur». Le chantier commence en 1953 - il y a juste cinquante ans - et s'achève en 1955. Ce nouveau quartier de 1 264 logements est remarquablement conçu. Non seulement il respecte la topographie des lieux, mais aussi il joue avec elle: les bâtiments sont implantés soit parallèlement, soit perpendiculairement aux courbes de niveau, ce qui met en valeur la colline tout en préservant son sommet. Pour rompre l'anonymat, les entrées, les façades et les balcons sont individualisés. Les logements sont de qualité, et les espaces verts, confiés aux services de la ville, tout simplement magnifiques. Beaulieu produit d'ailleurs un effet prodigieux sur ses premiers habitants.Son implantation n'est pas non plus le fait du hasard...En effet. Compte tenu des préoccupations hygiénistes de l'époque, le conseil municipal a choisi ce site «loin des zones minières et industrielles, à l'abri des poussières et des fumées, au climat salubre». Il souligne qu'il ne sera «jamais exploité par les houillères, car son sous-sol est stérile» et qu'il est également «bien relié à Saint-Etienne par le cours Fauriel, la seule avenue large de la ville». C'est véritablement le contre-modèle du taudis. Il a d'ailleurs, lui également, remarquablement bien vieilli.Etes-vous aussi enthousiaste pour les projets qui ont suivi Beaulieu I?Hélas!... Beaulieu II-La Marandinière (1957-1959), Beaulieu III-Montchovet (1962-1964), avec la fameuse «muraille de Chine», Beaulieu IV-la Palle (1967-1970) et la Métare (1962-1974), représentant à eux tous quelque 6 000 logements, constituent - à l'exception de la Métare, qui ne comprend que des appartements en copropriété - des échecs complets. Et tragiques.Pourquoi cette différence?

Beaulieu I a bénéficié d'une accumulation de partis pris judicieux qui n'ont pas été appliqués par la suite. Outre la qualité de son architecture et de ses espaces verts, on a évité le zonage bête et méchant, qui allait s'imposer plus tard: les zones commerciales, d'un côté; les tours et les barres d'habitation, d'un deuxième; les emplois, d'un troisième. Enfin, Beaulieu I, réservé presque exclusivement aux classes moyennes, n'a pas connu le processus de dégradation que l'on constatera ailleurs, et dont la destruction de la «muraille de Chine» constituera le symbole.Qui ont été les grands aménageurs de cette époque?Parmi les politiques: le maire, Alexandre de Fraissinette (modéré), et son premier adjoint, qui lui succédera à sa mort, le radical Michel Durafour. Parmi les architectes: Edouard Hur et Henri Gouyon, concepteurs de Beaulieu I. Et, bien sûr, l'Etat, qui reste très présent. C'est lui qui, de manière générale, garde la haute main sur l'urbanisme. Beaulieu constitue une opération nationale, décidée de Paris. Cependant, ce qui est remarquable, c'est que, pour Beaulieu I, l'Etat va accepter de composer.Dans quels domaines?Le ministère de la Reconstruction souhaitait, ici comme ailleurs, que l'opération fût entièrement industrialisée. Autrement dit, que l'on adaptât au bâtiment les méthodes de l'automobile. Les constructions devaient se faire en préfabriqué, et l'on devait se contenter de les monter sur place. Mais, à Saint-Etienne, les architectes, soutenus par le maire, s'opposent à cette directive. Parce qu'ils sont expérimentés, et reconnus, ils vont obtenir gain de cause. Et heureusement.Y a-t-il eu des projets, conçus à cette époque, qui n'ont pas vu le jour? A la fin des années 1950, l'Etat fait appel à de grands architectes pour remodeler les villes. A Saint-Etienne, c'est Dufau, distingué par le prix de Rome, qui est choisi. Il présente un projet radical: raser les 70 îlots qui se trouvent à l'est de la Grand-Rue, entre la place du Peuple et Bellevue, et les remplacer par autant de tours et de barres! Son projet, finalement, ne sera appliqué qu'en partie. Au sud, jusqu'à Bellevue, presque tout est démoli, beaucoup de tours et de barres sont construites. Au nord, les démolitions sont également presque systématiques, mais, cette fois, les nouveaux immeubles reproduisent la forme traditionnelle de l'îlot. On détruit également une partie du quartier derrière la grande poste, ainsi que l'ancienne caserne de Tréfilerie et la prison de Bizillon. Le futur Centre-Deux...

C'est cela. Au départ, l'opération se nomme «prison-Tréfilerie», mais les promoteurs, qui ont le sens du commerce, préfèrent la rebaptiser. Ce quartier est conçu comme un centre d'affaires à l'américaine, type la Défense, à Paris, ou la Part-Dieu, à Lyon. On explique aux élus que, s'ils veulent que Saint-Etienne devienne une grande ville, ils doivent la doter d'un centre d'affaires, avec des immeubles atteignant 100 ou 150 mètres de hauteur, comme aux Etats-Unis! Le projet est lancé (en 1969), mais il sera peu à peu amendé, pour tenir compte de la réalité économique, de la montée des oppositions et de l'évolution des mentalités.

Comment l'économie stéphanoise se porte-t-elle alors?

La ville croit encore à l'avenir de la mine et des industries traditionnelles. Cela se comprend: le plan Monnet pour la relance de l'économie française s'appuie sur l'énergie, les transports, les industries lourdes... Bref, tous les points forts de Saint-Etienne, mais ce sera un cadeau empoisonné, car, bercée par cette illusion, la cité s'endort. Quand elle se décidera à moderniser ses structures industrielles, ce sera toujours avec quelques années de retard. Au fond, c'est dans les années 1950 que l'on commet les erreurs qui conduiront, plus tard, au démantèlement des industries locales.

Le secteur tertiaire a-t-il déjà commencé son essor?

Pas encore. Dans les années 1950, Saint-Etienne reste une ville très fortement industrielle. La tertiarisation, avec l'enseignement supérieur, la transformation de l'hôpital en centre hospitalier régional et universitaire et l'essor de Casino, avec les supermarchés et les hypermarchés, ne commencera véritablement que dans les années 1960.

Culturellement, la ville est aussi très active...

Elle est même, à ce moment-là, l'un des hauts lieux de la création culturelle en France, notamment dans les domaines théâtral et artistique. Maurice Allemand fait du musée de Saint-Etienne l'un des plus grands musées d'art moderne en France. Et Jean Dasté propose au public le théâtre moderne. Ce bouillonnement est dû, notamment, à Alexandre de Fraissinette. Comme, après lui, Michel Durafour, il est persuadé que l'avenir de la cité est dans la modernité. Il considère donc qu'elle doit être déclinée dans tous ses aspects: économique, urbanistique et culturel.

La population comprend-elle cette volonté?

Oui et non. Dans les années 1950, il existe un certain consensus, car tout le monde partage la vision d'un avenir meilleur. Mais, en réalité, Fraissinette, et surtout Durafour, sont très décalés. Dans leur obsession d'une ville «blanche», ils refusent en bloc le passé, dont on a heureusement découvert depuis lors les richesses. Ils rêvent d'une ville qui n'existe pas, peuplée d'habitants qui ne ressemblent pas aux Stéphanois réels... C'est d'ailleurs ce qui, plus tard, provoquera la chute de Michel Durafour.Le chantier de l'autoroute de Saint Etienne 01 nov. 1965, la video içi www.ina.fr/video/LXC9610041788 - ST-Etienne,Montchovet (Beaulieu III) "la Muraille de Chine" construction 1962-1964, architecte HUR/FARRAT/GOUYON.

Rappelez vous...Aout 1983, François Mitterand, se déplace incognito à la Muraille de Chine à Saint-Etienne. Quelques mois plus tard, la grande réhabilitation de cette barre d’habitation sera lancée.

& le 24 octobre 1987 : visite officielle à Saint-Etienne. Il retourne à La Muraille de Chine pour constater les travaux. Le même jour il se rendra à Saint-Chamond et Roanne.

« En 1983, le président s’est rendu à Montchovet à l’improviste »

François Mitterrand est venu une première à Montchovet en 1983 incognito. Pourquoi une telle démarche ?

C’est l’architecte Roland Castro qui a convaincu le président d’aller dans des quartiers populaires. Son but était de lui montrer où vivaient les gens à cette époque et qu’il fallait entreprendre un programme de rénovation.

François Mitterrand m’a appelé et m’a dit d’organiser trois ou quatre » descentes » sur le terrain mais le président ne voulait ni policiers, ni gendarmes. Il m’a simplement demandé d’avertir, par correction, le préfet une fois arrivé. C’était d’ailleurs le meilleur gage de sécurité car lorsque vous n’êtes pas attendu, il n’y a pas de risques. Nous sommes donc allés à Saint-Etienne à Montchovet, aux Minguettes à Lyon, dans le 93.. et, à chaque fois, à l’improviste

> Quelle a été la réaction des habitants ?

Ils étaient très étonnés de croiser le président de la République dans leur cage d’escaliers ! Partout, nous avons reçu un accueil très chaleureux.

Nous étions quatre : le président, Roland Castro, un policier et moi-même. Je me souviens qu’aux Minguettes, le président a été invité par une famille pour boire le thé. Les habitants étaient très heureux que le président s’intéresse à eux.

> Comment François Mitterrand a-t-il réagi en voyant la vie de ses quartiers ?Il était fasciné. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’était, pour lui, une découverte mais il était un rural et le fait de se confronter à la vie de ces gens qui vivaient dans de grandes barres fut enrichissant.> Ces visites impromptues ont-elles été suivies d’effets ?Oui car la mission Banlieues 89 est née de ces visites de terrain. Ce fut d’ailleurs la naissance de la politique de la ville.> En 1987, cette fois, la visite fut officielle - Proposer de nouveaux logements dans une démarche environnementale forte. Dans la poursuite des opérations engagées depuis 2001 (démolition de la Muraille de Chine en 2000, implantation du CHPL, de l ’AIMV en 2005), une qualité résidentielle s'affirme progressivement au sein des quartiers Sud-Est, grâce à une nouvelle offre d'habitat variée (en forme comme en type de produits). Le dynamisme du quartier s'appuie sur l'accueil et le développement de services, d'activités économiques et d'équipements d'agglomération (centre nautique, Nouveau Théâtre de Beaulieu...) et de proximité (salles de sport, travaux dans les écoles). Les atouts paysagers du site sont pleinement exploités dans une démarche environnementale forte. L'aménagement des espaces libres et la requalification des axes structurants et de desserte renforcent les liaisons internes aux quartiers et les ouvrent sur l'ensemble de la ville. Beaulieu, un patrimoine de qualité, valorisé et adapté à ses occupants

40 logement ont été adaptés au vieillissement de leur occupants (bacs à douche, volets électriques, aménagement des ascenseurs, …). L'amélioration des espaces extérieurs, résidentiels ou publics (rue K.Marx, square Renoir, allée Clémenceau) viendra rendre plus conviviaux ces lieux de vie partagés. Petite Marandinière : une cité jardin qui se rénove en gardant son caractère Sur la Petite Marandinière, 320 logements de Métropole Habitat ont été rénovés. Les bâtiments ont été transformés pour arriver à 32 logements, avec création de T3, T4, et T5 en tenant compte de la rénovation thermique et du confort des logements. 54 logements ont été construits, répartis en 6 bâtiments à l'architecture contemporaine et fonctionnelle (surfaces généreuses, double ou triple orientation, terrasse ou loggia). En parallèle, les espaces publics ont été réaménagés dans une démarche environnementale durable et innovante : résidentialisation et embellissement des espaces extérieurs, traitement paysager d'ensemble, requalification des voiries et des circulations douces adaptées aux usages, gestion optimisée du stationnement et des eaux pluviales...Une nouvelle mixité pour le quartier : les maisons de ville "Jardins Sembat" 22 maisons de ville (du T3 au T5) ont été construites à l’angle de la rue Marcel Sembat et du boulevard de Fraissinette. Conçu et développé par l'équipe XXL-Civita-Spirit, ce projet se caractérise par la qualité de la construction (matériaux durables, aménagement soigné des espaces extérieurs…) et par la mise en valeur paysagère du site, ouvert sur les collines du Pilat. 3 types de maisons ont été proposées en location libre : maisons jumelées le long du boulevard de Fraissinette, maisons en pente en fond de parcelle adossée au talus, maisons patio au cœur de l’îlot. Un nouveau centre nautique sur le secteur Loti Souhaité par les habitants, exemplaire d’une démarche participative de coproduction, le centre nautique Yves Naime a été ouvert à l'été 2013, en remplacement de l'ancienne piscine de la Marandinière. Ce centre nautique comprend un bassin sportif (25m, 6 lignes d'eau), un bassin destiné aux activités ludiques (bains bouillonnants, aquagym...), une pataugoire et des plages extérieures.Grande Marandinière : un secteur d'habitat en développement . Après la démolition de la barre Sisley et celle en cours de la barre Féguide, c'est un nouveau quartier qui se dessine sur ce secteur. La reconfiguration de la rue Sisley en voie de promenade avec des vues en belvédère et l'aménagement d'une « coulée verte » ont profondément modifié le paysage urbain du secteur. Ce nouvel environnement a permis à Métropole Habitat de réaliser un programme immobilier de 27 logements locatifs. Dans ce bâtiment collectif moderne et fonctionnel, chaque logement comporte un espace extérieur privatif, balcon ou terrasse. Au rez-de-chaussée, des locaux d'activités (centre social espace-loisirs) ou de services sont déployés le long de la nouvelle rue Sisley. La Palle : des résidentialisations de qualité

La résidentialisation des immeubles du boulevard de la Palle apporte aux habitants de nouvelles terrasses privatives en rez-de-chaussée, des espaces en cœur d’îlots plus agréables, et de nouveaux parcours piétonniers avec aires de jeux. Elle s’accompagne de la réhabilitation des immeubles (réfection des façades, changement des garde-corps…). Des opérations de résidentialisation ont été menées immeuble par immeuble de 2006 à 2009. Elles permettent de définir les limites entre les parties publiques ouvertes à tous, et les parties privées. Des petits jardins privatifs sont ainsi aménagés pour chaque logement de rez-de-chaussée.

Le Pont Aven : du logement social à haute performance environnementale

Développé par Métropole Habitat, le Pont-Aven est un exemple en matière de construction écologique. Il accueille 20 logements sociaux du T2 au T5. L’ensemble de la conception du bâtiment intègre des critères environnementaux : parois extérieures en brique mono-mur, eau chaude solaire, chauffage collectif au gaz naturel, ventilation intérieure à double flux pour une meilleure circulation de l’air, équipements électriques et sanitaires économes en énergie. La toiture végétalisée permet quant à elle une meilleure conservation de la fraîcheur en été, les auvents du toit protègent les fenêtres du soleil et les eaux de pluie seront récupérées pour arroser les espaces extérieurs…Résultat : une diminution des rejets en CO2 et une baisse significative des charges de chauffage pour les locataires.

Favoriser l'accessibilité et les relations inter-quartiers Le réaménagement du boulevard de la Palle a favorisé une meilleure desserte du quartier en transports en commun. Une station de taxis, des pistes cyclables et des pelouses ont été aménagées le long du boulevard, sécurisant ainsi la traversée piétonne entre les terrasses Roinat et le centre hospitalier. A l'intérieur du quartier, la trame piétonnière a été développée dans le principe d'une continuité paysagère entre les différents secteurs. Initiée avec l’aménagement des terrasses Roinat, une coulée verte, nouveau poumon vert du quartier, facilitant la circulation des piétons et des cyclistes, relie désormais le boulevard de la Palle, et plus loin le bois d'Avaize, au Parc de l'Europe. - Après la seconde guerre mondiale, un immense chantier s'ouvre en France dans le but de loger massivement une population démunie, les réalisations des HLM en France et la lutte contre l'habitat indigne insalubre , le film parle de St-Etienne entre autre avec les Cités du soleil 1958 de Jean-Claude Sée : www.dailymotion.com/video/xgj74q .

Jusqu'au milieu des années 1970, cette période dite des « Trente Glorieuses l'après guerre et montre la plupart des grandes réalisations de 1945 à 1960. A travers les exemples de la région parisienne et de quelques grandes villes françaises sont posé les problèmes de la diversité architecturale, de l'esthétique et de l'harmonie entre le passé et l'avenir. Les images montrent les grands ensembles de Beaulieu, la Marandiniére, à Saint-Etienne, la cité le Haut du Lièvre à Nancy, des cités à Sarcelles, Asnières, Bron-Parilly, Epinay, Pantin, Bobigny, la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille, le front de mer à Royan, la video de l'Année 1962, une réalisation de Philippe Brunet içi www.dailymotion.com/video/xgj2zz » fut le terrain de nombreuses expérimentations architecturales et urbanistiques, fondées notamment sur les idées émises plus tôt dans le siècle par le Mouvement moderne.

Aujourd'hui, ces ensembles bâtis sont au cœur d'une autre actualité, liée à leur adaptation à l'évolution des modes de vie de notre société contemporaine. Cette question qui se posa dès la fin des années 1970 apparaît sous un jour nouveau, avec les premières démolitions dans les années 1980 et, plus récemment, le vaste programme de réhabilitation mis en place dans le cadre de la loi Solidarité et Renouvellement Urbain.

Après Les Grands Ensembles. Une histoire qui continue…, ce nouvel ouvrage, fruit de la collaboration entre l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Saint-Étienne et l'Université Jean Monnet, apporte un éclairage nouveau sur cet héritage bâti, mettant au jour simultanément la question de son vécu et celle des acteurs engagés dans son édification. En réunissant quinze auteurs spécialistes de ce domaine, il s'agit de regrouper autant de points de vue, pour comprendre la diversité et la complexité des enjeux liés à la postérité de ce bâti. - « Petite enquête sur Beaulieu – Le Rond-Point », La Tribune du centre et du sud-est, 13 octobre 1955 et « Le chantier de Beaulieu – Le Rond-Point (1ère tranche) sera terminé le 30 juin 1956 très exactement »,La Tribune du centre & du sud-est, 26 juin 1956 -

«St-Etienne, la place des grands ensembles dans l’histoire de l’habitat social français »

Saint-Étienne/Beaulieu, au sud-est de l’agglomération, sur le versant sud de la colline de Beaulieu, en forte pente et d’aspect semi-rural, la cité de Beaulieu est mise à l’étude dès 1950. Elle débute en 1953 et comprend 1 221 logements, un groupe scolaire et 35 boutiques. Des parrains prestigieux et l’élite de l’architecture sté- phanoise sont mobilisés pour ce premier grand ensemble local.

Tantôt les bâtiments suivent le dessin de la courbe de niveau 600, devenue rue Le Corbusier, tantôt ils s’installent perpendi-culairement à la pente, reliés à la rue par des passerelles ou de grands escaliers. A l’implantation exemplaire des bâtiments répond une maîtrise raffinée du végétal d’accompagnement, décliné selon les modes habituels aux squares urbains, avec une virtuosité étonnante dus aux talents de l’ingénieur des Services techniques de la ville, Jean Marc, associé à l’équipe de concep-tion dès l’origine de l’opération.

Le vocabulaire de l’art des jardins s’adapte au grand ensemble : les espaces sont découpés à partir des courbes de niveau et des allées, et caractérisés par un système de haies et de contre-haies (haies étagées doubles ou triples) constituées de troènes com-muns ou dorés, prunus, berbéris et buffets de laurier, et sont plantés d arbres rythmés et colorés (érables négundo et acacias), ou parfois fastigiés (la gamme d’arbres est d’ailleurs peu riche), selon un dessin géométrique et des alternances de couleurs. Ces espaces verts ne sont réalisés qu’à partir de 1964, après avoir été longtemps laissés en prairies fauchées. Cet état de fait, dû au départ à l’étirement des financements des projets d’espaces exté-rieurs, s’inscrivait aussi dans la logique de conception de notre ingénieur, qui pensait « qu’il était nécessaire de laisser vivre un groupe d’habitations avant de planter » – afin de reprendre notamment les chemins tracés par l’usage.

Cette réalisation révèle le décalage entre les réflexions et les savoir-faire architecturaux et paysagers et exprime quelques traits caractéristiques de la pratique paysagiste. Le festonnage des haies qui jalonne les espaces extérieurs rejoint celui des collines boca- gères surplombant les bâtiments. Il rappelle le site environnant et inspirera plus tard l’AUA et Alexandre Chemetoff pour la réhabilitation du quartier de Montreynaud.

Relevons que, sans l’action concertée des services de la ville et de l’office d’HLM, qui finança entièrement la réalisation des espaces verts, rien n’aurait été fait à cette époque, compte tenu du désintérêt pour cet aspect du projet des principaux responsables du chantier. « D’ailleurs, à cette époque, les architectes ne jouaient pas au paysagiste… », queleques superbes videos du Ministere de la Cohésion et des Territoires içi : .Naissance d'une banlieue mort d'un village 2000 www.dailymotion.com/video/x1a98iz

Réalisateur : Sidney Jézéquel Production : Les Films Roger Leenhardt Sujet : la commune de Goussainville (95) --------

Quatre murs et un toit 1953 www.dailymotion.com/video/xk6xui Scenario et réalisation Pierre Jallaud MRU (ministère de la reconstruction et de l'urbanisme) ----------------Le Bonheur est dans le béton www.dailymotion.com/video/x413amo - 2015 Documentaire réalisé par Lorenz Findeisen produit par Les Films du Tambour de Soie ---------------------Beaulieu par son constructeur la Cimaise :" Entre les années 50 et 60, et suite à la seconde guerre mondiale, la municipalité stéphanoise a vu sa population passée d’un peu moins de 180 000 habitants en 1950 à plus de 200 000 habitants dix ans plus tard en 1960. Cette forte augmentation de la population pouvait s’expliquer par le fort taux de natalité de cette époque (baby-boom), mais aussi par l’afflux de travailleurs de la classe ouvrière venus dans la grande cité stéphanoise pour trouver un travail. De ce fait, la construction d’un logement sain pour chaque ouvrier était devenue une priorité absolue pour les élus qui considéraient à raison que cela était une condition vitale dans le cadre de ce grand développement. Pour ce faire, la ville a lancé dans les années 50 une vaste opération de construction de barres d’habitation dans la zone de Beaulieu, destinée à fournir un logement à une population grandissante.--- Bâtir mieux plus vite et moins cher 1975 l'industrialisation du bâtiment et ses innovations : la préfabrication en usine, le coffrage glissant... www.dailymotion.com/video/xyjudq ----

SAINT-ETIENNE BEAULIEU une barre d’habitation innovante

A l’époque, avec une majorité d’architectes, les appartements modernes construits possédaient des cloisons lourdes empêchant toute modification interne ainsi que des espaces de renvoi sombres et non ventilés ressemblant à des alcôves.

Mais à l’inverse, pour certains architectes précurseurs de la région à l’image d’Yves et Henri Gouyon, la modernité reflétait le gout de la clarté, de l’air, et du soleil, avec de larges horizons. Ainsi, ces derniers donnaient la priorité non pas aux façades qu’ils considéraient comme de simples élévations du plan, mais aux cellules d’habitations et à leur orientation. Dans cette optique, le bâtiment proposé par Henri Gouyon, qui était donc un partisan de l’espace ouvert moderne, supprimait les circulations et profitait de ce gain de place pour aménager de nouveaux espaces de vie communes. De plus, dans ces cellules d’habitations, les architectes ont tirés profit au maximum de la double orientation des appartements (ces derniers étaient traversant) avec par exemple l’accolement de balcons. Conception et réalisation d’un quartier entier. Pour le projet de Beaulieu, l’on confia la conception ainsi que la réalisation des interventions aux agences Henri et Yves Gouyon puis Yves Gouyon et associés. Ainsi, dés le milieu des années 50, des études concernant Beaulieu II – La Marandinière furent conduites, suivis de la construction du bâtiment entre 1957 et 1959. S’en suivit Beaulieu III – Montchovet entre 1962 et 1964, surnommé la « Muraille de Chine la plus grande barre d'Europe avec 540 appartements à sa livraison mi 1964, les chantiers de l'OPAC devenu Métropole-Habitat, www.ina.fr/video/LY00001263522 », qui comprenait entre autres, une barre de type HLM haute de 10 à 17 mètres et longue de 270 mètres, avec 560 logements. Suites à ces constructions, l’urbanisation des vallées et collines du sud-est de Saint-Etienne continua jusque dans les années 70 avec les séries de la Métare I, II, et III. Au total, ce sont plus de 8 000 logements, pour l’essentiel de type HLM, qui ont été construits durant cette période. Ces constructions ont également contribué à la création du parc de l’Europe et d’un boulevard circulaire qui servait de jonction entre les différents édifices et le centre-ville de la cité stéphanoise.

Un projet pharaonique

Le centre commercial fut un projet d’une dimension sans précédent pour la ville, plus grand centre commercial intra-urbain de la région Loire-Auvergne, avec 100 magasins, 1500 places de stationnement, 90 000 m² de surface, et sur 3 niveaux (4 niveaux avec la terrasse). Le 2 octobre 1979, CENTRE DEUX ouvre ses portes pour la première fois, et constitue une renaissance et un véritable tournant pour la ville. L’avis de l’architecte

De toutes les constructions de cette époque, Beaulieu est un des ensembles construits qui se porte le mieux si l’on en croit les nombreuses enquêtes menées auprès de la population de ces logements, dont certains l’occupe pratiquement depuis le début. Les arbres atteignent désormais le haut des immeubles, et la rue Le Corbusier adjacente a pris les allures « d’une banlieue des années 30 » avec un niveau d’urbanisme parfaitement acceptable. En conclusion, on peut parler pour cette construction d’un véritable savoir faire architectural et en quelques sortes d’art urbain. Ce projet a été récompensé par un prix d’urbanisme, mettant en valeur le travail en amont du projet. www.cimaise-architectes.com/realisations/divers/construct... cité HLM labellisée Patrimoine du XXeme siecle -"Il faut bien le dire, avant même d’être livré, Beaulieu est l' un des grands-ensembles, parmis 6 autres qui fasçinait en 1954..En effet c'etait le début de la longue & grande histoire des chantiers de l'Office Public de l'Aménagement et de la Construction* içi, ou à Montreynaud, Solaure, Monthieu etc

( l'OPAC l'office public de logements sociaux, devenu plus tard Métropole-Habitat, est la plus importante au niveau National, c'est la plus grosse boite d'HLM). Bref, les habituels promeneurs du coin genre les "Bois du Four (la Metare, le nom ançien, qui par ailleurs appartenait a Mme de Métarie une veuve riche qui légua son domaine soit "la Métare" à la ville, pour un Franc symbolique à l'epoque et aux CHU anciennement les HCL Hospiçes Civils de la Ville comme à Lyon... (on notera qu il y a des tas de logements en centre ville propriété du CHU)..se rendant le dimanche

dans le Pilat ou à Rochetaillée et sur les collines* alentours (on en a 7 comme a Rome) font un léger détour par le chantier. Ils constatent alors de visu cet avancement des travaux que la presse qualifie de « belle prouesse ». Le rythme est en effet rapide : « un étage par semaine » pour certaines barres, comme le raconte un témoin. Les « grandes maisons », soient les immeubles de hauteur et nombre de logements importants (IGH), étant alors encore rares dans la

ville, les Stéphanois n’y sont pas habitués@ les H.L.M. Beaulieu est la 1ere cité Stéphanoise de toutes,. Les barres de dix-sept et quatorze niveaux gises respectivement rues Gomy Herriot et de Vlaminck, ainsi que la tour de 22 niveaux au 33 rue Le-Corbusier,surprennent donc encore pire pour la plus grande barre d'Europe qui arrvera 7 ans plus tard, la Muraille qui mettront certains certaines à la renverse , le gigantisme à l'état brut, du lourd.... La référence qui vient à l’esprit de beaucoup ajoute à la fascination : l’Amérique. « C’est New-York ! c'est tres joile, tres vert... », se rappelle avoir pensé un habitant de la première harre...Mais plus que les immeubles, ce sont surtout les logements qui emportent l’adhésion des « heureux locataires », comme aime à les appeler la presse tout court. La satisfaction procurée aux habitants par l’hygiène et le confort des logements des Grands-Ensembles soit les quartiers NEUF est une information connue, les études de sciences humaines sur le sujet abondent. Aussi, pour le cas de Beaulieu devenu un cas d'Ecole idem pour Montchovet (Beaulieu3) et les transformations de la Marandiniere (Beaulieu2)...Les entretiens réalisés avec des locataires n’apportent pas sur ce point-ci d’éléments nouveaux :les premiers motifs de satisfaction invoqués sont, comme pour bien d’autres Grands-Ensembles Français,

l’eau courante, le chauffage central dont sont pourvus les immeubles les plus hauts, les WC intérieurs et salles de bain, l’ensoleillement et la luminosité permis par l’orientation, la hauteur et la disposition des immeubles, les placards et les tout aussi pratiques balcons à parois séchoirs permettant de faire sécher le linge, hiver compris. Entretien avec François Tomas, géographe, spécialiste de l'aménagement urbain, et enseignant à l'université et à l'école d'architecture de Saint-Etienne. Il est notamment l'auteur des Grands Ensembles, une histoire qui continue (Publications de l'université de Saint-Etienne, 2003). Cet intellectuel a également mis la main à la pâte. Entre 1977 et 1983, il fut adjoint à l'urbanisme du maire communiste de l'époque, Joseph Sanguedolce. Engagé au PC de 1974 à 1985, il a, depuis, rejoint le Parti socialiste «comme militant de base»

L"apres guerre...Que prévoit-on pour la reconstruction? Pas grand-chose. A la différence de la refonte spectaculaire du Havre, par exemple, on se contente ici de bâtir de petits immeubles, plus modernes bien sûr, mais sans réelle innovation architecturale ou urbanistique.Est-il vrai que Saint-Etienne, après guerre, traîne une réputation de «capitale des taudis»?C'est exact, et celle-ci n'est pas usurpée. En 1946, 7% seulement des logements sont jugés «confortables», et 17%, «acceptables»; 56% sont médiocres, et 20% peuvent véritablement être qualifiés de taudis: 1 logement sur 5 n'a pas d'eau à l'évier, les deux tiers ne disposent pas de WC, et 95%, de salle d'eau. Mais le problème n'a pas été créé par la guerre. Depuis la fin du XIXe siècle, Saint-Etienne a beaucoup grandi, mais très peu construit. Résultat: la ville a vieilli sur elle-même et se trouve après guerre dans une situation désastreuse, que les bombardements ont simplement aggravée. C'est alors qu'Alexandre de Fraissinette, maire élu en 1947, fixe le logement comme l'une de ses priorités.Oui. Et ce ne sera pas un vain mot. Rendez-vous compte: on

Since the earthquake struck January 12, Direct Relief has sent medical aid to Direct Relief partners on the ground caring for the many injured. The scenes have been heart-rending, and Direct Relief has been supporting several partners in Haiti working around the clock to treat the injured. One of the key partners include Partners in Health (PIH) , which, seen here, is operating a temporary facility out of the partially damaged General Hospital in Port-au-Prince.

 

www.DirectRelief.org

PACIFIC OCEAN (March 23, 2011) Aviation Electronics Technician Airman Ryan Cordova, from Albuquerque, N. M., scrubs the flight deck after a countermeasure wash down aboard the aircraft carrier USS Ronald Reagan (CVN 76). Sailors scrubbed the external surfaces on the flight deck and island superstructure to remove potential radiation contamination. Ronald Reagan is operating off the coast of Japan providing humanitarian assistance as directed in support of Operation Tomodachi. (U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 3rd Class Kevin B. Gray/Released)

 

Des petits points noirs sous un nuage en forme de plume. Très haut dans le ciel, un groupe de cigognes entame sa migration.

(à regarder en grand)

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Reportage complet, "La Terre en direct avec Al Gore, ancien candidat à la présidentielle américaine et prix Nobel de la paix," le 13 novembre 2015 à Paris : www.flickr.com/photos/sebastienduhamel/albums/72157660980...

 

Reportage complet, COP21 2015 : www.flickr.com/photos/sebastienduhamel/albums/72157659891...

 

Albums Écologie, Éducation et Politiques : www.flickr.com/photos/sebastienduhamel/collections/721576...

 

Projets/Reportages Fondation Nicolas Hulot : www.flickr.com/photos/sebastienduhamel/collections/721576...

 

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A Paris, Al Gore donne le coup d'envoi d'une émission de 24h sur le climat

 

L’ancien candidat à la présidentielle américaine et prix Nobel de la paix a lancé vendredi une émission de 24 heures à Paris. A deux semaines de la Cop21, Al Gore veut mobiliser autour de la question climatique.

 

Le groupe Duran Duran a donné le coup d’envoi du show vendredi soir dans un studio éphémère en forme de bulle, sous la tour Eiffel. Al Gore est aux manettes de cette émission mondiale, diffusée en direct sur le site de The Climate Reality Project, une organisation dont il est le président fondateur.

 

Pendant ces 24 heures, scientifiques, politiques et chanteurs se relaient pour interpeller sur les enjeux du climat, à quelques jours de la Conférence sur climat de Paris. "Cette émission vise à mettre la pression sur les dirigeants mondiaux pour qu'ils concluent un accord sur le climat le plus solide possible à la prochaine conférence de l'ONU à Paris, et aussi pour encourager chacun à agir dans sa propre communauté", expliquent les organisateurs.

 

Baptisée "24 heures de réalité et la Terre en direct: le monde regarde" (24 Hours of Reality and Live Earth: the World is Watching), l'émission se déroule en direct depuis Paris mais aussi depuis d'autres régions du monde: Etats-Unis, Chine, Australie, Philippines, Afrique du Sud, Canada, Kenya, Antarctique, Mexique, Malaisie, Inde et Bangladesh.

 

Dans le studio de la tour Eiffel, François Hollande sera reçu samedi, seul avec Al Gore, "pour un entretien exclusif". Vendredi soir, Ségolène Royal, la ministre de l’Écologie est déjà intervenue sur le plateau de l’émission et a plaidé pour un accord mondial en faveur du climat. "Il faut que les pays les plus pollueurs de la planète améliorent leur contribution, a déclaré Ségolène Royal (…) et que les pays riches tiennent leurs engagements".

 

Des concerts de Pharrel Williams et Elton John.

 

Parmi les autres intervenants, les organisateurs ont annoncé le président mexicain Felipe Calderon, le Premier ministre du Québec, Philippe Couillard, le gouverneur de Californie Jerry Brown et l'ancien secrétaire général de l'ONU Kofi Annan. Ces 24 heures sont aussi animées par des concerts de plusieurs chanteurs. A l’affiche, Elton John, Pharrel Williams ou encore Neil Young, mais leurs concerts seront uniquement retransmis.

 

En 2007, Al Gore avait reçu le prix Nobel de la paix avec le Giec pour son engagement dans la lutte contre le dérèglement climatique. En 2006, il avait notamment réalisé Une vérité qui dérange, un documentaire sur les conséquences du dérèglement climatique, récompensé aux Oscars. Avec ce rendez-vous, l’ancien candidat à la présidence américaine souhaite de nouveau interpeller sur les enjeux climatiques.

 

Par C. B avec AFP

 

fr.news.yahoo.com/video/al-gore-sous-la-tour-193106906.html

 

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www.algore.com

 

fr.wikipedia.org/wiki/Al_Gore

 

Dans ce nouveau diaporama (présenté pour la première fois à TED), Al Gore dévoile des preuves que la vitesse des changements climatiques est bien plus importante que ce que les scientifiques avaient prédit auparavant. Il nous enjoint à agir.

 

www.ted.com/talks/al_gore_the_case_for_optimism_on_climat...

 

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Samedi soir 13 novembre 2015. Suite aux attentats, Al Gore interrompt une émission mondiale sur le climat

 

L'ex-vice-président américain Al Gore, qui organisait vendredi et samedi au pied de la Tour Eiffel à Paris une émission mondiale de 24 heures sur le climat, diffusée sur internet, l'a interrompue en raison des attentats survenus en France, par "solidarité avec le peuple français".

 

"Nous interrompons notre émission en raison des tragédies qui se déroulent ici à Paris, en raison de l'état d'urgence mais surtout parce que nous voulons exprimer notre solidarité avec le peuple français et la ville de Paris", a-t-il déclaré.

 

"Nous voulons exprimer nos condoléances aux familles de ceux qui ont perdu la vie, ceux qui sont gravement blessés, ceux qui souffrent des conséquences de ces terribles attaques terroristes", a-t-il dit. "Nous sommes solidaires".

 

"Nous continuerons à parler des sujets de cette émission, la crise du climat et ses solutions", a-t-il ajouté.

 

Dans cette émission organisée depuis vendredi en début de soirée sur un plateau installé sous un dôme transparent au pied de la Tour Eiffel, Al Gore accueillait scientifiques, politiques et chanteurs pour tenter de mobiliser la planète sur les enjeux du climat, à deux semaines de la Conférence de l'ONU sur le climat organisée à Paris à partir du 30 novembre.

 

Plus d'une centaine de chefs d'Etats sont attendus à l'ouverture de cette Conférence.

 

François Hollande devait intervenir dans l'émission d'Al Gore, samedi en début d'après-midi.

 

Le programme devait être diffusé pendant 24 heures sur le site de The Climate Reality Project, organisation fondée et présidée par M. Gore.

 

La conférence de l'ONU sur le climat (COP21), du 30 novembre au 11 décembre, est censée d’aboutir à un accord mondial pour limiter le réchauffement climatique.

 

AFP-LE MATIN 14 November 2015

 

lematin.ma/express/2015/al-gore-interrompt-l-emission-de-...

 

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La 21e Conférence des Parties

 

Chaque année, depuis la signature de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques en 1992, les 195 Etats signataires se réunissent pour définir ensemble des objectifs concrets de lutte contre les dérèglements climatiques. Aux côtés des représentants des Etats, les ONG, les collectivités territoriales, les syndicats, les entreprises et la communauté scientifique, participent aux débats.

 

Du 29 novembre au 11 décembre, Paris accueillait la 21e Conférence des Parties (COP21). Cette conférence est une échéance cruciale qui représente la fin d’un cycle de négociations, en s’inscrivant dans le prolongement direct de la grande COP de 1997, qui avait permis l’adoption du protocole de Kyoto.

 

La COP21 a établi les bases d’un nouvel accord international applicable à tous les pays. Il engagera l’ensemble des Nations dans une réduction globale des émissions de gaz à effet de serre (GES), dans l’objectif de maintenir le réchauffement mondial à 1.5°C.

 

Conférence de Paris de 2015 sur le climat : fr.wikipedia.org/wiki/Conférence_de_Paris_de_2015_sur_le...

 

www.cop21.gouv.fr

 

www.paris.fr/actualites/cop-21-paris-et-les-parisiens-mob...

 

Changements climatiques : quels enjeux pour la COP 21 ?

 

www.youtube.com/watch?v=3J7H7e2cMd4

 

www.fondation-nicolas-hulot.org/sites/default/files/press...

 

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François Hollande à ouvert la COP21, la conférence de Paris sur le climat. Le président Français a parlé d'un rendez-vous exceptionnel, un immense espoir : "Il s'agit de décider ici à Paris de l'avenir même de la planète" :

 

www.youtube.com/watch?v=V4VxTYg5AxQ

 

Sommet mondial sur le développement durable : discours de la France à l’ONU le 30 septembre 2015

 

François Hollande a évoqué les trois priorités après l’adoption du Programme de développement à l’horizon 2030 et en vue de la Conférence de Paris sur le climat en décembre. La première priorité est la préservation du climat, le Président français estimant qu’il faudrait signer un texte qui engagerait l’ensemble de la communauté internationale sur des décennies. Si notre planète subissait un réchauffement supérieur à 2°C, cela signifierait la disparition d’un certain nombre de pays, a prévenu le Président français, pour qui le caractère urgent de ce problème nécessitait des changements dans les modes de consommation et un financement approprié pour sa mise en œuvre. À son avis, 100 milliards de dollars seraient nécessaires pour assurer la transition énergétique et pour la lutte contre le réchauffement climatique. La deuxième priorité est la lutte contre la pauvreté, qui devra être menée avec le fonds de la transition énergétique. La troisième priorité concerne la mobilisation de ressources pour la réalisation des trois piliers du développement durable pour assurer que tous les peuples de la planète jouissent pleinement de leurs droits fondamentaux en toute égalité et dignité dans un monde pacifique.

 

Le Président a par ailleurs annoncé que la France avait décidé d’augmenter son aide publique au développement à partir de 2020, à 4 milliards d’euros. Il a aussi annoncé la réforme de l’APD française en conjonction avec l’Agence française du développement et la Caisse des dépôts, qui deviendrait ainsi la plus grande banque européenne pour le développement. Il a également évoqué la mise en place de la taxe sur les transactions financières à partir de 2017, dont une partie serait affectée à la lutte contre les inégalités et contre la pauvreté.

 

www.youtube.com/watch?v=wVCamSbN53Q

 

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Le dérèglement climatique vu par Jean-Louis Etienne

 

En partenariat avec Universcience.tv, nous poursuivons la publication d’une série d’entretiens en vidéo sur le changement climatique, dans la perspective de la COP21, la conférence internationale qui se tiendra à Paris du 30 novembre au 11 décembre. Cette conférence tentera de parvenir à un accord contraignant sur la transition vers des économies sobres en carbone.

 

Dans cette vidéo, Jean-Louis Etienne, explorateur de l’Arctique et de l’Antarctique mais aussi médecin, voit le réchauffement climatique comme une maladie, une fièvre qui touche la planète et s’aggrave aux pôles. Il prescrit l’arrêt des énergies fossiles – tout particulièrement le charbon avec lequel les pays du Sud se développent – et se demande si l’homme saura stopper à temps son addiction à ces énergies.

Cet entretien a été réalisé à l’occasion de l’exposition temporaire « Climat, l’expo à 360 ° » qui vient d’ouvrir à la Cité des sciences et de l’industrie de Paris.

 

www.lemonde.fr/sciences/video/2015/10/14/le-dereglement-c...

 

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Le Sommet des Consciences pour le climat : www.dailymotion.com/video/x2yukt6

 

Lancé par Nicolas Hulot, envoyé spécial du président de la République pour la protection de la planète, le Sommet des Consciences réunit le 21 juillet 2015 à Paris, au CESE plus d'une quarantaine personnalités morales et religieuses du monde entier pour répondre à la question « The climate, why do I care ? » et lancer ensemble un « Appel des Consciences pour le climat ».

 

Une mobilisation des consciences de tous le habitants de la planète s’impose pour réussir le défi auquel l’humanité est confrontée : limiter le réchauffement du climat en diminuant sa consommation d’énergies fossiles et permettre à tous de s’adapter aux conditions nouvelles !

 

Le Temps est compté. Ce n’est plus seulement une question écologique, économique ou politique. C’est l’avenir de l’humanité qui est en jeu. Chacun de nous se doit de répondre maintenant à la question : est-ce qu’il m’importe que l’aventure de l’humanité sur Terre puisse se poursuivre ? Est-ce que je suis prêt à modifier dès aujourd’hui mon mode de vie pour que nos enfants et leurs enfants puissent vivre dans des conditions supportables ?

 

L'Appel des consciences

 

Il est fondamental que les consciences des hommes et des femmes de cette planète s'expriment ensemble, quelques soient leurs conditions, leurs religions, leurs philosophies.

 

La campagne "Why do I care ?" invite chacun à témoigner, et à faire savoir autour de lui, pourquoi la lutte contre le réchauffement climatique est importante et nous concerne chacun.

 

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Festival Science Frontières : Nicolas HULOT et Jean-Marie PELT, nous parlent des grands problèmes de notre planète mais aussi des grandes solutions...

 

www.youtube.com/watch?v=eo-YoX-nsKk

 

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Osons: la conférence du 07 octobre au Grand Rex à Paris

 

www.youtube.com/watch?v=cCUEcl6tqRM

 

OSONS

 

Plaidoyer d'un homme libre

 

« Les sommets sur le climat se succèdent, nous croulons sous l'avalanche de rapports plus alarmants les uns que les autres. Et l'on se rassure avec une multitude de déclarations d'intention et de bonnes résolutions. Si la prise de conscience progresse, sa traduction concrète reste dérisoire. L'humanité doit se ressaisir, sortir de son indifférence et faire naître un monde qui prend enfin soin de lui. »

Nicolas Hulot, Président de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l'Homme

 

Ce manifeste écrit par Nicolas Hulot est un cri du coeur, un plaidoyer pour l'action, un ultime appel à la mobilisation et un coup de poing sur la table des négociations climat avant le grand rendez-vous de la COP21. Il engage chacun à apporter sa contribution dans l'écriture d'un nouveau chapitre de l'aventure humaine, à nous changer nous mêmes et par ce biais à changer le monde.

 

Diagnostic implacable, constat lucide mais surtout propositions concrètes pour les responsables politiques et pistes d'action accessibles pour chacun d'entre nous, cet ouvrage est l'aboutissement de son engagement et de sa vision en toute liberté des solutions à « prescrire » avant et après la COP21. L'urgence est à l'action. En 12 propositions concrètes, Nicolas Hulot dresse, avec sa Fondation, une feuille de route alternative pour les États et suggère 10 engagements individuels pour que chacun puisse également faire bouger les lignes à son niveau.

 

Depuis 40 ans, Nicolas Hulot parcourt la planète. Témoin de sa lente destruction, il a décidé de devenir un des acteurs de sa reconstruction. Au côté de sa Fondation pour la Nature et l'Homme ou en parlant aux oreilles des décideurs, il contribue à faire évoluer les mentalités.

 

Broché - 96 pages - format : 12 x 19 cm.

Editions LLL Les liens qui libèrent.

 

boutique-solidaire.com/…/produits-…/26414-osons-.html

 

Nicolas Hulot - On n'est pas couché 31 octobre 2015 :

 

www.youtube.com/watch?v=3YjmXqOTqu0

 

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Le film "Le Syndrome du Titanic" : vimeo.com/64741962

 

Le Syndrome du Titanic est un film documentaire réalisé en 2008 par Nicolas Hulot et Jean-Albert Lièvre, sorti le 7 octobre 2009

 

fr.wikipedia.org/wiki/Le_Syndrome_du_Titanic

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Le film "Une Vérité qui Dérange" : www.youtube.com/watch?v=GZ4izGzj9r0

 

Une vérité qui dérange (An Inconvenient Truth) est un documentaire américain de Davis Guggenheim sorti en 2006. Traitant du changement climatique, il est basé en grande partie sur une présentation multimédia que Al Gore, ancien vice-président des États-Unis et prix Nobel de la paix en 2007 (partagé avec le GIEC) a préparé pour sa campagne de sensibilisation sur le réchauffement planétaire

 

fr.wikipedia.org/wiki/Une_vérité_qui_dérange

 

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Photographie de Sébastien Duhamel, professionnel de l’image : www.sebastien-duhamel.com/présentation-références/

 

Derniers sujets photos : www.flickr.com/photos/sebastienduhamel/collections/721576...

 

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Yo de pequeño iba al colegio Sindicatos Católicos, en Palencia. Eran los 80. Allí hice párvulos y EGB. Bueno, entré directamente a 2º de párvulos porque entré un año tarde. Esa es la razón de que fuera el primero de la clase en acabar los puzles.

 

El colegio en realidad no tenía nombre. Era un edificio propiedad del Obispado, aunque no era un colegio de curas, pero en el cartel ponía Círculo Católico de Obreros, que es a quien se lo había cedido el Obispado en usufructo a condición de que lo usara para fines educativos, pero por no sé qué chanchullos con el Ministerio de Educación ahí se daba educación primaria, porque el Ayuntamiento no tenía de momento otros edificios para hacer colegios.

 

Hasta que un día el Círculo Católico se enfadó y decidió que no cedía más el edificio y que ya no dejaba que se dieran clases a los niños ahí. Nos tuvimos que ir a mitad del curso lectivo, que para mí fue 8º. Una buena manera de educarnos en el mundo de los adultos.

 

Total, que el colegio estaba en la calle Queipo de Llano. Las rejas que se ven arriba es donde estaba el patio: www.google.es/maps/@42.010563,-4.535327,3a,75y,50.89h,107...

 

Yo ni idea de quién era Queipo de Llano, pero el nombre nos hacía gracia. El edificio sigue estando igual pero ahora le han cambiado el nombre a la calle. Bueno, antes en la parte de atrás estaba el Simango y ahora está el Carreful.

 

Recuerdo que en las clases había una foto del rey y la reina encima de la pizarra, pero no recuerdo que nadie nos hablara de Queipo de Llano. Tampoco preguntábamos. A esas edades... Recuerdo que vi una foto de Madonna allí por primera vez, que ya existía, que la había llevado uno en 7º, creo. Y que un profesor una vez llevó un tocadiscos y nos puso 'Las Cuatro Estaciones' de Vivaldi. Y los ríos de España, claro. Pero de Queipo de Llano nanai.

 

Además del graduado luego hice el bachiller y tengo un título de técnico superior y una licenciatura. En todos mis años en el mundo lectivo nadie nos habló nunca de Queipo de Llano. Tampoco de nada que se le pareciera. Y no me extraña, porque a día de hoy se les está diciendo a los niños en los libros de texto que Lorca se murió.

 

Hoy El Gran Wyoming presentaba de nuevo su libro 'No estamos locos', mediante una charla con Juan José Millás. Dos personas muy majas. En el libro se habla de Queipo de Llano. Un ser despreciable. Wyoming lo ha recordado. youtu.be/9weVo7tCvjc

 

www.planetadelibros.com/no-estamos-locos-libro-112430.html

Vlak na de 9268 komt uit Schagen leeg mat-trein 70858, bestaande uit de 9594, 9524 en 9431 binnen en kruist daarbij ICDirect 966, getrokken door de 186-011.

Racking up and packing the pig, for our third route on El Capitan - The Triple Direct.

Brandon Monokian directs this groundbreaking ensemble piece that is a theatrical reading of the book "Revolutionary Voices," an LGBT literary anthology edited by Amy Sonnie. The readings are a response to the censoring and banning of this book, including at some libraries in New Jersey.

 

Cast members for this reading include returning readers Kaitlin Overton, Amanda Guzman, Jose Paz and Daria Feneis as well as two new voices with the addition of Hannah Rolfes and Corey Hafner.

 

Brandon was a speaker at the library's TEDxYouth event last fall where he explained important background information in a talk entitled Revolutionrary Readings: The Story. This talk can be viewed online at: www.youtube.com/watch?v=w1X7TX4i1ew

 

Funding for the production made possible through the National Endowment for the Humanities.

 

This performance was part of Princeton Public Library's "Page to Stage" series. For more information on the series see the documentary on Vimeo:

vimeo.com/57147953

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