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De l'autre côté, devant l'ancien donjon féodal s'étend le jardin de Catherine de Médicis, qui confisqua le château à sa rivale après la mort accidentelle de son époux Henri II (vengeance...) Il est agrémenté de cinq panneaux engazonnés regroupés autour d'un élégant bassin circulaire et agrémentés de boules de buis. Rosiers tige et cordons de lavandes, taillées basses et arrondies, en dessinent l’harmonieux tracé. La perspective qui ouvre au Nord sur le Jardin Vert et l’Orangerie est due à Bernard Palissy.

D'abord demeure fortifiée construite au XIIIe siècle, le château de Lupé prit une autre allure en passant des mains de la famille des Falatier aux Gaste qui en firent une demeure de plaisance de la Renaissance. La cour est l’œuvre du célèbre architecte lyonnais Philibert Delorme. Le château, remarquable par son architecture à la fois défensive, à la tour imposante, et plaisante, aurait abrité une rencontre au sommet en 1274 entre le roi de France, le pape Grégoire X et les archevêques de Lyon et de Vienne.

 

fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Lup%C3%A9

  

Le Cher, autre affluent de la Loire, est enjambé par le plus spectaculaire des châteaux, Chenonceau. Construit de 1513 à 1517, il est l'oeuvre de financiers tourangeaux, Thomas Bohier et surtout son épouse, Catherine Briçonnet… Et plus tard, de la favorite royale Diane de Poitiers puis de la reine Catherine de Médicis qui fit construire la magnifique galerie sur le pont enjambant le Cher par le grand architecte français Philibert Delorme...

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The Château de Chenonceau is a castle near the small village of Chenonceaux, in the Indre-et-Loire département of the Loire Valley in France. It was built on the site of an old mill on the River Cher, sometime before its first mention in writing in the 11th century. The current manor was designed by the French Renaissance architect Philibert Delorme.

 

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Le château de Chenonceau est situé dans la commune de Chenonceaux en Indre-et-Loire (France). Il fait partie des châteaux communément appelés les châteaux de la Loire. Bâti en 1513 par Katherine Briçonnet, embelli par Diane de Poitiers puis Catherine de Médicis, sauvé pendant la Révolution française par Louise Dupin, il est aussi appelé château des Dames.

 

Château meublé, décoré de rares tapisseries et peintures anciennes, fleuri à chaque saison, c'est le monument historique privé le plus visité de France, serti de plusieurs jardins d'agrément, un parc et un domaine viticole.

 

Submitted 21/04 17:45

Accepted 08/05/2014

 

Published:

- METROPOLES MIDIA E COMUNICACAO (Brazil) 15-Sep-2020

Certaines maisons de Mende et des environs ont des toits en carène de bateau. On dit aussi des charpentes "à la Philibert Delorme", du nom de l'architecte (1514-1570).

Un vieux pont de pierre permet de franchir la rivière de la Vaux. L'entrée est remarquable, avec un passage charretier, surmonté d'un comble en forme de carène renversée, « à la Philibert Delorme », couvert d'ardoises et surmonté d'un clocheton étroit. Les bâtiments sont du XVIIe siècle. Deux pavillons bas et dissymétriques, couverts d'ardoises également et abritant l'ancien corps de chasse et l'ancienne chapelle, encadrent cette entrée.

 

À l'arrière se trouve un autre corps de bâtiment, du XVIIe siècle également. Les façades sont en briques, animées de chaînes de pierre harpées encadrant des fenêtres à linteau courbe. Les chaînes d'angle sont à refends et la travée centrale est en pierre.

 

Une des tours d'angle subsiste, plus ancienne. Cette tour est probablement du XVIe siècle, avec moins d'ouverture et un vocabulaire défensif plus marqué dont des canonnières ébrasées en ovale. Les descriptions du château du début du XVIIIe siècle évoquent alors trois tours[1].

Dans cette cour, Philibert de l'Orme fut chargé par Antoine Bullioud de construire une liaison entre deux corps de bâtiments, pratique mais surtout, esthétique et représentative de sa position sociale : il fallait impressionner avant tout ! De l'Orme devait donc faire communiquer deux bâtiments distincts par une galerie mais sans empiéter sur la cour assez petite et sans démolir le puits existant.

 

Féru d'art antique, il s'inspira alors des monuments romains pour créer cette galerie. Il conçut une loggia contrebutée par deux tourelles sur trompes qui renvoient les forces sur les murs latéraux et un seul pilier central.

 

Nouveauté en France en 1536 : la superposition des ordres à l'antique. Ornés à l'antique, les deux étages associent le style dorique en bas (cannelures alternées) et ionique en haut (chapiteaux à volutes). Les tourelles sont également surmontées de frontons triangulaires ou courbes.

 

A l'intérieur (inaccessible au public), la galerie est décorée de peintures murales et de devises latines.

 

Cette galerie, classée monument historique, fut considérée par Philibert de l'Orme, alors âgé de 26 ans, comme le chef-d'oeuvre de sa vie.

 

Véritable manifeste de l'architectonique Renaissance, c'est à Lyon que de l'Orme conçoit donc ce prototype du style Renaissance qu'il développera dans toute la France grâce au roi François Ier. Stupéfiante de grâce et de préciosité, la galerie prend cependant toute sa personnalité le soir quand elle est illuminée.

 

plus de photos et une vue à 360 degrés ici ;

www.patrimoine-lyon.org/secteur_unesco/vieux-lyon/saint-p...

11 000 large scallop shells were used as roof tiles, with a further 4,500 crushed into aggregate for the building's concrete front patio. This summer refuge was constructed towards the end of the loop known as the 'Circuit des cabanes' in Limognes-en-Quercy, on the high plateau above the river Lot. Over 20 shepherd's huts and cabanes, along with many associated walls were restored by a talented team over a period of some 20 years. The quality of their work certainly deserved recognition and financial support, as the 'petit patrimoine' of the Occitanie is in much need of skill-set, raw material and chronophage purpose. The above building offers new lines and is the second example of modern refuge, or sleep-over point along the Europes main pilgrim's path to north west Spain. A second example - Super-Cayrou (linked below) - helps to add dynamic to the subject of dry stone. The above 'Pecten Maximus' project is not without interest, despite an entrance that perhaps feels closer to 'residential supplement' than rural practicality.

 

AJM 04.12.22

Une des sept plus belles coupoles du monde se trouve en France, dans la chapelle du château d'Anet. Cette échappée belle vers l'infini est un moment de grâce visuelle inoubliable : Un ensemble de losanges et d'arcs semi circulaires trompent l'oeil et agrandissent l'espace : ils sont plus petits au sommet pour donner l'illusion de la profondeur... L'art cinétique 4 siècles avant Vasarely ! Cet idéal de perfection mathématique est né du génie de Philibert Delorme en 1549... si vous n'avez jamais vu ce spectacle, foncez...

With mere minutes of sun left, westbound I191 races by the elevator at West Deshler behind a battle-worn UP SD70M.

A lyoni Jakobinus tér monumentális, fehér márvány szökőkútja Lyon négy nagy képzőművészét ábrázolja, Guillaume Coustou-t, Philibert Delormeot, Gérard Audrant és Hyppolyte Flandrint.

11 000 large scallop shells were used as roof tiles, with a further 4,500 crushed into aggregate for the building's concrete front patio. This summer refuge was constructed towards the end of the loop known as the 'Circuit des cabanes' in Limognes-en-Quercy, on the high plateau above the river Lot. Over 20 shepherd's huts and cabanes, along with associated walls were restored by a talented team over a period of some 20 years. The quality of their work certainly deserved recognition and financial support, as the 'petit patrimoine' of the Occitanie is in much need of skill-set, raw material and chronophage purpose. The above building offers new lines and is the second example of modern refuge, or sleep-over point along the Europes main pilgrim's path to north west Spain. A second example - Super-Cayrou (linked below) - helps to add dynamic to the subject of dry stone. The above 'Pecten Maximus' project is not without interest, despite an entrance that perhaps feels closer to 'residential supplement' than rural practicality.

 

AJM 04.12.22

Diane de Poitiers, veuve de Louis de Brézé, Grand Sénéchal de Normandie fit construire le château d'Anet en 1552 par l'architecte Philibert Delorme. En 1566 mourrait Diane de Poitiers. Sa fille, Louise de Brézé duchesse d'Aumale, fit élever une chapelle funéraire pour abriter son tombeau. Au 17e s., le château appartint aux Ducs de Vendôme, au 18e s. à la Duchesse du Maine, puis au Duc de Penthièvre. Le château fut démembré à la Révolution. Le corps de logis principal et l'aile droite furent détruits. Le portique central du château a été transférée à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts, à Paris 6e. fr.m.wikipedia.org/wiki/Fichier:Kapelle_ensba_paris_02.jpg Seule subsiste l'aile ouest, dépourvue de portiques donnant sur la cour et vraisemblablement réservée aux offices.

 

... der Jakobinerbrunnen in Lyon wurde 1886 erbaut und ist ein majestätische Springbrunnen der Jakobiner, er ehrt vier angesehene Lyoneser Künstler:

den Architekten Philibert Delorme, den Maler Hippolyte Flandrin, den Bildhauer Guillaume Coustou und denGraveur Gérard Audran.

 

Lorsqu’Henri devient roi de France en 1547, il offre à Diane, sa favorite et ancienne gouvernante les bijoux royaux et la propriété royale de Chenonceau. Très vite, Diane fait reconstruire, par l’architecte lyonnais Philibert Delorme, le manoir gothique d’Anet en une demeure des plus raffinées. Ce n’est pas un simple portail d’entrée que l’on découvre, mais un véritable arc de triomphe inspiré de l’antique, avec ses quatre colonnes doriques. Son tympan présente un bas-relief en bronze de Diane couchée et, au sommet, trône un cerf entouré par quatre chiens. Imaginez, jadis, les animaux donnant l’heure : les chiens aboyaient et le cerf frappait du pied !

"On reste muet devant la beauté immuable du temple romain situé au centre de la place, qui contraste, sans heurter, avec les façades 18ème siècle, des maisons encadrant le bal ovale de la place. Cet édifice rectangulaire de proportions harmonieuses ressemble étrangement à la Maison Carrée de Nîmes (avec elle, ils figurent comme les deux seuls temples romains conservés à ce jour en France).

Le temple aurait été construit entre 20 et 10 avant JC pour symboliser la puissance impériale. Une rangée de six colonnes corinthiennes supporte l'entablement. La façade, tournée vers l'est, dominait le forum.

Le temple a subi de nombreuses modifications. Au Moyen-Âge, il fut transformé en église et ses colonnes réunies par des murs. Il fut ensuite utilisé comme tribunal, musée, bibliothèque. Au milieu du 19ème siècle, la ville et ses habitants souhaitaient sa destruction dans le cadre de l'aménagement de la place, mais l'édifice fut sauvé par Prosper Mérimée et le conservateur Claude-Thomas Delorme. Le temple est classé monument historique en 1840, puis dégagé des maçonneries disgracieuses qui l'enserraient.

A droite du temple s'élève la tour du Palais de justice (1578)." (Le Guide Vert Lyon et sa Région)

Les pieds du transis de François Ier, à gauche, rappellent qu’à plus de 6 pieds, ce roi faisait à son époque figure de géant.

 

Ce monument à deux étages en marbre blanc et marbre noir, commandé par son fils Henri II, est l'œuvre de Philibert Delorme et a été installé en 1558, environ dix ans après la mort du roi. Il s'inspire de l'arc de triomphe de Septime Sévère, à Rome. À l’intérieur du tombeau, le couple royal est représenté à taille réelle avec un réalisme saisissant. François Ier mesurait près de deux mètres. Sur la plate-forme supérieure, les souverains agenouillés sont accompagnés de trois de leurs enfants. Ces priants expriment l’espoir en la Résurrection mais aussi le caractère familial du mausolée.

 

L’église St-Denis, de style gothique, située au centre de la ville de Saint-Denis, à 5 kilomètres au nord de Paris. Fondée à l'origine en tant qu'abbatiale, elle a le statut de cathédrale du diocèse de Saint-Denis depuis 1966. L'église abbatiale a été dénommée « basilique » dès l'époque mérovingienne (comme beaucoup d'autres églises). Elle s'élève sur l'emplacement d'un cimetière gallo-romain, lieu de sépulture de saint Denis martyrisé vers 250.

 

Le transept de l'église abbatiale, d'une ampleur exceptionnelle, était destiné dès le début à accueillir les tombeaux royaux et l'édifice est ainsi devenu la nécropole des rois de France depuis les Robertiens et Capétiens directs, même si plusieurs rois mérovingiens puis carolingiens avaient choisi d'y reposer avant eux. Au total, 46 rois, 32 reines, 63 princes et princesses et 10 grands du royaume y reposèrent jusqu’à la Révolution.

A partir du Concile de Trente (juste contemporain de la chapelle), la messe est vécue désormais comme une représentation théâtrale, tout est bon pour éblouir le fidèle, il s'agit de mettre en scène et de proclamer avec faste la présence réelle du Christ vivant dans l'Eucharistie (ce que condamne la réforme protestante) L'inscription gigantesque en latin, extraite de l'épître de saint-Paul aux Romains, déployée en banderole sur les murs, annonce d'ailleurs le spectacle sensationnel attendu : "ic vivam, inquit Dominus, ut mihi se flectet omne genu, omnisque lingua Deum celebrabit " ce qui signifie : Je suis tellement vivant, dit le Seigneur, que tous fléchiront le genou devant moi ; [et que] toute langue chantera les louanges de Dieu". Plus qu'une pièce de théâtre, l'inscription annonce un opéra eucharistique... Le baroque est un art de propagande catholique de combat contre l'hérésie protestante, c'est le "soft power" papal du XVIe siècle par excellence : l'objectif assumé est de ramener, conforter à la religion universelle en éblouissant le spectateur par l'émerveillement visuel et auditif... sans doute un moyen plus efficace que la guerre et l'inquisition...

Le tympan du portail d'entrée du château d'anet est surmonté d'une figure de Diane. L'original en bronze, aujourd'hui au Louvre est en fait une Nymphe réalisée par Benvenuto Cellini pour orner le château de François Ier à Fontainebleau. Ce bronze n'y fut jamais mis en place. A la mort de François Ier, l'architecte Philibert Delorme l'installe au château d'Anet nouvellement construit pour la maîtresse du roi Henri II, Diane de Poitiers. La symbolique originelle est facilement détournée: la nymphe de Cellini devient Diane déesse de la chasse.

 

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La façade renaissance futcommandée par le financier Thomas Bohier et son épouse Catherine Briçonnet ; le pont enjambant le Cher est l'oeuvre de la magnificence de la reine de France Catherine de Médicis

L'unique château royal de la Renaissance en Picardie. En 1528, François 1er décide d'ériger un logis royal à Villers-Cotterêts, en bordure de la forêt de Retz où il aime chasser. L'architecte Philibert Delorme contribue à la réalisation de l'édifice, achevé en 1556.

 

Château de Villers-Cotterêts - Ministère de la Culture

www.isere-tourisme.com/patrimoine-culturel/temple-daugust...

 

"On reste muet devant la beauté immuable du temple romain situé au centre de la place, qui contraste, sans heurter, avec les façades 18ème siècle, des maisons encadrant le bal ovale de la place. Cet édifice rectangulaire de proportions harmonieuses ressemble étrangement à la Maison Carrée de Nîmes (avec elle, ils figurent comme les deux seuls temples romains conservés à ce jour en France).

Le temple aurait été construit entre 20 et 10 avant JC pour symboliser la puissance impériale. Une rangée de six colonnes corinthiennes supporte l'entablement. La façade, tournée vers l'est, dominait le forum.

Le temple a subi de nombreuses modifications. Au Moyen-Âge, il fut transformé en église et ses colonnes réunies par des murs. Il fut ensuite utilisé comme tribunal, musée, bibliothèque. Au milieu du 19ème siècle, la ville et ses habitants souhaitaient sa destruction dans le cadre de l'aménagement de la place, mais l'édifice fut sauvé par Prosper Mérimée et le conservateur Claude-Thomas Delorme. Le temple est classé monument historique en 1840, puis dégagé des maçonneries disgracieuses qui l'enserraient." (Le Guide Vert Lyon et sa Région)

A Mende certaines bâtisses exhibent des toits en forme de carènes de bateaux renversées que l’on dit « à la Philibert Delorme » Cette appellation rend hommage à l’architecte du même nom qui fut, à la Renaissance, le père de ces toitures économiques.

 

Mende - Lozère - France.

  

Another Brick in the Wall-Pink Floyd

Aude ~ Occitanie

 

Un parcours artistique et une statue gigantesque dédiés à Charles Trenet sur l'aire d'autoroute de Narbonne Vinassan Sud. Cet espace rend hommage à Charles Trenet (1913-2001), le "Fou chantant" originaire de Narbonne qui a marqué de son empreinte la chanson et la culture populaire françaises. Nous vous invitons à vous promener sur ce parcours (réalisé par Pascale et Thierry Delorme) pour (re)découvrir la vie et l’œuvre de Trenet et ses chansons : La Mer, Nationale 7…

www.vinci-autoroutes.com/fr/actualites/aire-charles-trenet

 

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Depuis la fenêtre, vue splendide sur le pont-galerie renaissance enjambant le Cher...

Le pavage qui est un chef-d'oeuvre de marqueterie en marbre de plusieurs couleurs, représente en miroir l'architecture de la voûte; la projection des caissons y est reproduite par des losanges décroissants vers le centre de la figure... énorme chef d'oeuvre en noir et blanc, harmonieusement mis en valeur par les vitraux en grisaille... Comme si le modèle avait été pris sur le mur de scène d'un théâtre romain (Orange par exemple...). cette virtuosité architecturale annonce déjà le baroque avec ses jeux de courbes et de contre-courbes, ces bosses convexes et ses creux concaves...

Château de Fontainebleau (Seine et Marne) - Salle de Bal - Cheminée

 

La cheminée de la salle (dessinée par Philibert Delorme) repose sur deux atlantes en bronze moulé représentant des satyres, moulages d'antiques conservés au musée du Capitole, peints et dorés en 1556 par Guillaume Rondel. Fondus à la Révolution, ils ont été refaits à Rome en 1966. Entre temps, ils furent remplacés en 1805 par des colonnes en plâtre de Percier et Fontaine. La cheminée est également décorée du chiffre « H » de Henri II mêlé aux deux C entrecroisés de Catherine de Médicis, ainsi que des représentations d'arcs, de flèches, de carquois, de fleurs de lys et des emblèmes de l'ordre de Saint-Michel.

 

fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Fontainebleau#Aile_...

Sur l'anneau interne de la base de la coupole est inscrit : "Timor Domini sapientis corona" ce qui signifie: la crainte de Dieu est le couronnement de la sagesse... encore une illustration magnifique de l'idéal humaniste de la renaissance : les prouesses scientifiques et artistiques sont encouragés car ils permettent d'élever l'homme vers la contemplation et la compréhension de l'opus dei...

Chapelle Royale de la Trinité. (1509-1633).

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On doit au peintre Martin Fréminet des scènes du mystère de la Rédemption de l’homme (les Trinitaires étant un ordre rédempteur) : L’Apparition de Dieu à Noé au-dessus de la tribune, L’Annonciation derrière le maître-autel, Le Christ du Jugement dernier entouré des sept premières intelligences au centre, ainsi que des personnages de l’ancienne Loi (rois de Juda, prophètes, vertus), peints sur la voûte entre 1608 et 1619.

Le maître-autel, réalisé par le sculpteur italien Francesco Bordoni en 1633, lequel est aussi l’auteur du dallage en marbre multicolore du sol, est entouré de statues de souverains (saint Louis à droite de l’autel avec les traits de Louis XIII, et Charlemagne à gauche avec les traits de Henri IV). L’autel et le tabernacle d’origine se trouvent à l’église paroissiale de Fontainebleau où ils furent transférés à la Révolution.

Le tableau d’autel a quant à lui été peint par Jean Dubois le Vieux en 1642 et représente la Sainte Trinité au moment de la déposition de croix. La tribune, portée par des colonnes de marbre, est l’œuvre de Scibec de Carpi, tout comme la clôture du chœur datant de 1554. Philibert Delorme avait présidé à la création de deux oratoires : l’un pour Henri II réalisé en 1557, l’autre pour Diane de Poitiers. Les deux furent détruits en 1605. Les boiseries et les grilles des chapelles sont l’œuvre du menuisier Jean Maujan, qui sous-traite avec Robert Andry en 1629. Barthélémy du Tremblay quant à lui avait commencé les peintures décoratives, terminées par son gendre Germain Gissey, associé à Jean Bertrand et Robert Cammel. Les dernières peintures décoratives exécutées dans la chapelle sont les tableaux ovales réalisés sous Louis XVI.

L’orgue de François-Henry Clicquot, toujours en place, fut réalisé en 1774.

 

C’est dans cette imposante chapelle royale, surplombée de sa tribune dédiée au souverain, que fut célébré le mariage de Louis XV avec Marie Leczinska en septembre 1725, et que Napoléon III fut baptisé en 1810 sur les genoux de son oncle Napoléon Ier.

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Un château cher à François Ier

La renommée de la forêt de Retz, dans l’Aisne, ne date pas d’hier. En 632, Dagobert Ier y pratique déjà la chasse ! Les rois qui lui succèdent apprécient eux aussi sa richesse en gibier et y font construire une résidence sans prétention.

 

La grande histoire du château ne commence réellement qu’avec le futur François Ier, qui reçoit de son cousin le roi Louis XII le duché de Valois et le château alors qu’il n’a que 3 ans !

 

En 1528, quelques années après sa lourde défaite à Pavie en Italie, le souverain lance une série de chantiers, du Louvre qu’il agrandit au château à Fontainebleau qu’il construit.

 

Pour s’adonner à son activité favorite, la chasse, symbole des élites, il érige un palais royal au milieu de la forêt de Retz, la plus vaste de France à l’époque.

 

Villers-Cotterêts, qui n’est alors qu’un village modeste, a aussi l’avantage d’être le cœur géographique du duché de Valois, dynastie dont François Ier est issu.

 

L’une des rares demeures royales de Picardie

Avec son décor foisonnant, l’imposant château rivalise avec les plus belles réalisations de son époque.

 

Chef-d’œuvre de l’architecture de la Renaissance, la chapelle est la première en France à rompre avec la tradition gothique. Signe de la puissance monarchique, les emblèmes du roi (salamandre, fleur de lys et initiales couronnées) remplacent dans ce lieu de prière les symboles chrétiens.

 

Au fil du temps, les grands noms de l’architecture travailleront à Villers-Cotterêts, de Philibert Delorme (1514-1570), premier architecte du roi Henri II qui participera à la construction du Louvre, à André Le Nôtre (1613-1700), le célèbre jardinier de Versailles qui transformera le parc à la demande de Philippe d'Orléans, frère de Louis XIV.

Boiserie (détail) de la salle de bal, château de Fontainebleau.

Une nymphe destinée à l'origine pour le château de Fontainebleau et mise en place au château d'Anet par Philibert Delorme. L'orignal est maintenant au Louvre.

fr.wikipedia.org/wiki/Nymphe_de_Fontainebleau

 

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France, Région Auvergne-Rhône-Alpes, département du Rhône, Lyon, Place des Terreaux

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Jardin du Palais Saint-Pierre ( jardin du Musée des Beaux Arts)

1861, statue en bronze, 122 cm, acquise par la ville de Lyon en 1868

Jean-André Delorme, sculpteur français (1829-1905)

 

Un château construit par Philibert Delorme pour Henri II et offert à sa favorite Diane de Poitiers comme relais de chasse. Des cryptogrammes à ce jour non décodés ornent les murs de la propriété.

 

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Chapelle Royale de la Trinité. (1509-1633).

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On doit au peintre Martin Fréminet des scènes du mystère de la Rédemption de l’homme (les Trinitaires étant un ordre rédempteur) : L’Apparition de Dieu à Noé au-dessus de la tribune, L’Annonciation derrière le maître-autel, Le Christ du Jugement dernier entouré des sept premières intelligences au centre, ainsi que des personnages de l’ancienne Loi (rois de Juda, prophètes, vertus), peints sur la voûte entre 1608 et 1619.

Le maître-autel, réalisé par le sculpteur italien Francesco Bordoni en 1633, lequel est aussi l’auteur du dallage en marbre multicolore du sol, est entouré de statues de souverains (saint Louis à droite de l’autel avec les traits de Louis XIII, et Charlemagne à gauche avec les traits de Henri IV). L’autel et le tabernacle d’origine se trouvent à l’église paroissiale de Fontainebleau où ils furent transférés à la Révolution.

Le tableau d’autel a quant à lui été peint par Jean Dubois le Vieux en 1642 et représente la Sainte Trinité au moment de la déposition de croix. La tribune, portée par des colonnes de marbre, est l’œuvre de Scibec de Carpi, tout comme la clôture du chœur datant de 1554. Philibert Delorme avait présidé à la création de deux oratoires : l’un pour Henri II réalisé en 1557, l’autre pour Diane de Poitiers. Les deux furent détruits en 1605. Les boiseries et les grilles des chapelles sont l’œuvre du menuisier Jean Maujan, qui sous-traite avec Robert Andry en 1629. Barthélémy du Tremblay quant à lui avait commencé les peintures décoratives, terminées par son gendre Germain Gissey, associé à Jean Bertrand et Robert Cammel. Les dernières peintures décoratives exécutées dans la chapelle sont les tableaux ovales réalisés sous Louis XVI.

L’orgue de François-Henry Clicquot, toujours en place, fut réalisé en 1774.

 

C’est dans cette imposante chapelle royale, surplombée de sa tribune dédiée au souverain, que fut célébré le mariage de Louis XV avec Marie Leczinska en septembre 1725, et que Napoléon III fut baptisé en 1810 sur les genoux de son oncle Napoléon Ier.

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Le conseil municipal décide de « doter les places des Jacobins et de Lyon (place de la République) d'un monument ». Deux « seconds prix » sont attribués, dont l'un à Gaspard André pour son projet « Art ». L'étude définitive lui est confiée et son projet, présenté le 28 février 1878 est approuvé en mai. Le 17 juin 1878, un second concours attribue la conception des quatre statues principales à Degeorges : la statue d'Hippolyte Flandrin sera exécutée à Paris et les trois autres, Gérard Audran, Guillaume Coustou et de Philibert Delorme sont taillées à Lyon. Bien que le contrat prévoie un achèvement pour le 1er novembre 1878, les statues ne sont achevées qu'en 1885. La réception des travaux a lieu le 20 décembre 1881 et le monument que l'on voit encore aujourd'hui est inauguré le 14 juillet 1885[9]. La fontaine est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques (ISMH, 18/05/1992).

Les 8 angelots dorés de Jean goujon portent les instruments de la passion.

Le musée Cognacq-Jay est un musée municipal de la ville de Paris2 présentant une collection d'œuvres et d'objets d'art du XVIIIe siècle issue du legs d'Ernest Cognacq.

 

Il s'agit d'un des 14 Musées de la Ville de Paris gérés depuis le 1er janvier 2013 par l'établissement public administratif Paris Musées.

 

La salle d'exposition sous le grand comble

Le musée Cognacq-Jay est installé dans l'hôtel de Donon situé 8 rue Elzévir, dans le 3e arrondissement de Paris.

 

L'hôtel de Donon, autrefois propriété de la famille Donon, est un vieil hôtel du Marais, entièrement restauré pour l'installation du musée, dont le corps de logis (fin du XVIe siècle), à haute toiture, rappelle le style de Philibert Delorme. Au dernier étage, le grand comble fait penser à la nef d'un navire renversé.

 

ENGLISH :

The architect Philibert Delorme is the author of the coffered ceiling and fireplace.

Le château d'Anet est une construction du célèbre architecte de la Renaissance Philibert Delorme pour Diane de Poitiers, favorite du roi Henri II.

Sur le portail d'entrée se trouvait une horloge astronomique monumentale qui animait des automates représentés par le Cerf et les 4 chiens. Aujourd'hui ces automates ont été remplacés par des sculptures fixes.

Le cadran de l'horloge du côté de la rue était commun. Celui vers la cour avait 3 disques mobiles de diamètres différents. Les disques côté cour donnaient les heures de la journée, les jours et les mois de l'année, la marche du soleil dans l'écliptique, les phases de la lune, les signes du zodiaque.

Les automates étaient animés chaque demi-heure. Le cerf frappait le nombre de coups des heures. Les chiens ouvraient la gueule à chaque demi-heure et heure, et quatre cloches imitaient leurs voix. (Source www.patrimoine-horloge.fr/jac-anet.html).

  

Nikon FE - Film Kodak TriX 400

Développement Ilford ID11

Reflecta RPS 7200 Filmscanner

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France, Lyon, cour intérieure, Galerie Philibert Delorme; 11-03-2023

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Le jardin de Diane de Poitiers possède en son centre un jet d'eau. D'une conception surprenante pour l'époque, le jet d'eau jaillit d'un gros caillou taillé en conséquence et retombe « en gerbe » vers un réceptacle pentagonal de pierre blanche.

 

Ce jardin est protégé des crues du Cher par des terrasses surélevées depuis lesquelles on a de beaux points de vue sur les parterres de fleurs et le château.

 

Hector adressant des reproches à Pâris

 

Pierre Claude Francois Delorme

(1783-1859)

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