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Le Château de Thoiry fut construit à la demande de Raoul Moreau, trésorier d'Henri II par Philibert Delorme selon des lignes solaires et ésotériques. Ainsi aux solstices, le soleil aligne ses rayons dans la croisée des fenêtres du vestibule et donne l'illusion de se lever ou se coucher dans le château.

Château de Chenonceau is located at Chenonceaux, in the département of Indre-et-Loire in France.

 

From all of the châteaux I visited in the Loire Valley, this one was my favorite. The gardens were breathtakingly beautiful, the castle felt homely, and the food at the restaurant was fantastic.

 

Feel free to visit my blog Paris Pastry:

www.parispastry.blogspot.com

Lovely garden at Château de Chenonceau. Love this picture!

 

Château de Chenonceau is located at Chenonceaux, in the département of Indre-et-Loire in France.

 

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( De retour après une longue absence ! La suite à venir dans la semaine =) )

 

Coiffure : Marie-Line Delorme

Make up : Melissa Aj

Un château cher à François Ier

La renommée de la forêt de Retz, dans l’Aisne, ne date pas d’hier. En 632, Dagobert Ier y pratique déjà la chasse ! Les rois qui lui succèdent apprécient eux aussi sa richesse en gibier et y font construire une résidence sans prétention.

 

La grande histoire du château ne commence réellement qu’avec le futur François Ier, qui reçoit de son cousin le roi Louis XII le duché de Valois et le château alors qu’il n’a que 3 ans !

 

En 1528, quelques années après sa lourde défaite à Pavie en Italie, le souverain lance une série de chantiers, du Louvre qu’il agrandit au château à Fontainebleau qu’il construit.

 

Pour s’adonner à son activité favorite, la chasse, symbole des élites, il érige un palais royal au milieu de la forêt de Retz, la plus vaste de France à l’époque.

 

Villers-Cotterêts, qui n’est alors qu’un village modeste, a aussi l’avantage d’être le cœur géographique du duché de Valois, dynastie dont François Ier est issu.

 

L’une des rares demeures royales de Picardie

Avec son décor foisonnant, l’imposant château rivalise avec les plus belles réalisations de son époque.

 

Chef-d’œuvre de l’architecture de la Renaissance, la chapelle est la première en France à rompre avec la tradition gothique. Signe de la puissance monarchique, les emblèmes du roi (salamandre, fleur de lys et initiales couronnées) remplacent dans ce lieu de prière les symboles chrétiens.

 

Au fil du temps, les grands noms de l’architecture travailleront à Villers-Cotterêts, de Philibert Delorme (1514-1570), premier architecte du roi Henri II qui participera à la construction du Louvre, à André Le Nôtre (1613-1700), le célèbre jardinier de Versailles qui transformera le parc à la demande de Philippe d'Orléans, frère de Louis XIV.

Cliché pris pendant la répétition, avant le concert que Pierre DELORME a donné le 8 janvier 2011 au THOU BOUT d'CHANT (Lyon), avec son complice Thierry RÉOCREUX à la contrebasse...

La galerie des Cerfs comportait à l'origine (1503-1504) deux grands corps. L'un séparait l'avant cour de la cour d'honneur en bordant la Grande maison et l'autre s'étendait en regard, de l'escalier de la tour de la Sirène au pavillon Delorme. L'ensemble était surmonté d'un étage éclairé par des fenêtres à meneaux en croix, s'appuyant sur une frise décorée de figures allégoriques ou fantastiques. Les trumeaux des fenêtres étaient fournis de médaillons en marbre blanc représentant de célèbres personnages de la Rome antique, auxquels étaient appendus des cartouches portant le nom de chacun d'eux. Un toit d'ardoise percé de lucarnes reposait sur les hauts murs de cette galerie. En son centre, une Porte monumentale, la Porte de Gênes, fut édifiée.

 

Véritable arc de triomphe, elle était ornée de caissons à rosaces, de corniches à l'antique, de pilastres garnis de feuillage stylisé ou de feuilles d'acanthes, et surtout de scènes de guerre de la bataille de Gênes d'où elle tire son nom. Les colonnes de cette galerie étaient parsemées d'un treillis à décor d'hermine. Son rez-de-chaussée, richement décoré, laissait admirer une série de têtes de cerfs en bois brut. Les caissons des voûtes avaient été rehaussés d'or par un artiste rouennais, Richard du Hay. L'or et l'azur couraient partout sur les plafonds. Les bustes de Louis XII et de Georges d'Amboise trônaient parmi douze César.

 

La Porte de Gênes, partie intégrante de la Galerie de Cerfs, était l'accès principal pour passer d'une cour à l'autre, l'organe essentiel de circulation du château, reliant l'Ostel neuf à la Grande Maison et la Grand-Vis qui desservait les 3 niveaux de la Grand Maison. Mais complètement rasée, Il n'en reste qu'un dessin. D'une hauteur vertigineuse, elle était coiffée d'une toiture octogonale couverte d'ardoise, couronnée à son faîte d'un saint Georges en cuivre, avec des sculptures et des pendentifs formant les clefs de voûte. Après un long séjour dans la cour de l'école des Beaux-Arts, où elle avait été emmenée par A Lenoir après la Révolution, elle y fut remontée sans soin par Durban, le portail de Gênes reprenant sa place initiale dans le château en 1986 (cf. lemercuredegaillon.free.fr).

La fontaine fut réalisée en décembre 1885 par Gaspard André (1840-1896) à qui nous devons également le théâtre des Célestins. En marbre blanc, elle représente Philibert Delorme ou de l'Orme, Guillaume Coustou, Gérard Audran et Hippolyte Flandrin.

Philibert Delorme, architecte (Lyon 1514, Paris 1570), a bâti les châteaux d'Anet et des Tuileries. Guillaume Coustou, sculpteur, (Lyon 1677, Paris 1746). Gérard Audran, artiste, (Lyon 1640, Paris 1703). Hippolyte Flandrin, peintre, (Lyon 1809, Rome 1864).

 

La place des Jacobins où se dresse la fontaine, d'une superficie de 6320 m², s'est appelée place Confort jusqu'en 1782, du nom d'une chapelle dédiée à Notre-Dame de Confort puis, place des Jacobins du nom du couvent des Dominicains ou Jacobins. Au sud de la place se trouvait leur église et leur couvent. Dans cette église, le Pape Jean XXII fut élu en 1316.

Elle s'est appelée place de la Fraternité de 1794 à 1871.

La fontaine est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques (ISMH, 18/05/1992).

Défilé Hugo Boss aux Galeries Lafayette

↪ Responsable de l'événement : Bérangère Piton

↪ Agence événementiel ReYan'events Marina Muller

↪ Models : Adri Rossinès Delorme

Title / Titre :

Boeufs Sauvages /

 

Boeufs Sauvages

 

Creator(s) / Créateur(s) : Unknown / Inconnu

 

Source: Lahontan, Louis Armand de Lom d'Arce, baron de. Nouveaux voyages de Monsieur le baron de Lahontan dans l'Amérique septentrionale [...]. Vol. 1. La Haye: Isaac Delorme, 1707. FC71 L3 1707. P. 231.

 

Date(s) : 1707

 

Reference No. / Numéro de référence : OCLC 1006886518

 

bac-lac.on.worldcat.org/oclc/1006886518?lang=en

 

Credit / Mention de source :

Library and Archives Canada /

 

Bibliothèque et Archives Canada

Vendredi 16 mai 2014. Château de Sedan (Ardennes). Une des plus grandes forteresses d'origine médiévale d'Europe avec 35 000 m2 sur sept étages et des murs de plus de 7 m de large (le mur le plus épais avoisine les 27 m de large). Début construction 1424.

 

Une villa, domaine rural, est attestée à cet endroit en 997. En latin médiéval Villa Sedensi, d'un probable Sedenna basé peut-être sur le gaulois set-, long et le suffixe -enna.

La ville de Sedan se développe autour du château fort bâti par Évrard III de La Marck à partir de la fin des années 1420. Le château ne cessera d'être perfectionné et agrandi au cours des siècles suivants et en particulier par Jean Errard. Les seigneurs de La Marck sont reconnus seigneurs souverains de Sedan par le roi de France Henri II, en 1549, sous Henri-Robert de La Marck qui choisit la religion protestante. Pour prix de cette reconnaissance de souveraineté du prince sur ses terres, le prince devait au roi assistance en cas de guerre, ne pas prendre parti contre ses intérêts et lui ouvrir les places fortes s'il en faisait la demande. En échange le roi lui accordait sa protection et payait une partie des fortifications.

La devise de la ville de Sedan est UNDIQUE ROBUR, elle fut la devise des seigneurs de La Marck. Elle signifie « force de toute part ».

Pendant les guerres de Religion, de nombreux protestants sont accueillis dans la Principauté de Sedan, intellectuels, avocats, artisans, ils sont la source de la prospérité de la ville. L'académie de Sedan attire professeurs et élèves. Le Prince de Sedan bat sa monnaie, contrôle une manufacture d’armes. En 1611, Jean Jannon, graveur de caractères et imprimeur-éditeur, est actif à Sedan. Bernard Palissy invente le procédé de fabrication de ses émaux à Sedan. Les horlogers Forfaict participent à cette richesse. La dentelle point de Sedan est alors très recherchée. Henri de La Tour d'Auvergne devient duc de Bouillon en épousant, en 1591, la dernière héritière des La Marck, Charlotte de La Marck. Prince bâtisseur, il développe la ville et les fortifications urbaines.

 

La principauté est rattachée à la France le 29 septembre 1642, après la bataille de la Marfée puis la prise de la ville par le Roi le 1 août 1641, après quelques jours de siège. Puis vint le complot de Cinq-Mars contre Richelieu. En effet, le prince Frédéric Maurice de La Tour d'Auvergne-Bouillon a participé à ce complot. Il obtient la vie sauve en échange de la Principauté. Abraham de Fabert d'Esternay est gouverneur de Sedan de 1642 à 1662.

 

En 1641, les filles de la Charité s'installent à Sedan pour la création d'un hôpital. La ville connaît alors un important développement économique grâce à la création de manufactures royales de draps, comme la Manufacture royale de draps Le Dijonval en 1646. Le drap de Sedan est en laine, il sert à fabriquer des pardessus et des tentures. Depuis 1878, les tapis « Point de Sedan », fabriqués mécaniquement, font perdurer cette tradition du textile qui employa des milliers de personnes dans le passé (cette manufacture des « tapis point de Sedan » a fermé en 2008 et appartient désormais à la ville de Sedan).

Dès l'avènement de la Principauté, de nombreux juifs ont toujours pu trouver refuge dans cette ville. Il en est de même pour les protestants d'Alsace-Lorraine voulant rester français après 1870 et qui sont venus en nombre dans les Ardennes ; il y a aussi un temple à Charleville.

 

Le 1er septembre 1870, l'armée de Châlons, commandée par le maréchal de Mac Mahon, fut encerclée et vaincue à Sedan par les troupes prussiennes et des États allemands coalisées. La bataille eut lieu aux abords de la citadelle de Sedan, particulièrement à Bazeilles où d'intenses combats de rues eurent lieu. Les troupes d'infanterie de marine françaises se défendirent âprement. Ces combats sont symbolisés par l'épisode de la « Maison de la dernière cartouche », des combattants réfugiés dans une maison ne se sont rendus qu'après avoir épuisé leur munitions et les armes à la main. Cette maison est un musée que l'on peut visiter de nos jours. La reddition de la ville de Sedan - signée au château de Bellevue, sur les collines qui entourent la ville - provoqua la fin du Second Empire le 4 septembre 1870. C'est aussi au cours de cette bataille, sur le plateau du calvaire d'Illy, que la 1re division de la cavalerie de réserve sous le commandement du général Jean-Auguste Margueritte se sacrifia pour tenter de rompre l'encerclement de l'armée française. La défaite précipita le déclassement de la place forte et permit l'extension de la ville. Le château de Sedan et les casernes militaires sont conservés.

 

D'autres batailles eurent lieu ensuite lors de la Première Guerre mondiale en août 1914 et en novembre 1918.

 

Le Château de Sedan ou château-haut est situé à Sedan sur un promontoire en bordure de Meuse autrefois flanqué de deux ruisseaux, le Bièvre et le Vra. C'est l'une des plus grandes forteresses d'origine médiévale d'Europe avec 35 000 m2 sur sept étages et des murs de plus de 7 m de large (le mur le plus épais avoisine les 27 m de large).

À l'origine du site se trouve un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye de Mouzon : le prieuré Saint-Martin dont on peut voir les assises dans la cour du château. Ce prieuré est mentionné en 1306. Évrard de La Marck prend possession du site en 1424 par l'intermédiaire de son beau-frère Louis de Braquemont, apportant à son beau-frère la dot que son père (Guillaume de Braquemont) n'a jamais fourni. Il décida de construire un château de plan sensiblement triangulaire sur le site autour de l'église devenue chapelle castrale. Les fouilles ont montré que cette église avait dû être fondée au XIe siècle.

 

Vers 1424, Évrard III de La Marck fait bâtir en six ans un manoir avec deux tours jumelles autour d'une église, un donjon résidentiel rectangulaire qui faisait déjà partie du prieuré et une tour ronde à l'ouest qui a été agrandie plus tard pour devenir la "Grosse tour". Les tours jumelles servant d'entrée au château étaient protégées par un châtelet constitué de deux petites tours rondes et d'une échauguette. Le plan de ce premier château peut paraître archaïque pour l'époque de sa construction et n'a pas encore vraiment pris en compte la défense contre l'artillerie.

 

Lorsque Evrard meurt en 1440, son fils Jean de la Marck entreprend le renforcement de la forteresse mais c'est Robert II de La Marck, le petit-fils de Jean, qui réalisera les travaux les plus importants. En 1530, les fortifications du manoir sont modernisées par la construction du boulevard circulaire. Le logis princier est construit sur 100 mètres le long du rempart côté ville à partir de 1530. Le pavillon Renaissance dans le style de Philibert Delorme a été construit pour Robert IV de La Marck et son épouse Françoise de Brézé. Le logis du Gouverneur est édifié en 1536.

 

Vers 1550 sont créées les terrasses à canons par remplissage en terre, entre les remparts et une nouvelle muraille prise sur la basse cour, augmentant l'épaisseur des courtines de 4,50 m à 26 m, jusqu'à un niveau égal à ceux dominant le site. 18 petits logis pour la troupe ont été créés dans ce remplissage.

 

À partir de 1553 commence l'édification de deux bastions triangulaires sur le front nord-est, celui du Gouverneur terminé en 1557, et le bastion Fourchu en 1559. En 1572 ont été livrés les deux autres bastions, celui des Dames et le bastion du Roy.

 

Des ouvrages à cornes ont été ajoutés à l'avant des bastions mais certains furent dynamités à la fin du XIXe siècle.

 

Les archives permettent de nommer les ingénieurs ayant participé à la dernière campagne de construction des défenses de Sedan : Marin Fourre, qui est le concepteur initial, puis, en 1577, le Ferrarais Marc-Aurèle Pazin ou Marco Aurelio de Pasino, probablement l'auteur des "boulverts" et des bastions de l'enceinte urbaine, et enfin, après 1585, Jean Errard, de Bar-le-Duc.

 

Le maréchal Turenne y nait en 1611. Il s'agit d'un des plus grands militaires, en compagnie de Napoléon Bonaparte, que l'histoire ait connu.

 

La principauté est absorbée par la France après la bataille de la Marfée et à la suite de l'échec d'une nouvelle conspiration contre Richelieu menée par Cinq-Mars en 1642. Louis XIII fait emprisonner le prince de Sedan, Frédéric Maurice de La Tour d'Auvergne-Bouillon, puis remettre la principauté par traité.

 

Le maréchal Fabert, messin de naissance, fut le premier gouverneur de Sedan pour le roi de France suite au rattachement de la principauté à la France. En 1650 il fit construire les magasins Fabert, accueillant aujourd'hui l'hôtel du château.

 

Le château est transformé en garnison. En 1699, Vauban fait construire la porte « des Princes », adaptée aux progrès de l'artillerie. Il s'agit de la seule intervention de ce célèbre architecte, ce qui a laissé penser que la forteresse était de qualité.

 

Lorsque Napoléon Bonaparte visite le château, en 1803, il fait transférer à Paris la collection d'armures des princes de Sedan à Paris. Certaines se trouvent aujourd'hui exposées au Musée de l'Armée.

 

En 1822, l'église Saint-Martin est démolie pour installer un parc à boulets.

 

Une plateforme d'artillerie est créée en 1828 au sommet des Tours jumelles.

 

Encerclée par les armées prussienne et saxonne, le 1er septembre 1870 lors de la Bataille de Sedan, l'armée du camp de Châlons est défaite. Napoléon III fait hisser sur le château fort le drapeau blanc demandant la fin des hostilités. L'acte de capitulation est signé au Château de Bellevue entre Frénois et Glaire.

Des essais de dynamite sont faits sur le bastion du Gouverneur en 1873. Autrefois le plus vaste du château-fort, ce bastion est aujourd'hui largement éventré.

 

De janvier 1917 à novembre 1918, la citadelle va servir de camp pour des milliers de civils résistants français et belges condamnés aux travaux forcés par les autorités allemandes. Beaucoup y sont morts.

 

Cédé par l’armée française à la ville en 1962, le château a fait l’objet de plusieurs campagnes de restauration.

 

Aujourd'hui, le château est un haut-lieu touristique des Ardennes. Logeant un temps l'office de tourisme de la ville, celui-ci fut récemment déplacé dans un traversant reliant la rue du Ménil au Promenoir des prêtres présent au pied du château. On trouve également le musée à l'intérieur de ce château où s'y trouve depuis le printemps 2012, une maquette de la ville de Sedan au XIXe siècle, due en grande partie à Jean-Jacques Dromby. Une des salles de ce musée est dédiée à la guerre de 1870 et y est exposée une riche collection de casques prussiens et autres armes, ainsi que l'esquisse du panorama de Sedan par Ludwig Braun.

 

Lors des rafales de vent (jusqu'à 110 km/h) dues aux orages du 14 juillet 2010, vers 16h20 la large toiture côté sud s'est en partie envolée mais aussi effondrée à l'endroit du spectacle de fauconnerie (haute-cour, ruines du prieuré Saint Martin) ne prenant (par chance) pas place ce jour-là (jour de relâche). Les collections du château, en partie conservées dans les combles de l'édifice, furent en grande partie sauvées grâce à l'aide spontanée du personnel du château et de bénévoles. La nouvelle toiture fut achevée pour la saison touristique 2012.

« Considérations, admirations, détestations et autres confessions sur la chanson... Petite causerie chansonnière illustrée... par Pierre DELORME...» C'est ainsi que s'intitulait le spectacle que Pierre DELORME donnait le 7 janvier 2011 au THOU BOUTd'CHANT (Lyon), exercice inhabituel dans lequel le chanteur auteur-compositeur révèle une autre facette de son tempérament : l'humour...

 

Le lauréat de la Fine Fleur de la Chanson, coutumier de l'auto-dérision, s'est penché sur le petit monde de la chanson, ce soir-là, au grand plaisir de son auditoire...

 

La régie était assurée par Yann GIBERT, assisté d'Alexis VANDEPITTE.

Château de Chenonceau is located at Chenonceaux, in the département of Indre-et-Loire in France.

 

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Sébastien BOURDON (Montpellier, 1616 - Paris, 1671)

 

Portrait du comte palatin Adolf Johan de Pfalz (Vers 1652 - 1653)

Huile sur Toile

 

CES PHOTOS NE SONT PAS À VENDRE ET NE PEUVENT PAS ÊTRE REPRODUITES, MODIFIÉES, REDIFFUSÉES, EXPLOITÉES COMMERCIALEMENT OU RÉUTILISÉES DE QUELQUE MANIÈRE QUE CE SOIT.

UNIQUEMENT POUR LE PLAISIR DES YEUX

  

Philibert Delorme commande en 1551 à Nicolas Beaurain, peintre

verrier qui travaille pour diverses églises parisiennes et pour les châteaux royaux de Fontainebleau et Saint-Germain en Laye, entre autres, les vitraux de la Sainte-Chapelle. Ceux-ci sont posés entre 1556 et 1559. Ils constituent des exemples les plus représentatifs du travail des peintres-verriers du milieu du XVIe siècle.

Ceux de la nef, déjà largement détruits à la fin de l’Ancien Régime, ne sont connus que par des dessins anciens : ils portaient un emblème royal sur fond blanc. En revanche, les vitraux du choeur sont en grande partie conservés. Très fortement colorés, ils racontent l’Apocalypse vue par l’apôtre Jean.

affiche du film the apple emilie jouvet

Rallye Lyon-Charbonnières 2014 - 118 - Sylvestre MONTANTEME - David DELORME - Citroën C2 - R2 - Contact : maxime.malet@free.fr

Tangente danse

Projet: Dispositif de Cédric Delorme Bouchard

Conception éclairage: Cédric Delorme Bouchard

Chorégraphie: Camille Lacelle-Wilsey

Elisabeth Delorme - délégué au mécénat de la fondation EDF Diversiterre, Véronique Dham - fondateur et directeur général de l'agence Gondwana Development

© François Moura

Le Château de Thoiry fut construit à la demande de Raoul Moreau, trésorier d'Henri II par Philibert Delorme selon des lignes solaires et ésotériques. Ainsi aux solstices, le soleil aligne ses rayons dans la croisée des fenêtres du vestibule et donne l'illusion de se lever ou se coucher dans le château.

Cette série à Cala Joncols (Espagne) a été réalisée lors d'un stage "Limaces" organisé par la commission BIO de la FESSM (formateurs = Laurence Gautier et Sylvie Delorme )

 

arch. : Jean Vallet (XVIe siècle) ; Louis Cécile Flachéron (XIXe siècle) ; Claude Anthelme Benoît (XIXe siècle) et peut-être Philibert Delorme (pour le portail) - Christ médiéval en bois

Escalier du fer à cheval

Créateur Architecte : Jean Androuet Du Cerceau

Datation 1632 - 1634

 

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L'escalier en fer à cheval, situé au centre de l'aile orientale de la cour du Cheval blanc, est venu prendre la place d'un premier escalier de forme comparable, construit sur les plans de Philibert Delorme, architecte de Henri II, vers 1558. Entre 1632 et 1634, Jean Andouet du Cerceau reconstruit ce ' grand perron ' en ayant soin de lui donner une forme permettant aux carrosses de tourner entre ses deux volées. La rampe est alors ornée du caducée de Mercure, l'un des emblèmes de Louis XIII.

 

The horseshoe shaped staircase that leads to the palace was constructed for Louis XIII (1610-43) by Androuet du Cerceau. Napoleon took a final salute from his guards at this historic location at the front of the Chateau de Fontainbleau.

Défilé Hugo Boss aux Galeries Lafayette

↪ Responsable de l'événement : Bérangère Piton

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↪ Models : Adri Rossinès Delorme

Le Château de Thoiry fut construit à la demande de Raoul Moreau, trésorier d'Henri II par Philibert Delorme selon des lignes solaires et ésotériques. Ainsi aux solstices, le soleil aligne ses rayons dans la croisée des fenêtres du vestibule et donne l'illusion de se lever ou se coucher dans le château.

Château de Fontainebleau

 

Le château royal de Fontainebleau est un château dans lequel se mêlent les styles Renaissance et classique.

Sa construction fut décidée en 1528 par François Ier à l’emplacement d’un ancien château-fort dont seuls sont préservés le donjon et une courtine. François II poursuivit l’œuvre de son père et confia la conduite du chantier à Philibert Delorme. Les travaux ralentirent sous Henri II. Il faut dire que la plus grande partie du château actuel avait déjà vu le jour. A la mort de celui-ci, Catherine de Médicis congédia Philibert Delorme et confia la reprise des travaux au Primatice. Henri IV continua d’agrandir le château en lui ajoutant plusieurs ailes.

Louis XIV n’apporta que peu de modifications à ce château alors démodé mais fit rénover les jardins par André Le Nôtre. C’est à Fontainebleau que Louis XIV signe en 1685 la révocation de l’édit de Nantes.

Napoléon Ier appréciait Fontainebleau et le fit meubler pour y tenir sa cour. C'est à Fontainebleau qu’il signa son acte d'abdication en avril 1814. Un tableau célèbre, peint par Horace Vernet, représente ses adieux aux soldats de la garde impériale dans la cour du château.

 

Château de Chenonceau is located at Chenonceaux, in the département of Indre-et-Loire in France.

 

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Lyon 1er, place Saint-Nizier, église Saint-Nizier

Notre-Dame de Grâces par Antoine Coysevox, 1676

arch. : Jean Vallet (XVIe siècle) ; Louis Cécile Flachéron (XIXe siècle) ; Claude Anthelme Benoît (XIXe siècle) et peut-être Philibert Delorme (pour le portail)

Vestiges du Château de Montceaux-les-Meaux - Montceaux-lès-Meaux

 

Ce château connut bien des intrigues aux XVe et XVIe siècles ! Bâti au début du XVe siècle par un riche banquier parisien, le domaine est acheté en 1555 par Henri II qui en fait don à sa femme, Catherine de Médicis.

 

Elle en confia l’embellissement à Philibert Delorme. D’autres artistes, tels que Jacques Androuet du Cerceau, le Primatice ou Salomon de Brosse participent aux transformations successives et aux décorations de la propriété.

 

C’est en 1596 qu’Henri IV fait cadeau du domaine de Montceaux à sa favorite Gabrielle d'Estrées la « presque reine ».

 

A partir de cette date, et sous le règne des derniers rois Valois, le château de Montceaux-lès-Meaux sera le témoin de nombreux évènements historiques, dont notamment la réconciliation du parti du Roi avec les instigateurs de la Ligue.

En 1599 la reine Marie de Médicis devient propriétaire du château. Les travaux sont alors poursuivis par Salomon de Brosse jusqu’en 1622.

 

Les plus belles heures de Montceaux sont toutefois passées. Le château de Catherine de Médicis ne sera plus habité dès la fin du XVIIe siècle.

La galerie des Cerfs comportait à l'origine (1503-1504) deux grands corps. L'un séparait l'avant cour de la cour d'honneur en bordant la Grande maison et l'autre s'étendait en regard, de l'escalier de la tour de la Sirène au pavillon Delorme. L'ensemble était surmonté d'un étage éclairé par des fenêtres à meneaux en croix, s'appuyant sur une frise décorée de figures allégoriques ou fantastiques. Les trumeaux des fenêtres étaient fournis de médaillons en marbre blanc représentant de célèbres personnages de la Rome antique, auxquels étaient appendus des cartouches portant le nom de chacun d'eux. Un toit d'ardoise percé de lucarnes reposait sur les hauts murs de cette galerie. En son centre, une Porte monumentale, la Porte de Gênes, fut édifiée.

 

Véritable arc de triomphe, elle était ornée de caissons à rosaces, de corniches à l'antique, de pilastres garnis de feuillage stylisé ou de feuilles d'acanthes, et surtout de scènes de guerre de la bataille de Gênes d'où elle tire son nom. Les colonnes de cette galerie étaient parsemées d'un treillis à décor d'hermine. Son rez-de-chaussée, richement décoré, laissait admirer une série de têtes de cerfs en bois brut. Les caissons des voûtes avaient été rehaussés d'or par un artiste rouennais, Richard du Hay. L'or et l'azur couraient partout sur les plafonds. Les bustes de Louis XII et de Georges d'Amboise trônaient parmi douze César.

 

La Porte de Gênes, partie intégrante de la Galerie de Cerfs, était l'accès principal pour passer d'une cour à l'autre, l'organe essentiel de circulation du château, reliant l'Ostel neuf à la Grande Maison et la Grand-Vis qui desservait les 3 niveaux de la Grand Maison. Mais complètement rasée, Il n'en reste qu'un dessin. D'une hauteur vertigineuse, elle était coiffée d'une toiture octogonale couverte d'ardoise, couronnée à son faîte d'un saint Georges en cuivre, avec des sculptures et des pendentifs formant les clefs de voûte. Après un long séjour dans la cour de l'école des Beaux-Arts, où elle avait été emmenée par A Lenoir après la Révolution, elle y fut remontée sans soin par Durban, le portail de Gênes reprenant sa place initiale dans le château en 1986 (cf. lemercuredegaillon.free.fr).

Claude MONET (Paris, 1840 - Giverny, 1926)

 

Jardin en fleurs à Sainte-Adresse (Vers 1866)

Huile sur Toile

 

CES PHOTOS NE SONT PAS À VENDRE ET NE PEUVENT PAS ÊTRE REPRODUITES, MODIFIÉES, REDIFFUSÉES, EXPLOITÉES COMMERCIALEMENT OU RÉUTILISÉES DE QUELQUE MANIÈRE QUE CE SOIT.

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MNR 216

 

Historique de ces œuvres spoliées :

 

Durant la Seconde Guerre mondiale, près de 100 000 biens appartenant principalement à des familles juives, des francs-maçons et des opposants au régime du IIIe Reich furent volés par l’Allemagne nazie. Adolf Hitler confia personnellement la mission de spoliation d’œuvres d’art ou Raubkunst à Otto Kümmel, conservateur des musées nationaux d’Allemagne. L’objectif premier fut de rapatrier toutes les œuvres d’art d’origine allemande créées depuis le XVIe siècle mais l’appétit du gain entraîna la confiscation de collections privées et publiques dans tous les pays annexés par le régime. Ce pillage systématique fut confié à l’ERR ou Einsatzstab Reichsleiter Rosenberg für die besetzten Gebiete ou l’état-major d’intervention du commandant du Reich Rosenberg pour les territoires occupés.

 

Le dictateur du régime national-socialiste souhaitait exposer les pièces maîtresses de l’art européen sur le sol allemand dans une perspective de réécriture de l’histoire de l’art conforme à l’idéologie nazie. Pour ce faire, un colossal musée fut prévu à Linz en Autriche, ville où Hitler passa une partie de son enfance. Les plans de ce vaste complexe architectural qui devait se nommer le Führermuseum prévoyaient d’accueillir plus de 4000 tableaux ! Les œuvres pillées non retenues pour le projet de Linz furent transférées dans d’autres collections de musées du régime promouvant déjà l’idéologie fasciste.

 

En France, en réponse à la profanation culturelle subie pendant l’Occupation, certaines pièces des collections nationales furent évacuées de Paris et cachées dans des domaines du Sud-Ouest du pays. Celles qui furent déjà saisies dans la capitale étaient entreposées par les S.S. dans les salles du Louvre mais l’espace devint rapidement trop étroit et le musée du Jeu de Paume, situé place de la Concorde, fut réquisitionné à son tour par le régime. C’était au sein de cette institution que travaillait alors l’attachée de conservation et résistante, Rose Valland qui fit secrètement un inventaire des collections, suivant la trace de ces œuvres volées et déportées en Allemagne. Son travail inestimable d’identification et de localisation permit de récupérer de nombreux objets d’art après la défaite du IIIe Reich.

 

Au lendemain de l’Armistice, les œuvres spoliées ainsi que celles acquises sur le marché de l’art entre 1939 et 1945, connues de l’Office des biens et intérêts privés et de la Commission de récupération artistique, furent en grande partie retrouvées. En 1949, sur les 61 233 objets renvoyés en France, plus de 45 441 furent restitués à leurs légitimes propriétaires ou héritiers directs. Toutefois, en dépit de cet important de travail de restitution, plus de 13000 biens ne furent jamais réclamés et furent vendus par l’État français. L’administration ne conserva que 2143 objets spoliés. Ceux-ci furent confiés aux Musées Nationaux, gestionnaires de ces collections et enregistrés dans les inventaires provisoires dits de récupération d’où le sigle MNR ou « Musées nationaux récupération » qui leur est attribué. Exposées dans différents musées de France, les œuvres répertoriées MNR peuvent être, à tout moment, demandées par les ayants-droits, descendants ou héritiers. Sur le plan juridique, défini par le décret du 30 septembre 1949, ces œuvres n’appartiennent pas à l’État qui n’en est que le détenteur provisoire.

  

Attribué à Carlo ALBACINI (Fabriano, 1734 - Rome, 1813)

Bacchus et Ariane (vers 1800)

Marbre

 

Ce groupe en marbre représentant le couple mythique du dieu Bacchus et de la fille du roi Minos, Ariane, témoigne de l’immense intérêt et de l’appropriation de la statuaire antique par le milieu artistique italien à la fin du XVIIIème siècle.

 

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Place des Jacobins, la fontaine est dédiée à quatre célèbres artistes lyonnais, l'architecte Philibert Delorme, le graveur Gérard Audran, le sculpteur Guillaume Coustou et le peintre Hippolyte Flandrin.

L'Auteur-Compositeur-Interprète Pierre DELORME lors d'une séance de pose à Villefranche vers 1973. (Photo N & B colorisée.)...

 

A cette époque, Pierre propose dans ses spectacles d'extraordinaires chansons, très inspirées, surréalistes, comme "L'asphalte", "Le jeu", "La statue"...

 

Lien vers la vidéo "d'Homme à Homme", chanson qui date de la fin des années 60 :

www.youtube.com/bernardolechalloux#p/u/14/on9BfSWJqEU

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